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Blog - Page 943

  • Marignane: un sexagénaire tué par balles pour avoir tenté d'intercepter des braqueurs

    Un homme de 61 ans a été la victime collatérale d'un braquage à Marignane (Bouches-du-Rhône) ce jeudi. Pour intercepter deux malfaiteurs qui venaient de dévaliser un bar-tabac, le valeureux sexagénaire, témoin de la scène, les a percutés avec son véhicule puis aspergés avec sa bombe lacrymogène.

     
     

    Mais les voyous ont rapidement pris le dessus et l'un d'eux l'a visé avec une arme à feu, le touchant notamment à l'abdomen.

    La victime n'est pas morte sur le coup. Retrouvé grièvement blessé sur les lieux du drame, l'homme a été transporté d'urgence à l'hôpital Nord de Marseille. C'est là qu'il est décédé dans la soirée des suites de ses blessures, a-t-on appris auprès de l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille.

    Dans leur fuite, les deux malfrats ont laissé derrière eux leur véhicule, leurs et leur butin...

    L'un d'eux, âgé de 18 ans, a été interpelé par la police de Vitrolles et placé en garde à vue, tandis que son comparse est toujours recherché. Plusieurs témoins, clients du tabac et passants, ont été entendus dans la soirée par les enquêteurs de la police judiciaire de Marseille.

        

    LeParisien.fr - 22/08/13

  • Eviter « l’overdose », c’est (encore) possible . Par Bruno Gollnisch

     

    FN l espoir

    Les socialistes n’en ratent pas une : nouvel exemple du profond décalage entre les fantasmes de la caste au pouvoir et le peuple français, le PS a dénoncé en des termes très violents la Une du magazine libéral-conservateur Valeurs actuelles. Son directeur général, Yves de Kerdrel, affirmait il y a peu avoir été mis sur écoutes après avoir critiqué Manuel Valls, mais cette fois-ci l’attaque est venue du porte-parole du PS David Assouline. Sous le titre Roms l’overdose, l’hebdomadaire a consacré un dossier à la délinquance générée par cette immigration-là en provenance principalement de Roumanie, de Bulgarie et de Hongrie. Un sondage de l’institut Harris publié par ce dernier numéro de Valeurs actuelles, indique ainsi que plus de « 7 Français sur 10 se disent préoccupés par la présence de Roms en France » et notamment que « plus on est de droite (90 % à l’UMP, 95 % au FN), plus cette inquiétude, voire ce rejet, augmente », même si cette préoccupation est aussi très élevée au sein de l’électorat de gauche.

    Décidément très en verve à l’approche de l’université d’été socialiste qui débute vendredi à La Rochelle, et chargé peut être de contrebalancer la posture droitière et sécuritaire d’un Manuel Valls qui passe mal dans les rangs du PS, David Assouline a de nouveau déballé sur twitter, comme son ami journaliste Claude Askolovitch, mais aussi dans un communiqué officiel, les formules grandiloquentes habituelles.

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    Il a accusé ce magazine de véhiculer des « valeurs nauséabondes », stigmatisé une Une « indigne, anti-républicaine qui incite à la violence xénophobe contre une catégorie de la population», «la banalisation de ce type de campagnes et d’idées contre lesquelles le PS a décidé de lancer l’offensive. Halte à l’overdose xénophobe ! ».

    Dans un entretien au quotidien gratuit 20 Minutes, Geoffroy Lejeune, rédacteur en chef adjoint du service politique de Valeurs actuelles, a eu beau jeu de rétorquer  que ce titre s’explique par les résultats du sondage Louis Harris cité plus haut qui indique «qu’une immense majorité des Français, même les électeurs de gauche, est excédée par les occupations illégales de terrains par les Roms et par la criminalité ».

    Loin de stigmatiser les Roms se défend-il, ce dossier « (s’attaque) au gouvernement qui ne fait rien pour enrayer la criminalité ». « Nos sujets sont le reflet de ce que beaucoup pensent tout bas, mais n’osent pas écrire ».

    Le Monde faisant état de cette polémique a cité le site du journal Metro qui pointe selon l’auteur de l’article ce qui serait un « raccourci » fâcheux du magazine ».

    En effet est-il argumenté, « si 86 % des sondés se disent défavorables à l’installation de Roms à proximité de votre domicile dans un espace non prévu pour accueillir un campement de Roms, cette proportion tombe à 45 % quand il s’agit d’un emplacement prévu par la loi, soit une minorité. Peut-on, dans ce cas, vraiment parler d’’overdose ?, s’ interroge la journaliste. »

    Eh bien oui on peut ! Car nous pouvons surtout conclure de cette réponse qu’elle est de la même veine que celle concernant plus globalement l’opinion de nos compatriotes au sujet des banlieues dans lesquelles les « de souche » sont ultra-minoritaires.

