http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/peaux-noires-les-ravages-de-la-depigmentation-1000677.html
GAELLE MANN - Page 109
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Peaux noires: les ravages de la dépigmentation (vidéo)
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Hongrie : près de 90% des 18-24 ans comptent voter pour des partis anti-immigration aux prochaines élections, selon un sondage
Soros ne les aura pas!
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Corée du Nord: Trump dénonce une «dictature perverse»
La Corée du Nord, une "dictature perverse" pour Donald Trump, "ne peut pas faire chanter le monde", a mis en garde le président américain lors d'une allocution mercredi, au retour d'une tournée asiatique de 12 jours.
Donald Trump a également promis de mettre une "pression maximale" sur Pyongyang, et a annoncé que la Chine exercerait une "pression économique" sur la Corée du Nord, pays que le président chinois Xi Jinping considère comme "une grande menace", a-t-il précisé.
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Illusion d’optique à Clichy-la-Garenne : Allah a bien dû se marrer en voyant ça
15/11/2017 – FRANCE (NOVOpress) : La manifestation du 10 novembre à Clichy-la-Garenne a fait la une de tous les journaux français ou presque. Une centaine d’élus, en écharpe tricolore, s’opposant à des prières musulmanes dans la rue, en chantant la Marseillaise : beaucoup y ont vu – y ont cru voir – un début de prise de conscience de la nécessaire lutte contre l’islamisation de notre pays. « La réalité est plus attristante », estime l’hebdomadaire Minute dans son numéro paru ce matin qui comporte un incroyable entretien avec le maire de la ville, Rémi Muzeau. Celui-ci s’oppose juste aux prières de rue, mais pas du tout à l’islamisation de sa ville :
« Je ne me suis jamais opposé à une troisième mosquée. Et je ne m’opposerai ni à une quatrième, ni à une cinquième, ni à une sixième mosquée ! Pourquoi voulez-vous que je m’y oppose ? Tant qu’elle respecte les règles de réception du public… Vous savez, à Clichy, nous avons des orthodoxes qui se réunissent dans une salle ; des témoins de Jéhovah qui respectent les règles ; il n’y a aucun problème. »
Rémi Muzeau est en effet plus que bienveillant avec la « communauté musulmane » de Clichy-la-Garenne. « En mai 2017, raconte l’hebdomadaire Minute, il inaugurait en grande pompe le nouveau centre culturel et cultuel musulman de Clichy, installé dans un bâtiment communal et loué, via un bail emphytéotique de 99 ans, à la mairie de Clichy » :
« Le jour de l’inauguration, “en tant que maire de Clichy“, s’exprimant derrière un pupitre à la décoration orientaliste, il se disait “fier d’être présent à l’inauguration d’un lieu culturel et spirituel remarquable, qui contribuera au rayonnement de notre ville dans la région et dans notre pays“ ! » (voir la vidéo ci-dessus)
« Le pire, poursuit Minute, c’est que ce jour-là, il était vraiment réjoui !Interviewé par News on line, Rémi Muzeau avait ajouté :
“Cela fait plus de trente ans que l’on attend un lieu décent pour la communauté musulmane […] Dès que j’ai été élu, j’ai eu la volonté que les musulmans trouvent un lieu de culte décent. C’est ce qu’on a fait. On avait des locaux qui pouvaient être mis à disposition tout de suite, on l’a fait dès mon arrivée. Aujourd’hui, je suis très heureux.“ »
Conclusion de Minute :
« Utilisée mille fois et, sans aucun doute, largement galvaudée, la citation de Bossuet est pourtant toujours d’actualité : “Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.“ Allah aussi. »
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JT TVL 15 NOVEMBRE
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Clichy: des tracts appelant à tuer des juifs et des "mécréants" ont circulé pendant les prières de rue
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Offensive terroriste : Des djihadistes ont reçu pour mission de retourner en France avant la chute de Raqqa
BREIZATAO – ETREBROADEL (14/11/2017) Après la chute de Raqqa, la capitale de l’Etat Islamique en Syrie, les djihadistes français ont pour l’essentiel pu être exfiltrés de la ville assiégée.
