http://www.youtube.com/watch?v=OTo1KH9228Y
Le 10/05/10
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Le 10/05/10
Toute la smala socialiste et ump était venue jouer les pleureuses devant les caméras de télévisions et les journalistes ameutés au cimetière de Tarascon par la clique de l’UMPS, Brice Hortefeux, Michel Vauzelle et la boxeuse Myriam Lamare en tête.
Discours de circonstance sur le racisme, sur le retour de la bête immonde et patati et patata.
Puis séances photos, sourires aux lèvres, larmes séchées, avec les « jeunes » du coin….
Et voilà qu’on apprend aujourd’hui que les méchants profanateurs racistes ne seraient en fait qu’un gamin de 14 ans qui « aurait agit par jeu » et qu’il aurait préféré préféré cibler les plaques musulmanes, plutôt que les croix chrétiennes, plus difficiles à abîmer à coups de pied.
Mais, ce n’est pas tout, on apprend aussi que le « jeune » serait issu d’une famille… maghrébine.
Vauzelle, pourquoi tu tousses ?
NP Info - 11/05/10
Les anciens soldats du Cercle national des combattants, représentant toutes les dernières générations du feu, guerre de 39-45, Résistance, déportation, Libération, Indochine et Algérie, remercient les patriotes français qui, par leur action énergique, n’ont pas permis que le dernier film de M. Rachid Bouchareb, « Hors La Loi », soit présenté au Festival de Cannes dans la sélection française !
Le Cercle national des combattants s’élève une fois de plus contre le fait que des hommes, comme le metteur en scène et les principaux acteurs du film, profitent de leur double nationalité pour abuser les Français, culpabiliser notre pays… et caviarder notre histoire nationale, sous prétexte de « faire connaître la vérité ».
Il est vrai que les auteurs de « ces révisions des événements d’Algérie » trouvent toujours des « historiens patentés », tel M. Benjamin Stora, pour les soutenir d’autant plus « objectivement »… qu’il était hier trotskyste et suppôt des nationalistes algériens !
A force d’encourager la « créativité » et la libre « vision de l’Histoire » par des détraqués et des individus aux idéaux politiques débiles, mais aidés par la « Commission d’avances sur recettes », en arrivera-t-on à voir un jour un film inspiré de la vie de Jeanne d’Arc… fusillée à Orléans par la Das Reich… et agonisant dans les flammes en criant vive la semaine de 30 heures… et la retraite à 40 ans !
Comme il s’agira encore de l’argent des contribuables, ne lésinons pas sur le budget… son bucher serait bien sûr entouré par des milliers de « jeunes » qui… se torcheront glorieusement l’arrière train avec des drapeaux tricolores… et hurleront… Nique ta mère ! Nique la France !
Roger Holeindre
Président du Cercle national des combattants
12/05/10
LISBONNE — Le pape Benoît XVI a plaidé mercredi en faveur des "valeurs" chrétiennes et d'une "saine tradition" au deuxième jour de son voyage au Portugal, pays catholique qui s'apprête à autoriser le mariage homosexuel, avant de s'envoler pour Fatima, "coeur" de son pèlerinage.
Intervenant devant 1.500 intellectuels réunis à Lisbonne, Benoît XVI a dénoncé la culture actuelle qui "absolutise le présent, le détachant du patrimoine culturel du passé et sans l'intention de tracer les contours d'un avenir".
Présentant l'Eglise comme "le grand défenseur d'une saine et haute tradition", il a mis en garde contre le risque, pour "le peuple", de "se perdre dans le labyrinthe du temps et de l'histoire, privé des valeurs clairement établies et sans grands buts clairement énoncés".
Citant en exemple "les inquiétudes et les attentes de l'âme portugaise au milieu des turbulences de la société d'aujourd'hui", le pape a estimé que, pour un pays majoritairement catholique, "la tentative de trouver la vérité en dehors de Jésus Christ s'avère dramatique".