    Les Français conçoivent que l’on puisse y vivre ou résider à proximité, mais quand ils en ont l’occasion et/ou les moyens, ils préfèrent déménager. Bref les joies du vivre-ensemble dans la société plurielle c’est chouette dans les séries télévisées, mais c’est bon pour les autres ! Et ce ne sont pas les apparatchiks socialistes qui nous diront le contraire eu égard aux quartiers très peu « métissés » dans lesquels ils habitent eux et leur famille…

    Relevons que Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, député-maire de l’Essonne, a eu les mots justes quand il a accusé les socialistes d’être « coupés de la réalité que vivent de nombreux Français en zones rurales et périurbaines ». « Elu d’une ville de banlieue, je mesure chaque jour à quel point l’installation d’un campement de Roms entraîne des nuisances et des tensions auprès des citoyens ». « Par leur politique comme par leurs attaques », les socialistes « n’apportent que de la division et de la rancœur entre nos compatriotes ».

    Si comme le notait Jean-Marie Le Pen « l’arbre rom ne doit pas cacher la forêt de l’immigration extra européenne », laquelle se poursuit à haut débit, le président d’honneur du FN avait lui aussi créé la polémique début juillet. Il avait ainsi rappelé qu’au nom de l’accord de libre- circulation prenant effet à partir du 1er janvier 2014, « les 12 millions de Roms qui sont situés en Roumanie, en Bulgarie et en Hongrie auront la possibilité de s’établir dans tous les pays d’Europe»,

    Nous l’évoquions il y a peu, Intervenant dans l’hémicycle du Parlement européen, Bruno Gollnisch avait pointé les ravages occasionnés par le démantèlement des « frontières intérieures », « un formidable appel d’air pour l’immigration illégale », mais aussi et surtout la responsabilité de l’UMP aux affaires dans cette situation.

    Dirigeants de « droite » qui « auraient dû savoir que les traités dont ils ont été partisans comme l’ensemble de la classe politique, traité de Maastricht, traité d’Amsterdam, traité de Nice, traité de Lisbonne (…) allaient ouvrir effectivement nos frontières à tous ceux qui souhaitaient s’y installer. » Un traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy, avec la complicité hypocrite de la gauche, s’était empressé de négocier et de faire avaliser dès janvier 2008 par le Parlement français.

    « Et puis ajoutait-il, on parle de minorité opprimée, mais est-ce que vous pensez sérieusement, que si les Roms ne se sont pas intégrés depuis six siècles dans les pays d’Europe centrale ou orientale, où ils résident, c’est simplement parce que les Roumains, les Bulgares, les Hongrois, sont méchants, c’est parce les Slovaques, les Tchèques, les Slovènes, les Serbes les persécutent ?Votre angélisme en réalité est une autre forme de racisme, un racisme qui s’applique en fait aux populations indigènes, celles qui, comme dans mon pays, ne souhaitent pas que 12 millions de Roms viennent s’y installer et la seule solution, c’est de sortir de cette Europe-là ! »

    Les élections européennes de 2014 offriront aux Français une nouvelle possibilité d’envoyer un signal fort de résistance aux folles politiques des partis du Système et de clamer haut et fort leur volonté d’échapper aux « overdoses » qui finissent en général par la mort des organismes concernés, individus, peuples ou nations.

  • Parution de Utøya, livre de Laurent Obertone

     

     

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    TRAILER OFFICIEL D'UTØYA de LAURENT OBERTONE par Editions_Ring

     

    Sortie aujourd’hui du nouveau livre de Laurent Obertone: Utøya

     

    Fdesouche

  • La vision biaisée de l'Occident à propos des Frères musulmans

     

     

    Henri_Boulad
    L’Occident tout entier est outré, offusqué, scandalisé parce que l’armée égyptienne a osé déloger les Frères musulmans des deux bastions de Rabia et de Nahda, où ils s’étaient barricadés depuis plusieurs semaines. Bilan : plus de 600 morts dans les deux camps.

    Aussitôt, les médias bien pensants poussent des cris d’orfraie et demandent que le Conseil de Sécurité et les associations internationales des droits de l’homme condamnent avec la plus extrême fermeté cette sauvage agression.

    Pauvres Frères musulmans victimes de la violence ! Ces gentils moutons, bien connus pour leur douceur et leur innocence, sont l’objet de procédés inacceptables. Il faut donc les défendre contre les loups dévorants de l’armée et de la police égyptiennes. Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Allemagne, Turquie, Onu… se lèvent alors comme un seul homme pour dénoncer l’injustice, défendre ces innocents et inviter le monde à voler à leur secours. Les médias internationaux enfourchent aussitôt Pégase pour pourfendre les coupables…

    Cette levée de boucliers pour réclamer et proclamer le droit de tout citoyen à manifester “pacifiquement” a quelque chose de tragi-comique.

    “Mausolées soufis détruits, familles chiites massacrées, chrétiens attaqués et tués par les milices de Morsi ne soulèvent aucune émotion internationale. Par contre, l’Occident est outré quand l’armée égyptienne s’oppose aux Frères musulmans.”

    Mais, passons aux faits :

    - La mosquée de Rabaa, où s’étaient enfermés les Frères, était une véritable poudrière, où l’on a découvert un arsenal de guerre inouï. Aucune dénonciation de l’Occident.

    - Depuis des semaines, les milices des Frères, armées jusqu’aux dents, sèment la terreur dans l’ensemble de la population d’Egypte : meurtres, enlèvements, kidnappings, demandes de rançons, rapts et viols de filles mariées de force à des musulmans. Aucune réaction de l’Occident.

