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Blog - Page 529

  • N'oublions jamais. 3 juillet 1940… L’agression britannique sur Mers El-Kébir : 1927 marins français tués

     

    « Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’événement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop » (Amiral Marcel Gensoul)

    Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée (1928 – 1945)…

    Tour à tour, port de pirates, centre de transit commercial et base navale, elle a offert une physionomie différente à chaque nouveau contact de populations, à travers les vicissitudes d’une histoire bimillénaire. Ce mouillage est à 200 kilomètres des ports ibériques de Carthagène et d’Alméria, du port rifain de Mélilla, à une distance à peu près double du Détroit de Gibraltar, passage obligatoire de la Méditerranée à l’Atlantique ou du Moyen Orient à l’Occident européen.

    Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.

    Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.

    L’armistice franco-allemand du 25 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes -qui n’avait pas été vaincue- est libre.
    Ni l’amiral Darlan, ni le général Weygand n’ont l’intention « …de livrer à l’ennemi une unité quelconque de notre flotte de guerre » et de Gaulle le dira, le 16 juin à Churchill en ces termes « La flotte ne sera jamais livrée, d’ailleurs, c’est le fief de Darlan ; un féodal ne livre pas son fief. Pétain lui-même n’y consentirait pas ».

    Les Anglais, de leur côté, désirent que notre flotte, riche en unités lourdes et légères, se rende dans leurs ports. Elle aurait pu le faire, le 16 juin 1940, mais personne ne lui en donne l’ordre et la Marine reçoit l’assurance, « qu’en aucun cas, la flotte ne sera livrée intacte », mais qu’elle se repliera probablement en Afrique ou sera coulée précise l’Amiral Darlan. Hitler ne demande pas livraison de notre flotte (le projet d’armistice ne le prévoyant d’ailleurs pas), pas plus que de nos colonies, sachant qu’il n’est pas dans nos intentions d’accepter de telles exigences.

    Les 18 et 19 juin, sont sabordées ou détruites, des unités en construction à Cherbourg, celles en réparations à Brest, Lorient, La Pallice et au Verdon. Les bâtiments capables de prendre la mer appareillent partie pour Plymouth, partie pour Casablanca, même le cuirassé Jean Bart inachevé.

    Le 27 juin, Churchill, en dépit des assurances données par le gouvernement Français, décide, dans le plus grand secret, de mettre « hors d’état de nuire » la marine française. Cette opération aura pour nom Catapult.

    Le 30 juin, dans un accès de colère, l’amiral North s’adresse à l’amiral Somerville :

    Qui a eu cette fichue idée (opération Catapult) ?

    Churchill ! répondit Somerville

    No « Catapult », but, « Boomerang » ! Cette opération nous met en danger, répliqua North. Winnie (Churchill) est fou ! Je vois ce qu’il veut mais c’est une solution criminelle.

    Les bâtiments de la Méditerranée, le 3 juillet 1940, sont amarrés le long de la jetée de Kébir, d’Est en Ouest : le transport Commandant Teste, les cuirassés Bretagne et Provence, les croiseurs Strasbourg et Dunkerque. Leur font vis-à-vis, dans le fond ouest de la baie, six contre-torpilleurs : Mogador, Volta, Tigre, Lynx, Terrible, Kersaine…les fleurons de la flotte française. Au mât du Dunkerque, flotte la marque de l’Amiral Gensoul, commandant en chef… La démobilisation doit commencer dans quelques jours, les équipages se préparent à aller en promenade pour se distraire à terre.

    Les clauses de l’armistice ont été scrupuleusement observées, et dans le délai qui avait été fixé. Sur nos bâtiments, les culasses des pièces ont été démontées ; il en a été de même dans les batteries de côtes et de D.C.A. Dans les hangars d’aviation, les mesures de démobilisation ont été prises ; on a vidé les réservoirs de leur essence, démonté les canons des chasseurs et les mitrailleuses de tous les appareils ; les munitions ont été rassemblées et mises en dépôt.

    Vers 7 heures du matin, un torpilleur anglais, le Foxhound, se présente devant Mers El-Kébir. Un premier message annonce qu’il a à son bord un officier britannique, chargé d’apporter au commandant en chef de la flotte de l’Atlantique une communication de la plus haute importance. Mais une véritable force navale l’accompagne : le Hood, bâtiment de 42000 tonnes, le plus grand cuirassé du monde, armé de pièces de 380 ; le Vaillant, la Résolution, armés également de pièces de 380 ; l’Ark-Royal, le plus rapide des porte-avions anglais, tous escortés de bâtiments légers et de torpilleurs.

