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Blog - Page 949

  • Interview de Valérie Trierweiler: "Je m'investis avec sincérité" - 11/08/13

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    Les vacances, pour le couple présidentiel ont commencé ce week-end dans la résidence de la Lanterne, près de Versailles (Yvelines). Une semaine seulement, un « temps court et précieux pour être ensemble », nous dit Valérie Trierweiler dans une interview exclusive. L’un des très rares entretiens qu’elle a accordés depuis l’élection de (qui fête ses 59 ans demain), le 6 mai 2012.

    LES VACANCES

    En 2012, vous étiez à Brégançon avec François Hollande. Cet été, vous passez vos vacances à la Lanterne. Pour quelles raisons ?
    Valérie Trierweiler.
    L’an dernier, François venait d’être élu et nous sommes allés, deux semaines, tout naturellement là où tous les présidents de la Ve République séjournaient l’été. Sans nous poser de question et sans que cela fasse polémique. C’est un endroit très beau, mais où il est difficile de conserver un peu d’intimité. Nous n’aimons ni ne recherchons l’exhibition. La moindre sortie se transforme en bain de caméras et peut donner l’impression que nous cherchons à nous exposer. Ce n’est pas notre conception de la vie de couple, que nous protégeons du mieux possible. La Lanterne a l’avantage d’être près de . C’est aussi un lieu qui apporte toute la quiétude nécessaire à laquelle chacun a droit. De plus, l’endroit est doté de la logistique indispensable à un chef d’Etat qui veut rester réactif.


    On dit que le s’ennuie pendant ses vacances ?
    Je ne vois pas comment il pourrait s’ennuyer avec sa charge de travail! On lui a fait un faux procès l’été dernier en lui reprochant de s’accorder trop de temps libre, alors qu’il passait la plus grande partie de la journée dans son bureau de Brégançon. Pas un jour sans qu’il ne soit au téléphone avec des chefs d’Etat, le Premier ministre ou des ministres dont certains sont venus au Fort. Cette année, il a prévu, en plus de ces rendez-vous téléphoniques, de répondre lui-même à quelques lettres de Français. Il en reçoit cinq mille par mois, c’est beaucoup, mais il tenait à en lire le plus grand nombre. Nous profiterons de ce temps court et précieux pour être ensemble, tout simplement. Et pendant qu’il travaillera, j’en profiterai pour lire ou faire du vélo!

    Certains se demandent, s’il ne serait pas plus simple, finalement, de vendre le Fort qui reste inoccupé la plupart du temps…
    Brégançon fait partie du patrimoine français. C’est un lieu tellement chargé d’histoire! A l’Elysée, une réflexion est en cours pour l’ouvrir plus systématiquement aux Français ou d’y accueillir des chefs d’Etat étrangers.

    UN AN À L’ÉLYSÉE

    On dit que l’Elysée isole. Ressentez-vous la même chose ?
    Je crois que le Président vient de démontrer une fois de plus qu’il ne voulait pas se couper des Français. Il adore aller à leur rencontre. Quant à moi, j’essaie de garder les pieds sur terre. Etre mère d’ados, je vous assure, empêche de se couper des réalités! Quand je pars une semaine en vacances avec mes enfants, comme ce fut le cas en Grèce en juillet, je réserve et je paie moi-même sur Internet, comme beaucoup de Français qui ont la chance de partir. Si j’ai tenu à garder mon emploi et mon indépendance financière, c’est bien pour assumer ma vie familiale et n’être à la charge de personne. J’ai bien conscience que tout cela est inhabituel pour une première dame.

    Vous avez traversé une première année difficile à l’Elysée. Avez-vous le sentiment d’avoir trouvé votre place dorénavant ?
    J’ai dit que la première année avait été un temps d’apprentissage. Cette période m’a été nécessaire pour mieux appréhender mon rôle. J’ai rencontré plus d’une trentaine de premières dames du monde entier. Nous échangeons nos expériences, et c’est étonnant de constater que les problématiques sont toujours les mêmes. D’un pays à l’autre, les attentes comme les attaques sont strictement identiques. J’ai beaucoup appris au cours de ces échanges. Je m’investis, avec sincérité, tout en restant moi-même.

