Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 402

  • La lettre du Front

    DÉBOUTÉS DU DROIT D'ASILE
    METTRE LES PAYS D'ORIGINE DEVANT LEURS RESPONSABILITÉS !

     

    Hier, le ministre autrichien des Affaires étrangères, le conservateur Sebastian Kurz, a déclaré qu'il souhaitait que l'Union européenne puisse couper les aides accordées à certains pays si ceux-ci continuaient de se montrer réticents à accepter le retour sur leur territoire de leurs nationaux s'étant vus refuser l'asile en Europe. Le ministre a notamment cité le Pakistan, le Maroc, ou encore la Tunisie : « En ce moment, (l'UE verse) par exemple 480 millions d'euros chaque année au Maroc, 414 millions à la Tunisie, et malgré cela ces pays refusent de reprendre les déboutés du droit d'asile ». Une attitude en effet inacceptable, et traduisant en creux la faiblesse constante de l'Union européenne tant dans la maîtrise des flux migratoires que de manière plus générale dans le domaine des relations internationales.

    De toute évidence, la lutte contre l'immigration clandestine doit se mener à nos frontières, mais aussi en amont. Une telle politique ne pourra être mise en place qu'à travers le retour à des relations saines et équilibrées avec les nations de l'autre rive de la Méditerranée. Des relations respectueuses, mais fermes s'il le faut : être voisins, dans un immeuble ou un quartier tout comme dans une aire géographique, cela passe par la reconnaissance d'un ensemble de règles communes fondant la relation. Il serait parfaitement normal qu'à l'instar de la proposition autrichienne, l'aide que les nations d'Europe fournissent à un certain nombre de pays du pourtour méditerranéen et du continent africain soit soumise non seulement à la réadmission des déboutés du droit d'asile dans leurs pays d'origine mais aussi à une lutte accrue (ce qui passe par des moyens policiers mais aussi une volonté politique traduite par une communication claire vers la population) contre l'émigration clandestine. En allant un peu plus loin, il ne semblerait pas non plus absurde qu'un certain nombre de peines de prison de ressortissants étrangers condamnés en France soient effectuées dans les pays d'origine. Cette « relocalisation » des criminels est d'ailleurs défendue en Suisse par le responsable de la sécurité du canton de Genève depuis l'été 2014. Après que celui-ci ait constaté que 91% des détenus de la prison du canton de Genève étaient étrangers, il avait notamment effectué un voyage au Maroc pour défendre cette idée. Si nous aidons financièrement ces pays à maintenir, ou reconstruire, leur équilibre social, il ne semble pas infondé de leur demander de nous aider en retour à préserver nos sociétés.

    Pour qu'un véritable dialogue s'instaure, il faut bien entendu des interlocuteurs stables et légitimes dans les pays amis, mais aussi un pouvoir parlant avec suffisamment de force et de clarté dans notre propre nation. Reconstruire une France qui parle fort et clair, respectée en ses frontières comme au-delà, c'est bien tout le projet du Front National.

  • Un migrant irakien viole brutalement un garçon de 10 ans dans une piscine car «il n'en pouvait plus»

    56b5e27cc46188eb0f8b45bd.jpg piscine.jpg

     

    © Wikipédia
    La piscine de Theresienbad à Vienne, où a eu lieu l'agression
     

    Un enfant de dix ans a été brutalement violé par un migrant irakien dans la cabine d'une piscine municipale de Vienne. Le garçon a dû être hospitalisé. L'agresseur s'est justifié en disant qu'il n'avait «pas eu de relations sexuelles depuis 4 mois».

    Les faits se sont déroulés le 2 décembre dernier dans la piscine de Theresienbad à Vienne (Autriche). Un sauveteur travaillant dans l'établissement a immédiatement appelé une ambulance après avoir découvert le garçon traumatisé et en pleurs. Pendant ce temps, son agresseur, un demandeur d'asile venant d'Irak, continuait tranquillement de s'amuser dans l'eau en sautant du plongeoir de trois mètres, rapporte le Daily Mail

     

    La police a directement procédé à son arrestation. Lors de son interrogatoire, l'agresseur a dit à la police qu'il avait eu une «urgence sexuelle» et qu'il «n'en pouvait plus» car il n'avait «pas eu de rapports sexuels depuis quatre mois». 

