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Blog - Page 395

  • Communiqué du Général Antoine MARTINEZ Le 09.02.2016

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    Devant l'invasion migratoire planifiée que subit l'Europe depuis le « printemps

    arabe », devenue massive depuis plusieurs mois, des citoyens européens

    commencent à réagir et à s'opposer aux tenants de l'idéologie multiculturaliste

    que de nombreux dirigeants veulent imposer aux peuples européens.

    Cette réaction traduit la prise de conscience des européens patriotes de toutes

    tendances, attachés à leur civilisation, à leur culture façonnée par le

    christianisme, à leurs traditions et modes de vie, du danger qui menace l'Europe

    face à cette intrusion incontrôlée et massive sur nos territoires de populations

    dont la majorité ne peut pas être considérée comme réfugiée et doit être renvoyée

    car motivée par des raisons économiques. Par ailleurs, la majorité de ces migrants

    est composée d'hommes jeunes dont certains infiltrés par l’État islamique, les attentats de Paris du 13

    novembre le démontrent clairement. Enfin, à quelques rares exceptions, ces populations sont de culture

    modelée par l'islam dont on voit bien qu'il est d'essence violent et donc incompatible avec nos démocraties.

    Alors, ces patriotes européens ont voulu se manifester le 6 février sur l'ensemble du territoire européen et,

    pour la France, quatre manifestations étaient programmées à Saint-Brieuc, Calais, Bordeaux et Montpellier.

    Un meeting au cours duquel je suis intervenu était organisé à Rungis, près de Paris, le 7 février.

    A Calais, cette manifestation était interdite par le ministre de l'Intérieur pour des raisons fallacieuses et de

    simple impuissance devant des événements qui dépassent totalement le gouvernement incapable de faire

    régner la légalité sur notre territoire. Le général PIQUEMAL le savait. Il a toutefois considéré que l'intérêt

    supérieur des peuples européens, et particulièrement du peuple français et de cette France charnelle qui nous

    unit, lui commandait de braver cette interdiction. Je salue son courage et appelle les Français à lui manifester

    maintenant leur soutien et leur solidarité.

    L'arrestation de ce serviteur de l’État et de la Nation, comme le sont tous ceux qui servent ou qui ont servi

    sous l'uniforme, constitue une manoeuvre d'intimidation d'un gouvernement aux abois qui tente de bâillonner

    la liberté d'expression de patriotes qui ont une vision de la France et de la Nation française dont ceux qui

    nous gouvernent sont incapables, leur seule préoccupation étant de gagner des élections. De plus, ils n'ont

    pas conscience que leur réaction irréfléchie favorise la radicalisation des esprits.

    Cette manoeuvre d'intimidation s'inscrit dans une démarche totalitaire que le Chef d’État-major des Armées a

    pu lui-même relever lors de sa dernière audition au Sénat lorsqu'un sénateur lui a demandé de faire taire

    certains militaires en retraite. Il en est de même lorsqu'on reçoit d'un autre élu du peuple un message assassin

    qui se termine par « avec le regret que la France ait pu vous compter parmi ses généraux »

    Il faut qu'ils sachent qu'un général n'est jamais en retraite, même s'il n'est plus en activité, car il continue de

    servir la France d'une autre façon, même s'il est évident qu'il prend parfois des risques. Mais comme l'a dit le

    poète « un général ne se rend jamais, même à l'évidence ». Seule compte la France. Nous sommes les

    sentinelles et les gardiens de la mémoire et de l'histoire de la Nation que nous avons le devoir de défendre et

    de transmettre. Et si nos camarades d'active sont soumis au devoir de réserve, et c'est bien compréhensible,

    ceux qui ne le sont plus ont un devoir d'expression, comme tout citoyen, et même plus en raison de leurs

    expériences diverses au service de la France et de son peuple.

    Alors, face à ces provocations grossières d'un gouvernement nerveux et contesté, seulement capable

    d'intimider les vrais patriotes, mais incapable, par manque de courage politique, de faire appliquer la loi sur

    l'ensemble du territoire, il nous faut rester calmes. Mais nous devons également être déterminés et résister

    pour redonner leur fierté aux Français au lieu de les maintenir dans la haine de soi injustifiée afin de leur

    rendre l'espoir pour redresser cette France que nous aimons tous. Nos gouvernants qui confondent la France

    avec la République la guident vers le chaos. Ils ont oublié que l'essence du politique c'est d'assurer la sécurité

    à l'extérieur et la concorde à l'intérieur. Ils devraient savoir qu'ils ne sont que les fondés de pouvoir d'un

    souverain qui s'appelle le peuple. Et en démocratie le peuple est souverain. Alors, qu'on lui donne la parole.

    Ensemble pour notre patrie charnelle. Vive la France éternelle!

     

    Général (2s) Antoine MARTINEZ

     

    (merci à Dirk)

     

  • Mosquée de Marignane: le maire souhaite une fermeture définitive

    http://www.fdesouche.com/701537-mosquee-de-marignane-le-maire-souhaite-une-fermeture-definitive

  • "Tout simplement l’Elysée s’inquiète de voir le Front national progresser"

    http://fr.sputniknews.com/france/20160218/1021897722/front-national-affaire.html

    1019748684.jpg Marine.jpg

  • Aveyron : l'autopsie confirme la mort par noyade de la jeune conseillère agricole

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/17/01016-20160217ARTFIG00184-aveyron-la-visite-pour-un-conseil-d-elevage-tourne-au-drame.php

    RIP Elodie

  • La Suède veut louer un luxueux navire de croisière pour y loger 1800 clandestins

     

    Une petite croisière gratuite en Suède ? Vous feriez bien de vous faire passer pour un clandestin fraichement

    L’Ocean Gala de l’affréteur US Shipmanagers

    débarqué… Voici la fiche technique du prochain hôtel pour les réfugiés de Suède : ici.

