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Blog - Page 341

  • Jean-Yves Le Gallou : « La remigration est indispensable et faisable »

     

     

    25/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Dans le dernier numéro de Minute, Jean-Yves Le Gallou explique que la remigration est « indispensable et faisable ». Le créateur de la fondation Polémia, interrogé à l’occasion de la sortie de son livre : Immigration, la catastrophe – Que faire ?, explique comment cette remigration pourrait être mise en œuvre. Extrait de ce long entretien qui peut être commandé ici.

    Minute 2772 CouvMinute : Etes-vous favorable à ce que l’on appelait autrefois l’expulsion des étrangers et que l’on appelle aujourd’hui la remigration ? Et est-elle faisable ?

    Jean-Yves Le Gallou : La remigration est indispensable et faisable, dès lors que la volonté politique est là, même si la tâche peut paraître immense. Je vais utiliser une image : si vous allez en Irlande et que l’on vous sert un très grand verre de bière, d’un litre par exemple, vous allez vous demander comment le boire. La bonne méthode, c’est de commencer à boire progressivement et vous allez voir que le verre va se vider, lentement mais sûrement.

    Pour la remigration, c’est la même chose : il faut commencer par le commencement, c’est-à-dire par l‘expulsion des clandestins, qui n’ont absolument rien à faire ici, poursuivre par l’expulsion des criminels et des délinquants, qui n’ont plus rien à y faire non plus dès lors qu’ils ont enfreint nos lois, et puis il faut continuer, et vous verrez que ce n’est pas si ardu que cela paraît.

    Il y a environ quatre millions d’étrangers qui disposent de titres de séjour. Or ces titres de séjour ne sont pas définitifs : par nature, ils sont provisoires, ils ont en quelque sorte une date de péremption. Il suffit donc de ne pas les renouveler. Une fois que vous avez fait ça, vous avez déjà accompli beaucoup de travail. Donc commençons par cela.

    Ensuite, vous avez les binationaux. Là, la question qui se pose est de savoir s’ils ont une simple appartenance administrative à la France, auquel cas ce n’est peut-être pas tout à fait suffisant, ou s’ils ont aussi une appartenance affective, une appartenance culturelle. Mais cela, ce sera dans un deuxième temps.

    Ce n’est pas parce que ce deuxième temps va être plus délicat qu’il faut s’interdire le premier temps.

    Minute : Est-il possible de renvoyer des gens de façon massive ? Y a-t-il des exemples dans l’histoire ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il n’y a pas de besoin de remonter très loin. Tout le XXe siècle est marqué par des déplacements massifs de populations.

    A la fin de la Première Guerre mondiale, un million et demi de Grecs ont été évacués d’Asie mineure ! On ne peut même pas parler de remigration puisqu’ils étaient là depuis des millénaires, mais le transfert a eu lieu.

    A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, où des millions de gens ont été déplacés et ont quitté des endroits où leurs ancêtres étaient depuis non pas seulement des dizaines d’années mais des centaines d’années. Ces expulsions, précisons-le, avaient été décidées par les puissances sorties victorieuses de la guerre.

    Plus récemment encore, il y a bien sûr eu l’exode des pieds-noirs.

  • 140 000 ans avant « Homo sapiens », Néandertal s’aventurait au fond des grottes

    http://www.lemonde.fr/archeologie/article/2016/05/25/140-000-ans-avant-homo-sapiens-neandertal-s-etait-approprie-le-monde-souterrain_4926458_1650751.html

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  • Autriche : patience, ce sera pour la prochaine fois, par Guy Rouvrais

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    Il y a eu un long soupir de soulagement dans les sacristies de la secte bruxelloise : le candidat de « l’extrême droite » n’est pas devenu président de la République autrichienne. Libéraux et socialistes, quoique leurs champions aient été balayés dès le premier tour, se sont joints au chœur des vitriers qui se félicitent de ce que là-bas, comme ici, un « plafond de verre » empêcherait la droite nationale de l’emporter.

    Ce peuple autrichien que ces belles âmes européistes étaient prêtes à vouer aux gémonies hier devient admirable aujourd’hui car il a résisté au « repli » et à « l’intolérance », grâce, comme dit Le Monde, à un « sursaut citoyen », l’autre moitié des électeurs n’étant pas des citoyens mais des factieux.

