GAELLE MANN - Page 233
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Le santon de Marseille mis à l'honneur sur le Vieux-Port
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Donald Trump 45e président des Etats-Unis : La libération des peuples de l’occident chrétien en marche
Il fallait être prudent. Surtout dans cette tempête mondiale déclenchée par une gauche exaspérée, sûre de son bon droit, presque assurée de l’établissement définitif (au sens de la fin de l’histoire d’un certain Fukuyama) d’un gouvernement mondial destiné à régir ad vitam aeternam le monde terrestre.
Cette utopie, fondée sur la recherche de la paix perpétuelle, cherchant à défaire l’homme pour le reconstruire façon bionique, n’a plus besoin d’un être prônant l’honneur et indépendant au pouvoir, mais de n’importe quelle marionnette avide et obéissante puisqu’en effet son pouvoir ne sera plus qu’apparent. Celle-ci était incarnée par Hillary Clinton, et le peuple américain s’est enfin réveillé d’un long cauchemar en élisant Donald J Trump.
Cependant, la moitié des habitants des Etats-Unis, pas tous citoyens et souvent de fraîche date, ont tant sombré dans le nihilisme et la perte du sens, en bons socialistes irresponsables et un peu pervers, qu’ils ne songent plus qu’à s’appuyer sur l’état fédéral pour jouir sans entrave. A ce titre d’ailleurs ils ont depuis longtemps oublié la maxime de John Kennedy : « Au lieu de vous demander ce que l’Amérique peut faire pour vous, demandez-vous ce vous pouvez faire pour l’Amérique » ce qui prouve la dérive d’un parti démocrate qui ne sait plus d’où il vient ni ce qu’il est devenu.
Cette frange importante est concentrée, il faut le dire, sur la côte ouest et particulièrement en Californie. C’est là, et là seulement, qu’Hillary Clinton trouva une majorité qui lui donna l’illusion d’être la lauréate du « vote populaire ». Mais ce n’est pas un « peuple » qui vit là, c’est même l’opposé d’un peuple et d’une nation. Il s’agit d’un ensemble d’habitants sans grand lien les uns avec les autres, pas même une langue commune, et avec un seul hymne, ce tube de Michaël Jackson « We are the world ». Cette antienne que l’on vient d’entendre chantée à Berlin, après l’attentat islamique, par ceux des Allemands qui ne veulent plus être pour ne plus avoir à lutter pour cela.
Donc, Donald Trump, l’homme de l’action, du penser pour faire, et de l’honneur d’être américain, a finalement remporté tous les comtés qui valent la peine qu’on se soucie d’eux, dans un raz de marée qui rougit la carte des Etats-Unis ne laissant qu’un archipel bleu à Clinton, raflant 306 électeurs contre 232.
Mais pour la gauche, la démocratie cesse d’être légitime dés lors qu’elle perd. Elle essaya donc de délégitimer le président-élu. D’abord par des violences insensées, ensuite par des recomptages indus qui augmentèrent les voix de Trump, ensuite par le harcèlement mêlé de menaces de mort des électeurs chargés de confirmer, aux capitoles de leurs états respectifs, la volonté de leurs concitoyens.
Il ne reste que deux armes entre les mains d’Obama :
Tout d’abord, mener jusqu’au 20 janvier sa politique de destruction du peuple et de la constitution des Etats-Unis. Et c’est ainsi qu’en Ukraine et en Pologne, il amasse des troupes et des chars, cautionne les bombardements des zones civiles du Dombass, qu’il a fait avancer une résolution contre l’état d’Israël au Conseil de Sécurité des Nations Unis à laquelle il n’opposera pas son veto, et qu’il a levé toutes les protections des gardes-frontières postés au Mexique, permettant à des milliers d’envahisseurs d’entrer aux Etats-Unis avant l’inauguration de la présidence Trump.
Enfin, appuyer la conspiration de cénacles de la CIA pour travestir une nouvelle politique mondiale de Donald Trump en intelligence avec l’ennemi russe et préparer, comme l’a annoncé Michaël Moore, une gigantesque perturbation de la cérémonie d’investiture du nouveau président.
Barack Hussein Obama frise par là la forfaiture puisqu’il agit contre la volonté du peuple américain, et met la nation en danger alors qu’il n’a plus de légitimité et qu’il devrait se contenter d’expédier les affaires courantes.
