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Blog - Page 220

  • Pour Manuel Valls, une alliance entre «Trump et Poutine, c'est la fin du monde»

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    L'interview accordée par Donald Trump au «Times» et au quotidien allemand «Bild» n'en finit pas de créer des ondes de choc. Le véritable changement d'époque qui se dessine semble prendre de court les tenants d'une réalité brusquement obsolète.

    Interrogé par Ruth Elkrief sur BFMTV, Manuel Valls s'est inquiété d'un rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine.

    «C'est un changement historique», s'est exclamé l'ex-Premier ministre. «Imaginez le monde entre l'Europe – l'ancienne Europe de l'Ouest – et les Etats-Unis. Une alliance entre Trump et Poutine, c'est la fin du monde», a-t-il déploré, avant d'ajouter que Donald Trump avait fait une «déclaration de guerre à l'Europe».

     

    Selon Manuel Valls, Donald Trump «propose tout simplement la dislocation de l'Europe, sur les sujets commerciaux, sur les questions migratoires». «C'est particulièrement grave», a-t-il jugé faisant à la mention faite par le prochain président américain d'un éventuel accord de libre-échange avec le Royaume-Uni. Donald Trump s'en est également pris lors d'une interview pour le Times et Bild, à la politique migratoire d'Angela Merkel, conformément à ses déclarations pendant la campagne électorale américaine.

    «Un populiste peut vouloir mettre en œuvre son programme»

    «Beaucoup pensaient que Donald Trump, après son élection, allait se calmer», constate Manuel Valls, avant de déplorer : «Mais on a oublié qu'un populiste peut vouloir mettre en œuvre son programme».

    Lors de l'interview, le président élu a déclaré qu'il ferait «confiance à Poutine», et affirmé son intention de réévaluer la pertinence des sanctions à l'encontre de la Russie. Une autre constante. «C'est du jamais vu», s'est insurgé Manuel Valls, «L'Amérique du Nord est l'alliée de l'Europe».

    RT

  • Macron, le Nord et la tête de nœud

     

    Les mineurs sont des alcooliques votant pour le FN, déclare Emmanuel Macron. Un signe non seulement de mépris sidérant, mais aussi de méconnaissance totale de la France. La démonstration par Jacques Sapir.

    Monsieur Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Economie, se promenait dans le nord de la France. Il y fit, le vendredi 13 janvier cette déclaration dont la presse s’est faite l’écho : «l’alcoolisme et le tabagisme se sont peu à peu installés dans le bassin minier». Bien sûr, comme c’est facile. Ces ex-ouvriers, devenus chômeurs et leurs enfants, tous des alcooliques, et d’ailleurs ils votent pour le Front national. Le mépris de classe que révèle cette déclaration est sidérant, mais nullement étonnant. Emmanuel Macron fut à bonne école pendant plus de quatre ans, aux côtés – comme conseiller et comme ministre – de celui qui parlait des «sans dents», notre Président François Hollande. La violence de cette déclaration passe cependant les bornes. Non seulement par le mépris qu’elle exprime, mais aussi par la méconnaissance de la situation qu’elle révèle.

    Le Nord et l’alcool

    Oui, il y a bien un problème d’alcoolisme dans le Nord de la France, mais ni plus (ni moins) grave que celui que l’on connaît en Normandie, en Bretagne, ou dans la région Champagne-Ardenne. Regardons les statistiques de santé que ce soit celles fournies par l’INPES ou celles de l’enquête ESCAPAD.

    La seule qui mette le Nord en tête est celle des décès liés à des cirrhoses et autres maladies, que l’on considère liées à l’alcool.

    Mais, les cirrhoses ne sont pas un bon indicateur car elles sont aussi associées à d’autres pathologies qu’une simple dépendance à l’alcool. D’autres indicateurs existent, fournis par l’Enquête Baromètre Santé de l’INPES. Le premier est celui du pourcentage des ivresses alcooliques dans l’année, sur la population de 15 à 75 ans. Et là, surprise, le Nord apparaît largement sous la moyenne nationale.

    La proportion remonte largement au-dessus de la moyenne, mais pas en première place, pour les interpellations pour ivresse sur la voie publique, chiffre qui mesure, en fait, la (relative) tolérance des forces de l’ordre à ce type de désordre, mais aussi la pratique sociale de l’ivresse, dans et hors du domicile. En fait, on compte 22,5 interpellations pour 10 000 habitants, chiffre inférieur cependant à celui de la Réunion et de la région Champagne-Ardenne.

    Si l’on regarde maintenant les cas d’ivresses des mineurs (moins de 18 ans), la statistique des ivresses alcooliques répétées à 17 ans, pour 2014, telle que fournie par l’enquête ESCAPAD, met à nouveau le Nord sous la moyenne nationale.

    Il suinte de ce personnage un mépris envers les travailleurs et envers les victimes de notre société, un mépris de classe, qui n’est pas piqué des vers

    Il en va de même si l’on observe l’usage mensuel de l’alcool pour la tranche d’âge de 17 ans, toujours dans l’enquête ESCAPAD de 2014. La fréquence moyenne est de 12% en France, et elle n’est que de 10% dans le Nord contre 22% dans les pays de la Loire et 17% en Bretagne et en Basse-Normandie.