    SON RÔLE DE PREMIÈRE DAME

    Vous vous êtes rendue au Mali puis en République démocratique du Congo (RDC). Allez-vous continuer vos déplacements à la rentrée ?
    Oui, je resterai engagée en faveur de ces deux pays. Concernant le Mali, nous avons récolté des centaines de kilos de livres et cahiers pour des écoles totalement démunies. Quant à la RDC, je continuerai, avec la Fondation Danielle Mitterrand à défendre la cause des femmes violées. Ce que j’ai vu et entendu à l’hôpital du Docteur Mukwege dans le Kivu est révoltant, nous devons tous agir pour que cessent ces actes de barbarie. J’espère que ce médecin congolais aura le prix Nobel. J’ai aussi des projets dans d’autres parties du monde.

    Et en France ?
    Je m’investis en faveur de l’enfance maltraitée. Je me suis rendue dans de nombreux foyers d’accueil d’enfants. Avec le sénateur PS André Vallini et des experts, nous demandons que l’enfance maltraitée devienne grande cause nationale en 2014. Entre un et deux enfants meurent chaque jour en France, sous les coups d’un parent, cela n’est pas supportable.

    Comptez-vous créer votre propre fondation comme les précédentes premières dames l’ont fait ?
    Pour le moment, ce n’est pas un sujet. Chacun sait que je suis au côté de l’enfance vulnérable. Et peu m’importe la nationalité d’un enfant qui souffre. Je préfère mettre mon énergie au service de belles associations ou fondations qui existent déjà, comme la Chaîne de l’espoir qui permet à des enfants maliens ou syriens d’être opérés et sauvés en France. Je soutiens également depuis des mois le Secours populaire et j’accompagnerai 5 000 enfants à Cabourg, le 28 août, pour la journée des « oubliés des vacances ». Je me réjouis que Jean-Marc Ayrault, à son tour, ouvre les portes de Matignon à 300 de ces enfants (demain). Nous n’en ferons jamais assez pour eux. Julien Lauprêtre, président du « Secours pop » depuis plus de cinquante ans, fait indéniablement partie des belles personnes que j’ai rencontrées.

    Comprenez-vous la polémique qui se développe à propos du coût jugé excessif du site Internet de Carla Bruni (410 000 €) lorsqu’elle était à l’Elysée ?
    Je ne veux pas l’alimenter. Mais j’ai du mal à comprendre que certains, à droite, me reprochent encore, ne serait-ce que ma présence dans les voyages officiels comme le protocole le prévoit.

    On vous a parfois blâmée pour vos prises de positions. Sur le mariage pour tous, notamment. Vous maintenez ?
    Bien sûr, j’ai plutôt l’habitude d’assumer ce que je fais et ce que je suis. En quoi serait-ce un problème de soutenir une réforme voulue par le président ? L’égalité n’est pas seulement une priorité, c’est une nécessité.

                                                   

     

    Le Parisien

  • Après la mort de Jérémie, Valls demande de la retenue

     

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    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/marseille-apres-la-mort-de-jeremie-manuel-valls-demande-de-la-retenue_1272770.html

  • Meurtre de Jérémie Labrousse: un marginal interpellé et interné d'office - TF1News 11/08/13

    Le jeune homme de 22 ans agressé à l'arme blanche vendredi soir près de la gare est décédé des suites de ses blessures. Le meurtrier présumé a été interpellé samedi. C'est un marginal connu des services de police.

     
     

    Une victime décédée et un suspect appréhendé. Jérémie Labrousse, étudiant à l'école de management Euromed, est décédé dimanche matin, a annoncé le procureur-adjoint de la République de Marseille, Jean-Jacques Fagni. Le jeune homme avait perdu beaucoup de sang vendredi soir après avoir été poignardé à la gorge, boulevard d'Athènes, alors qu'il se rendait à la gare Saint-Charles. Dans la foulée, le ministre de l'Intérieur a annoncé qu'un suspect avait été appréhendé samedi soir.