Nous sommes au bord d’un précipice. Partout dans le monde qui nous est cher, celui de l’ère de romanité qu’est le monde occidental, l’année 2017 sera celle du réveil des peuples. Mais cela ne se fera que « Durch eisen und blut » (Par le fer et par le sang) comme l’avait prédit Bismarck à propos de l’unité allemande.
Que chacun le sache et œuvre à la grande solidarité de nos peuples d’Amérique, d’Europe, de Russie et d’ailleurs dans le monde.
Le Comité Trump France continuera dans cette voie en assurant une ligne défendant l’alliance et la souveraineté de nos pays contre la barbarie et la trahison. Celle de ceux qui veulent leur voir cesser de jouer leur rôle dans le monde en sortant de l’Histoire.
Nous maintiendrons.
Que chacun considère ce Noël comme celui de la résistance et de la renaissance.
NDF
NdB: Un très bel article. Que son auteur soit félicité!
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Les Lilas : Laforêt suspend la franchise de l’agence à l’annonce raciste
||28 décembre 2016, 20h03|20L’agence des Lilas avait proposé à la location un appartement de Levallois dont la fiche technique mentionnait «nationalité française obligatoire, pas de noirs ». Le Conseil représentatif des associations noires (Cran) prévoit de son côté d'intenter une action en justice collective.
Conséquence de l’annonce raciste diffusée en masse sur les réseaux sociaux mardi, le groupe Laforêt a annoncé ce mercredi après-midi qu’il suspendait la franchise de l’agence des Lilas (Seine-Saint-Denis) d’où émanait une fiche technique mentionnant «nationalité française obligatoire, pas de noirs ». Cette annonce avait été repérée par un jeune homme qui visitait un appartement à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) fin novembre.
« La gravité des faits nous conduit à suspendre à partir d’aujourd’hui ce contrat de franchise en attendant le résultat d’une enquête disciplinaire en cours », précise le groupe Laforêt, écrivant que « tous ses mandats de location et de gérance comportent des clauses rappelant l’interdiction faite au propriétaire de refuser une location pour un motif discriminatoire ». « Au cours de ces prochaines semaines, nous mènerons une réflexion, en concertation avec l’ensemble des franchisés du réseau Laforêt, sur les mesures à prendre pour que cela ne se reproduise plus », précise encore l’enseigne.
Ce mercredi toujours, le Conseil représentatif des associations noires (Cran) a annoncé intenter une action en justice collective contre l’agence des Lilas. Une première d’après l’association. « Il faut qu’un maximum de personnes se manifestent. Souvent, ce n’est pas que les gens ne veulent pas se défendre, c’est qu’ils ne peuvent pas. Cela coûte cher alors ils laissent passer. Il ne faut pas », encourage le chargé des relations police, justice et société civile du Cran. Ghyslain Vedeux explique que l’action collective permet ainsi de partager les frais de justice.
Le maire (PS) des Lilas s’est également fendu d’un communiqué déplorant que l’image de la commune « soit ternie par cette affaire » : « Au regard du préjudice qu’elle subit, elle souhaite que toute la lumière soit faite, avec célérité, et que les manquements éventuels soient punis comme il se doit », réagit Daniel Guiraud.
Contacté, le responsable de l’agence n’était pas en mesure de nous répondre ce mercredi soir.
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JOURNAL TVL DU 28/12/16 - Immigration: le droit d'asile explose en 2016
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Demandeurs d'asile: la France sous pression
+ Infographie détaillée
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A Beaucaire, le maire FN crée une rue "du Brexit"
Par Guillaume Descours
Mis à jour le 27/12/2016 à 16h43LE SCAN POLITIQUE - L'élu a voulu rendre hommage au choix des Britanniques de sortir de l'Union européenne. L'artère ainsi nommée côtoie la rue Robert-Schumann et l'avenue Jean-Monnet, deux des pères fondateurs de l'UE.
La ville de Beaucaire, dans le Gard, a choisi de nommer une artère de la commune «rue du Brexit». Cette décision a été prise le 21 décembre dernier lors d'un conseil municipal, par 23 voix contre 9. Un nom de rue qui rend «hommage au choix du peuple britannique qui a voté en faveur d'une sortie de l'Union européenne l'été dernier» explique le maire Front national de la ville, Julien Sanchez, contacté par Le Figaro.
