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La qualité des eaux au Moyen Âge, les naissances des grandes industries au XIXe siècle, la globalisation des échanges, etc... chaque époque fait face à ses défis environnementaux. Mais l’écologie est une chose trop sérieuse pour être laissée aux écologistes.
Alors que les sommets de catastrophisme climatique se multiplient à travers le monde, la COP21 actuellement, la prise en main par les élites occidentales – politiques, groupes de pression, multinationales – du dossier de l’écologie fut aussi une nouvelle arme du mondialisme, notamment pour enrayer l’éveil de la Chine et de l’Inde. Mais la culpabilisation des pays-continents n’a pas autant d’influence qu’en Europe. Si le monde est plein d’idées chrétiennes devenues folles, elles n’ont jamais traversé l’esprit des dirigeants américains, prompts à imposer à ses ennemis, ses vaincus et ses vassaux des règles que jamais ils n’appliquent chez eux.
Comme l’écrit le Chinois Hongbing Song dans La guerre des monnaies – La Chine et le Nouvel Ordre mondial, l’écologie est « un substitut à la guerre dans sa fonction […] de contrôle de la population, [qui] doit assurer la survie [ou] l’amélioration des espèces, pour ce qui est de sa relation à l’offre environnementale ».
Afin de poser une main de manière toujours croissante sur les ressources mondiales, les élites américaines « en redoublant d’efforts de propagande sur les méfaits de la pollution, [pouvaient] atteindre un effet psychologique aussi effroyable que celui de la fin du monde après la guerre nucléaire. La logique était imparable : la pollution de l’environnement est un véritable gaspillage économique. Pour y répondre, les gens tolèrent des impôts et une qualité de vie réduite ; ils acceptent aussi plus facilement l’immixtion du gouvernement dans leur vie privée. Tout cela sous prétexte de « sauver notre Terre nourricière ». C’était vraiment un bon choix ! Pour que le problème de la « pollution de l’environnement » colonise tous les esprits et suscite une grave crise à l’échelle planétaire, les scientifiques de la « Montagne de Fer » estimèrent que cela prendrait une génération et demie, soit 20 à 30 ans. Le rapport fut publié en 1967… »
Ce rapport fut édité avec le concours des grandes entreprises pétrolières américaines Standard Oil Company of New Jersey, Shell Oil Company, Hanover Trust Company, en lien direct avec des membres du Council of Foreign Relations, CFR, et les familles Rothschild, Rockefeller, avec l’objectif de créer la World Conservation Bank (WCB), « la Banque mondiale pour la conservation de la nature », « un second plan Marshall », et en même temps « sauver les pays en voie de développement du bourbier de la dette tout en protégeant l’environnement ». Magnifique « ironie » que ces entreprises pétrolières, bancaires et spéculatives – partie prenante dans de nombreuses guerres depuis la naissance des États-Unis – gèrent le dossier, accusateur, écologique. Timeo Danaos et dona ferentes.
Un Sénateur centriste Jean Louis Masson confronté à la réalité se lâche au Sénat. Pas un mot dans la presse aux ordres, pas plus à RMC de Bourdin et des pseudo "Grandes Gueules" aux petits bras. Et pourtant, il y avait de quoi dire...La réalité rattrape toujours les faux discours de la bien pensance. Bravo à ce Sénateur couillu qui probablement à fait son ultime mandat au Sénat. Félicitations et chapeau bas Monsieur. (15 octobre 2015)
(merci à Dirk)
Le 2 décembre 1805, un an jour pour jour après son sacre, l'empereur Napoléon 1er remporte à Austerlitz sa victoire la plus éclatante.
En quelques heures, sous un soleil hors saison, il vainc deux autres empereurs, Alexandre 1er, tsar de Russie, et François II de Habsbourg-Lorraine, empereur d'Autriche et titulaire du Saint Empire romain germanique (ou empereur d'Allemagne). Austerlitz est appelée pour cela bataille des Trois empereurs.
Napoléon 1er est en partie redevable de son triomphe à la chance et à un brouillard matinal qui a caché ses mouvements à l'ennemi.
Au milieu de l'année 1805,une troisième coalition se forme contre la France. « Ne pouvant frapper la tête de la coalition, l'Angleterre, Napoléon en frappera le bras, l'Autriche » (Jean Tulard, Les révolutions).
Le 3 septembre, renonçant à traverser la Manche, l'empereur entraîne à grandes enjambées la « Grande Armée » à la rencontre des armées austro-russes.
