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  • Roms/Shoah: les GG vs Stéphane Lhomme

    02/09/11

  • Qui est-ce ? n° 45

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    (Cliquez sur la photo)

  • En France, de 1976 à 2011, le nombre de mosquées a augmenté de 1 578 %

     

    Le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohammed Moussaoui, estime qu’entre 100 et 150 mosquées sont en cours de construction.

    Le nombre de mosquées et de salles de prière musulmanes a doublé en France ces vingt dernières années, passant de 1.000 à 2.000 environ.

    Très précisément, le ministère de l’Intérieur et des Cultes en dénombrait 150 en 1976, 900 en 1985 et 1.555 en 2001. Dix ans plus tard, les lieux de cultes musulmans se chiffrent à exactement 2.368.

    Source & Source

    Nations Presse Info

  • Libye - Ce qui se passera après Kadhafi, ce qu'il s'y passe en ce moment: les révélations de Me Ceccaldi, avocat de l'Etat libyen


    GRAVES REVELATIONS SUR LA LIBYE par talalclosson2

    ... et comment on continue à nous mentir sur la guerre civile en cours !

    02/09/11

     

  • La Vénétie aide les familles nombreuses italiennes et... est dénoncée à Bruxelles!

    01/09/2011 

    VENISE (NOVOpress) – C’est l’indignation chez les immigrationnistes italiens. La région Vénétie, présidée par l’énergique gouverneur Luca Zaia (Ligue du Nord), a décidé d’introduire un « Bonus famille », « contribution exceptionnelle de soutien aux familles nombreuses afin d’améliorer leur qualité de vie ». 880 000 € au total vont être versés aux familles de 4 enfants ou plus. Chacune touchera de 600 € (pour 4 enfants) à 1200 € (9 enfants ou plus). La somme sera distribuée par l’intermédiaire des municipalités.

    Compte tenu de la situation très difficile de beaucoup de familles comme de la natalité désastreuse de l’Italie, voilà une mesure qui paraît excellente. Mais, horreur, pour pouvoir percevoir le « Bonus famille », les familles devront « déposer une demande à leur mairie de résidence et justifier

    – de la nationalité italienne

    – d’au moins cinq ans de résidence dans la région Vénétie

    – de revenus annuels ne dépassant pas 30 000 euros ».

    Il n’y a pas un mot, on le voit, qui concerne l’ethnie, la race ou la religion. Le « Service de soutien juridique contre les discriminations ethnico-raciales et religieuses », membre de l’association immigrationniste subventionnée Asgi (« Association pour les études juridiques sur l’immigration »), ne s’en est pas moins hâté d’envoyer de tous côtés, et en particulier à la Commission européenne (Direction Générale des Affaires Intérieures, Direction B: Immigration et Asile, Unité B1: Immigration et Intégration) et à l’UNAR (Office national contre les discriminations raciales), un long mémoire de dénonciation.

     À l’en croire, « le “Bonus famille”, en raison de la condition de citoyenneté qui y est contenue, est en contradiction flagrante » avec la charte de l’ONU (clause générale de non-discrimination); avec la Convention européenne des droits de l’homme (de non-discrimination) ; avec la Charte sociale européenne (principe de non-discrimination sur critères de nationalité) etc. etc. Le « Bonus famille » contredit en outre la jurisprudence constante de la Cour européenne des droits de l’homme. Dans son jugement Koua Poirrez c. Francia, du 30 septembre 2003, la Cour a rejeté l’argumentation du gouvernement français, fondée sur la nécessité d’équilibrer les dépenses sociales en fonction des ressources. Dans son jugement Gaygusuz c. Austria, du 16 septembre 1996, elle a rejeté l’argumentation du gouvernement autrichien « qui faisait référence à une prétendue “responsabilité particulière” que l’Etat aurait à l’égard de ses propres citoyens, dont il devrait s’occuper prioritairement de préférence aux non-citoyens ».

    La Vénétie aide les familles nombreuses italiennes… et est dénoncée à Bruxelles Plus récemment, par le jugement Fawsie c. Grecia du 28 octobre 2010, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la Grèce pour avoir voulu lier le versement d’une prestation aux mères de familles nombreuses (au moins quatre enfants mineurs) à la possession de la citoyenneté d’un pays membre de l’Union européenne, ou bien du statut de réfugié d’origine ethnique grecque. Les autorités grecques avaient argumenté en vain que la prestation en question « n’avait pas une finalité d’assistance sociale mais de politique démographique, puisqu’elle visait à stimuler le rééquilibrage du déficit démographique du pays, en incitant à former des familles nombreuses », et que les immigrés n’étaient pas susceptibles de contribuer à la résolution du problème démographique. La Cour a répondu que toute différence de traitement en matière de prestations sociales « ne pouvait être tenue pour compatible avec le principe de non-discrimination de la Convention européenne qu’en cas de considérations très fortes ». Le déficit démographique de la Grèce et de l’Europe n’est évidemment pas une considération très forte.