La rue en question était sans nom depuis plusieurs années. Elle est «située dans une zone industrielle. Nous avons voulu rester dans la thématique du quartier qui est celle de l'Europe», reprend le maire. Paradoxalement, cette rue du Brexit sera adjacente à la rue Robert-Schumann et à l'avenue Jean-Monnet. Deux hommes considérés comme des fondateurs de l'Union européenne. Pour autant, Julien Sanchez n'y voit aucune provocation et ne craint pas un recours devant le tribunal administratif qui pourrait être soulevé dans un délai de deux mois. «Même s'il y a un recours il n'a aucune chance de l'emporter. On n'a pas créé une rue Pol Pot ou Klaus Barbie. On a simplement choisi de rendre hommage à un peuple souverain et à des dirigeants qui ont assumé leurs responsabilités», déclare le maire frontiste.
Consternation de l'opposition
À l'opposé, les élus d'opposition ont fait part de leur consternation. «C'est une provocation de plus. Le maire avait pour but de faire parler et de distiller son idéologie. C'est réussi. À ma connaissance il n'y aura pas de recours car le nom de cette rue ne remet pas en cause la tranquillité publique», a indiqué Stéphane Linossier, président de l'association Réagir pour Beaucaire.
La rue qui devrait être inaugurée d'ici «trois semaines à un mois», a été bien accueillie outre-Manche. Selon le maire, la municipalité a reçu de nombreux messages de remerciement. Du côté de la population beaucairoise, le nom de la rue n'a pas soulevé de débat, expliquent aussi bien l'édile que le président de l'association. «Beaucaire est une terre d'eurosceptiques», explique Julien Sanchez. Lors du référendum du 29 mai 2005 sur le traité établissant une constitution pour l'Europe, le non avait obtenu 72,3% des voix dans la ville du Gard.
À VOIR AUSSI - Nicolas Bay se félicite du vote favorable des Britanniques au Brexit:
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JOURNAL TVL DU 27/12/16
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Nicolas Bay répond aux questions de Pierre Weill
Nicolas Bay répond aux questions de Pierre Weill par franceinter -
Gilles-William Goldnadel revient sur l'attentat contre le marché de Noël de Berlin. Pour lui, cette tragédie révèle une nouvelle fois «la candeur occidentale» face à l'islamisme.
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel revient sur l'attentat contre le marché de Noël de Berlin. Pour lui, cette tragédie révèle une nouvelle fois «la candeur ocidentale» face à l'islamisme.
Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain. Il est président de l'association France-Israël. Toutes les semaines, il décrypte l'actualité pour FigaroVox.
À longueur d'articles, je professe l'idée , assez ingrate, que notre environnement politico-médiatique relève, littéralement, de la psychopathologie collective. Autrement dit souffre d'une folie post-traumatique héritée du choc de la deuxième guerre mondiale.
La consternante tragédie autour du massacre du marché de Noël de Berlin apporte, une fois de plus, la triste démonstration comportementale d'une candeur occidentale maladive , en quatre actes dignes d'une mauvaise farce .
Acte 1. Assassin et réfugié. Il s'appelle Anis Arsi. Il quitte sa Tunisie au moment où son dictateur Ben Ali en est chassé par une révolution du jasmin dont le parfum printanier arabique exhale de ses odeurs enivrantes les narines progressistes extatiques. Comme réfugié migrant ayant droit au bénéfice d'un droit d'asile obligatoire, on pouvait trouver mieux.
Connaissant la triste mélopée à seriner à l'oreille des benêts, il se prétend mensongèrement mineur non accompagné. Pour témoigner de sa gratitude aux siciliens dont chacun loue la chrétienne hospitalité, il poursuit ce qu'il n'a jamais cessé: le vol. Il n'est pas pour si peu renvoyé dans son pays.
Acte 2. L'Allemagne nouvelle et généreuse. Il y poursuit ses activités volantes sans désemparer. Les autorités fédérales, un peu lasses de ses pratiques, demande à la Tunisie de leur confirmer qu'il est bien un de leurs compatriotes.
Les autorités de Tunis, conformément semble-t-il à un comportement fréquent, le nient effrontément . Elles le reconnaitront comme compatriote immédiatement après le massacre… Au reste, l'expulsion du délinquant d'habitude se serait révélée aléatoire. Bien que les fonctionnaires germaniques s'efforcent de faire admettre que les pays du Maghreb sont des contrées de retour «sûres» pour les expulsés, au sens juridique du droit d'asile, les députés Verts allemands le contestent au regard de la situation des homosexuels en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Arrêt sur cette image de la névrose islamo-gauchiste: les mêmes qui minimisent ordinairement l'islamohomophobie pour ne pas être islamophobes, la surestiment extraordinairement pour empêcher l'expulsion des islamistes et des délinquants. Folie douce.