    Trouvé sur Le Point :  La Suède veut louer un luxueux navire de croisière et l’ancrer dans un port de la mer Baltique pour y installer près de 1.800 migrants, a-t-on appris jeudi auprès de l’Office des migrations.

    Un affréteur américain, US Shipmanagers, met à disposition l’Ocean Gala (anciennement MS Scandinavia et MS Island Escape), un navire construit en 1982 par les chantiers Dubigeon en France et transformé en hôtel flottant.

    « Le fournisseur doit trouver un port d’attache et le navire doit être expertisé » pour s’assurer qu’il satisfait certains impératifs de sécurité et de confort, a indiqué une porte-parole de Migrationsverket, Alexandra Elias.

    Des négociations sont en bonne voie, selon l’office qui versera 450 couronnes suédoises (48 euros) par passager et par jour à US Shipmanagers.

    La Suède manque de place pour loger les 163.000 demandeurs d’asile arrivés sur son sol en 2015. Faute de lits suffisants dans les centres d’accueil, des milliers d’entre eux sont hébergés dans des églises, des mosquées, des gymnases, des centres d’évacuation de la sécurité civile.

  • Propos sur les Roms : 25 000 € requis contre Jean-Marie Le Pen

     

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    «Vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Roms qui ont dans la ville une présence urticante et disons... odorante», avait déclaré Jean-Marie Le Pen, à Nice (Alpes-Maritimes). (LP/Olivier Lejeune.)

    Une peine de 25 000 € d'amende a été requise jeudi à Nice (Alpes Maritimes) à l'encontre de l'ex-président du Front National Jean-Marie Le Pen, pour avoir qualifié la présence des Roms «d'urticante» et «odorante», dans un discours en 2013.

     
     



    Jean-Marie Le Pen, qui était jugé pour provocation à la haine et à la discrimination ethnique, avait tenu ces propos le 4 juillet 2013, lors d'un discours d'investiture de la candidate niçoise du Front National à Nice.

    Outre la peine d'amende, le procureur a requis la publication du jugement dans les médias qui avaient à l'époque cité ses propos.

    Trois associations s'étaient constituées parties civiles dont SOS Racisme et la Ligue des droits de l'Homme. «Il décrit les Roms avec une image dégradante mais surtout qui incite à la haine en les comparant à des punaises qui vont envahir la Côte d'Azur», a souligné l'avocate de SOS Racisme Me Patricia Suid.

    Son avocat quitte l'audience

    L'avocat de Jean-Marie Le Pen, Me Frédéric Joachim, a tenté de faire valoir l'immunité parlementaire de son client, député européen, avant de quitter la salle d'audience lorsque le tribunal a abordé le fond du dossier.

    «J'ai quitté l'audience, c'est un geste qui est symbolique, qui est assez fort je pense et qui sera dorénavant celui de la défense de Jean Marie Le Pen dans toutes ses affaires tant que les tribunaux s'entêteront à ne pas respecter les procédures et tant que cette espèce de pensée unique continuera à régner de la sorte», a-t-il ensuite justifié.

    Le jugement doit être rendu le 7 avril.

    Mercredi dernier à Paris, une peine d'amende d'au moins 30 000 € a été requise contre Jean-Marie Le Pen pour «contestation de crime contre l'Humanité» pour avoir un nouvelle fois qualifié les chambres à gaz de «détail» de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. Le 2 avril 2015 sur le plateau de BFMTV-RMC, au journaliste Jean-Jacques Bourdin qui lui demandait s'il regrettait d'avoir qualifié les chambres à gaz de «détail», Jean-Marie Le Pen avait répondu: «Pas du tout. Ce que j'ai dit correspondait à ma pensée que les chambres à gaz étaient un détail de l'histoire de la guerre, à moins d'admettre que ce soit la guerre qui soit un détail des chambres à gaz».

    Le Parisien

  • Donald Trump n'est «pas chrétien», selon le pape François

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    Donald Trump «n'est pas chrétien», a affirmé jeudi le pape François dans l'avion qui le ramenait du Mexique à Rome.
    Alessandro Di Meio

    Régulièrement dans ses meetings, Donald Trump se pose en défenseur des chrétiens. Mais tous les chrétiens ne semblent pas se reconnaître dans le discours du milliardaire américain, candidat à la primaire républicaine pour la présidence des Etats-Unis. Il ne peut se revendiquer comme «chrétien» quand il promet de construire des murs contre les immigrés, a affirmé jeudi le pape François dans l'avion qui le ramenait du Mexique à Rome.

     
     



    «Une personne qui veut construire des murs et non des ponts n'est pas chrétienne», a affirmé Jorge Bergoglio, répondant à la question d'un journaliste sur les positions anti-immigrés du candidat à la primaire républicaine aux Etats-Unis.

    Des propos «honteux», selon Donald Trump


    Des propos qui n'ont pas été du goût de Donald Trump. «Qu'un leader religieux mette en doute la foi d'une personne est honteux», a indiqué le milliardaire dans un communiqué. «Aucun dirigeant, notamment un leader religieux, ne devrait avoir le droit de remettre en question la religion ou la foi d'un autre homme».

    Le discours anti-immigration de Donald Trump fait mouche auprès d'une frange croissante de l'électorat conservateur, tout en choquant par sa violence bon nombre de citoyens américains. Dans le camp même des Républicains, la surenchère du magnat de l'immobilier est perçue par certains comme un «suicide politique».