    Il s’en est donc fallu de 31 000 voix pour que les Autrichiens soient rejetés dans les ténèbres extérieures de la bien-pensance européenne. Cela tient à peu de chose d’être un grand peuple ou un ramassis de minables populistes : quelques suffrages en plus ou en moins !

    Après le « ouf ! » sonore des capitales européennes, nous eûmes droit aux propos convenus sur « l’avertissement » venu de Vienne, comme en France quand le Front national bat un nouveau record électoral. Et puis on continue comme avant. Mais cela s’arrêtera, le jour est proche où ce ne sera pas le « vent du boulet » qui frappera nos européistes, mais le boulet lui-même.

    Ce sera pour la prochaine fois, demain ou après-demain : la défaite de l’Europe de la technocratie bruxelloise est en marche, elle ne s’arrêtera plus. En Autriche, bien sûr, mais ailleurs aussi en Europe, à l’Est déjà, en Pologne, en Hongrie, en Slovaquie, à l’Ouest bientôt, en France, au Danemark, en Hollande, en Finlande, en Suède et même en Allemagne, où le parti souverainiste Afd a déjà recueilli 11 % des voix alors qu’il n’existait pas il y a trois ans, il sera présent au Bundestag lors des prochaines élections législatives.

    Ils peuvent encore gagner à l’arraché pendant quelque temps, comme à Vienne, mais les peuples ont déjà tranché, c’est pourquoi les hiérarques de Bruxelles font tout pour éviter qu’ils ne prennent la parole et n’exècrent rien tant que le référendum, où ils sont régulièrement désavoués. Ils ont déjà perdu, parce qu’ils ne comprennent pas ce qui se passe sur le Vieux Continent.

    Que disent-ils aux électeurs pour les dissuader de quitter le Titanic européen ? Qu’ils vont être ruinés, que les cours de la Bourse vont choir, que leurs économies fonderont tandis que le chômage va galoper et les prix bondir, sans compter que les Chinois ne feront de nous qu’une bouchée, etc. Ils parlent économie et gros sous, PIB et cash-flow. Ils disent aux peuples : « Vous allez perdre de l’argent », les peuples répondent « Nous ne voulons pas perdre notre âme » : notre identité, notre foi, notre culture, nos traditions, nos aigles et nos croix, l’empreinte des siècles sur nos paysages et nos visages, la poussière de nos routes où nos ancêtres ont marché et par lesquels nous sommes. Nous ne voulons pas disparaître dans le maelström de la mondialisation à la sauce bruxelloise, ni abandonner nos territoires à ceux venus d’ailleurs pour devenir étrangers chez nous. A la fin, c’est toujours l’âme des peuples qui gagne car c’est elle qui résiste. 

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent n° 8614 daté du 25 mai 2016

  • Les 19 centrales nucléaires françaises en grève

    http://www.lefigaro.fr/societes/2016/05/25/20005-20160525ARTFIG00246-nucleaire-de-possibles-coupures-d-electricite.php

     "Ca va mieux"

  • La France exaspérée, par Marine Le Pen

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    Je vois partout la colère monter et je suis inquiète pour l’avenir de mon pays. Grèves, blocages, pénurie d’essence : le pays est entré dans une spirale de tensions sociales qui inquiètent tout le monde.

    Autant le préciser d’entrée de jeu, le gouvernement porte l’entière responsabilité de la situation d’exaspération que connaît la France.

    Bien sûr, certains représentants syndicalistes, qui ne représentent qu’eux-mêmes et qui sont toujours aux abonnés absents quand il s’agit de combattre les vrais problèmes (en l’occurrence l’obsession ultra-libérale bruxelloise), portent une lourde responsabilité dans le chaos que connaît aujourd’hui le pays. Ils mettent en difficulté nombre de salariés et d’entreprises en désorganisant les transports et en installant un tel chaos en France.

    Mais c’est aussi et surtout de la faute du gouvernement si la vie de nos compatriotes, les services publics et l’activité économique de notre pays se retrouvent dans cette situation délétère de blocage et de tensions. Par son entêtement à faire passer une loi Travail qui ne ravit que l’ex-UMP, le président Hollande et le premier ministre Valls, le gouvernement brutalise les rapports sociaux et agresse les Français. Rappelons à quel point cette loi précarisera le travailleur français, affaiblira la PME face à la grande entreprise, et dégradera encore nos comptes sociaux au détriment de notre capacité à financer les retraites et toutes les politiques de solidarité.