C’est la presse britannique qui révèle dans un long article l’accord qui a été secrètement négocié entre la coalition alliée et les djihadistes pour permettre leur évacuation pacifique de la ville en ruines. On apprend ainsi que ces derniers planifient des attaques de grande ampleur en France.
BBC (source) :
Abu Basir al-Faransy, un jeune homme « français », est parti avant que les choses deviennent réellement dures à Raqqa. Il est maintenant à Idlib [ville de l’ouest de la Syrie contrôlée par Al Qaeda, ndlr], il dit vouloir rester. Les combats étaient durs, même à ce moment là, dit-il. « Nous étions des soldats de première ligne, faisant la guerre presque constamment [contre les Kurdes], vivant une vie dure. Nous ne savions pas que Raqqa était sur le point d’être assiégée. »
L’article poursuit :
Désillusionné, exténué par les combats permanents et craignant pour sa vie, Abu Basir a décidé de partir pour la sécurité d’Idlib. Il vit maintenant dans la ville. Il faisait partie d’un groupe presque exclusivement composé de « Français » au sein de l’Etat Islamique et avant qu’il parte, certains de ses camarades de combat ont reçu une nouvelle mission. « Certains frères français de notre groupe sont partis pour la France pour mener des attaques dans ce qui pourrait être appelé « le jour du jugement ».
Si la plupart des djihadistes étrangers se sont enfuis vers la Turquie par leurs propres moyens, la tâche de certains d’entre sera grandement facilité par l’annonce du gouvernement français de sa volonté de rapatrier les djihadistes possédant un passeport français.
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Conférence de presse de Sébastien Chenu, Julien Sanchez et Jordan Bardella - 14.11.2017
Conférence de presse de Sébastien Chenu, Julien Sanchez et Jordan Bardella, porte-paroles nationaux du Front National, ce mardi 14 novembre 2017 à Nanterre. Ordre du jour : présentation du questionnaire et des "ambassadeurs de La refondation ".
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RENAUD CAMUS : « MACRON EST L’INCARNATION PARFAITE DU REMPLACISME GLOBAL »
« Le remplacisme est petit-fils de la révolution industrielle et fils du taylorisme fordien. »
Renaud Camus, Emmanuel Macron est entré à l’Élysée le 14 mai dernier. Un semestre, le dixième du temps d’un quinquennat ! Que vous inspire tout d’abord le personnage en lui-même ? Un personnage de roman, un super-technocrate ? Certains n’hésitent pas à le comparer à Bonaparte !
Emmanuel Macron me facilite beaucoup la vie, au moins intellectuellement, car si l’on me demande de résumer d’un mot ce que je veux dire par remplacisme global, je peux répondre : Macron. Il en est l’incarnation parfaite.
Je l’ai dit cent fois, le Grand Remplacement, la substitution ethnique, le changement de peuple, si énormes qu’ils soient comme phénomène, ne sont qu’une petite partie d’une phénomène plus large encore, le remplacisme global où je vois l’un des deux principaux totalitarismes à l’œuvre de par le monde (l’autre étant évidemment l’islam). Remplacer, telle est l’essence des sociétés post-industrielles et post-modernes : tout doit y être remplaçable et s’y trouver remplacé — le vrai par le faux, l’original par la copie, les matières par leur reconstitution synthétique, les services et les objets par leur version low cost, l’homme par l’homme, l’homme par la femme, l’homme et la femme par les robots, les mères par les mères porteuses, la ville et la campagne par la banlieue, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une post-humanité hagarde et hyper-violente, l’espèce humaine par la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).
