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Blog - Page 947

  • Capitulation du Japon: aucun regret de la part du Premier ministre


    Capitulation du Japon : aucun regret de la part... par euronews-fr

     

    Le Premier ministre japonais a rompu une tradition qui dure depuis vingt ans. Lors d’une grande cérémonie ce jeudi à Tokyo, marquant le 68ème anniversaire de la capitulation du Japon en 1945, il n’a pas exprimé le moindre regret pour les souffrances infligées aux Chinois et Coréens. “Nous n’oublierons jamais, a simplement déclaré Shinzo Abe, que la paix et la prospérité actuelles découlent du sacrifice des soldats japonais”.

    Le gouvernement chinois a convoqué l’ambassadeur du Japon à Pékin, car il est encore plus fâché par la visite de deux ministres japonais au sanctuaire Yasukuni. Le ministre des Affaires intérieures et celui chargé de la sécurité publique s’y sont rendus pour prier. Ce sanctuaire, qui rend aussi hommage à 14 criminels de guerre condamnés par les Alliés, rappelle tristement à la Chine les atrocités qui ont été commises sur son territoire. Des pacifistes japonais ont aussi commémoré à leur manière la capitulation de leur pays, en faisant s’envoler des colombes.

     

    euronews

     

  • Meurtre de Jérémie : l'enquête au point mort

     

     
    Marseille / Publié le jeudi 15 août 2013 à 09H47
     
     

    L'enquête sur le meurtre de Jérémie Labrousse, l'étudiant mort après une agression le 9 août dernier sur le boulevard d'Athènes reste pour l'instant au point mort. Les premiers résultats des analyses ADN effectuées sur les chaussures du suspect, un déséquilibré de 41 ans, n'ont pas permis de faire avancer le dossier. L'empreinte génétique de la victime n'y a pas été isolée. Les fonctionnaires de la brigade criminelle de la sûreté départementale continuent pour l'instant d'analyser les images vidéo immortalisées à proximité de la scène de crime. Aucun élément ne permet encore d'affirmer sans se tromper que le suspect est bien à l'origine du meurtre.

    Hier, Manuel Valls a reçu la famille de Jérémie Labrousse, pour leur apporter "la compassion de l'État." Les obsèques, dans les Vosges, auront lieu le 17 août.

     

    La Provence

  • Le Couronnement de la Vierge Marie

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    Fra Angelico - vers 1434-1435

    Galerie des Offices - Florence

  • Assomption: procession fluviale, des milliers de fidèles sur la Seine

    http://www.leparisien.fr/diaporama/en-images-assomption-des-milliers-de-fideles-sur-la-seine-14-08-2013-3053421.php?pic=4#infoBulles1

     

  • 15 août : Assomption et fête nationale française

       

    L’Assomption désigne l’élévation aux Cieux de la Sainte Vierge, corps et âme.

    Celle-ci – qui selon la doctrine catholique tient dans l’humanité une place si particulière – quitta ce monde d’une façon extra-ordinaire : son corps étant préservé de la corruption que connaissent les cadavres, tout comme son âme avait été préservée de toute corruption du péché.

    C’est la principale fête mariale.

    En France, s’ajoute au 15 août le caractère de fête nationale, depuis Louis XIII.

    Voyez ci-dessous, en comparant les 2 origines, comme on est loin du 14 juillet qui commémore la naissance mythologique de la République dans la haine et dans un bain de sang bien réels.

    En 1637, après 22 ans de mariage, le roi n’a toujours pas d’héritier et la France est dans une guerre difficile.

    Le souverain prépare un vœu qui consacrerait la France à Notre-Dame de l’Assomption, plaçant la nation sous la protection de la Sainte Vierge ; on dit qu’il y pense depuis longtemps.

    En novembre 1637, un texte est enfin soumit au Parlement. Puis soudain, la bonne nouvelle tombe : la Reine est enceinte !

    Le vœu sera finalement signé par le Roi le 10 février 1638, comme un remerciement, et instaurera les processions du 15 août en hommage à Notre-Dame de l’Assomption.

    Le 5 septembre 1638, naît le dauphin de France, futur Louis XIV. De par sa naissance vue comme quasi-miraculeuse, il reçoit le nom significatif de Louis-Dieudonné (« donné par Dieu »).