    Le pire réside dans les motivations de cet entêtement : la crainte de fâcher Bruxelles. Le gouvernement, toute l’UMPS, préfère obéir à l’Union Européenne plutôt que de respecter la démocratie, le dialogue social et d’apaiser la France ! La vindicte qui s’exprime, de façon navrante et insupportable pour nos compatriotes, est une conséquence de cette main-mise de l’Union Européenne sur la démocratie française. Au-delà de la loi Travail, c’est notre capacité à penser et décider une autre politique, enfin efficace et juste, qui est quotidiennement rendue impossible par les exigences toujours plus lourdes de l’Europe de Bruxelles. Dans ces conditions, les tensions montent, et finissent par exploser. Aujourd’hui la loi Travail, et demain ? Il n’y a pas d’avenir si on ne se libère pas de cette logique infernale.

    Je demande au gouvernement de retirer immédiatement la loi Travail, de permettre le déblocage de la France, et de revenir devant les urnes s’il ne se sent pas capable de cet acte d’indépendance face à l’Union Européenne.

    in Carnets d'espérances

  • TVL - PASSÉ PRÉSENT N°103 – PORTRAIT DE LÉON DEGRELLE

    https://youtu.be/MU73KhZLd14

    – Le mythe de Jeanne d’Arc
    – Histoire des quintuplées Dionne
    – Portrait de Léon Degrelle, avec en invité Francis Bergeron

  • Pétain banni de la commémoration de Verdun! (rediffusion)

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    Philippe Pétain, communément appelé le maréchal Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l'île d'Yeu, est un militaire, diplomate et homme d'État français

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     Après le scandale Black M, va-t-il y avoir un scandale Pétain ? Dans L’Opinion, Jean-Dominique Merchet, spécialiste des questions militaires, révèle que François Hollande envisage de faire carrément l’impasse sur le rôle du général Pétain dans la bataille de Verdun lors de la commémoration du 29 mai !

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    « Commémorer Verdun, c’est aborder la question de celui qui y commanda les troupes françaises, le futur maréchal Pétain. Exercice délicat pour un chef de l’État, auquel le général De Gaulle ne s’était pas soustrait lors de la commémoration du cinquantenaire en 1966 : “Si, par malheur, en d’autres temps, dans l’extrême hiver de sa vie et au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire que, vingt-cinq ans plus tôt, il avait acquise à Verdun, puis gardée en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie.“

    « Si l’historien Antoine Prost estime qu’il n’y a “pas une virgule à changer“, les milieux officiels estiment que parler de Pétain “est un message qui n’est pas d’une très grande actualité “. »

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    Jean-Dominique Merchet confirme par ailleurs que la venue de Black M avait été validée par le gouvernement et n’est donc pas du fait du maire de Verdun :« Les textes provocateurs de l’artiste n’étaient pas forcément les plus adaptés à l’événement mais ils étaient dans le domaine public quand les autorités politiques, y compris au secrétariat d’État aux Anciens combattants, ont approuvé l’idée de ce concert. »

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    Lu dans Novopress

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  • L'Histoire oubliée - Malheur aux vaincus, l'ordre de famine d'Eisenhower

    Malheur aux vaincus
    L’« ordre de famine » d’Eisenhower

    • Publié le : samedi 30 novembre 2013
    • Mots-clés : Allemagne; États-Unis; Histoire; International
    • Source : angelfire.com


    « Jamais autant de gens n’avaient été mis en prison. L’ampleur des captures faites par les alliés était sans précédent dans toute l’histoire. Les Soviétiques firent prisonniers quelques 3,5 millions d’Européens, les Américains environ 6,1 millions, les Britanniques environ 2,4 millions, les Canadiens environ 300 000, les Français environ 200 000. Des millions de Japonais furent capturés par les Américains en 1945, plus environ 640 000 par les Soviétiques.


