https://francais.rt.com/international/31988-golden-globes-discours-tres-politique
Meryl Streep, actrice, 67 ans, soutien d'Hillary Clinton
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Meryl Streep, actrice, 67 ans, soutien d'Hillary Clinton
merci à Dirk
Les employés de Ford ont salué la promesse du groupe américain de renoncer à construire une usine au Mexique, pour investir dans une installation déjà existante dans le Michigan (nord des États-Unis) et y créer 700 emplois.
Par Philippe Gélie
Mis à jour le 08/01/2017 à 19h47
Le républicain sera officiellement investi 45e président des États-Unis le 20 janvier 2017. Seul l'ambassadeur français à Washington sera présent.
De notre correspondant à Washington
Aucun responsable politique français n'assistera dans la tribune officielle à l'investiture de Donald Trump le 20 janvier prochain à Washington. Ainsi le veut la coutume d'un événement essentiellement national - épargnant sans doute bien des états d'âme au gouvernement socialiste de François Hollande.
Les invitations à la prestation de serment sont distribuées par l'entourage du président élu, l'Administration sortante et les élus du Congrès. Jusqu'à un million de tickets a été émis, de cinq couleurs (vert, orange, jaune, bleu et argent) correspondant à un positionnement au pied du Capitole. Les militants républicains venus des 50 États forment le gros des invités.
Les ambassadeurs des 180 pays représentés à Washington sont conviés, mais généralement pas leurs dirigeants, à l'exception des deux voisins, le Canada et le Mexique. Cette année, le premier ministre Justin Trudeau a déjà annoncé qu'il serait occupé ailleurs. Et il n'est pas avéré que le président Enrique Pena Nieto vienne applaudir celui qui veut lui faire payer un mur de 10 milliards de dollars sur sa frontière.
L'ambassadeur de France, Gérard Araud, qui sera présent, a reçu ces dernières semaines une demande d'un responsable politique français pour en être. Non sans peine, il lui a trouvé une place auprès d'un représentant américain dont l'épouse ne pouvait assister à la cérémonie, mais l'intéressé (que l'ambassadeur refuse de nommer) s'est finalement ravisé. Araud, qui avait réagi à la victoire de Trump par un tweet depuis effacé - «Un monde s'effondre devant nos yeux» - a également été sollicité par le comité d'investiture pour organiser une «party» à sa résidence, ce qu'il fera le 19 janvier.
Marion Maréchal-Le Pen, qui s'était vantée de ses connexions avec le conseiller stratégique de Trump, Steve Bannon, a-t-elle reçu une invitation? Son compère de l'Ukip Nigel Farage, proche de Donald Trump, a dû passer par le gouverneur du Mississippi, Phil Bryant, pour s'assurer une place à la tribune. Certains médias assurent que Jared Kushner, le gendre du président, fait «le forcing» pour avoir le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Il n'est pas rare que des personnalités étrangères se vantent d'être «invitées à l'investiture», quand il ne s'agit le plus souvent que d'un événement privé organisé autour de la cérémonie - et des centaines sont prévus. Milorad Dodik, le président de la République serbe de Bosnie, a ainsi montré une invitation sur un plateau de télévision en suggérant qu'il était le seul dirigeant des Balkans à avoir reçu cet honneur. Il s'agissait en fait d'un bal privé orchestré par des militants du Tea Party, ne lui donnant pas droit à un visa diplomatique.
Le Figaro
Le 20 janvier, le président élu des États-Unis se prêtera à la traditionnelle cérémonie d'investiture avec comme point d'orgue son adresse à la nation, véritable pierre angulaire du mandat à venir.
Le déroulé. L'Inauguration Day prévu le 20 janvier est l'un des rituels les plus importants et les plus symboliques de la démocratie américaine. Les différentes étapes de l'investiture ont varié selon les époques. Aujourd'hui, la cérémonie, très ritualisée, dont l'origine remonte à 1789, s'articule autour de cinq moments clés: d'abord la prestation de serment sur les marches du Capitole, face à la foule rassemblée sur le Mall. Puis l'adresse du président à la nation, à midi, entrecoupées de différents discours, chants, prestations et prières. Vient ensuite un traditionnel déjeuner au Capitole suivi en début d'après-midi par un défilé sur la Pennsylvania Avenue. La journée se clôture enfin sur les très prisés bals d'investiture organisés dans toute la capitale. Le couple présidentiel prévoit d'assister à seulement deux galas.