Napoléon 1er vainc les Autrichiens à Ulm, en Bavière, le 20 octobre. Puis il entre triomphalement à Vienne le 14 novembre (c'est la première fois de son Histoire que la capitale des Habsbourg doit s'incliner devant un conquérant). Pendant ce temps, le général russe Koutouzov se replie au-delà du Danube.
Le 19 novembre, l'avant-garde française dépasse Brünn (aujourd'hui, Brno, chef-lieu de la Moravie, en république tchèque) et atteint le village d'Austerlitz, 9 kilomètres plus loin. Face à elle, 73 000 à 86 000 Austro-Russes.
En infériorité numérique, les Français, malgré leur avance foudroyante, sont dans une situation inconfortable, d'autant qu'une armée autrichienne menace d'arriver d'Italie sous le commandement de l'archiduc Charles.
Napoléon 1er veut contraindre l'ennemi à la faute pour le vaincre dès que possible. Le 28 novembre, à la surprise de ses maréchaux, il demande à Murat, Lannes et Soult d'abandonner le plateau du Pratzen, de haute valeur tactique. Cette manoeuvre de repli apparaît aux yeux de l'ennemi comme un aveu de faiblesse.
Le 29 novembre, Napoléon, de mauvaise humeur, reçoit le prince Dolgorouky et lui propose un armistice. Mais les Russes se montrent trop exigeants et le dialogue est rompu. L'empereur décide donc de provoquer la bataille à l'endroit qu'il a choisi avant que les Austro-Russes aient le temps de concentrer toutes leurs forces.
Le 1er décembre, Napoléon peut compter sur 75.000 hommes. L'essentiel est positionné entre le plateau du Pratzen et Brünn.
Les coalisés, qui tiennent maintenant le Pratzen, aspirent à reprendre l'avantage en bousculant cette armée.
Seul contre tous les autres généraux, Koutouzov a deviné la ruse de Napoléon mais ses avertissements ne sont pas entendus.
Napoléon passe la nuit à attendre dans un bivouac qu'illuminent les flambeaux de paille des soldats, soucieux d'éclairer l'empereur au gré de sa tournée d'inspection.
Au petit matin, comme prévu, 40.000 hommes Austro-Russes descendent du Pratzen pour attaquer la partie la plus faible du dispositif français.
Mais, tapies dans le brouillard, deux divisions du maréchal Soult vont décider du sort de la journée. Profitant de ce que les colonnes ennemies descendent du plateau, elles tombent sur leur flanc et plusieurs régiments s'établissent sur les hauteurs du Pratzen.
La Garde impériale russe tente une violente contre-attaque. Mais Napoléon 1er accompagné de son état-major et de sa propre Garde la repousse. La lutte pour le Pratzen est terminée.
Pendant ce temps, l'aile droite russe, débordée, arrive à se retirer sans que Bernadotte ait pu bloquer sa retraite.
C'est la seule déception que Napoléon gardera de cette journée.
L'aile gauche, quant à elle, est prise en étau par la Garde et les divisions de Soult installées sur le Pratzen.
Des soldats russes tentent de traverser un lac gelé mais la glace se rompt, bombardée par l'artillerie de la Garde.
Ils se noient tristement. Le nombre de ces victimes s'élève à quelques centaines.
Il ne reste plus à la Garde impériale qu'à compléter la victoire, tandis que se lève un splendide soleil, en milieu de journée.
Les pertes des alliés austro-russes sont très lourdes, au total 7 000 tués. Les Français comptent 1.288 morts.
Le 26 décembre, l'Autriche conclut la paix à Presbourg (aujourd'hui Bratislava, en Slovaquie). C'est la fin de la troisième coalition.
50 drapeaux enlevés à l'ennemi vont orner la voûte de l'église Saint-Louis des Invalides. Le bronze des 180 canons ennemis est employé pour fondre la colonne Vendôme, à Paris (il s'agit d'une copie de l'antique colonne Trajane qui célèbre à Rome la victoire de l'empereur romain sur les Daces).
Publié ou mis à jour le : 2015-12-02 21:49:37
Hérodote.net
Hollande en Monsieur Loyal, du Cirque Cop21, était hilare, l’autre soir dans un restaurant chic parisien : l’Ambroisie.
Il avait invité Barack Hussein Obama et Vladimir Poutine.
Le Président américain a ripaillé avec Hollande et ses fidèles lieutenants socialo-écolos, manifestement de joyeux convives, se donnant en spectacle, peu exemplaire pour ceux qui veulent « sauver la planète », pendant que 25 % de la population mondiale meurt de faim.