Une heure à peine après avoir prononcé son discours, Benoît XVI recevait le Premier ministre socialiste José Socrates qui, en janvier dernier, avait défendu, en personne, devant le parlement la loi autorisant le mariage homosexuel, destinée selon lui à "réparer des décennies d'injustices faites aux homosexuels".
A l'issue d'une brève audience de 30 minutes, M. Socrates s'est félicité de cette "conversation très agréable" avec "son éminence", titre réservé normalement aux cardinaux.
De son côté, Benoît XVI devait quitter Lisbonne à 16H40 (15H40 GMT) pour gagner en hélicoptère la ville de Fatima, où l'attendent déjà des dizaines de milliers de personnes dans le cadre du traditionnel pèlerinage du 13 mai, commémorant la première apparition de la Vierge, en 1017, à trois petits bergers, Jacinta, Francisco et leur cousine Lucie.
Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé à ces enfants, au cours d'apparitions répétées, "trois secrets" jugés "prophétiques" de l'histoire du 20e siècle.
Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II à Fatima, la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il annonçait l'attentat contre le pape en mai 1981 sur la place Saint-Pierre de Rome.
Mardi matin, dans l'avion qui l'amenait au Portugal, Benoît XVI avait élargi "l'interprétation" de ce secret à la lumière de l'actuelle crise de l'Eglise, en disant qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape", le message de Fatima faisait aussi référence aux "réalités de l?avenir de l'Eglise qui peu à peu se développent et se manifestent".
"Il est vrai qu'au-delà de la personne du pape, ce sont des souffrances de l'Eglise qui sont annoncées", a déclaré Benoît XVI, se référant à la crise qui secoue l'Eglise depuis le début des révélations sur les cas de pédophilie dans le clergé, et surtout sur l'"omerta" de la hiérarchie ecclésiastique qui s'est poursuivie pendant des années.
"Concernant les nouveautés que nous pouvons découvrir aujourd'hui dans ce message, a encore dit Benoît XVI, il y a aussi le fait que les attaques contre le pape et l?Eglise ne viennent pas seulement de l'extérieur mais que les souffrances de l?Eglise viennent précisément de l?intérieur de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise".
Commentant ces déclarations faites juste avant son arrivée au Portugal, le quotidien de référence portugais Publico estimait mercredi que "Benoît XVI a voulu "régler" dès le début une polémique qu'on devinait susceptible d'assombrir son voyage".
Confirmant sa volonté de faire baisser la pression, Benoît XVI s'est autorisé mercredi matin une entorse au protocole, fait rarissime en cinq ans de son pontificat.
Selon le site officiel de la visite (www.bentoxviportugal.pt), le pape a "rompu le protocole et les règles de sécurité" en sortant de sa limousine blindée pour aller saluer des enfants. "Ca a été le délire", a assuré l'évêque auxiliaire de Lisbonne Carlos Azevedo, cité par le site.
AFP. 12/05/10
Cent trois personnes en provenance de Johannesburg sont mortes mercredi matin à Tripoli dans le crash d'un Airbus A330 d'une compagnie libyenne, un accident à l'atterrissage qui a fait un seul rescapé, un enfant de huit ans.
"Nous écartons de manière définitive l'hypothèse que le crash soit le résultat d'un acte terroriste", a déclaré à la presse le ministre des Transports libyen Mohamed Zidane.
"Il y avait 104 personnes à bord, 93 passagers et 11 membres d'équipage", a-t-il précisé, ajoutant que "96 victimes" avaient jusqu'ici été retrouvées.
Un garçon néerlandais de huit ans est le "seul survivant", a poursuivi le ministre, notant encore que les boîtes noires avaient été récupérées.
L'enfant a été hospitalisé à Tripoli et "ses jours ne sont pas en danger", selon le responsable libyen.
Une source médicale a indiqué qu'il avait "perdu beaucoup de sang", et qu'il subissait une opération pour des fractures aux jambes. Mais elle a également noté qu'il était hors de danger.
A La Haye, la Fédération nationale du tourisme (ANWB) a confirmé qu'un enfant néerlandais avait survécu, au contraire de 61 autres ressortissants. Plus prudent, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que la nationalité du garçon était à confirmer.
