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Blog - Page 345

  • Le Grand Maître du Grand Orient de France en conférence dans une école catholique

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    Le Salon Beige nous informe que la directrice d’un collège catholique en Gironde a décidé d’inviter parents d’élèves et professeurs à une conférence donnée par Jean-Michel Quillardet, ancien Grand Maître de la loge franc-maçonne du Grand Orient de France (GODF). Cette conférence a lieu à Sainte-Foy-la-Grande.

    Pourtant, l’Eglise a rappelé maintes fois qu’il n’est pas possible d’être catholique et franc-maçon.

    Certains professeurs et parents d’élèves, s’étant légitimement offusqués d’une telle invitation, ont reçu cette réponse hallucinante de la part de la directrice :

    « Réponse donnée l’année dernière, suite à une annonce de conférence de la Loge :

    Hélas l’Eglise n’est pas détruite  à cause de la Franc-Maçonnerie. Ne leur donnez pas autant de pouvoir ! Mais plutôt  à cause de ses guerres  et scandales internes…

    Certains d’entre vous m’ont fait part avec honnêteté d’ailleurs, de leur « étonnement » pour ma transmission concernant la conférence de la loge Maçonnique du Grand Orient de France (…) Votre étonnement est de bon aloi puisque la réflexion commence avec l ‘étonnement ! Ce docteur ès sciences intervient sur l’Humanisme dont les valeurs sont enseignées à nos élèves et partagées par toutes les religions et les personnes de bonne volonté… Mr Portnoff est franc-maçon comme l’étaient Mozart, Flemming , Montesquieu… L’Ethique d’Ouverture qui est la mienne exclut d’exclure qui que ce soit ; en outre, vous me connaissez, je suis réfractaire à tout diktat. Faisons comme si ce monsieur Portnoff était un publicain ! « 

    Cette réponse est tout à fait éclairante sur la trahison de certains responsables d’écoles catholiques.

    Il est possible de joindre l’enseignement catholique de Gironde au 05.56.43.66.80 ou à l’adresse courriel suivante : ddec33@orange.fr.

    RIPOSTE CATHOLIQUE

  • EN DIRECT. Vol EgyptAir : des débris de l'appareil ont été retrouvés

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/en-direct-le-vol-egyptair-ms804-entre-paris-et-le-caire-a-disparu-des-radars-19-05-2016-5808597.php

    + VIDEOS, TWEETS

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  • Journal du Jeudi 19 mai 2016 Terrorisme / Les djihadistes infiltrent les aéroports Ennemi infiltré. L’information a été passée sous silence dans les media français

    https://youtu.be/Voj2XyL9iq8

    TVLIBERTES

    Regardez jusqu'à la fin du Journal

  • Le prochain numéro du Figaro Magazine fait déjà scandale

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    A Saint-Denis, l'islamisme au quotidien

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    18/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Le prochain numéro du Figaro Magazine n’est pas encore en vente qu’il fait déjà scandale. Son titre : « Molenbeek-sur-Seine » ! Et cela parce que la Seine coule à Saint-Denis, commune désormais célèbre du « neuf-trois », et pas parce qu’elle abrite les tombeaux des rois de France.

  • Scandaleux : Jacques Toubon traite les pieds-noirs d’immigrés !

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    18/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : L’information figure dans le numéro de Minute daté d’aujourd’hui : le défenseur des droits Jacques Toubon traite les pieds-noirs d’immigrés ! Pages 7 et 8 de son ahurissant rapport sur « Les droits des étrangers en France », Toubon écrit en effet :

    Rapport Toubon« Aucune période de l’histoire de l’immigration, aussi intense soit-elle, n’a modifié le socle des valeurs républicains communes. Ni le million de rapatriés et harkis au début des années 60, pas plus que tous les Portugais, Espagnols, Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, venus – pour travailler – dans les années 60 et 70. Ni les immigrés sub-sahariens que l’indépendance des Etats africains a conduits en Europe. »

    « Vous avez bien lu ? », écrit Minute, qui s’indigne :

    « Jacques Toubon met sur le même plan… les Nord-Africains et les rapatriés d’Afrique du Nord ! Les Arabes et les Français ! Hé oh Toubon ! Un rapatrié, c’est quelqu’un qui revient chez lui ! Le million de rapatriés, c’était un million de Français qui étaient de retour en métropole ! En France. Chez eux ! Du latin médiéval « repatriare », « rentrer dans sa patrie » ! Ils avaient peut-être changé l’identité de l’Algérie, et c’est un autre débat, mais ce ne sont tout de même pas des Français de souche française qui vont changer l’identité de la France ! »

    L’hebdomadaire poursuit :

    « Et ces rapatriés sont aussi mis sur le même plan que les ressortissants d’Afrique noire “que l’indépendance des Etats africains a conduits en Europe“, comme s’il y avait eu un effet mécanique, de telle sorte que, si c’est le cas, on en vient à regretter que la décolonisation ait eu lieu et qu’on nous ait fait croire, à rebours de ce rapport de cause à effet que Toubon établit, qu’ils allaient enfin pouvoir vivre dignement chez eux, dans un pays indépendant, délivrés du joug du colonisateur. »

    Nommé « défenseur des droits » par François Hollande, Jacques Toubon fut le secrétaire général du RPR et le ministre de la Justice… d’Alain Juppé.