Coïncidence, le même jour se tenait l’ouverture des « Restos du Cœur ». D’un côté les « sans-dents », de l’autre la gauche caviar.
Nous pensons qu’il aurait été judicieux de faire preuve de retenue. Ce repas aurait été plus avisé dans une pièce discrète de l’Elysée en évitant de faire bombance.
Il faut dire que Hollande ne manque pas une occasion de se montrer avec le grand chef Obama. Histoire de soigner sa popularité.
Le président Poutine a été beaucoup plus respectueux et a adressé un message à Hollande dont voici la teneur : « Par respect pour les victimes des attentats du 13 novembre 2015, considérant qu’il serait malsain de festoyer en cette période de deuil, le Président Poutine est au regret de décliner cette invitation ».
Nous pouvons observer une fameuse différence dans la conception de l’honneur et de la décence. Merci Monsieur Poutine.
Pour Hollande, les morts étaient déjà oubliés.
Les agapes c’est maintenant !
JACQUES D’EVILLE
Siècle21.com be
Un accord « semi-secret » prévoyant de relocaliser au sein de l’Union européenne de 400.000 à 500.000 réfugiés syriens en provenance de Turquie pourrait être annoncé cette semaine, a déclaré aujourd’hui le premier ministre hongrois Viktor Orban.
S’exprimant à Budapest devant des dirigeants hongrois, Orban a dit s’attendre à subir d’intenses pressions pour qu’il accepte que la Hongrie accueille un certain nombre de ces migrants, même si elle ne pourra pas le faire. Cet accord, a-t-il ajouté, a déjà été évoqué lors du sommet de La Valette, à Malte, avant d’être abandonné. Il ne fait pas partie du texte élaboré le week-end dernier à Bruxelles et qui prévoit que l’Union aide financièrement la Turquie en contrepartie de l’accueil de réfugiés sur son sol.
Amar Thioune, président de SOS Racisme Rhône-Alpes, en 18e position sur la liste du PS aux régionales en Isère, a été mis en examen pour viol et violences conjugales, des faits qu’il nie, a-t-on appris mercredi auprès du parquet. « Les faits sont contestés et il bénéficie de la présomption d’innocence », a souligné Jean-Yves Coquillat, procureur de la République à Grenoble, confirmant une information du quotidien Dauphiné Libéré.
« Son épouse a déposé plainte et une enquête a été diligentée. Comme les faits sont contestés, on a ouvert une information judiciaire » confiée à un juge d’instruction indépendant, a précisé le magistrat. Placé en garde à vue lundi, Amar Thioune a été mis en examen pour viol et violences sur conjoint et laissé libre sous contrôle judiciaire le lendemain. Les faits en cause remontent à la nuit du 7 au 8 octobre.
Aux États-Unis, un étudiant noir a été arrêté lundi après avoir menacé sur Internet de tuer 16 personnes de couleur blanche à l’université de Chicago. Le jeune homme aurait en fait voulu venger la mort d’un adolescent noir abattu de 16 balles par un policier dans cette ville.
[...]Selon des documents de justice dévoilés plus tard, Jabari Dean, âgé de 21 ans, a reconnu auprès du FBI venu l’arrêter lundi matin à son domicile de Chicago, dans l’Illinois avoir posté des menaces sur Internet. Il a expliqué les avoir effacées peu après, selon ces documents, mais un internaute avait déjà fait une capture d’écran qu’il a transmise au FBI dès dimanche.
Le jeune homme noir, étudiant à l’University of Illinois Chicago, avait écrit qu’il allait «exécuter» 16 étudiants ou membres du personnel blancs avec un fusil d’assaut et deux armes de poing. Selon le quotidien Chicago Tribune, cette action visait à venger la mort l’an dernier de Laquan McDonald, un adolescent noir abattu de 16 balles par un policier blanc.
«Je vais ensuite mourir en tuant autant de policiers blancs que possible. Ce n’est pas une blague», disait le message. «Je vais faire ma part pour débarrasser le monde des diables blancs. J’attends que vous fassiez de même».
(…)
Merci à CS
Les responsables du renseignement allemands avertissent que les islamistes ciblent les nouveaux arrivants
Les réfugiés musulmans sont «attirés par la promesse qu’ils seront aidés à intégrer la communauté musulmane locale.
