Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 230

  • Demandeurs d'asile: la France sous pression

    http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/2016/12/27/01016-20161227ARTFIG00180-demandeurs-d-asile-la-france-sous-pression.php

    + Infographie détaillée

    XVM326520ca-cc5a-11e6-b990-105344b97ab7.jpg retour à Calais.jpg

     

  • A Beaucaire, le maire FN crée une rue "du Brexit"

    Par Guillaume Descours
    Mis à jour le 27/12/2016 à 16h43 | Publié le 27/12/2016 à 12h56

    LE SCAN POLITIQUE - L'élu a voulu rendre hommage au choix des Britanniques de sortir de l'Union européenne. L'artère ainsi nommée côtoie la rue Robert-Schumann et l'avenue Jean-Monnet, deux des pères fondateurs de l'UE.

    La ville de Beaucaire, dans le Gard, a choisi de nommer une artère de la commune «rue du Brexit». Cette décision a été prise le 21 décembre dernier lors d'un conseil municipal, par 23 voix contre 9. Un nom de rue qui rend «hommage au choix du peuple britannique qui a voté en faveur d'une sortie de l'Union européenne l'été dernier» explique le maire Front national de la ville, Julien Sanchez, contacté par Le Figaro.

     

    La rue en question était sans nom depuis plusieurs années. Elle est «située dans une zone industrielle. Nous avons voulu rester dans la thématique du quartier qui est celle de l'Europe», reprend le maire. Paradoxalement, cette rue du Brexit sera adjacente à la rue Robert-Schumann et à l'avenue Jean-Monnet. Deux hommes considérés comme des fondateurs de l'Union européenne. Pour autant, Julien Sanchez n'y voit aucune provocation et ne craint pas un recours devant le tribunal administratif qui pourrait être soulevé dans un délai de deux mois. «Même s'il y a un recours il n'a aucune chance de l'emporter. On n'a pas créé une rue Pol Pot ou Klaus Barbie. On a simplement choisi de rendre hommage à un peuple souverain et à des dirigeants qui ont assumé leurs responsabilités», déclare le maire frontiste.

    Consternation de l'opposition

    À l'opposé, les élus d'opposition ont fait part de leur consternation. «C'est une provocation de plus. Le maire avait pour but de faire parler et de distiller son idéologie. C'est réussi. À ma connaissance il n'y aura pas de recours car le nom de cette rue ne remet pas en cause la tranquillité publique», a indiqué Stéphane Linossier, président de l'association Réagir pour Beaucaire.

    La rue qui devrait être inaugurée d'ici «trois semaines à un mois», a été bien accueillie outre-Manche. Selon le maire, la municipalité a reçu de nombreux messages de remerciement. Du côté de la population beaucairoise, le nom de la rue n'a pas soulevé de débat, expliquent aussi bien l'édile que le président de l'association. «Beaucaire est une terre d'eurosceptiques», explique Julien Sanchez. Lors du référendum du 29 mai 2005 sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, le non avait obtenu 72,3% des voix dans la ville du Gard.


    À VOIR AUSSI - Nicolas Bay se félicite du vote favorable des Britanniques au Brexit:

  • Paris: Une crèche contemporaine à l'église de la Madeleine

    http://www.leparisien.fr/paris-75008/paris-la-creche-contemporaine-de-l-eglise-de-la-madeleine-fait-sensation-28-12-2016-6502986.php

    NdB: une nouvelle oeuvre "contemporaine" qui fait horreur! Aussi laide qu'anti-chrétienne!

  • JOURNAL TVL DU 27/12/16

  • Gilles-William Goldnadel revient sur l'attentat contre le marché de Noël de Berlin. Pour lui, cette tragédie révèle une nouvelle fois «la candeur occidentale» face à l'islamisme.

    FIGAROVOX/CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel revient sur l'attentat contre le marché de Noël de Berlin. Pour lui, cette tragédie révèle une nouvelle fois «la candeur ocidentale» face à l'islamisme.


    Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain. Il est président de l'association France-Israël. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox.


    À longueur d'articles, je professe l'idée , assez ingrate, que notre environnement politico-médiatique relève, littéralement, de la psychopathologie collective. Autrement dit souffre d'une folie post-traumatique héritée du choc de la deuxième guerre mondiale.

    La consternante tragédie autour du massacre du marché de Noël de Berlin apporte, une fois de plus, la triste démonstration comportementale d'une candeur occidentale maladive , en quatre actes dignes d'une mauvaise farce .