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    Emmanuel Macron

    Le premier constat est donc que Monsieur Emmanuel Macron, ancien Ministre, et ci-devant candidat à la Présidence de la République, a bien raconté n’importe quoi. Il a maintenu ses propos et même attaqué sur Facebook avec une certaine violence ceux qui étaient légitimement scandalisés par ses propos. Ce faisant il ne fait qu’étaler ce qui est désormais évident pour tous ceux qui ont suivi cette triste affaire : il suinte de ce personnage un mépris envers les travailleurs et envers les victimes de notre société, un mépris de classe, qui n’est pas piqué des vers.

    Les causes de crise sanitaire dans le bassin minier

    Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas un véritable problème de santé publique dans le bassin minier du Nord. Dans l’arrondissement de Lens, la surmortalité est de 67% supérieure à ce qu’elle est dans le reste de la France. Mais, ce problème n’est nullement la traduction de comportements spécifiques de la population, comportements qui par ailleurs trouveraient dans l’abandon dans laquelle elle fut laissée d’amples justifications. Ce problème résulte pour une large part par la pollution de l’air et de l’eau induites par des activités qui ont été pendant laissées sans contrôle (que l’on se souvienne des patrons-voyous de MetalEurop qui ont disparu sans laisser de traces après avoir largement pollué le site de leur usine, par les maladies professionnelles sur lesquelles on est devant une véritable absence de données.

    Monsieur Macron, votre prétendu «humanisme» dont vous faites étalage à l’étranger, en Allemagne en particulier, n’est qu’une immense et scandaleuse fraude

    Rappelons qu’en ce qui concerne le stress au travail, des pays comme la Suisse et la Suède avaient réalisé des enquêtes épidémiologiques générales, qui avaient montré que les maladies stress-induites avaient un coût pour la société dépassant les 3% du PIB. Rappelons qu’en France, et en dépit d’études pionnières réalisées à l’initiative de la CGT au début des années 1960, il n’y a jamais eu d’enquête équivalente. Que faisiez vous donc vous, oui vous, Monsieur Emmanuel Macron ainsi que votre collègue, Madame Marisol Touraine, quand vous étiez respectivement Ministre de l’Economie et Ministre de la Santé ?

    C’est qui devrait provoquer une immense colère contre vous et votre candidature à la Présidence de la République, citoyen Macron. De prétendre «stigmatiser» comme l’on dit aujourd’hui une population alors que vous n’avez rien fait pour permettre une juste mesure des causes de la crise sanitaire qu’elle vit. De prétendre résoudre ses problèmes par l’ubérisation du travail et de la société, alors que l’on sait pertinemment que ceci va encore renforcer le stress au travail, et engendrer par là de nouvelles pathologies.

    Monsieur Macron, votre prétendu «humanisme» dont vous faites étalage à l’étranger, en Allemagne en particulier, n’est qu’une immense et scandaleuse fraude. Vous vous moquez complètement de ce que vivent les gens, de ce qu’ils endurent. Mais nous, nous savons qu’à Noeux-les-Mines, là où vous avez fait votre déclaration, il y avait, en votre personne, une véritable tête de nœud !

    Source : russeurope.hypotheses.org

    par Jacques SAPIR

    RT

  • Les déclarations de Donald Trump irritent les Européens

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    Par Julien Licourt
    Mis à jour le 16/01/2017 à 22h23 | Publié le 16/01/2017 à 09h15

     John Kerry et de nombreux dirigeants européens ont vivement réagi, ce lundi, aux propos virulents du président américain élu contre l'Union européenne, l'Otan ou encore la politique migratoire d'Angela Merkel.

    Donald Trump ne réserve plus ses déclarations fracassantes à ses désormais célèbres tweets nocturnes. À quelques jours de sa prise de fonction, le président américain élu a multiplié les prises de positions atypiques dans une interview donnée au Times et à Bild , journaux respectivement britannique et allemand. L'homme à la mèche blonde n'a pas mâché ses mots, notamment sur l'Union européenne, pour laquelle il montre bien peu de considération. En réaction, le président François Hollande a martelé que l'UE n'avait «pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu'elle a à faire». Résumé de ses principales prises de position, et des réponses des principaux intéressés.

    • Union européenne et «Brexit»

    «Quand vous jetez un coup d'œil à l'Europe, vous voyez en réalité l'Allemagne, estime Donald Trump. [L'UE] est en réalité un instrument au service de l'Allemagne. C'est pourquoi je pense que le Royaume-Uni a bien fait d'en sortir.» Pour Donald Trump, le «Brexit» est incontestablement un succès pour le Royaume-Uni. Il assure qu'il va «travailler dur» pour qu'un nouvel accord commercial soit conclu «très rapidement» entre Londres et Washington. Il répond aussi favorablement à la requête de la première ministre Theresa May: «Nous nous verrons dès que je serai entré à la Maison-Blanche.» L'annonce de cet accord a en tous cas déjà réjouit le ministre des Affaires étrangères britannique, Boris Johnson, qui a jugé que c'était «une bonne nouvelle [...] dans l'intérêt des deux parties».