    "Manifestement et gravement déséquilibré, l'auteur présumé fera l'objet de soins psychiatriques sans consentement", a ajouté le ministère dans un communiqué, et "il appartiendra également à la justice de statuer sur son sort". "L'enquête conduite sans délai par les policiers (...) a permis d'identifier et d'interpeller l'auteur présumé de cet acte meurtrier, grâce à la diffusion à tous les équipages de sa photographie issue de la vidéoprotection sur la voie publique", précise le communiqué de l'Intérieur.

    Il est "très prématuré" de dire que le suspect est le meurtrier 

    Après avoir été examiné par un expert-psychiatre, l'homme, né dans la Drôme et âgé de 41 ans, a été interné, a précisé le procureur-adjoint. Mais, tempère Jean-Jacques Fagni, sur les caméras de vidéo-surveillance, "on ne voit pas la scène, on ne les voit jamais l'un en présence de l'autre". Pour lui, il est donc "très prématuré" de dire que ce quadragénaire est "le mis en cause".

    Connu des services de police pour des affaires de vols et de violences, l'individu, interpellé samedi soir, tenait des propos incohérents et le dialogue n'a pas été possible."Dès lors que son état aura évolué positivement, il est certain que les services de police iront le récupérer et que le parquet demandera à ce qu'il soit placé en garde à vue et entendu de manière précise sur les faits", a ajouté M. Fagni.

    Le portable de la victime géolocalisé dans le nord de Marseille

    Le portable de la victime, qui n'avait pas été retrouvé à proximité vendredi soir, a été géolocalisé dans le nord de Marseille, avant d'être désactivé, a précisé M. Fagni, qui a émis l'hypothèse d'un "vol de portable d'opportunité", un tiers ayant pu découvrir le téléphone au sol après l'agression. La police a lancé un appel à témoins, a annoncé lors de la conférence de presse la directrice-adjointe de la Sécurité publique des Bouches-du-Rhône, Martine Coudert.

    A 18h00, un rassemblement silencieux est par ailleurs prévu devant le snack "le Français", où a été retrouvé Jérémie baignant dans son sang, a annoncé sur Twitter le député-maire (PS) du secteur Patrick Mennucci.

    Originaire des Forges, une commune d'environ 1.800 habitants située en périphérie d'Épinal, Jérémie était le plus jeune d'une fratrie de trois enfants et a connu un parcours scolaire brillant, selon l'un de ses anciens instituteurs. 

     

     

    Dans plusieurs tweets, le directeur général d'Euromed, Bernard Belletante, a rendu hommage à Jérémie, "un étudiant engagé, droit, digne et heureux de vivre". Il avait demandé à effectuer une "année césure" dans un groupe hôtelier de luxe, "visant la carrière de manageur".

     

    NdB: Contrairement à ce qu'a écrit Le Figaro, Jérémie n'était pas "cuisinier" mais bien étudiant à Euromed, ce qui est confirmé par le directeur général de cette école de commerce.

     

  • Inde: les dauphins reconnus comme "personnes non humaines" - 11/09/13

       

     

    dauphinsLe ministère de l’environnement et des forêts indien vient de décider que les dauphins sont des “personnes non humaines”. A ce titre, ils ne doivent pas être maintenus captifs pour le seul plaisir des humains, aussi la construction des delphinariums est-elle désormais interdite dans le pays.

    En France, les animaux sont des meubles. Comme des chaises ou des tables, leur propriétaire peut en faire ce qu’il veut. En Inde, les dauphins viennent d’être déclarés des “personnes non humaines”.