    En décembre, Donald Trump avait fait polémique après des propos appelant à «l'arrêt total et complet de l'entrée des musulmans aux Etats-Unis»

    Le Parisien

  • Allemagne : une élue d’extrême gauche s’excuse auprès des envahisseurs après avoir été violée par trois d’entre eux…

     




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    Une porte-parole de 24 ans de la Linksjugend, l’aile des jeunes du Parti de gauche, a été violée par les réfugiés présumés. Dans un message sur Facebook, elle présente ses excuses aux auteurs.

    Une porte-parole de la Linksjugend, l’aile du Parti de gauche, a été violée durant les derniers jours de janvier dans un petit parc de sa ville par deux à trois jeunes hommes. Ils parlaient arabe ou kurde. C’est tout au moins la description qui a été diffusée dans la presse locale.

    On ne sait pas encore si l’acte s’est réellement passé, parce que la gauche invente parfois des histoires. Le viol a toutefois été rapporté selon le rapport de police.

    Ceci est juste l’un des nombreux viols qui a été signalé ces derniers temps – et il n’est donc pratiquement pas utile de le mentionner. Cependant, il convient de noter ce qui a été écrit sur Facebook par la victime. Un hommage à l’auteur du viol qui « n’a rien fait pour cela ».

    Le coupable serait le sexisme en général et naturellement pas la vision de certains réfugiés issus des pays musulmans.

    La fiche Facebook de la personne concernée en dit long sur la gauche et donne un aperçu des structures de pensée de ce groupe politique. Leur seul souci est que l’action soit utilisée «abusivement».

    «Cher réfugié masculin,

    Tu as probablement mon âge. Probablement quelques années plus jeunes. (Ou) un peu plus âgé.

    Je suis tellement incroyablement désolée!

    Il y a près d’un an, j’ai vu l’enfer d’où tu as fuis. Je n’ai pas été directement sous le feu, mais j’ai visité les personnes dans les camps de réfugiés au Kurdistan Sud. J’ai vu de vieilles grands-mères qui devaient s’occuper de trop d’enfants sans parents. J’ai vu les yeux de ces enfants, certains n’avaient pas perdu leurs lumières.

    Mais j’ai vu aussi les enfants dont les yeux étaient vides et traumatisés.

    Environ 20 enfants m’ont montré durant leurs cours de mathématiques leurs caractères arabes et je sais encore comment une petite fillette a commencé à pleurer, juste parce qu’une chaise était tombée.

    J’ai vu un soupçon de l’enfer que tu fuyais.

    Je n’ai pas vu ce qui s’était passé avant ni dû subir ta fuite éprouvante.
    Je suis contente et heureuse que tu aies réussi à venir jusqu’ici. Que tu aies pu laisser derrière toi l’Etat islamique et sa guerre, et que tu ne te sois pas noyé en Méditerranée.
    Mais je crains que tu ne sois pas ici en sécurité.

    Logements de réfugié brûlés, attaques quotidiennes contre les réfugiés et une foule brune dans les rues.

    Je me suis toujours battue contre cela, que cela soit ainsi ici.

    Je voulais une Europe ouverte, une ambiance conviviale. Unie, dans laquelle je peux profiter de la vie et dans laquelle nous serions tous les deux en sécurité. Je suis désolée.

    Pour nous deux, je suis si incroyablement désolée.

    Toi, tu n’es pas en sécurité parce que nous vivons dans une société raciste.

    Moi, je ne suis pas en sécurité, parce que je vis dans une société sexiste.

    Mais ce pour quoi je suis vraiment désolée, c’est le fait que les actions sexistes et transfrontalières que j’ai subies contribuent seulement à ce que tu sois exposé de plus en plus au racisme violent.

    Je te le promets, je vais crier. Je ne permettrai pas que cela se produise encore. Je ne vais pas rester les bras croisés et laisser faire, que les racistes et les citoyens concernés t’identifient comme étant le problème.

     

    Tu n’es pas le problème. Tu n’es pas du tout un problème.

    Tu es le plus souvent une personne merveilleuse qui mérite autant qu’une autre d’être en sécurité et libre.

    Merci que tu existes – et contente que tu sois là. »

    Source : LesObservateurs.ch

    NDF

    HALLUCINANT !

  • Éric Zemmour sur la Syrie : “En se retirant, Obama rend service au monde”

     

     

    18/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Face à l’offensive russe en Syrie et la montée des tensions dans la région, certains attendent une intervention américaine et critiquent l’inaction du locataire de la Maison Blanche.

  • L’Académie française contre Najat Vallaud-Belkacem

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    Ce qui a sans doute le plus déplu à Najat Vallaud-Belkacem, c’est que les Immortels aient mis en cause sa politique.

    Najat Vallaud-Belkacem n’apprécie guère les positions prises par Hélène Carrère d’Encausse et l’Académie française sur la réforme de l’orthographe. Elle a fait part de son « étonnement » à voir le secrétaire perpétuel contester, dans un entretien au Figaro, « une réforme de l’orthographe élaborée il y a un quart de siècle [en 1990] et où l’Académie française n’a eu aucune part ». Ces « rectifications » de l’orthographe, rétorque le ministre, sont pourtant intégrées dans la neuvième édition de son dictionnaire : l’Académie avait donc exprimé son accord à l’époque ! Cherchons à y voir plus clair, documents à l’appui.

    C’est bien Maurice Druon, alors secrétaire perpétuel, qui, avec l’assentiment de l’Académie française, a présidé le groupe de travail ayant pour mission une réflexion sur « les corrections de l’orthographe ». L’Académie a approuvé à l’unanimité les propositions du Conseil supérieur de la langue française, peut-on lire dans la présentation du rapport publié au Journal officiel du 6 décembre 1990. Le Premier ministre Michel Rocard l’a lui-même confirmé dans sa réponse à Maurice Druon : « Ce qui est décisif […], c’est que vous avez travaillé en étroite relation avec l’Académie française et avec les deux organismes parallèles à votre Conseil […] : le Conseil de la langue française du Québec et le Conseil de la langue de la communauté française de Belgique ».