    On peut contacter le Défenseur des droits pour manifester son indignation
    au 09 69 39 00 00.

    Toubon insulte pieds-noirs

     

  • La malédiction Sykes-Picot

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    Par Philippe Simonnot [1]

    Le 16 mai 1916, il y a exactement un siècle, étaient conclus les « accords Sykes-Picot ». Cet événement ne fait l’objet d’aucune commémoration, en un temps où le culte du passé est devenu une obsession publique. Pourtant ces accords ont joué un rôle considérable dans la formation du Moyen Orient moderne ; ils sont en  grande partie responsables du chaos actuel, et rien que pour cette raison, ils mériteraient d’être sortis de la naphtaline des armoires de l’histoire. Mais non ! Et pourquoi donc !

    Pour le comprendre, il faut d’abord savoir qui étaient ces Dupond et Dupont de la diplomatie de ce début du 20ème  siècle qui tournaient en rond, au moins par l’imagination, dans les sables du désert.

    Mark Sykes (1879-1919), baronnet de son état, après avoir servi comme lieutenant-colonel dans l’armée britannique, était assistant du Secrétaire du War Office comme expert du Moyen- Orient qu’il avait parcouru. Il fut chargé de négocier avec François Georges-Picot, diplomate qui passait pour un bon connaisseur du Liban. Le premier très British, l’autre typiquement Quai d’Orsay, ces deux seconds couteaux du  grand jeu de la Première guerre mondiale n’étaient pas faits pour entrer dans l’histoire. Leurs « accords » n’ont eu droit à une postérité que parce qu’ils ont assez vite débouché sur le géant imbroglio sanglant dont on n’est toujours pas sorti.

    Il est vrai que ce style sépia-colonial  donne un certain charme aux combinaisons échafaudées par nos deux « experts »  de la chose proche-orientale. Le démantèlement de l’empire ottoman étant le but de guerre de de l’alliance franco-russo-britannique, il s’agissait  d’en répartir les dépouilles. D’où la division de la région en cinq parties :

      1. Une zone bleue française, d’administration directe formée du Liban  actuel et de la Cilcie (située au sud de la Turquie actuelle) ;
      2. Une zone arabe A, d’influence française, comportant le nord de la Syrie  et la province de Mossoul (que finalement les Français durent laisser aux Anglais qui ne voulurent bientôt plus lâcher cette éponge de pétrole ;
      3. Une zone rouge britannique, d’administration directe formée du Koweït actuel et de la Mésopotamie ;
      4. Une zone arabe B, d’influence britannique, comprenant le sud de la Syrie actuelle, la Jordanie et la future Palestine ;
      5. Une zone brune, d’administration internationale comprenant Saint-Jean d’Acre, Haïfa et Jérusalem.

    Hors texte, il était vaguement question de laisser Istamboul – c’est-à-dire Constantinople – à la Russie tsariste dont c’était l’un des buts de guerre. En fait, l’un des objectifs des  accords Sykes-Picot était justement de contrer les gourmandises de Moscou lors du dépeçage espéré de l’Empire Ottoman.

    Première perfidie d’Albion

    Toutefois, ce sont les Anglais qui les premiers écornèrent les accords Sykes-Picot.

    Le 2 novembre 1917, tout-à-fait officiellement, le gouvernement de Sa Majesté déclarait qu’il envisageait « favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif », et qu’il emploierait  « tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif ».Cette lettre adressée à Lord Rothschild était signée par Arthur Balfour, le ministre britannique des Affaires étrangères en personne, et non par un obscur fonctionnaire du Foreign Office. Ce document, connu sous le terme de Déclaration Balfour, prévoyait en fait, sous le prétexte sioniste, de confier la responsabilité de la Palestine aux Anglais, et notamment Jérusalem, dont il n’était pas question de laisser la gestion à ces mécréants laïcards de la République française. Stratégique pour la route des Indes que l’Angleterre voulait conserver envers et contre tout.

