
(Photo EB - juillet 2018)
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(Photo EB - juillet 2018)
Le Premier ministre conservateur hongrois Viktor Orbán était mardi 11 septembre 2018 au parlement européen de Strasbourg pour s’exprimer dans les discussions portant sur le rapport Sargentini – du nom de sa rédactrice principale Judith Sargentini, députée européenne de la Gauche verte – qui dénonce la situation de « l’État de droit » en Hongrie.
Le Parlement européen a voté pour demander à l’Union européenne de lancer l’article 7, procédure radicale permettant à Bruxelles de sanctionner la Hongrie, qu’elle accuse de mettre à mal les «valeurs» de l’Union européenne.

Le chef spirituel appelle les Européens à accueillir les réfugiés mais estime qu’à terme, ces derniers doivent rentrer chez eux pour développer leur pays.
Le Dalaï-Lama a déclaré mercredi à Malmø en Suède que « l’Europe appartient aux Européens » et qu’à terme il était souhaitable que les réfugiés retournent chez eux « pour reconstruire leur propre pays ».
(…) « Recevez-les, aidez-les, éduquez-les… Mais à terme, ils doivent développer leur propre pays », a déclaré le chef spirituel du bouddhisme tibétain qui a fui en 1959 le Tibet pour s’exiler en Inde, à la suite de la répression par les autorités communistes chinoises d’un soulèvement tibétain.
Le Dalaï-Lama est considéré par ses nombreux partisans comme un maître à penser comparable au Mahatma Gandhi ou à Martin Luther King.
(…)
En 2016, le chef spirituel tibétain avait jugé que le continent européen accueillait trop de migrants.
«L’Europe, l’Allemagne en particulier, ne peut devenir un pays arabe, l’Allemagne est l’Allemagne», a-t-il ajouté, en référence au fait qu’une majorité des migrants vient de pays arabes comme la Syrie ou l’Irak.
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BREIZATAO – NEVEZINTIOU (10/09/2018) Le ministre français de l’Education Nationale, Jean-Michel Blanquer, a indiqué vouloir intensifier l’enseignement de l’arabe.
Le Premier ministre conservateur hongrois Viktor Orbán était mardi 11 septembre 2018 au parlement européen de Strasbourg pour s’exprimer dans les discussions portant sur le rapport Sargentini – du nom de sa rédactrice principale Judith Sargentini, députée européenne de la Gauche verte – qui dénonce la situation de « l’État de droit » en Hongrie.
Le Parlement européen a voté pour demander à l’Union européenne de lancer l’article 7, procédure radicale permettant à Bruxelles de sanctionner la Hongrie, qu’elle accuse de mettre à mal les «valeurs» de l’Union européenne.
La réaction de Budapest ne s’est pas fait attendre. Le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjarto, a ainsi déclaré à l’issue d’une réunion gouvernementale : «La décision d’aujourd’hui n’est rien de moins qu’une petite vengeance des politiciens pro-immigration contre la Hongrie». «Cette décision de condamner la Hongrie et le peuple hongrois a été prise alors que nous, Hongrois, avons prouvé que la migration n’est pas un processus nécessaire et qu’il est possible de stopper l’immigration», a-t-il ajouté.
Le nombre d’homicides, en augmentation de 7 pour cent, se monte à 20 336 – une moyenne de près de 56 par jour – pour la période de 12 mois allant d’avril à mars, ont fait savoir les services de police mardi dans leur rapport annuel sur les statistiques de la criminalité. Le taux d’homicides a grimpé, atteignant 35,2 pour 100 000 personnes – soit plus de six fois au-dessus de celui des États-Unis.

«Je peux dire que les services de police d’Afrique du Sud ont baissé les bras», a déclaré le ministre de la Police Bheki Cele au Cap devant les députés. « Il faut mettre un terme à cette situation et inverser très très vite la tendance.»
[…]
(Traduction Fdesouche)
(…) Selon des sources policières, il avait sur lui une carte d’identité afghane établie à Kaboul. Il serait né à Saracha Ali Khan dans la région de Jalalabad, située à une centaine de kilomètres de la capitale afghane. Il a l’air d’avoir entre 35 et 40 ans, bien qu’il pourrait être plus jeune, et serait réfugié.