    Acte 1. Assassin et réfugié. Il s'appelle Anis Arsi. Il quitte sa Tunisie au moment où son dictateur Ben Ali en est chassé par une révolution du jasmin dont le parfum printanier arabique exhale de ses odeurs enivrantes les narines progressistes extatiques. Comme réfugié migrant ayant droit au bénéfice d'un droit d'asile obligatoire, on pouvait trouver mieux.

    Connaissant la triste mélopée à seriner à l'oreille des benêts, il se prétend mensongèrement mineur non accompagné. Pour témoigner de sa gratitude aux siciliens dont chacun loue la chrétienne hospitalité, il poursuit ce qu'il n'a jamais cessé: le vol. Il n'est pas pour si peu renvoyé dans son pays.

    Acte 2. L'Allemagne nouvelle et généreuse. Il y poursuit ses activités volantes sans désemparer. Les autorités fédérales, un peu lasses de ses pratiques, demande à la Tunisie de leur confirmer qu'il est bien un de leurs compatriotes.

    Les autorités de Tunis, conformément semble-t-il à un comportement fréquent, le nient effrontément . Elles le reconnaitront comme compatriote immédiatement après le massacre… Au reste, l'expulsion du délinquant d'habitude se serait révélée aléatoire. Bien que les fonctionnaires germaniques s'efforcent de faire admettre que les pays du Maghreb sont des contrées de retour «sûres» pour les expulsés, au sens juridique du droit d'asile, les députés Verts allemands le contestent au regard de la situation des homosexuels en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Arrêt sur cette image de la névrose islamo-gauchiste: les mêmes qui minimisent ordinairement l'islamohomophobie pour ne pas être islamophobes, la surestiment extraordinairement pour empêcher l'expulsion des islamistes et des délinquants. Folie douce.

    Mais Anis Arsi, le futur assassin en série, n'est pas seulement un délinquant récidiviste, il est constamment dans le viseur de l'antiterrorisme allemand, au regard de ses fréquentations djihadistes. En raison d'un juridisme étroit et culpabilisé, il ne sera pas inquiété pour autant et pourra commettre le massacre des innocents en toute tranquillité. Folie dangereuse.

    Acte 3. La fuite. Un ministre Vert de Hambourg du nom de Till Steffen décide de retarder l'avis de recherche du bourreau de Berlin, pour ne pas «stigmatiser» les musulmans. On aurait tort de se moquer du Vert d'outre-Rhin. Nos rouges bien de chez nous ne valent pas mieux. De M. Hamon qui explique doctement que les femmes de Trappes sont interdites de café en raison «d'une tradition ouvrière» à mademoiselle Autain qui va boire un coup dans un bar strictement garanti sans femme pour prouver qu'il y en a au moins une.

    Suite et fin de la cavale de notre Anis. Il est mis, enfin, hors d'état de nuire dans une rue de Milan. Notre ministre de l'intérieur diplômé, mais certainement pas de géographie, appelle à la plus grande prudence ceux qui prétendent, pour illustrer la porosité des frontières nationales en période d'alerte maximale, qu'il serait passé sans encombre par notre pays. C'est donc que Chambéry, où il a été repéré, n'est plus en France, par décret ministériel.

    Acte 4. La morale médiatique pavlovienne en fond sonore. Il est grandement à craindre que ce sur quoi je suis en train d'ironiser, sans doute pour exorciser ma tristesse et ma colère, sera dénué de toute portée curative.

    À chaque tuerie, une analyse clinique des causes évidentes et indiscutées, devenu rituelle, est rapidement oubliée. C'est tellement loin, le Bataclan, l'hyper kasher, Nice, Saint-Pierre du rouvrais… demain Berlin sera lointain.

    Les commentaires médiatiques pendant que l'assassin de Berlin courait encore et qu'on ignorait son identité, comme à chaque fois, étaient davantage dirigés contre ceux qui mettaient en cause la dangerosité du phénomène migratoire, que vers l'assassin ou ses victimes. Sauf lorsqu'il s'agissait d'admirer la lueur vacillante d'une bougie.

    Malheur à ceux qui avaient, un peu vite, tirer argument de l'arrestation d'un afghan innocent. Après tout, on pouvait encore espérer peut-être quelque chose de l'extrême droite allemande...

    L' Obs restait toujours aux aguets. Le pauvre ne s'était toujours pas remis de cet article du 5 août 2015 intitulé doctement: «huit idées reçues sur les migrants» parmi lesquelles, à combattre sans répit, la sotte selon laquelle ils seraient «peu éduqués» et surtout celle, encore plus monstrueusement fausse, qu'il y aurait «des terroristes parmi eux».