    Le plus drôle – si l’on ose dire – dans cet imbroglio, c’est que les sieurs Sikes et Picot, déjà  cocufiés, étaient présents dans la Ville sainte lorsque le général britannique Edmund Allenby y fit son entrée le 9 décembre 1917, après une campagne menée tambour battant depuis Gaza. Sykes dut sans doute consoler son compère Picot : le triomphateur du moment ne prit même pas la peine de présenter le diplomate français aux personnalités de Jérusalem réunies pour l’accueillir aux portes de la Ville.

    Le leak bolchévique

    Peut-être n’aurait-on rien su, du reste, des accords Sykes-Picot s’ils n’avaient été révélés au  gouvernement ottoman par les Bolchéviques en janvier 1918. L’intention des révolutionnaires moscoutaires étaient de montrer au monde entier, et particulièrement aux Etats-Unis, les turpitudes de la vieille diplomatie  impérialiste. Woodrow Wilson, président des Etats-Unis, trouva dans ce « leak » avant la lettre un argument supplémentaire pour fonder un nouvel ordre mondial qui serait dirigé cette fois depuis un centre unique situé à Washington [2].

    Sur le moment, le sultan turc s’empressa de transmettre la teneur des accords Sykes-Picot au chérif Hussein, hachémite, c’est-à-dire descendant du Prophète, et  chargé par les Turcs de la garde des lieux très saints de La Mecque. Il avait épousé la fille d’un haut-fonctionnaire turc  et recevait force subsides d’Istamboul. Mais  Hussein avait été pendant toute la guerre soigné aux oignons  par les Anglais, par le truchement, entre autres, de Thomas Edward Lawrence, plus connu sous le sobriquet de « Lawrence d’Arabie », un personnage bizarre [3] attiré par les Arabes comme beaucoup d’homosexuels de cette époque (Gide et autres amateurs du tourisme sexuel avant la lettre dans les colonies).

    Lawrence va être pris à son propre piège. Pour encourager Hussein à lutter contre la domination ottomane, Lawrence avait promis au chérif de La Mecque que lui-même et ses  fils Ali, Abdallah et Fayçal régneraient sur des entités indépendantes (Hedjaz, Syrie, Irak, Jordanie) réunies dans une  grande fédération arabe gouvernée depuis La Mecque. « Je voyais bien que si nous gagnions la guerre, écrira plus tard Lawrence, les promesses faites aux Arabes seraient un chiffon de papier. Si j’avais été un conseiller honnête, j’aurais dû renvoyer mes hommes chez eux au lieu de les laisser risquer leur vie pour ces histoires douteuses. Mais l’enthousiasme arabe n’était-il pas notre meilleur atout dans cette guerre du Proche-Orient ? J’affirmai donc à mes compagnons de lutte que l’Angleterre respectait la lettre et l’esprit de ses promesses. Rassurés là-dessus, ils se battirent vaillamment. Pour moi, loin d’être fier de ce que nous faisions ensemble, je ne cessais de remâcher une amère honte » [4]. Cette honte ne le quittera plus jusqu’à sa mort le 19 mai 1935 dans un accident (suicidaire ?) de moto.

    La Syrie maléfique

    Lawrence n’en conduira pas moins Fayçal, l’un des fils de Hussein, jusqu’à Damas pour l’y faire roi. Mais, comme on vient de le dire, la Syrie avait été laissée aux Français  par les accords Sykes-Picot, et c’est par la force armée qu’ils en chassèrent le cher ami de Lawrence. Lequel fut alors nommé roi d’Irak par les Anglais, et il le restera jusqu’à   sa mort en 1933. Le royaume d’Irak sera aboli par une révolution sanglante en 1958.

    Quant à la « Syrie française » – sous mandat décrété par l’ONU – elle fut vivement contestée par les nationalistes arabes, d’autant que le Liban lui fut ôté dès 1920. Sur un mode colonial-violent, l’armée française – la « première armée du monde » après la fin de la Première guerre mondiale –  livre d’importants combats en 1925-1927, bombardant Damas en 1925 : quelque  10 000 Syriens et 2 500 Français y laissent la vie. En 1941, comble de l’humiliation pour le coq gaulois, ce sont des Français qui affronteront d’autres Français, les uns au nom de la France libre de de Gaulle, les autres restés fidèles à Pétain, sous le regard goguenard des Anglais qui comptent les coups. Nouveaux bombardements par des avions gaullistes, cette fois, et 2000 morts en plus au palmarès français. Enfin, la Syrie deviendra indépendante en  1946. Question guerre civile et  bombes aveugles, les Syriens auront été à bonne école. Ils auront aussi appris du mandat français qu’il faudrait « diviser pour régner ». Nos  grands stratèges coloniaux avaient cru bon d’opposer les Alaouites qu’ils cajolaient, aux autres tribus arabes, aux Kurdes, aux Druzes, Damas contre Alep, Lattaquié contre Alexandrette, etc… Cette leçon perverse a elle aussi été retenue.

