
D'une famille juive marocaine très proche du roi du Maroc
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D'une famille juive marocaine très proche du roi du Maroc
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-est-Jean-Vincent-Place-25405.html

La députée FN du Vaucluse prévoit de se lancer dans une importante série de voyages, dont les motifs sont aussi variés que les destinations. Elle pourrait rencontrer le raïs Bachar el-Assad.
(….) Reste enfin le pays le plus polémique de ce circuit: la Syrie. Révélé par Le Monde, ce séjour devrait intervenir «avant l’été». «Ce sera un état des lieux politiques, les choses sont très mouvantes là-bas, l’État islamique recule», explique l’intéressée au quotidien du soir. «Il s’agit de rencontrer les associations qui s’occupent des Chrétiens d’Orient», ajoute un proche. Une rencontre avec Bachar el-Assad, largement soutenu par le Front national, n’est par ailleurs pas à exclure. Au contraire. «Ça sera la surprise du chef», s’amuse-t-on.
Dernière étape, et pas des moindres: Israël. Antisioniste revendiqué dans le passé, le parti d’extrême-droite a opéré un léger changement de pied ces dernières années. Outre une tentative de rapprochement avec la communauté juive – très hostile au FN du fait des multiples dérapages antisémites de Jean-Marie Le Pen -, certains cadres sont allés jusqu’à se rendre dans l’État hébreu. C’est notamment le cas de l’actuel vice-président du parti, Louis Aliot, qui y a fait une visite surprise en 2011.
«Nous avons été invités, tout le monde est OK pour nous recevoir là-bas, mais c’est ici que ça bloque», déplore-t-on dans l’entourage de la benjamine de l’Assemblée. «C’est très long et très compliqué car il y a des pressions de la part de ceux qui croient représenter les juifs de France», s’agace encore ce proche, qui accuse nomément le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Contactés, ces derniers admettent leur étonnement: «Nous n’étions pas au courant. Mais oui, nous nous y opposons fermement».
Le Figaro

Zemmour et Naulleau recevaient la semaine dernière Florian Philippot sur Paris Première.
Éric Zemmour a fait remarquer au vice-président du Front national qu’une grande partie des retraités qui votent FN au premier tour des élections ne le faisaient pas au second, par peur de la sortie de l’euro, et donc d’une dévaluation de leur patrimoine et de leur pouvoir d’achat.
De très nombreux économistes n’affirment-ils pas que l’application du programme économique de Marine Le Pen entraînerait une telle dévaluation ? Il est probable, en effet, qu’une sortie de l’euro verrait notre « Franc Nouveau » se dévaluer de 20 à 30 % par rapport à l’euro européen.
Et alors ! Faudrait-il en avoir peur ?
Avez-vous peur, braves retraités français, quand l’euro se dévalue de près de 30 % par rapport au dollar ?
Il y a deux ans, il était à 1,40 dollar pour 1 euro. Aujourd’hui à 1,10. Quand vous alliez aux États-Unis, vous aviez 140 dollars pour 100 euros ; aujourd’hui 110. Donc, vous n’allez plus aux États-unis et évitez d’acheter des produits américains.
Avez-vous peur, braves retraités français, quand vos actions en bourse se dévaluent de près de 30% ?
Il y a un an, le CAC 40 était à 5.000 points. Aujourd’hui, il est à moins de 4.000. Vos 100 euros en actions n’en valent plus que 70.
Alors, pourquoi auriez-vous peur d’une sortie de l’euro et de la création d’un FN (Franc Nouveau), même avec une dévaluation de 20 à 30 % ?
Si vous aviez un patrimoine de 100.000 euros, vous disposeriez, dès lors, de 70 à 80.000 francs nouveaux. Mais si vous ne sortez pas de France, cela ne changera rien à votre pouvoir d’achat car, par exemple, la baguette de pain qui coûtait 1 euro vous sera vendue 0,70 à 0,80 FN. Même exemple pour tous les produits français.
Votre appartement, que vous estimiez à 300.000 euros, vous le vendrez autour de 220.000 francs nouveaux, mais vous pourrez acquérir le même également à ce prix-là.
Vous ne perdrez de votre pouvoir d’achat qu’en achetant hors de France, mais à la condition que d’autres pays, comme par exemple le Portugal, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, etc., ne suivent pas le même exemple que la France.
Étions-nous dans la misère avant 2002 et l’euro ?
Étions-nous à l’agonie quand notre franc dévaluait régulièrement pour devenir lourd et encore plus lourd ?
Je trouve bizarre – je dis bien bizarre – que le silence soit si étourdissant en ce qui concerne la dévaluation de l’euro et la chute du CAC 40 qui frappent le patrimoine des braves retraités bien davantage que ne le ferait une sortie de l’euro et la naissance d’un « Franc Nouveau » !
«Je demande que les actions russes s'arrêtent, a affirmé le chef de l'État interrogé sur la crise en Syrie. La négociation se fera pour un temps avec le régime d'Assad, ensuite il y aura des élections», a lancé la président. Selon lui, Bachar el-Assad massacre sa population, avec l'aide de Moscou, et doit en conséquence être chassé du pouvoir. Un changement qu'il voudrait voir intervenir dans le cadre d'une élection, une fois la situation stabilisée.
11 02 2016
Enterrement d’Harald Nugiseks, ancien sergent de la division SS « Estonie », dite aussi 20e division SS de grenadiers. Visiblement, les Estoniens restent fidèles au sabre et au goupillon. Ils n’ont pas encore été touchés par la vague de bien-pensance européiste. Mais ça ne saurait tarder.