    - Plus d’une vingtaine de postes de police pillés et brûlés ; près d’une cinquantaine de policiers et d’officiers massacrés et torturés de la manière la plus sauvage. Silence de l’Occident.

    - Mausolées soufis détruits et familles chiites massacrées ne soulèvent aucune émotion internationale.

    - Une cinquantaine d’églises, d’écoles et d’institutions chrétiennes brûlées dans la seule journée du 14 août. Aucune protestation de la part de l’Occident.

    - Prêtres et chrétiens attaqués et tués – dont des enfants en bas âge – pour la seule raison qu’ils sont chrétiens. Aucune dénonciation occidentale qui serait taxée d’“islamophobie”, qui est aujourd’hui le crime des crimes.

    - Près de 1 500 personnes massacrées par les milices de Morsi au cours de son année de règne. Silence des médias.

    - (…)

    Lorsque l’Egypte décide enfin de réagir pour mettre un peu d’ordre, l’Occident crie à la persécution, à l’injustice, au scandale.

    Ce n’est un secret pour personne que les élections présidentielles furent une vaste mascarade et que le scrutin fut entaché d’énormes fraudes. Malgré tout, les médias persistent à affirmer que Morsi a été le premier président de l’histoire d’Egypte élu “démocratiquement” et qu’il a pour lui la “légitimité”.

    Brûler, attaquer, tuer, détruire

    Le peuple égyptien, qui a bon dos, a quand même accepté de jouer le jeu, en se disant : voyons-les à l’œuvre. Le résultat fut tellement catastrophique – insécurité, chômage, inflation, pénuries de pain et d’essence, économie en chute libre, tourisme agonisant… – que l’ensemble de la population, au bout d’un an, demande à Morsi de dégager.

    En moins de deux mois, le mouvement “Tamarrod” rassemble plus de 22 millions de signatures réclamant son départ. En vain ! Face à son obstination, plusieurs dizaines de millions d’Egyptiens – dont une majorité de gens du petit peuple qui étaient ses anciens partisans – déferlent dans les rues des grandes villes pour exiger son départ. Encore en vain !

    L’armée – jusqu’alors neutre – se décide à intervenir pour soutenir le peuple et écarter l’indésirable, qu’elle garde en résidence surveillée. Au cours de longues heures d’interrogatoire, elle obtient de lui des révélations d’une gravité exceptionnelle, qui compromettent aussi bien les Frères musulmans qu’un certain nombre de pays étrangers.

    Face à la prise de pouvoir de l’armée, l’Occident crie aussitôt au “coup d’Etat”. Si “coup d’Etat” il y a eu, celui-ci fut populaire et non militaire, l’armée n’ayant fait qu’obtempérer à la volonté du peuple. Celui-ci, excédé par un Président qui l’avait trompé, floué, berné, a donc, par une réaction de survie, réclamé son départ.

    Une petite histoire très savoureuse illustre bien ce que je dis. Quelqu’un achète au marché une boîte de conserve qui, une fois ouverte, se révèle avariée. Que va-t-il faire ? La manger ou la jeter ? La jeter bien entendu. C’est un peu ce qu’a fait le peuple égyptien auquel Morsi et les Frères promettaient monts et merveilles. Une fois la boîte ouverte, il s’est aperçu que l’intérieur était pourri. D’où sa réaction de rejet.

    Suite à l’exclusion de Morsi, l’armée a voulu quand même associer les Frères musulmans au nouveau gouvernement en leur proposant de faire équipe avec les autres tendances. Ils se sont heurtés à un refus obstiné et systématique.

    Après de nombreuses tentatives infructueuses de dialogue et de négociations avec eux, un nouveau gouvernement provisoire est mis en place.

    Ils décident alors de “prendre le maquis” et de semer la terreur, ce en quoi ils ont bien réussi. Mais cette stratégie ne fait qu’augmenter leur impopularité, et l’on peut dire aujourd’hui que le peuple égyptien les exècre et les honnit.

    Equipés des armes les plus sophistiquées, ils s’organisent un peu partout pour brûler, attaquer, tuer, détruire…

    L’armée décrète alors l’état d’urgence et impose un couvre-feu du coucher au lever du soleil. Mais les Frères musulmans s’estiment dispensés d’obéir. Le 16 août, de ma chambre, toute proche de l’avenue et de la place Ramsès grouillantes de leurs miliciens, j’entends explosions, coups de feu et tirs de mitraillettes provenant des rues avoisinantes.

    Après plusieurs sommations aux jeunes de rentrer chez eux, l’armée décide alors d’envoyer ses chars pour faire respecter le couvre-feu. Face aux dégâts probables, l’Occident bien pensant incriminera alors l’armée d’avoir eu le culot d’attaquer des manifestants “pacifiques”…

    Mais de qui se moque-t-on ?

    Une opinion de Henri Boulad, SJ – Prêtre jésuite égyptien et écrivain.

    ALTERMEDIA FRANCE

  • Que justice soit faite M. Valls !