    Aujourd’hui, tout ce qui reste du  grand dessein anglais des années 1910, c’est le « petit roi » de Jordanie, Abdallah II,  le seul descendant du chérif Hussein de La Mecque à régner !

    La Grande-Bretagne avait misé sur le mauvais cheval

    En fait, la Grande-Bretagne, en partie à cause de Lawrence, avait misé sur le mauvais cheval, cet Hussein plus ou moins corrompu par les Turcs. Ils n’ont pas vu l’avènement d’une nouvelle puissance aux confins du désert, le wahabisme, prêchant un islam rigoureux, incarné  par la dynastie saoudienne. Lawrence lui-même ne voyait dans ces proto-islamistes que des rustres du désert sans goût ni culture, des iconoclastes. Ibn Séoud s’était  taillé un royaume dans les sables du Nedjd qui ne pouvait suffire à sa soif de pouvoir. Celui qui passait encore pour un aventurier, un bédouin sauvage, n’était pas admis à la table des Grands pour la répartition des dépouilles ottomanes.

    Aussi Ibn-Séoud de se servir lui-même : il s’empare de La Mecque en octobre 1932. Cependant, n’étant pas descendant du Prophète, il ne peut prétendre au titre de chérif  de La Mecque. C’est donc habillé en simple pèlerin qu’il entre dans le saint lieu le 13 octobre 1924. Le coup de force symbolique n’en est que plus retentissant. Le Royaume saoudien tel que nous le connaissons aujourd’hui va naître peu après. En haine des Anglais qui avaient cherché à l’éliminer, ils s’acoquinent avec les Etats-Unis qui, du même coup, raflent la mise pétrolière. On découvre bientôt que les  grands gisements du monde se trouvent sous  les pieds du monarque wahabite.

    L’erreur d’appréciation des Anglais aura coûté fort cher à l’Europe. La déchéance du Vieux monde sera consacrée par la célèbre rencontre de Roosevelt et d’Ibn Séoud à bord du croiseur américain Quincey  le 14 févier 1945. Le partage du trésor pétrolier avait déjà été fait. Le « pacte de Quincey », comme on le nomma ensuite, était stratégique : la stabilité du royaume saoudien ferait maintenant partie des « intérêts vitaux » des États-Unis qui assuraient, en contrepartie, la protection inconditionnelle de la famille Saoud et, par conséquent, celle du Royaume contre toute menace extérieure éventuelle. Premier pacte avec le diable islamique… Roosevelt essaya, au cours de la même rencontre, d’obtenir l’appui du roi  pour la cause sioniste en Palestine. C’était mal connaître le souverain saoudien qui oppose au président des Etats-Unis un non catégorique.

    Tout était en place pour de nouvelles tragédies dues à la sottise ou/et la cupidité des princes qui nous gouvernent. Quos vult Jupiter perdere dementat prius. [5]

    Notes :

    [1] Auteur de Enquête sur l’antisémitisme musulman, Michalon.

    [2] Notre article dans NDF, 11 mai 2016.

    [3] Lire à ce sujet l’impressionnant Lawrence l’imposteur, de Richard Addlington, Amiot/Dumont, 1954.

    [4] Les Sept Piliers de la Sagesse, traduction Charles Mauron, Payot, 1936, p. 345-346.

    [5] Ceux qu’il veut perdre, Jupiter commence par leur faire perdre la raison.

    NDF

  • Black M a menti : aucun Alpha Mamoudou Diallo guinéen en 39-45

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    « Suite à l’annulation de son concert à Verdun, Black M avait communiqué sur sa page Facebook : « Une terre pour laquelle mon grand-père Alpha Mamoudou Diallo, d’origine guinéenne, a combattu lors de la guerre 39-45 au sein des Tirailleurs Sénégalais » avant de dénoncer « une polémique incompréhensible et inquiétante ».

     

    Contacté par téléphone Pascal Guy est formel : historien et spécialiste du Ier Empire, qui  en sa qualité de chercheur a une carte d’accès aux archives militaires de Vincennes : « Il n’y a pas d’Alpha Mamoudou Diallo guinéen incorporé dans les troupes coloniales ».

    Le chercheur ajoute qu’après avoir fait des recherches minutieuses avec toutes les orthographes possibles, et en supprimant le prénom « Alpha Mamoudou », seuls deux Guinéens (qui donc n’ont pas « Alpha » dans leur prénom) figurent dans les archives militaire l’un est trop agé née 1888, quand l’autre né en 1905 a été démobilisé en 1941 et n’a donc pas participé à la libération de la France.