    Dans l'ensemble, l'Union européenne est devenue un véhicule pour l'Allemagne. (...)Je pense qu'elle (Merkel) a commis une erreur absolument catastrophique, à savoir accepter tous ces illégaux. Et personne ne sait même d'où ils viennent...

    Donald Trump, dans «Bild»

    Le président élu est persuadé que la crise des réfugiés a été mal gérée et qu'elle est à l'origine du départ du Royaume-Uni de l'UE. «Les peuples, les pays veulent conserver leur identité. Le Royaume-Uni veut sa propre identité. Mais je crois que si on ne l'avait pas forcé à accepter tous ces réfugiés avec tous les problèmes qui vont avec… Je pense qu'il n'y aurait jamais eu de “Brexit” […] Je pense que d'autres pays vont quitter l'UE à leur tour.» L'Allemagne et sa chancelière, Angela Merkel, qui ont été en pointe dans l'accueil des réfugiés, qualifié par Trump «d'illégaux», ont commis «une erreur catastrophique». Il assure cependant avoir «un profond respect» pour Angela Merkel.

    «Je pense que nous, les Européens, avons notre destin dans nos propres mains. Je vais continuer de m'engager pour que les 27 États membres travaillent ensemble vers l'avenir(...) face aux défis du XXIe siècle», a riposté Angela Merkel lundi. «Personnellement, j'attends l'investiture du président américain. Ensuite, nous travaillerons évidemment avec lui à tous les niveaux», a souligné la chancelière allemande. De sources gouvernementales allemandes, on déclare que la chancelière Merkel cherche à fixer une date pour une rencontre avec Donald Trump au printemps. Elle a proposé de le rencontrer aux Etats-Unis en sa qualité de présidente du G20, précise-t-on.

    Le secrétaire d'État américain, John Kerry, a quant à lui dénoncé les «propos déplacés» du président élu sur l'Union européenne et la «courageuse» chancelière allemande. «Je pense très franchement qu'il était déplacé pour le président élu des États-Unis de s'immiscer dans les affaires d'autres pays de manière aussi directe», a-t-il déploré sur CNN. «Je pense qu'il faut être très prudent avant de dire qu'un des dirigeants les plus puissants d'Europe (...) a fait une erreur», a insisté le secrétaire d'Etat. «La meilleure réponse à l'interview du président américain, c'est l'unité des Européens», c'est de «faire bloc», a réagi de son côté le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Marc Ayrault. «Je pense que l'Union européenne va rester unie, je suis à 100% convaincue de cela», a encore déclaré Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l'UE. L'ex-premier ministre, Manuel Valls, candidat à la primaire de la gauche, s'est emporté sur BFMTV en qualifiant de «provocation» et de «déclaration de guerre à l'Europe» les propos du président américain élu.

    • L'Otan

    L'UE n'est pas la seule institution internationale à être sévèrement jugée par Donald Trump. L'Otan, considérée comme «obsolète», n'a pas non-plus l'estime du président élu. Elle n'a pas su, selon lui, muter pour s'adapter à la menace actuelle, le terrorisme islamique. Autre problème, «les membres ne payent pas ce qu'ils doivent régler et nous sommes tout de même censés les protéger.» «Ils sont seulement cinq à payer correctement. Cinq sur vingt-deux ce n'est pas beaucoup. Je pense que c'est très injuste pour les État-Unis.» Peu d'États de l'Alliance atlantique atteignent le niveau de 2% de leur produit intérieur brut pour les dépenses militaires, l'objectif que s'est fixé l'Otan en 2014. Malgré cela, le président élu assure tout de même que «l'Otan est très importante» pour lui.

    De son côté, l'Alliance transatlantique a redit sa «confiance absolue» dans le maintien d'un «engagement fort» des Etats-Unis, au moment où certains pays européens - en particulier ceux situés sur le flanc est de l'Alliance - s'inquiètent de l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, synonyme de possible détente avec Moscou. En sortant d'un rendez-vous avec le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, n'a pas caché l'«inquiétude» de l'Alliance atlantique. Parler d'une Otan «obsolète», a-t-il toutefois relevé, c'est «en contradiction avec ce que le (futur) ministre de la Défense américain a dit lors de son audition à Washington il y a seulement quelques jours».

    Le président français, François Hollande, a vivement réagi à ces propos: «Je vous l'affirme ici: l'Europe sera toujours prête à poursuivre la coopération transatlantique, mais elle se déterminera en fonction de ses intérêts et de ses valeurs. Elle n'a pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu'elle à a faire», a déclaré le président, qui a également contredit le président élu américain en estimant que l'Alliance atlantique «ne sera obsolète que lorsque les menaces le seront devenues elles aussi». À Paris, le président a rappelé la responsabilité des dirigeants politiques à «se projeter dans le monde entier», et affirmé que l'Amérique de Donald Trump ne devait «pas avoir peur d'elle-même et du monde».