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Le discours. La rédaction incombe cette année principalement à Stephen Miller. Le jeune Californien, ancien conseiller du futur ministre de la Justice Jeff Sessions, avait déjà signé le discours de Donald Trump à la convention du parti républicain. L'historien Douglas Brinkley ou encore son proche conseiller Stephen Bannon ont aussi été sollicités. La rédaction du texte a déjà occupé le candidat pendant une bonne partie des fêtes de fin d'année. L'enjeu est de taille tant le discours d'investiture donne le la de la présidence à venir. Il permettra aussi de jauger la capacité du président élu à élargir l'horizon des Américains.
Les invités. L'usage veut que les anciens présidents assistent à la cérémonie. Trois d'entre eux seront au Capitole pour voir Donald Trump prêter serment: Jimmy Carter, Bill Clinton et George W. Bush. Le père de ce dernier, 92 ans, s'est fait porter pâle. Six responsables religieux ont également été invités à lire une prière ou un texte. Donald Trump peine davantage à trouver des artistes. Andrea Bocelli ou encore la star de la country Garth Brooks auraient ainsi décliné l'invitation. Et le membre d'une chorale a préféré démissionner pour ne pas avoir à chanter. Une danseuse des Rockettes, également invitée, a ouvertement critiqué la participation de la troupe à l'événement.
LIRE AUSSI - Investiture de Donald Trump: polémique sur les danseuses choisies pour sa cérémonie
VIDÉO - Jackie Evancho, 16 ans, ex-candidate d'«America's Got Talent», chantera l'hymne national.
(NdB: vidéo supprimée sur Youtube)
Pour l'heure, une chose est sûre: Jackie Evancho, 16 ans, ex-candidate d'un télécrochet, succédera à Aretha Franklin et à Beyoncé, invitées par Barack Obama en 2009 et 2013, pour interpréter l'hymne national. «Les soi-disant célébrités renommées veulent toutes leur ticket pour l'inauguration, mais regardez ce qu'ils ont fait pour Hillary, rien. Je veux le peuple», a réagi Donald Trump sur Twitter.
La sécurité. En tout, quelque 13.000 militaires et membres de la Garde nationale seront déployés pour sécuriser la capitale. Coût de l'opération selon le New York Times : 100 millions de dollars. Toujours pour raison de sécurité, l'idée un temps avancée d'ouvrir les portes de la Maison-Blanche a dû être abandonnée. D'autant que la journée s'annonce agitée à Washington, notamment à cause des anti-Trump. Pas moins de 23 permis de manifester ont été déposés. Une grande marche sur Washington pour les droits des femmes est aussi prévue dès le lendemain de l'investiture sur le modèle de celle des droits civiques d'août 1963. Plus de 240.000 personnes prévoient d'y participer.
Le coût. En 2009, le coût de l'Inauguration Day s'était élevé à quelque 170 millions de dollars. Quatre ans plus tard, Barack Obama avait préféré baisser la voilure et autorisé qu'une partie des frais soit assurée par des entreprises privées. Près de 53 millions de dollars avaient été collectés pour payer les festivités. Donald Trump espère, lui, lever entre 65 et 75 millions de dollars. Avis aux amateurs: d'après CNN, il faut compter entre 25.000 et un million de dollars pour assister au défilé, danser lors du bal et participer à un «dîner aux chandelles» en présence du vice-président et du président tout fraîchement investis.
Le Figaro
Regardez et écoutez...
Ecoutez bien!
* Les heures les plus sombres de l’histoire
Un incroyable succès de librairie. Depuis sa sortie en janvier dernier, la nouvelle édition commentée du manifeste d’Hitler en est à sa sixième édition. D’après son éditeur, cet engouement ne serait pas lié à la montée sans précédent outre-Rhin de l’AfD, le parti populiste de droite.
Il y a un an, le manifeste d’Hitler, tombé dans le domaine public, était réédité. C’était la toute première fois depuis 1945. Avant même sa sortie en librairie, le premier tirage de cette édition commentée, soit 4.000 exemplaires, était épuisé. Un incroyable succès de librairie s’annonçait.
Depuis, 85.000 exemplaires ont été écoulés, a indiqué aujourd’hui l’Institut d’histoire contemporaine (IfZ) de Munich qui publie cet ouvrage. On en est même à la sixième édition !