    Un argument ,subsidiaire, était distillé sans grande modération. Les migrants n'étaient pas toujours responsables des derniers attentats.

    La preuve indiscutable: à côté de ceux responsables, il est vrai, de certains attentats en France comme en Allemagne, il y avait aussi les Merah, les Nemmouche, les Coulibaly, les Kouachi…

    Admirez , je vous prie, l'argument. Presque patriotique. Défense de craindre la migration islamique ou de s'en plaindre, puisque l'immigration islamique, mais de facture française, est également responsable des autres attentats. On peut donc encourager la première sans appréhension pour renforcer la seconde sans prévention.

    Malheur encore à ceux qui avaient le goût abject de vouloir, tels des vautours au-dessus d'un cadavre, «récupérer» l'attentat de Berlin pour en tirer, une nouvelle fois, une leçon politique.

    On peut, on doit conclure à la montée du racisme lorsqu'un comorien est jeté dans la Seine. On peut, on doit conclure à la montée dangereuse de l'extrême droite lorsque Clément Meric meurt dans une rixe entre fascistes bruns et fascistes rouges. On peut, on doit conclure à la brutalité étatique lorsque le manifestant Rémi Fraisse est tué involontairement par une grenade. On peut, on doit exiger immédiatement, on obtient, la fermeture des centrales nucléaires au lendemain de la catastrophe de Fukushima, au nom du principe de précaution. Mais interdiction de conclure à la dangerosité de migrants manipulés par l'État islamique, à la suite d'un énième attentat, sous peine d'une immonde récupération .

    Voilà pourquoi, les corps des innocents de Berlin, à peine ensevelis dedans la terre froide, on peut d'ores et déjà le prophétiser, ne seront pas les derniers. Le comportement largement inconscient et désormais automatique d'un personnel politique et médiatique d'une candeur maladive revient à abandonner les populations à une insécurité physique et sociétale confondante.

    Il en faudra encore du temps, des morts et des combats pour que l'islamo-gauchisme névrotique soit clairement diagnostiqué pour ce qu'il est: Une perversion masochiste occidentale alimentant une hystérie sadique et paranoïaque orientale.

  • La folle cavale meurtrière de Fissenou S. entre la Drôme et le Vaucluse.

    2f6a1b541120e8da3299daff9cfd09fa47d2042b.jpg

    http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/4257963/la-folle-cavale-meurtriere-de-fissenou-s-entre-la-drome-et-le-vaucluse.html

    fissenou.jpg

    fissenous.jpg

  • Marine Le Pen, personnalité politique préférée des Français !

    15542306_1580760385273613_5360046806341340048_n.png

     

    C’est un pavé dans la mare du politiquement correct qui risque de faire déborder les limites de la bien-pensance.

    Juriste
     
     
     
    13.7k
     

    Le classement IFOP des personnalités préférées des Français, c’est l’aristocratie médiatique qui distribue ses quartiers de noblesse pour ordonner au quidam que nous sommes devant quelles personnalités s’extasier. Le temps d’une année.

    1.000 personnes « dites « représentatives » de la population de plus de 15 ans ont été interrogées.

    Reste à savoir ce que « représentatif » veut dire. À moins que tout soit dans le « représentatif ».

    Parmi une série de 50 personnalités françaises présélectionnées selon le principe de l’autosuggestion, la personne sondée doit répondre à la question : « Quel(le)s sont, parmi les personnalités suivantes, les dix Français(es) qui comptent le plus pour vous aujourd’hui, et que vous trouvez les plus sympathiques ? »

    Yannick Noah a dominé ce classement neuf fois consécutivement de 2007 à 2012 et dix fois au total. Yannick Noah : il est cool et sympa, beau gosse et métis, et puis, en cas de victoire de Marine Le Pen, il a dit « qu’il quitterait la France ».

    Sauf qu’il a quitté le classement et que Marine Le Pen vient d’y faire une entrée fracassante.

    Ce qui fait dire à nos médias pour le reste de l’année à venir qu’Omar Sy, frère de lait de Yannick et de la France multiculturelle, reste « la personnalité préférée des Français », enfin… des 1.000 interrogés pour l’occasion.

    Seulement voilà, la vague était trop forte et Marine Le Pen se hisse direct à la 37e place du classement.

    Elle devient ainsi, selon l’équation IFOP annuelle, la personnalité politique préférée des Français.