    L’Asgi appelle donc la Commission européenne à engager une procédure d’infraction contre la République italienne pour violation des normes de droit de l’Union européenne.

    Le site immigrationniste « Stranieri in Italia », qui reprend cette dénonciation, l’illustre par une photo épouvantable : celle d’un père, d’une mère et de trois petits enfants, tous blonds. Quelle perspective terrifiante, en effet ! Et si les Européens se remettaient à avoir des enfants au lieu de laisser venir des Nigérians et des Tchadiens pour en avoir à leur place et « sauver » les régions qui se meurent, comme la propagande du Système les y exhorte. Les immigrationnistes en font des cauchemars.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Les serpents, la chaleur et les Israéliens sont de mèche contre les détenus palestiniens

     

     
     
    Les serpents, la chaleur et les Israéliens sont de mèche contre les détenus palestiniens

    IRIB- Cet été, comme chaque été, d’ailleurs, les milliers de Palestiniens détenus dans les prisons de l’occupation israélienne, surtout, dans celle du désert du Néguev, sont menacés, par tous ces reptiles venimeux, des serpents, des scorpions, sans parler de rongeurs et d’insectes, des souffrances supplémentaires.

    Le Palestinien Mohammed Abou Al-Rab est détenu, dans la prison du Néguev. Il dit que cette prison se trouve dans un désert connu pour ses serpents des plus venimeux qui mettent en danger la vie des détenus. Et, dans la saison estivale, ajoute-t-il, ces serpents viennent se faufiler, à l’intérieur même de la prison, mettant les détenus sur leur garde, de façon permanente. Les produits fournis, par l’administration, n’ont aucun effet sur ces bêtes.

     

    "Ce sont les occupants israéliens qui portent la totale responsabilité de ce problème", dit Faouad Al-Khafach, chercheur pour les affaires des captifs palestiniens, au correspondant du Centre Palestinien d’Information (CPI). Ce sont eux qui ont choisi la position de cette prison. Chaque année, des captifs palestiniens sont mordus par des serpents. Ils sont transférés vers les hôpitaux pour recevoir le soin nécessaire et pour ne pas mourir, dans la prison, ce qui causerait des problèmes à l’administration de la prison.

    Toutefois, l’administration reste responsable, bien qu’elle fournisse le soin. La répétition de tels incidents devra pousser l’administration à changer la place de la prison, ou du moins, à fournir des produits efficaces contre les reptiles. Al-Khafach accuse l’administration, car, non seulement, elle ne fournit pas les produits adéquats, mais, de plus, elle ne permet pas aux captifs d’en acheter de leurs poches. On dirait que l’administration pénitentiaire est de mèche avec les serpents contre les captifs.

    Il est vrai que cette prison du Néguev souffre, particulièrement, de ces reptiles, mais la prison d’Ofer en souffre, aussi. Les deux prisons sont ouvertes et ne sont protégées que par des barbelés. Le captif Mustapha Al-Hassan souligne que les serpents ne sont pas le seul problème, il y a, aussi, les insectes et les rongeurs, qui font de la prison un enfer.

    Les insectes infestent les biens des captifs, en plus de causer des problèmes corporels. Puis, il y a les rats, aussi problématiques que les serpents. Parfois, les captifs dépensent une journée complète à chasser un rat. Le captif Mustapha accuse, lui aussi, l’administration israélienne des prisons, pour ce problème, n’offrant que des pesticides. Il a appelé à faire des pressions sur l’administration pénitentiaire, afin qu’elle fournisse ou laisse passer les produits contre les reptiles, surtout, dans la saison estivale et, surtout, dans la région désertique, où se trouvent des serpents et des scorpions.

    Les captifs palestiniens de la prison du Néguev vivent dans des conditions très difficiles. Ils appellent toutes les institutions juridiques et humanitaires à assumer leurs responsabilités, face à cette affaire. La division cinq de la prison du Néguev en souffre le plus. Les toilettes sont découvertes ; elles deviennent une source permanente, pour les insectes et les rongeurs. Une catastrophe sanitaire attend les captifs, si cette situation continue.

    Le chercheur Al-Khafach confirme que les différents insectes causent différentes maladies de la peau. Ces insectes causent des boutons sur le corps, sans parler des problèmes causés par les rongeurs et les mouches, surtout, en été. En plus de tout cela, les captifs du Néguev souffrent de cette odeur insupportable produite par les égouts, à côté de la prison, source d’odeur, et, aussi, de rongeurs.