Le ministre Zidane a souligné que les nationalités des passagers seraient précisées "dans la journée".
Selon une source au sein de la compagnie aérienne, deux Allemands se trouvaient à bord. Londres a de son côté annoncé qu'il étudiait "de manière urgente" les informations sur la présence de Britanniques.
L'avion d'Al Afriqiyah s'est écrasé à 06H00 (04H00 GMT) à son atterrissage. L'A330, un appareil neuf, avait été acquis en septembre 2009, selon M. Zidane.
Les membres de l'équipage étaient tous de nationalité libyenne, selon une source aéroportuaire.
"L'avion a pris feu juste avant l'atterrissage", selon une source au sein des services de sécurité de l'aéroport.
Selon un journaliste de l'AFP, l'appareil s'est entièrement disloqué et des milliers de débris étaient éparpillés sur une vaste zone, à 500 m environ du bout de la piste d'atterrissage.
L'arrivée du vol d'Al Afriqiyah était annoncée pour 06H10 (04H10 GMT) à l'aéroport, situé à une vingtaine de kilomètres de Tripoli.
D'après le journaliste de l'AFP, les conditions météorologiques étaient bonnes à ce moment-là.
L'entreprise chargée de gérer les affaires d'Al Afriqiyah en Afrique du Sud a relevé que l'avion avait passé tous les contrôles de sécurité avant le départ. "La compagnie avait un bon bilan en terme de sécurité", a déclaré Charmaine Thomé, directrice pour l'Afrique australe du groupe allemand Aviareps, spécialisé dans le transport aérien et le tourisme.
AFP. 12/05/10
Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja, présidente de l’association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l’égard des Français. Il s’agissait de l’emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ».
Le juge d’instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c’est-à-dire celui de son lieu de domicile.
Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.
Par ailleurs, la procédure contre le livre « Nique la France » édité par l’association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française est en cours.
AGRIF
70 Bd Saint Germain
75005 PARIS
Tél: 01.40.46.96.31
Fax: 01.40.46.96.47
Le 11/05/10
Un journaliste américain, le plutôt sérieux (d’ordinaire) Jonathan Alter prétend avoir la réponse à l’une des questions que nous nous posons tous: mais que se racontent donc les «premières dames» quand elles se rencontrent en privé, comme dernièrement encore dans les appartements des Obama à la Maison Blanche, loin des yeux et oreilles des journalistes. Et bien voilà: selon Jonathan Alter, dans son livre The Promise : President Obama, Year One, à paraître le 18 mai aux Etats-Unis, Carla Bruni aurait raconté à Michelle Obama avoir déjà fait attendre un important chef d’Etat (la Reine d’Angleterre, spéculent déjà les médias britanniques tout émoustillés) parce qu’elle était occupée à faire l’amour avec Nicolas Sarkozy. «Bruni voulait savoir si, comme les Sarkozy, Michelle et le président ont déjà fait attendre quelqu’un de cette façon, écrit Jonathan Alter dans son livre. Michelle a eu un petit rire nerveux et a répondu non.» Toujours selon l'auteur, Carla Bruni se serait aussi amusée à «raconter à des amis comment elle avait choqué Michelle Obama lors de leur première rencontre» en racontant que «la pression des affaires de l'Etat empêchaient son mari de lui faire l'amour autant qu'elle le voudrait.»
"L’information" est déjà très reprise aux États-Unis, où précédemment on s’était déjà pas mal intéressé aux "rumeurs" sur les à-côtés conjugaux des Sarkozy. Et pour une fois, les commentaires des internautes américains sont souvent plutôt admiratifs de notre couple présidentiel : «Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir des hommes politiques comme celui-ci dans notre pays. Il a mon vote», lit-on par exemple sur le site du Huffington Post. Ou encore : «J’aime les Français et Miss Bruni. Ils ont leurs priorités claires. La Reine n’est pas importante. Elle peut attendre!», «J’aime les Français, de plus en plus chaque jour». Merci à Jonathan Alter et à Carla Bruni, ce n’est pas tous les jours qu’on apprécie les Français à leur juste valeur sur le web américain...