    Les médias auraient-ils pris le post Facebook de Black M pour argent comptant sans la moindre vérification ? Partout, dans presque tous les médias, des journalistes annonçaient sans aucune précaution la qualité d’ancien combattant du grand-père de Black M comme argument pour démontrer l’injustice qui était faite au rappeur. »

    Voici un lien vers un pdf de la liste complète des combattants des Troupes coloniales et indigènes (1850-1950) du Service historique de la Défense

    Source Laicart via FDS

  • Paris, mardi 17 mai : bombes incendiaires contre la police et affrontements avec le SO de la CGT

    https://youtu.be/Y-jQ0G3IRYI

     

    18 mai 2016 par Bucheron

  • Réaction de Florian Philippot à la déclaration de Hollande sur Europe 1 Matinale

    https://youtu.be/cYPBa1gx0mw

    Florian Philippot à 2'55

    A écouter !

  • Paroles de salafiste… A ne pas manquer !

     

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    PAROLE DE SALAFISTE, A LIRE ABSOLUMENT !

     

    Document exceptionnel publié par Le Courrier du Maghreb et de l’Orient : une interview franche et sans détour d’un imam salafiste prêchant en France, proche de Dalil Boubakeur (il est membre de sa « Fédération nationale de la Grande Mosquée de Paris »).

     

    Ce partisan du « vrai islam », inattaquable par ses références constantes aux textes, explique son projet, celui de l’islam : condamnation sans équivoque des « mauvais musulmans », mensonge et dissimulation du projet guerrier, subversion, violence et guerre …

     

    Il reconnait pourtant qu’à « l’époque des califes omeyades, on inventait de faux hadiths pour plaire au Calife et justifier sa politique impie !« . Comment fonder ainsi l’engagement de sa vie et la guerre menée au monde sur une telle ambiguïté en matière de vérité historique ? Qui lui fera lire Le Grand Secret de l’Islam ?

     

    Quelques morceaux choisis :

     

    « Le Salafisme, c’est la pratique de l’Islam à l’identique du Prophète –PBSL- et de ses compagnons »

     

    « Il faut s’en tenir aux écritures qui sont sans ambiguïté »

     

    « Ce qu’ils appellent « fondamentalisme », « radicalisme », « extrémisme »… c’est en réalité et tout simplement l’Islam pur, véritable, qui se conforme sans la moindre corruption, sans le moindre écart aux enseignements du Prophète »

     

    « Non, l’Islam n’est pas une religion de paix au sens qu’ils croient »

     

    « Le Coran ordonne aux Musulmans de combattre ceux qui refusent la parole de Dieu et qui, l’ayant entendue, ne la respectent pas »

     

    « le Prophète lui-même a lancé des guerres contre les mécréants, non plus défensives, mais pour porter la parole. Il a élargi alors le devoir de djihad et a dit : « Combattez-les d’abord jusqu’à ce que les persécutions cessent et, ensuite, jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Dieu. » [s2,193]

     

    « Les imams qui prêchent la vérité de l’Islam se cachent »

     

    [le journaliste] Une question qui fâche : vous êtes « proche » du Recteur de la Grande Mosquée de Paris, m’avez-vous dit. Qui promeut un Islam « de la République ». Vous jouez donc sur plusieurs tableaux ?

    « Il est difficile de développer cette question et de t’en dire plus… Et, comme je te l’ai dit d’entrée, il est inutile pour nous de nous exposer à ce stade de notre cheminement. (…) le climat médiatique et policier du moment n’est pas propice à en dire davantage sur nous-mêmes »

     

    Première partie :

    http://lecourrierdumaghrebetdelorient.info/islam/islam-interview-premiere-partie-la-parole-est-aux-salafistes/

     

    Deuxième partie :

    http://lecourrierdumaghrebetdelorient.info/islam/islam-interview-deuxieme-partie-la-parole-est-aux-salafistes/

    RIPOSTE CATHOLIQUE

  • Fuite des cerveaux et des talents : un fléau pour notre nation

    Communiqués / 18 mai 2016 / /

     

    Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

    Une étude du Conseil d’analyse économique et sociale parue mardi 17 mai révèle que le nombre de Français qui décident de quitter la France pour s’installer dans un autre pays a doublé en l’espace de quelques années. Les départs de ces Français, souvent diplômés, ne parvenant plus à se projeter professionnellement et à envisager l’avenir avec confiance, démontrent que la position économique de notre pays dans le monde n’a cessé de se dégrader.

    À force d’obstacles administratifs, de contraintes, de charges, de taxes et d’impôts toujours plus confiscatoires, la politique menée conjointement par les gouvernements de l’UMP et du PS depuis des décennies n’a eu de cesse de décourager les énergies et en particulier les plus jeunes, tentés d’aller exprimer leurs talents et compétences à l’étranger.
    Cette fuite des cerveaux constitue un véritable drame économique qui devrait davantage alerter les pouvoirs publics. La France se vide de ses forces vives et accueille dans le même temps des immigrés majoritairement peu ou pas qualifiés.