Le remplacisme est petit-fils de la révolution industrielle et fils du taylorisme fordien qui, à force de tout standardiser selon les exigences de la production et du profit, a fini très logiquement par vouloir standardiser l’homme lui-même. L’homme est à ses yeux une petite entreprise artisanale à succès, que rachète la grande distribution multinationale pour en commercialiser une version low cost, dénaturée mais hyper-profitable. Dans ses desseins plutôt noirs, le remplacisme s’est trouvé sur le tard un allié inespéré mais de poids, et, après tout, très naturel, très logique, l’antiracisme, qui a fini par signifier ce que portait son nom, la haine des races, la croyance absolue en leur inexistence et, paradoxalement, la foi non moins absolue en leur égalité et, surtout — c’était le plus précieux pour le remplacisme —, le désir de les fondre en une seule.
Emmanuel Macron se situe exactement au point de convergence de ces deux généalogies, financiarisme bancaire post-industriel d’un côté, antiracisme de l’autre — à ceci près, tout de même, que lui n’est même plus antiraciste, il est bien au-delà : les origines n’existent pas pour lui et, comme on sait, « il n’y a pas de culture française ».
En mai 2016, vous déclariez, dans un entretien à Boulevard Voltaire , que l’élection présidentielle de 2017 serait un référendum sur le changement de population. Comme interprétez-vous le résultat de cette élection ? Les Français ont dit oui au changement de population ou bien cet enjeu a tout simplement été occulté ?
Cet enjeu a été totalement occulté mais les Français n’ont, au mieux, pas dit non, il faut bien le reconnaître, à mon immense regret. Il convient de dire qu’en cet univers où tous les mots mentent, il en est peu qui mentent plus fort que Français, qualificatif qui réunit en un monstrueux amalgame envahisseurs et envahis, colonisateurs et colonisés, occupants et occupés. L’issue des votes dépend déjà largement du peuple de remplacement, puisqu’on a eu la folie sans précédent de lui donner le droit de vote. Mais, surtout, le peuple remplacé est hébété par l’enseignement de l’oubli, l’imbécillisation de masse, la répression, la censure, les injections permanentes de haine de soi, la peur, le monopole médiatique presque complet dont jouit le remplacisme (Boulevard Voltaire et TV Libertés nonobstant). Aussi bien l’issue ne sera-t-elle plus politique, à présent. Je l’ai déclaré dans un autre entretien, en volume, celui-là, avec Philippe Karsenty : 2017 était la dernière chance avant le Grand Remplacement. J’aurais dû préciser : la dernière chance politique.
À travers les décisions, ou les non-décisions, de ce premier semestre du Président Macron à la tête de l’État, décelez-vous une quelconque évolution de la politique dans le domaine de l’immigration qui serait de nature à vous rassurer, ou au contraire ?
Pas du tout, et très au contraire : on est entré dans le mode automatisé du changement de peuple. Le remplacisme global est au pouvoir et il procède selon un mode de gouvernement que j’ai appelé, par opposition à la démocratie directe, la « davocratie » directe – le gouvernement par Davos -, sans intermédiaire. Les grands argentiers du monde, ceux qui se réunissent une fois l’an à Davos, ont constaté qu’ils étaient désormais assez forts pour gérer directement le parc humain, en se passant de la caste politique, qui représentait pour eux une perte de temps et d’argent. La France est un modèle, à cet égard – le macronisme supprime le microcosme : renvoi à leurs études de toutes les grandes figures de la vie politique depuis trente ans, les Sarkozy, les Hollande, les Juppé, voire les Marine Le Pen ; constitution d’un gouvernement de second couteaux ; remplacement de la représentation nationale par une cargaison de zombies à peine alphabètes qui doivent tout au pouvoir et sont bien résolus à ne lui faire ni ombre ni peine. On vient à bout des pouvoirs locaux en les mettant au pain sec et à l’eau, en organisant leur ruine, même. Surtout, surtout, on pulvérise les partis politiques : des trois dont les Français croyaient il y a encore un an qu’ils avaient en main le destin de la nation, pas un ne tient encore sur ses jambes aujourd’hui. Le changement de peuple avait déjà échappé au peuple, voici qu’il échappe à ses élus. Il est géré par des machines, ou par des hommes au cœur de machine.