    Sur les bâtiments français, l’arrivée inattendue de cette imposante armada provoque de l’étonnement, qui sera bientôt de la stupeur. Un officier d’état-major français est envoyé par l’amiral Gensoul à la rencontre de l’officier britannique, le commandant Holland. Celui-ci est porteur d’un document qu’on peut résumer ainsi :

    « La flotte de l’Atlantique est invitée à rallier la flotte britannique, ou à défaut, un port de l’Amérique, avec équipages réduits. En cas de refus de cette offre, elle devra se saborder, sinon, par ordre du gouvernement de Sa Majesté, la flotte britannique usera de la force. »

    L’amiral Gensoul réaffirma au parlementaire britannique que les craintes de voir les bâtiments français tomber aux mains des Allemands et des Italiens étaient injustifiées : « La marine française n’a pas l’habitude de manquer à sa parole ! », s’exclama-t-il.

    Plus tard, il affirmera qu’il ne pouvait accepter « un ultimatum se terminant par : « ou vous coulez vos bateaux ou je vous coule. C’est exactement : la bourse ou la vie… quelquefois, on donne sa bourse pour sauver sa vie. Dans la Marine, nous n’avons pas cette habitude-là ». Servitude et grandeur militaires !

    Ainsi, nos bâtiments, contre la force, se défendraient par la force.

    Au moment où l’officier britannique sort de la rade, le commandant de la flotte anglaise signale : « Si les propositions britanniques ne sont pas acceptées, il faut que je coule vos bâtiments. »

    Les bateaux français, aux feux éteints, disposés pour un désarmement rapide, reçoivent l’ordre à 7h55 : « Prendre dispositions de « combat », puis à 9h10 : « Flotte anglaise étant venue nous proposer ultimatum inacceptable, soyez prêts à répondre à la force par la « force ».

    En effet, le 3 juillet 1940, vers 10h, l’Amiral anglais Somerville adresse un ultimatum aux unités de la flotte française : « Coulez vos bâtiments de guerre dans un délai de 6 heures, ou nous vous y contraindrons par la force. »

    Après un conseil tenu par l’Amiral Jarry, commandant la Marine à Oran, le général de Saint-Maurice et le Préfet Boujard, celui-ci informe la population, par un communiqué affiché à 13h30, « qu’une alerte réelle pourrait avoir lieu l’après-midi, l’invite à se réfugier dans les abris, tranchées, etc…, renvoie les élèves dans leur famille ». Les consulats anglais du département sont gardés et surveillés, pour parer à toute manifestation. Les services de défense passive, l’hôpital, les services sanitaires, la Croix-Rouge et la police sont alertés. La dispersion des habitants de Mers El-Kébir est décidée, seul le Maire, les conseillers municipaux, les fonctionnaires et ouvriers de la Centrale et des travaux portuaires restent à leur poste.

    Dès 14h, heure approximative de l’expiration de l’ultimatum, les avions de l’Ark Royal volant sur l’eau déposent des mines magnétiques, à l’entrée du port et de la rade de Mers El-Kébir. L’escadre française est pratiquement bloquée (Churchill l’a reconnu). L’Amiral Gensoul cherche à gagner du temps pour permettre aux batteries côtières, aux avions de la Sénia (aéroport situé à la périphérie d’Oran), aux unités de la Flotte, de se réarmer pour le combat et aussi de laisser à nos alliés d’hier le temps de réfléchir à la portée de leur ultimatum. L’amiral anglais répond à une demande de cesser le feu qu’il ne l’arrêtera « que quand toute la flotte française sera coulée ».

    A 16h56, la flotte anglaise commence le feu. Abritée derrière l’éperon rocheux du fort de Mers El-Kébir, elle tire à cadence accélérée sur nos bâtiments qui cherchent à sortir de la rade. Les consignes s’exécutent partout avec ordre, à Oran comme à Kébir. Après 12 ou 15 minutes de « tir au gîte », les batteries côtières du Santon et de Canastel répondent au feu des Anglais ; le Strasbourg sort des passes. Le bilan s’établit ainsi : le croiseur Bretagne, atteint, explose, coule en sept minutes et disparaît sous l’eau : 150 hommes seulement sur 1300 fuient la mort, soit à la nage, soit en chaloupes. Le croiseur Dunkerque, n’ayant pu prendre la mer, à cause d’une avarie à son gouvernail, reçoit un obus qui tue 150 marins, plus de 100 mécaniciens et chauffeurs, 2 ingénieurs… Le bâtiment est hors de combat. Le croiseur Provence, touché, peut par ses propres moyens, aller s’échouer sur la côte de Kébir : il y a 4 morts. Le contre-torpilleur Mogador X61, incendié par l’arrière, s’échoue et compte 14 morts. Le Rigaut de Genouilli est atteint, seul le Commandant Teste, non cuirassé, amarré à la jetée en construction, est intact. Le Strasbourg fonce vers la haute mer, part vers Alger, puis Toulon.

    Et partout ces mêmes visions apocalyptiques ; parmi les carcasses d’acier éventrées, calcinées, retentissent les cris déchirants de centaines et de centaines de marins agonisants, mutilés, brûlés ou suffoquant au milieu d’une fumée âcre et d’un mazout noirâtre qui étouffent leurs dernières plaintes.