    Valorisant les talents, favorisant l’entreprise et protégeant notre économie, l’État-stratège que mettra en place le Front National permettra à chaque Français de s’accomplir dans son pays.

     
     
  • Le Front National soutient les policiers !

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Le Front National apporte son soutien le plus total aux policiers manifestant aujourd’hui place de la République à Paris et dans toute la France.

    Nos forces de l’ordre exercent avec courage des missions de plus en plus difficiles dans des conditions matérielles déplorables. Elles doivent faire face en première ligne au terrorisme et à l’explosion de la criminalité qui frappent notre pays. Récemment prise pour cible par une campagne de dénigrement absolument honteuse et irresponsable orchestrée par le syndicat Info’com de la CGT, notre police a tout au contraire besoin de se sentir portée par le soutien de la population et de l’ensemble des acteurs publics dans cette période de désordre généralisé.

    Depuis 2004, rappelons que 112 policiers ont été tués en service et 123 782 blessés en mission. Entre 2004 et 2014, 478 policiers se sont par ailleurs donnés volontairement la mort. Autant de tragédies qui témoignent de l’épuisement, du désœuvrement et de l’écœurement que connaissent nos policiers. Que l’on pense aux 12 500 suppressions de postes dans les forces de l’ordre opérées sous Nicolas Sarkozy ou aux funestes lois Dati puis Taubira, les gouvernements successifs portent une terrible responsabilité dans cette situation. Rempart face à l’ensauvagement de la société, la police ne doit plus voir son action entravée par un manque de moyens ou par le laxisme judiciaire.

    En finir avec l’impunité dont bénéficient de trop nombreux délinquants pour appliquer la tolérance zéro, renforcer les effectifs et moyens de nos forces de l’ordre, mettre en place la présomption de légitime défense pour les policiers ; tel est le projet du Front National pour soutenir notre police et, à travers elle, restaurer l’autorité de la République.

  • Trump prêt à parler avec Pyongyang et à revoir l'accord de Paris

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    reuters.com  |   |  552  mots
    (Crédits : © Lucas Jackson / Reuters)

    NEW YORK (Reuters) - Donald Trump se dit prêt à parler au dirigeant nord-coréen Kim Jong-un pour le convaincre de renoncer à son programme nucléaire s'il est élu en novembre à la présidence des Etats-Unis.

    Dans un entretien accordé mardi à Reuters, le candidat à l'investiture républicaine propose en outre de renégocier l'accord de Paris sur le réchauffement climatique conclu en décembre et condamne l'implication de la Russie dans l'est de l'Ukraine.

    "Je lui parlerai. Lui parler ne me poserait aucun problème", dit-il au sujet de Kim Jong-un, ce qui constituerait un revirement de taille pour Washington.

    "En même temps, j'exercerais de fortes pressions sur la Chine parce que nous avons un énorme pouvoir économique sur elle", poursuit le milliardaire new-yorkais dans l'interview, accordée dans les bureaux de la Trump Tower, à Manhattan.

    Sa disposition à rencontrer Kim contraste avec la politique de Barack Obama consistant à s'appuyer sur de hauts responsables américains pour s'adresser aux dirigeants nord-coréens.

    L'ex-secrétaire d'Etat Hillary Clinton, favorite de la course à l'investiture démocrate pour l'élection du 8 novembre, a estimé que Donald Trump cultivait une "étrange fascination" pour les dirigeants autoritaires étrangers.

    Le milliardaire new-yorkais dit par ailleurs ne "pas être un chaud partisan" de l'accord de Paris sur le climat.

    Ce texte, qui jette les bases d'une maîtrise des émissions de gaz à effet de serre à l'origine des dérèglements climatiques, a reçu l'approbation de 195 pays et a été signé le 22 avril à New York, au siège de l'Onu, par 175 pays.

     

    PAS L'ENNEMI DE JANET YELLEN

    Une renégociation de l'accord représenterait un revers de taille pour ce qui a été présenté comme le premier accord sur le climat d'une véritable portée internationale.

    "Je me pencherai sur la question très, très sérieusement, et au minimum je renégocierai l'accord; c'est un minimum. Et au maximum, j'irai plus loin", dit-il à Reuters.

    Laurent Fabius, qui dirigeait la diplomatie française lors de la conférence de Paris, a estimé ce mois-ci que l'élection présidentielle américaine serait cruciale pour l'avenir de l'accord, car si un opposant à ce pacte venait à être élu, cela menacerait fortement toute démarche internationale contre les perturbations climatiques.