    James Mattis, ancien général des Marines choisi par Donald Trump pour diriger le Pentagone, a mis en garde contre la volonté du président russe Vladimir Poutine de «casser» l'Otan. Des déclarations de nature à rassurer la plupart des Européens attachés au maintien d'une position intransigeante vis-à-vis de Moscou, en plein conflit ukrainien.

    • Irak et Syrie

    Je viens de regarder quelque chose… ah, je n'ai pas le droit de vous montrer, c'est secret… mais je viens de regarder l'Afghanistan. Lorsqu'on observe les talibans, il y a plein de couleurs différentes. Et chaque année, il y en a plus, plus, plus. Et là on se dit : qu'est-ce qui se passe là-bas ?

    Donald Trump, dans «Bild»

    Donald Trump estime que l'invasion de l'Irak a été une erreur. C'est l'une «des pires décisions, peut-être la pire décision jamais prise dans l'histoire par notre pays. Cela a été comme jeter une pierre sur une ruche.» Concernant la Syrie, il critique l'attentisme de l'Administration Obama. «Nous avions la possibilité de faire quelque chose, une ligne rouge a été franchie et… rien ne s'est passé. Maintenant il est beaucoup trop tard.» Il a également condamné l'action de la Russie dans ce pays.

    • Russie

    Cette critique ne remet cependant pas en cause sa volonté d'améliorer les relations des États-Unis avec la Russie. Il le prouve une nouvelle fois en proposant de réduire les sanctions imposées à Moscou suite à son implication dans la crise ukrainienne et à son annexion de la Crimée. «Voyons si nous pouvons passer des accords qui peuvent nous être bénéfiques avec la Russie. Je pense, par exemple, que l'arsenal nucléaire pourrait être considérablement réduit. Les sanctions font très mal à la Russie. Je pense que quelque chose pourrait arriver dont beaucoup de monde pourrait tirer des bénéfices.»

    LE FIGARO

  • Investiture de Donald Trump: Washington se prépare

    http://premium.lefigaro.fr/international/2017/01/15/01003-20170115ARTFIG00093-investiture-de-donald-trump-washington-se-prepare.php

  • JOURNAL TVL DU 16.01.17

  • Une bande armée saccage Juvisy-sur-Orge: les habitants sous le choc

    « Ils ont semé la terreur », « des scènes de guérilla urbaine ». Ce dimanche, les habitants du quartier du Plateau à Juvisy-sur-Orge employaient des phrases aussi fortes que le choc qu’ils ont ressenti en découvrant les dégâts dus au passage dans la soirée de samedi d’une bande d’une vingtaine ou d’une trentaine de « jeunes armés », notamment de sabres. Si aucun blessé n’est à déplorer, le bilan est lourd : une vingtaine de voitures ont été endommagées, vitres ou rétroviseurs brisés, et deux portes de halls d’immeuble ont été fracturées.

    Les vandales se sont également introduits dans un appartement qu’ils ont saccagé « par erreur » selon les premiers éléments de l’enquête, alors que le locataire s’y trouvait avec un bébé. Suite à cette soirée de violence, la police a interpellé sept mineurs originaires d’Athis-Mons dans la nuit. Ils auraient été relâchés à l’issue de leur garde à vue ce dimanche soir, avec une convocation devant un juge pour enfants.

    « Le Plateau est un quartier calme normalement »

    La majorité des violences s’est produite dans la rue des Écoles. Ce dimanche en fin de matinée, l’artère était encore jonchée de bris de verre. La majeure partie des voitures stationnées n’avaient plus de vitres mais des bâches collées pour combler les trous. « Samedi j’ai garé ma voiture à plusieurs pâtés de maison d’ici, bien m’en a pris, témoigne un habitant d’une vingtaine d’années. C’est hallucinant ce qui s’est passé ici. Même si depuis quelque temps, on a des petits phénomènes de squats de halls d’immeuble, le Plateau est un quartier calme normalement. »

       

    Peu de voitures ont échappé au passage de la bande armée dans le quartier du Plateau samedi soir. LP/C.CH.

     

    Robin Reda, le maire (LR) de Juvisy-sur-Orge, se montre également très surpris que le Plateau ait été le théâtre d’un tel scénario. « Nous rencontrons de gros problèmes de sécurité, mais plutôt dans le quartier de la gare, rappelle l’élu. J’ai appris avec sidération ces faits ce dimanche matin par des riverains. Dès lundi matin, la police municipale viendra faire du porte-à-porte pour rassurer les habitants. Il y a beaucoup de personnes âgées ici, elles sont terrorisées. » Pour les aider, le maire veut aussi organiser un groupe de paroles « pour permettre à tous d’être pris en charge psychologiquement ». L’édile doit également rencontrer Josiane Chevalier, la préfète de l’Essonne, ce lundi, « notamment pour parler de sécurité, précise Robin Reda. Le rendez-vous a été avancé en urgence après ces événements. »

     

    La rue des Ecoles est jonchée de bris de verres. LP/C. CH.