    Ce vœu a été publié sous la forme d’un édit dont voici le texte intégral :

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    Contre-info.com

  • Marseille : le meurtre de Jérémie n'était pas crapuleux

     

     
    Marseille / Publié le mercredi 14 août 2013 à 05H19
     

    Le portable de la victime a été retrouvé. L'auteur présumé devait être interné

    Faits Divers - Justice - Actualités - Marseille : le meurtre de Jérémie n'était pas crapuleux
    Photo Guillaume Ruoppolo
    Jérémie Labrousse s'était réfugié dans cet établissement, où il avait malheureusement perdu trop de sang pour survivre à son agression. Il est décédé le lendemain à l'hôpital.

    Dans une ville qui compte près de 10 000 vols avec violences chaque année, l'hypothèse de l'agression crapuleuse semblait solide. Elle s'est effondrée. Jérémie Labrousse n'a pas été tué par un voleur de téléphone portable. Son appareil a été retrouvé, lundi, à l'hôpital Nord, dans des circonstances encore confuses, mais qui écartent totalement la thèse selon laquelle il avait été dérobé au moment du crime. D'heure en heure, et même si les éléments techniques ne sont pas encore venus corroborer cette piste, il semble de plus en plus évident que le garçon, promis à un avenir radieux, est bien tombé entre les griffes d'un déséquilibré, Ali Hamadou, alors en pleine crise de démence.

    Les enquêteurs de la Sûreté départementale attendent avec impatience les résultats des analyses réalisées sur les vêtements du suspect, interpellé deux jours après le meurtre. Ils espèrent pouvoir y repérer l'ADN de la victime, ce qui confirmerait, sans doute définitivement, sa participation au crime. Ils n'espèrent en revanche rien de celui qui est plongé depuis son interpellation dans un mutisme total, dans l'incapacité de livrer la moindre information concernant les faits, depuis l'hôpital Édouard-Toulouse où il est interné.

    La schizophrénie sévère dans laquelle il est plongé depuis plusieurs années semble aujourd'hui avoir atteint un niveau maximal. Selon plusieurs témoignages recueillis dans son environnement direct, l'homme manifestait des signes de la maladie particulièrement inquiétants dans les jours qui ont précédé le drame.

    Interné d'office à Edouard Toulouse

    Il se confirme même que le corps médical qui suivait le SDF au sein de son foyer d'accueil, spécialisé dans les sans-abri en détresse mentale, avait formulé une demande d'hospitalisation d'office à Édouard-Toulouse, comme nous l'indiquions dans notre édition d'hier.

    Elle peut aboutir très rapidement lorsque les patients concernés constituent "un trouble à l'ordre public", comme des violences ou des comportements très agressifs. Le préfet lui-même signe alors un arrêté pour ordonner l'hospitalisation. Mais le cas de ce SDF était différent. Même si son état apparaissait comme préoccupant, il n'avait semble-t-il commis aucun geste alarmant, ni proféré des propos laissant imaginer une issue aussi grave. Ses soignants considéraient comme nécessaire son placement dans un service psychiatrique pour des raisons purement médicales, en raison de ses crises à répétition. Ils lui avaient en revanche prescrit un traitement lourd, à base de neuroleptiques, qui n'ont malheureusement eu aucun effet sur sa schizophrénie.

    L'enquête va désormais s'atteler à clarifier comment l'agression s'est déroulée. Elle n'aurait duré qu'une poignée de secondes, qui manquent sur les caméras de vidéo protection et que seul un témoin pourrait détailler avec précision.

     

    La Provence

     NdB: L'arme du crime, elle, n'a pas encore été retrouvée. Pour le moment, il n'y a que des suppositions quant à l'identité du présumé meurtrier, mais encore aucune preuve formelle.

     

     

  • Ces photos que Hollande aurait dû éviter pendant sa tournée d'été...

    http://www.francetvinfo.fr/politique/ces-photos-que-hollande-aurait-du-eviter-pendant-sa-tournee-d-ete_387237.html#xtor=SEC-69

  • Sofiane M., l'agresseur présumé de deux jeunes femmes à Colombes, a un très lourd passé judiciaire

    Sofiane M., soupçonné d'avoir violé une jeune femme et d'en avoir violemment battu une autre, bénéficiait d'un régime de semi-liberté. A l'heure des faits, il aurait dû être rentré en prison.