    Donald Trump annonce en outre qu'il détaillera son programme économique dans deux semaines et propose de démanteler la quasi-totalité de la réforme Dodd-Frank adoptée après la crise financière de 2007-2009 pour éviter à l'Etat fédéral de devoir renflouer des établissements financiers en difficulté. Pour Trump, la loi de 2010 concernant la réforme Dodd-Frank représente une "force très négative".

    Hillary Clinton, qui est la favorite de la course à l'investiture démocrate, a jugé "dangereuse" la proposition de Donald Trump d'abroger la réforme Dodd-Frank.

    Enfin, concernant la Réserve fédérale américaine, Donald Trump a déclaré que si, au bout du compte, il souhaitait voir un républicain nommé à sa tête, il "n'est pas un ennemi" de l'actuelle présidente, Janet Yellen, laquelle a été nommée par Barack Obama. "Je ne suis pas de ceux qui pensent que Janet Yellen fait du mauvais travail", dit-il dans l'interview.

     

    (Steve Holald, Emily Flitter et Emily Stephenson; Jean-Philippe Lefief et Eric Faye pour le service français)

    LA TRIBUNE

     

  • Place de la République, à Paris, les policiers dénoncent la «haine anti-flics»

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/05/18/01016-20160518ARTFIG00238-place-de-la-republique-a-paris-les-policiers-denoncent-la-haine-anti-flics.php

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  • Pétain à Verdun: le Chemin des Hommes

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    VERDUN, LE CHEMIN DES HOMMES - En réorganisant la défense dès son arrivée à Verdun le 25 février 1916, Philippe Pétain a permis d'éviter la débâcle et de changer la donne.

     
     

    Début 1914, le colonel Philippe Pétain est à la tête de la 4e brigade d'infanterie, proche de la retraite. On ne regrettera pas cet officier aux théories à contre-courant qui valorise la non-exposition au feu et l'économie de la vie des hommes quand son milieu ne jure que par l'offensive à outrance! Mais dès août, ses succès au combat vont vite révéler sa valeur. Nommé général de brigade le 31 août, puis général de division 15 jours plus tard, il est, en octobre, général de corps d'armée, chargé du 33e corps en Artois. En juin 1915, Joffre lui confie la IIe armée en Champagne.

    Le 25 février, quatre jours après le début de l'offensive allemande, qui frappe de désarroi le commandement français, Pétain est convoqué au Grand Quartier général à 8 heures du matin et se voit confier en urgence la défense de Verdun. Aussitôt, il réorganise la ligne de front sur les deux rives de la Meuse. Les forts sont réarmés, l'aviation est mise à contribution pour renseigner sur les mouvements ennemis, et le flux logistique de la «Voie sacrée», organisé peu avant son arrivée, se met en branle depuis Bar-le-Duc. Pétain instaure aussi un système de relève régulière, la noria, qui va non seulement soulager les combattants, mais aussi les fédérer autour d'un enjeu partagé; grâce à ce système, 73 divisions sur 95 prendront en effet part à la bataille. Le succès est au rendez-vous, l'avancée allemande est ralentie et stoppée. Pétain finit pourtant par être jugé trop «défensif» par Joffre, à qui il ne cesse de réclamer des renforts. Le 19 avril, Castelnau l'avertit par téléphone que le généralissime songe à le remplacer par Nivelle. De fait, le 26 avril, il est nommé à la tête du groupe des armées du Centre: une promotion qui voile à peine un désaveu.

    Mais l'Histoire n'en est pas à un retournement près. Un an plus tard, en mai 1917, c'est Pétain qui est appelé pour remplacer Nivelle à la tête des armées françaises, après l'échec sanglant du Chemin des Dames. Par une politique d'économie des forces et de clémence, il résorbe la rébellion qui couve dans les troupes saignées à blanc et choisit avec pragmatisme d'attendre l'arrivée des Américains en Europe. Pressenti pour devenir généralissime des armées alliées, il est coiffé par Foch en mars 1918, mais reste commandant en chef de l'armée française. Alors qu'il préparait l'invasion de l'Allemagne, l'armistice est signé, trop tôt à son gré, le 11 novembre 1918. Il aurait préféré faire sentir à l'Allemagne le poids de sa défaite en envahissant son territoire pour négocier le traité de paix en position de force. Compté parmi les pères de la victoire, Pétain est aussitôt fait maréchal de France.

  • 48 pièces d'or romaines: un trésor exceptionnel découvert à Martigues ainsi que les vestiges de la ville antique

    http://www.laprovence.com/article/societe/3938905/48-pieces-dor-un-tresor-exceptionnel-decouvert-a-martigues.html#prev

     

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    Ces 48 pièces ont été trouvées directement dans la terre du chantier

  • Le FPÖ à l’assaut de la présidence autrichienne : un exemple à suivre ?