     

    Mais malgré ces mesures, les habitants sont sceptiques. « On a peur qu’ils reviennent, qu’ils recommencent et qu’ils commettent plus de dégâts, qu’ils s’en prennent à nous directement », tremble Sophie. Alexis, 20 ans, a pris de nouvelles résolutions : « je porterai tout le temps une matraque sur moi désormais », annonce-t-il. On est bien obligé de trouver des moyens pour se défendre. Il n’y a pas eu de blessés, mais la prochaine fois ? Ce sont des fous furieux, ils terrorisent un quartier, ils saccagent nos voitures. Au lieu de se reposer le week-end, on a dû déposer plainte, appeler nos assurances… C’est dégoûtant et révoltant. »

     

    C’est dans cet immeuble qu’une bande de jeunes a fait irruption dans un appartement occupé par un homme et son bébé. Ils ont tout saccagé alors qu'ils se seraient trompés d’adresse. LP/C.CH.

     

      leparisien.frCécile Chevallier @ChevallierCcile

     

  • Madoff s’accapare le marché du chocolat chaud en prison

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    Bernard Madoff, “L’escroc du siècle”, condamné en 2009 à 150 ans de prison pour avoir détourné 65 milliards de dollars, est une star dans sa prison, nous rapporte Le Parisien, à partir de l’enquête du site MarketWatch.

    Bernard Madoff, 78 ans, n’aurait rien perdu de ses talents de businessman au centre pénitentiaire de Butner, en Caroline du Nord. Il est même considéré comme un “héros” parmi les prisonniers.

    Monopole du chocolat chaud

    Il se serait accaparé le marché du chocolat chaud en rachetant tous les paquets de la marque Swiss Miss à l’intendant, et en les revendant plus cher dans la cour de prison.

    Ses remords, selon le journaliste Steve Fishman à la source de l’enquête, se porteraient davantage sur le fait d’avoir “détruit sa carrière” que sur le sort des victimes.

    Source : lefigaro.fr

    TVL

  • VIDEO - Politique et Eco n°118 avec Georges Clément président du Comité Trump France

    A écouter attentivement et jusqu'au bout: passionnant!

    TVL 16.01.17

  • Egypte: décapitée par sa famille après être devenue chrétienne !

    http://www.islam-et-verite.com/decapitee-famille-quitte-lislam-etre-devenue-chretienne/

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  • Le petit voleur

  • Forces américaines en Pologne : une démarche aux antipodes de l'isolationnisme proné par Trump

    https://francais.rt.com/opinions/32282-forces-americaines-pologne-demarche-antipodes-trump

  • Italie : Le migrant, « ami de la famille », viole et met enceinte une enfant de 12 ans

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    Migrants

    Posted by La Rédaction on 9th janvier 2017
    | 1178 views

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (09/01/2016) Dans la ville de Terni en Italie, une jeune fille de 12 ans est tombée enceinte après avoir été violée, la police a arrêté un migrant de 31 ans dont la famille s’était fait un « ami ».

    Perugia Today (source) :

    Selon l’inculpation, un étranger de 31 ans sans casier judiciaire,  résident dans la ville de Terni de longue date, a abusé sexuellement une amie de la famille de 12 ans, qui est tombée enceinte. L’homme a été arrêté par la police après un ordre du juge d’instruction Frederico Bona Galvez. Selon la police, il s’était rendu dans la maison de l’enfant et a eu l’opportunité d’être seul avec elle.

    L’article poursuit :

    L’homme de 31 ans a été identifié suite une longue et délicate enquête, notamment après avoir entendu des amis et la famille de la victime de 12 ans. L’investigation a débutée fin 2015 et coordonnée par le procureur Raffaele Iannella quand la fille, connue par le violeur présumé, s’est plainte d’abus à des membres de la famille.

    Et la partie la plus insoutenable de l’histoire :

    Les docteurs, après des analyses, ont découvert que la jeune fille était enceinte. La victime était enceinte au quatrième mois et n’a pas pu recevoir d’avortement, limité au troisième mois d’une grossesse. Le bébé est né plusieurs mois plus tard et a été confié aux services sociaux pour adoption.

    Il est probable que dans un tel cas de figure, la gauche immigrationniste défendrait l’interdiction de l’avortement, peu importe le contexte.

  • Ils préparent des émeutes pour faire dégénérer l'investiture de Trump

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    Ils préparent des émeutes pour faire dégénérer l’investiture de Trump

    Publié le 14 janvier 2017 - par - 81 commentaires - 5 071 vues

    Samedi prochain, le 21 janvier, Donald Trump sera à la Maison Blanche et son mandat commencera. La situation est-elle apaisée ? Sûrement pas, et le nombre d’obstacles théoriques ou potentiellement dangereux sur sa route vers le pouvoir demeure, nombreux et pernicieux.

    On sait que des manifestations massives sont prévues à Washington où le « peuple » d’Hollywood appelle à contrer le Président qu’il ne reconnaît pas. Des groupes comme le SDS (étudiants marxistes  qui se déclarent pour la « démocratie ») ou le BLM (Black Lives Matter) seront là et feront feu de tout bois avec toute la malignité dont ces « bons » autoproclamés sont capables.