Entre remplacistes et anti-remplacistes, macroniens et identitaires, on en arrive ainsi, sur un point unique, à une étrange convergence, due à une coïncidence, ou à la rigueur extrême de l’opposition : les deux parties sont d’accord pour sortir de la politique, laquelle d’ailleurs suppose un peuple, et il n’y a pratiquement plus de peuple. Les remplacistes et Macron sortent de la politique par l’économie, par la finance, par la gestion d’entreprise, par The Principles of Scientific Management, qui est à la fois leur Das Kapital et leur Mein Kempf, presque aussi terrifiant (« Dans le passé, l’homme était premier, écrit froidement Taylor ; à l’avenir, c’est le système qui doit être premier »). Les anti-remplacistes et moi, si j’ose dire, voulons sortir de la politique par l’Histoire, ou par l’ontologie.
En effet, quand la seule question sérieuse qui se pose est celle de la survie d’un peuple et d’une civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’Histoire. De Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique, mais de l’Histoire. C’est pourquoi Karim Ouchikh et moi, à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre, jour anniversaire de la mort du Général, et près de sa tombe, avons crée un Conseil national de la résistance européenne, que nous comptons constituer et élargir par cooptation. Mais c’est un autre sujet, cet entretien est déjà trop long, je vous en parlerai une autre fois, si vous m’en donnez l’occasion.
BV
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JT TVL 14 NOVEMBRE 2017
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Terrorisme : la guerre est aussi intérieure, par Ivan Rioufol
Une guerre civile menace la France, mais la Macronie garde les yeux fermés. Ce lundi, le chef de l’Etat s’est rendu sur les lieux des attentats djihadistes du 13 novembre 2015, notamment au Bataclan, pour rendre un hommage silencieux aux 130 morts et aux 683 blessés. L’offensive terroriste avait été lancée du fief de l’Etat islamique à Raqqa. La chute de la ville syrienne, et de Daesch, n’ont pas éteint les risques, même si Emmanuel Macron a cru bon de supprimer le secrétariat d’Etat à l’aide aux victimes, créé en février 2016. Dans Le Figaro de ce jour, le patron de la DGSI confirme : “Tout ce qui se passe sur les théâtres d’opérations est transposable sur notre territoire”. Ces propos de Laurent Munez signifient donc que la guerre extérieure est aussi une guerre intérieure. Elle est principalement menée par des Français, en tout cas administrativement, contre d’autres Français. Le général Pierre de Villiers, ancien chef d’Etat-major des armées, l’admet aussi (1) : “Désormais, l’ennemi peut aussi bien se trouver à l’intérieur de l’Hexagone que très loin au-delà des mers”. En 2015, le ministre de la Défense de l’époque, Jean-Yves Le Drian, soutenait encore : “Je ne parlerai jamais d’ennemi intérieur”.
Il y a, oui, une cinquième colonne, motivée par la détestation de l’Occident et singulièrement de la France. Or, quand le président déclare tout dernièrement, à Abu Dhabi : “Ceux qui veulent faire croire que l’islam se construit en détruisant d’autres monothéismes sont des menteurs et vous trahissent”, il cautionne un irénisme qui désarme les élémentaires vigilances. Faut-il rappeler à Macron l’éradication des Chrétiens d’Orient ou des Juifs en terre d’islam. Faut-il lui rappeler les motivations suprémacistes du djihad et l’intolérance salafiste ? Qui ment ?