    “ On reconnaît la grandeur et la valeur d’une nation à la façon dont celle-ci traite ses animaux”, disait Gandhi. Je connais peu la civilisation indienne et j’aime peu l’idée de juger ou de comparer des sociétés entières, mais cette décision historique, en même temps qu’elle trace des perspectives importantes pour les défenseurs des animaux, met en lumière une zone d’ombre majeure dans notre société française.

    Quelle est donc la décision indienne ?

    Le ministère de l’environnement et des forêts indien vient de décider que les dauphins sont des “personnes non humaines”. A ce titre, ils ne doivent pas être maintenus captifs pour le seul plaisir des humains, aussi la construction des delphinariums est-elle désormais interdite dans le pays.

    En un seul texte, ce n’est pas donc pas une mais deux révolutions qui viennent de survenir.

    La notion de personne non humaine, tout d’abord. Les dauphins (et en particulier les grands dauphins, Tursiops truncatus, mais pas seulement eux) sont connus des scientifiques pour leur capacités intellectuelles exceptionnelles. Récemment, on a découvert qu’ils avaient une façon bien unique de siffler pour se faire reconnaître par leurs proches et de répondre lorsqu’un congénère les appelle : les dauphins ont des noms et les utilisent pour s’appeler entre eux. Mais ce n’est là qu’une des multiples capacités de ces animaux au cerveau extrêmement développé. Ils ont une forme de conscience de soi , peuvent se reconnaître dans un miroir, utiliser des outils et manier des concepts abstraits, par exemple. Tout cela a amené un groupe de scientifiques réunis récemment à Helsinki à signer l’appel pour les droits des dauphins et des cétacés.

    S’inscrivant dans cet esprit, la décision indienne constitue une avancée majeure pour les défenseurs des animaux. En même temps qu’elle fait des dauphins des personnes non humaine, elle stipule que, “en tant que telles, les dauphins doivent avoir des droits spécifiques”. Bien sur pas les mêmes droits que les êtres humains, mais certains droits quand même. « Tous les cétacés, en tant que personne, ont droit à la vie, à la liberté et au bien être », écrivent les scientifiques de Helsinki.

    Mais ce n’est donc pas tout. En reconnaissant aux dauphins la statut de personne non humaine, le Ministère indien a annoncé l’interdiction totale pour toute personne, organisation, agence gouvernementale, entreprise privée ou publique de créer un delphinarium impliqué dans l’importation et la capture de dauphins à des fins commerciales ou récréatives, privées ou publiques.

    En effet, « la captivité peut sérieusement compromettre la survie des cétacés en modifiant leur comportement ». Et il est “moralement inacceptable de les maintenir en captivité” pour notre loisir…

    Par ailleurs, la capture des animaux pour les delphinariums est généralement une opération meurtrière. C’est par exemple le cas du massacre annuel de la baie de Taiji (décrite dans un film remarquable intitulé La baie de la honte) dans lequel un très grand nombre de dauphins est tué pour que quelques animaux soient capturés pour les delphinariums. Quant à la vie dans les delphinariums pour les animaux,, elle ressemble à celle dans une prison.

    En Inde, plusieurs projets de delphinariums ont donc ainsi été immédiatement arrêté. (Il en existe 3 en France). Ce dont se sont bien logiquement félicités les associations de défense des animaux, et en particulier la FIAPO, fédération indienne de défense des animaux, qui a œuvré à cette décision.

    Pour en revenir à la société française, quand est-ce que nous allons enfin prendre sérieusement en compte le statut de l’animal ?

    Il est temps que la situation change.

    par Olivier Blond, Goodplanet.info

    FRANCE ETERNELLE

  • Crime de Marseille : un suspect a été interpellé, qui n'est peut-être pas le présumé coupable...

     

    Jérémie, victime d'une agression vendredi soir dans le centre de la ville, a été déclaré dimanche «en état de mort clinique».

    Jérémie L., né à Épinal en décembre 1991, était, contrairement à ce qui a été annoncé, cuisinier à Monaco. Arrivé à Marseille de Nice vendredi en fin d'après-midi, il allait accueillir une amie à la gare quand son chemin a croisé celui de son agresseur, qui l'a égorgé et lui a probablement dérobé son portable.