     

    ALTERMEDIA FRANCE - Tribune libre - 22/08/13

  • L’attaque chimique – un « travail grossier » de l’opposition syrienne

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    Par La Voix de la Russie | La Russie a déclaré que, selon les informations qui sont à sa disposition, les armes chimiques employées le 21 août dans la banlieue de Damas proviennent de l’opposition, et non pas du régime de Bachar al-Assad.

     Les accusations à l’adresse des troupes gouvernementales reposent sur des informations qui n'ont pas été vérifiées. La campagne agressive des médias locaux et occidentaux ne fait que confirmer qu’il s’agit « d’une provocation planifiée d’avance ». C’est ce qu’indique le MAE russe dans un communiqué spécial. Ce n’est pas la première provocation de ce genre.

     Une mission spéciale des experts de l’ONU doit enquêter sur l'usage des armes chimiques près d’Alep. Le 20 août, elle a entamé son travail en Syrie.

     Les experts russes considèrent que l'emploi du gaz toxique sarin par des structures non-gouvernementales est tout à fait possible. C’est ce qu’a fait  la secte japonaise Aum Shinrikyo dans le métro de Tokyo en mars 1995. Douze personnes avait alors péri. Selon certaines données, un préjudice irréparable à la santé avait été causé à plus de 5 mille autres personnes. C’est ce qu’a rappelé à La Voix de la Russie le professeur Guennadi Prostakichine, expert au Centre russe de la médecine d'urgence.

     « Je ne sais pas s’il y a ou non du gaz sarin en Syrie. Souvenez-vous ce qu’est devenu Saddam Hussein (dictateur irakien, renversé après l’intervention militaire des Etats-Unis en 2003). Les Américains l’accusaient également de posséder du gaz sarin et autres armes chimiques. Mais finalement rien n’a été trouvé (en Irak). Il en est probablement de même ici. »

     Certains experts occidentaux doutent qu’il s'agisse du gaz sarin. Qui plus est, ils appellent à ne pas se laisser tromper par les séquences vidéo figurant sur Internet, qui auraient été faites peu après l’attaque.

     « On y voit des personnes apporter les premiers secours aux victimes alors qu'ils ne portent aucun vêtements de protection », écrit dans un blog Jean Pascal Zanders, chercheur belge à l'Institut des études sur la sécurité de l'UE et expert en armes chimiques.

     L’attaque dans la banlieue de Damas a été perpétrée au moment même où la commission de l’ONU entame ses travaux en Syrie pour vérifier les affirmations sur un éventuel usage d’armes chimiques (près d’Alep). De l’avis du MAE russe « tout cela ressemble à des tentatives de miner l'organisation de la conférence internationale à Genève sur un règlement pacifique en Syrie.»

     Le Conseil de Sécurité de l’ONU a tenu (le 21 août) une réunion en urgence et a appelé à analyser minutieusement les informations concernant la tragédie dans la banlieue de Damas. La Russie considère également qu’une enquête détaillée est indispensable. Les experts de l’ONU se trouvant déjà en Syrie devrait suffire à accomplir cette tâche.

     

  • Bradley Manning: "Je suis une femme" - 22/08/13

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    Par La Voix de la Russie | La « taupe » du site WikiLeaks Bradley Manning de 25 ans peut devenir bientôt une jeune femme, Chelsea. Jeudi 22 août il a avoué qu'il se sentait être une femme depuis son enfance.

    Les avocats de Manning ont présenté sa photo noir et blanc sur laquelle il est habillé en femme. Son avocat David Coombs espère que l'administration de la prison militaire de Fort Leavenworth lui permettra de subir un traitement hormonal.

     

    Manning a fait ses révélations sur la chaîne de télévision NBC News. Il a ajouté qu'il aimerait qu'à partir d'aujourd'hui on l'appelle par son nouveau prénom féminin.

     


     http://french.ruvr.ru/news/2013_08_22/Manning-je-suis-une-femme-1068/

  • Syrie: l'opération anti-Assad a commencé

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    INFO LE FIGARO - Selon nos informations, des opposants au régime, encadrés par des commandos jordaniens, israéliens et américains, progressent vers Damas depuis mi-août. Cette offensive pourrait expliquer le possible recours du président syrien à des armes chimiques.

     

    S'il est encore trop tôt pour pouvoir écarter catégoriquement la thèse défendue par Damas et Moscou, qui rejettent la responsabilité du massacre sur l'opposition syrienne, il est d'ores et déjà possible d'apporter des réponses à une troublante question. Quel intérêt aurait eu Bachar el-Assad à lancer une attaque non conventionnelle au moment précis où il venait d'autoriser des inspecteurs de l'ONU - après les avoir bloqués pendant plusieurs mois - à enquêter sur l'utilisation d'armes chimiques?

    Une logique opérationnelle d'abord. Selon les informations recueillies par Le Figaro, les premiers contingents syriens formés à la guérilla par les Américains en Jordanie seraient entrés en action depuis la mi-août dans le sud de la Syrie, dans la région de Deraa. Un premier groupe de 300 hommes, sans doute épaulés par des commandos israéliens et jordaniens, ainsi que par des hommes de la CIA, aurait franchi la frontière le 17 août. Un second les aurait rejoints le 19. Selon des sources militaires, les Américains, qui ne veulent ni mettre de soldats sur le sol ­syrien, ni armer des rebelles en partie contrôlés par les islamistes radicaux, forment discrètement depuis plusieurs mois, dans un camp d'entraînement installé à la frontière jordano-syrienne, des combattants de l'ASL, l'Armée syrienne libre, triés sur le volet.