Great America - L'Amérique découverte par la correspondante de Libération à Washington, Lorraine Millot - 10/05/10
Un gynécologue de Nancy a été condamné par la Cour d’appel à 15.000 euros pour dommage moral pour avoir fait perdre à sa patiente une "chance d’interrompre sa grossesse" faute d’information, a-t-on appris mardi de l’avocat de la plaignante.
Celle-ci, âgée de 32 ans, a accouché en 2003 d’un enfant très lourdement handicapé, après avoir fait plusieurs fausses couches dans le passé. "Or, ces fausses couches révèlent souvent une anomalie génétique", a expliqué son avocat, Me Gérard Michel.
"Lorsqu’on a des suspicions, le gynécologue doit prescrire un caryotype, c’est-à-dire une recherche d’anomalies génétiques", a-t-il poursuivi.
Le gynécologue, qui avait conseillé cet examen avant la grossesse, l’avait toutefois estimé inutile après la conception de l’enfant, "considérant qu’il n’y avait alors plus de problème", précise Me Michel.
En première instance, en 2007, le tribunal de grande instance de Nancy avait refusé d’indemniser la mère de l’enfant, "arguant que l’on ne peut se prévaloir d’un préjudice du fait de la naissance", explique Me Michel.
Le Figaro - 11/05/10
JERUSALEM — Israël célèbre à partir de mardi soir le 43ème anniversaire de la "réunification" de Jérusalem, terme israélien désignant l'annexion de la partie arabe de la ville en juin 1967 après sa conquête lors de la guerre israélo-arabe la même année.
Cette annexion de facto a été complétée par le vote, le 30 juillet 1980, d'une "loi fondamentale" proclamant Jérusalem "réunifiée et capitale éternelle d'Israël".
Des cérémonies officielles doivent se dérouler mardi soir et mercredi à Jérusalem, en présence des principales personnalités de l'Etat hébreu.
Par ailleurs, des concerts se dérouleront en plein air dans la partie ouest de la ville, avec notamment la présence de musiciens venus de l'étranger, comme le groupe américain de funk Kool and the Gang.
Comme chaque année, des milliers de personnes, en majorité des juifs nationalistes religieux, participeront mercredi à une marche à travers la ville en direction du Mur des lamentations, situé dans la Vieille ville et l'un des lieux les plus sacrés du judaïsme.
L'annexion de Jérusalem-Est, suivie par des constructions massives de quartiers de colonisation, n'a jamais été acceptée par la communauté internationale.
La question de Jérusalem est l'une des principales pierres d'achoppement des pourparlers entre Israël et les Palestiniens.
Les Palestiniens veulent faire de Jérusalem-Est la capitale de leur futur Etat tandis que les Israéliens considèrent la ville dans son ensemble comme leur capitale "éternelle et indivisible".
AFP. 11/05/10
Près de 150 sépultures ont été vandalisées, dans la nuit du 6 au 7 mai, dans l’ancien cimetière communal de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).
L'Assemblée nationale a renforcé mardi les mesures de sécurité à l'entrée ainsi qu'à l'intérieur du Palais-Bourbon en raison de l'examen de la résolution parlementaire contre le port du voile intégral.
Mardi, les députés examinent en effet une résolution stipulant que le voile intégral est contraire aux valeurs républicaines. Cette étape est assez consensuelle puisque la majorité et les députés PS et PRG voteront la proposition de résolution UMP. Seuls les députés PCF -à l'exception d'André Gerin, à l'intiative de la commission d'enquête parlementaire sur le voile intégral- refusent cette «opération de politique politicienne» qui stigmatise les musulmans. De plus, la résolution, nouvelle procédure parlementaire issue de la révision constitutionnelle de 2008, n'a pas force de loi ni pouvoir contraignant.
Le mercredi 19 mai, le projet de loi du gouvernement sera présenté en Conseil des ministres. Le texte actera l'interdiction du port du voile intégral dans tout l'espace public, y compris dans la rue. Il stipulera que «nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage» sous peine d'une amende de 150 euros.