    Agé de 20 ans, le migrant était arrivé à Vienne en septembre dernier via les Balkans et avait trouvé un emploi en tant que chauffeur de taxi. Il a dit aux policiers qu'il savait que son acte était «une erreur» et qu'il n'avait «pas l'intention de laisser de cicatrices au garçon». Il s'est avéré par la suite qu'il était marié et avait une fille, toutes deux restées en irak.

    Sur Facebook, la police a expliqué qu'elle avait attendu longtemps avant de révéler l'affaire pour «protéger la victime» a assuré qu'elle appliquerait la «tolérance-zéro pour ce genre de crime, rappelant cependant qu'il ne fallait pas juger trop sévérement les réfugiés qui ont «vécu des choses difficiles». Les autorités se sont néanmoins dit «extrêmement choqués» par ce qui s'était passé. 

    Lire aussi : Carnaval de Cologne : déjà 22 plaintes pour agression sexuelle

    Récemment, les médias autrichiens ont également fait état du viol d'une adolescente de 13 ans par son mari de 26 ans qui l'a épousée en Syrie. La jeune fille n'a pas porté plainte contre son mari car il avait «le droit d'avoir des relations sexuelles avec elle quand il le voulait», selon la loi islamique.

    Pendant ce temps, l'Autriche veut limiter l'arrivée de migrants sur son territoire

    Cette affaire survient alors que les autorités autrichiennes ont annoncé vendredi que les migrants pris en charge à leur arrivée en Grèce par l'agence européenne aux frontières Frontex devaient être directement renvoyés en Turquie.

    C'est le chancelier autrichien social-démocrate Werner Faymann qui l'a déclaré samedi à la presse. 

    «Frontex doit arrêter les gens qui fuient vers la Grèce. Tous doivent être sauvés, mais ensuite ces personnes doivent être renvoyées en Turquie. Ainsi Frontex ne serait pas qu'un programme de sauvetage mais réellement un service de protection des frontières», déclare le chancelier dans le tabloïd Österreich.

    Il a ajouté avoir proposé «cette solution optimale» au Premier ministre turc Ahmet Davutoglu lors de la conférence des donateurs sur la Syrie, jeudi à Londres. Dans le journal Kronen Zeitung, Werner Faymann assure que ce serait «la seule mesure complètement efficace pour briser les réseaux de passeurs».

    Selon les services de la chancellerie interrogés par l'agence APA, la Turquie obtiendrait en contrepartie un déblocage plus rapide des trois milliards d'euros d'aide approuvés par l'Union européenne pour juguler le flux des migrants.

    L'Autriche est l'un des pays européens qui a accueilli, au regard de sa population, le plus grand nombre de demandeurs d'asile en 2015. En effet, pour une population totale de 8,7 millions d'habitants, 90.000 demandeurs d'asile sont arrivés en Autriche l'année dernière, soit l'équivalent de plus de 1% de sa population.

    Le 20 janvier dernier, Vienne a annoncé vouloir limiter à 37 500 le nombre de nouveaux demandeurs d'asile en 2016, un chiffre qui pourrait être atteint dès le mois avril.

    RT

  • PEGIDA: 10 000 à 15 000 manifestants à Dresde

    Le mouvement Pegida manifestait aujourd’hui à Dresde. Le gouvernement allemand s’inquiète de l’augmentation des manifestations contre l’islam, les réfugiés ou « un prétendu envahissement par les étrangers ». Une interdiction de Pegida est envisagée.

    FDS 6 février 2016

  • Saint-Brieuc : les manifestants anti-immigration dispersés, les militants antifascistes ont pu défiler

     

    20h56

    Ce samedi une trentaine de personnes anti-islamisation se sont rassemblées d’une part, 300 personnes contre le fascisme d’autre part. Les gendarmes mobiles étaient là.

