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02/11/11
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02/11/11
Après la victoire du PS, une Algérienne ex-militante du MRAP a été nommée vice-présidente du Sénat.
Le contrôle du Sénat français par le Parti socialiste pour la première fois de son histoire a permis l’ascension d’une femme d’origine algérienne. Bariza Khiari (PS), née dans les Aurès (ndlr: en Algérie) et proche de l’ancien Premier ministre, Laurent Fabius, a été nommée vice-présidente de la Chambre haute du Parlement.
Elle a tout de suite décidé de s’attaquer à la circulaire de Claude Guéant durcissant les conditions de séjour des étudiants étrangers après l’obtention de leur diplôme. Mme Khiari va présenter une proposition de résolution en vue de favoriser l’emploi des étudiants étrangers sur le territoire français, tout en facilitant les allers-retours avec leur pays d’origine. Source : Liberté Algérie
Militante du MRAP (…) et de la CFDT, elle est engagée politiquement depuis la fin des années 1970. Farouche opposante des « statistiques ethniques », elle est l’une des fondatrices du Club XXIe siècle (aux côtés de Rachida Dati ou Rama Yade). (…)
Elle déclare : « Je suis musulmane sunnite de rite malékite et de tradition soufie. Et notre islam, comme celui de la grande majorité des musulmans, est un islam complètement apaisé, ouvert, tolérant, en cohérence avec la tradition laïque française. » Bariza Khiari est membre du groupe sénatorial Amitié France Maroc. (…)
Elle est à l’origine d’une proposition de loi limitant les emplois fermés aux étrangers, adoptée à l’unanimité au Sénat le 11 février 2009. Source : Wikipedia
Bariza Khiari était porte-parole de « Talents des cités 2011″ le 22 octobre dernier.
Merci à Herstalle
Défrancisation - 01/11/11
20/10/11
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Les rencontres organisées à la veille du G20 ont servi à rappeler à la Grèce ses engagements.
Crise de la dette oblige, la Grèce était au cœur des rencontres qui ont eu lieu mercredi à Cannes, à la veille du G20. Les principaux dirigeants européens et le FMI ont entamé dès mercredi leurs travaux pour faire appliquer le plan de sauvetage de la Grèce.
Objectif : clarifier la situation avec la Grèce et tenter de ramener le calme dans la zone euro et sur les marchés. Europe1.fr vous résume les principaux enseignements de cette succession de rencontres.
Un message de fermeté. L’ensemble des interventions ont toutes pris la forme d’un rappel à l’ordre : la Grèce ne doit pas espérer bénéficier du plan de sauvetage si elle ne remplit pas les conditions qui ont été fixées par les membres de la zone euro. "Ce qui compte, c'est la fermeté et la détermination des partenaires européens (...) à appliquer l'accord du 27 octobre", a renchéri la patronne du FMI, Christine Lagarde.
Ne pas perdre de temps. Tout en reconnaissant qu'organiser un référendum était "légitime", le couple franco-allemand a demandé à la Grèce de l’organiser rapidement afin d’éviter une nouvelle crise sur les marchés qui serait dommageable à la Grèce, mais aussi aux autres pays de la zone euro. Un référendum serait possible "autour du 4 ou 5 décembre", a déclaré Nicolas Sarkozy.
Pas d’aide financière jusqu'au référendum. L'Union européenne et le Fonds monétaire international ont prévenu : la sixième tranche d'aide à Athènes (8 milliards d'euros) ne sera pas versée tant que la Grèce n'aura pas organisé le référendum et rempli les conditions qui ont été définis.
Le référendum portera bien sur le plan de sauvetage. Interrogé pour savoir si le référendum allait porter sur le maintien de la Grèce dans la zone euro, le porte-parole du gouvernement grec Angelos Tolkas a répondu: "Non, ce ne sera pas la question. Ce sera le plan de sauvetage". Le couple franco-allemand privilégiait une question simple et franche et surtout le plus tôt possible.
Euro : c'est à la Grèce de décider. "La Grèce doit décider si elle veut ou non rester dans la zone euro et clarifier sa position sur le plan de sauvetage européen", a déclaré Nicolas Sarkozy, répétant qu'il souhaitait le maintien de la Grèce au sein de l'euro et que ce choix revenait aux Grecs.