Le texte sera ensuite examiné par les députés en juillet. En cas d'approbation, la France deviendrait le deuxième pays européen après la Belgique à interdire le voile intégral dans tout l'espace public.
Le parisien avec AFP- 11/05/10
La quatrième personne soupçonnée d'être le principal agresseur de la conductrice de bus frappée dimanche soir à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a été interpellée et placée en garde à vue lundi soir. Agée de 18 ans, cette jeune femme originaire d'Aulnay-sous-Bois devrait être déférée au parquet ce mardi soir.
Selon une source proche de l'enquête, elle a reconnu avoir les faits.
Dimanche soir, à Aulnay-sous-Bois, une conductrice de bus de la compagnie TRA qui dessert 24 des 40 communes de Seine-Saint-Denis avait été rouée de coups parce qu'elle avait refusé de déposer ses «passagères» dans un secteur ne correspondant pas à l'itinéraire.
Blessée, elle a été emmenée par les secours aux urgences où elle a reçu la visite du nouveau préfet, Christian Lambert. Elle a pu rentrer chez elle en fin de soirée, en état de choc. La circulation sur la ligne 610 a aussitôt été interrompue. Les autres bus sont rentrés au dépôt dans la foulée, à Villepinte, où s'est tenu un Comité d'hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire. Ce mardi, le trafic a repris mais uniquement jusqu'à 19 heures.
Trois mineures suspectées d'avoir participé à l'agression avaient été arrêtées dans un premier temps puis relâchées.
Le Parisien - 11/05/10
"Placée dans l'histoire, l'Eglise est disposée à collaborer avec celui qui ne marginalise pas ou ne réduit pas au domaine privé la considération essentielle du sens humain de la vie", a déclaré le pape dans un discours devant le président portugais Anibal Cavaco Silva.
Avant lui, le président Cavaco Silva, catholique pratiquant, avait rappelé qu'au Portugal, pays très majoritairement catholique, "la séparation entre l'Eglise et l'Etat cohabite avec les marques profondes de l'héritage chrétien", présentes dans "sa culture, son patrimoine et surtout, dans les valeurs humanistes" qu'il défend.
AFP. 11/05/10
Le premier Ministre François Fillon a annoncé un gel en valeur des dépenses de l’Etat sur trois ans, une baisse de 10% des dépenses de fonctionnement (entre 800 million et 900 millions d’euros) et 5 milliards d’économies sur les niches fiscales. Le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux est en outre confirmé. L’objectif est de ramener le déficit de 8% du PIB en 2010, à 6% en 2011, 4.6% en 2012, et 3% en 2013, soit 95 milliards d’économies en trois ans. Or l’immigration extra-européenne coûte à elle seule 36 milliards d’euros par an à la France !
En France, selon Yves-Marie Laulan, il ressort, pour l’immigration et l’intégration, toutes catégories de dépenses confondues : scolarité, logement, lutte contre la délinquance juvénile et maintien de la sécurité, chômage et santé, aides sociales, etc… un coût net (différence dépenses – recettes) de 24 milliards d’euros pour ce qui concerne l’immigration et de 12 milliards d’euros pour l’intégration. Loin d’être une chance pour la France, cette immigration est une immigration de chômage et de précarité. 40% des étrangers qui arrivent en France s’inscrivent à l’ANPE.
Immigration de chômage
Selon le ministre Brice Hortefeux : « Sur cinq étrangers qui sont en France, il n’y en a que deux qui travaillent : une femme sur trois, un homme sur deux. C’est pourquoi il faut limiter l’immigration ». Les clandestins bénéficiaires de l’AME (Aide médicale de l’Etat) coûtent plus chers, 2500 euros par an, selon une enquête lancée par l’Inspection générale des finances et celle des affaires sociales, qu’un assuré normal de la Sécurité sociale, 1500 euros par an, en raison d’une « surreprésentation » de maladies telles que tuberculose, hépatite virale et sida, soit un gouffre de 800 millions d’euros par an payé par la solidarité nationale pour 190 000 personnes représentant à elles seules 8 fois le nombre des expulsions annuelles. Un système social excessivement généreux garantit un niveau de vie minimal à tout un chacun, même sans travail, sans compter l’aide médicale gratuite, l’aide au logement, la scolarité gratuite, les allocations familiales, même en faveur des ménages polygames. Selon le Président Sarkozy, « 7% seulement de l’immigration en France aujourd’hui, est une immigration de travail ». La France régresse parce qu’elle accueille une immigration d’ « allocations » et non pas de travailleurs qualifiés, de cadres éduqués ou d’entrepreneurs. Il y a le risque d’implosion budgétaire et sociale.