Mais Anis Arsi, le futur assassin en série, n'est pas seulement un délinquant récidiviste, il est constamment dans le viseur de l'antiterrorisme allemand, au regard de ses fréquentations djihadistes. En raison d'un juridisme étroit et culpabilisé, il ne sera pas inquiété pour autant et pourra commettre le massacre des innocents en toute tranquillité. Folie dangereuse.
Acte 3. La fuite. Un ministre Vert de Hambourg du nom de Till Steffen décide de retarder l'avis de recherche du bourreau de Berlin, pour ne pas «stigmatiser» les musulmans. On aurait tort de se moquer du Vert d'outre-Rhin. Nos rouges bien de chez nous ne valent pas mieux. De M. Hamon qui explique doctement que les femmes de Trappes sont interdites de café en raison «d'une tradition ouvrière» à mademoiselle Autain qui va boire un coup dans un bar strictement garanti sans femme pour prouver qu'il y en a au moins une.
Suite et fin de la cavale de notre Anis. Il est mis, enfin, hors d'état de nuire dans une rue de Milan. Notre ministre de l'intérieur diplômé, mais certainement pas de géographie, appelle à la plus grande prudence ceux qui prétendent, pour illustrer la porosité des frontières nationales en période d'alerte maximale, qu'il serait passé sans encombre par notre pays. C'est donc que Chambéry, où il a été repéré, n'est plus en France, par décret ministériel.
Acte 4. La morale médiatique pavlovienne en fond sonore. Il est grandement à craindre que ce sur quoi je suis en train d'ironiser, sans doute pour exorciser ma tristesse et ma colère, sera dénué de toute portée curative.
À chaque tuerie, une analyse clinique des causes évidentes et indiscutées, devenu rituelle, est rapidement oubliée. C'est tellement loin, le Bataclan, l'hyper kasher, Nice, Saint-Pierre du rouvrais… demain Berlin sera lointain.
Les commentaires médiatiques pendant que l'assassin de Berlin courait encore et qu'on ignorait son identité, comme à chaque fois, étaient davantage dirigés contre ceux qui mettaient en cause la dangerosité du phénomène migratoire, que vers l'assassin ou ses victimes. Sauf lorsqu'il s'agissait d'admirer la lueur vacillante d'une bougie.
Malheur à ceux qui avaient, un peu vite, tirer argument de l'arrestation d'un afghan innocent. Après tout, on pouvait encore espérer peut-être quelque chose de l'extrême droite allemande...
L' Obs restait toujours aux aguets. Le pauvre ne s'était toujours pas remis de cet article du 5 août 2015 intitulé doctement: «huit idées reçues sur les migrants» parmi lesquelles, à combattre sans répit, la sotte selon laquelle ils seraient «peu éduqués» et surtout celle, encore plus monstrueusement fausse, qu'il y aurait «des terroristes parmi eux».
Un argument ,subsidiaire, était distillé sans grande modération. Les migrants n'étaient pas toujours responsables des derniers attentats.
La preuve indiscutable: à côté de ceux responsables, il est vrai, de certains attentats en France comme en Allemagne, il y avait aussi les Merah, les Nemmouche, les Coulibaly, les Kouachi…
Admirez , je vous prie, l'argument. Presque patriotique. Défense de craindre la migration islamique ou de s'en plaindre, puisque l'immigration islamique, mais de facture française, est également responsable des autres attentats. On peut donc encourager la première sans appréhension pour renforcer la seconde sans prévention.
Malheur encore à ceux qui avaient le goût abject de vouloir, tels des vautours au-dessus d'un cadavre, «récupérer» l'attentat de Berlin pour en tirer, une nouvelle fois, une leçon politique.