    L'homme soupçonné d'avoir roué de coups une jeune femme de 32 ans et violé une autre passante de 21 ans, le 7 août dernier, aux abords de la gare de La Garenne-Colombes, contestait toujours les faits mardi soir en garde à vue, expliquait alors le procureur de la République de Nanterre, Robert Gelli.

    La première victime a été retrouvée «baignant dans le sang», selon sa mère, rue des Voies-du-Bois, à deux pas de la gare, dans cette grande allée bordée d'arbres verts et de petites maisons, réputée «sûre et tranquille» pour les habitants. Il était environ 22 heures, elle rentrait chez elle à Colombes (Hauts-de-Seine) tout en téléphonant à un ami.

    Sofiane M., 26 ans, en semi-liberté depuis mai dernier, est aussi soupçonné d'un viol, qui a eu lieu trois quarts d'heure après la première agression. Toujours à Colombes, dans une rue proche de la gare, une jeune femme de 21 ans a été abusée sous la menace d'un couteau. L'homme lui aurait ensuite volé son sac à main. L'enquête a été confiée à la PJ des Hauts-de-Seine qui, grâce aux images de vidéosurveillance de la Ville et de la RATP, a pu interpeller Sofiane M. lundi matin au domicile de sa mère à Colombes.

    Le 7 août, au soir des deux attaques, Sofiane M. devait rentrer à 21 heures à la prison de la Santé et n'y est arrivé qu'après 23 heures. «Dès le lendemain, le juge d'application des peines (JAP) lui a adressé une convocation pour la date du 22 août dans le but d'examiner la révocation de sa semi-liberté», précise le procureur Robert Gelli.

    Polémique droite-gauche

    «Les horaires dans une semi-liberté sont individualisés et à respecter à la lettre, sinon le JAP en est prévenu aussitôt pour intervenir», explique Céline Parisot, juge d'application des peines à Albertville. «Les conditions pour une semi-liberté sont liées à la durée de la détention à purger, elle doit être inférieure ou égale à deux ans, et la personne doit avoir un projet de travail», ajoute-t-elle.

    Le jeune homme soupçonné avait déjà commis une agression sexuelle en 2009, pour laquelle il a alors effectué dix-huit mois de prison ferme. Sorti en juillet 2012, il est de nouveau écroué en août et purge une peine cumulée de dix-neuf mois pour vol, conduite sans permis, refus d'obtempérer et recel - pour laquelle il était incarcéré actuellement. Sa mise à l'épreuve de dix-huit mois liée à l'agression sexuelle de 2009 devait être appliquée une fois qu'il serait sorti de prison définitivement. La semi-liberté lui permettait, dans le cadre de son suivi par une association, de travailler la journée et de rentrer à la Santé le soir ou parfois chez sa mère le week-end.

    «Cette malheureuse affaire donne raison à ceux qui pensent que Mme Taubira est dangereuse», s'exclame le maire (UMP) de La Garenne, Philippe Juvin. Quand ce dernier souligne «la folie de celle qui veut désengorger les prisons», Philippe Sarre, maire (PS) de Colombes, rappelle qu'«il n'est pas question de remettre des criminels en liberté dans ce que propose la garde des Sceaux, mais juste de trouver des moyens alternatifs pour ceux qui ne sont pas à leur place en prison». «Peut-être fallait-il doubler la condamnation de cet individu par des soins, vu la nature barbare des agressions, mais il a tout de même été condamné, on ne peut pas parler de laxisme», renchérit Philippe Sarre, qui pointe son agacement face à la déferlante de polémique droite-gauche à chaque fait divers. «Aucun parti n'a le monopole de la lutte contre la délinquance», gronde-t-il.

    Sofiane M. devrait être déféré mercredi matin à la suite de ses quarante-huit heures de garde à vue. Quant à la première victime de 32 ans, «frappée au visage à de très nombreuses reprises», témoignait sa mère après l'agression, elle se trouve toujours à l'hôpital Beaujon à Clichy, où elle est «entre la vie et la mort», détaillait mardi le syndicat de police Synergie-officiers. «Elle pourrait avoir de graves séquelles neurologiques.»

