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Malgré les températures glaciales, quelques milliers de personnes se sont rassemblées à nouveau samedi après-midi à l’appel de l’association « Zukunft Heimat » pour protester contre la politique d’immigration et d’accueil des réfugiés de Merkel.
Une fois de plus, les orateurs ont dressé le portrait d’une Allemagne menacée par l’admission massive de réfugiés musulmans. Andreas Kalbitz, le chef de l’AfD de Brandenburg, les a qualifiés ironiquement d ‘«enrichisseurs».
Il a ajouté que les manifestations se poursuivront jusqu’à ce que les revendications «frontières contrôlées et retour au pays» soient remplies. L’Allemagne a besoin d’une «politique d’expulsion» cohérente, a-t-il déclaré sous les applaudissements des manifestants.
Depuis sa parution fin février, le livre de Jean-Marie Le Pen, « Fils de la Nation », bat des records de ventes. LCI est allé discuter de ce succès avec quelques libraires parisiens… et les a trouvé plutôt embarrassés.
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[…] le 9 mars, soit dix jours après sa sortie, le livre se hisse à la neuvième place des meilleures ventes tous genres confondus dans le classement hebdomadaire de Livre Hebdo, et à la première place dans la catégorie essais. Un succès qui n’est pas forcément assumé chez les libraires. Lorsque que l’on évoque le nom de Jean-Marie Le Pen au milieu de piles de livres, le regard de certains libraires se fige. Fuit. […]
« Je n’ai pas envie de parler. On ne soutient pas [Jean-Marie Le Pen, ndlr.] et on ne veut pas entrer dans son jeu. Parce qu’en parler, c’est l’exposer », lance l’un de ses confrères du même quartier de la capitale. […] Dans une autre grande librairie de l’arrondissement, même réaction épidermique. Alors qu’une dizaine d’exemplaires du livre de Jean-Marie Le Pen sont empilés sur un présentoir au milieu de la pièce, un chef de rayon nous exprime sa gêne : « Je n’ai pas franchement envie que l’on soit mis en avant pour ça », explique-t-il, ajoutant ne pas avoir eu d’autre choix que de le commander. Et d’ajouter : « Si j’avais eu ma propre librairie, je ne suis pas sûr que je l’aurais vendu. » […]
Mais si les commerçants ne se montrent pas très à l’aise à l’idée de le vendre, les clients, eux, semblent plutôt décontractés. […]
Concentré de toutes les difficultés de l'île, franceinfo vous emmène passer une matinée dans la maternité de Mayotte où 26 bébés naissent tous les jours malgré l'insécurité et le manque de médecins.
La grève générale se poursuit à Mayotte. L’intersyndicale attend toujours des mesures concrètes pour que les retards structurels sur l’île soient comblés en matière de sécurité, de services publics, d’éducation et de santé. À la maternité de Mayotte, à Mamoudzou, 26 bébés sont mis au monde tous les jours malgré le manque de médecins. La plupart le sont, par des femmes comoriennes, venues là pour donner la nationalité française à leur enfant.
Trois mères et leur bébé par chambre
Vendredi matin, la petite Hawa dort à poings fermés dans une chambre, mais Mariama, elle, est à bout de force. Elle a accouché la veille et n'a toujours pas pu se reposer. "On est entassées à trois femmes dans la chambre avec trois bébés qui pleurent alors que j'ai été hospitalisée à 2 heures du matin après une journée en salle d'accouchement, raconte cette maman. Et même à la maternité, il y avait trop de monde dans les couloirs, j'avais l'impression d'être aux urgences d'un pays en guerre. Ils sont débordés par le monde."
Il est presque midi, j'ai déjà fait trois césariennes Docteur Alain Praud à franceinfo
À la mi-journée, les poches sous les yeux du docteur Alain Praud, gynéco-obstétricien à la maternité en témoignent. "Dans un hôpital français, explique le praticien, on compte un médecin pour 300 accouchements. On devrait donc être 25, mais on est sept à prendre des gardes. Il est presque midi, j'ai déjà fait trois césariennes, il en arrive encore deux, ça fera cinq dans la matinée". Pour le spécialiste, "c'est du jamais vu. Il y a une accumulation de fatigue, un vrai risque de faire des erreurs parce qu'on ne dort pas".
"Aujourd'hui, soit on laisse le sac, soit on laisse la peau"
Dans la nurserie, à quelques pas, les gestes de Moina une infirmière-stagiaire sont surveillés, mais ici c'est le système-D raconte la jeune femme : "J'ai un bébé qui n'a pas de berceau ce matin, parce qu'il y a trop d'accouchements."
Et encore, cette matinée est calme, sans agitation, se réjouit Zabibo Moendanzé. Cette coordinatrice a déjà expérimenté la violence à la maternité. "Il y a deux ans, il n'y avait pas encore d'arme blanche, je me suis défendue parce que c'était des gamins, mais aujourd'hui, je ne le ferai pas. Désormais, soit on laisse le sac, soit on laisse la peau."