Les Français doivent donc payer pour la santé de populations d’origine extra-européenne clandestines ou non qui représentent à terme un danger pour leur identité et leur sécurité alors qu’ils n’arrivent même pas à boucler le budget de la sécurité sociale, en raison du vieillissement de la population et de la prise en charge des longues maladies à 100% que l’on commence à vouloir remettre en question. L’hébergement d’urgence coûte un million d’euros par jour à l’Etat. Les 42 milliards d’euros devant être déversés par l’Etat français de 2003 à 2013 sur les 751 quartiers sensibles ( Plan Borloo) relèvent d’ un gaspillage à l’efficacité incertaine et décevante, selon un rapport 2007 de la Cour des comptes ; cela fait dix sept ans que dix ministres de la ville se sont succédés au chevet des quartiers, chacun avec leur plan miracle de la dernière chance ; en 2006, l’Etat, les collectivités territoriales, la Caisse des dépôts et consignations et l’Union européenne ont consacré 7,2 milliards d’euros pour les quartiers sensibles ( médiations familiales, maintien de la sécurité, aides à l’emploi, prévention de la délinquance et rénovation urbaine) ; le taux de chômage des jeunes reste élevé jusqu’à 40% dans les quartiers et l’argent de la ville n’a pas résolu les problèmes de niveau scolaire, de discrimination, ou de sécurité. Force est de reconnaître que le caractère extra-européen de ces populations donne à un grand nombre de Français le sentiment de financer à fonds perdus une partie du Tiers-Monde. Et pourquoi pas toutes les populations de l’Afrique, de l’Asie et des pays émergents, tant qu’on n’y est, au nom des droits humanitaires et des droits de l’homme ? Le chiffre minimum de 36 milliards d’euros du coût annuel de l’immigration extra-européenne en France pourrait même être, selon d’autres estimations, beaucoup plus important ! Ce chiffre minimum représente 80% du déficit public, plusieurs fois le « trou » de la Sécurité sociale, 90% du budget de la défense nationale…
Contrairement à la situation d’il y a 30 ans, la France d’aujourd’hui, pour croître et se moderniser, a surtout besoin d’emplois qualifiés et rémunérateurs : ingénieurs, techniciens et cadres de haut niveau. Mieux vaudrait avoir quelques brillants sportifs et footballeurs de moins et accueillir une population éduquée s’assimilant facilement tout en donnant à la France des entrepreneurs et quelques Prix Nobel. La quasi-totalité des migrants légaux ou illégaux du Tiers Monde qui n’ont aucune qualification viennent peser sur les politiques sociales et salariales, tirent vers le bas la productivité moyenne française et entrent directement en concurrence avec les travailleurs moins qualifiés européens victimes des délocalisations. Il est donc permis de penser que les populations issues de l’immigration extra-européenne, loin de contribuer à « financer les retraites », risquent fort de les ponctionner.