Parmi les sept blessés, un jeune homme de 24 ans a eu le crâne enfoncé par une barre de fer et était dimanche soir en état d’urgence absolue. Un autre, dans le même état, a été poignardé dans le dos.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur a été identifié grâce à sa carte d’identité, qu’il portait sur lui.
Il s’agit d’un Afghan né en 1987. S’il est inconnu des services de police, il serait connu dans le quartier pour être un consommateur de drogue, et plus précisément de crack.
Selon la source jointe par franceinfo, l’agresseur est un homme « a priori de nationalité afghane« . L’auteur des faits a attaqué des personnes qui lui étaient inconnues. Il a été interpellé par les forces de l’ordre. Un témoin de la scène est en état de choc. Une enquête a été ouverte pour « tentatives d’homicides volontaires ». Les investigations ont été confiées à la police judiciaire.
Quatre personnes sont grièvement atteintes à la suite de ces agressions.
Un homme a commis une série d’attaques à l’arme blanche ce dimanche soir à Paris dans le 19ème arrondissement. Il a blessé plusieurs personnes avant d’être maîtrisé.
La série d’agression a débuté ce dimanche soir dans le 19ème arrondissement dans le secteur du Quai de la Loire. D’après nos informations, il était 22 heures passées quand un homme s’en est pris à plusieurs personnes à coups de couteau et de barres de fer.
Là, il s’en est pris notamment à deux touristes anglais, dont l’un a été blessé au thorax. Une autre de ses victimes a été gravement touchée par un coup de couteau à la tête. L’agresseur, lui aussi blessé, a finalement été interpellé par un équipage de la BAC.
Entre six et sept personnes ont été touchées par l’individu au total, et plusieurs se trouvent en état d’urgence sans pronostic vital engagé. Elles ont été transportées vers l’hôpital Lariboisière, Percy et Foch. (Le Parisien)
Au moins 7 personnes ont été blessées, dont 5 prises en charge par les secours en urgence absolue.
- Avec AFP
© REUTERS FILE PHOTOSelon Washington, Kim Jong-un a transmis à Donald Trump une lettre, dans laquelle il lui propose une nouvelle rencontre. Depuis celle de cet été, l'administration américaine a manifesté sa déception quant aux efforts de dénucléarisation nord-coréens.
La Maison Blanche a fait savoir, ce 10 septembre, que le président américain Donald Trump avait reçu une missive «très chaleureuse» et «très positive» du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un. «L'objectif principal de la lettre était d'organiser une nouvelle rencontre avec le président. Nous y sommes ouverts et nous avons déjà commencé à nous cordonner [en vue d'un tel sommet]», a déclaré la porte-parole de la présidence américaine Sarah Sanders.
Selon elle, «cette lettre est une nouvelle preuve des progrès dans la relation» entre les deux pays. Sarah Sanders a aussi salué des «progrès» sur la dénucléarisation que s'est engagée à réaliser la Corée du Nord et a estimé que le défilé militaire sans missiles intercontinentaux du 9 septembre à Pyongyang était «un gage de bonne foi» dans le processus de désarmement nucléaire.
L'administration Trump, qui se montrait optimiste depuis le sommet historiq
ue du 12 juin à Singapour, avait pour la première fois manifesté son mécontentement en annulant fin août un déplacement à Pyongyang du secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo. Elle jugeait insuffisantes les progrès effectués en matière de dénucléarisation.
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Bastide de Charles Maurras au chemin de Paradis (à restaurer)


Eglise Saint-Genest (17è siècle)


Un bel olivier dans le mistral
(Photos EB, printemps 2018)
Environ 2000 personnes ont manifesté dimanche soir dans l’est de Allemagne à l’appel de l’extrême droite à la suite de la mort d’un jeune homme dans une bagarre avec deux Afghans.
(…) Quelque deux mille personnes se sont rassemblées pour dire leur colère contre la politique d’asile en Allemagne. Mais les violences n’ont pas eu lieu et en début de soirée la ville espérait retrouver le calme. Les deux suspects ont été arrêtés, l’un d’eux fait l’objet d’une procédure d’expulsion.
(…) En Allemagne, où s’installe un climat anti-migrants, le drame de Köthen a redonné des arguments à l’extrême droite et au parti populiste AfD. «Combien (de morts) encore?», a lancé sur twitter Alice Weidel, la leader du parti anti-islam, en réclamant un «tournant» dans la politique d’asile «maintenant»
(…) Pour 69% des Allemands, «l’intégration des migrants» a échoué ainsi que «la prévention de la criminalité». Globalement, seulement 31% des personnes interrogées se disent «satisfaites» du travail du gouvernement. Angela Merkel, qui a annoncé son intention de se rendre à Chemnitz en octobre à la rencontre des habitants, aura du mal à restaurer la confiance.
Berlin – Plusieurs responsables ont appelé dimanche au calme après l’arrestation en Allemagne de deux Afghans soupçonnés d’implication dans la mort violente d’un jeune homme, deux semaines après des faits similaires à Chemnitz ayant mis le pays sous tension.
Le ministre de l’Intérieur de l’Etat régional où le drame s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, la Saxe-Anhalt, Holger Stahlknecht, a invité la population locale à rester « pondérée« .
« La mort tragique du jeune homme » de nationalité allemande « me touche beaucoup et je regrette profondément ce qui s’est produit« , a déclaré le ministre, membre du parti de centre-droit de la chancelière Angela Merkel (CDU), à l’agence de presse allemande DPA.
La responsable des question d’intégration en Saxe-Anhalt, a elle aussi appelé les habitants au calme.

INFO MÉTROPOLITAIN. Le père d’un adolescent âgé de 14 ans, élève au lycée Joffre à Montpellier a été poignardé vendredi vers 17h devant l’établissement, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, alors qu’il portait secours à son fils agressé avec d’autres lycéens par une trentaine de migrants de nationalité albanaise, hébergés notamment par des associations locales dans le quartier de Gambetta.
Le parent d’élève a reçu trois coups de couteau et a été transporté au CHU Lapeyronie, à Montpellier. (…) Un couple et une personne âgée qui se trouvaient à l’endroit de cette scène de violence, dont le mobile reste inconnu encore, ont également été malmenés par cette bande.
« Les lycéens de Joffre sont en danger, depuis la rentrée, la même situation recommence comme l’année dernière, à savoir que des élèves sont abordés par ces migrants albanais regroupés en bande, souvent une trentaine pour leur vendre de la drogue. Ceux qui refusent sont menacés au couteau ou frappés (…) Les parents doivent être informés, car un jour, il y aura un mort », témoigne la soeur du père du lycéen poignardé vendredi.

Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».
« Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.
« La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.
Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.

Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».
« Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.
« La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.
Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.