15/03/2018 – FRANCE (NOVOpress) Contribuables associés s’est emparé du rapport de la Cour des comptes révélant une fraude de plus de 200 millions d’euros au niveau des caisses de retraite, au profit de « faux retraités » en Algérie, au Maroc ou en Italie. Un faux retraité de 117 ans installé en Algérie percevait une pension de retraite…
L’association a été ignorée par Agnès Buzyn, ministre de la Santé et chargée du dossier, mais entendue par le Premier ministre, Édouard Philippe, qui a dit « faire de la lutte contre la fraude sociale une priorité ».
Mais Contribuables associés continue à suivre le dossier de près.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a prévenu que « les pays qui n’arrêtent pas l’immigration seront perdus » dans un discours trois semaines avant des élections où il briguera un troisième mandat.
S’adressant jeudi à une foule de partisans à Budapest, M. Orbán a utilisé ce discours pour faire de ce vote à venir une bataille existentielle pour la survie de la Hongrie et de l’Europe.
« L’Afrique veut défoncer notre porte, et Bruxelles ne nous défend pas », a déclaré M. Orbán à la foule rassemblée devant le parlement hongrois sous une pluie battante. « L’Europe subit une invasion, et les élites européennes regardent avec leurs mains en l’air. »
Les sympathisants ont agité des drapeaux et des pancartes soutenant le Fidesz, le parti de Viktor Orbán. Beaucoup sont venus en bus depuis différentes villes de Hongrie, et plusieurs milliers de conservateurs Polonais se sont rendus à Budapest pour soutenir le chef hongrois.
« Nous sommes ici parce que nous soutenons Orbán et nous voulons protéger la Hongrie et défendre tout ce que nous avons accompli ces dernières années », a déclaré Zsolt Kepecz, 40 ans, qui a voyagé avec une cinquantaine de personnes depuis la petite ville de Putnok.
Philippe de Villiers au Puy du Fou. Image d'archive
Philippe de Villiers est remonté contre l'arrêté gouvernemental visant à encadrer l'activité des bénévoles dans le spectacle vivant. Pour le créateur du Puy du Fou, interrogé par Le Figaro, il s'agit d'une mesure «liberticide».
L'arrêté du 25 janvier, «relatif à la participation d'amateurs à des représentations d'une œuvre de l'esprit dans un cadre lucratif», crée des remous au sein du monde du spectacle. Par ce texte, le gouvernement entend restreindre l'activité bénévole dans le spectacle vivant.
Deuxième parc le plus fréquenté de France derrière Disneyland Paris, le Puy du Fou, fort de ses 4 000 bénévoles, verrait ainsi son existence remise en question, à en croire son fondateur Philippe de Villiers. Interrogé par Le Figaro le 14 mars, l'ancien candidat à la présidentielle estime que cette «démarche liberticide» met le bénévolat «en liberté conditionnelle».
«C'est la mort programmée du Puy du Fou !», s'alarme-t-il dans les colonnes du quotidien.
En effet, le journal précise que les bénévoles «ne pourront participer à plus de huit spectacles dans l'année alors que le Puy du Fou en organise 28».
Le ministère de la Culture est surpris de la réaction de l'ancien député : «[Les représentants du] Puy du Fou ont été associés depuis 2014 aux réunions concernant ce projet maintes fois discuté et amendé». Un arrêté qui, selon ce dernier, permet de «protéger les artistes salariés» et de «sécuriser l'employeur sans que ce dernier risque un contrôle Urssaf» pour travail dissimulé de bénévoles.
L’Australie est prête à envisager de délivrer des visas spéciaux à des fermiers sud-africains principalement blancs, en raison des « circonstances horribles » des saisies de terres, de la violence et des meurtre auxquels ils sont confrontés.
Peter Dutton, le ministre australien des Affaires intérieures, a déclaré mercredi au Sydney Daily Telegraph que son département examinait une série de méthodes pour faciliter leur chemin vers l’Australie via des programmes de visas humanitaires ou autres.
« Je pense que ces gens ont besoin d’aide, et ils ont besoin de l’aide d’un pays civilisé comme le nôtre », a déclaré M. Dutton.
Le ministre a dit qu’il était clair que les agriculteurs en question voulaient travailler dur et contribuer à la richesse de pays comme l’Australie.
« Nous voulons que les gens qui viennent chez nous respectent nos lois, s’intègrent dans notre société, travaillent dur. Nous ne voulons pas d’immigrés vivant uniquement d’aides sociales », a-t-il dit.
« Et je pense que ces fermiers méritent une attention particulière »
Une dame de 65 ans dans la ville de Jönköping poursuivie en justice pour « incitation à la haine » parce qu’elle prétend que les immigrés musulmans font baisser le Quotient intellectuel moyen de la population suédoise.
La sexagénaire est poursuivie pour divers messages qu’elle a postés sur les réseaux sociaux. Sur une page Facebook « Arrêtez l’abus », elle a écrit: « Si cela continue, l’intelligence moyenne en Suède sera au niveau de celle d’un poisson rouge ».