Les extrémistes islamistes promettent de les aider, dans le but de les recruter
(…) Daily Mail
Marion Maréchal-Le Pen est toujours en tête des sondages pour les régionales en PACA. Photo : Image d'illustration © SIPA
A l’occasion d’un meeting commun à Toulon, Marion Maréchal-Le Pen et Robert Ménard ont tenu un discours axé sur l’histoire et l’identité française
« Nous ne sommes pas une terre d'islam ». Marion Maréchal- Le Pen a d’emblée annoncé la couleur, ce mardi à Toulon. Un discours identitaire mettant en exergue les racines chrétiennes de la France et invitant les musulmans à les adopter : «si des Français peuvent être de confession musulmane, c'est à la condition seulement de se plier aux mœurs et au mode de vie que l'influence grecque, romaine, et seize siècles de chrétienté ont façonnés »
« Chez nous, on n’impose pas de mosquées »
« Chez nous, on ne vit pas en djellaba, on ne vit pas en voile intégral et on n'impose pas des mosquées cathédrales » a ajouté la députée du Vaucluse. S’adressant à la foule, elle a prôné l’appropriation de l’histoire de France par tous, allant jusqu’à considérer que « qui n'a pas vibré au sacre de Reims et à la fête de la Fédération n'est pas vraiment français ». Quelques minutes plus tôt, Robert Ménard avait lui aussi fait la part belle à l’histoire de France.
« Imaginons les Français de 1916 se promenant avec un papier je suis Verdun »
« Je veux retrouver notre France, celle de Louis XIV, de Napoléon, et celle, si le ministère de l'Intérieur me l'autorise, de Charles Martel » a lancé le Maire de Béziers avant de tourner en dérision les réactions de certains face à ceux qui « nous rongent de l’intérieur ». Ils « se contentent d'aller résister en buvant un café à la terrasse d'un bistrot ou en faisant des concours de bougies » a-t-il déploré. Puis de conclure moqueur, « imaginons les Français de 1916 se promenant avec un papier je suis Verdun, ou des Français accueillant le général de Gaulle avec un panneau je suis Charles »
A trois jours du scrutin Marion Maréchal-Le Pen, tête de liste de la région PACA, devance toujours dans les sondages ses deux adversaires directs : Christian Estrosi (LR) et Christophe Castaner (PS)
Une décision ferme. Le Préfet du Rhône, Michel Delpuech a pris un arrêté mercredi, interdisant la procession des identitaires, prévue le 8 décembre, en l’« honneur de la Vierge Marie ». Ces derniers avaient prévu de se rassembler place du Change, dans le Vieux-Lyon.
« Les organisateurs véhiculent des messages contraires aux valeurs républicaines et incitent au rejet, voire à la haine d’une partie de la population », a justifié la Préfecture dans un communiqué.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Mauvaise-nouvelle-pour-la-COP21-36380.html
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En réalité l’oligarchie nous présente son idéologie sous le couvert du mot « valeurs ». La manœuvre est double :
-d’une part, capter une partie de l’héritage national à son profit : ce sont les fameuses « valeurs républicaines » dont elle nous rebat les oreilles ;
-d’autre part, placer son idéologie au-dessus de toute critique et de toute remise en cause, afin de placer celui qui les conteste au ban de la communauté nationale.
Mais la manœuvre est grossière.
En fait de « valeurs républicaines », on nous impose l’idéologie cosmopolite en faisant une lecture exclusivement orientée « droits de l’homme » des principes républicains.
Il s’agit en fait d’un révisionnisme historique qui passe à la trappe le fait que les républicains français valorisaient, au contraire, la nation, la patrie et le pacte social que concluent entre eux les citoyens (et non les étrangers ou les résidents).
On veut nous faire oublier que les républicains du XVIIIe puisaient leurs références autant et sinon plus dans l’antiquité romaine que dans la lecture des œuvres, au demeurant ambiguës, de Rousseau.
Les républicains de la IIIe République avaient, en outre, une conception unitaire de la nation : rien à voir avec la promotion actuelle du communautarisme ou avec le « droit à la différence » !
Les « valeurs républicaines » d’aujourd’hui bafouent la citoyenneté et la nation, puisque l’oligarchie considère que les étrangers sont « chez nous chez eux » et qu’elle souhaite leur donner les mêmes droits politiques et électoraux que les citoyens français, alors qu’elle leur accorde déjà les mêmes droits sociaux, sinon des avantages supérieurs.