Le FESF installé plus tôt. L'application du plan européen et le renforcement du FESF seront accélérés pour que la zone euro ne perde pas de temps qu'elle dispose d'un outil en état de marche dès la prochaine secousse financière.
Un dernier round, au cas où… La présidence française du G20 a également annoncé la tenue d’un mini-sommet supplémentaire jeudi matin, à nouveau consacré à la crise grecque. Un rendez-vous supplémentaire qui laisse craindre que de nombreux détails restent à régler.
Europe1 - 02/11/11
Le secrétaire général de l’OTAN Anders Fogh Rassmussen a déclaré qu’une intervention militaire de l’Alliance atlantique en Syrie était totalement exclue. « C’est totalement exclu. Nous n’avons aucunement l’intention d’intervenir en Syrie », a déclaré M. Rasmussen cité par les médias occidentaux. Pendant ce temps, selon RIA Novosti, Moscou maintient la livraison de certains systèmes d’armes à Damas.
Dimanche 30 octobre, le président syrien Bachar al-Assad a déclaré que toute ingérence occidentale en Syrie risquait de provoquer « un tremblement de terre » qui enflammerait tout le Proche-Orient.
Une déclaration qui intervient au moment où l’on apprend qu’un contrat sur la fourniture d’un système de missiles anti-navires russes à la Syrie sera maintenu malgré les pressions des pays occidentaux, selon le chef du Service fédéral de coopération technico-militaire Mikhaïl Dmitriev.
La Russie a affirmé à plusieurs reprises qu’elle entendait honorer ce contrat qui date de 2007 en livrant ces systèmes Bastion-P (SS-N-26 Yakhont), un système de missiles de croisière supersoniques, malgré les efforts déployés par Israël et les Etats-Unis pour arrêter l’affaire. Comme à son habitude, Moscou devrait aussi fournir la logistique et la formation adéquate pour l’utilisation de ce système d’armement ultra-moderne.
Le missile Yakhont a une portée de 300 km, la capacité de transporter une ogive de 200 kg et la capacité unique d’être en mesure de survoler de quelques mètres seulement la surface de l’eau, ce qui le rend difficile à détecter et à intercepter.
NPI
Un bébé mis au monde, mardi matin, par sa mère, sans domicile fixe, est décédé en pleine rue à Paris. Vers 13 h 30, la maman, âgée de 38 ans, qui appelait au secours et qui portait son enfant dans ses bras, rue de l’Observatoire dans le XIVe arrondissement a été prise en charge par les pompiers.
La classe politique s'étonne de la déclaration du Premier ministre grec. Mais, en juin dernier, Georges Papandréou s'était déjà engagé à consulter les Grecs en septembre.
Le projet de référendum grec a été accueilli par des grincements de dents à la veille du G20 qui débute ce jeudi à Cannes. Une surprise? Ce mercredi, Angela Merkel explique qu'elle "prend acte" de la décision du Premier ministre Georges Papandréou. La chancelière allemande souligne toutefois qu'elle "aurait préféré, au nom de la coopération européenne, être informée à l'avance". Devant les principaux ministres concernés réunis mardi à l'Elysée, Nicolas Sarkozy avait assuré: "Cette annonce a surpris toute l'Europe". Et le premier ministre français François Fillon explique de son côté qu'il regrette une annonce "prise de façon unilatérale".
Pourtant, la décision du Premier ministre grec Georges Papandréou d'organiser un référendum ne date pas d'hier. En juin, LEXPRESS.fr rapportait qu'il "s'engageait à procéder à un référendum" pour faire avancer "les grandes réformes" dans le pays après le vote du plan d'austérité pluri-annuel, prévu pour fin juin. Certes, à ce moment-là, le plan de sauvetage de la Grèce n'était pas encore prévu sous sa forme actuelle. A l'époque, il estimait la date d'organisation de la consultation à septembre.
Le porte-parole officiel grec, Ilias Mossialos, rappelle d'ailleurs ce mercredi que Georges Papandréou avait "informé ses partenaires [européens] de ses intentions". Nuance importante: le Premier ministre grec n'avait à l'époque pas précisé "la date, confidentielle, de l'annonce".
L'EXPRESS - 02/11/11
Lire l'article: http://www.lepost.fr/article/2011/11/02/2628067_incendie-de-charlie-hebdo-les-politiques-condamnent.html
+ 6 vidéos: réactions des politiques
LE POST - 02/11/11
A Paris, les studios sont non seulement minuscules mais ils sont également vendus à des prix indécents... Ce studio de 3 mètres carrés est mis en vente à 29 000 euros !