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    17/05/2016 – VIENNE (NOVOpress avec la Fondation Polémia) : Pour la première fois un parti populiste est en passe d’emporter une élection nationale majeure en Europe de l’Ouest. Norbert Hofer domine de très loin l’élection présidentielle autrichienne dont le deuxième tour aura lieu le dimanche 22 mai. Cette performance électorale s’explique, bien sûr, par la mise au premier plan des problèmes migratoires – mais pas seulement. Norbert Hofer allie fermeté dans les convictions et élégance dans la présentation. La ligne du FPÖ est identitaire et considère l’Autriche comme une composante de la « communauté de langue, de peuple et de culture allemande ». Le FPÖ est aussi national conservateur. Enfin, même s’il est ouvertement hostile aux débordements idéologiques de Bruxelles et attaché à la subsidiarité, le FPÖ reste un parti de sensibilité européenne. […]

    Le parti qu’il représente, le FPÖ, est d’abord un parti identitaire, qui considère l’Autriche comme une composante de la « communauté de langue, de peuple et de culture allemande ». Strache, qui avait exprimé il y a quelques années le souhait que le Tyrol du Sud – italien – jouisse d’une autonomie renforcée, a récidivé en appelant, il y a une semaine, dans le journal italien La Repubblica, à un référendum d’autodétermination en vue d’une réunification des deux Tyrols, pour le plus grand émoi de Matteo Renzi – et de la chancelière. C’est bien sur cet élément structurant qu’il a réussi à attirer les Autrichiens des classes les plus modestes, comme en témoigne la bascule, à son profit, de la ceinture rouge de Vienne lors des dernières élections municipales. Le candidat socialiste n’avait dû son succès qu’aux suffrages des quartiers plus aisés.

    C’est ensuite un parti conservateur, ou national-conservateur. A une époque promoteur d’une « chrétienté vaillante » avec Ewald Stadler – à la fin des années 1990 –, il s’en tient aujourd’hui à la défense de la famille traditionnelle, et se montre de façon générale critique sur les évolutions sociétales prônées par une certaine gauche. Comme héritier assumé des révolutions « bourgeoises démocratiques » de 1848, il adhère aux valeurs morales du petit peuple d’artisans, de commerçants et de petits entrepreneurs qui constituent – ou constituaient – sa base électorale. L’inflexion nationale-libérale que lui a appliquée Jörg Haider n’a été qu’un épisode d’un conflit interne récurrent entre une aile plus nationaliste et pangermaniste et une aile plus modérée et libérale.

    Enfin, sur les questions européennes, c’est un parti que l’on classe souvent parmi les eurosceptiques, alors qu’il en tient en réalité pour une autre Europe : ses principes restent « l’Autriche d’abord » et la subsidiarité. Très critique à l’égard de la Commission européenne, il ne prône pour autant ni sortie de l’Union ni de l’euro. Il entend seulement, comme d’ailleurs tous les partis conservateurs de l’espace germanophone, que Bruxelles reste à sa place et soit limitée strictement dans ses prérogatives. L’attachement du monde germanique au principe de subsidiarité est évidemment le fruit de l’histoire et de la structure fédérale de cet espace, et le soin jaloux que mettent les Länder, allemands ou autrichiens, à défendre leur autonomie de décision vis-à-vis des instances nationales et européennes trouve également au FPÖ un écho puissant. Quant à la Turquie, il n’en veut à aucun prix dans l’Union, mais soutient l’idée d’un traité avec Ankara. […]

    Le Front national, en France, pourrait, dans certaines limites, tirer profit ou faire son miel de cette expérience, s’il veut bien considérer que les électeurs les plus modestes, les nationaux en difficultés, se tournent naturellement vers les partis hostiles aux vagues migratoires, indépendamment de leurs options économiques – le FPÖ devient, comme le FN, un parti ouvrier, mais n’a pas modifié pour autant son programme dans ce domaine. Il faut rappeler, à ce sujet, que le principal obstacle que certains cadres de « l’Alternative für Deutschland » – qui, soit dit en passant, se rapproche du FPÖ actuellement – voient à une coopération avec le FN, ce sont précisément ses options marxisantes et crypto-communistes. Il faudrait aussi qu’il évolue – soyons fou – sur un élément essentiel de son ADN politique, en renonçant à son jacobinisme puritain et intransigeant, qui lui aliène une fraction déterminante de gens « raisonnables » que le FPÖ est, quant à lui, en train de gagner.

    François Stecher

    Publication partielle d’un texte disponible en intégralité sur le site de Polémia