On peut, on doit conclure à la montée du racisme lorsqu'un comorien est jeté dans la Seine. On peut, on doit conclure à la montée dangereuse de l'extrême droite lorsque Clément Meric meurt dans une rixe entre fascistes bruns et fascistes rouges. On peut, on doit conclure à la brutalité étatique lorsque le manifestant Rémi Fraisse est tué involontairement par une grenade. On peut, on doit exiger immédiatement, on obtient, la fermeture des centrales nucléaires au lendemain de la catastrophe de Fukushima, au nom du principe de précaution. Mais interdiction de conclure à la dangerosité de migrants manipulés par l'État islamique, à la suite d'un énième attentat, sous peine d'une immonde récupération .
Voilà pourquoi, les corps des innocents de Berlin, à peine ensevelis dedans la terre froide, on peut d'ores et déjà le prophétiser, ne seront pas les derniers. Le comportement largement inconscient et désormais automatique d'un personnel politique et médiatique d'une candeur maladive revient à abandonner les populations à une insécurité physique et sociétale confondante.
Il en faudra encore du temps, des morts et des combats pour que l'islamo-gauchisme névrotique soit clairement diagnostiqué pour ce qu'il est: Une perversion masochiste occidentale alimentant une hystérie sadique et paranoïaque orientale.
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La folle cavale meurtrière de Fissenou S. entre la Drôme et le Vaucluse.
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Marine Le Pen, personnalité politique préférée des Français !
C’est un pavé dans la mare du politiquement correct qui risque de faire déborder les limites de la bien-pensance.
Le classement IFOP des personnalités préférées des Français, c’est l’aristocratie médiatique qui distribue ses quartiers de noblesse pour ordonner au quidam que nous sommes devant quelles personnalités s’extasier. Le temps d’une année.
1.000 personnes « dites « représentatives » de la population de plus de 15 ans ont été interrogées.
Reste à savoir ce que « représentatif » veut dire. À moins que tout soit dans le « représentatif ».
Parmi une série de 50 personnalités françaises présélectionnées selon le principe de l’autosuggestion, la personne sondée doit répondre à la question : « Quel(le)s sont, parmi les personnalités suivantes, les dix Français(es) qui comptent le plus pour vous aujourd’hui, et que vous trouvez les plus sympathiques ? »
Yannick Noah a dominé ce classement neuf fois consécutivement de 2007 à 2012 et dix fois au total. Yannick Noah : il est cool et sympa, beau gosse et métis, et puis, en cas de victoire de Marine Le Pen, il a dit « qu’il quitterait la France ».
Sauf qu’il a quitté le classement et que Marine Le Pen vient d’y faire une entrée fracassante.
Ce qui fait dire à nos médias pour le reste de l’année à venir qu’Omar Sy, frère de lait de Yannick et de la France multiculturelle, reste « la personnalité préférée des Français », enfin… des 1.000 interrogés pour l’occasion.
Seulement voilà, la vague était trop forte et Marine Le Pen se hisse direct à la 37e place du classement.
Elle devient ainsi, selon l’équation IFOP annuelle, la personnalité politique préférée des Français.
De là à y voir un signe à l’aube de cette grande année électorale et c’est un pavé dans la mare du politiquement correct qui risque de faire déborder les limites de la bien-pensance.
D’autant que la présidente du Front national arrive devant François Fillon, vainqueur de la primaire à droite (42e), Emmanuel Macron, ballon de baudruche médiatique, encore jamais élu mais candidat à l’élection suprême (46e) et tout devant Jean-Luc Mélenchon.
Ce n’est pas une révolte c’est une révolution.
Et les médias d’être mauvais joueurs. Car Marine Le Pen progresse dans l’opinion, même sous le prisme des sondages d’opinion à crédibilité variable.En octobre dernier, selon le baromètre Elabe, son taux d’opinions favorables atteignait 29 %, son plus haut niveau depuis janvier 2015, ce qui la fit entrer dans le Top 5 des personnalités politiques préférées. Mais c’est la faute au « climat ambiant », dixit Yves-Marie Cann, directeur des études politiques d’Elabe. Pas de bol, la météo lui serait donc favorable.
Et le site Internet LCI (24 décembre) tente une réassurance à l’intention des lecteurs qui pourraient s’effrayer de cette montée en puissance de Dame Le Pen et titre « La présidente du FN fait son entrée à la 37e place du traditionnel palmarès des personnalités préférées des Français. Devançant les Fillon, Macron et Mélenchon, elle reste cependant encore très décriée ».
On apprend ainsi, en fin d’article, que la fille de Jean-Marie Le Pen – référence généalogique peu flatteuse dans le dictionnaire des médias – « repousse autant qu’elle séduit »… Formule creuse et sans consistance visant à rassurer l’auteur. Et à effrayer le lecteur.