    IRIB - 31/08/11

  • Censure des commentaires en Suède pour lutter contre le racisme

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    01/09/2011

    STOCKHOLM (NOVOpress) - Le racisme ou supposé tel n’en finit pas de torturer les méninges des esprits totalitaires. Nouvel avatar du politiquement correct, la volonté de censurer toute opinion déviante avérée ou non connaît de nouvelles avancées en Suède avec la décision de trois grands journaux de changer de sites web, afin de se doter de nouveaux outils de surveillance des commentaires apportés aux articles mis en ligne.

    Le tabloïd Expressen surveillera les commentaires avant leur publication et enlèvera ceux entachés de “racisme”. De leur côté, les quotidiens Aftonbladet et Dagens Nyheter ont décidé de suspendre leur système de commentaires, avant l’installation de nouveaux systèmes qui nécessiteront de se connecter via un profil Facebook ou une adresse électronique pour émettre toute opinion sur un article. Ces décisions font suite au débat engendré par l’attaque en Norvège d’Andreas Breivik et qui ont donné lieu à des propos haineux.

    Bjorn Hedensjo, à la tête du site Dagens Nyheter a déclaré que les systèmes de veille des commentaires des différents journaux avaient été débordés par le flot important de messages, dont de nombreux violaient les chartes de bonne conduite.

    Selon Bjorn Hedensjo, ces nouveaux systèmes qui suivront à la trace tout propos condamnables ne sont pas fiables à 100 % mais permettront de recentrer les débats sur le plan qualitatif en forçant les intervenants à dévoiler leur identité. De son côté, le rédacteur en chef du journal Expressen se défend de vouloir censurer certains sujets sensibles tels que l’immigration et les questions d’intégration.

    Si la xénophobie et le racisme sont condamnables et demeurent largement contre-productifs dans la lutte contre le multiculturalisme, la question est de savoir où se place le curseur des propos racistes ou haineux pour ces nouveaux maîtres censeurs.

    En d’autres termes, la modération ne sera-t-elle pas tentée de placer la question de l’immigration et ses dérives sur un lit de Procuste afin d’éluder tout propos remettant en cause l’immigration dans le dessein de se conformer au politiquement correct ambiant ?

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Ménard vs Cohen

  • DSK - Dérapage antisémite sur Sud-Radio, l'animateur Eric Mazet mis à pied

  • Affaire Bettencourt: un journaliste espionné, Guéant reconnaît des "repérages"


    Affaire Bettencourt : "Il y a eu des repérages... par FranceInfo

    01/09/11

  • L'Iran met en garde Nicolas Sarkozy

    L'Iran a estimé jeudi que le président français devait s'abstenir de tous propos fondés sur de "fausses informations" et qui pourraient menacer la stabilité de la région, après des déclarations de Nicolas Sarkozy sur une "attaque préventive" contre des sites nucléaires iraniens.

     "Les activités de défense iraniennes sont toutes (des activités) de dissuasion, toute remarque basée sur des informations erronées peut provoquer l'instabilité dans la région et il est recommandé (...) de s'abstenir de faire de telles remarques", a dit le directeur général des Affaires européennes aux Affaires étrangères iraniennes, Hassan Tajik, cité par la télévision d'Etat.

    Source Europe 1 - 0/09/11

  • Guerre en Libye: contrat pétrolier secret entre la France et le CNT

    01/09/11 12h30
    PARIS (NOVOpress)
    – Loin des beaux discours démagogiques sur la démocratie et la « liberté des peuples », les vraies motivations de la guerre sarkozyste en Libye commencent à apparaître.

    En effet, la France aurait conclu un accord secret avec le Conseil national de transition lui attribuant 35% du pétrole libyen en échange de son soutien à la rébellion.

    C’est le quotidien Libération qui révèle aujourd’hui cette information soigneusement tenue secrète par le gouvernement français. Le journal affirme s’être procuré une lettre du CNT envoyée le 3 avril dernier à l’émir du Qatar, dans laquelle le Conseil précise avoir signé « un accord » attribuant 35 % du total du pétrole brut à la France en échange du soutien « total et permanent » à l’organe politique suprême de la rébellion libyenne.

    L’intervention de l’armée française achetée à coup de barils de pétrole, voilà qui ternit sensiblement l’image de « noble croisade humanitaire et démocratique » que Nicolas Sarkozy avait voulu donner de cette expédition militaire.

    De son côté, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a déclaré « ne pas avoir connaissance d’une telle lettre », tout en jugeant « logique » que les pays ayant soutenu les rebelles soient privilégiés dans la reconstruction de la Libye.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Mouammar Khadafi promet de poursuivre la lutte

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    TRIPOLI (Reuters) - Mouammar Kadhafi, qui n'a plus été vu en public depuis la prise de Tripoli par les insurgés libyens, a appelé jeudi ses partisans à poursuivre le combat et a promis une longue lutte qui "embrasera la Libye".