    Malgré l’arrêté du préfet des Côtes-d’Armor interdisant toute manifestation, l’association résistance républicaine avait maintenu l’appel à se rassembler « contre l’islamisation de la France ». Une trentaine de personnes se sont retrouvées vers 10 h ce samedi entre la cathédrale de Saint-Brieuc et la préfecture avec des drapeaux français ou blancs à croix noire. Rapidement les gendarmes mobiles se sont positionnés tandis que le directeur départemental de la sécurité publique Laurent Dufour sommait les manifestants de se disperser. [...]

     

    Au même moment environ 200 personnes selon la police et 400 selon les manifestants se sont retrouvées square Allende devant le centre commercial les Champs. Le collectif rassemblant Solidaires, la CGT, Attac, Alternative libertaire, le NPA, le CNT avait lui aussi maintenu son appel à manifester. « La précarité et le chômage jettent une partie de la population dans les bras du front national. Il appartient aux syndicats de lutter en proclamant leurs valeurs de solidarité et de lutte contre les inégalités. », a déclaré un représentant de Solidaires.

    Estimant que le succès du rassemblement était une victoire, Solidaires a appelé à la dispersion de la manifestation. Mais une partie des manifestants ont tenu à manifester malgré tout. La décision a donc été prise de défiler jusqu’à la gare, l’appel à dispersion devant être lancé devant la gare. [...]

    Source

    200 personnes ont décidé de braver l’interdiction du préfet des Côtes-d’Armor. Ce dernier avait interdit tout rassemblement en centre-ville de Saint-Brieuc ce samedi 6 février.

    Les manifestants répondaient à l’appel de la Ligue des droits de l’Homme pour une déambulation festive, sonore et déguisée à partir de 10h place Allende à Saint-Brieuc. Un rassemblement qui se voulait « répondre » à la manifestation d’extrême-droite prévue à 10h ce même jour devant la préfecture des Côtes-d’Armor.

    Ce rassemblement voulait « combattre les amalgames simplistes et la stigmatisation nauséabonde » et dire « bienvenue aux migrants que la guerre et la misère jettent à nos frontières ». Après s’être rassemblées place Allende, les 200 personnes ont défilé jusqu’à la gare. Le cortège a ensuite été dispersé dans le calme par les forces de l’ordre alors que certains manifestants voulaient revenir place Allende. [...]

    Une trentaine de manifestants contre « l’islamisation et l’immigration » [...] Les 30 manifestants ont rapidement été dispersés dans le calme par les forces de l’ordre en nombre devant la préfecture.

    Source

  • L'Europe face à la montée des partis anti-migrants

    http://www.lefigaro.fr/international/2016/02/05/01003-20160205ARTFIG00346-l-europe-face-a-la-montee-des-partis-anti-migrants.php

    + INFOGRAPHIE

  • Manifestation interdite à Calais : un général et une vingtaine de personnes arrêtés

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/06/01016-20160206ARTFIG00137-manifestation-interdite-a-calais-un-general-et-une-vingtaine-de-personnes-arretes.php

    sans-titre.png Général Piquemal arrêté.png

    Arrestation brutale du général Piquemal à Calais

  • « Obama est tellement nul qu’il faudra des générations avant d’avoir de nouveau un président noir. »

     « Obama est tellement nul qu’il faudra des générations avant d’avoir de nouveau un président noir. »

    Download PDF

    « Les dirigeants de ce pays sont stupides, les élus de ce pays sont stupides, les officiels du Mexique sont coupables : il ne devrait plus y avoir un seul immigrant illégal aux Etats-Unis – un point, c’est tout. » Donald Trump n’a pas attendu pour opérer une percée. Le franc-tireur et milliardaire new-yorkais a sorti sa grosse artillerie contre le plus grave problème du pays : son invasion par le tiers-monde, la dissolution programmée de la race blanche.