La peur régne sur la ville. Ce n’est pas le très bon film d’Henri Verneuil, mais bien la réalité quotidienne de Calais, devenue depuis le camp de Sangatte, la ville maudite. Les témoignages des Calaisiens, si peu relayés par les médias aux ordres d’un pouvoir mollasson, sont éloquents. Additionnés les uns aux autres, ils nous font frémir de honte. Comment peut-on laisser une ville française mourir à petits feux ? Mourir de peur ?
Ecouter ce marin-pêcheur sur la vidéo de Charlotte d’Ornenas déclarer : « On a peur, peur de sortir. Peur d’être volé. » « Mon radeau de survie a disparu une nuit, et je ne peux plus sortir en mer ». Laissez votre vélo 5 minutes, et vous le retrouverez dans la « jeuneguelle ». Sur la rocade, malgré la présence de mille policiers, CRS et gendarmes, qu’un camion ralentisse, et il est aussitôt pris d’assaut, ses cartons dévalisées, son chauffeur parfois frappé. « Le trafic des transporteurs a d’ailleurs fortement ralenti, affirme un habitant. Leurs patrons préfèrent les faire passer par la Belgique ».
La page facebook de Kevin R. est éloquente. C’est un jeune homme de 22 ans, né et vivant à Calais qui n’a pas hésité à participer à la manifestation du 6 février. Il voulait écouter ce que le général Piquemal avait à leur dire. Mal lui en a pris : il s’est retrouvé gazé par des policiers sans état d’âme, puis interpellé et relâché après avoir décliné son identité. « Le général a été arrêté alors qu’il venait de nous demander de nous disperser dans le calme. Ce sont les policiers qui ont provoqué la bousculade ». Nombre de ses camarades commentent eux aussi sur sa page la situation de leur ville, hier prospère, véritable grenier des Anglais qui traversaient la Manche pour repartir avec des caisses de vins, de fromages, de denrées typiquement françaises.
Certains, comme Damien, écrivent : « J’en ai marre de cette ville. Je cherche à partir ». Zoe est plus radicale : « Ca va mal finir, tout ça ! »
NDF

Chevaliers de l'Ordre de Malte
Le général Christian Piquemal est, entre titres et distinctions, Commandeur de l'Ordre souverain de Malte.
Se renseigner sur l'Ordre de Malte, qui est un ordre humanitaire fondé à Jérusalem en 1080.

Le défilé des chars est le moment-clé des carnavals. Mais en raison de la tempête qui menace, beaucoup ont été annulé, notamment celui de Düsseldorf ce matin. A Cologne, guère éloignée pourtant, le défilé est maintenu. Toujours sous haute surveillance policière, après les agressions du 31 décembre.
Mais c’est un autre carnaval, bien moins connu, qui fait aujourd’hui la une: celui de Fasching, en Bavière. Dans la parade est apparu un char de bien mauvais goût, la réplique d’un tank nazi avec dette inscription: « forces de défense de l’asile ». L’association locale qui a organisé la parade s’est défendue, plaidant l’humour et précisant qu’aucun de ses membres ne sont des sympathisants d’extrême-droite, et que des réfugiés en font même partie. Mais le parquet local a ouvert une enquête

Mariage d’un soldat syrien, dans les ruines de Homs
« La Russie a proposé d’observer un cessez-le-feu à partir du 1er mars en Syrie, mais son offre n’a pas encore été acceptée, a annoncé mercredi un responsable occidental, faisant état de réserves américaines. » Source : Reuters
N’oublions jamais qui sont les responsables des 260 000 morts, des millions de réfugiés et du pays ravagé par la guerre.