    De là à y voir un signe à l’aube de cette grande année électorale et c’est un pavé dans la mare du politiquement correct qui risque de faire déborder les limites de la bien-pensance.

    D’autant que la présidente du Front national arrive devant François Fillon, vainqueur de la primaire à droite (42e), Emmanuel Macron, ballon de baudruche médiatique, encore jamais élu mais candidat à l’élection suprême (46e) et tout devant Jean-Luc Mélenchon.

    Ce n’est pas une révolte c’est une révolution.

     Et les médias d’être mauvais joueurs. Car Marine Le Pen progresse dans l’opinion, même sous le prisme des sondages d’opinion à crédibilité variable.

     En octobre dernier, selon le baromètre Elabe, son taux d’opinions favorables atteignait 29 %, son plus haut niveau depuis janvier 2015, ce qui la fit entrer dans le Top 5 des personnalités politiques préférées. Mais c’est la faute au « climat ambiant », dixit Yves-Marie Cann, directeur des études politiques d’Elabe. Pas de bol, la météo lui serait donc favorable.

    Et le site Internet LCI (24 décembre) tente une réassurance à l’intention des lecteurs qui pourraient s’effrayer de cette montée en puissance de Dame Le Pen et titre « La présidente du FN fait son entrée à la 37e place du traditionnel palmarès des personnalités préférées des Français. Devançant les Fillon, Macron et Mélenchon, elle reste cependant encore très décriée ».

    On apprend ainsi, en fin d’article, que la fille de Jean-Marie Le Pen – référence généalogique peu flatteuse dans le dictionnaire des médias – « repousse autant qu’elle séduit »… Formule creuse et sans consistance visant à rassurer l’auteur. Et à effrayer le lecteur.

    Le système médiatique d’autocongratulation s’enraye donc quand les sondages d’opinion donnent la parole à l’opinion. En attendant, Marine Le Pen s’installe dans le paysage politique des Français car « elle compte et qu’elle est sympathique » (dixit) au point d’en bousculer les lignes imposées de l’arroseur arrosé.

    De là à imaginer qu’en 2017 Yannick Noah, dont la colère « n’est pas un front/Elle n’est pas nationale/Ma colère a peur aussi/C’est la peur, son ennemie… », ne soit contraint de faire ses valises… Cochon qui s’en dédit !

    BV

  • Triple meurtre dans la Drôme: l'état du suspect incompatible avec une garde à vue

    L’état de l’auteur présumé d’un triple meurtre, commis aujourd’hui dans la Drôme, a été jugé incompatible avec une garde à vue et son hospitalisation d’office dans la soirée est envisagée, a indiqué le parquet de Valence.

    « L’examen du mis en cause conclut à l’incompatibilité avec une mesure de garde à vue. L’éventualité d’une mesure administrative d’hospitalisation d’office durant la soirée du 26 décembre est envisagée », précise le parquet de Valence dans un communiqué publié après le meurtre d’une octogénaire et d’un couple de septuagénaires dans deux villages voisins de la Drôme.

    Conduit dimanche au centre hospitalier de Valence, il l’avait quitté sans être examiné par un médecin. « Il n’y a pas eu de prise en charge psychiatrique », a précisé le procureur de la République de Valence Alex Perrin.

    Un peu plus tôt, M. Perrin avait expliqué que l’homme de 23 ans avait été « pris en charge dimanche soir à la suite d’incidents dans une rame de TGV où il importunait des voyageurs. Il a été débarqué du train à la gare TGV de Valence et orienté vers l’hôpital ». « Il s’agit d’une personne déjà connue des services de police et de justice, incarcérée à Fresnes pour des histoires de stupéfiants et qui en est sorti le 1er septembre dernier », a ajouté le procureur.

    L’homme a aussi agressé violemment à l’arme blanche trois personnes dans la zone commerciale d’Orange, dans le Vaucluse. Le parquet de Valence a été saisi de l’ensemble des faits.

    :

    BV

  • Lille: messe de Noël sous haute surveillance à Notre-Dame de la Treille

    http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/nord/lille-metropole/lille/lille-messe-noel-haute-surveillance-notre-dame-treille-1161571.html

    Voir la vidéo en plein écran

     

     

  • Rodrigo Duterte le président flingueur des Philippines

    http://premium.lefigaro.fr/international/2016/12/25/01003-20161225ARTFIG00071-rodrigo-duterte-le-president-flingueur-des-philippines.php

    XVM619402f0-c6db-11e6-88a9-61626cd525b2.jpg Duterte.jpg

  • Le Noël poignant des orphelins de la crèche de Bethléem - reportage

    XVM333137ea-cb5c-11e6-ad51-8a0dd95baea1.jpg Orphelins à Bethléem.jpg

    Par Cyrille Louis
    Mis à jour le 26/12/2016 à 19h07 | Publié le 26/12/2016 à 18h07

    REPORTAGE - La nuit de Noël des enfants abandonnés de Cisjordanie se fête dans l'unique refuge établi pour eux en plein centre de Bethléem.