    La chaîne Fox News avait réuni jeudi soir, sous les projecteurs d’une université de Cleveland, dans l’Ohio, dix des candidats républicains (sur 17 pour l’instant) à l’élection présidentielle de novembre 2016. Il y avait là trois gouverneurs (John Kasich, Chris Christie et Scott Walker), trois sénateurs (Ted Cruz, Marco Rubio et Rand Paul), deux anciens gouverneurs (Jeb Bush et Mike Huckabee) et deux étrangers au système (le chirurgien noir Ben Carson et Donald Trump). Celui-ci entra dans le jeu avec un double but : montrer qu’il pouvait être aussi décapant devant 15 millions de téléspectateurs que devant 300 sympathisants en rase campagne. Et obliger les neuf figurants qui l’entouraient à se situer, non pas par rapport aux différentes questions posées, mais par rapport à ses propres réponses. L’âme du débat changea de camp. Elle passa de l’establisment au franc-tireur. Elle passa du conformisme à la rébellion. Beaucoup de sujets furent abordés jeudi soir. Qu’importe ! Les solutions proposées étaient connues. Ce ne fut qu’une répétition. Du médiatique convenu, mais avec en plus un trublion. Et un trublion qui grimpe.

    Pourquoi Trump est-il en tête de tous ses concurrents ? Pourquoi les sondages le créditent-ils de 26 % des intentions de vote alors que le deuxième de la liste, l’ex-gouverneur Jeb Bush (frère et fils d’ex-présidents), n’en a que 12 % et le troisième, le gouverneur Scott Walker, 11 % ? Une avance de 14 points, c’est énorme. Cette marge inhabituelle s’explique par trois éléments. D’abord, la désaffection de plus en plus affichée de la part de l’électorat blanc – le parti républicain est composé à 89 % de Blancs – pour un système politique qui n’est plus en mesure de répondre aux grands défis lancés aux Etats-Unis. Ensuite, des élus – presque tous les rivaux de Trump le sont ou l’ont été – dont la prudence proverbiale, la mollesse viscérale et la démagogie instinctive ont douché depuis longtemps les plus vifs enthousiasmes démocratiques. Enfin, après six ans et demi d’un régime immergé dans une nauséeuse grisaille et nimbé d’un angoissant gauchisme, l’immense majorité de l’Amérique blanche n’aspire qu’à une chose : sortir du tunnel. Pas avec de vieilles recettes discréditées ou des réponses obsolètes. Sortir en démasquant les imposteurs. Sortir avec du neuf, du jamais vu.

    Or, le neuf, le jamais vu, c’est justement Trump. Soixante-neuf ans, trois fois marié, cinq enfants, sept petits-enfants, Trump vient de dépasser ses 10 milliards de dollars en cumulant immobilier, hôtellerie, équipes de football, terrains de golf, émissions de télévision, concours de beauté et, très récemment, vignobles de grands crus. « Le meilleur vin de la côte Est », dira-t-il le mois dernier lors d’une pendaison de crémaillère en Virginie. Le Trump intimiste. Mais il y a l’autre Trump, celui que ses ennemis – il en a beaucoup – soulignent et rappellent à chaque occasion : le Trump insolent, cynique, cassant. Le Trump boulimique qui écrase toute résistance sur son passage et impose ce qu’il veut à coups de millions de dollars. C’est le Trump qui fait les choux gras de la presse aux ordres. Et de l’establishment. Les deux en ont peur. Alors, pour se rassurer, ils forcent le trait, se complaisent dans la caricature : Trump, le capitaliste du béton, l’empereur du bluff. On se moque de ses outrances, de ses traits imparables, de ses injures fulgurantes. L’homme est d’un bloc. Il fonce sans doser les nuances.

    Un spectacle. Une sorte de cirque où le chapiteau est remplacé par un plateau de télévision, où les bêtes sont muées en politiciens. Le dompteur, c’est Trump. Trump sort son fouet. Il bouscule alors son petit monde animalier en traitant Jindal « d’incapable », Perry de « mollasson », Bush « d’insignifiant ».