    Sentiment d'impunité

    À la faveur de l'été, leurs protégés auraient commencé à bousculer des bataillons syriens dans le sud du pays, en approchant de la capitale. «Leur poussée se ferait désormais sentir jusque dans la Ghouta, où les formations de l'ASL étaient déjà à l'œuvre, mais sans réellement pouvoir faire la différence aux abords de la forteresse damascène», explique David Rigoulet-Roze, chercheur à l'Institut français d'analyse stratégique (Ifas).

    Selon ce spécialiste de la région, l'idée envisagée par Washington serait la création éventuelle d'une zone tampon à partir du sud de la Syrie, voire d'une zone d'exclusion aérienne, qui permettrait d'entraîner les opposants en toute sécurité, jusqu'à ce que le rapport de forces change. C'est la raison pour laquelle les États-Unis ont déployé des batteries Patriot et des F16, fin juin, en Jordanie.

    La pression militaire récemment exercée contre Ghouta menace la capitale Damas, le cœur du pouvoir syrien. En juillet dernier, le porte-parole du président el-Assad avait publiquement affirmé que le régime n'utiliserait pas d'armes chimiques en Syrie «sauf en cas d'agression extérieure». L'intrusion d'agents étrangers dans le sud du pays, par exemple…

    L'autre raison, si l'armée a réellement commis un massacre chimique à Damas, est davantage diplomatique. Depuis le mois d'août 2012, date à laquelle Barack Obama a prévenu que l'utilisation d'armes chimiques constituait une «ligne rouge» qui, une fois franchie, pourrait déclencher une intervention militaire, treize attaques chimiques de moindre envergure ont été recensées, sans provoquer de réaction américaine. Certes, les preuves sont difficiles à obtenir, puisque Damas bloque systématiquement le travail des enquêteurs de l'ONU. Le sentiment d'impunité ressenti par le régime syrien est renforcé par la protection russe apportée au Conseil de sécurité de l'ONU. Barack Obama qui, lorsqu'il est arrivé à la Maison-Blanche, avait proposé au Kremlin un «redémarrage» des relations, ne veut pas briser le lien avec Moscou. Le chef d'état-major américain, Martin Dempsey, son principal conseiller militaire, justifie son opposition à une intervention, même limitée, par l'atomisation de l'opposition sy­rienne et le poids exercé par les groupes extrémistes.

    Des civils, affectés par des émanations d'agents toxiques lors de l'attaque de Ghouta, attendent les premiers soins dans un centre médical improvisé à Saqba, dans la banlieue de Damas, mercredi.

    Des civils, affectés par des émanations d'agents toxiques lors de l'attaque de Ghouta, attendent les premiers soins dans un centre médical improvisé à Saqba, dans la banlieue de Damas, mercredi. Crédits photo : STRINGER/REUTERS

    Quelles options?

    Si le régime syrien est réellement derrière le bombardement chimique de Damas, il aura fait franchir un degré supplémentaire à un conflit qui a déjà fait plus de 100.000 morts. «Il ne s'agit plus d'un test à petite échelle comme avant. Les armes chimiques font désormais partie de la guerre, où elles jouent un rôle de dissuasion. C'est un message aux Américains. C'est aussi un défi lancé à Barack Obama, qui risque de perdre sa légitimité auprès de ses alliés dans le monde», analyse un spécialiste du dossier.

    Parallèlement aux opérations clandes­tines menées depuis le sol jordanien, la communauté internationale, comme chaque fois que la crise franchit un pic, reconsidère les différentes options militaires. Armer les rebelles? «Si on le fait un jour on ne le dira pas», commente une source diplomatique. Des frappes aériennes chirurgicales? Possible, mais la solution comporte des risques de régionalisation du conflit. Des forces spéciales pour sécuriser et neutraliser les sites d'armes chimiques? Israël a frappé son voisin syrien à plusieurs reprises. Mais les services occidentaux ne veulent pas prendre le risque que les stocks d'armes chimiques se retrouvent aux mains des groupes djihadistes. Dernière option, l'inaction. C'est celle sur laquelle semble avoir parié Bachar el-Assad à Damas.

  • Marine Le Pen pour le site "ouillade.eu"

    Interview exclusive de Marine Le Pen pour le site ouillade.eu,
    pour consulter l’intégralité de l’entretien :
    www.ouillade.eu/politique/canet-en-roussillon-exclu-marine-le-pen-fait-sa-rentree-politique-sur-le-sol-roussillonnais/49090

  • USA : trois noirs tuent un blanc pour s’amuser

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    Et dans ce cas précis aucun média ne se pose la question du racisme ! Non, c’est juste des gamins du ghetto tirant dans le dos d’un Australien de 22 ans sans raison. Et pourtant, comment ces petites merdes ont-ils choisi leur victime ?