Le déni du choc des cultures empêche le chef de l’Etat de comprendre une partie des ressorts de l’offensive islamiste. Quand il préfère expliquer le terrorisme par les conditions économiques et sociales ou par le réchauffement climatique, il sous-estime la guerre en cours et les moyens d’y répondre. On comprend encore mieux, au regard de cet état d’esprit si craintif, la démission du général de Villiers, ses “désaccords majeurs” évoqués dans son livre, et ses inquiétudes pour l’avenir de la défense nationale. Ceux qui voient en Macron un président de choc, brutal et cassant avec ses adversaires, ne distinguent pas la main qui tremble dès qu’il s’agit de sortir du confort de la technocratie et de ses impératifs financiers. Vendredi, à Clichy (Hauts-de-Seine), une centaine d’élus ont dû pallier la démission des pouvoirs publics en s’opposant enfin à des prières de rue organisées illégalement en centre-ville depuis 8 mois, alors même que la commune compte deux mosquées.
L’effacement de l’Etat face au communautarisme et aux minorités est une plaie qui reste à soigner. Le soir du 11 novembre, des drapeaux algériens et marocains ont été déployés devant l’Arc de Triomphe et la tombe du Soldat Inconnu par des centaines de supporters de foot, dont certains criaient : “On est chez nous !”. Les médias n’ont pas même relevé ces scènes choquantes. Elles illustrent pourtant un multiculturalisme qui fait le lit de possibles tensions à venir. Sachant de Macron ne fera qu’aggraver ces situations, il reste aux Français écoeurés à sonner eux-mêmes le tocsin.
(1) Servir, Fayard
Ivan Rioufol
Texte daté du 13 novembre et repris du blog d’Ivan Rioufol
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Contre le terrorisme, Marine Le Pen défend le renseignement de terrain
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ROBERT MÉNARD : « JE NE PENSE PAS QUE TOUT SOIT AFFAIRE D’IMMIGRATION, D’ISLAM OU D’EUROPE »
Ce qui m’importe, c’est de savoir ce que je peux faire dans une ville comme la mienne où les musulmans sont nombreux, très nombreux.
Vous expliquez à longueur d’interview que le renouveau de la droite ne peut pas passer par les partis politiques et, « en même temps », vous participez à la plate-forme Les Amoureux de la France qui ressemble fort à un cartel de partis… Un peu contradictoire, non ?
Il fallait bien commencer ! Mais, c’est vrai, s’il ne s’agit que de regrouper les petits partis coincés entre le FN et Les Républicains, notre démarche sera vouée à l’échec. On ne peut pas dire, à longueur de temps, que les partis sont morts, qu’ils font partie du passé et imaginer, ne serait-ce qu’une seconde, que nous pourrions échapper à ce diagnostic. C’est pourquoi nous devons aller chercher d’autres acteurs que les vieilles machines militantes : du côté des élus locaux comme des acteurs des médias alternatifs, par exemple. Il ne se passe pas un jour sans que je reçoive un message d’homme ou de femme que je ne connais pas et qui appelle à un vaste rassemblement des droites. Nous avons quelques années devant nous pour réussir ce pari.
Mais vous avez déjà essayé avec votre rassemblement de Béziers en juin 2016 !
Et nous avons en partie manqué le coche !Nous avons cru, j’ai cru, naïvement, que chacun serait prêt à oublier ses petits intérêts pour se mettre au service d’une dynamique. C’était faire l’impasse sur les questions d’ambition et d’argent – les partis doivent bien compter leurs supporters lors des élections pour profiter des subsides de l’État… Chaque parti, fût-il un groupuscule, est conduit par une personnalité qui s’imagine, même si elle refuse de l’avouer, un destin plus ou moins national…
Alors, concrètement, comment peut se faire ce rassemblement que vous appelez de vos vœux ?