    Il est aussi annoncé une « marche des femmes contre Trump », et l’on sait que Georges Soros finance en ce moment une foule d’actions de résistance dans tout le pays et à Washington en particulier, qui pourraient tourner à l’émeute. On notera  donc l’appel de Rosie O’Donnel (Actrice) pour l’instauration par Obama de la loi martiale afin de suspendre la prestation de serment du nouveau président.  Si des émeutes pouvaient offrir au président sortant le prétexte à accéder à cette demande, ne doutons pas qu’il en userait avec délectation.

    On a su aujourd’hui, et toujours dans l’optique de cette journée historique du 20 janvier, que le général de la Garde nationale de Washington DC sera suspendu le 20 janvier à 12 heures, c’est à dire au milieu de la cérémonie. A cet instant, les forces de la Garde nationale n’auront plus de commandant pour leur donner les ordres nécessaires en cas de troubles.  Tout le monde s’étonne d’une décision si extraordinaire en cette occasion extraordinaire. Mais qu’est-ce qui est encore « ordinaire » en ces journées cruciales pour l’Occident ?

    Enfin, plus maléfique, est la sortie d’une fausse nouvelle sur des frasques supposées de Donald Trump à Moscou en 2013 (époque où il était impensable de croire qu’il serait président des Etats-Unis quatre ans plus tard). Ces soirées épicées auraient été organisées par le FSB pour « tenir » le futur président.

    Mais cette cassette que la Russie nie avoir enregistrée et donc possédée, est attestée par un agent du MI6 qui ne l’a donc pas vue.

    Le but de cette manœuvre n’est plus d’empêcher l’élection de Donald Trump mais  de le faire passer pour un agent de la Russie et donc de pouvoir engager une procédure d’impeachment pour haute trahison. Le rapport aurait été communiqué au sénateur MacCain fin 2015, qui l’aurait confié au directeur du FBI pour enquête. Y a-t-il eu enquête sur les financements étrangers reçu par Hillary Clinton ? Y a-t-il encore une enquête sur ses courriels mettant en péril la sécurité des Etats-Unis ?

    « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! »

    Et ainsi, lors des audiences de confirmation des ministres de Trump, ne voit-on pas, dans la hargne des questionneurs, leur opposition à toute nouvelle politique étrangère du président élu ? Et ne voit-on pas que les reculs rhétoriques ou factuels d’un Tillerson ou d’un Jeff Sessions devant ce tribunal minent la liberté du futur président ?

    Comme si, on voulait tout à la fois délégitimer sa politique et l’empêcher de la mener, au risque pour Donald Trump d’avoir  à se heurter à son cabinet ou de décevoir ses partisans. Sa conférence de presse a pourtant mis en évidence la carrure du président, la fermeté de ses convictions, et la fidélité au programme annoncé.

    Nous attendons tous le 20 janvier, mais rien ne sera mis en œuvre dans la concorde et l’apaisement démocratique.

    Le danger rode, et l’avenir appartiendra à ceux qui oseront l’affrontement avec la monstrueuse politique issue de la seconde guerre mondiale, il y a 72 ans.

    Tiens, ne fut-ce pas le temps qu’il fallut à l’URSS pour s’effondrer ?

    Georges Clément

    Comité Trump France

    Le 13 janvier 2017

  • Jules César et la destruction du bois sacré de Marseille

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    Notre éducation en latin a été complètement ratée. Fastidieuse, quantitative, elle n’a servi qu’à de la sélection petite-bourgeoise : tu seras bon en maths et en latin, ou tu ne seras bon qu’en latin. On a été incapable, et pendant des générations (redécouvrez ce qu’en dit déjà notre Gustave le Bon dans sa Psychologie de l’éducation), de nous faire ressentir le charme et la profondeur des œuvres des grands génies de l’humanité. Mais c’est comme ça.

    C’est ainsi que je n’ai jamais pu discuter avec personne du chant VI de l’Enéide, des Fastes d’Ovide, de la Germanie de Tacite ou du songe de Scipion décrit par Cicéron. Mon ami Richer prof à la Sorbonne me dit d’ailleurs que les textes sont oubliés. On fait confiance à l’archéologie sous bonne garde informatique pour réécrire l’histoire.

    Grâce à une page de l’historien Venceslas Kruta j’ai redécouvert Lucain et sa Pharsale, Lucain rival et martyr de Néron. Comme chez Tolkien on y trouve un bois sacré, que va détruire César. Il est situé près de Massilia, ville alors phocéenne et prestigieuse pour sa résistance à César.

    Je laisse la parole à Lucain (Pharsale, chant III, vers 400-430 environ) :

    « Non loin de la ville était un bois sacré, dès longtemps inviolé, dont les branches entrelacées écartant les rayons du jour, enfermaient sous leur épaisse voûte un air ténébreux et de froides ombres. Ce lieu n’était point habité par les Pans rustiques ni par les Sylvains et les nymphes des bois. Mais il cachait un culte barbare et d’affreux sacrifices. Les autels, les arbres y dégouttaient de sang humain ; et, s’il faut ajouter foi à la superstitieuse antiquité, les oiseaux n’osaient s’arrêter sur ces branches ni les bêtes féroces y chercher un repaire ; la foudre qui jaillit des nuages évitait d’y tomber, les vents craignaient de l’effleurer. Aucun souffle n’agite leurs feuilles ; les arbres frémissent d’eux-mêmes.