    Il est donc difficile de soutenir que l’Académie française soit totalement étrangère à ces « rectifications », même s’il est vrai qu’elle a apporté de multiples réserves : opposition à toute modification autoritaire de l’orthographe, acceptation de quelques ajustements à condition de laisser au temps le soin de modifier la langue, selon un processus naturel d’évolution. Devant les réactions suscitées, elle dut, dans sa séance du 17 janvier 1991, rappeler que « l’orthographe actuelle reste d’usage », et que les « recommandations du Conseil supérieur de la langue française ne portent que sur des mots qui pourront être écrits de manière différente sans constituer des incorrections ni être jugés comme des fautes ». L’Académie française manqua-t-elle de vigilance ou de réactivité à l’époque ? Fut-elle trompée, a-t-on mal interprété ou déformé ses positions ?

    Il est certain que l’entrée sous la Coupole de personnalités comme Xavier Darcos ou Alain Finkielkraut ne sont pas pour rien dans la réaction ferme et sans ambiguïté de l’Académie française aujourd’hui. Ce qui a sans doute le plus déplu à Najat Vallaud-Belkacem, c’est que les Immortels, dans une déclaration du 11 février 2016, aient mis en cause sa politique : « Plus que la maîtrise de l’orthographe, défaillante », soulignent-ils, c’est « la connaissance même des structures de la langue et des règles élémentaires de la grammaire qui fait complètement défaut à un nombre croissant d’élèves ». Et d’assener cette conclusion cinglante : « Il est urgent d’engager dès l’enseignement primaire le redressement souhaité par tant de nos concitoyens, en rétablissant les conditions d’une vraie transmission du savoir. » Manière élégante de dire : « Najat, casse-toi, tu fais fausse route ! »

    « Mais au nom de quoi faudrait-il, pour construire l’avenir, se couper de nos racines, et soumettre une langue de force ? », vient de déclarer Hélène Carrère d’Encausse au Point. Comment ne pas lui donner raison ? Peut-on émettre un petit souhait ? Que l’Académie française intervienne un peu plus souvent dans le débat éducatif et culturel. Qu’elle condamne publiquement la réforme du collège !

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Calais, sa jungle

    Source : Boulevard Voltaire
    Calais, ville en France et frontière qui protège le Royaume-Uni. Calais, ses habitants, désespérés. Calais, symbole d’une invasion qui ne dit pas son nom. Calais, sa jungle.

    NOVOPRESS

  • Charte de la laïcité à l’hôpital : reflet de notre société

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    L’islam est source de 95 % des incidents et cette charte montre que, désormais en France, existe un État mais deux peuples.

    Les historiens, lorsqu’ils étudient une civilisation, se penchent avec avidité sur les édits qu’elle émet. Ils apprennent ainsi beaucoup sur cette société, sur les problèmes qu’elle a rencontrés et sur la façon dont elle a essayé de les résoudre. Ils se régaleront avec la charte de la laïcité à l’hôpital qui vient d’être adoptée. Qu’on soit obligé de préciser, noir sur blanc, certaines choses, qui paraissent pourtant de bon sens, montre l’état de « déliquescence » de notre société.

    La charte a été élaborée après une enquête effectuée auprès des 1.200 établissements de soin. Mais seuls 172 ont répondu. Que la laïcité soit parfaitement respectée chez les « muets » serait surprenant ! Bien au contraire !

    La charte rappelle qu’une patiente peut exiger d’avoir affaire à une femme si le choix est possible. Mais qu’en cas d’urgence, ni elle ni son mari ni son père ne peuvent s’opposer à ce qu’un homme l’examine. Le Figaro nous livre des témoignages édifiants de médecins hospitaliers : des époux affirment ainsi que « si Allah veut qu’elle meure, eh bien qu’elle meure ! » ou même (paraît-il) « c’est pas grave, j’en ai encore trois autres à la maison »… Sans commentaire.

    La folie religieuse peut mener très loin : une femme, suspectée d’avoir une tuberculose contagieuse et prise en charge par une doctoresse, a refusé de faire une radio car un homme aurait pu deviner la forme de ses seins en regardant le cliché ! Elle a fini par quitter l’hôpital au bout de huit jours sans qu’aucun acte médical n’ait pu être pratiqué !

    Mais le corps médical peut également poser problème. Ainsi va-t-on interdire au nom de la neutralité à une chirurgienne de faire ses visites voilée comme elle le faisait d’ordinaire ! De plus en plus de jeunes étudiantes en médecine portent le foulard et prétendent ne vouloir s’occuper que des femmes pendant leur future carrière ! Le parfait apartheid sexuel est en marche !

    Accessoirement, on retrouve la sempiternelle question de la prière au travail. Des soignants abandonnent leurs patients, le temps de leurs cinq ablutions rituelles. On peut néanmoins espérer qu’aucun d’entre eux ne le ferait si le malade risquait sa vie !

    Pour être honnête, les autres religions posent aussi parfois quelques problèmes. Les Témoins de Jéhovah refusent toute perfusion, ce qui déclenche des guérillas juridiques lorsqu’il s’agit de sauver la vie de certains enfants. Des aumôniers catholiques démarchent indistinctement tous les malades, quelle que soit leur foi. Plus problématique, des médecins catholiques refusent l’avortement (ce qui, heureusement, est leur droit) mais n’indiquent pas à leur patiente le nom d’un confrère le pratiquant, ainsi que la loi les y oblige. Ils espèrent, ainsi, que le délai légal pour avorter soit dépassé.