    Alors, comme au cirque, la foule s’enflamme, ricane, plaisante. Ces coups de venin la vengent de décennies de frustrations, de tant de discours creux, de milliers de promesses trahies, d’une droite complice de tous les délitements. Frappe, Trump ! Cogne, Trump ! Et lui poursuit sa campagne d’iconoclaste avec les gestes d’un rebelle et les idées d’un populiste. Trump est un homme d’instinct. Il sent la foule et se lâche. C’est ce qu’elle aime : le parler vrai, des mots qui fusent, des images qui parlent. « Il faut, clame-t-il, construire un mur pour stopper l’immigration, taxer de 50 % les produits chinois et remettre l’Amérique sur les rails de la grandeur. » Il enfonce le clou : « Aucun politicien n’a encore défendu celui qui est devenu un étranger dans son propre pays, le travailleur américain blanc. » Et cette petite dernière pour la route… qui sera longue jusqu’en novembre 2016 : « Obama est tellement nul qu’il faudra des générations avant d’avoir de nouveau un président noir. »

    Lus sur Présent

    DélitD"images

  • Florian Philippot : « Les médias hystériques nous rediabolisent car nous progressons »


    Florian Philippot : « Les médias hystériques... par Lopinionfr

  • Zika : avortement et contraception pour tous sous l’égide de l’ONU

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Zika-avortement-et-contraception-pour-tous-sous-l-egide-de-l-ONU-37614.html

    Un virus qui rend un grand service à l’agenda sociétal mondialiste

  • Destruction méthodique de la pensée

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Destruction-methodique-de-la-pensee-33406.html

    Les Français font de plus en plus de fautes de grammaire

  • Le Parlement européen reconnaît le génocide des chrétiens par l’État Islamique

     

    Nous venons de recevoir ce communiqué de grand intérêt du Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ). C’est une bonne nouvelle en soi…

    Communiqué

    Dans une résolution « sur le massacre systématique des minorités religieuses par le soi-disant groupe « EIIL/Daech » » adoptée ce 4 février 2016, le Parlement européen a qualifié de génocide, crime de guerre et crimes contre l’humanité les crimes commis par le prétendu « État islamique » (ou Daech).
    Le Parlement invite les États à apporter « protection et assistance, y compris militaires » aux groupes visés, conformément au droit international. Il menace de poursuites judiciaires les États et individus qui soutiennent cette organisation criminelle et demande aux Etats européens d’empêcher leurs ressortissants de rejoindre les rangs du soi-disant groupe “EIIL/Daech” » et « de s’assurer que ceux qui le font sont poursuivis en justice dès que possible ».
    L’ECLJ a mené campagne auprès du Parlement européen, réunissant près de 100.000 signatures pour la reconnaissance de ce génocide. Le 27 janvier 2016, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe reconnaissait aussi le génocide.
    Après avoir rappelé la liste des exactions commises par le prétendu « État islamique », notamment les crimes de guerre et contre l’humanité, le Parlement européen « souligne que le soi-disant groupe “EIIL/Daech” commet un génocide contre les chrétiens et les Yézidis et d’autres minorités religieuses et ethniques qui ne partagent pas son interprétation de l’islam et que cette situation appelle donc à une action au titre de la convention des Nations unies de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide ». Le Parlement « prie instamment les membres du Conseil de sécurité des Nations unies de soutenir la saisine de la Cour pénale internationale » et invite le Conseil de sécurité à prendre des mesures « pour que ces actes soient qualifiés de génocide » par la Cour pénale internationale.
    À l’égard des pays et des autorités qui « soutiennent ces crimes, y coopèrent, les financent ou en sont complices », le Parlement leur demande « de mettre un terme à ces agissements inacceptables » et les menace de poursuites. Rappelant la résolution 2253(2015) du Conseil de sécurité des Nations unies, le Parlement européen menace de poursuites judiciaires les individus et entités qui apportent leur assistance au prétendu état islamique « notamment par la fourniture d’armes et d’une assistance financière, y compris le commerce illicite de pétrole ». Le Parlement vise ainsi en particulier le commerce illicite de pétrole à la frontière turque.
    Au-delà, le Parlement souligne que la communauté internationale a la responsabilité de mener une action collective afin de protéger les populations et « qu’il importe que la communauté internationale apporte, conformément au droit international, une protection et une assistance, y compris militaires, à tous ceux qui sont ciblés par le soi-disant groupe “EIIL/Daech” et d’autres organisations terroristes au Proche-Orient ».
    Le Parlement a choisi de transmettre cette résolution, non seulement à ses destinataires habituels, mais également aux instances des Nations unies et à l’Organisation de la coopération islamique et au Conseil de coopération pour les États arabes du Golfe
    L’ECLJ salue cette résolution qui constitue une étape importante dans la condamnation des crimes commis par l’état islamique et la lutte contre son idéologie.