    Dimanche matin, le procureur-adjoint de la République de Marseille, Jean-Jacques Fagni, a affirmé que Jérémie était «en état de mort clinique».

    Le suspect a été appréhendé vendredi soir entre 22h et 23h, grâce aux images des caméras de vidéosurveillance. Il s'agit d'un SDF bien connu du quartier, né en 1972 et originaire de la Drôme.

    Ali A. a été plusieurs fois condamné à de petites peines pour divers délits de petite envergure (vols, stupéfiants, rébellion…). Sa dernière condamnation remonte à 2003: 6 mois de prison avec sursis-mise à l'épreuve. Il semble dans un état de délire complet, qui a justifié son hospitalisation immédiate. Une perquisition est en cours dans le foyer qu'il occupait. Ses vêtements n'étaient apparemment pas souillés de sang.

    Le portable de Jérémie n'a pas été découvert sur le suspect: l'appareil aurait même, selon nos informations, émis quelques minutes après le crime dans les quartiers nord de Marseille - où le suspect ne se trouvait pas. Mais il a pu être abandonné sur place ou jeté rapidement, étant ainsi récupéré par une tierce personne.

     

    Le Figaro

     

    NdB: Jérémie L. était bien étudiant à Euromed selon cette grande école de commerce  

  • Des croix gammées taguées sur une salle de prière musulmane à Lesparre-Médoc: Valls condamme cette profanation

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/lesparre-medoc-des-croix-gammees-taguees-pour-la-deuxieme-fois-en-4-jours-10-08-2013-3044325.php

  • Marseille : l'étudiant poignardé a succombé à ses blessures

     

     
    Marseille / Publié le dimanche 11 août 2013 à 09H29
     

    Il aurait été agressé, vendredi soir boulevard d'Athènes, pour le vol de son portable

    Faits Divers - Justice - Actualités - Marseille : l'étudiant poignardé a succombé à ses blessures
    Photo Guillaume Ruoppolo
    Jérémie, qui venait de recevoir un coup à la gorge, a trouvé secours dans ce bar de nuit du boulevard d'Athènes. Il a donné son identité à la gérante et aux clients qui l'ont secouru.
     

    MISE A JOUR : 12h00

    Jérémie, l'étudiant de 22 ans poignardé vendredi soir à Marseille, est décédé des suites de ses blessures. Il avait été admis à l'Hôpital Nord après avoir été poignardé à la gorge. Son décès fait suite à une hémorragie très importante.

    Vers 23h30 vendredi, les marins pompiers l'avaient conduit aux urgences, où les médecins constataient qu'il avait perdu beaucoup de sang.

    Chargée de l'enquête, la brigade criminelle de la sûreté départementale des Bouches-du-Rhône s'est attachée à reconstituer l'emploi du temps et l'itinéraire de Jérémie, afin d'identifier son agresseur et de comprendre ce qui s'est passé.

    Jérémie, originaire des Vosges et étudiant de l'école de commerce Euromed management, se trouvait vendredi soir avec des camarades aux allées Gambetta lorsqu'il a reçu un coup de téléphone d'une amie. Dans un train, celle-ci lui annonçait son arrivée imminente et le jeune homme se portait donc à sa rencontre à la gare Saint-Charles. C'est à mi-chemin qu'il a croisé son agresseur.

    Un vol qui a mal tourné ?

    Les enquêteurs ont multiplié, hier, les auditions des témoins, notamment les occupants du bar Le Français, au 16, boulevard d'Athènes, dans lequel Jérémie est entré en se tenant le cou avec une main d'où coulait du sang. À la gérante de l'établissement, il aurait eu le temps de dire son nom et qu'il venait d'être agressé avant de sombrer dans l'inconscience.