Certains propriétaires profitent amplement de la crise du logement... A Paris, les étudiants doivent suivre un véritable parcours de combattant pour espérer trouver un studio ou une chambre de bonne. L'état de ces minuscules espaces est souvent déplorable, d'autant plus que les prix ne baissent pas pour autant... On peut prendre pour exemple ce studio situé dans le 9ème arrondissement de Paris, d'une surface de 3 mètres carrés, il est vendu à 29 000 euros !
L'annonce de ce studio, publiée sur le site Internet Pap.fr, précise que le studio est en "parfait état". A ce prix là, on l'espère bien... Mais où pourrait-on trouver la justification d'un tel prix ? Le luxe du "digicode" et de la "gardienne" ? Ou bien d'habituer au 6ème étage et d'avoir "droit aux wc communs et à l'eau" ? Autre indication de taille dans l'annonce : "pièce mansardée de 3 m² au sol". Ce qui signifie que le studio est encore plus petit que l'on pouvait se l'imaginer !
La pièce ne peut contenir qu'un lit, comme le montre la photo de l'annonce. Le texte de l'annonce assure le client du "calme" du quartier, et prétend que son studio est "idéal pour domiciliation ou archivage". Le "calme" à ce prix là, ce n'est rien de plus qu'une arnaque !
Les technocrates bruxellois et un personnel politique du même métal en France et chez nos voisins ont depuis longtemps, par résignation ou conviction, accepté de se soumettre au monde de la finance apatride, aux marchés, aux lobbies. C’est l’un des vices de forme de cette Europe là, inlassablement dénoncé par Bruno Gollnisch. Cette abdication du politique devant le monde de l’argent dans ce qu’il a de plus dévoyé, de pervers, souvent par conjonctions d’intérêts et au nom de l’idéologie mondialiste, explique cette crainte de la volonté populaire qui s’exprime chez nos « élites ». Ces « élites » là, qui ont mené l’Europe au bord du précipice sont incapables – et pour cause- de défendre la prospérité, la sécurité, les libertés, la souveraineté, l’identité des Européens, crient aujourd’hui au scandale. Pourquoi ? Parce que le Premier ministre grec a annoncé l’éventualité d’un référendum sur le plan d’aide européen à son pays au début de 2012, le premier dans le pays depuis celui qui avait aboli la monarchie en 1974.
Lors de son grand oral face à MM. Pernaud et Calvi diffusé en simultané sur TF1 et France 2 la semaine dernière, Nicolas Sarkozy expliquait pour faire peur dans les chaumières que si « l’euro explosait, c’est l’Europe qui explosait également » mais aussi « le monde » ! Une manière de légitimer sa volonté qu’il y ait « plus d’intégration économique au sein de la zone euro ». Sans demander bien sûr l’avis de nos concitoyens…dont se contrefiche de toute façon nos dirigeants comme on l’a vu avec le référendum sur la constitution européenne de mai 2005 qui a été ignoré car n’allant pas dans le sens du progrès…
Georges Papandréou a donc osé demander l’avis des Grecs sur leur avenir – lesquels ne sont pas exempts de responsabilité dans la crise très douloureuse qu’ils subissent…- et on lui prête aujourd’hui les arrières pensés politiciennes les plus tortueuses ; calculs politiciens qui sont ignorés bien sûr de la technocratie bruxelloise… Un crime de lèse-majesté dont il sera largement débattu ce mercredi par les dirigeants européens se réunissent ce mercredi en urgence avant le sommet du G20 de Cannes .
En cas de « non » des Grecs, c’est-à-dire du refus de la mise sous tutelle monétaire renforcée de leur pays (voulue par Berlin), le scénario est connu à l’avance : le gouvernement ne pourra faire autrement que de faire un défaut unilatéral sur sa dette ; il est même envisageable qu’Athènes négocie sa sortie de la zone euro. Dans cette situation il est prévu une éjection rapide d’autres mauvais élèves de l’euroland. N’est-ce pas là finalement le souhait martelé plus ou moins mezzo voce par l’Allemagne , une très large partie de ses élites économiques …et politiques ?