    Observatoire de la christianophobie

  • Florian Philippot chez Z&N

    NDF

  • VIDEO - PEGIDA à Dresde, bastion de la Résistance allemande

     




    5
     

    Alors que l’Allemagne fait face depuis des mois à un afflux massif de migrants, PEGIDA organise chaque lundi à Dresde dans l’Est de l’Allemagne une manifestation contre « l’islamisation de l’Occident » qui rassemble des milliers de personnes. Une équipe de TV Libertés, conduite par Lionel Baland et Nicolas de Lamberterie, s’est rendue en janvier 2016 à Dresde afin d’interroger Tatjana Festerling, figure de proue de PEGIDA et ancienne candidate de ce mouvement à la mairie de Dresde.

    NDF

  • À Zeebrugge, le gouverneur de la province a appelé la population à « ne pas nourrir les réfugiés, sinon d’autres viendront ».


    Migrants : polémique en Belgique




    2
     

    Ces dernières semaines, des clandestins sont arrivés par dizaines depuis Calais (Pas-de-Calais) à Zeebrugge, dans le nord de la Belgique, pour tenter de rejoindre l’Angleterre. Alors, le gouverneur de la province de Flandre-Occidentale, Carl Decaluwé, s’est exprimé à la radio à la population pour délivrer ce message : « Ne nourrissez pas les réfugiés, sinon d’autres viendront ». Des propos qui font polémique.

  • Réforme constitutionnelle : le droit de vote des étrangers en douce ?

    http://fr.novopress.info/197883/reforme-constitutionnelle-droit-vote-etrangers-en-douce/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

    droit_de_vote_etrangers.jpg

  • Sofiane Feghouli appelle les franco-algériens à jouer pour l’Algérie : « un principe à ne pas discuter »

    1602052304060112.jpg

     

    18h44

    Le franco-algérien, Sofiane Feghouli appelle les footballeurs binationaux à jouer pour le pays de leurs parents.

    Il n’y a pas de justification sportive dans les paroles de Feghouli. Ses arguments sont politiques, historiques, sociétaux.

    Sofiane Feghouli a 26 ans. Il possède la double nationalité, française et algérienne. Il est également l’enfant d’une double culture comme bon nombre de jeunes gens, nés en France, amoureux de la terre de leurs ancêtres. Et comme eux, il exprime, à tort ou à raison, un malaise que personne ne découvre aujourd’hui : la difficulté de voir en la France, la mère patrie.

    “Dans cette société française, on n’est pas acceptés. Faut pas se mentir, c’est difficile pour nous, nos parents, ce sont des Algériens.”

    Dans un entretien qu’il a accordé à La Gazette du Fennec, il incite les jeunes d’origine algérienne à suivre son exemple : “Si j’ai un conseil à donner à ces nouveaux jeunes, c’est de ne pas hésiter d’opter pour le pays de leurs parents, c’est un principe à ne pas discuter. Il ne faut pas oublier l’histoire entre la France et l’Algérie, où il y’a eu des choses très graves qui se sont produites par le passé. Juste pour ça, je leur demande de jouer pour l’Algérie.” [...]

     

    Feghouli est né à Levallois-Perret. Il a connu les équipes du Red Star, du Paris Football Club et de Grenoble avant de partir pour l’Espagne où il fait le bonheur de Valence. Il est aussi le capitaine de la sélection algérienne puisqu’il a choisi en 2011 de jouer sous les couleurs de l’Algérie. Avant cela, il avait honoré une sélection avec l’équipe de France espoirs. Raymond Domenech pensa même à lui pour intégrer l’équipe A.

    sports.yahoo