    Envoyé spécial à Bethléem

    Les petits pensionnaires de la crèche de Bethléem ont fêté Noël avec une semaine d'avance. C'était la condition pour que la cinquantaine d'enfants scolarisés avec eux puissent partager cet instant avant de rejoindre leur famille pour les congés de fin d'année. Un membre du personnel doté d'un léger embonpoint a pour l'occasion revêtu un costume grenat et une barbe blanche. Des fous rires et des chants ont retenti lorsqu'il s'est avancé dans le long couloir de l'«orphelinat» où quarante-six bambins, âgés de quelques jours à 6 ans, sont pris en charge par les Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul.

    Fondé en 1884, l'unique refuge pour enfants abandonnés de Cisjordanie est établi en plein centre de Bethléem. L'hôpital de la Sainte-Famille, principale maternité de la ville gérée par l'Ordre de Malte, occupe le bâtiment voisin, tandis que la basilique de la Nativité se trouve à moins d'un kilomètre. «Notre mission consiste à recueillir, en partenariat avec la police et les services sociaux de l'Autorité palestinienne, tout nourrisson trouvé sur la voie publique ou mis au monde par des femmes qui ne peuvent pas les garder», résume sœur Denise, responsable de l'établissement.

    Les archives de la crèche, miroir d'une société dont les conservatismes placent parfois de très jeunes femmes face à des dilemmes impossibles, regorgent d'histoires dramatiques

    Deux autres religieuses, ainsi que quarante-cinq employés et cinq bénévoles, animent ce havre où vingt-deux nouveau-nés ont été recueillis depuis le début 2016. «Un record», assure le personnel de la crèche. L'un avait été abandonné sur le seuil d'une mosquée de Bethléem, un autre sur un terrain vague à la périphérie de Naplouse. «Certains ne passent ici que quelques jours, mais d'autres resteront jusqu'à leurs 6 ans et rejoindront ensuite un foyer pour enfants plus âgés», précise sœur Denise.

    Les archives de la crèche, miroir d'une société dont les conservatismes placent parfois de très jeunes femmes face à des dilemmes impossibles, regorgent d'histoires dramatiques. Le 28 novembre, l'un de ses employés a dû se rendre en urgence à Hébron, dans le sud de la Cisjordanie, pour recueillir un nourrisson abandonné quelques heures plus tôt au siège du Croissant-Rouge. Après une rapide enquête, les services de police ont retrouvé sa mère et l'ont mise en sécurité dans un foyer spécialisé. Le père de l'enfant a pour sa part été incarcéré. «Pour sa propre sécurité, précise Iskander Andon, un travailleur social employé depuis seize ans par les sœurs. S'ils les retrouvent, les membres de la famille de la jeune femme s'empresseront de tuer les parents et l'enfant pour venger ce qui est ici perçu comme une atteinte intolérable à leur honneur.»

    Passant devant la pouponnière, sœur Denise s'arrête un instant pour cajoler le plus jeune de ses pensionnaires. La mère du bébé l'a mis au monde le 6 décembre dans la maternité voisine. Par césarienne. Quatre semaines avant le terme de sa grossesse. «Les services sociaux de la ville où elle réside, craignant que ses proches ne découvrent son état, leur ont fait croire qu'elle était gravement malade et qu'elle avait besoin d'être hospitalisée pour plusieurs semaines», raconte Iskander Andon.

    Des naissances en catimini

    Admise fin août à l'hôpital de la Sainte-Famille, la jeune femme a pu y passer la fin de sa grossesse à l'abri des regards, mais sous la surveillance des médecins. «Ces accouchements sont généralement pratiqués en fin de journée et toujours par le même médecin afin qu'il y ait le moins de témoins possible», ajoute Denis Sevaistre, le directeur de l'établissement. La jeune maman a regagné son foyer quarante-huit heures plus tard, tandis que le bébé était pris en charge à la crèche.