Coût sociaux
Au coût économique s’ajoute les coûts sociétaux invisibles tels que les difficultés de fonctionnement de nombreux établissements de l’éducation nationale ou hospitaliers, la violence et la criminalité dans certaines banlieues au climat insurrectionnel larvé, sans même aborder la question du terrorisme. Selon l’observatoire national de la délinquance (OND), la police et la gendarmerie ont enregistré, en 2007, 433 000 atteintes à l’intégrité physique, soit près du double du chiffre -223 030- de 1996. Et ce sont surtout les violences physiques gratuites non crapuleuses dont le nombre explose (223 000 actes en 2007 dont 44 500 hommes mineurs et 7470 adolescentes filles !) ; 60 professeurs sont agressés en France chaque jour ; la République pusillanime ne supprime pas les allocations familiales aux parents dont la violence de leurs enfants délinquants ne respecte pas le contrat social d’intégration et elle ne fait pas payer les parents pour les dommages commis par les jeunes fauteurs de trouble ou incendiaires Selon Synergie, deuxième syndicat d’officiers de police, 11 000 policiers ont été blessés et huit tués en France en 2006 ; plus de 45 000 voitures ont brûlé en 2007 ; ces chiffres interloquent et donnent envie d’abréger les longs discours des belles âmes irresponsables ! Cela revient à poser le problème du rétablissement de l’état de droit sur l’ensemble du territoire français, sachant que 21% des détenus sont étrangers et 50% de religion musulmane ; à Paris, les Européens ne représentent que 37% des délinquants. La République française veut elle vivre dès la fin des années 2010, si rien n’est fait pour stopper l’immigration extra-européenne, une insécurité de type brésilien avec attaques dans la rue, « enlèvements express » (le temps pour la victime de retirer de l’argent à un guichet), un braquage d’automobilistes toutes les 12 minutes à Rio de Janeiro, 6000 homicides et 4000 disparus par an dans le seul Etat de Rio ? La France crée aujourd’hui des emplois sécuritaires qui font baisser les statistiques du chômage, mais peu satisfaisants quant à l’avenir économique du pays ; l’économie hexagonale emploie environ 500 000 personnes dont 251 000 policiers et gendarmes de l’Etat français, vigiles, gardiens, etc., dans le domaine de la sécurité et du maintien de l’ordre, soit plus du double qu’il y a quelques années. Il serait préférable d’investir ces ressources gaspillées dans la recherche, l’innovation, les biotechnologies, les nouveaux matériaux, le développement des industries et des emplois de demain.
Conclusion :
La rigueur ne doit pas être seulement budgétaire en continuant à accueillir actuellement en France 250 000 personnes immigrées par an (dont environ 50 000 clandestins ), mais d’abord identitaire ! Avec un gouvernement socialiste ce serait environ 450 000 immigrés par an ! Les premières mesures de rigueur budgétaire doivent commencer par le retrait du Conseil de l’Europe à Strasbourg et de la ruineuse « machine infernale » droit de l’hommiste destructrice de notre identité collective au nom de pseudo-droits individuels, un arrêt total de l’immigration extra-européenne avec une politique de l’immigration zéro et une incitation au retour des populations immigrées mal assimilées dans leurs pays d’origine.
Marc Rousset
Auteur de La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou Editions Godefroy de Bouillon
09/05/2010
Correspondance Polémia 10/05/10
Le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Malki, a regretté le feu vert de l'organisation. "L'accord de l'OCDE à l'adhésion d'Israël est une bataille que nous avons perdue", a-t-il dit à l'AFP, affirmant avoir envoyé des lettres aux pays membres pour leur enjoindre de reporter l'entrée d'Israël.
"Cette décision est en complète opposition avec les principes fondateurs de l'organisation, qui a accepté un Etat occupant violant quotidiennement les droits de l'Homme et le droit international", a-t-il déploré.
M. Malki a en outre accusé Israël d'avoir intégré les colons juifs installés dans les territoires palestiniens aux statistiques présentées à l'OCDE, "ce qui est contraire au droit international".
A Gaza, le porte-parole du Hamas Taher al-Nounou a estimé qu'"accepter Israël en tant que membre est l'équivalent d'une récompense pour ses crimes contre notre peuple".
Omar Barghouthi, du mouvement international pro-palestinien BDS a estimé que l'accord de l'OCDE constituait "un revers stupéfiant pour la responsabilité légale et le respect des droits de l'Homme".
En mai 2007, Israël avait entamé des démarches pour devenir membre à part entière de l'OCDE, à la suite d'une invitation en ce sens lancée simultanément au Chili, à l'Estonie, à la Russie et à la Slovénie.
Le Figaro - 10/05/10