    Aussitôt les secours s’organisent. Le Maire de Mers El-Kébir, M. Boluix-Basset, les pêcheurs, gendarmes, pompiers, marins rescapés et la population aident au sauvetage des hommes des bâtiments atteints, jetés à l’eau valides ou blessés. Une chapelle ardente est installée dans la salle du cinéma de Kébir. Les obsèques des 1380 marins –assassinés- ont lieu le 5 juillet, au cimetière de Mers El-Kébir, en présence du Maire, du Préfet et de l’Amiral Gensoul qui s’adressera une dernière fois à ses hommes en ces termes : « Vous aviez promis d’obéir à vos chefs, pour tout ce qu’ils vous commanderaient pour l’Honneur du Pavillon et la grandeur des armes de la France. Si, aujourd’hui, il y a une tache sur un pavillon, ce n’est certainement pas sur le nôtre. »

    Le drame n’est pas terminé pour autant. La haine ancestrale de nos « alliés » va se concrétiser ce 6 juillet 1940. A 6h30, par trois fois en vagues successives, des avions britanniques survolent la rade, à basse altitude, déposent des mines magnétiques entre le Dunkerque et la passe, prennent le navire comme cible. Torpilles et bombes atteignent le bâtiment qui s’enfonce et échoue sur le fond, en donnant de la bande. Les trois chalutiers ou remorqueurs, coopérant à l’évacuation des morts du 3 juillet, sont coulés à leur tour. La D.C.A côtière, les batteries du Santon, Bel Horizon et Lamoune, les mitrailleuses installées sur la côte, au stade de la Marsa et à l’usine électrique répondent. Le drame, c’est que cette attaque fera encore 205 tués et 250 blessés atteints gravement. Au total, la marine française déplore plus de 1927 morts ou disparus et plusieurs centaines de blessés dont la plupart gravement brûlés. Deux avions anglais sont abattus.

    Ce qui est horrible, c’est que les marins anglais ont tué en une semaine plus de marins français que la Flotte allemande pendant toute la seconde guerre mondiale. Nous ne sommes pas loin des 2403 morts du drame de Pearl Harbor, l’un des grands événements de cette guerre puisqu’il décida de l’entrée en guerre des Etats-Unis d’Amérique. Mais les Japonais étaient leurs ennemis, les Anglais étaient nos alliés. C’est là un crime inqualifiable… impardonnable.

    Le 8 juillet, De Gaulle, parlant au micro de la BBC, déclare :

    « En vertu d’un engagement déshonorant, le gouvernement qui fut à Bordeaux avait consenti à livrer nos navires à la discrétion de l’ennemi… J’aime mieux savoir que le « Dunkerque » notre beau, notre cher, notre puissant « Dunkerque » échoué devant Mers El-Kébir, que de le voir un jour, monté par les Allemands, bombarder les ports anglais, ou bien Alger, Casablanca, Dakar. » … et pas le moindre mot de compassion envers les victimes de cette tragédie.

    Pour la première fois se trouvait ainsi affirmée, dans la bouche même d’un général français, une contre-vérité : Alger, Casablanca, Dakar, donc les clés de l’Empire, allaient être utilisées contre les alliés britanniques. Et comme il vouait une haine viscérale à « l’Empire » qu’il considérait comme « Pétainiste » et qu’il fallait absolument mettre au pas pour la réalisation future de ses desseins, il donna à la flotte britannique, le 23 septembre 1940, la consigne de bombarder Dakar. Ce fut l’échec. L’insuccès des Britanniques fit comprendre aux uns et aux autres qu’il était vain de vouloir détacher l’Empire français de la Métropole et que la poursuite des attaques servirait de prétexte à une intervention allemande.

    Dans ses mémoires, Churchill n’a pas caché son embarras. Il a comparé Mers El-Kébir à une tragédie grecque : « Ce fut une décision odieuse, la plus inhumaine de toutes celles que j’ai eues à partager », écrira-t-il.

    Les historiens, les politiques, les « moralistes » et les censeurs qui ont eu à juger des hommes, des gouvernants, et à écrire l’Histoire, ont dédaigné de prendre en considération le traumatisme dévastateur que cet événement tragique avait produit dans les esprits…

    Mers El-Kébir explique en grande partie l’attitude de bon nombre de nos gouvernants de Vichy durant le conflit comme elle explique aussi celle des autorités civiles et militaires d’Algérie en 1942-1943 et d’une population acquise au Maréchal Pétain mais volontaire pour poursuivre la lutte avec Darlan et Giraud contre les puissances de l’Axe.

    L’Afrique du Nord, malgré son traumatisme, accepta de rentrer en guerre en 1942 et sera avec son « armée d’Afrique », l’une des composantes de la victoire finale. Elle conservera, néanmoins, son hostilité à De Gaulle, que ce dernier, devenu président du Comité de la Libération devait justifier… Il se souviendra toujours de ce sentiment d’inimitié à son égard et, dès 1958, remis au Pouvoir par ceux-là mêmes qui l’avaient blâmé, leur fera supporter amèrement le poids de sa rancune…

    Ces morts Français, bannis de la mémoire nationale, auraient pu reposer en paix. Or, le 5 Juillet 2005, jour anniversaire d’une autre tragédie (Le massacre de plus de trois mille Européens, le 5 Juillet 1962 à Oran), le cimetière de Mers El-Kébir fut saccagé sans qu’aucune autorité gouvernementale française, aucun média, aucune association humanitaire et « antiraciste », n’élevassent la moindre protestation, préférant s’humilier à « commémorer » la « répression » (beaucoup plus commerciale) de Sétif par l’armée française en 1945.

    Aujourd’hui encore, le souvenir de cette lâche agression britannique contre une flotte au mouillage et désarmée demeure vivace dans la Marine et, paraphrasant Talleyrand, on peut affirmer que « Mers El-Kébir a été pire qu’un crime, une faute ».

    Quant aux survivants de cette tragédie qui défilèrent devant les cercueils de leurs camarades, ils ont conservé depuis, ce visage dur des hommes qui n’oublient pas.

    N.B : Le 24 mai 1941, au large de l’Islande, le cuirassé Bismarck coula le Hood. Trois jours plus tard, le 27 mai 1941, il fut attaqué au large de Brest et sombra à son tour sous les coups d’une armada britannique.

    José CASTANO

  • 3 juillet 1940 : Mers el-Kébir ou la perfide Albion

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    L'amiral Gensoul

                                            

                

    Il ne s’agit pas ici de faire preuve de quelque anglophobie, mais d’apporter un éclairage sur cet épisode de la Seconde Guerre mondiale.

     

     

      

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    Le 3 juillet, on ne fêtera pas un triste anniversaire : celui de la bataille de Mers el-Kébir ou, pour être plus exact, de l’attaque d’une partie de la flotte française par les Anglais. Il ne s’agit pas ici de faire preuve de quelque anglophobie, mais d’apporter un éclairage sur cet épisode de la Seconde Guerre mondiale.

    C’est sans doute Churchill qui décida de cette opération contre l’avis de ses amiraux qui l’estimaient ignoble. Il était convaincu que, si les Allemands projetaient de saisir les navires français, leurs moyens de pression étaient tels qu’ils y réussiraient. C’était mal apprécier la loyauté, la trempe et le sens de l’honneur des officiers français. Dès le 20 juin 1940, l’Amiral Darlan avait adressé à tous les commandants de navires et de ports des instructions chiffrées : ils ne devaient jamais abandonner aux Allemands un bâtiment intact. Quatre jours après l’armistice, il confirmait ses ordres.

    L’Amiral anglais Somerville avait, lui aussi, suffisamment le sens de l’honneur pour être certain du refus français de placer notre flotte sous la coupe de la Royal Navy : aucune Marine n’aurait pu accepter l’ultimatum qu’il fit remettre à l’amiral Gensoul, le commandant du port. Il répugnait au massacre d’une flotte sans défense dont les bâtiments constituaient une cible immanquable, leur dispositif de mouillage les empêchant de répondre aux tirs, mais les autorités anglaises n’en tinrent pas compte : si les Français refusaient ces conditions, il était de la ferme intention du Gouvernement de sa Majesté de détruire les bâtiments.

    Après des pourparlers qui ne pouvaient pas aboutir, vers 18 heures, un déluge de feu s’abat sur les croiseurs, les cuirassés, un porte-hydravions, six contre-torpilleurs, causant la mort de 1.300 Français. Seul un bâtiment en réchappera.

    Fin 1940, la Marine demeurait la seule force militaire française qui ne se fût pas effondrée sous la poussée allemande. Ses plus lourdes pertes en hommes et en navires, elle les doit au tir des canons lourds des cuirassés et croiseurs anglais venus attaquer des bâtiments au mouillage de Mers el-Kébir. Beaucoup de ces marins avaient leurs familles à Brest qui, sous les bombes anglaises, continuaient à leur demander de frapper les « Teutons ». Quelques mois plus tard, pour échapper aux Allemands tout en refusant de se livrer aux Anglais, une autre partie de la flotte française se saborde. Qu’elle ait choisi de rejoindre Londres à l’appel du général de Gaulle — une minorité — ou de rester fidèle au gouvernement légal, la Marine française a toujours considéré que l’Allemagne était son ennemie et s’est unie pour participer activement à la libération de la France.

    Un officier du Richelieu avait écrit une chanson pour revigorer les matelots sur l’air du 31 du mois d’août : « Buvons un coup, buvons-en deux / À la santé du Richelieu / À la santé de notre France / Et merde pour le roi d’Angleterre / Qui n’a pas déclaré la guerre ». Nos amis anglais devraient méditer ce refrain pour éviter à leur pays le surnom de Perfide Albion.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
     

     

  • Suède multiculturelle et tolérante : il viole et défigure une enfant, 180 heures de TIG pour le musulman somalien

     

    « La Suède incarne probablement le laboratoire le plus avancé de la destruction de la race blanche mise en oeuvre au nom du marxisme culturel. Ce que l’on nomme la « démocratie multiculturelle ».

    En Suède, selon les statistiques gouvernementales, 77% des viols commis en Suède sont le fait de musulmans.

    C’est dans ce contexte apocalyptique qu’une nouvelle affaire de viol défraye la chronique en Suède.

    Un jeune somalien musulman, fraîchement arrivé dans le pays, a brutalement violé une enfant de 12 ans à Sundsvall. Le 10 novembre 2014, le musulman avait entraîné Ida, la jeune fille, dans son appartement, affirmant détenir des photos d’elle qu’il voulait lui rendre.

     

    Là, il l’avait sauvagement violée et battue à coups de poing, [répétant des propos à connotation raciale].

    Après le viol, selon le tribunal, l’enfant « saignait abondamment des parties génitales », la laissant traumatisée physiquement et psychologiquement.

    Arrêté récemment, Muhamad, le sauvage musulman impliqué, affirma qu’il ne pensait pas que l’enfant était mineure et ajouta qu’elle était consentante. Ce que la cour considéra comme faux.

    Ces faits, très graves, n’ont cependant entraîné que 180 heures de Travaux d’Intérêt Généraux. Suite à la polémique engendrée, la justice suédoise a maintenu son verdict, expliquant que le musulman somalien « avait des problèmes d’anxiété et de sommeil » et n’avait que 17 ans en novembre dernier. »

    Source

  • Le monde heureux de Pierre BONNARD (1867-1947)

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    La fenêtre ouverte

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    Salle à manger à la campagne

  • "ECOLE EN DANGER" - Une enseignante prise à partie : la fête de l’école à Montpellier tourne court...

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    19h23
     

    Gâchée. La fête de fin d’année de l’école Sigmund-Freud l’a été. C’était vendredi 26 juin dernier. « Un parent d’élève, accompagné par un autre adulte, a agressé verbalement une enseignante ! », s’exclame Corinne Lefebvre, maman de deux petites filles scolarisées dans l’établissement de 200 élèves sis rue des Tourterelles, entre Beaux-Arts et Aiguelongue. (…)

    Midi Libre

  • Communiqué du Front National

       Communiqués / 2 juillet 2015 / Étiquettes : /   

    Le Front national prend acte de la décision du Tribunal de Nanterre, rendu pour un seul motif de forme. Toutefois, il la conteste et en interjette appel.
    En tout état de cause, ce jugement n’aura qu’un seul effet : permettre à Jean-Marie Le Pen de voter dans le cadre du congrès dont les résultats seront connus dans 8 jours, c’est-à-dire le 10 juillet prochain.

  • 8 bébés tués = 9 ans de prison

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/octuple-infanticide-dominique-cottrez-condamnee-a-neuf-ans-de-prison-02-07-2015-4913099.php

     QUEL DEGOÛT !  A VOMIR !

  • Allocations familiales : les conditions changent, la colère des familles concernées

     

     

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    Depuis la fin de la guerre, les familles reçoivent des allocations familiales, en fonction du nombre d’enfants, à partir de deux. Mais désormais, les revenus seront pris en compte pour le calcul des prestations. Les familles gagnant plus de 6 000 euros nets par mois verront leurs allocations divisées de moitié. Au-dessus de 8.000 euros de revenus, les aides seront divisées par quatre. Environ 485 000 foyers devraient être touchés. Les familles concernées dénoncent une mesure injuste et certaines s’interrogent sur la prochaine étape : déremboursement des frais médicaux ?

    NDF

  • Alain de Benoist : « la repentance n’a strictement rien à faire en politique »

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    Source : Boulevard Voltaire

    Peu de temps avant son décès, François Mitterrand avait eu ces mots définitifs vis-à-vis d’un Jean-Pierre Elkabbach éberlué : « La France n’a pas à s’excuser. » Il parlait des fameuses « heures les plus sombres de notre histoire ». Aujourd’hui, la mode est à la « repentance ». Qu’est-ce que cela signifie ?
    Réduite à sa plus simple expression,

    la repentance peut se résumer ainsi : des gens s’excusent de méfaits qu’ils n’ont pas commis pour complaire à d’autres qui ne les ont pas subis.

    Ceux qui se repentent n’ont commis aucun tort, ceux qui reçoivent la demande de pardon n’en ont subi aucun. Tout cela est donc parfaitement ridicule. La repentance consiste, en fait, à faire un choix sélectif dans notre histoire, et à n’en retenir que certaines périodes, toujours les mêmes (esclavage, colonisation, etc.), considérées comme « sombres » au regard des idées actuelles pour s’en repentir officiellement. Une très imaginaire culpabilité collective héréditaire s’ajoute à cet anachronisme majeur qui consiste à « rétrojecter » dans le passé des jugements de valeurs qui n’appartiennent qu’à notre époque. Le passé étant réduit au « devoir de mémoire », le présent devient flottant, autoréférentiel, existentiellement vide.

    Mais le procédé n’est évidemment pas innocent. D’un côté, il s’agit de convaincre nos compatriotes qu’en se retournant sur leur passé, ils ne découvriront que de l’horreur. Corollaires : l’identité est forcément douteuse, le nouveau est forcément meilleur. De l’autre, à une époque où le statut de victime s’avère extrêmement rentable, il s’agit d’assurer aux descendants de victimes présumées divers avantages, qui vont de la bonne conscience à la supériorité morale en passant par les « lois mémorielles » et les réparations financières.
    L’enjeu de ces invocations du passé se situe donc dans le présent : les « heures sombres » sont alléguées ou instrumentalisées pour légitimer ou délégitimer des opinions actuelles. Mgr Nunzio Galantino, secrétaire général de la Conférence épiscopale, déclarait ainsi récemment qu’« accueillir les immigrés est une sorte de réparation pour les dommages que nous avons accomplis pendant des années […] Nous devons l’hospitalité aux migrants pour ce que nous avons fait dans le passé dans leur pays. » Le problème de l’immigration est ainsi traité sous l’angle de l’expiation. Ce qui permet à des groupes de pression minoritaires d’exciper de leur qualité de victimes par procuration pour s’ériger en justiciers du présent.

    Le pape Jean-Paul II, en son temps, a lui aussi fait repentance pour certains crimes commis par l’Église au cours de son histoire. On peut dire à sa décharge que le catholicisme est une religion qui exige que ses fidèles confessent régulièrement leurs péchés…
    Ce qui est sûr en tout cas, c’est que la dialectique du péché, de la repentance, de l’expiation, de la réparation, de la téchouva et du pardon appartient au langage religieux. Elle n’a donc strictement rien à faire en politique. La collectivisation du repentir ne doit en revanche pas nous faire oublier que la civilisation européenne est la seule à ce jour qui se soit mise en question jusqu’à intérioriser sa propre critique. Comme le disait Jean-François Mattéi, « la raison n’a pas à demander pardon pour répondre à ses critiques car elle comparaît toujours devant son propre tribunal ».

    N’y a-t-il pas un risque, pour ceux qui refusent la repentance, de tomber dans l’excès inverse, c’est-à-dire de nier purement et simplement l’existence de zones d’ombre dans notre histoire ?
    C’est en effet un risque symétrique. Tous les pays du monde ont eu leurs heures sombres et leurs périodes lumineuses. Dans un État normal, on apprend aux jeunes à être fiers de leur pays en leur inculquant le souvenir de ce que celui-ci a fait de plus grand. Cela ne signifie pas que le reste n’a pas d’existence, mais que l’on a conscience que l’estime de soi commence par l’estime de ce dont on a hérité et qui contribue à nous définir. Il n’y a sans doute pas à être fier de l’esclavage, mais il n’y a pas non plus à être fier du sac de Béziers, de la Saint-Barthélemy, des dragonnades, du génocide vendéen ou de la répression de la Commune.
    Toute la question est de savoir si l’on veut ou non inculquer aux Français la fierté d’eux-mêmes plutôt que la honte ou le doute de soi.
    Quant au reste, il est inutile, et même nuisible, d’entretenir ad aeternam les guerres civiles. L’Histoire est un tout, et l’on ne va pas loin en égrenant comme des perles de chapelet l’inusable séquence Clovis-Charles Martel-Jeanne d’Arc en croyant ainsi répliquer ainsi à ceux pour qui l’Histoire de France commence en 1789. Le passé n’est pas un patrimoine « muséifié » ni une essence immuable, mais une substance narrative complexe dont le récit, sans cesse revisité, permet à un peuple de se raconter sa propre histoire.
    Vouloir d’un côté identifier l’« anti-France », s’en tenir de l’autre à « la France, pays des droits de l’homme », c’est pareillement mutiler notre histoire. Marc Bloch disait très justement qu’être vraiment Français, c’est être capable de vibrer au souvenir du sacre de Reims aussi bien qu’à celui de la Fête de la Fédération. C’était aussi l’avis de Charles Péguy – et c’est le mien.

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

     
  • Offensive de l’État Islamique en Égypte, au moins 70 morts dans le Sinaï

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    02/07/2015 – MONDE (NOVOpress)
    Vague d’attentats contre l’armée égyptienne dans le Sinaï, qui réplique avec l’aviation : l’EI en guerre ouverte contre l’Égypte.

    L’Égypte, prochain domino dans le grand jeu de déstabilisation de l’État Islamique ?
    C’est ce que donner à penser la grande offensive que le groupe jihadiste a lancée contre des positions de l’armée égyptienne mercredi, qui a fait au moins 70 victimes, soldats et civils confondus.
    Tout a commencé par une série d’attaques-suicide et d’attentats contre une quinzaine de barrages militaires dans le Sinaï, fief du groupe Ansar Beït al-Maqdess, la branche de l’EI dans cette région. L’une des attaques, menée avec une voiture piégée contre un check-point au sud de Cheikh Zouweid, près d’Al-Arich, chef-lieu du Nord-Sinaï, a coûté à elle seule la vie à 15 soldats. Pour un haut responsable militaire égyptien,

    C’est la guerre ! Vu le nombre de terroristes mobilisés et l’armement utilisé, (ces attaques sont) sans précédent.