    La loi applicable en Cisjordanie, fortement inspirée du droit islamique, interdit l'adoption si bien que la majorité de ces bambins seront orientés vers d'autres foyers à l'âge de 6 ans

    «Ce sont évidemment des situations très douloureuses, admet sœur Denise, mais il faut bien comprendre que la plupart de ces jeunes femmes risquent la mort si leur famille découvre la vérité.» Les responsables de la crèche savent de quoi ils parlent. Un jour de janvier 2003, une adolescente de 14 ans a été tuée par de proches parents dans un village voisin de Ramallah peu après avoir accouché, à l'abri des regards, d'un petit garçon qu'elle avait confié aux Filles de la Charité. «Victime d'un viol intrafamilial, elle avait pourtant été prise en charge avec l'accord de la police et du chef du village», se rappelle Iskander Andon. Les étudiants de l'université de Bir Zeit se mobilisèrent à l'époque pour dénoncer ce crime d'honneur. Mais les auteurs bénéficièrent des circonstances atténuantes prévues par une vieille disposition héritée du droit jordanien

    Les petits pensionnaires, une fois à l'abri derrière les murs épais de la crèche, ne sont pas pour autant au bout de leurs épreuves. Présumés musulmans, ils reçoivent un prénom, mais ne pourront jamais porter le patronyme de leur père. «Une marque indélébile aux yeux de nombreux Palestiniens», regrette sœur Denise.

    L'adoption souvent interdite

    La loi applicable en Cisjordanie, fortement inspirée du droit islamique, interdit l'adoption si bien que la majorité de ces bambins seront orientés vers d'autres foyers à l'âge de 6 ans. Quelques-uns seront pris en charge par une famille d'accueil, où leur intégration sera plus ou moins facile selon la réaction de l'entourage. «Dans certains cercles très conservateurs, les choses se compliquent lorsque l'enfant parvient à l'adolescence, car sa cohabitation avec des femmes qui ne sont pas ses parentes biologiques suscite des réticences», témoigne Iskander Andon.

    Conscients de cet écueil, Kheir et Aoula se sont juré de tout faire pour en préserver leur petit Nour. Avant de recueillir ce bébé âgé d'un an à peine, ce couple établi à Bethléem a surmonté un parcours du combattant administratif et familial. «Nous avons dû subir une enquête de moralité et prouver que nous avons les moyens de subvenir à ses besoins», explique Kheir. «Il a aussi fallu rassurer certains membres de notre entourage, qui s'inquiétaient de voir un étranger arriver dans la famille», sourit Aoula.

    Après des longs mois d'attente et d'innombrables visites à la crèche des Filles de la Charité, la jeune femme et son mari ont accueilli le garçonnet à la fin de l'été. Quatre mois plus tard, Nour se promène à quatre pattes dans l'appartement familial comme s'il n'avait jamais connu d'autre foyer. Ses parents, eux, ne se lassent pas de l'admirer. «Quoi qu'en pense le cheikh ou l'Autorité palestinienne, disent-ils, Nour est notre fils et nous donnerons tout pour qu'il ait une vie heureuse.»

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 27/12/2016.

  • Trois meurtres dans la Drôme: le suspect, 23 ans, sortait de l'hôpital psychiatrique

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/triple-meurtre-dans-la-drome-un-jeune-homme-en-garde-a-vue-26-12-2016-6496482.php

    NdB: Un cauchemar: pourquoi ce dément sanguinaire n'était-il pas bouclé dans une cellule et qui est-il? Qui l'a laissé sortir?  

  • Les électeurs de l’AfD : l’autre Allemagne

     

    J-4

    Créé il y a trois ans, l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) est en pleine ascension, porté notamment par la crise des migrants. Thomas Girondel est allé à Berlin, où ce parti souverainiste a provoqué la surprise en obtenant 15% aux régionales de septembre. Il a photographié militants et électeurs AfD, et leur a posé les mêmes questions. Un portrait de groupe qui réserve quelques surprises.

    763449afdberlinattentatmigrantsallemagne660x400.jpg

    Herbert, 51 ans, ingénieur, vit au nord-est de Berlin.

    « J’ai voté AfD parce que les autres partis allemands pensent tous la même chose : ils ressemblent à l’Union européenne. Les Allemands n’ont pas forcément la même opinion que l’« Europe ». Mais leurs idées sont brisées par les partis de gauche. Au moins l’AfD a sa propre opinion, loin de la majorité. Donc on nous écoute. La semaine dernière, M. Hendrik Pauli, un professeur, a été licencié parce qu’il avait voté AfD, où est la démocratie ? La France a le Front national, l’Autriche le Mouvement pour l’Europe des nations et des libertés. Nous sommes l’une des dernières nations à ne pas pouvoir nous exprimer, on veut plus de démocratie.»