Ces valeurs ne sont donc absolument pas républicaines, car il n’y a pas de res publica, justement, quand on détruit la souveraineté des citoyens et les fondements de la nation. Il s’agit d’un hold-up sémantique sur le mot république, alors que le Pouvoir adopte en tout une pratique contraire aux principes républicains.
Ainsi, par exemple, quand il nous parle aujourd’hui de laïcité c’est pour faire tout le contraire de la laïcité républicaine : il ne s’agit pas de séparer l’Etat de l’Eglise, mais au contraire d’encourager les collectivités publiques à faciliter l’installation de mosquées en France !
Quand l’oligarchie nous parle de « valeurs », non seulement elle ment, mais elle cherche une fois de plus à sidérer ses contradicteurs, par un argumentaire terroriste.
Ses prétendues « valeurs » ne désignent que son idéologie libérale/libertaire/cosmopolite. Il est donc tout à fait légitime de les contester, comme il est légitime de contester, par exemple, le principe de l’indépendance des banques centrales européennes, qui constituerait, paraît-il, une valeur intouchable, au motif qu’elle figurerait dans un traité international.
En procédant ainsi, l’oligarchie s’efforce de placer au-delà du débat démocratique les fondements de son pouvoir. C’est d’ailleurs exactement ce que déclarait le président de la Commission européenne : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens (1).
Ce qui revient à constitutionnaliser en quelque sorte le pouvoir de l’oligarchie, en refusant, au surplus, au peuple le droit de changer de constitution !
Les « valeurs » de nos jours sont donc trompeuses. Mais elles sont au surplus mortelles pour la civilisation européenne. C’est d’ailleurs pourquoi les ennemis de l’identité européenne s’empressent de s’en réclamer.
Car que range-t-on exactement aujourd’hui dans la catégorie de nos « valeurs » prétendues : l’avortement (qui serait un droit de la femme ), le mariage des homosexuels, la licence des mœurs (2), le refus de reconnaître la diversité humaine et notamment celle des sexes, la repentance permanente, l’accueil permanent des « réfugiés », c’est-à-dire en réalité des immigrants en Europe, la suppression de la peine de mort pour les criminels (mais pas pour les victimes), l’abolition des frontières, la perte de la souveraineté monétaire et financière des Etats au profit des banques et des marchés, le gouvernement des juges (3), l’idée que les étrangers doivent avoir les mêmes droits que les Français, même quand ils ne respectent pas nos lois (4), etc.
Et bien sûr aussi le principe dit de non-discrimination en vertu duquel nous sommes censés renoncer à une liberté essentielle : la liberté de préférer vivre au milieu de nos semblables et de rester nous-mêmes.
En fait, ces « valeurs » sont morbides car elles constituent l’inversion des principes sur lesquels repose toute société humaine. Ce qui explique aussi que seuls les Occidentaux décadents s’en réclament.
En effet, celui qui s’en tient à ces commandements refuse de défendre ses frontières et son territoire ; il laisse les étrangers s’installer chez lui ; il considère que les croyances de ces étrangers sont respectables et même meilleures que les siennes ; il abdique sa souveraineté au profit des mécanismes abstraits du marché ; il laisse le crime impuni, il ne fonde pas de famille et ne se reproduit pas. En fait, il est condamné à disparaître et c’est bien ce qui est en train d’advenir en Europe, dans le cadre du Grand Remplacement !
Nous ne vivons donc pas dans un monde de « valeurs », comme veut nous le faire croire l’oligarchie occidentale, mais dans un monde où justement les valeurs ont été inversées –c’est-à-dire détruites– en Occident : elles n’incarnent pas le Bien mais assurent au contraire la promotion d’un Mal absolu : la fin de notre civilisation.
L’usage actuel du mot valeur traduit lui-même cette inversion radicale : car à l’origine des langues européennes le mot valeur ne désigne qu’une chose : le courage du guerrier valeureux, face à la mort.
La valeur relève ainsi de la seconde fonction (la fonction guerrière) et non du calcul marchand. Elle désigne ce qui dépasse la vie humaine et lui donne de la valeur précisément : l’honneur, la foi et la sauvegarde de sa communauté et de sa fratrie notamment.
Nous sommes donc aux antipodes de la doxa libérale/libertaire qui considère que l’individu est en lui-même sa propre finalité ou qui estime qu’il faut fonder la société sur le vice (c’est-à-dire sur l’intérêt marchand et sur l’égoïsme individuel) et non sur la vertu !