Le système médiatique d’autocongratulation s’enraye donc quand les sondages d’opinion donnent la parole à l’opinion. En attendant, Marine Le Pen s’installe dans le paysage politique des Français car « elle compte et qu’elle est sympathique » (dixit) au point d’en bousculer les lignes imposées de l’arroseur arrosé.
De là à imaginer qu’en 2017 Yannick Noah, dont la colère « n’est pas un front/Elle n’est pas nationale/Ma colère a peur aussi/C’est la peur, son ennemie… », ne soit contraint de faire ses valises… Cochon qui s’en dédit !
BV
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Hommage aux Choeurs de l'Armée rouge: Kalinka (sous-titres français)
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Triple meurtre dans la Drôme: l'état du suspect incompatible avec une garde à vue
L’état de l’auteur présumé d’un triple meurtre, commis aujourd’hui dans la Drôme, a été jugé incompatible avec une garde à vue et son hospitalisation d’office dans la soirée est envisagée, a indiqué le parquet de Valence.
« L’examen du mis en cause conclut à l’incompatibilité avec une mesure de garde à vue. L’éventualité d’une mesure administrative d’hospitalisation d’office durant la soirée du 26 décembre est envisagée », précise le parquet de Valence dans un communiqué publié après le meurtre d’une octogénaire et d’un couple de septuagénaires dans deux villages voisins de la Drôme.
Conduit dimanche au centre hospitalier de Valence, il l’avait quitté sans être examiné par un médecin. « Il n’y a pas eu de prise en charge psychiatrique », a précisé le procureur de la République de Valence Alex Perrin.
Un peu plus tôt, M. Perrin avait expliqué que l’homme de 23 ans avait été « pris en charge dimanche soir à la suite d’incidents dans une rame de TGV où il importunait des voyageurs. Il a été débarqué du train à la gare TGV de Valence et orienté vers l’hôpital ». « Il s’agit d’une personne déjà connue des services de police et de justice, incarcérée à Fresnes pour des histoires de stupéfiants et qui en est sorti le 1er septembre dernier », a ajouté le procureur.
L’homme a aussi agressé violemment à l’arme blanche trois personnes dans la zone commerciale d’Orange, dans le Vaucluse. Le parquet de Valence a été saisi de l’ensemble des faits.
BV
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Lille: messe de Noël sous haute surveillance à Notre-Dame de la Treille
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Rodrigo Duterte le président flingueur des Philippines
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Le Noël poignant des orphelins de la crèche de Bethléem - reportage
Par Cyrille Louis
Mis à jour le 26/12/2016 à 19h07REPORTAGE - La nuit de Noël des enfants abandonnés de Cisjordanie se fête dans l'unique refuge établi pour eux en plein centre de Bethléem.
Envoyé spécial à Bethléem
Les petits pensionnaires de la crèche de Bethléem ont fêté Noël avec une semaine d'avance. C'était la condition pour que la cinquantaine d'enfants scolarisés avec eux puissent partager cet instant avant de rejoindre leur famille pour les congés de fin d'année. Un membre du personnel doté d'un léger embonpoint a pour l'occasion revêtu un costume grenat et une barbe blanche. Des fous rires et des chants ont retenti lorsqu'il s'est avancé dans le long couloir de l'«orphelinat» où quarante-six bambins, âgés de quelques jours à 6 ans, sont pris en charge par les Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul.
Fondé en 1884, l'unique refuge pour enfants abandonnés de Cisjordanie est établi en plein centre de Bethléem. L'hôpital de la Sainte-Famille, principale maternité de la ville gérée par l'Ordre de Malte, occupe le bâtiment voisin, tandis que la basilique de la Nativité se trouve à moins d'un kilomètre. «Notre mission consiste à recueillir, en partenariat avec la police et les services sociaux de l'Autorité palestinienne, tout nourrisson trouvé sur la voie publique ou mis au monde par des femmes qui ne peuvent pas les garder», résume sœur Denise, responsable de l'établissement.
Deux autres religieuses, ainsi que quarante-cinq employés et cinq bénévoles, animent ce havre où vingt-deux nouveau-nés ont été recueillis depuis le début 2016. «Un record», assure le personnel de la crèche. L'un avait été abandonné sur le seuil d'une mosquée de Bethléem, un autre sur un terrain vague à la périphérie de Naplouse. «Certains ne passent ici que quelques jours, mais d'autres resteront jusqu'à leurs 6 ans et rejoindront ensuite un foyer pour enfants plus âgés», précise sœur Denise.