    Dès que l’Allemagne capitula le 8 mai 1945, le gouverneur militaire américain, le général Eisenhower, diffusa un “courrier urgent” dans toute la vaste zone qu’il commandait, faisant pour les civils allemands un crime punissable de mort le fait de nourrir des prisonniers. C’était un crime passible de mort même de rassembler de la nourriture à un endroit dans le but de la donner aux prisonniers... L’ordre, [traduit] en allemand, fut envoyé aux gouvernements des provinces, leur ordonnant de le transmettre immédiatement aux autorités locales. Des copies des ordres ont été récemment découvertes dans plusieurs villages près du Rhin... Le message [reproduit par Bacque dans son livre] disait entre autres : “...sous aucune circonstance, des approvisionnements en vivres ne doivent être rassemblés parmi les habitants du lieu dans le but de les donner aux prisonniers de guerre. Ceux qui violent ce commandement et même qui essayent de tourner cet ordre en permettant à quelque chose de parvenir aux prisonniers, se placent eux-mêmes en danger d’être abattus.”
    L’ordre d’Eisenhower fut aussi posté en anglais, en allemand et en polonais sur le tableau d’affichage du quartier général du gouvernement militaire en Bavière, signé par le Chef d’état-major du gouverneur militaire en Bavière. Plus tard il fut posté en polonais à Straubing et à Regensburg, où se trouvaient de nombreuses compagnies de gardes polonais dans les camps proches. Un officier de l’US Army qui lut cet ordre en mai 1945 a écrit que c’était “l’intention du commandement de l’armée, au sujet des camps de prisonniers de guerre allemands dans la zone américaine, de mai 1945 jusqu’à la fin de 1947, d’exterminer autant de prisonniers de guerre que possible tant que l’affaire se passerait sans contrôle international”.
    ... La politique de l’armée [américaine] était d’affamer les prisonniers, selon plusieurs soldats américains qui se trouvaient là. Martin Brech, professeur de philosophie à la retraite du Mercy College à New York, qui fut gardien à Andernach en 1945, a raconté qu’un officier lui avait dit que “C’est notre politique que ces hommes ne soient pas nourris”. Les 50 à 60 000 hommes à Andernach mouraient de faim, vivant sans abris dans des trous dans le sol, essayant de se nourrir avec de l’herbe. Quand Brech leur passa du pain en fraude à travers les barbelés, un officier lui ordonna d’arrêter. Plus tard, Brech leur glissa plus de nourriture, se fit prendre, et le même officier lui dit : “Si vous refaites cela, vous serez abattu.” Brech vit des cadavres sortir du camp “par le camion de service” mais on ne lui dit jamais combien ils étaient, où ils étaient enterrés, ni comment.
    … Le prisonnier Paul Schmitt fut tué dans le camp américain de Bretzenheim après s’être approché des barbelés pour voir sa femme et son jeune fils qui lui apportaient un panier de vivres. Les Français en firent autant : Agnès Spira fut tuée par des gardes français à Dietersheim en juillet 1945pour avoir apporté de la nourriture aux prisonniers. Son mémorial près de Büdesheim, écrit par l’un de ses enfants, dit: “Le 31 juillet 1945, ma mère me fut arrachée soudainement et de manière inattendue, à cause de ses bonnes actions envers les soldats emprisonnés.” La note dans le registre de l’église catholique dit simplement : “Une mort tragique, tuée à Dietersheim le 31.07.1945. Enterrée le 3.08.1945.” Martin Brech vit avec stupéfaction un officier se tenant sur une colline à Andernach tirant des coups de feu sur des femmes allemandes qui s’enfuyaient en courant dans la vallée en-dessous. Le prisonnier Hans Scharf... vit une femme allemande avec ses deux enfants, qui vint vers un garde américain dans le camp de Bad Kreuznach, apportant une bouteille de vin. Elle demanda au garde de donner la bouteille à son mari, qui était juste de l’autre côté des barbelés. Le garde porta la bouteille à sa propre bouche, et quand elle fut vide, il la jeta sur le sol et il tua le prisonnier de cinq coups de feu.
    De nombreux prisonniers et civils allemands virent les gardes américains brûler la nourriture apportée par des femmes. Récemment, un ancien prisonnier a décrit cela : “D’abord, les femmes de la ville la plus proche apportèrent de la nourriture dans le camp. Les soldats américains confisquèrent tout cela aux femmes, jetèrent tout en tas, versèrent de l’essence dessus et le brûlèrent.” Eisenhower lui-même ordonna que la nourriture soit détruite, selon l’écrivain Karl Vogel, qui était le commandant du camp allemand, désigné par les Américains dans le camp N° 8 à Garmisch-Partenkirchen. Bien que les prisonniers reçussent seulement 800 calories par jour, les Américains détruisaient de la nourriture devant la porte du camp. »