     

    Le Figaro - 14/08/13

  • A Paris, les prières de rue continuent !

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    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, candidat FN-RBM à la Mairie de Paris

    Lors de son passage aux Grandes Gueules sur RMC, ce lundi, le socialiste Bruno Julliard, adjoint à la culture du maire de Paris et membre de l’équipe de campagne d’Anne Hidalgo, a annoncé la construction d’une salle de prière pour les musulmans qui bloquent encore les rues du quartier de la Goutte d’Or (18e arrondissement), comme B. Julliard l’a expressément confirmé : s’il y a des prières dans la rue, c’est « qu’il n’y a pas de lieux de culte », a-t-il déclaré.

    Cette salle, « totalement financée par des fonds privés, en l’occurrence par la grande mosquée de Paris », se trouvera dans l’enceinte d’un grand bâtiment, dit « culturel » qui, lui, sera financé à hauteur de 22 millions d’euros, par l’argent des contribuables parisiens.

    Que ce soit dans le 18e arrondissement de Paris ou sur l’ensemble du territoire de la République, l’argent public ne doit pas financer la construction de lieux de culte ! Il est également indécent de la part du maire de Paris, Bertrand Delanoë, de céder plus de 1200 m2 à ce projet, alors que des centaines de familles peinent à se loger dans la capitale.

    Enfin, ces prières de rues, non déclarées à la préfecture, constituent une infraction. Par conséquent, il n’est pas de la fonction du maire de Paris de se soucier exclusivement des intérêts d’une communauté religieuse, surtout lorsque celle-ci agit contre la Loi. La République est, et doit rester, une et indivisible !

    Le Front National et le Rassemblement Bleu Marine de Paris, Wallerand de Saint-Just, candidat FN-RBM à la Mairie de Paris, s’opposent catégoriquement au financement de lieux de culte par l’argent public. Cet argent ne doit servir que dans l’intérêt seul de « Paris, capitale de la France » et des Parisiens. Ils demandent, enfin, que les prières de rues soient unanimement condamnées par les responsables politiques de la capitale, et que la loi soit respectée sur l’ensemble du territoire national.

     

    13/08/13

     
     
     
  • Le nombre de demandes d’asile pour homosexualité explose en Belgique

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    Selon une enquête révélée par le quotidien wallon Le Soir, les candidats refugiés qui invoquent des persécutions liés à leurs préférences sexuelles sont presque trois fois plus nombreux qu’en 2009. Les associations suspectent l’existence des réseaux de « faux homosexuels » dans les pays d’Afrique.

     A en croire les chiffres officiels, la Belgique serait un eldorado pour les demandeurs d’asile homosexuels. Selon le Commissariat général des réfugiés et apatrides (CGRA), en 2009, 376 demandes pour ce motif ont été enregistrées, alors qu’en 2012, le nombre de dossiers a dépassé 1000. Et cela sur le fond de la baisse générale du nombre de demandes d’asile en Belgique : 21 463 en 2012, soit 16 % de moins que l’année précédente, constatait la semaine dernière le quotidien francophone belge Le Soir.

     Les persécutions liées aux préférences sexuelles sont l’un des critères permettant d’obtenir le statut de réfugié, fixé par la Convention de Genève. Mais pour cela le candidat qui demande l’asile, doit prouver que sa vie est en danger dans son pays d’origine à cause de son homosexualité. Lors de l’examen du dossier de demande, les autorités belges acceptent des documents, comme des mandats d’arrêt, où des certificats médicaux qui prouvent que la personne est persécutée parce qu’elle est homosexuelle. Si le demandeur d’asile ne peut pas fournir ce type de documents, il passe en audition auprès du CGRA, qui lui pose des questions sur la vie dans son pays natal et son orientation sexuelle. A l’issue de cette audition, une décision définitive concernant l’octroi du statut de réfugié est prise.

     Une procédure jugée « arbitraire » par les associations

     Interrogée par le quotidien wallon, Valentine Audate, coordinatrice au CGRA pour les questions du genre, explique que le commissariat n’interroge pas le candidat sur sa vie privée, lui demandant plutôt de raconter s’il était victime d’agressions. La plausibilité de son récit est ensuite vérifiée par les experts.