    Lu sur Fdesouche : Pour «tromper l’ennui», ils ont tiré sur un joggeur qui passait par là. Voilà pourquoi est mort de Christopher Lane, un Australien de 22 ans, en visite depuis une semaine dans le cadre d’une bourse sportive chez la famille de sa petite-amie, dans la petite ville de Duncan, dans l’Oklahoma. 

    Les médias européens diffusent une photo différente de Michael Jones (voir http://www.lefigaro.fr/international/2013/08/21/01003-20130821ARTFIG00256-trois-jeunes-americains-tuent-pour-tromper-leur-ennui.php)

    Les deux adolescents américains accusés d’avoir abattu vendredi ce joueur de base-ball, James Edwards et Chancey Luna, âgés de 15 et 16 ans, ont été inculpés de meurtre mardi.

    Lire la suite

     

    Contre-info.com

     

     
  • Attaque à l'arme chimique en Syrie: ca sent l'intox

    Les médias occidentaux s’en donnent à cœur joie en annonçant le massacre de 1300 civils par des armes chimiques (lesquelles ?) dans la banlieue de Damas.
    C’est l’opposition syrienne qui balance l’info accompagnée d’une vidéo de quelques minutes où l’on voit hommes, femmes et enfants se roulant de douleur.
    Cette information semble très peu crédible pour plusieurs raisons :
    - Ce sont les rebelles financés par les monarchies sunnites et les Occidentaux qui sont au plus mal suite aux succès militaires de l’armée de Bachar,
    - Le gouvernement syrien se sait observé par les Américains qui ont déjà prévenus qu’ils interviendraient directement en cas d’utilisation d’armes chimiques,
    - il n’y a aucun intérêt stratégique à tuer des milliers de civils à coup de gaz juste au milieu d’habitations de Syriens fidèles au régime,
    - les syriens de Damas comme 80% de la population sont derrière Bachar et son armée,
    - des djihadistes du Front Al Nosra qui se sont fait arrêter en Turquie en possession de gaz sarin.

    Si cette attaque a réellement eu lieu (pour l’instant nous n’avons que quelques témoignages partiaux), c’est au bénéfice des terroristes car :
    - ils terrorisent ainsi la population fidèle à leur président,
    - ils jettent l’infamie sur le gouvernement syrien légitime,
    - ils donnent à l’Occident une justification pour intervenir militairement,
    - Si Bachar est un jour arrêté et jugé pour sa politique, c’est un motif de condamnation à mort.

     

    Contre-info.com - 22:08/13

  • Jacques Vergès, l’avocat du Diable ?

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    Le 22 août 2013

    Nicole
    Guiraud

    Victime de l'attentat á la bombe du FLN, au Milk-Bar d'Alger le 30 septembre 1956

    Monsieur Jamet a le droit de penser ce qu’il veut de « Maître » Vergès, nous sommes dans une démocratie et nous respectons tous la liberté d’expression.

    À condition que cette démocratie respecte à son tour la liberté d’expression de ceux qui furent les victimes (indirectes) de feu M. Vergès et de ses amis porteurs de valises du FLN, et les victimes (directes) de ceux qu’il défendit, les terroristes poseurs de bombes de ce même FLN. Entre autres criminels.

    Monsieur Jamet ne fait assurément pas partie de la catégorie des victimes, que ce soit celles des terroristes FLN, ou celles de Klaus Barbie et consorts… Il ne pourrait pas, sinon, affirmer avec une telle assurance et une telle « logique théorique », si insultante pour les victimes, que M. Vergès était l’honneur du barreau parce qu’il aurait « défendu même le Diable » ! Allons, allons… Monsieur Jamet, reprenons-nous… Le métier d’avocat ne correspond pas forcément à ce que vous en interprétez. Les avocats eux aussi ont le droit de refuser tel ou tel client… Et si Maître Vergès a accepté de défendre des criminel(le)s de guerre, c’est que ça lui plaisait et qu’il y trouvait son compte, à de nombreux niveaux, et pour de multiples raisons d’ailleurs. Point.

    Les actes et positions extrêmes de ces criminels politiques correspondaient parfaitement à la posture extrême, narcissique et exhibitionniste de cet avocat, qui les défendait même au-delà du tribunal, ce qui est beaucoup plus grave et ce que semble oublier monsieur Jamet. Qui se ressemble s’assemble, dit-on.

    À moins que j’aie mal compris, et que ce dernier ait voulu faire une plaisanterie ? Bien mauvaise, dans ce cas, quand on songe à toutes ces victimes, celles du FLN, des nazis ou d’autres assassins, pour lesquelles « la star du barreau » Maître Vergès n’a jamais eu un seul mot de compassion.

    La fascination de la violence (du Mal, diront d’autres) semblant tellement endémique dans notre société actuelle en France, chez certains avocats et certains journalistes par exemple, je proposerais, avant toute attribution d’un diplôme de ces professions de responsabilité et par mesure de prophylaxie, le passage obligé chez un psychothérapeute, voire un psychanalyste, afin de déterminer le degré de stabilité psychologique du candidat, et tout particulièrement ses critères moraux, sa résistance aux sirènes de la perversion et de la fascination pour le crime.