    James Bacque, Crimes and Mercies : the Fate of German Civilians Under Allied Occupation, 1944-1950 [Crimes et pitié : le sort des civils allemands sous l’occupation alliée, 1944-1950] p. 41-45, 94-95.
     « Le 20 avril était un jour de tempête. La pluie et la neige se mêlaient au vent du nord glacial qui parcourait la vallée du Rhin jusqu’au camp, situé dans la plaine. Derrière les barbelés un spectacle terrifiant nous attendait : étroitement serrés les uns contre les autres pour se réchauffer, près de 100 000 détenus hagards, apathiques, sales, émaciés, au regard vide, vêtus d’uniformes gris, se tenaient debout, enfoncés dans la boue jusqu’aux chevilles. On distinguait ici et là des taches d’un blanc sale qui se révélaient, à deuxième vue, être des hommes à la tête ou aux bras couverts de bandages, ou tout simplement en bras de chemise. Le commandant allemand de division nous apprit que les prisonniers n’avaient pas mangé depuis plus de deux jours, et que l’approvisionnement en eau représentait un problème majeur alors qu’à moins de 200 mètres le Rhin coulait à plein flot. »


    « Compte-rendu d’une visite d’un camp de détention de prisonniers de guerre allemands aux mains de l’armée américaine », par le colonel James B. Mason et le colonel Charles H. Beasley, du Service de Santé militaire des États-Unis, publié en 1950
     « En avril 1945, des centaines de milliers de soldats allemands, de malades capturés à l’hôpital, d’estropiés, d’auxiliaires féminines et de civils furent faits prisonniers... A Rheinberg un détenu était âgé de 80 ans, un autre, de 9 ans... Ayant pour seuls compagnons une soif atroce et une faim lancinante, les captifs mouraient de dysenterie. Sans relâche, un ciel peu clément déversait sur eux, au long des semaines, des torrents de pluie... les estropiés glissaient dans la boue comme des amphibiens, trempés et gelés jusqu’à l’os. Sans le moindre abri, jour après jour, nuit après nuit, ils gisaient sur le sable de Rheinberg, livrés au désespoir, ou s’endormaient, épuisés, au fond de leurs trous dont les parois s’effondraient, avant de sombrer dans l’éternité ».


    Heinz Janssen, Kriegsgefangenen in Rheinberg, 1988

    (merci à Dirk)

  • Voiture de police incendiée : Alliance Police s’insurge de la libération de 3 des 4 suspects « C’est un signal d’impunité ! » (MàJ)

    http://www.fdesouche.com/731245-lattaque-et-lincendie-de-la-voiture-de-police-en-video-maj

    Voir les vidéos

  • Nicolas Bay sur BFM TV

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/l-extreme-droite-battue-en-autriche-c-est-un-vrai-succes-d-etape-meme-si-la-victoire-n-est-pas-totale-nicolas-bay-819372.html

    Très bon débat contre les Verts qui crient victoire

  • Éric Zemmour : "L’Europe va redécouvrir les joies de la guerre civile froide"

    https://youtu.be/-xv0la8xvHY

    Les enseignements de l’élection autrichienne selon le chroniqueur

    Pour Éric Zemmour, l’élection présidentielle en Autriche préfigure les affrontements politiques fondamentaux à venir : « L’Europe lit son avenir politique dans le marc de café viennois ».

    La chronique d’Éric Zemmour du 24 mai 2016 sur RTL.

  • La gare du Nord est-elle l’Afrique ? Verdict en images

    https://youtu.be/z-HItjgOdmo

     

    Les médias s’offusquent qu’un député LR (Nadine Morano) ait déclaré à propos de la gare du Nord, à Paris : « on a l’impression d’être en Afrique. Non mais… Vous arrivez à la gare du Nord, c’est l’Afrique, c’est plus la France. »

    Le verdict en images !

  • TVL - Journal du 24 mai 2016

  • Antiracisme sans pénurie : Valls fait le plein à Tel Aviv

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    23 mai 2016 2 commentaires
     

    Raoul Fougax ♦

    Pour le carburant ça risque d’être une autre histoire.