La Tribune relate que le coup de semonce a eu pour effet de « déclencher une forte chute des marchés financiers » tandis que « les taux payés par l’Italie, devenus le baromètre du risque de contagion dans la zone euro, se sont à nouveau envolés, malgré l’intervention massive de la Banque centrale européenne (BCE). Et la déclaration commune franco-allemande qui se dit déterminée à appliquer les décisions prises la semaine dernière n’ont pas même réussi à freiner le mouvement. Il est vrai que l’accord de Bruxelles, par son flou, n’avait déjà guère convaincu les marchés. »
Le fond du problème relevé par l’économiste eurosceptique socialiste Jacques Sapir est bien en effet que cet énième plan anticrise, censé lui aussi régler définitivement le problème de la dette européenne, est le « pire accord envisageable » et signe « la mort de l’euro ». « Les marchés, après une euphorie passagère (car on est passé très près de l’échec total) vont comprendre que ce plan ne résout rien », pronostiquait-il juste après la conclusion de celui-ci.
La réduction partielle de la dette grecque « à 120% en 2012 », est « très insuffisant pour sortir le pays du drame dans lequel il est plongé ». Il note que si le FESF va se transformer en « fonds de garantie », « la capacité de 1000 milliards d’emprunts » dont il dispose réellement ne pourra sauver les pays de l’Euroland en train de sombrer : « Barroso avait déclaré qu’il fallait 2200 milliards et mes calculs donnaient 1750 milliards pour les besoins de la Grèce (avant restructuration) du Portugal et de l‘Espagne. Cet aspect de l’accord manque totalement de crédibilité. »
Idem pour l’engagement de « de pure forme « de Berlusconi à remettre de l’ordre en Italie (…). Sans croissance (et elle ne peut avoir lieu avec le plan d’austérité voté par le même Berlusconi) la dette italienne va continuer à croître. » Quant à « La demande faite à l’Espagne de résoudre son problème de chômage, c’est une sinistre plaisanterie dans le contexte des plans d’austérité qui ont été exigés de ce pays. »
L’économiste note encore que la recapitalisation des banques (estimée entre 110 milliards et 147 milliards) est elle aussi très insuffisante. « Il faudra en réalité 200 milliards au bas mot, et sans doute plus (260 milliards semblent un chiffre crédible). Tout ceci va provoquer une contraction des crédits (credit crunch ) importante en Europe et contribuer à nous plonger en récession. Mais, en sus, ceci imposera une nouvelle contribution aux budgets des États, qui aura pour effet de faire perdre à la France son AAA ! »
Sapir affirme encore que si la BCE dans le cadre de cet accord « va continuer à racheter de la dette sur le marché secondaire, ceci va limiter et non empêcher la spéculation. » Concernant « l’appel aux émergents (Chine, Brésil, Russie) pour qu’ils contribuent via des fonds spéciaux au redressement de l’Europe», c’est « une idée très dangereuse car elle va enlever toute marge de manoeuvre vis à vis de la Chine et secondairement du Brésil. » Tout aussi préoccupant pour notre souveraineté , « l’implication du FMI est accrue, ce qui veut dire que l’oeil de Washington nous surveillera un peu plus… L’Europe abdique ici son indépendance ».
« La zone Euro poursuit-il se condamne à terme. En recherchant un appui auprès de la Chine, elle s’interdit par avance toute mesure protectionniste (même Cohn-Bendit l’a remarqué….) et devient un marché et de moins en moins une zone de production. Ceci signe l’arrêt de mort de toute mesure visant à endiguer le flot de désindustrialisation. Cet accord met fin à l’illusion que l’Euro constituait de quelque manière que ce soit une affirmation de l’indépendance de l’Europe et une protection de cette dernière. »
Dans le même ordre d’idée le Bulletin d’André Noël reléve justement qu’ « en finançant les Européens, la Chine les conserve comme clients pour ses produits (…). N’est-ce pas ainsi que nous procédions en subventionnant les pays africains pour qu’ils achètent des produits made in France ? On disait alors qu’il s’agissait d’une pratique néocoloniale. Plus nous aurons besoin d’argent, plus Pékin nous en donnera et c’est nous qui serons colonisés par les Chinois. On avait vendu à l’opinion l’euro et l’Union européenne comme garants et remparts de notre indépendance ace à ces deux géants que sont les USA et la Chine ! »
« Politiquement, indique lui aussi Jacques Sapir, on voit guère ce que Nicolas Sarkozy pourrait gagner en crédibilité d’un accord où il est passé sous les fourches caudines de l’Allemagne en attendant celles de la Chine. Ce thème sera exploité, soyons-en sûrs, par Marine Le Pen avec une redoutable efficacité. Il importe de ne pas lui laisser l’exclusivité de ce combat. »
Or le « problème » pour l’aile gauche du Système, et M. Sapir le sait bien, c’est que seul le FN peut incarner légitimement et de manière cohérente ce combat de redressement national et de défense de l’Europe des patries. Et certainement pas par définition un PS européiste qui a tout trahi, tout lâché, tout abandonné. Quant à la fraction socialo-communiste qui combat la « mondialisation », de Montebourg à Mélenchon, hémiplégique, opportuniste, empêtrée aux yeux des Français dans ses contradictions internationalistes, elle ne saurait incarner une alternative sérieuse à la hauteur des défis.