Selon le procureur, l’internaute de 65 ans a émis plusieurs autres remarques désobligeantes envers les migrants et les musulmans. Le procureur Lisa Hedberg a déclaré que les autorités font face de plus en plus à des « messages haineux » sur internet, spécialement venant de personnes de plus de 55 ans.
« Je n’ai pas de statistiques, mais le sentiment est que le nombre de poursuites a augmenté », a déclaré Hedberg.
«Il y a trop d’accouchements, trop de bébés, trop de travail.» Moinahamissi Baco-Saindou est infirmière stagiaire à la maternité du centre hospitalier de Mayotte (CHM). Un bébé dans les bras, elle indique «qu’il n’y a plus de berceau» disponible dans le service. «Il va dormir à côté de sa maman.» Cette maternité est la plus grande de France, au vu du nombre de naissances, selon le personnel soignant. Et «peut-être même d’Europe», assure la directrice de l’établissement, Catherine Barbezieux. Depuis le début du mois de mars, près de 250 naissances ont été recensées. L’an dernier, 9674 enfants sont nés ici. «Aujourd’hui, on n’a pas pu faire tous les bains. On fait juste ce qui est essentiel», regrette Moinahamissi Baco-Saindou.
#excision Chiffres rendus publics par la Maison des Femmes de Seine-Saint-Denis: dans ce département, 14% des femmes qui accouchent aujourd'hui sont excisées.
Lors de la présentation du projet, la Maison des femmes, partenaire de l’opération, rappelait que «14% des femmes qui ont accouché à Saint-Denis sont excisées».
Match se serait-il donné pour mission de nous préparer à la reconversion louis-napoléon-bonapartienne d’Emmanuel Macron ? Au terme de son premier périple à travers la France en 1852, l’ex-président de la République devenu l’empereur Napoléon III se vit accueillir dans la capitale par ces mots : « Le conseil municipal de Paris vient avec empressement saluer votre retour ; il vient se féliciter avec vous du triomphe dont chacun de vos pas a été marqué dans ce glorieux voyage ». Aujourd’hui, c’est Paris Match qui se charge du boulot, livrant son récit extatique du glorieux voyage de Macron Ier en Inde.
Le dossier de huit pages s’ouvre, choc des photos oblige, sur le cliché étalé en double page du couple Macron devant le Taj Mahal, caprice architectural d’un empereur moghol. D’une plume trempée dans le cirage, le texte d’ouverture assène sans craindre la pompe : « Pour les Indiens, Macron mérite plus que jamais le titre d’Emmanuel le majestueux' ». Pour nos confrères aussi, manifestement. (…)
Dans l’entourage de Marine Le Pen, on répète que «le Front national a l’antériorité sur ce nom», quoi qu’assure Igor Kurek. S’il n’y a aucune trace dans les registres de l’INPI d’un éventuel dépôt du nom «Rassemblement national» à l’époque où Jean-Marie Le Pen l’avait utilisé lors de la campagne législative de 1986, le député des Pyrénées Orientales, Louis Aliot, a quant à lui bien déposé à l’Institut le nom «Alliance pour un rassemblement national» le 12 janvier 2012. «Malgré cette antériorité, on n’a voulu prendre aucun risque, assure Philippe Olivier, conseiller spécial de Marine Le Pen. Pour être totalement sûr, nous avons chargé notre avocat de racheter le nom déposé auprès de Frédéric Bigrat.» Dans un communiqué, le Front national affirme avoir «depuis deux mois chargé un de ses avocats d’acquérir les droits de cette marque, ce qui a été fait par acte sous seing privé le 22 février 2018 de telle sorte que les droits de la marque sont aujourd’hui détenus par un des conseils du FN», Me Frédéric-Pierre Vos.
Interrogée par RTL, Marine Le Pen a d’autre part annoncé vouloir porter plainte pour «utilisation frauduleuse de la flamme, emblème du Front national», contre le Rassemblement national d’Igor Kurek. En 2013, l’homme avait en effet choisi de reprendre la fameuse flamme tricolore, accolée à la croix de Lorraine gaulliste, comme insigne de son mouvement.
12/03/2018 – HONGRIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Réunis le 3 mars dernier, les représentants des parlements de Pologne, de Hongrie, de Tchéquie et de Slovaquie, ont réaffirmé un certain nombre de positions communes : développement de la coopération entre les parlements, respect des particularités nationales, défense des valeurs chrétiennes et de la natalité face à l’immigration.
Souhaitant garder les meilleures relations possibles avec le Royaume Uni, dans le contexte du Brexit, ils militent en faveur d’un élargissement vers l’Est de l’Union Européenne.
Se sentant boudés par le tandem franco-allemand, les pays du V4 font valoir leur poids économique croissant dans l’Union européenne : ainsi le commerce extérieur entre l’Allemagne et les pays de Visegrad est-il 45 % fois plus élevé qu’entre l’Allemagne et la France.
Des réalités que les poids lourds de Bruxelles et les grands médias ont du mal à prendre en compte.