    Néanmoins, au final, l’islam est source de 95 % des incidents et cette charte montre que, désormais en France, existe un État mais deux peuples, et qu’il faut organiser la cohabitation entre les deux !

     
    BOULEVARD VOLTAIRE

     

  • Pape François : "Plus de mort ni d'exploitation" - Un message mondial pour l'immigration

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/18/01016-20160218ARTFIG00001-pape-francois-plus-de-mort-ni-d-exploitation.php

    L'immigration de masse, l'invasion d'autres pays au mépris des populations qui y vivent depuis des générations, l'abolition totale des frontières, le métissage universel, voilà pour cet  étrange pape la panacée miraculeuse aux maux récurrents des foules humaines du tiers ou du quart-monde!  Nomades, errants, déracinés sur toute la surface de la terre, quel rêve ou plutôt quel cauchemar!  Car c'est l'immigration de masse qui engendre la mort et l'exploitation.

  • Allemagne : Les migrants ont commis plus de 200.000 actes criminels en 2015

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    23h15

    En Allemagne, selon des chiffres officiels partiels, les réfugiés (essentiellement Syriens, Afghans et Irakiens) ont commis 92.000 infractions de plus qu’en 2014, dans l’ensemble du pays. Le nombre de crimes commis par des migrants a donc augmenté de 79% en 2015 par rapport à 2014. Dans le même temps, le nombre de réfugiés a, quant à lui, augmenté de 440%. Dans leurs conclusions, les fonctionnaires mettent  en garde contre une « tendance croissante » des terroristes à se mêler à d’authentiques réfugiés.

     

    Un rapport recensant les crimes et délits commis par les immigrés de janvier à décembre 2015 a été établit par le Bureau pénal fédéral (BKA). Confidentiel et réservé à la police, ce rapport a toutefois été divulgué par le magazine Bild. On notera que les données proviennent seulement de 13 des 16 États qui composent la République fédérale.

    En effet, Hambourg, Brême et la Rhénanie du Nord-Westphalie, (3 États gouvernés par les parlements SPD de centre-gauche), n’ont pas souhaité transmettre leurs données criminelles au BKA. Cela signifie que les vol et les agressions sexuelles de Cologne, perpétrés le 31 décembre 2015, ne sont pas inclus dans ces statistiques .

    Le rapport indique qu’il y eut 240 tentatives de meurtres par les migrants – contre 127 en 2014 – et dans les 2/3 des cas, les auteurs et les victimes étaient de la même nationalité. Un seul Allemand a été tué par des migrants alors que 27 migrants ont été tués par d’autres migrants. Proportionnellement on trouve plus de délinquants chez les migrants originaires d’Érythrée, du Nigeria et des Balkans (Kosovo, Albanie, Serbie).

    Quant aux personnes soupçonnées de terrorisme qui s’infiltrent parmi les réfugiés authentiques, le rapport indique qu’il y a 266 cas de personnes soupçonnées d’être des «combattants et les membres des organisations terroristes à l’étranger. » [...]

    Express.co

  • « Six heures à perdre » de Robert Brasillach. Par Camille Galic

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    Camille Galic, journaliste, auteur, essayiste.

    Rééditée pour le 71e anniversaire de son exécution le 6 février 1945 au fort de Montrouge, Six heures à perdre est la dernière œuvre de Robert Brasillach, publiée à titre posthume chez Plon en 1953 et largement méconnue. Mais s’agit-il vraiment d’un roman comme la présente l’éditeur, « d’un grand roman de l’Occupation, un des plus grands qui soient, malgré l’abondance d’œuvres sur le sujet », insiste son préfacier ? On peut considérer aussi que l’écrivain s’efface ici devant le journaliste pour nous donner un formidable reportage, criant de vérité.

    Si son pays lui « fait mal », Brasillach (1) observe une totale neutralité sur le quotidien des prisonniers en Allemagne et celui des Français pendant les « heures les plus sombres ».
    C.G.


    Dans son érudite préface à ce livre, Philippe d’Hugues (2) rappelle que, préfaçant ce livre dans le tome III des Œuvres complètes de Brasillach parues au Club de l’honnête homme, son ami de la rue d’Ulm et beau-frère Maurice Bardèche affirmait que, « des trois parties que comporte l’ouvrage, c’est la première qui est la meilleure, alors que la troisième lui semble la moins réussie ». Ph. d’Hugues pense « exactement le contraire », trouvant « monotone » l’évocation « insistante » de la captivité de l’écrivain, alors que la deuxième partie intitulée « La Permission » lui semble « scintillante », une « petite merveille, du pur Brasillach d’avant-guerre », tout comme la troisième partie, « Le Drapeau noir », est « la grande réussite du roman ».

    Oserai-je dire que les trois parties me paraissent indissociables et également prenantes ? D’abord, l’argument romanesque : enfin libéré de son Oflag, un officier dont on ne saura rien occupe ses « six heures à perdre » entre deux trains à retrouver l’énigmatique Marie-Ange, rencontrée par son camarade de captivité Bruno Berthier à la faveur d’une permission pendant la drôle de guerre et qui dévoilera peu à peu tous ses mystères. Mais cet argument est surtout la justification d’un documentaire sur le contraste entre l’univers cloîtré du camp et celui, tout aussi étouffant, de la « vraie vie » sous l’Occupation. A l’appui de cette impression, le fait que le style de Brasillach – qui fit paraître ce récit en feuilleton dans Révolution nationale au printemps 1944 avant d’en corriger les épreuves à la veille de son arrestation – se fait moins fluide, moins littéraire. La « petite musique » demeure, mais l’ancien normalien ne recule pas devant les répétitions (il emploie par exemple deux fois le verbe aimer en une ligne) et néglige quelquefois l’imparfait du subjonctif. Oubliée la virtuosité, il veut que sa plume colle au plus près à l’authenticité, rende au plus juste les sensations éprouvées, les portraits qu’il esquisse, les situations qu’il décrit sans esprit partisan, sauf peut-être quand il campe ces « grosses crémières et bouchères » endiamantées grâce au rationnement… et dont se souvint sans doute Jean Dutourd quand il écrivit Au bon beurre huit ans plus tard.