Blog de Bruno Gollnisch - 02/11/11
Actuellement en déplacement aux États-Unis, Marine Le Pen, candidate pour la défense du peuple français à l’élection présidentielle de 2012, fait partie du « Top 100 des personnalités les plus influentes du monde » selon le Time Magazine. L’hebdomadaire de renommée internationale indique que Marine Le Pen se place devant le président américain Barack Obama. Comme l’indique le reportage ci-dessous diffusé sur I>Télé « parmi les surprises du classement, on trouve Marine Le Pen à la 71e place, la Présidente du Front National devance Barack Obama qui, contre toute attente, est relégué au 86e rang ».
Radhika Jones, rédactrice en chef adjointe du Time Magazine, précise que la constitution de cette liste consiste « à rappeler qui sont les éminences grises de la planète mais aussi qui fait avancer les choses dans son domaine en particulier. »
NPI - 02/11/11
En déplacement aux États-Unis pour une durée de 5 jours, Marine Le Pen a souhaité réagir à l’actualité européenne au niveau de la crise de la zone euro et notamment du choix logique du Premier ministre grec d’organiser un référendum pour demander l’avis du peuple. Marine Le Pen soutient ce choix qui met un point d’honneur au respect de la démocratie et replace le peuple au cœur des décisions.
Marine Le Pen rappelle que « nous sommes en démocratie, c’est aux peuples de décider de leur avenir ce n’est pas à quelques technocrates même s’ils se mettent d’accord entre eux car cela c’est l’oligarchie ».
NPI - 02/11/11
Guéant :"Nettoyer, nettoyer, nettoyer, nettoyer... par LePostfr
01/11/11
Au lendemain de l'admission de la Palestine à l'Unesco, votée lundi à une large majorité (107 pour, 14 contre, 52 abstentions parmi les Etats membres), Israël a décidé de représailles : la construction de nouveaux logements dans les colonies de Cisjordanie et de Jérusalem-Est, et des sanctions financières.
Ces décisions ont été adoptées au cours d'une réunion ministérielle autour du premier ministre Benyamin Netanyahou, furieux du vote de l'Unesco. 2250 logements supplémentaires seront donc construits à Jérusalem-Est, et à Gush Etzion et Maale Adumim, en Cisjordanie, « qui resteront israéliennes dans tout accord futur de paix », a précisé le bureau de Netanyahou.
C'est la première réaction d'Israël après l'admission, pour la première fois en effet, de la Palestine en tant qu'Etat à part entière dans une organisation du système des Nations unies. Et, pour la première fois, la France s'est distinguée en votant pour cette admission, seul pays européen avec la Belgique à sauter le pas quand les autres membres de l'UE s'alignaient sur les Etats-Unis et Israël et votaient contre, ou s'abstenaient.
Pour avoir critiqué la décision française de refuser de soutenir la candidature de la Palestine à l'ONU en septembre, la surprise est grande de voir Paris faire ainsi volte-face et se distinguer de ses alliés. La décision est courageuse, même si elle aurait eu plus d'impact lors de la session de l'Assemblée générale en septembre.
Nicolas Sarkozy, qui avait donné au printemps une indication de sa disponibilité à reconnaître la Palestine si les négociations israélo-palestiniennes ne reprenaient pas, doit s'attendre à subir la colère d'Israël et de la partie de la communauté juive française qui soutient inconditionnellement l'Etat hébreu.