    Manuel Valls a cru pouvoir affirmer en Israël qu’il n’y aura pas de pénurie aux pompes, alors que cela commençait déjà à se ressentir. On lui laissera la responsabilité de cette déclaration guerrière.

    Une chose cependant est certaine, ce premier ministre là est le premier ministre français préféré de l’État sioniste. Un brevet de Juste dans la lutte contre l’antisémitisme étendu à l antisionisme lui a été délivré sous les applaudissements. Il est le candidat d’ Israël et donc d’une partie de la communauté juive de France.

    Cela ne devrait cependant pas l’aider pour relancer là-bas les négociations de paix avec les Palestiniens et ici le dialogue avec la CGT.

    La paix bloque, les pompes aussi.

    Valls aurait donc intérêt à revenir avant que la loi travail ne provoque la fureur des automobilistes.

    Ce brevet de chevalier de l’antiracisme, décerné dans un pays où une extrême-droite bien plus radicale que celle qui menacerait l’ Autriche va participer au pouvoir, arrive en pleine polémique islamiste comme par hasard.

    Tout semble se tenir.

    Dans une interview accordée à Radio J, (radio communautaire juive) Manuel Valls a mis dans le même sac Clémentine Autain et l’islamologue Tariq Ramadan pour dénoncer « l’islamo-gauchisme », accusant l’élue de Sevran (Seine-Saint-Denis) d’avoir co-signé une tribune avec le controversé intellectuel et prédicateur, qui demande la nationalité française. Parler d’islamo-fascisme est bien moins risqué. Valls aurait dû le savoir. Clémentine Autain demande désormais des excuses de la part du Premier ministre, faute de quoi elle menace de porter plainte pour diffamation.

    Il se met les gauchistes à dos et on ne parle pas des islamistes. Il est contre la demande bien curieuse de nationalité française de Tariq ramadan le bien nommé.

    « Il n’y a aucune raison pour que M. Tariq Ramadan obtienne la nationalité française. Quand on aspire à être Français, c’est qu’on aspire à partager des valeurs« , a-t-il déclaré, soulignant que selon lui, les idées portées par l’islamologue sont « contradictoires » avec les valeurs de la France. » On ne peut jamais avoir tout le temps tort sur tout.

    Dimanche soir, Tariq Ramadan a interpellé directement le Premier ministre sur Twitter, un message provocateur dans lequel le prédicateur et théologien fait un parallèle entre sa situation et la Légion d’honneur remise, en mars, au prince héritier et ministre de l’Intérieur d’Arabie saoudite. Tariq Ramadan a ainsi demandé : « Dites monsieur Manuel Valls, si je ne demande que la légion d’honneur, vous me la donneriez ? Cet « honneur » que vous vendez en Rafales. Deal ? »

    L’islamologue, de nationalité suisse, a fait une demande de nationalité française pour « envoyer un message : «il ne faut plus traiter l’islam comme quelque chose d’étranger, car l’islam fait partie de la France», a-t-il expliqué, en février dernier, à Libération.

    On sait bien que c’est quelque chose qu’on veut nous imposer de gré et de force.

    Et Manuel Valls ne dit pas autre chose sauf peut être…. quand il est en Israël.

    Illustration : Manuel Valls «exprime également ses regrets pour le vote de la France à l’UNESCO. Selon lui, aujourd’hui plus que jamais, la France à besoin de ses juifs.» (Interview donnée quelques jours avant sa venue dans l’État juif à JSSNew.

    METAMAG

  • Crash EgyptAir : l'analyse des corps relance la thèse de l'explosion

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/crash-egyptair-l-analyse-des-restes-humains-relance-la-these-de-l-explosion-24-05-2016-5824861.php

    + VIDEO

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  • VIDEO. Voiture de police brûlée : 3 des 4 mis en examen remis en liberté

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-voiture-de-police-brulee-3-des-4-mis-en-examen-remis-en-liberte-24-05-2016-5826065.php

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  • VIDEO - Grande-Bretagne : Nigel Farage lance son bus à l’assaut de l’Union européenne

    http://www.ndf.fr/nos-breves/23-05-2016/grande-bretagne-nigel-farage-lance-son-bus-a-lassaut-de-lunion-europeenne?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29#.V0SpXO5f2M8