    Après la défaite, Brasillach resta jusqu’en 1941 prisonnier à l’Oflag VI A de Soest, en Westphalie. Il n’en garda pas un si mauvais souvenir puisque, écrit le narrateur qui pourrait se prénommer Robert, le temps passé là a « ressemblé un peu à ma vie d’étudiant ». Promiscuité mais aussi camaraderie, promenades interminables autour du Marschfeld, plaisirs « communs et certains », ingéniosité infinie pour cuisiner des plats raffinés sur des fourneaux improbables (entre deux briques, on fait un foyer élémentaire et on pousse dessous des « bandes de papier » pour fricoter un « civet magnifique » à partir d’un « matou imprudent »), ou monter des spectacles « qui eussent honoré les plus hardies des compagnies parisiennes ». Car « lorsqu’on vit retiré du monde, c’est l’imagination qui devient la reine », qu’il s’agisse de « cristalliser » de manière très stendhalienne une rencontre à première vue éphémère, comme celle du permissionnaire Berthier avec Marie-Ange, ou d’élaborer des tentatives d’évasion. Le narrateur évoque ainsi deux « esprits ingénieux » qui s’étaient confectionné un uniforme feldgrau en papier pour passer inaperçus. Leur belle échoua mais « les Allemands rirent beaucoup, les félicitèrent et leur demandèrent l’autorisation de les photographier ».

    Le temps du dégoût

    Pour dépeindre l’Oflag et l’état d’esprit y régnant reviennent en leitmotive les termes naïf, naïveté, naïvement : afin d’exprimer le retour à une certaine innocence et la relative infantilisation d’hommes faits tout à coup privés de leurs responsabilités professionnelles et familiales ? ou pour exprimer le contraste cruel entre la discipline et la camaraderie du camp, où chacun se réjouissait de la libération d’un compagnon de chambrée, et les arrangements en tout genre et l’aliénation aboutissant au total « confusionnisme », « des idées et des instincts », dans lequel s’embourbaient et souvent se perdirent des civils prêts à croire à tous les miracles mais aussi à toutes les calomnies ? « Temps du dégoût », né « de la hargne, de la violence, des menaces souvent mises à exécution, de la plus complète intolérance », du « mélange bizarre qui se faisait ici de sentiments désintéressés et d’affaires, tout ce salmigondis de révolte et de marché noir, de banditisme sans aveu, d’idéalisme dévoyé ».

    Mais d’un même regard, distancié et pourtant presque empreint de tendresse, le narrateur décrit les jeunes séduits par l’Ordre nouveau et, à l’opposé, leurs contemporains trotskistes ou anars parmi lesquels évolue sans préjugés Marie-Ange, malheureux entraînés « vers de si noires alliances, noires et sordides ». Mais ainsi allait sans doute l’Occupation avec ses profiteurs et ses sacrifiés, ses salauds et ses héros courant vers « de belles morts dignes et graves, plus belles que la vie n’avait été, car il est plus facile de bien mourir que de bien vivre ».

    Propos prémonitoire ? Et prémonition aussi que le titre du récit, Six heures à perdre ? Six heures, c’est ce qui suffit le 19 janvier 1945 à la Cour d’assises de la Seine devant laquelle était déféré Robert Brasillach – qui s’était constitué prisonnier en septembre 1944, après avoir appris l’arrestation de sa mère et de Maurice Bardèche – pour examiner son cas, le déclarer coupable d’intelligence avec l’ennemi et le condamner à mort… après vingt minutes à peine de délibération. Charles De Gaulle, qui avait refusé sa grâce, devait ensuite écrire dans ses Mémoires, à propos du supplicié de Montrouge, que « le talent est un titre de responsabilité ».

    Six heures à perdre doit sa réédition à l’Association des amis de Robert Brasillach (3).

    Camille Galic
    12/02/2016

    Robert Brasillach, Six heures à perdre, éditions Pardès, janvier 2016, 256 pages.

    (1) Voir le poème de Robert Brasillach, «Mon pays m’a fait mal» dans Poèmes de Fresnes (dit par Pierre Fresnay).
    (2) Auteur de Brasillach, éditions Pardès, 2005, collection Qui suis-je ? 128 pages.

    (3) Association des Amis de Robert Brasillach, Case Postale 3563, 1211 Genève 3, Suisse (www.brasillach.ch). Le livre est disponible sur le site : www.librairiefrancaise.fr

    Correspondance Polémia – 14/02/2016

     

  • Sans circonflexes et sans complexes

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    Elisabeth Lévy, fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur.

    ♦ Non au langage SMS et des Beurs pour tous! Folle réforme de l’orthographe !

    L’orthographe « rectifiée », une faute grave, c’est ce qu’affirme Elisabeth Lévy, dans cette chronique de Causeur.


    Curieux, ces « rectifications orthographiques » que leurs promoteurs vantent en expliquant qu’elles ne changeront rien et que, de surcroît, elles sont facultatives. De fait, les réformateurs eux-mêmes ne semblent pas très fiers de leur dernière victoire. On dirait que cette réforme, personne ne l’a vraiment voulue, en tout cas pas au sommet de l’Etat. Elle est arrivée toute seule, devenant opérationnelle vingt-six ans après sa conception par la grâce des tuyaux administratifs et la volonté de technocrates inconnus (une parution au JO du 6 décembre 1990, transcrite dans le Bulletin officiel de l’Education nationale du 26 novembre 2015 et finalement intégrée par les éditeurs pour la rentrée 2016).