Dès ce mardi matin, les communiqués ont commencé à tomber, comme celui-ci, de la « très modérée » Union des patrons et des professionnels juifs de France (UPJF), qui souligne que « la France a donc voté comme la majorité des républiques bananières qui siègent à l'Unesco ». Et ajoute :
« Monsieur le Président, est-ce que la prochaine étape de votre action au Proche-Orient sera la reconnaissance du Hezbollah et du Hamas, comme associations caritatives ? »
On mesure le chemin parcouru depuis l'élection de Nicolas Sarkozy avec un solide engagement pro-israélien, et qui, surtout depuis le retour d'Alain Juppé au Quai d'Orsay au début de l'année, retrouve progressivement des accents « gaulliens », au moins sur la question palestinienne.
Mais le revirement français est occulté par les réactions prévisibles, mais brutales, d'Israël et de l'administration Obama. Cette dernière a aussitôt annoncé l'arrêt de ses contributions financières à l'Unesco, en vertu d'une loi américaine datant du début des années 90, et donc peu adaptée au contexte actuel, qui oblige les Etats-Unis à se retirer d'une organisation dont seraient membres à part entière les Palestiniens !
Les Etats-Unis, qui avaient déjà claqué la porte de l'Unesco en 1984 pour ne revenir qu'en 2003, contribuent à hauteur de 22% au budget de l'organisation chargée de l'éducation, la science et la culture. Avec la contribution d'Israël – 3% – qui sera également suspendue, l'Unesco perd donc un quart de son budget, et va devoir faire face à des difficultés considérables.
La diplomatie américaine avait tenté de s'opposer à la démarche palestinienne, mais, signe de l'influence limitée de Washington sur ce sujet, a subi une défaite écrasante, puisque le « non » à la Palestine n'a recueilli que 14 voix sur 195 Etats membres.
Washington a réitéré une position totalement dévalorisée, selon laquelle ce sont des négociations directes, et pas un fait accompli diplomatique, qui fera naître l'Etat palestinien. Vrai, mais que faire quand il n'y en a pas ?
Au-delà des conséquences pour l'Unesco, qui peuvent être dramatiques, cette mini-crise n'est que le signe de l'impasse israélo-palestinienne, malgré le récent échange de prisonniers qui a pu faire croire à une éclaircie.
Les deux parties ne sont pas plus proches d'une reprise des négociations qu'il y a deux mois, et l'administration Obama, qui a lamentablement échoué dans son ambition médiatrice depuis trois ans, se retrouve dans sa position traditionnelle de protectrice de l'Etat hébreu.
L'épisode de l'Unesco n'est qu'une péripétie dans ce long bras de fer entre cette Palestine divisée, en devenir, et un Etat d'Israël qui s'abrite derrière la protection américaine pour rester intransigeant et jouer la montre avec le développement des colonies.
Les représailles dont Israéliens et Américains menacent aujourd'hui les Palestiniens pour leur geste « unilatéral » ne risquent pas de modifier une situation qui ne cesse de tourner en rond.
La « rupture » française est finalement le seul véritable élément nouveau de cet épisode, et il faudra en suivre les conséquences au niveau européen, les 27 étant incapables de s'entendre sur un dossier aussi délicat, mais qui pourraient trouver avantage à s'engouffrer dans la brèche ouverte par Français et Belges.
Rue89 - 01/11/11
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PARIS (Reuters) - L'accord de Bruxelles pour sauver l'euro et résoudre le problème de la dette grecque, signé la semaine dernière après un sommet européen, est la seule voie possible, a estimé mardi le président français Nicolas Sarkozy.
Il s'exprimait après une réunion avec les principaux ministres concernés à l'Elysée, au lendemain de l'annonce-surprise d'un référendum sur le sujet par le Premier ministre grec George Papandréou.
"Cette annonce a surpris toute l'Europe. La France tient à rappeler que le plan adopté jeudi dernier à l'unanimité des 17 membres de la zone euro est la seule voie possible pour résoudre le problème de la dette grecque", a dit Nicolas Sarkozy.
"Donner la parole au peuple est toujours légitime mais la solidarité de tous les pays de la zone euro ne saurait s'exercer sans que chacun consente aux efforts nécessaires", a-t-il ajouté.
La France et l'Allemagne ont pris l'initiative de réunir mercredi, avant le sommet du G20 à Cannes, les représentants des institutions européennes, du FMI et le Premier ministre grec, "pour examiner les conditions dans lesquelles les engagements pris seront tenus", a conclu le président français.