    Le téléphone portable de Jérémie n'ayant pas été retrouvé sur lui, les enquêteurs n'écartent pas l'idée d'une rixe ayant été provoquée par le vol du téléphone mais cette hypothèse n'est pas entièrement étayée. "Le vol est une piste sérieuse", a confirmé le procureur-adjoint Jean-Jacques Fagni. Les enquêteurs travaillent cependant sur d'autres hypothèses, notamment l'acte d'un déséquilibré mental.

    Les caméras de vidéosurveillance qui équipent le boulevard d'Athènes n'auraient pas capté la scène de crime mais la fuite de l'agresseur. On voit en effet un homme partir en courant. La géolocalisation du portable de Jérémie a également été tentée. Domiciliés dans un village près d'Epinal (Vosges), les parents du jeune homme se sont au plus vite rendus à son chevet à l'hôpital Nord.

    La police lance un appel à témoins. Toute personne pouvant apporter un élément utile à l'enquête peut appeler, de 8 h à 18 h, le 06.34.33.57.96., ou la nuit faire le 17.

     

    La Provence - 11/08/13

  • L'étudiant poignardé par une racaille est décédé

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    Jérémie, 22 ans, étudiant à Euromed

    Jérémie, l'étudiant de 22 ans poignardé vendredi soir à Marseille, est décédé des suites de ses blessures, vient d'annoncer l'Hôpital Nord. Il avait été admis à l'hôpital après avoir été poignardé à la gorge. Son décès fait suite à une hémorragie très importante.

     

     

    La Provence - 11/08/13

     
     
  • Le Front National, c'est la diversité française ! Du Sud ou du Nord, qui sont les électeurs du FN ?

     

    http://www.stephaneravier.fr/archive/2013/08/11/qu-est-ce-que-le-front-national-c-est-la-diversite-francais.html



     

     
     
  • Filip Dewinter: "Il faut rompre avec les partis traditionnels ! "

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    http://www.ndf.fr/les-grands-entretiens/10-08-2013/filip-dewinter-il-faut-rompre-avec-les-partis-traditionnels

  • Nîmes : ils squattent la piscine d'un couple de retraités

     

    F. CONDOTTA
    10/08/2013, 09 h 11 | Mis à jour le 10/08/2013, 09 h 50

     

     

      

    Une piscine privée a été investie par des jeunes.
     

    Dans un lotissement près des tours de Valdegour, une bande de jeunes de 12 à 25 ans sévit chez un couple de personnes âgées. Le comité de quartier de l'Alouette est monté au créneau pour faire arrêter ces agissements.

    "On ne vole pas. On vient juste se baigner". Prétextant que leur religion leur interdit de fréquenter les piscines publiques en période de ramadan, une bande de cinq à six jeunes, de 12 à 25 ans, s'invite régulièrement dans la piscine d'un couple de retraités qui habite le lotissement surplombé par les tours de Valdegour, à Nîmes.

    Plusieurs tentatives de dialogue vaines

    Avant de porter plainte et dans un souci d'apaisement, les propriétaires ont fait plusieurs tentatives de dialogue, totalement inopérantes. En réponse, ils ont reçu des pierres. Les intrusions ou tentatives d'intrusion étant quotidiennes, le couple se ruine pour faire renforcer les clôtures. En pure perte ! En désespoir de cause, les retraités ont fini par déposer une plainte. Dimanche 28 juillet, la police a appréhendé trois des squatters de piscine qui ont été conduits au commissariat. Le 29 juillet, un passage d'un mètre a été, à nouveau, découpé dans le grillage. "Comme ces jeunes arrivent en bande, ils intimident ce couple de personnes âgées" indique Madeleine Salles, présidente du comité de quartier de l'Alouette, qui prône une cohabitation respectueuse et sereine.