    Simplification, rationalisation, adaptation : toutes les raisons invoquées par les saccageurs de la langue française s’inscrivent dans ce triptyque et elles sont toutes mauvaises. Il est tout de même effrayant que, s’agissant de cette chose précieuse, raffinée et, il est vrai un brin rigide mais avec tant de charme, qu’est notre langue, on n’invoque jamais l’argument de la beauté – on changerait l’orthographe d’un mot pour qu’il soit plus aimable à l’œil. Non, il faut simplifier, parce que des règles fantasques mais implacables, empilées en strates désordonnées depuis des siècles, sont devenues étrangères à beaucoup de Français, notamment parmi les jeunes. Que la maîtrise de codes complexes, truffés d’arbitraires et hérissés de cas particuliers, permette d’apprendre à penser, c’est une idée qui, paraît-il, n’est pas de notre temps. La moderne attitude, c’est d’assumer son ignorance.

    En somme, adaptons le niveau de langue à celui que nous sommes capables d’enseigner. On ne sait plus écrire « oignon » ? Qu’à cela ne tienne, virez-moi ce « i » trompeur et inutile. Quant aux « chapeaux de gendarme », ne sont-ils pas un discret signe de distinction, un ultime vestige de la prétendue supériorité de la culture sur l’ignorance ? Le circonflexe, c’est, la plupart du temps, une bonne manière qui ne sert à rien, sinon à rappeler un passé révolu : l’archétype du truc réac et nauséabond.

    Avant le langage SMS pour tous…

    Dans cette perspective, beaucoup trouvent que cette réforme ne va pas assez loin. Sur le site de l’Obs, André Crevel, « linguiste et grammairien » plaide aussi pour la suppression des doubles consonnes « quand cela n’a aucun impact sur la prononciation » : « ”Honnête” deviendrait “honête”, “supprimer” se transformerait en “suprimer”. On pourrait également remettre en question les “lettres grecques”. Par exemple, les “h” muet, vestige du grec, ne sont parfois pas utiles (“hippopotame” deviendrait “ipopotame”). »

    Ne nous arrêtons-pas en si bon chemin : éradiquons aussi les apostrophes, énervantes, les tirets, ambigus, et le point-virgule, bien trop indécis, le fourbe.

    De toute façon, comme l’a souligné Alain Finkielkraut au cours de l’émission « L’esprit de l’escalier », aucune réforme ne rattrapera les fautes réelles d’élèves qui conjuguent les substantifs (les pomment). A moins, bien sûr, de passer au langage SMS pour tous, ce qui nous permettra de réduire considérablement nos dépenses d’enseignement.

    … voila venu le temps de l’orthographe à la carte !

    Mais le plus comique, ou le plus sidérant, de l’affaire, c’est que cette réforme soit présentée comme facultative. L’orthographe à la carte, il fallait l’inventer. C’est comme pour le mariage, chacun fait ce qui lui plaît. Qu’est-ce que ça peut te faire que d’autres écrivent « nénufar », puisque tu pourras continuer à écrire « nénuphar » si ça te chante. Au final, au prétexte inavoué de faire disparaître d’antiques distinctions, on en crée une, de taille, entre ceux qui continueront à parsemer leurs textes de clins d’œil au passé et les enfants du nouveau perpétuel.

    Heureusement, les Français sont plus amusants et plus futés que ce que croient les réformateurs qui veulent leur simplifier la vie. Les gens ne veulent pas qu’on adapte l’orthographe aux fautes de leurs enfants, ils veulent qu’on leur apprenne à ne pas faire de fautes. La révolte qui gronde pour les circonflexes évoque furieusement celle qui s’est levée contre la réforme des collèges. On ne veut pas de votre égalité à deux balles, on ne veut pas de votre monde simplifié, sans complexes et sans complexité. Donc sans beauté ni intérêt.

    Elisabeth Lévy
    08/02/2016

    Source : Causeur.fr

    Voir aussi :
    Tiens !… Papa ne porte plus de robe

    Réforme de l’orthographe : le coup de gueule d’un prof

    Correspondance Polémia – 15/02/2016

    Image : Scrabble, jeu de société, à forte connotation pédagogique.

     

  • Le dhimmi du jour est le maire de Courbevoie, Jacques Kossowski

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    17/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Pendant la menace d’attentats islamistes et l’état d’urgence, l’islamisation continue. À Courbevoie, les habitants ont pu découvrir leur future mosquée, sur terrain municipal bien sûr.

    Le bail emphytéotique de 80 ans pour un terrain communal de Courbevoie pour la construction d’une mosquée d’une surface au sol de 680m2 avait été signé fin juin. Ce week-end, les Courbevoisiens ont pu découvrir leur future mosquée lors d’une journée portes ouvertes de l’actuelle salle de prière dirigée par l’ACMC, l’association Cultuelle des Musulmans de Courbevoie. Le bâtiment pourra recevoir environ 1 800 fidèles, avec salles de prière pour femmes séparées, bien entendu. Si le style est bien d’inspiration orientale, il ne comporte pas de minaret, c’est toujours ça.
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    Il faut croire que ce projet était d’une grande importance puisque la présentation des maquettes et plans s’est faite en présence du préfet des Hauts-de-Seine, Yann Jounot, du président du Conseil français du culte musulman, Anouar Kbibech, de militants de gauche, en passant par les adjointes de droite de Courbevoie, Aurélie Taquillain et Puteaux.
    Le Parisien relève aussi la présence de « riverains, un peu sur la réserve ». Ce délicat euphémisme dit bien la joie des voisins d’entendre bientôt l’appel à la prière.