Thierry Lévêque, édité par Matthieu
Yahoo!Actualités - 01/11/11
Posté par Willy Legrandle 1er novembre 2011
Communiqué de Florian Philippot, Directeur stratégique de la campagne présidentielle de Marine Le Pen
Ainsi que Marine Le Pen l’avait anticipé publiquement, il n’aura pas fallu deux jours pour que l’écran de fumée du dernier Sommet de la zone euro se dissipe. Après le coup de communication de ce nouveau Sommet et le service après-vente de Nicolas Sarkozy sur toutes les chaînes de télévision, le réel reprend une nouvelle fois le dessus : l’accord européen ne convainc pas, les doutes envahissent les milieux financiers sur l’effectivité des mesures annoncées à grand renfort de communication, et les bourses après une euphorie de courte durée semblent à nouveau dévisser. Bref, rien n’est réglé !
Il est même possible que cet accord ne voie jamais le jour, car ce sera aux Grecs d’en décider par référendum. On peut à ce sujet se réjouir de cette première lueur démocratique dans un pays soumis aux pires pressions depuis des mois maintenant, le peuple se voyant en permanence sommé d’accepter l’inacceptable.
Une nouvelle fois, comme lors des précédents Sommets de la zone euro, on a donc délibérément menti aux peuples en leur faisant croire qu’une solution était trouvée. Nicolas Sarkozy a même accepté toutes les folies pour tenter de maintenir cette illusion, allant jusqu’à se mettre à genou devant la Chine.
L’UMP et le PS tentent à tout prix de garder en vie artificielle le système désastreux de l’euro. Mais rien n’y fait : Sarkozy et les admirateurs de la monnaie unique auront beau tout sacrifier pour l’euro, notre modèle social et notre dette y compris, il n’y a aucune solution dans ce cadre.
Seule la fin organisée et concertée de l’expérience malheureuse et ratée de l’euro que préconise Marine Le Pen pourra sortir notre pays et la zone euro de l’ornière et de la crise. Il est temps de cesser l’idéologie et de choisir cette voie pragmatique.
NPI
Des enquêteurs du Conseil des droits de l'homme des Nations unies s'inquiètent des nombreuses arrestations et disparitions de moines bouddhistes tibétains et ont appelé mardi la Chine à mettre un terme à la répression religieuse.
Des forces de sécurité chinoises se seraient déployées dans et autour du monastère de Kirti et dans d'autres monastères de la région d'Aba, située dans la province du Sichuan, dans le centre de la Chine. Des groupes d'exilés rapportent que des moines se seraient immolés par le feu pour protester contre la répression. Le monastère de Kirti compte environ 2.500 moines.
De graves atteintes à la liberté religieuse, d'expression et d'association ont conduit à ce que des centaines de moines quittent le monastère, avec l'arrestation de beaucoup d'entre eux et de nombreuses disparitions forcées», peut-on lire dans un communiqué publié à Genève par des experts indépendants.
Une porte-parole du Haut Commissariat des droits de l'homme a indiqué mardi regretter aussi ces disparitions. «Nous demandons aux autorités de faire ce qu'elles peuvent pour désamorcer la tension et éviter de nouveaux cas», a déclaré la porte-parole de l'agence onusienne, Ravina Shamdasani. Plusieurs régions de la province du Sichuan, qui borde la région autonome du Tibet, ont été le théâtre d'immolations de moines bouddhistes au cours des derniers mois.
Des pirates informatiques perturbent mardi les services internet palestiniens en Cisjordanie comme dans la bande de Gaza, a annoncé le ministre des Télécoms Machour Abou Dakka. «Toutes les adresses IP palestiniennes ont été exposées à une attaque organisée et concentrée venant de l'étranger. Je pense que cela a été organisé par un Etat, c'est mon avis», a déclaré le ministre à Reuters.
Des techniciens du fournisseur d'accès Paltel s'efforcent de résoudre le problème, qui a notamment empêché des usagers de consulter des sites étrangers, a précisé Abou Dakka. Ils auraient notamment identifié des serveurs factices à la source de l'attaque. L'accès au réseau oscille entre «lent et complètement à l'arrêt», a précisé un porte-parole de l'administration à Ramallah.
Dans une interview accordée à l'agence de presse palestinienne Wafa, le ministre a déclaré que l'attaque était liée à l'admission de l'Autorité palestinienne au sein de l'Unesco en tant que membre à part entière.
NPI - 01/11/11