    Courrier adressé à la procureure de la République

    Elle a adressé un courrier au directeur de la sécurité civile, au sénateur-maire, à la procureure de la République, au président de la mosquée Piété et Lumière. "Nous souhaitons qu'une action concertée soit menée, visant à faire un rappel à la loi et au respect à ces jeunes gens ainsi qu'un rappel aux parents qui sont responsables des agissements de leurs enfants"

    Une maman a demandé à son fils de présenter des excuses

    Une maman a entendu ce message. Elle a accompagné son fils chez ce couple, afin qu'il présente des excuses, en précisant que "pendant le ramadan la conduite de tous devait être irréprochable". Touchés par sa dignité, les retraités et la présidente de quartier ont espoir d'être entendus pour en finir avec "de tels comportements, facteurs de haine et de rejet ce qui n'est souhaitable pour personne."

     

    Midi Libre

  • 10 août 1792 : naissance de la République dans un massacre

     

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excités par Danton, une foule de sans-culottes se massent aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationales crient : «Vive le roi !». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté : «Vive la Nation !». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Lire la suite

    Contre-info.com

  • Marseille: un jeune étudiant poignardé à la gorge en plein centre-ville - Son état est grave, mais stationnaire selon les médecins

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    Jérémie, 22 ans, photographié au Palais Longchamp à Marseille

    Boulevard d'Athènes où a eu lieu l'agression

     

    Jérémie, le jeune étudiant de l'école de management d'Euromed, avait causé beaucoup d'inquiétude aux médecins de l'hôpital nord qui l'ont accueilli en urgence hier soir après son agression. La lame est passée près de la carotide qui par miracle n'a pas été tranchée.
    Vendredi soir, après avoir passé la soirée chez des proches dans le centre-ville, le jeune homme avait décidé d'aller chercher une amie à la gare. C'est sur le chemin, au boulevard d'Athènes, qu'il a été agressé à l'arme blanche. Son téléphone n'a pas été retrouvé à ses côtés. Il a pu se traîner jusqu'à un bar qui a donné l'alerte, puis il s'est effondré dans une mare de sang.
    "Toutes les hypothèses sont ouvertes, le vol étant l'une des pistes sérieuses", a affirmé Jean-Jacques Fagni, le procureur-adjoint du parquet de Marseille. "L'enquête n'en est qu'aux prémisses", peu d'éléments étant disponibles sur le déroulement précis des fais.
    Les caméras de vidéo-surveillance, présentes à cet endroit, n'ont pas enregistré la rixe, mais la fuite de l'agresseur présumé du jeune étudiant est visible. "On en est au début de l'exploitation des images sur les lieux mais aussi en périphérie de la zone de l'agression", a confirmé M. Fagni.

    Réactions de la famille politique

    Le maire (UMP) de Marseille Jean-Claude Gaudin, a réagi dans un communiqué : "cet acte de violence (...) démontre la nécessité absolue pour l'Etat d'augmenter les effectifs et la présence policière dans les rues de la deuxième ville de France. Le centre-ville, comme les quartiers placés en Zone de Sécurité Prioritaire, doit faire l'objet de toutes les attentions de la police nationale, notamment en cette période estivale".
    Pour Eugène Caselli, président socialiste de Marseille Provence Métropole (MPM), "cet événement tragique est une preuve supplémentaire que la délinquance meurtrière n'a pas de limite géographique à Marseille".
    "Marseille vit une situation exceptionnelle en matière de sécurité. La solution à ce problème ne peut être trouvée que dans la mise en place de mesures exceptionnelles", a-t-il affirmé dans un communiqué.
    Un autre candidat aux primaires socialistes à Marseille, le député-maire (PS) du secteur, Patrick Mennucci, qui s'est rendu sur place en début d'après-midi, a quant à lui déploré la "polémique policière lancé par la droite".
    "Où sont les équipes de prévention qui dépendent de la municipalité", a-t-il interrogé, ajoutant: "la sécurité, ce n'est pas que des policiers supplémentaires - je vous rappelle que le commissariat central n'est qu'à 50 mètres -, c'est également le rétablissement d'une autorité générale et plus de développement pour la ville".
    La conseillère régionale (UDI) et adjointe au maire de Marseille Arlette Fructus a quant à elle de nouveau demandé la mise en zone de sécurité prioritaire
    (ZSP) l'ensemble de la ville, comme le maire UMP Jean-Claude Gaudin il y a un an et M. Caselli plus récemment.
    L'enquête a été confiée par le parquet à la brigade criminelle de la Sûreté départementale des Bouches-du-Rhône.