Précisément, la promotion bruyante de ces prétendues valeurs, sert de nos jours à faire disparaître toutes les vertus civiques qui non seulement s’enracinent dans notre identité européenne, mais permettent seules à une communauté d’exister et de se projeter dans l’avenir. Car ce que l’on promeut sous le terme de valeur constitue tout simplement l’antithèse de toute vertu.
Le mot « valeur » est désormais en toutes choses suspect et devrait toujours s’écrire entre guillemets. Car il appartient à la langue de nos ennemis. Car il traduit le projet de nos ennemis.
C’est pourquoi il ne faut pas employer ce mot, qui recouvre des marchandises frelatées et des intentions perverses.
Aujourd’hui les Européens n’ont que faire de valeurs, car l’heure n’est plus aux débats scholastiques.
Nous avons, par contre, un urgent besoin de retrouver en Europe les vertus de nos ancêtres, notamment :
– le courage d’abord, y compris physique, de défendre notre civilisation, notre peuple et notre territoire, aujourd’hui menacés ;
– la volonté de surmonter les obstacles à la survie de notre civilisation, au lieu de la lâche résignation à l’inacceptable ;
– le dévouement à la chose publique, la préférence pour l’intérêt général sur les intérêts particuliers et l’engagement du citoyen dans la vie de sa cité, au lieu de s’en remettre en tout à l’Etat ;
– la préférence charitable pour notre prochain dans le malheur et dans le besoin et la préférence pour nos concitoyens (et non la préférence pour les Autres) ;
– la tempérance, au lieu de s’abandonner au consumérisme compulsif ;
– la foi dans l’avenir de notre civilisation ;
– la fidélité à nos ancêtres et à leurs sacrifices (et non la repentance perpétuelle et manipulée) ;
– le sens de l’honneur et le respect de la parole donnée ;
– le sens de la liberté, non comme une autorisation de licence, mais comme maîtrise de soi et de son destin ;
– la préférence pour la vérité (alors que le Système est aujourd’hui bâti sur le mensonge).
Les « valeurs » ont la tromperie facile car elles ne sont qu’une rhétorique. C’est pourquoi les politiciens s’en parent si facilement de nos jours. Les vertus, elles, se démontrent par les actes car elles incarnent des principes de vie.
L’avenir de l’Europe ne réside pas dans les mensonges mortels qu’on veut nous imposer. Il réside dans nos anciennes vertus, qui sont aujourd’hui en dormition : les vertus gauloises, les vertus franques et scandinaves, les vertus gréco-romaines et les vertus chrétiennes. Car ce sont ces vertus seules qui ont bâti notre civilisation et qui lui ont permis de rayonner.
A bas leurs valeurs ! Vivent nos vertus !
Michel Geoffroy
25/11/2015
Notes :
Correspondance Polémia- 26/11/2015
Image : Le mot « valeur », du latin classique valor, est utilisé dès le XIIe siècle pour désigner le mérite ou les qualités (Source : Wikipedia)
(merci à Dirk)
"J'ai tout compris" - Blog de Guillaume Faye
Un ancien infirmier d’Auschwitz âgé de 95 ans a été jugé en appel apte à comparaître devant un tribunal, bien que ses facultés physiques et cognitives soient très amoindries, a annoncé aujourd’hui la justice allemande, ouvrant la voie à un procès.
L’accusé, baptisé Hubert Z. selon la presse allemande, doit répondre de « complicité » dans l’extermination d’au moins 3681 juifs gazés dès leur arrivée dans le camp emblématique de la Shoah à la fin de l’été 1944.
La cour d’appel de Rostock (nord-est), invalidant la décision rendue en première instance en juin, a estimé vendredi qu’il n’était pas « totalement inapte » à être jugé. Les magistrats relèvent dans un communiqué les « troubles cognitifs » et les « faibles capacités physiques » de l’ancien nazi mais estiment pouvoir les compenser par des aménagements de l’audience.
Assisté de « trois défenseurs », le nonagénaire pourra bénéficier de « pauses, interruptions, soins médicaux », faire répéter les questions du tribunal et solliciter des explications, détaille le communiqué. Aucune date n’a cependant été fixée pour l’ouverture de l’audience et nombre de procédures identiques, même très avancées, ont buté ces dernières années sur l’état de santé des suspects.
Selon le parquet, l’accusation couvre 14 convois de déportés arrivés à Auschwitz entre le 15 août et le 14 septembre 1944, venus de Lyon, Rhodes, Trieste, Mauthausen, Vienne et Westerbork.