Les archives de la crèche, miroir d'une société dont les conservatismes placent parfois de très jeunes femmes face à des dilemmes impossibles, regorgent d'histoires dramatiques. Le 28 novembre, l'un de ses employés a dû se rendre en urgence à Hébron, dans le sud de la Cisjordanie, pour recueillir un nourrisson abandonné quelques heures plus tôt au siège du Croissant-Rouge. Après une rapide enquête, les services de police ont retrouvé sa mère et l'ont mise en sécurité dans un foyer spécialisé. Le père de l'enfant a pour sa part été incarcéré. «Pour sa propre sécurité, précise Iskander Andon, un travailleur social employé depuis seize ans par les sœurs. S'ils les retrouvent, les membres de la famille de la jeune femme s'empresseront de tuer les parents et l'enfant pour venger ce qui est ici perçu comme une atteinte intolérable à leur honneur.»
Passant devant la pouponnière, sœur Denise s'arrête un instant pour cajoler le plus jeune de ses pensionnaires. La mère du bébé l'a mis au monde le 6 décembre dans la maternité voisine. Par césarienne. Quatre semaines avant le terme de sa grossesse. «Les services sociaux de la ville où elle réside, craignant que ses proches ne découvrent son état, leur ont fait croire qu'elle était gravement malade et qu'elle avait besoin d'être hospitalisée pour plusieurs semaines», raconte Iskander Andon.
Des naissances en catimini
Admise fin août à l'hôpital de la Sainte-Famille, la jeune femme a pu y passer la fin de sa grossesse à l'abri des regards, mais sous la surveillance des médecins. «Ces accouchements sont généralement pratiqués en fin de journée et toujours par le même médecin afin qu'il y ait le moins de témoins possible», ajoute Denis Sevaistre, le directeur de l'établissement. La jeune maman a regagné son foyer quarante-huit heures plus tard, tandis que le bébé était pris en charge à la crèche.
«Ce sont évidemment des situations très douloureuses, admet sœur Denise, mais il faut bien comprendre que la plupart de ces jeunes femmes risquent la mort si leur famille découvre la vérité.» Les responsables de la crèche savent de quoi ils parlent. Un jour de janvier 2003, une adolescente de 14 ans a été tuée par de proches parents dans un village voisin de Ramallah peu après avoir accouché, à l'abri des regards, d'un petit garçon qu'elle avait confié aux Filles de la Charité. «Victime d'un viol intrafamilial, elle avait pourtant été prise en charge avec l'accord de la police et du chef du village», se rappelle Iskander Andon. Les étudiants de l'université de Bir Zeit se mobilisèrent à l'époque pour dénoncer ce crime d'honneur. Mais les auteurs bénéficièrent des circonstances atténuantes prévues par une vieille disposition héritée du droit jordanien…
Les petits pensionnaires, une fois à l'abri derrière les murs épais de la crèche, ne sont pas pour autant au bout de leurs épreuves. Présumés musulmans, ils reçoivent un prénom, mais ne pourront jamais porter le patronyme de leur père. «Une marque indélébile aux yeux de nombreux Palestiniens», regrette sœur Denise.
L'adoption souvent interdite
La loi applicable en Cisjordanie, fortement inspirée du droit islamique, interdit l'adoption si bien que la majorité de ces bambins seront orientés vers d'autres foyers à l'âge de 6 ans. Quelques-uns seront pris en charge par une famille d'accueil, où leur intégration sera plus ou moins facile selon la réaction de l'entourage. «Dans certains cercles très conservateurs, les choses se compliquent lorsque l'enfant parvient à l'adolescence, car sa cohabitation avec des femmes qui ne sont pas ses parentes biologiques suscite des réticences», témoigne Iskander Andon.
Conscients de cet écueil, Kheir et Aoula se sont juré de tout faire pour en préserver leur petit Nour. Avant de recueillir ce bébé âgé d'un an à peine, ce couple établi à Bethléem a surmonté un parcours du combattant administratif et familial. «Nous avons dû subir une enquête de moralité et prouver que nous avons les moyens de subvenir à ses besoins», explique Kheir. «Il a aussi fallu rassurer certains membres de notre entourage, qui s'inquiétaient de voir un étranger arriver dans la famille», sourit Aoula.