     

    Source France 3 Provence Alpes - 10/08/13

     

     

  • PASO DOBLE TE QUIERO

  • La Cour d'appel de Lyon invente la nationalité "arabe" - 09/08/13

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    Extrait de l'ordonnance du 6 août de la Cour d'Appel de Lyon.
    | Capture écran / Pole-Juridique.fr Zoom

     

     

     

    Il serait bon de rappeler à la Cour d'appel de (Rhône) la différence élémentaire entre langue et nationalité. Dans une ordonnance, l'organe juridique a attribué la nationalité «arabe» à un citoyen marocain en situation irrégulière, révèle LeMonde.fr.
     
     
    Mohammed S., 34 ans, avait fait appel de sa mise en rétention prolongée, prononcée le 3 août. Sa demande a été rejetée par le Cour d'Appel, qui est à l'origine de ce lapsus.

    Racisme larvé ou bourde d'inattention ? En tout cas pour LeMonde.fr, «il ne s'agit pas d'une faute de frappe». Dans l'ordonnance rendue le 6 août, que s'est procuré le blog d' Pole-juridique.fr, Mohammed S. se voit en effet affubler à deux reprises la nationalité «arabe». Et l'auteur du billet publié sur ce blog, l'avocat Norbert Clément, d'ironiser : «Certains protesteront qu’Algériens, Marocains ou Tunisiens, ils se ressemblent tous. Il arrive même que des hommes les confondent avec des Auvergnats», en référence à une frasque de l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux.

    Mohammed S., Marocain de 34 ans en situation irrégulière avait été placé en centre de rétention le 29 juillet. Il devait être rapatrié vers Rabat, capitale du Maroc. Lors de l'audience où il fait appel de la prolongation de sa mise rétention, prononcée le 3 août par le juge des libertés, son avocate n'a pourtant noté aucune xénophobie flagrante de la part des magistrats. «Il n'y a pas eu de propos racistes ou déplacés», révèle Me Tatiana Béchaux, qui s'interroge tout de même : «Il s'agit peut-être d'une confusion entre la langue de l'interprète et la nationalité du retenu ?».

    Si elle ne peut plus rien faire pour annuler l'expulsion, l'avocate a annoncé qu'elle allait tout de même formuler une requête pour rectifier l'erreur, afin de permettre à Mohamed S. de retrouver –sur le papier– sa «vraie» nationalité.

     

     

    LeParisien.fr

  • Les pleurs des mères de Sevran contre la violence: marche blanche pour Tayeb

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    http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/les-pleurs-des-meres-de-sevran-contre-la-violence-04-07-2013-2952273.php

  • C’était un 9 août : Nagasaki ou la guerre selon les démocrates

     

    Le 9 août 1945, les Etats-Unis, champions de la Démocratie, lâchaient sur la ville japonaise de Nagasaki une bombe atomique.

    Il s’agissait bien d’une politique de terreur destinée à faire plier plus vite l’Etat nippon (dont la défaite était en cours) en massacrant ses civils.
    Notons que les Etats-Unis attaquent, depuis, un peu partout sur la planète au motif de la défense des civils, et qu’ils s’indignent que d’autres qu’eux puissent avoir l’arme atomique, alors qu’ils sont les seuls à l’avoir utilisée (par deux fois), sans même qu’il s’agisse de se défendre.

    La première bombe A avait été lâchée sur Hiroshima trois jours plus tôt (entre 100 000 et 200 000 morts).

    Nagasaki a été entièrement soufflée (au moins 60 000 morts).
    Rappelons que cette ville était celle qui comptait le plus de catholiques japonais. Un hasard ?

     

    Contre-info.com