    Si la laïcité suppose le respect de toutes les religions, elle n’implique pas d’en favoriser une par l’octroi de conditions particulièrement favorables pour l’implantation de ses lieux de culte, faut-il le rappeler une nouvelle fois. Par l’octroi d’un bail emphytéotique dont le montant des loyers reste mystérieux, la présence de son adjointe à cette journée portes ouvertes, consacrant l’importance que le projet revêt à ses yeux, Jacques Kossowski mérite bien son titre de dhimmi du jour.

    Crédit photo : Agence XXM architecturesvia

  • Nos déconstructeurs

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    16/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Depuis plus de trois décennies, nos politiques ont abdiqué toute idée de résistance face aux idées mondialistes et altermondialistes. Ils ont tellement bien appris leur nouvelle leçon qu’ils nous imposent à présent d’oublier ce que nous sommes !

    Avec leur idéologie cosmopolite du bien vivre ensemble, la longue mémoire de la France doit s’effacer devant les valeurs idéologiques de la République, notre peuple doit se fondre dans un système communautariste, notre nation disparaître dans le multiculturalisme et notre histoire commencer avec Mai 68 et la Révolution de 1789. Tout le reste relève de l’anecdote. La crise que nous traversons n’est autre qu’identitaire et de ce fait beaucoup plus sérieuse et plus complexe qu’une simple crise économique qui peut toujours être combattue par des solutions alternatives.

    Certains penseurs, plus éclairés que la moyenne des pseudo-intellectuels modernes, avancent l’idée d’un déclin inévitable. Ils déclarent souvent avec gravité, dans l’indifférence générale, que l’Europe occidentale se trouve dans un état de décadence très avancé et que nos problèmes liés à l’immigration de remplacement ne sont que les révélateurs d’une fin de cycle douloureuse. Qu’après avoir connu la force et la grandeur, l’Occident européen était à bout de souffle, étouffé par un esprit de culpabilité savamment entretenu par ceux qui veulent la mort des frontières, qu’elles soient économiques, financières, politiques ou migratoires.

    De ce fait, assister à l’effervescence médiatique engendrée par à un énième remaniement gouvernemental, qui n’apportera rien de plus que les précédents, me laisse assez sceptique sur notre degré de réaction face aux problèmes réels auxquels nous sommes confrontés. De nos jours, la politique répond uniquement à des intérêts personnels ou de lobbies. Les intérêts du pays, du peuple, de la nation souveraine sont juste devenus avec le temps qui passe des souvenirs lointains et encombrants.

    Aujourd’hui, la France, on aime l’insulter, la rabaisser à un simple lieu de transit ouvert à tous. « Aujourd’hui, la France, tu la détestes ou tu tais ! » pourraient dire en cœur les déconstructeurs. Pour s’en convaincre, il suffit de rendre visite au site Facebook du Bloc identitaire Lyon. Depuis plusieurs mois, pour ne pas dire quelques années, les animateurs de ce site nous rappellent les sorties les plus remarquables de notre élite à propos de leur attachement à la France. Leurs citations se passent de commentaires.

    Pour exemple : « Il n’y a pas de Français de souche » (Claude Allègre), « Oui, il y aura des minarets aux côtés des clochers de nos églises sur le paysage de nos campagnes. Et alors ? » (Bernard Stasi), « J’ai déjà vécu en terre d’islam. Je suis donc prêt à vivre dans une France à majorité musulmane. » (Monseigneur Jean-Pierre Cattenoz), « Il faut que l’Europe se pense comme région d’immigration » (Daniel Cohn-Bendit), « Aujourd’hui, la France profonde est celle des banlieues à majorité musulmane » (Nicolas Sarkozy), « L’islam est en Europe depuis 3000 ans ! » (Jamel Debbouze), « Il faut arrêter de dire qu’il y a eu des viols en Allemagne, on ne sait pas exactement ce qu’il s’est passé. » (Bernard Cazeneuve), « Le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français. » (Anne Hidalgo). La liste pourrait être sans fin, et je n’exagère pas.

    Tout ça pour répéter une nouvelle fois, au risque de passer pour un rabat-joie, nous n’avons plus rien à attendre d’eux. Ceux qui sont encore dans cette posture d’espoir sont condamnés à vivre de lourdes désillusions.

    Vincent Revel

  • Près de 10.000 SDF ayant composé le 115 en janvier n’ont pas eu d’hébergement

     

    « En janvier, près de 10.000 sans-abri ayant sollicité un hébergement n’ont pas eu de réponse favorable, dont de nombreuses familles avec enfants, selon le baromètre 115 publié aujourd’hui. »

    Alors que le gouvernement se décarcasse pour loger les « migrants »…

    Par ailleurs, selon l’association Les enfants du Canal, un SDF de 66 ans est mort de froid dans la nuit du mercredi 20 au jeudi 21 janvier, dans le huitième arrondissement de Paris, sur la rampe d’un parking dans lequel il avait ses habitudes. […] Les enfants du Canal assurent que le SDF avait effectué une demande d’hébergement d’urgence auprès des services de l’État (SIAO) dès le 9 décembre 2015. Une information confirmée par la préfecture.

    Les Echos via fds

    Ce gouvernement nous fait honte!

  • Fin du calvaire d’un "bébé-sorcier" nigérian sauvé par une Danoise

    http://fr.sputniknews.com/insolite/20160217/1021856722/nigeria-bebe-abandonne-sauve.html

    + TWEETS ET PHOTOS

    Incroyable!