Commençons par le commencement. Que disent les Français ? À quels problèmes sont-ils confrontés ? Quels sont les obstacles qui nous empêchent de répondre à leurs demandes ? Pourquoi bien de nos propositions, pourtant marquées du sceau du bon sens, continuent-elles à faire peur ? Comment passer outre les oukases des uns et des autres ? Le reste – ces éternelles discussions sur les « trahisons » de son voisin d’Hémicycle -, nous pourrions le mettre de côté. Essayons de nous coltiner le réel. Que répondre à mes concitoyens qui ne supportent plus des voisins au mode de vie radicalement différent du leur ? Que faire face à des mineurs, à des gamins de douze ou treize ans qui se sentent si forts du sentiment d’impunité qu’ils ne craignent rien ni personne ? Où loger des familles dont vous savez pertinemment que leur attribuer un logement social revient à rendre invivable toute une cage d’escalier ? C’est à cela que le maire que je suis doit faire face. Et je ne crois pas un instant que la rhétorique de mes amis politiques m’aide de quelque manière que ce soit… Pour tout dire, je ne pense pas un instant que tout soit affaire d’immigration, d’islam ou d’Europe. C’est un peu plus compliqué que cela…
Sur l’Europe, justement, vous êtes en profond désaccord avec les souverainistes, ceux-là mêmes avec qui vous flirtez actuellement…
Je me sens européen. L’Europe est notre berceau et notre humus. Mais je refuse de la voir confisquer par une bureaucratie tatillonne, par des commissaires non élus, par des technocrates au sang-froid. Je suis européen et j’aime mon pays. Les deux à la fois. Je ne veux pas avoir à choisir. Je suis fier de cette civilisation européenne, de cette civilisation judéo-chrétienne qui a toujours su attirer les talents, accueillir les réprouvés, répondre aux appels des déshérités. Mais je vous l’avoue, si Bruxelles et ses institutions européennes me hérissent le poil, ce n’est rien en comparaison de l’OTAN. Il nous faut, d’urgence, construire une Europe forte, qui sache respecter les singularités de chacune de ses nations, pour ne pas finir comme les vassaux des États-Unis.
Et sur l’islam ?
Mettons les pieds dans le plat. Je ne vais pas passer ma vie à m’interroger pour savoir si l’islam est compatible ou pas avec la République. Je ne vais pas passer mon temps à envoyer des sourates à la figure de mes contradicteurs pour prouver que le Coran est truffé de propos sexistes, homophobes, d’appels à la violence, de propos haineux à l’égard de tous ceux qui ne font pas partie de l’Oumma, la communauté des croyants. Ce qui m’importe, c’est de savoir ce que je peux faire dans une ville comme la mienne où les musulmans sont nombreux, très nombreux. J’entends bien, j’approuve et je soutiens ceux qui me répondront : arrêt de l’immigration ou, du moins, réduction massive. Mais en attendant ? Et puis, je ne vais pas mettre tous les musulmans dans le même sac ! Je ne confonds pas la dame, serveuse dans le restaurant en bas de chez moi, et le barbu qui rêve d’imposer la charia ! Je ne suis pas le maire des seuls Biterrois d’origine. Demain, arrivés au pouvoir, il nous faudra bien prendre en compte tous ceux qui vivent ici. S’il nous faut combattre une idéologie qui veut, ni plus ni moins, que notre mort, si je ne veux abandonner aucun territoire à ces dévots radicalisés qui jurent obéissance à de supposées lois divines, si j’entends dénoncer ces compagnons de route de l’islamisme qui naviguent entre naïveté et lâcheté, je veux également réussir l’assimilation d’une population qui n’a aujourd’hui d’autre horizon que notre pays.
Vous ne seriez pas en train de tourner casaque ?
J’essaie seulement d’apporter des réponses concrètes aux problèmes tout aussi concrets de mes administrés. Et j’ai la prétention de penser que si, tous autant que nous sommes, nous nous y employions avec un peu plus de constance, d’énergie, nous pourrions un jour être aux postes de commande dans ce pays. C’est la seule chose qui vaille : gagner pour changer la vie des plus malheureux, des « gens de rien » de monsieur Macron, des « sans-dents » de monsieur Hollande. C’est pour cela que nous faisons de la politique, n’est-ce pas ? Échapper à cet homme qui « n’a d’autre but que lui-même » dénoncé par Camus et qui pourrait être moi… ou vous.