    Les résultats de ces examens seraient sans doute fort instructifs…

    Et cela ferait partie de l’hygiène mentale non seulement du futur avocat – ou journaliste –, mais de celle de la société tout entière !

    Pour conclure, et pour ma part, je ne me laisserai aller à aucun éloge funèbre de Me Vergès.

    Bien au contraire, j’ouvre une bouteille de champagne, au nom de toutes les victimes dont il a défendu les assassins.

    Et tant pis si on me traite de « réactionnaire et méchante revancharde »…

    Vous pouvez diffuser.

    Contrairement à ce qu’a pu croire Nicole Guiraud, je ne suis pas de ceux qui ont pris parti en son temps contre l’Algérie française, loin de là. C’est dire que je m’incline devant la douleur des victimes du terrorisme FLN et que je comprends son ressentiment. Cela dit, elle m’accordera que dans toute société de droit, le pire des criminels ne saurait être privé d’un avocat. Il y a là un marqueur essentiel de la civilisation. Jacques Vergès fut, dans sa manière, flamboyante, le défenseur de ceux que la plupart de ses confrères et l’opinion déclaraient indéfendables. Sa mort était l’occasion de le rappeler. Rien de plus, mais rien de moins.
    Dominique JAMET

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Israël: un monastère catholique vandalisé - 21/08/13

    Des vandales ont lancé une bombe incendiaire contre un monastère catholique en Israël et couvert de graffitis anti-chrétiens le mur de l'édifice, a annoncé aujourd'hui une porte-parole de la police. Aucun dommage n'a été constaté au monastère de Beit Jamal, près de la ville de Beit Shemesh. L'attaque n'a fait aucun blessé, a précisé Luba Samri.

    Le mot "vengeance" et des menaces de morts ont été peints en hébreu sur le mur de l'édifice, probablement dans la nuit d'hier à aujourd'hui. "Toutes les pistes sont envisagées, y compris celle des nationalistes", a ajouté Luba Samri.

    Les ultranationalistes juifs sont suspectés d'êtres les auteurs des actes de vandalismes commis dans des églises ou des mosquées d'Israël et de Cisjordanie qui se sont multipliées ces dernières années.

    Le Figaro

  • Attaque chimique en Syrie : "Il s’agit, cette fois encore, d’une provocation planifiée" d’après Moscou

     

    Moscou n’exclut pas que les informations sur l’emploi d’armes chimiques en Syrie, diffusées au moment où des experts de l’ONU entament leur mission dans le pays, puissent constituer une provocation préméditée et insiste sur une enquête objective, indique le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch dans son communiqué diffusé mercredi.

    "Ce qui retient l’attention, c’est que les médias régionaux engagés ont immédiatement lancé une attaque informationnelle agressive en rejetant la responsabilité sur le gouvernement syrien", lit-on dans le communiqué.

    "Tout cela nous amène à penser qu’il s’agit, cette fois encore, d’une provocation planifiée à l’avance", souligne le diplomate.

    A l’appui de cette thèse, il cite le fait que cette nouvelle attaque chimique a eu lieu au moment où une mission d’experts de l’ONU vient d’entamer son enquête sur l’utilisation présumée de sarin dans les environs d’Alep le 19 mars dernier.

    Selon le diplomate, tout cela fait penser à une tentative visant à "trouver un prétexte pour demander au Conseil de sécurité de l’ONU d’intervenir en faveur des opposants au régime de Damas et de torpiller par là même les chances de convocation de la deuxième conférence de Genève sur la Syrie".

    "Moscou estime qu’il est très important de procéder à une enquête objective et compétente de cet événement", a conclu le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

    Des médias ont rapporté mercredi, citant des défenseurs des droits de l’Homme, que les forces gouvernementales syriennes ont lancé une attaque chimique d’envergure dans une banlieue de Damas, qui aurait fait plus de 600 morts.

    Les autorités syriennes démentent cette information.

     

    E&R

  • Plus belle la ville

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    Marseille - Quartiers nord le 21 août 2013

  • Arles : le mariage pour tous ne séduit que quelques-un(e)s

     

     
    Arles / Publié le mercredi 21 août 2013 à 07H14
     

    Loin du rush annoncé, le mariage homosexuel se vit en toute discrétion

    Actualités - Arles : le mariage pour tous ne séduit que quelques-un(e)s
    Illustration Valérie Farine
    Les mariages homosexuels sont encore rares à Arles et dans le pays d'Arles. Un point commun : il s'agit de couples amoureux depuis longtemps, qui officialisent leur union.

    Les anti-Mariage pour tous peuvent souffler : la grande décadence de la société qu'ils craignaient, le "rush" des homosexuels vers les mairies n'a pas eu lieu. Dans le grand pays d'Arles en tout cas où, au mois de juillet qui est pourtant la grande époque de l'année pour les mariages, seuls quelques-uns ont profité de l'opportunité qui s'offre à eux désormais de s'unir devant monsieur le maire.

    "Nous en avons déjà eu trois mais cela reste très peu par rapport au nombre de mariages que nous avons célébré cet été. Il faudra peut-être attendre la rentrée et le mois de septembre", explique-t-on en mairie de Saint-Rémy de Provence. À Arles, la tendance est la même : "On en a eu très peu et un seul est attendu pour le mois d'octobre".