L’information n’a pas fait la Une : «L’Islande a retrouvé son niveau de chômage d’avant la crise.» Un résultat impressionnant pour la petite île indépendante qui a connu l’une des pires crises économiques d’Europe. Depuis sa faillite retentissante en 2008, l’Islande et ses quelque 320.000 habitants ont réussi un retournement économique impressionnant. Avec quelles recettes?
Le chômage en Islande est désormais de 1,9%, selon les chiffres officiels, le taux le plus bas depuis 2007. En 2007, le taux de chômage était de 1,3%… Au plus fort de la crise, survenue en 2008, le chômage avait dépassé les 10% (avec des pointes à 12%).
Pourtant, la crise islandaise a été un vrai tsunami pour cette île. « Peu de pays, voire aucun, avaient vécu une débâcle économique aussi catastrophique », notait le FMI à son propos.
Ce petit miracle à l’islandaise s’explique. Selon le Premier ministre, «nous n’aurions pu sortir de la crise si nous avions été membre de l’Union européenne», avait-il dit en novembre 2015. Sigmundur Davíð Gunnlaugsson avait même été plus loin en affirmant que ne pas être membre de la zone euro avait été une chance pour l’Islande: «Si toutes ces dettes avaient été en euros, et si nous avions été obligés de faire la même chose que l’Irlande ou la Grèce et de prendre la responsabilité des dettes des banques en faillite, cela aurait été catastrophique pour nous sur le plan économique.
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Plusieurs internes ont été exclus d’hôpitaux français pour cause d’incompétence. La plupart avaient effectué la première partie de leurs études en Roumanie, et grâce à l’équivalence des diplômes européens, étaient revenus en France pour leur stage d’internat. Mais après quelques semaines, ils ont été sortis des services et priés de suivre un stage (rémunéré) de remise à niveau de six mois.
A priori, il n’y a pas eu d’accident car on les a retirés assez vite des services…
Six d’entre eux étaient affectés à l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne. Cette exclusion est une première en France.
Encore marginal, le phénomène n’en est pas moins inquiétant. Huit internes en médecine générale, tous formés à l’étranger, ont été exclus de leurs services pour cause d’incompétence. Six d’entre eux – trois Français ayant fait leurs études en Roumanie et trois Roumains ayant commencé leur cursus dans leur pays – étaient affectés à l’hôpital de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne, pour leur premier stage de six mois. « Un danger pour la santé ». En novembre, trois avaient été affectés en pneumologie, les trois autres en gastro-entérologie. Mais très vite, leurs tuteurs s’étaient rendus compte qu’ils n’avaient pas le niveau. Ils avaient alors averti le professeur Philippe Jaury, coordonnateur des internes, qui décida de les renvoyer de leurs services. « Ils ne connaissent pas la sémiologie, les signes cliniques. Ils n’ont pas du tout les compétences pour être mis en autonomie comme nos internes qui sont formés en France », explique Philippe Jaury. « Ils ne peuvent pas être de garde dans les hôpitaux, il faut tout vérifier. Je trouve que c’est un danger pour la santé. Vous vous rendez compte que l’interne qui vous soigne, il a eu trois examens classants de fin d’étude. Est-ce que vous pensez que c’est un bon médecin ? », continue le docteur.
Formés dans d’autres hôpitaux. Renvoyés, les internes ont été placés dans d’autres hôpitaux pour y être formés pendant six mois, afin d’acquérir des compétences médicales, et pour certains, d’apprendre le français. Mais ils continueront à être payés, précise Jean-François Bergmann, qui accueille l’un de ces étudiants roumains, à Lariboisière, à Paris. « On l’a mis un peu dans un statut intermédiaire où il n’a pas la responsabilité de prescrire ou de faire des comptes rendus », explique-t-il. « Il voit les malades, fait des observations, nous les montre. Il essaye d’apprendre à tous les niveaux mais aujourd’hui, il a le niveau d’un étudiant en milieu de cursus de médecine. » Pour lui, cet étudiant ne sera jamais au niveau dans six mois.
Merci à Stormisbrewing

Dans une interview au magazine Valeurs actuelles, en kiosque jeudi 11 février, le candidat à la primaire républicaine, Donald Trump, évoque, en vrac, l'islam, l'immigration et les attentats de Paris du 13 novembre 2015.
Marion Maréchal-Le Pen votera contre la révision constitutionnelle
09/02/2016 – POLITIQUE (NOVOpress)
Au micro de Jean-Jacques Bourdin, Marion Maréchal-Le Pen a prévenu qu’elle voterait contre la révision constitutionnelle. « Je ne vois pas l’intérêt de cette constitutionnalisation de l’état d’urgence », a-t-elle expliqué, déplorant surtout que le texte en arrive à l’effet contraire de celui annoncé par le « président ».
». « L’objectif était d’élargir le périmètre de la déchéance de nationalité », tandis qu’aujourd’hui « la rédaction est faite de telle manière que nous arrivons à une restriction du droit existant », a-t-elle estimé. Un juste diagnostic du hollandisme : beaucoup de bruit pour rien, quand ce n’est pas beaucoup de bruit pour un désastre.