    Lucain poursuit :

    « Des sources sombres versent une onde impure ; les mornes statues des dieux, ébauches grossières, sont faites de troncs informes ; la pâleur d’un bois vermoulu inspire l’épouvante. L’homme ne tremble pas ainsi devant les dieux qui lui sont familiers. Plus l’objet de son culte lui est inconnu, plus il est formidable. »

    On pense aux bois de Tolkien. Chez Dante aussi il y a des arbres qui saignent en enfer. Je les cite dans mon livre sur Tolkien :

    « Comme on aura compris, Dante arrive donc avec Virgile dans une forêt très obscure (nous sommes au chant XIII de l’Enfer). Dans un univers encore plus terrifiant, il dialogue avec des arbres, et il comprend le drame sanglant de ces troncs qui sont des âmes de suicidés punis :

    « Ainsi que le bois vert pétille au milieu des flammes, et verse avec effort sa sève qui sort en gémissant, de même le tronc souffrant versait par sa blessure son sang et ses plaintes. Immobile, et saisi d’une froide terreur, je laisse échapper le rameau sanglant… Quand une âme furieuse a rejeté sa dépouille sanglante, le juge des Enfers la précipite au septième gouffre : elle tombe dans la forêt, au hasard ; et telle qu’une semence que la terre a reçue, elle germe et croît sous une forme étrangère. Arbuste naissant, elle se couvre de rameaux et de feuilles que les harpies lui arrachent sans cesse, ouvrant ainsi à la douleur et aux cris des voies toujours nouvelles… Chacune traînera sa dépouille dans cette forêt lugubre, où les corps seront tous suspendus : chaque tronc aura son cadavre (chant XIII de l’Enfer)… »

    On repart sur Lucain (toujours chant III de la Pharsale, si importante pour mieux connaître la Gaule) :

    « Les antres de la forêt rendaient, disait-on, de longs mugissements ; les arbres déracinés et couchés par terre se relevaient d’eux-mêmes ; la forêt offrait, sans se consumer, l’image d’un vaste incendie ; et des dragons de leurs longs replis embrassaient les chênes. Les peuples n’en approchaient jamais. Ils ont fui devant les dieux. Quand Phébus est au milieu de sa course, ou que la nuit sombre enveloppe le ciel, le prêtre lui-même redoute ces approches et craint de surprendre le maître du lieu. »

    On a ainsi les dragons et l’Apollon hyperboréen.

    Mais survient César (lisez la Vie de Suétone pour rire un peu de lui). Il va agir comme le Saroumane de Tolkien, comme un agent du Mordor :

    « Ce fut cette forêt que César ordonna d’abattre, elle était voisine de son camp, et comme la guerre l’avait épargnée, elle restait seule, épaisse et touffue, au milieu des monts dépouillés. »

    Mais César persiste, et dans sa cruauté mathématique et inflexible :

    « à cet ordre, les plus courageux tremblent. La majesté du lieu les avait remplis d’un saint respect, et dès qu’ils frapperaient ces arbres sacrés, il leur semblait déjà voir les haches vengeresses retourner sur eux-mêmes. »

    César prend même le risque de défier les divinités et de se maudire pour détruire le bois sacré :

    « César voyant frémir les cohortes dont la terreur enchaînait les mains, ose le premier se saisir de la flache, la brandit, frappe, et l’enfonce dans un chêne qui touchait aux cieux. Alors leur montrant le fer plongé dans ce bois profané : « Si quelqu’un de vous, dit-il, regarde comme un crime d’abattre la forêt, m’en voilà chargé, c’est sur moi qu’il retombe. » Tous obéissent à l’instant, non que l’exemple les rassure, mais la crainte de César l’emporte sur celle des dieux. »

    Lucain oublie les sacrifices humains et redevient lyrique :

    « Aussitôt les ormes, les chênes noueux, l’arbre de Dodone, l’aune, ami des eaux, les cyprès, arbres réservés aux funérailles des patriciens ; virent pour la première fois tomber leur longue chevelure, et entre leurs cimes il se fit un passage à la clarté du jour. Toute la forêt tombe sur elle-même, mais en tombant elle se soutient et son épaisseur résiste à sa chute.
    à cette vue tous les peuples de la Gaule gémirent
    … le laboureur consterné vit dételer ses taureaux, et, obligé d’abandonner son champ, il pleura la perte de l’année. »

    Mais le destin malheureux de la forêt sacrée est de toute manière fait de destruction :

    « Les bois sacrés tombent, dit Lucain, et les forêts sont dépouillées de leur force… »

    (Procumbunt nemora et spoliantur robore silvae)

    Notre Ronsard s’en souviendra à sa gentille manière (Ecoute bûcheron…).

    On citera le magicien Tacite pour terminer :

    « Emprisonner les dieux dans des murailles, ou les représenter sous une forme humaine, semble aux Germains trop peu digne de la grandeur céleste. Ils consacrent des bois touffus, de sombres forêts ; et, sous les noms de divinités, leur respect adore dans ces mystérieuses solitudes ce que leurs yeux ne voient paslucos ac nemora consecrant, deorumque nominibus appellant secretum illud, quod sola reverentia vident... »).