Le texte original d’Hitler a été assorti de 3 500 notes historiques explicatives afin d’éviter son utilisation à des fins de propagande nazie, mais des critiques s’inquiétaient néanmoins de la sortie de ce livre en deux tomes totalisant quelque 2.000 pages. Ilona, libraire à Prenzlauer Berg, dans un quartier de Berlin ne comprend pas cet engouement.
Pour la plupart revenus des Centres d’accueil et d’orientation où ils avaient été conduits après le démantèlement de la «Jungle», les migrants construisent de nouveaux camps plus discrets, dans des conditions toujours très précaires.
Plusieurs centaines de clandestins sont revenus dans le Calaisis, quelque deux mois après le démantèlement de la «Jungle» à la fin du mois d’octobre dernier, affirme The Independent. Selon le journal britannique, ils sont installés dans six campements situés en zone rurale, à l’écart des grands axes, dans des baraquements de fortune – et leur nombre est en constante augmentation depuis quelques jours.
Un grand nombre d’entre eux sont des mineurs dont la demande d’asile a été rejetée par l’administration britannique : après avoir été répartis dans des Centres d’accueil et d’orientation (CAO), ils ont donc décidé de traverser la France pour tenter à nouveau leur chance à Calais.
«Il y a de plus en plus de gens qui reviennent, et rien que cette semaine, ce sont plusieurs dizaines d’entre eux qui sont arrivés ; ça ne peut que continuer et s’accélérer», estime Julien Muller, bénévole de l’association Terre d’errance, qui intervient dans l’un de ces «camps secrets» situé à Norrent-Fontes, à 70 kilomètre de Calais. Environ 130 personnes y vivent, et s’il existe en réalité depuis 2008, c’est depuis le démantèlement de la «Jungle» qu’il a commencé de s’accroître.
(…)
Merci à oxoxo
Des tubes de dentifrice, des sacs de couchage, des bouteilles en plastique écrasées… Deux mois après son démantèlement, la « Jungle » n’est toujours pas propre. Rien de catastrophique mais les restes du camp de migrants sont encore bien visibles. En parcourant les 40 hectares désormais déserts, on s’aperçoit que le site est encore loin d’avoir retrouvé son aspect originel.
L’établissement public propriétaire des 20 hectares de la moitié nord de la lande, va lancer un appel aux volontaires pour enlever le plus gros des détritus qui jonchent encore le sol du site. « Il s’agit de permettre aux habitants de se réapproprier les lieux à travers une opération citoyenne », estime Loïc Obled, délégué Manche-mer du Nord au Conservatoire du littoral. Mais ce sera une opération symbolique. »
Natacha Bouchart, maire de Calais, n’est pas contre cette idée de faire participer les habitants au nettoyage : « Le Conservatoire du littoral a l’habitude de faire participer les habitants à ses actions, alors pourquoi pas », a-t-elle expliqué dans La Voix du Nord.
Quelques minutes à peine après l’arrivée de la délégation française à l’aéroport d’Alep, vers 15h ce samedi 7 janvier, un obus s’est écrasé sur tarmac de l’aéroport. À tout juste 200 mètres de l’impact, trois députés français, Thierry Mariani (LR), Nicolas Dhuicq (LR) et Jean Lassalle (MoDem) se trouvaient dans le hall de l’aéroport réservé aux personnalités au moment de l’explosion. Les officiels présents dans l’aéroport d’Alep ont immédiatement été confinés par les militaires syriens.
Deux nouveaux obus ont explosé par la suite à proximité de l’aéroport avant que la chasse et l’artillerie de l’armée syrienne ne répliquent. Pendant une longue attente ponctuée par des déflagrations, Thierry Mariani a fumé cigarette sur cigarette pour tromper l’angoisse, rapporte notre envoyé spécial auprès de la délégation française.
Une fois le calme revenu, le Tupolev du gouvernement syrien a finalement pu décoller dans l’après-midi, toute lumière éteinte, pour rallier Damas. L’aéroport d’Alep est officiellement fermé depuis plusieurs années et la venue de la délégation française devait rester confidentielle. Si rien ne permet encore de penser que la délégation française était directement visée les autorités françaises et syriennes s’interrogent sur l’étrange coïncidence entre cette attaque et la venue des trois députés français.
RTL
http://www.fdesouche.com/808031-etats-unis-fusillade-dans-un-aeroport-de-floride-plusieurs-victimes
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