    Hendrik Pauli, 38 ans, professeur de biologie et de chimie, vit dans le quartier de Neukölln, à Berlin.

    « J’ai voté AfD lors des dernières élections locales de Berlin, j’y ai même participé en tant que candidat dans le district de Neukölln, mais je n’ai pas eu assez de voix. Depuis ses débuts en octobre 2013, j’ai vu l’AfD monter en puissance, nous ne savons pas où le vent nous mènera mais je suis convaincu que cette montée n’est pas près de s’arrêter. Aux dernières élections nous avons obtenu 14,2 % de votes, je me demande comment nous pourrions obtenir jusqu’à 17-20 % en septembre 2017. »

    Hendrik Pauli a perdu son poste de professeur de collège pour avoir ouvertement parlé de ses activités politiques. Il a participé en 2016 à des rassemblements berlinois de PEGIDA (Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident). Il affirme être proche des militants du Bloc identitaire (Identitäre Bewegung).

    Christian Buchholz, député AfD (Alternative pour l’Allemagne) au parlement local de Berlin, a été élu dans le sous-district de Pankow-1 lors des élections du 18 septembre 2016, avec 22,44 % des voix. [...]

    Quel est le profil d’un électeur AfD ?

    Il a entre 30 et 60 ans. Les plus jeunes et les étudiants ne s’intéressent pas à l’AfD avant de se heurter aux marchés du travail et du logement. C’est alors qu’ils découvrent aussi qu’il y a beaucoup trop de taxes. Nous avons également beaucoup de personnes issues de la classe ouvrière et des indépendants. [...]

    Warner Bruns, 53 ans, ingénieur en calcul numérique à Berlin et à Losenstein en Autriche.

    «J’ai voté AfD à Charlottenburg pour les élections locales de Berlin, car je n’avais pas d’autre choix. Les autres partis n’ont aucun sens à mes yeux. L’AfD propose une vraie alternative, car ici, à Berlin… il n’y a pas de liberté d’expression avec les partis ; c’est une fausse démocratie.»

    Beate Prömm, 42 ans, traductrice freelance français-allemand, habite au nord de Berlin.

    « J’ai voté AfD pour renforcer l’hégémonie allemande. » [...]

    Causeur

    Merci à cerisecerise69

  • JOURNAL TVL DU 26/12/16

  • Les migrants ont le droit plus que vous... d'être chez vous!

    90435162.jpg sur le port.jpg

    Sur le port, face à l’océan, les pseudo-migrants, paresseusement allongés sur les bancs, se consacrent à l’oisiveté…

    Ancien officier de Gendarmerie

    Diplômé de criminologie et de criminalistique

     
     
     

    Nous sommes fin octobre, 48 « migrants », tous des hommes majeurs, d’origine soudanaise, érythréenne et afghane, sont accueillis à leur descente du car comme des « VIP » par les autorités. Ils sont tous là : le préfet de Bretagne, suivi du sous-préfet de Saint-Malo, du maire de Cancale, Pierre-Yves Mahieu, entouré lui-même de deux adjoints, dont Marcel Le Moal, chargé de la sécurité. Pour la circonstance, le ban et l’arrière-ban des associations humanitaires se sont déplacés. Pour mieux sacraliser cette venue, le représentant de l’État socialiste serre la pogne à chacun des clandestins.

    Il ne manque plus que les majorettes et la fanfare municipale pour donner à cette soirée un côté festif. « Festif » : le mot ne coïncide pas avec l’état d’esprit des habitants qui, contrairement aux médias, ont boudé l’arrivée triomphale. Cette réception enflammée de la municipalité cancalaise tirerait certainement des larmes à Muriel Robin et Jean-Michel Ribes.

    Mais n’allons pas trop vite car cet accueil n’est pas réservé à tous, loin de là.

    Depuis plusieurs semaines, le premier parti de France, sous l’impulsion de la responsable local du FNJ, parcourt la région de Saint-Malo accompagné d’une caravane publicitaire. Rien que de plus naturel en période de campagne présidentielle. Le but : prendre contact avec la population locale et distribuer tracts et opuscules pour Marine sur les marchés.

    « Tout s’était parfaitement bien déroulé lors de nos premières sorties, à Dol-de-Bretagne, puis à Dinard », explique Justine Dieulafait, « l’accueil était chaleureux et de nombreuses adhésions avaient été enregistrées ».