     Cependant les associations belges se sont déjà insurgées contre le caractère « arbitraire » de cette procédure, reprochant à certains juges de forcer les candidats à parler de leur vie sexuelle et des relations avec leur partenaire.

     Des réseaux « de faux homosexuels » qui remontent jusqu’en Afrique

     Selon Fabien Gillard, chargé de la défense des droits des homosexuels à l’association sans but lucratif « Tels quels », certains candidats n’hésitent pas à utiliser l’homosexualité comme l’ultime argument pour leurs dossiers de demande d’asile. Le groupe de soutien pour les refugiés homosexuels qu’il animait il n’y a pas longtemps comptait au départ quatre ou cinq membres. Mais dès que l’association a commencé à leur délivrer un certificat de fréquentation, le nombre des membres du groupe a augmenté jusqu’à plusieurs centaines.

     « Pour être certain que nous avions affaire à des personnes qui sollicitaient notre aide pour de bonnes raisons, nous avons arrêté de délivrer ces certificats. Et le groupe a littéralement fondu. Au final, ils n’étaient plus que trente ! », explique Fabien Gillard.

     Le coordinateur s’est vite aperçu que certains refugiés se présentaient à l’association avant de déposer leur dossier au CGRA. Un certain nombre d’entre eux savaient donc qu’ils avaient plus de chances d’obtenir l’asile en venant au groupe. En outre, certains candidats donnaient des versions différentes de leur histoire quand on leur demandait de la raconter plusieurs fois de suite, ce qui a suscité la suspicion auprès des membres de l’association. « Pour nous, il est clair que des réseaux de faux homos existent », conclut Fabien Gillard.

     Au Commissariat général des réfugiés et apatrides, on nie le fait de prendre une décision en fonction de l’implication des candidats dans les associations.

     L’homosexualité est considérée comme illégale dans 76 pays, et condamnée par une peine de mort dans 5 d’entre eux. Selon un membre du CGRA, le commissariat reçoit le plus de demandes d’asile pour homosexualité de la part des ressortissants de la Mauritanie et du Sénégal.

     
    Eugène Zagrebnov, Rédaction en ligne 

     
  • Qui est Frédéric Haziza ?

     13 août 2013

    Le « journaliste » de la chaîne parlementaire LCP est d’une agressivité et d’une incorrection rare avec ses invités (comme on peut le voir par exemple ici, en train « d’interviewer » Jacques Cheminade).
    Provocateur et fervent militant antinational et anti-famille (le voir provoquer et insulter des manifestants ici), il s’est plaint d’être la cible de propos antisémites sur twitter, suscitant une vague de soutien de toute l’oligarchie visible, jusqu’au Premier ministre.


    Haziza accuse à tort Serge Ayoub d’être l’initiateur de la pétition demandant son renvoi : « Pour son incompétence, son tribalisme, sa partialité, sa totale agressivité et ses multiples provocations contre ceux qui ne sont pas d’accord avec lui sur le plateau de son émission sur LCP ainsi que sur Twitter. »

    Qui est cet odieux individu ?
    Ci-dessous ce qu’en dit la publication d’Emmanuel Ratier, Faits & Documents.

    Frédéric Haziza, un journaliste communautaire

    Frédéric Haziza est né le 6 décembre 1960 à Marnia (Algérie française, aujourd’hui Maghnia), où son père, Isaac Haziza, était instituteur. En décembre 2012, la visite de François Hollande en Algérie sera pour Frédéric Haziza l’occasion d’un pèlerinage.
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    Contre-info.com

  • Meurtre des enfants serbes à Goraždevac : 10 ans après, un double crime toujours impuni

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    13 août 2003

     

    Le 13 août 2003, à Goraždevac, près de Peć dans l’ouest du Kosovo-Métochie, 90 coups de feu en provenance du village albanais de Zahac ont été tirés sur des enfants serbes qui se baignaient dans la rivière Bistrica. La rafale de l’arme automatique a fauché la vie de deux jeunes Serbes, Pantelija Dakić et Ivan Jovović, alors âgés respectivement  de 12 et 19 ans. Dix ans après ce double crime, l’enquête a été fermée, aucun suspect n’a été inquiété.

    C’est dans la douleur que la Serbie commémore aujourd’hui le dixième anniversaire du meurtre des enfants de Goraždevac. A l’ignominie de ce double crime s’ajoute l’impunité de leurs bourreaux dont le bras meurtrier ne sera jamais arrêté.

    Les représentants de l’Eulex - la mission civile européenne au Kosovo- en charge des investigations ont annoncé il y a quelque mois la clôture de l’enquête pour manque de preuves.
    Les investigations ont ainsi été arrêtées au point mort, sans qu’aucune circonstance des meurtres n’ait été éclaircie. Sans suspect ni coupable. Sans vérité. Sans que le deuil des familles des victimes ne puisse se faire dans la paix, la dignité. Sans que justice n’ait été rendue aux enfants tués.

    Personne ne répondra pour ce double crime non plus. Une impunité de plus qui s’ajoute à une longue liste de crimes «non-élucidés » commis depuis plus d’une décennie à l’encontre de la communauté serbe du Kosovo-Métochie.

    Solidarité-Kosovo s'associe à la cruelle et profonde douleur des familles des jeunes victimes et de la communauté serbe touchée en plein cœur, bouleversée  que cet acte ignoble et barbare soit, dix ans après, impuni. Rien n'est plus intolérable que le meurtre d'enfants innocents.  
     
    L'équipe de Solidarité Kosovo
  • Se rassembler, agir pour leur faire savoir que nous n'accepterons plus de subir !

    http://www.stephaneravier.fr/archive/2013/08/12/titre-de-la-note-5139869.html

  • Le berger allemand de la ministre Michèle Delaunay a mordu un enfant

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    Dixie serait-elle une récidiviste ? Déjà fortement suspectée, en février, d’avoir mordu un policier municipal, c’est cette fois à un enfant que s’en est pris la chienne de Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées.

     

     

    Selon nos informations, l’ex-députée de la Gironde se promenait ce dimanche avec son berger allemand sur la plage de la Gravière, à Hossegor (Landes), aux alentours de 13 h 30, lorsque la laisse de l’animal aurait rompu. Dixie s’est alors précipitée sur un enfant de 9 ans, originaire de la région parisienne, en vacances avec sa famille. Le petit garçon a été mordu légèrement à la lèvre et en a été quitte pour une grosse frayeur.

    Dans l’entourage de la ministre, on reconnait l’incident, tout en le minimisant. «Fort heureusement, il s’agit d’une griffure, et non d’une morsure, indique-t-on. Celle-ci est en train de cicatriser. Pour ne pas que l’enfant soit traumatisé, lui et sa maman reverront ces jours-ci la ministre et son chien.» La famille n’a d’ailleurs pas souhaité déposer plainte. Si les CRS en poste sur la plage sont intervenus, aucun PV n’aurait été dressé. Selon nos informations, et d’après le site www.plages-landes.info, cette plage de la Gravière, réputée comme spot de surf, est interdite aux animaux. «La ministre circulait sur une portion de la plage où ils sont autorisés, nuance-t-on dans son entourage. D’ailleurs, si cela n’avait pas été le cas, elle aurait écopé d’une amende.»

    Michèle Delaunay nie la morsure du policier en février


    Décrite comme jeune et «un peu fofolle», Dixie avait déjà fait parler d’elle il y a six mois. Le quotidien Sud-Ouest avait alors raconté qu’elle s’en était pris à un policier municipal, «mordu au bras à deux reprises», mais protégé grâce à l’épaisseur de ses vêtements. Une morsure alors niée par Michèle Delaunay. Si elle reconnaissait que la chienne avait «aboyé et sauté en direction» du policier, la ministre avait évoqué plus largement une histoire montée en épingle et un complot politique à l’approche des municipales. L’affaire avait fait les gorges chaudes de ses opposants . «Vu le caractère affirmé de Mme Delaunay, c’est heureux que ce ne soit pas le Ministre mais son chien qui ait mordu un policier municipal !», avait osé l’ancien ministre UMP .