    Dans d'autres communes comme Eyragues, on en a recensé un seul en juin, et même outre-Rhône, à Aigues-Mortes où la communauté gay est solidement implantée, il n'y a eu ni demande de renseignements et encore moins de date d'arrêtée. "Ici, cela n'a pas changé la vie des gens", lâche même la responsable de l'état civil.

    Par contre, à Tarascon, on sait qu'il y aura un mariage homosexuel dans le courant du mois d'août. Mais impossible de savoir exactement quand, ni qui se marie ou encore s'il s'agit d'hommes ou de femmes. "Le couple a demandé une totale discrétion, ils ne veulent absolument pas communiquer", indique-t-on en mairie.

    C'est en effet le point commun relevé dans toutes les mairies : le mariage homosexuel sert pour l'instant beaucoup à officialiser des situations de longue date, chez des gens amoureux depuis longtemps et qui n'avaient accès qu'au Pacs (Pacte civil de solidarité). "C'est vraiment la tendance actuelle : en toute discrétion et avec une dizained'invités maximum", dévoile la responsable de l'état civil saint-rémois.

    Une tendance confirmée chez les professionnels du mariage, côté privé également. "Il y a eu un salon spécifique à Marseille au mois de juillet mais ça n'a pas été le rush escompté", avance Dorothée Lucas, organisatrice de mariages en Paca avec sa société "Yes I do".

    "Je n'ai pas encore eu une seule demande", ajoute Joëlle Lazaro, de la boutique arlésienne Mariage et séduction. Chez elle, les robes de mariées et costumes coordonnés sont adaptables à tous donc elle n'a pas prévu d'offre spécifique, mais se tient prête.

    Réaction comparable du côté de Dorothée Lucas : "J'ai déjà les deux messieurs ou les deux mesdames en figurine pour le haut de la pièce montée mais pour l'instant, personne ne me l'a demandé. Et puis je ne cherche pas à organiser des événements originaux car, au contraire, les homosexuels qui veulent se marier, le veulent pour coller au modèle traditionnel de leur enfance."

    Selon elles, si les premiers couples se font attendre, c'est parce qu'ils ont peur des retombées médiatiques, d'être mis en lumière. Mais pour Jeanne Riccobono, qui loue pendant toute la saison le cadre magique du Mas de Peyre (à Rodilhan, près de Nîmes) pour les mariages et autres événements festifs, il y a peut-être une autre raison : les mentalités.

    "Dans nos campagnes et petites villes, voir deux hommes qui se tiennent la main ou deux femmes qui s'embrassent dans la rue, cela reste choquant pour certains... Il faudra peut-être encore attendre un peu avant que cela rentre dans les habitudes. Mais nous serions ravis d'accueillir des mariages gays, avec autant d'égards et d'attentions que tous les autres couples, sans différence."

     

     Aveline Lucas

    La  Provence

  • Exclusif : le sénateur UMP Christophe-André Frassa en vacances en Corée du Nord pour fêter l’armistice

    Ecrit le 21 août 2013 à 9:03 par Eric Martin dans Article

     
     

     Exclusif : Christophe-André Frassa en vacances en Corée du Nord pour fêter l'armisticeChristophe-André Frassa, sénateur UMP représentant les Français de l’étranger, a été aperçu à partir du 25 juillet 2013 à Pyongyang, en République populaire démocratique de Corée (Corée du Nord), pour les cérémonies de commémoration du 60e anniversaire de l’armistice (défilé militaire géant du 27 juillet en présence du Cher leader Kim Jong-Un, de tout le gratin du régime, du vice-président chinois, Li Yuanchao, etc. avec toute la propagande et le fanatisme habituels, exposition de missiles de longue portée…). Il s’agissait pour l’élu, vice-président du Groupe d’études et de contact France-République populaire démocratique de Corée, d’un séjour privé, c’est-à-dire théoriquement payé avec ses deniers personnels. Quand on aime, on ne compte pas… et on ne tient pas compte de l’avis défavorable du Quai d’Orsay ! On ne souhaite pas non plus que cela se sache : le sénateur a été contrarié par la présence de journalistes anglais qui l’ont reconnu et n’a pas hésité à le faire savoir. Un correspondant français de Nouvelles de France était aussi là…

    Exclusif : Christophe-André Frassa en vacances en Corée du Nord pour fêter l'armisticeUne information exclusive à mettre en parallèle avec celle-ci, révélée mardi par NKnews.org : Jayadevi Cambacérès, la fille d’un hiérarque socialiste, ancien député et homme d’affaires (Jean-Marie Cambacérès), aurait passé une semaine dans le camp de la jeunesse internationale de Songdowon situé en République populaire démocratique de Corée (RPDC). Ce camp accueillerait des milliers de jeunes du monde entier. Mieux: l’intéressée ne serait pas à son premier coup d’essai, ayant déjà visité le pays avec son père en 2009. Ce dernier serait lui-même un admirateur du régime et de ses dirigeants, dont Kim Il-sung. L’intéressée aurait notamment étudié l’histoire de la RPDC et constaté l’harmonie entre le Parti des travailleurs de Corée et les masses populaires…

     

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