BV
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Algérie : Au moins un demi-million de visas délivrés par an annonce triomphalement l’ambassadeur de France
BREIZATAO – ETREBROADEL (07/11/2017) L’Etat Français repeuple rapidement l’Hexagone avec des millions de migrants afro-musulmans mais s’y livre dans une relative discrétion, laissant la population faire face au fait accompli.
Ce n’est qu’au hasard de déclarations d’officiels que l’on peut mesurer l’étendue de cette politique qui devrait, d’ici quelques décennies, voir la population autochtone devenir minoritaire. L’ancien ambassadeur en Algérie Xavier Driencourt indiquait ainsi en octobre que près d’un demi-million de visas étaient délivrés aux seuls Algériens.
Observalgerie (source) :
L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a assuré lors d’une déclaration à la presse hier jeudi que les problèmes liés à l’obtention du visa vers son pays seraient réglés avant la fin de l’année en cours. « Depuis que je suis arrivé en juillet, j’ai pris les choses en main et toutes les difficultés sont en voie de règlement » a indiqué Xavier Driencourt. Sur un autre volet, l’ambassadeur s’est félicité du nombre des visas délivrés aux Algériens par les services consulaires de son pays. « Quand j’ai quitté Alger en 2012, on délivrait 200.000 visas. Aujourd’hui, on délivre 410 000. Nous avons doublé le nombre de visas en cinq ans » a-t-il annoncé. « Nous délivrons presque 40% de visas de circulation. C’est à dire des visas pour deux, trois ou quatre ans. Cela facilite les choses. Ces visas ne sont pas comptabilisés dans les 410 000 que j’ai cités » a-t-il ajouté.
Ces chiffres sont naturellement à additionner aux masses de migrants d’autres pays afro-musulmans, en plus des clandestins divers actuellement installés dans l’Hexagone.
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Alain Marsaud: "les jihadistes français en Syrie sont liquidés sur place pour qu'ils ne rentrent pas en France"
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Les Ultras Parisiens descendent le bd Voltaire au cri de « Daech, Daesh, on t’enc. » puis entonnent La Marseillaise devant le Bataclan
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Stéphane Bern propose de faire payer l’entrée des cathédrales et crée une vive polémique
Emmanuel Macron et Stéphane Bern après une visite au château de Monte-Cristo à Marly-le-Roi le 16 septembre 2017.L'animateur Stéphane Bern a suggéré dans une interview qu'il fallait faire payer «d'urgence» l’entrée des cathédrales, s'attirant les foudres de l'Eglise et de ses évêques et de la Twittosphère.
C’est une petite phrase, mais elle a rapidement déclenché les passions et fait réagir l’Eglise par le biais de la Conférence des évêques de France (CEF) et la twittosphère. Dans une interview accordée au Parisien Week-end du vendredi 8 novembre, l'animateur Stéphane Bern a déclaré qu'«il [fallait] d’urgence faire payer l’entrée des cathédrales». Une proposition qui n'a pas convaincu les principaux intéressés. La CEF a répliqué le 13 novembre que les églises étaient «avant tout» des «lieux de prière et de culte dont l'accès doit être libre».
Droit de réponse et précisions
La sénatrice Nathalie Goulet de l'Union des démocrates et indépendants a interpellé Stéphane Bern sur Twitter, estimant que cette proposition était «une violation de la loi de 1905», une forme d'impôt sur le culte. Quid des mosquées, des temples et synagogues ?
RT
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JOURNAL TVL DU 13 NOVEMBRE
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Vintimille: manif pour exiger l'expulsion immédiate de tous les migrants qui sont dans la ville
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