    Le samedi 17 décembre, la caravane se positionne à Cancale, stationnant derrière l’église.

     

    L’accueil se montre sympathique, un agent de police municipale leur précisant qu’ils auraient dû prévenir, il leur aurait trouvé une bonne place pour stationner en plein milieu du marché. Une heure plus tard, le ton change. Un autre agent les rejoint, accompagné de Le Moal, l’adjoint au maire « Les Républicains », présent à l’arrivée des « sans-papiers ». Ce dernier, agressif, s’en prend à la jeune militante et lui demande immédiatement de quitter les lieux sous peine de dresser un procès-verbal pour stationnement abusif de la caravane. Cette dernière, peu impressionnée, exige que la substantifique « Moal » lui montre l’arrêté municipal justifiant l’interdiction. Celui-ci refuse, empêchant même l’agent contractuel d’aller chercher l’arrêté.

     

    « Qu’est-ce qui vous dérange ? Auriez-vous accepté que la caravane du Parti socialiste stationne ici ? » demande Justine ? Réponse immédiate et catégorique de Le Moal : « Oui. C’est parce que c’est le Front national que cela me dérange. » Les adhérents du FN, sachant très bien que toute résistance implique arrivée des médias et articles sectaires et haineux, préférèrent plier bagages. Nombreux seront les commerçants à les soutenir en se révoltant contre ce déni de démocratie.

    Deux leçons sont à tirer de cette mésaventure :

    – Nombreux sont les élus de droite qui, par leur sectarisme, rappellent, comme deux gouttes d’eau, les élus socialistes ou écologistes.
    – À Cancale, si les autorités municipales et administratives déroulent le tapis rouge pour des clandestins, pour les patriotes français, l’attitude est diamétralement opposée. Ce n’est plus « On est chez nous », c’est : « Ils ont le droit plus que vous d’être chez vous ! »

    Pendant ce temps, sur le port, face à l’océan, les pseudo-migrants, paresseusement allongés sur les bancs, se consacrent à l’oisiveté. En face, les vieux Cancalais, eux, n’ont d’autre choix que de se poser tant bien que mal sur les rochers glissants.

    BV

  • « Les migrants à la place des patients » : la circulaire choc de l’hôpital dans Immigration

    16 décembre 2016

     

    Chaque jour apporte son lot d’extravagances humanistes en ce monde où progrès rime avec folie !

    En Italie, plus précisément à Cagliari en Sardaigne, la direction de l’hôpital a envoyé une circulaire, signée par le directeur Giuseppe Ortu, datée du 13 décembre 2016 (même date que la lettre ahurissante du pape à Anne Hidalgo au sujet de ces mêmes migrants!) aux chefs de service leur demandant de libérer des places pour les migrants :

    « En prévision du débarquement des migrants prévu pour la journée d’aujourd’hui, nous vous invitons à faire le nécessaire pour bloquer les hospitalisations programmées et renvoyer les patients en état de rentrer chez eux, afin de pouvoir affronter l’éventuelle situation d’urgence. »

    L’hôpital a donc choisi de soigner en priorité les migrants avant les Italiens sans tenir compte des impératifs de ces derniers, de leur état de santé qui les oblige à être hospitalisés, des opérations prévues, de leur agenda, etc. Toutes considérations qui auraient dû freiner leur élan humaniste envers des étrangers clandestins. Le dicton « l’hôpital qui se moque de la charité » va comme un gant à cette direction inhumaine !

    « Une action qui frise la folie, s’emporte le députe autonomiste sarde Marco Pili, et la dégénérescence dans la gestion de cette immigration. C’est tout simplement incroyable qu’une note officielle ait mis en place cette folie sanitaire. Nous sommes devant des mesures qui laissent stupéfaits et soulèvent des doutes sérieux sur la capacité de gestion de la Santé. »

    Un autre doute nous envahit : comment cela se fait-il que l’hôpital connaisse à l’avance le débarquement des clandestins et s’organise en conséquences ? Si la direction hospitalière est au courant, l’État italien l’est nécessairement également. Alors ! Ne serait-ce pas là une preuve supplémentaire de la complicité du système politique actuel dans l’invasion migratoire qui submerge l’Europe, de sa connivence avec les forces mondiales qui ont planifié ce Grand Remplacement ? Si un hôpital est capable de prévoir un débarquement, combien plus un État devrait être capable d’empêcher ce même débarquement…

    Francesca de Villasmundo

    Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !