La mer par temps calme
Willem Van de Velde (1591-1630)
Vue de Dordrecht
Jan van Goyen ( 1596-1656)
Portrait de dame
Rogier Van der Weyden (1460)
Vue de Delft
Johannes Vermeer(1658)
(merci à Dirk)
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La mer par temps calme
Willem Van de Velde (1591-1630)
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Jan van Goyen ( 1596-1656)
Portrait de dame
Rogier Van der Weyden (1460)
Vue de Delft
Johannes Vermeer(1658)
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Le nationalisme écossais revu et corrigé par le SNP socialiste d’Alex Salmond
Source Breiz Atao
La défaite, honorable, des indépendantistes écossais trouve son explication dans le vote des quelque 880 000 non-Ecossais qui représentent 17% de la population du pays. En acceptant de les laisser voter, les indépendantistes socialistes ont eux-mêmes créé les conditions de leur échec.
Un demi-million de Britanniques en Ecosse
C’est sans doute possible parce que le Parti National Ecossais (SNP), socialiste, n’a jamais remis en cause la consultation du demi-million d’Anglais vivant en Ecosse, un pays qui en compte 5,3 millions, que Londres a accepté la tenue du référendum. En disposant d’une solide minorité de blocage, le gouvernement britannique a pu aborder le référendum avec un atout décisif en main.
La presse britannique a abondamment détaillé les intentions de vote de ces résidents installés en Ecosse. Et le verdict est sans appel : 63% d’entre eux entendaient voter contre l’indépendance.
Or, il a manqué environ 300 000 voix aux indépendantistes pour l’emporter.
Les Polonais votent… pour garder leurs papiers
En plus des Britanniques, Londres savait pouvoir disposer du soutien des autres non-Ecossais afin de circonvenir le vote séparatiste. Un sondage réalisé au mois d’août auprès des immigrés polonais résidant dans le pays indiquait que ceux-ci allaient voter en fonction du devenir de leurs visas si l’Ecosse devenait indépendante. L’incertitude prévalait sur le statut européen de l’Ecosse suite aux déclarations anti-indépendantiste de Manuel Barroso.
En conséquence, la libre-circulation assurée aux ressortissants des états-membres de l’UE était en théorie remise en cause. Or, cette libre-circulation était le seul critère qui importait aux yeux des immigrés polonais et d’Europe de l’Est. Pour eux, le devenir du peuple écossais importait peu et ils n’ont pas hésité un instant à faire valoir leurs intérêts comme ceux de Londres sur ceux du peuple qui les accueille.
Les Pakistanais ont aussi eu leur mot à dire
Les pakistanais ont également eu leur mot à dire. Représentant plus de 150 000 personnes, cette immigration sait ce qu’elle doit au gouvernement anglais et perçoit l’indépendance écossaise comme une menace directe. Les deux tiers d’entre eux voulaient voter contre le “Oui” à l’indépendance.
Les Ecossais de la diaspora privés de vote
Tandis que Pakistanais, Anglais ou Polonais étaient appelés à voter par Alex Salmond et son parti, les Ecossais de la diaspora se voyaient priver du droit de voter. Une diaspora forte de millions de personnes à travers le monde. Le logiciel du “droit du sol” cher aux indépendantistes de gauche a logiquement joué à fond et produit les fruits qu’il est voué à produire.
Lorsque l’on retranche les votes des étrangers – Anglais, Européens de l’Est et extra-Européens – les Ecossais de souche ont bel et bien voté pour leur indépendance.
Les vieux coresponsables
Les vieux sont, avec les étrangers, les moteurs de la victoire du “Non”. 65% des plus de 50 ans en Ecosse s’opposaient à l’indépendance. Soucieux de leurs rentes, ils perçoivent l’indépendance comme une remise en cause de leurs intérêts. Sans surprise, ce sont ces mêmes générations qui soutiennent l’immigration afin de “payer les retraites”, la pyramide des âges résultant de leur faible taux de natalité ayant engendré une crise démographique.
Des enseignements à tirer
Il y a plusieurs enseignements à tirer de cette consultation. Tout d’abord, la défaite des indépendantistes, largement causée par leur orientation idéologique socialiste, n’est pas écrasante. L’Ecosse n’a retrouvé son parlement autonome qu’il y a 15 ans et les indépendantistes ne sont arrivés au pouvoir qu’il y a 7 ans. Parvenir – contre les médiats britanniques et la totalité des partis anglais et des responsables européens – à rassembler près de 46% des suffrages constitue une véritable performance en un temps historique aussi court.
Ensuite, il apparaît comme évident que l’indépendantisme de gauche, en soutenant une interprétation non-ethnique du nationalisme, a créé les conditions de son propre échec politique. En refusant, par conviction ou par peur, d’empêcher les étrangers de voter sur une question qui ne les concerne pas par définition, les indépendantistes du SNP ont donné à Londres les moyens de son succès.
S’ajoute à cela un clivage générationnel patent. L’égoïsme des Baby Boomers est le fil conducteur de leur comportement politique : pro-immigrationnistes, court-termistes, uniquement soucieux de leur bien-être et de leur patrimoine, ils ont pris en otage le destin de la jeunesse écossaise. Sans surprise, leur parasitisme a convergé avec celui des Anglais et des immigrés extra-européens.
Cependant l’échec écossais est relatif. Il est plus un début de processus qu’une fin et l’éviction progressive des générations conservatrices permet d’entrevoir des évolutions décisives pour ce pays. En quelque sorte, c’est la fin d’une certaine forme d’indépendantisme socialiste et le début d’un autre. Les petites nations d’Europe n’auront d’autre choix que de se doter de formations politiques résolument nationalistes en lieu et place de cet “indépendantisme de gauche” dépassé.
(merci à Dirk)
Interview intégrale
[extraits] Nabilah, son mari, et ses deux autres femmes font partie du nombre croissant de mariés polygames en Grande-Bretagne. Ils le font en contradiction radicale avec la loi britannique, qui considère la bigamie comme illégale. Mais ces mariages étant contractés sous l’égide de la charia et n’étant pas reconnus par les tribunaux, les époux polygames ne peuvent pas être poursuivis.
Cette pratique devient donc de plus en plus courante en GB, ou leur nombre est estimé à environ 20 000. La popularité de ces mariages polygames est telle parmi les musulmans que les agences matrimoniales islamiques recoivent des demandes de plus en plus nombreuses.
(…) Hasan insiste pour que ses femmes soient voilées de pied en cap. « Il y a des gens qui couvrent leur voiture d’un drap, ou recouvrent d’autres objets de valeur pour les cacher de la vue des autres, pour ne pas attiser la convoitise. Pour moi, mes femmes sont précieuses, et je dois les cacher, pour les protéger. »
(…) Les femmes d’un mariage polygame sont considérées par la loi comme des mères célibataires : elles ont droit à toutes les prestations sociales afférentes : allocations familiales, allocation logement, aide sociale etc.
FDS
E&R
LeParisien.fr
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L'organisation Etat islamique a lancé lundi un appel à ses partisans à tuer des citoyens, notamment Américains et Français, des pays formant la coalition internationale mise en place pour combattre le groupe jihadiste en Irak et en Syrie.
"Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen -en particulier les méchants et sales Français- ou un Australien ou un Canadien, ou tout (...) citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l'État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n'importe quelle manière", a déclaré Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole de l'EI, dans un message publié en plusieurs langues.
Les Etats-Unis et la France sont les deux pays qui ont jusqu'à présent mené des frappes aériennes en Irak sur des positions de l'EI, un groupe qui a déclaré en juillet un "califat" à cheval sur la Syrie et l'Irak, dont ils contrôlent de larges secteurs.
Le risque que le virus devienne contagieux par simples voies aériennes est réel, selon Michael Osterholm, directeur du Centre pour la recherche sur les maladies infectieuses à l'Université du Minnesota. Ce n'est cependant pas l'avis de tous les experts. Explications.
Le spectre du risque d'une telle mutation provient d'un incident qui s'est déroulé dans un laboratoire en 1989, où le virus s'était apparemment transmis entre deux singes par voie aérienne. Il n'avait toutefois pas infecté les chercheurs qui y travaillaient. Les experts se sont ensuite demandé si cette mutation n'avait pas été alimentée par l'environnement artificiel du laboratoire.
La très sérieuse revue scientifique Nature s'est donc posé la question de savoir si une mutation (ou plus plausiblement de plusieurs mutations) du virus Ebola pourrait le rendre contagieux par l'air. Après plusieurs entretiens avec des experts en maladies infectieuses, si une telle mutation est possible, elle est toutefois "hautement improbable", affirme la revue. Il n'existerait en effet aucun virus connu qui ait modifié son mode de transmission de façon aussi radicale.
"Nous avons déjà tellement de problèmes avec Ebola (...), celui-là est très loin dans la liste de nos priorités", a affirmé William Schaffner, expert en maladies infectieuses à l'université de Vanderbilt. "Tout ce qui se passe maintenant peut être facilement expliqué par des transmissions de personne à personne, via un contact corporel. Nous n'avons pas besoin d'évoquer quoi que ce soit d'autre".
Pour qu'Ebola devienne transmissible par l'air, il faudrait tout d'abord qu'une quantité importante du virus se mutent dans les cellules qui se trouvent dans la gorge, les bronches et peut-être les poumons. Ensuite, la transmission aéroportée devrait s'avérer beaucoup plus efficace que la contagion corporelle. Or, sa méthode de transmission est déjà terriblement efficace, selon l'expert.
Actuellement, Ebola entre dans le corps humain via les coupures dans la peau, les fluides oculaires, ou les muqueuses du nez et de la bouche. Ensuite, il infecte les cellules du système immunitaire et se multiplie. Ce qui conduit à une attaque massive des vaisseaux sanguins et du système respiratoire.
De manière générale, même les virus qui s'attaquent directement au système respiratoire ont du mal à se transmettre par les voies respiratoires. Par exemple, la grippe aviaire se transmet dans l'air chez les oiseaux, mais n'a pas encore muté pour se transmettre à l'homme.
Selon différents experts donc, vu son efficacité actuelle de transmission, Ebola n'aurait pas besoin d'une telle mutation puisqu'elle ne serait pas forcément plus efficace.
Un missionnaire catholique contaminé par le virus Ebola en Sierra Leone, le deuxième ressortissant espagnol à être touché, a été rapatrié dans la nuit de dimanche à lundi en avion militaire à Madrid, où il est hospitalisé, selon les médias espagnols.
L'avion, un Hercules C-130 médicalisé, a atterri sur la base militaire de Torrejon, près de Madrid, avant d'être transporté en ambulance jusqu'à un hôpital madrilène, Carlos III, ont rapporté les journalistes. L'avion était équipé d'une chambre d'isolement.
Agé de 69 ans et directeur d'un hôpital dans la ville de Lunsar, Frère Manuel Garcia Viejo "a été testé positivement pour Ebola et a exprimé le désir d'être transféré en Espagne", avait expliqué le ministère de la Santé samedi.
Médecin spécialisé en médecine tropicale, directeur de l'hôpital de Lunsar depuis 12 ans, Manuel Garcia est membre de l'Ordre hospitalier de San Juan de Dios, un ordre catholique qui gère l'association caritative Juan Ciudad travaillant avec les victimes d'Ebola. Il travaillait en Afrique depuis 30 ans.
En août, un prêtre espagnol de 75 ans, Miguel Pajares, avait été le premier Européen atteint d'Ebola à être rapatrié en Europe, puis le premier Européen à succomber au virus. Contaminé au Liberia, ce missionnaire avait été rapatrié à Madrid et placé en isolement dans le même hôpital madrilène que Manuel Garcia.
L'épidémie d'Ebola sans précédent qui frappe l'Afrique de l'Ouest depuis le début de l'année a fait 2.630 morts, principalement au Liberia, en Guinée et en Sierra Leone, selon l'OMS.
et ils ont fait des enfants depuis !
«Quand je vois des gens le faire, je trouve ça aussi sale que des crottes de chien», explique le maire...
Après l'interdiction d'étendre le linge aux balcons et fenêtres des immeubles visibles des voies publiques, l'interdiction des paraboles sur les façades des immeubles, le couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans ou encore les blouses pour les écoliers, Robert Ménard a publié un arrêté interdisant de cracher dans la rue, afin de rendre sa ville «plus belle et plus agréable».
«Cet arrêté vise à dire que cracher dans la rue, c'est dégoûtant», a expliqué le maire de Béziers, soulignant que le texte avait été présenté en conseil municipal jeudi soir. Quand je vois des gens le faire, je trouve ça aussi sale que des crottes de chien». «Je n'en veux pas dans ma ville, en particulier dans le centre où se rendent de nombreux touristes», a précisé le maire, élu en mars avec le soutien du Front national.
Si des sanctions sont prévues --une amende--, «il s'agit surtout d'avertir les gens que ça ne se fait pas», a poursuivi Robert Ménard, évoquant le cas de précédents arrêtés qu'il a déjà pris : «Les gens, quand vous leur dites, ils comprennent, mais tant qu'il n'y a pas de menace de sanction, ils ne le font pas. Quand vous leur expliquez, les gens vous écoutent: c'est juste du laisser-aller auquel il faut mettre un point final».
Pourtant un décret modifié en 1992 prévoit déjà qu'il est interdit en France de cracher sur la voie publique à l'exception «des crachoirs disposés à cet effet». En 2006, un lycéen de 19 avait par exemple été condamné à 135 euros d'amende pour avoir craché à un arrêt de bus à Lyon.
21/09/2014 – PARIS (NOVOpress)
Samedi 18 octobre aura lieu la 7ème journée de la réinformation organisée par la Fondation Polémia. Thème de cette journée : la bataille culturelle. Nous avons interrogé Jean-Yves Le Gallou, le président de la fondation et acteur essentiel de la réinformation, sur ce thème et le programme de la journée de réinformation.
Propos recueillis par Pierre Saint-Servant
Jean-Yves Le Gallou, vous organisez samedi 18 octobre la 7ème journée de la réinformation de Polémia, pouvez-vous nous rappeler les thèmes traités lors des éditions précédentes ?
Nous avons dans un premier temps lancé et approfondi le concept de réinformation. Puis nous avons travaillé sur le thème de la novlangue et à la suite de ces travaux nous avons publié deux Dictionnaires de novlangue. Nous avons ensuite souligné le rôle des blogs dans la guerre médiatique et contribué au développement de la reinfosphère. L’an dernier nous avons étudié en profondeur la désinformation publicitaire. Une réflexion qui va faire l’objet de la publication d’un livre en partenariat avec l’éditeur Via Romana.
Vous avez choisi cette année de concentrer votre attention sur la bataille culturelle, pourquoi ?
C’est simple , nous vivons dans une dictature culturelle : de la gauche, du politiquement et de l’artistiquement correct . Cette dictature s’impose par la censure et l’intimidation : les dissidents rasent trop souvent les murs par crainte d’être diabolisés, voire, pire, ringardisés . Dans cette affaire, de trop nombreux élus, distributeurs de la manne publique, font preuve d’une rare lâcheté . Quant aux soi-disant mécènes du grand capital – Pinault, Arnaud, Bergé –, sous couvert de générosité, ils font de l’optimisation fiscale , de la com’ et de la spéculation financière! L’art n’est qu’un prétexte au profit pour les uns, à l’idéologie déracinante pour les autres. C’est l’alliance du trotskysme culturel et des salles de marché !
Il y a donc un double travail à faire : décrypter le nouvel art officiel et cesser de se laisser intimider par le conformisme dominant. Car ce qu’on appelle Art contemporain n’est rien d’autre qu’un centenaire indigne né sur les ruines de la guerre de 1914. En 1917, Duchamp nous faisait le coup de l’urinoir présenté comme une œuvre d’art ; cent ans plus tard il faudrait s’ébaubir devant un crucifix planté dans de l’urine, le Piss Christ de Serrano. Bref, l’imagination en panne et les mêmes fausses provocs à répétition, jusqu’à plus soif si j’ose dire ! C’est le règne des faiseurs et des faisans, des escrocs soutenus par les bobos et les gogos.
Le champ culturel a pendant des décennies été négligé par le camp national. Ceux qui avaient retenu les leçons de Gramsci étaient peu nombreux, et ceux qui les appliquaient étaient encore plus rares. Des progrès ont-ils été réalisés depuis ?
Oui, il y a une vraie prise de conscience des foutaises de « l’art conceptuel » grâce notamment aux remarquables essais d’Aude de Kerros. Et il est clair que crise culturelle et crises identitaires sont liés. Les défenseurs de l’identité ne peuvent pas faire l’économie de la bataille culturelle. Ils doivent donc affronter les pouvoirs financiers (pseudo mécènes/vrais spéculateurs) et les pouvoirs politico -administratifs (les “inspecteurs de la création” [sic]) qui gouvernent. Ainsi que leurs chiens de garde dans les médias. Ce qu’il faut, c’est de la fermeté d’âme pour ne pas succomber au terrorisme intellectuel. Mais il ne faut pas se contenter d’un discours critique. Il vaut aussi révéler l’art caché et mettre en valeur les traditions qui renaissent.
Pouvez-vous nous dévoiler une partie du programme de la journée du 18 octobre ?
Le matin Michel Geoffroy traitera en profondeur de “Crise culturelle et crise identitaire”. Puis nous donnerons la parole aux artistes : le graveur et essayiste Aude de Kerros, le dessinateur Miège, l’auteur et metteur en scène Gérard Savoisien. La génération 2013 aura aussi la parole : les Antigones, les Gavroches, les organisateurs de marches identitaires… bref, tous ceux qui ont repris le chemin de la rue et de la liberté de l’esprit. Le temps de l’offensive est venu !
Jean-Yves Le Gallou, merci.
Sarkozy : "la France est comme une seconde nature pour moi ". La première réside sans doute dans l'art de la manipulation et du mensonge
Plusieurs milliers de Russes ont pris part dimanche à des marches pour la paix en Ukraine, à Moscou et dans plusieurs autres villes de Russie, dans le cadre de la première grande campagne pacifiste dans le pays depuis le début du conflit entre Kiev et les séparatistes de l'Est. Les organisateurs de la "Marche pour la paix" attendaient plus de 50.000 participants dans les rues de Moscou, afin de dire clairement au président Vladimir Poutine: Arrêtez cette guerre. Des rassemblements étaient prévus aussi dans d'autres villes de Russie.
"Poutine signifie guerre, il est le chef du parti de la guerre", a déclaré l'opposant Boris Nemtsov, l'un des organisateurs de ces marches pacifistes. "Si nous sommes nombreux aujourd'hui, il reculera, parce qu'il craint ses propres citoyens, et seul le peuple russe peut barrer la route à Poutine", a dit cet ancien vice-Premier ministre du temps de Boris Eltsine. Des drapeaux russes et ukrainiens flottaient au-dessus de la foule, et des banderoles avaient été déployées avec ces slogans: "Nous sommes ensemble!" "Poutine, j'en assez de tes mensonges!" et "Je ne veux pas de guerre avec l'Ukraine!". "Non à la guerre!", ont scandé les manifestants.
Le Figaro - Reuters - 21 09 14
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