    En effet, des affrontements à l’arme automatique et au lance-roquettes ont ensuite opposé djihadistes et militaires, ces derniers devant même faire intervenir l’aviation pour repousser les combattants de l’EI, qui se sont repliés après environ huit heures de combat. L’armée fait état dans un communiqué de 17 soldats tués et de 100 djihadistes abattus.

    La date de l’offensive n’a pas été choisie au hasard, puisqu’elle correspond au deuxième anniversaire de l’éviction du président islamiste Mohamed Morsi. Elle coïncide aussi avec l’approbation par le gouvernement d’une nouvelle loi antiterroriste qui prévoit notamment « des procédures pour assécher les sources de financement du terrorisme » et doit « offrir une justice rapide et venger nos martyrs », selon un communiqué officiel.

    L’attaque des djihadistes survient également au surlendemain de l’assassinat au Caire du procureur général d’Égypte dans un attentat à la bombe, le plus haut représentant de l’État tué depuis le début de la vague d’attaques jihadistes en 2013. Le même jour, un raid policier au Caire faisait neuf victimes parmi les membres de la confrérie islamiste dont est issu M. Morsi, dont Nasser al-Houfi, un haut responsable des Frères musulmans. Ladite confrérie islamiste de M. Morsi a été classée organisation « terroriste » en Égypte et est accusée d’être derrière les attentats meurtriers de ces derniers mois, ce qu’elle nie.

    L’Égypte est actuellement l’un des remparts contre la poussée islamiste dans la région, depuis qu’en 2013 l’armée a chassé du pouvoir le président islamiste Mohamed Morsi. Celui-ci a d’ailleurs été condamné à mort pour des attaques contre la police et des évasions de prison durant la révolte de 2011 qui chassa Hosni Moubarak du pouvoir. Des procès de masse expéditifs ont aussi envoyé à l’échafaud des centaines de pro-Morsi.

    Depuis, les terroristes de l’État islamique se sont retranchés dans leurs bastions du Sinaï, dont l’armée et la police tentent vainement de les déloger. Au contraire, les forces de l’ordre subissent régulièrement attaques et attentats : selon les autorités, des centaines de policiers et soldats ont été tués depuis 2013. Autre cible des terroristes : le tourisme, à l’instar de cet attentat déjoué de justesse sur le site archéologique de Karnak, à Louxor le 10 juin dernier.

    Mais les attaques de mercredi marquent un nouveau palier dans l’intensité des combats entre Ansar Beït al-Maqdess et les forces de l’ordre. Le Sinaï jouxtant Israël et la bande de Gaza, les djihadistes sont tentés non seulement par l’escalade de la violence en Égypte, mais aussi par sa propagation aux territoires voisins. Ainsi, à Rafah, en territoire palestinien, un adolescent de 19 ans a été tué par la chute d’une roquette sur son domicile, durant des affrontements entre les militaires et des djihadistes.
    Le scénario de rêve pour l’État Islamique dans la région serait bien sûr d’arriver à impliquer directement Israël, dont les interventions armées sont toujours un facteur de mobilisation des populations musulmanes.

    Crédit photo : Capture d’écran de d’image de propagande de l’Etat Islamique au Sinaï diffusées après les attentats de janvier 2015 dans cette région (reprises par France24)

  • Google confond des afro-américains avec des gorilles

     
     
    google reconnaissance faciale

     

     

    02/07/2015 – MÉDIAS (NOVOpress)
    La reconnaissance faciale de Google Photos doit encore faire quelques progrès : à la requête « Gorilles », elle a proposé les photos d’un couple d’Afro-Américains.

    Google Photos propose un système de reconnaissance faciale chargé d’identifier le contenu d’images pour le proposer aux requêtes des internautes. Pas au point, le système a fait remonter les photos d’un couple d’Afro-Américains à un internaute recherchant des photos de gorilles.

    « Mon amie n’est pas un gorille », s’est indigné Jacky Alcine, très insulté par le bug de Google.

    Le géant de l’internet a reconnu l’erreur est s’est platement excusé. Heureusement pour lui, ce n’est pas un portrait de Mme Taubira qui est apparu dans les résultats de recherche, on sait à quel point notre garde des Sceaux est chatouilleuse sur le sujet.

     

  • Inauguration d’une nouvelle ligne d’El Al : Tel-Aviv Boston direct

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    Actualités, International, Israël - le 29 juin 2015 - par .

     

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    Trois vols par semaine entre Tel-Aviv et Boston sont prévus.

    A partir de cette semaine, El Al apprêtera trois vols directs de l'aéroport Ben Gourion vers l'aéroport international Logan de Boston à bord de Boeing 767-300.

    Les vols décollent les dimanches, mardis et jeudis à 00h30 et atterriront à 05h45, heure locale, après un vol de 12 heures. Le Retour Boston Tel Aviv prendra son envol les dimanches, mardis, et jeudis à 09h00, heure locale, et atterrira les lundis, mercredis, et vendredis à 15h05.

    La durée du vol de retour sera de 11 heures. Les vols pour Boston en classe touriste coûteront 1400 $.

    Le premier vol a décollé dimanche de l'aéroport Ben Gourion. Le PDG d’El Al David Maimon, l'ambassadeur américain en Israël Daniel Shapiro, et le rabbin Yitzchak David Grossman ont coupé le ruban et ont salué les passagers à destination de Boston sur le vol inaugural.

    "Je suis heureux d'inaugurer la nouvelle ligne d'El Al pour Boston», a déclaré Maimon. "El Al voit la valeur stratégique dans le renforcement de ses activités en Amérique du Nord.

    Dans ce contexte, El Al s’y est fixé un objectif d'expansion et de croissance de ses vols, tout en répondant aux tendances et aux besoins des voyages d’affaires et touristiques et en favorisant la fréquentation touristique en Israël.

    "Boston est une destination très populaire pour les affaires, et avec l'ouverture de la nouvelle ligne maintenant, nous croyons qu'elle deviendra une destination de vacances populaire pour les familles israéliennes."

    Shapiro a dit, «Je suis excité à propos de l'inauguration d'un vol direct El Al vers Boston. La ligne mènera à une croissance dans les relations économiques entre Israël et Boston -.
    La capitale high-tech des Etats-Unis - et permettra aux Bostoniens de se rapprocher d'Israël ».

    Il convient de rappeler que la célèbre université de Harvard et le MIT se trouvent à Boston, le Collège de musique Berklee ainsi que la célèbre équipe de Baseball (les Red Socks). La devise de l’Etat qui est inscrite sur les plaques d’immatriculation est « L’esprit de l’Amérique ». Boston est donc une destination pour tous les étudiants du monde, c’est également une très belle ville touristique «très anglaise ».

    Source : Globes

    ALLIANCE

  • Procès Galinier: un septuagénaire jugé pour avoir blessé deux cambrioleuses roms

     

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    René Galinier, 78 ans, comparait ce mercredi aux Assises de l’Hérault pour avoir tiré en 2010 sur deux cambrioleuses roms. L’incarcération de cet homme, qui explique avoir agi par peur, avait provoqué une vive émotion dans son village de Nissan-lez-Ensérune. Les deux jeunes filles de 11 et 20 ans à l’époque des faits ont survécu aux coups de fusil mais ont été grièvement blessées. Le septuagénaire est poursuivi pour tentative d’homicides volontaires. Il encourt jusqu’à 30 ans de réclusion criminelle.

    NDF

    NdB: Procès inique: René Galinier ne pouvait pas savoir si elles étaient armées ou non. Il a tiré en légitime défense après avoir appelé les Pompiers au lieu de la Police...

  • Régionales : Un sondage donne le FN en tête en région Paca au premier tour

     

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    Selon un sondage Ifop-Fiducial réalisé pour iTELE, Paris Match et Sud Radio, la candidate Front national Marion Maréchal-Le Pen en tête des intentions de vote, à 32%. Arrivent en suite le candidat LR-UDI Christian Estrosi avec 29%, puis le socialiste Christophe Castaner qui obtiendrait 17% des voix. Au second tour, en cas de triangulaire, les trois candidats seraient dans un mouchoir de poche, avec une légère avance pour le candidat de l’union de la droite .

    NDF

  • Êtes-vous inquiet d'une sortie de la Grèce de la zone euro ?

     

     

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    LE FIGARO

     

                                       
  • Musée de Flandre : découvrez l'exposition "La Flandre et mer" à Cassel

    (Regarder en mode plein écran)

     

     

    Tempête, batailles navales, vagues ravageuses, la mer fascine les peintres flamands. A découvrir actuellement au musée de Flandres à Cassel. Reportage en vidéo. 

    • @F3nord
    • Publié le 10/04/2015 | 09:57, mis à jour le 10/04/2015 | 10:19

    © France TV

    Pour prendre l'air du large et découvrir les rapports que les peintres flamands ont entretenu avec la mer au XVIe siècle direction le musée de Flandre de Cassel. Jusqu'au 12 juillet plus de 80 oeuvres venues d'Italie, d'Espagne et des Etats-Unis.

    C'est l'exposition "La Flandre et la mer" qui réserve de belles surprises et des pièces exceptionnelles comme le montre ce reportage d'Alain Méry et Jean-Marc Vasco


    La nouvelle expo du Musée des Flandres


    L'exposition La Flandre et la mer nous emmène jusqu'à la marine hollandaise bercée d'une lumière grise. Une invitation à la méditation, un sacré voyage dans un monde peuplé de monstres et de divinités.

  • Aubervilliers: Les bouches incendie reconverties en jeux d’eau créent la polémique

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    18h06

    Mieux qu’à la piscine municipale. A Aubervilliers , les bouches à incendie servent depuis le début de l’épisode de canicule à alimenter les piscines gonflables, comme l’a twitté Myriam, ce mercredi. Un phénomène qui n’est pas nouveau.