    Réponse de la bergère au berger sur son blog : «Présentement, le chien est allongé sur le parquet en soufflant dans l’attente de promenade, racontait la ministre. Dixie est un chien libre et joyeux, qui fait son métier de berger quand on s’approche, mal intentionné, de ses maîtres ou de sa maison, comme elle le ferait des brebis confiées à sa garde, mais qui perçoit l’amitié et l’absence de peur comme un radar et se répand alors en démonstrations d’affection immesurées.»

     

    LeParisien.fr

  • Colombes: le "prédateur" était en semi-liberté !

    Un homme de 26 ans a été placé en garde après avoir attaqué deux femmes mercredi dernier. Le suspect était en régime de semi-liberté au moment des faits.

    En l'espace de quelques minutes, l'homme de 26 ans a commis deux agressions. Le 7 août dernier, le prisonnier en régime de semi-liberté a profité d'une de ses journées libres pour attaquer deux femmes, à Colombes (Hauts-de-Seine).

    Les enquêteurs ont décrit un profil "inquiétant". L'homme s'en est pris à une une première femme, à la sortie de la gare de Colombes. Celle-ci téléphonait à son petit ami. Le suspect a arraché son sac puis s'est mis à la frapper de toutes ses forces. Coups de poing, coups de pied, systématiquement au visage... Sa proie est depuis dans le coma et les médecins sont encore réservés sur ses chances de survie.
    Une demi-heure plus tard, il s'en est pris à une nouvelle victime, qu'il a violée sous la menace d'un couteau avant de s'enfuir... puis de regagner sa cellule de prison.

    Qu'est-ce que la semi-liberté ?

    Au moment des faits, le "prédateur" était en semi-liberté, autrement dit totalement libre de ses mouvements le jour, incarcéré la nuit. Le soir des agressions, il avait rejoint la prison de la Santé avec près de trois heures de retard, visiblement sans que cela ne créé la moindre inquiétude. En prison depuis août 2012, il était en semi-liberté depuis mai 2013.

    La semi-liberté, comme le placement sous surveillance électronique et le placement à l’extérieur, est un aménagement de peine sous écrou qui permet à une personne condamnée de bénéficier d’un régime particulier de détention l’autorisant à quitter l’établissement pénitentiaire la journée, explique le Ministère de la Justice.

    A quoi sert-elle ?

    Cette autorisation de liberté permet au détenu "d'exercer une activité professionnelle, de suivre un enseignement, une formation professionnelle, ou un emploi temporaire, de rechercher un emploi, de participer de manière essentielle à sa vie de famille, de suivre un traitement médical ou de s’investir dans tout autre projet d’insertion ou de réinsertion de nature à prévenir les risques de récidive".

    Pourquoi l'autoriser ?

    L'idée qui sous-tend la semi-liberté est d'accompagner le détenu avant sa vraie liberté, afin de lui faire reprendre contact avec l'extérieur.

    La mesure est accordée au cas par cas et réservée à un profil bien précis : les personnes condamnées à moins de 2 ans de prison ou les détenus qui n'ont plus que 2 ans à purger. Elle est décrite comme une transition permettant d'éviter la récidive, en ce sens qu'elle prépare les prisonniers à la fin de leur détention.

    En quoi cette mesure est-elle une question délicate ?

    Selon Olivier Caquineau du syndicat SNEPAP-FSU au micro de RTL, la semi-liberté doit être accordée sous des conditions bien strictes :

    "C'est une peine qui s'exécute ou qui se poursuit, pas un cadeau du magistrat. On ne lâche pas quelqu'un dans la nature, il y a toujours un contrôle par un service, un suivi par un magistrat. Il faut des conditions, soit l'exercice d'une activité professionnelle, soit une recherche d'emploi assez encadrée. Tout cela est vérifié en amont par le service pénitentiaire d'insertion et de probation".

    Ce régime ne concerne qu'une minorité de peines (moins de 3% des personnes écrouées). Elle figure aujourd'hui dans les mesures préconisées par Christiane Taubira pour lutter contre la récidive !

    La mère d'une des victimes a, pour sa part, déploré qu'"on ait laissé un homme au casier judiciaire extrêmement chargé et qui a prouvé sa dangerosité par le passé en liberté". "Je suis outrée que la justice de mon pays fonctionne ainsi", a-t-elle ajouté.

     

    RTL - 13/08/13