    Bibliographie

    • Bonnal – Le salut par Tolkien, éditions Avatar, p. 96 (disponible ici)
    • Dante – Enfer, chant XIII
    • Kruta – Les Celtes, histoire et dictionnaire (Bouquins – Robert Laffont)
    • Lucain – La Pharsale, III (sur Remacle.org)
    • Suétone – Vie de César (sur Wikisource)
    • Tacite – Germanie, IX

    VOXNR - 16.01.17

  • Aisne : une octogénaire violée et torturée chez elle, deux jeunes hommes mis en examen

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    >Faits divers|15 janvier 2017, 17h58|8

    Selon le journal L'Union, les faits se sont produits dans cette maison, domicile de la victime de 88 ans.

    Capture d'écran Google Street View
     
      
     
    Faits diversAisneChâteau-ThierryViolAgression
     

    Une femme de 88 ans a subi un véritable calvaire à son domicile de Château-Thierry. Elle a été hospitalisée dans un état grave, mais ses jours ne seraient plus en danger.

    Deux jeunes hommes ont été mis en examen dimanche après-midi pour «viol et vol accompagnés d'actes de torture et de barbarie» sur une octogénaire à Château-Thierry (Aisne), dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris de source judiciaire.

     

    La victime, une femme de 88 ans vivant dans une maison située sur les bords de la Marne, dans une rue proche du centre-ville mais peu passante, avait d'abord alerté jeudi la gendarmerie après avoir découvert à son domicile un blouson et des outils qui ne lui appartenaient pas, a relaté le procureur de Laon, Baptiste Porcher. Le lendemain matin, prévenue par un voisin qui avait constaté que la porte d'entrée était ouverte, la police avait ensuite trouvé l'octogénaire «bien mal en point, blessée à de nombreux endroits, sous un meuble».

     

    Des actes de torture et de barbarie constatés

     

    La victime n'a pu être entendue et se trouvait toujours en réanimation à l'hôpital, mais son pronostic vital n'était pas engagé, a précisé le procureur. La qualification de «viol accompagnés d'actes de torture et de barbarie» se base sur les nombreux hématomes et traces de sévices immanquablement liées à un viol retrouvées sur le corps de la victime.

     

    Moins de 24 heures après l'agression, deux jeunes hommes connus des services de police, âgés de 23 et 24 ans, dont l'un est originaire des environs de Château-Thierry, ont été interpellés. En garde à vue, l'un des mis en cause a nié avoir été présent chez l'octogénaire, tandis que le second l'a reconnu, tout en niant les faits reprochés. Le parquet a requis le placement en détention provisoire.

    Le Parisien

  • François Fillon officiellement investi par les LR met les points sur les i

    http://www.francetvinfo.fr/politique/les-republicains/francois-fillon-officiellement-investi-il-met-les-points-sur-les-i_2018168.html

    + VIDEO

     

     

  • Francis Jammes (1868-1938)

    J'aime l'âne si doux



    J'aime l'âne si doux
    marchant le long des houx.
    Il a peur des abeilles
    et bouge ses oreilles.
    Il va près des fossés
    d'un petit pas cassé.
    Il réfléchit toujours
    ses yeux sont de velours.
    Il reste à l'étable
    fatigué, misérable.
    Il a tant travaillé
    que ça vous fait pitié.
    L'âne n'a pas eu d'orge
    car le maître est trop pauvre.
    Il a sucé la corde
    puis a dormi dans l'ombre.
    Il est l'âne si doux
    marchant le long des houx....

     

    Francis Jammes

     

  • «Porte ouverte aux terroristes» : un journaliste raconte son infiltration dans les centres d'asile

    https://francais.rt.com/international/32299-porte-ouverte-terroristes-journaliste-raconte-son-infiltration-dans-centres-dasile

     

  • Le chef de la sécurité de l’investiture de Trump sera limogé en plein milieu de celle-ci

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    12h50

     

    Le départ du général-major Errol R. Schwartz aura lieu au milieu de la cérémonie présidentielle — classée «événement national exceptionnel» au point de vue de la sécurité — alors que des milliers de ses hommes seront déployés afin de protéger la capitale durant une investiture à la planification de laquelle il a contribué depuis des mois.
    «Le timing est extrêmement inhabituel», a déclaré Schwartz dans une interview vendredi matin, confirmant un mémo annonçant son limogeage obtenu par le Washington Post. Pendant l’investiture, Schwartz doit commander non seulement la Garde nationale mais également 5000 troupiers sans armes arrivés en renfort de tout le pays. Il doit également superviser le soutien de l’armée de l’air protégeant Washington durant l’investiture.
    «Mes troupes seront dans la rue», a dit Schwartz, qui a 65 ans depuis octobre. «Je les verrai sortir, mais je ne pourrai pas les accueillir à leur retour en caserne.» Il a déclaré qu’il «n’aurait jamais envisagé d’abandonner une mission au cœur de la bataille».

    Washington Post