Après des longs mois d'attente et d'innombrables visites à la crèche des Filles de la Charité, la jeune femme et son mari ont accueilli le garçonnet à la fin de l'été. Quatre mois plus tard, Nour se promène à quatre pattes dans l'appartement familial comme s'il n'avait jamais connu d'autre foyer. Ses parents, eux, ne se lassent pas de l'admirer. «Quoi qu'en pense le cheikh ou l'Autorité palestinienne, disent-ils, Nour est notre fils et nous donnerons tout pour qu'il ait une vie heureuse.»
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 27/12/2016.
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Trois meurtres dans la Drôme: le suspect, 23 ans, sortait de l'hôpital psychiatrique
NdB: Un cauchemar: pourquoi ce dément sanguinaire n'était-il pas bouclé dans une cellule et qui est-il? Qui l'a laissé sortir?
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Les électeurs de l’AfD : l’autre Allemagne
J-4Créé il y a trois ans, l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) est en pleine ascension, porté notamment par la crise des migrants. Thomas Girondel est allé à Berlin, où ce parti souverainiste a provoqué la surprise en obtenant 15% aux régionales de septembre. Il a photographié militants et électeurs AfD, et leur a posé les mêmes questions. Un portrait de groupe qui réserve quelques surprises.
Herbert, 51 ans, ingénieur, vit au nord-est de Berlin.
« J’ai voté AfD parce que les autres partis allemands pensent tous la même chose : ils ressemblent à l’Union européenne. Les Allemands n’ont pas forcément la même opinion que l’« Europe ». Mais leurs idées sont brisées par les partis de gauche. Au moins l’AfD a sa propre opinion, loin de la majorité. Donc on nous écoute. La semaine dernière, M. Hendrik Pauli, un professeur, a été licencié parce qu’il avait voté AfD, où est la démocratie ? La France a le Front national, l’Autriche le Mouvement pour l’Europe des nations et des libertés. Nous sommes l’une des dernières nations à ne pas pouvoir nous exprimer, on veut plus de démocratie.»
Hendrik Pauli, 38 ans, professeur de biologie et de chimie, vit dans le quartier de Neukölln, à Berlin.
« J’ai voté AfD lors des dernières élections locales de Berlin, j’y ai même participé en tant que candidat dans le district de Neukölln, mais je n’ai pas eu assez de voix. Depuis ses débuts en octobre 2013, j’ai vu l’AfD monter en puissance, nous ne savons pas où le vent nous mènera mais je suis convaincu que cette montée n’est pas près de s’arrêter. Aux dernières élections nous avons obtenu 14,2 % de votes, je me demande comment nous pourrions obtenir jusqu’à 17-20 % en septembre 2017. »
Hendrik Pauli a perdu son poste de professeur de collège pour avoir ouvertement parlé de ses activités politiques. Il a participé en 2016 à des rassemblements berlinois de PEGIDA (Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident). Il affirme être proche des militants du Bloc identitaire (Identitäre Bewegung).
Christian Buchholz, député AfD (Alternative pour l’Allemagne) au parlement local de Berlin, a été élu dans le sous-district de Pankow-1 lors des élections du 18 septembre 2016, avec 22,44 % des voix. [...]
Quel est le profil d’un électeur AfD ?
Il a entre 30 et 60 ans. Les plus jeunes et les étudiants ne s’intéressent pas à l’AfD avant de se heurter aux marchés du travail et du logement. C’est alors qu’ils découvrent aussi qu’il y a beaucoup trop de taxes. Nous avons également beaucoup de personnes issues de la classe ouvrière et des indépendants. [...]
Warner Bruns, 53 ans, ingénieur en calcul numérique à Berlin et à Losenstein en Autriche.
«J’ai voté AfD à Charlottenburg pour les élections locales de Berlin, car je n’avais pas d’autre choix. Les autres partis n’ont aucun sens à mes yeux. L’AfD propose une vraie alternative, car ici, à Berlin… il n’y a pas de liberté d’expression avec les partis ; c’est une fausse démocratie.»
Beate Prömm, 42 ans, traductrice freelance français-allemand, habite au nord de Berlin.
« J’ai voté AfD pour renforcer l’hégémonie allemande. » [...]
Merci à cerisecerise69