    Selon un chef militaire des autorités provisoires à Tripoli, le dirigeant libyen se trouverait à Bani Walid, ville du désert à 150 km au sud-est de Tripoli.

    Quarante-deux ans jour pour jour après l'arrivée au pouvoir du "guide", une conférence internationale de soutien à la Libye nouvelle s'est ouverte à Paris en présence des dirigeants de l'insurrection, qui contrôle la majeure partie du territoire libyen après six mois de guerre civile.

    Sur le front, le Conseil national de transition (CNT) a repoussé d'une semaine, jusqu'au 10 septembre, l'ultimatum lancé aux soldats et partisans de Kadhafi, notamment ceux qui défendent sa ville natale, Syrte, à 450 km à l'est de la capitale. Le CNT leur laisse ce délai pour déposer les armes, faute de quoi l'assaut sera lancé contre leurs positions.

    Dans une déclaration diffusée sous forme écrite par la chaîne satellitaire syrienne Arraï, Mouammar Kadhafi assure que les tribus qui lui sont restées fidèles à Syrte, sur la côte méditerranéenne, et à Bani Walid, à l'intérieur des terres, sont armées et qu'elles ne seront pas vaincues.

    "NOUS NE SOMMES PAS DES FEMMES"

    Affirmant que les forces de ses ennemis sont divisées, il demande à ses partisans de continuer à se battre même s'ils ne peuvent entendre sa voix. "Nous n'abandonnerons pas, nous ne sommes pas des femmes. Nous continuerons à nous battre", lance-t-il dans cette déclaration.

    Mercredi soir, l'un de ses fils, Saadi, déclarait pourtant à la chaîne de télévision Al Arabia qu'il avait été mandaté par son père pour négocier avec le CNT afin de mettre un terme aux affrontements.

    Le chef du conseil militaire installé à Tripoli, Abdoul Hakim Belhadj, a confirmé à Reuters avoir parlé au téléphone avec Saadi Kadhafi et lui avoir promis qu'il serait correctement traité s'il se rendait.

    Mais un autre fils du "guide", Saïf al Islam, affirmant parler d'un faubourg de la capitale, a juré de poursuivre le combat et de libérer Tripoli.

    Selon Abdel Madjid Mlegta, coordinateur des opérations militaires au CNT, Mouammar Kadhafi, Saïf al Islam et le chef des services de renseignements Abdallah al Senoussi ont gagné Bani Walid, ville d'environ 50.000 habitants, trois jours après la chute de Tripoli la semaine dernière.

    Tous trois sont recherchés par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye pour crimes contre l'humanité.

    Les combattants du CNT ont déclaré mardi qu'ils ne se trouvaient qu'à une trentaine de kilomètres de Bani Walid.

    Des poches de résistance demeurent et les pro-Kadhafi tiennent également, outre Syrte et Bani Walid, l'oasis de Sebha, dans le centre-ouest du pays.

    DÉBLOCAGE D'AVOIRS LIBYENS

    Mercredi, l'Otan a mené des raids aériens contre des batteries lance-roquettes près de Syrte. L'Alliance a également visé un dépôt de munitions et un centre de commandement près de Bani Walid, a annoncé un porte-parole à Bruxelles.

    Sur le plan diplomatique, la Russie a finalement reconnu le CNT, juste avant l'ouverture de la conférence de Paris.

    L'Union européenne a décidé pour sa part de mettre un terme à ses sanctions visant six ports libyens et plusieurs sociétés pétrolières et bancaires.

    A Paris, la France et la Grande-Bretagne, fers de lance de l'opération qui a permis aux opposants libyens de renverser Kadhafi, sont parvenus à réunir les représentants d'une soixantaine de pays et d'organisations internationales.

    L'aide d'urgence à un pays ravagé par les combats depuis six mois est au menu de la conférence, de même que la transition politique, Paris et Londres étant soucieux d'éviter en Libye les erreurs commises en Irak après la chute de Saddam Hussein.

    Mais la reconstruction d'un pays riche en pétrole et gaz et en manque d'infrastructures est aussi dans tous les esprits.

    La France a obtenu l'autorisation de débloquer 1,5 milliard d'euros d'avoirs libyens gelés afin que le CNT puisse engager la reconstruction, a annoncé Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères.

    Avec Mohammed Abbas à Tripoli, Maria Golovnina à Misrata, Emma Farge, Robert Birsel et Alex Dziadosz à Benghazi, Richard Valdmanis et Alastair Macdonald à Tunis, Justyna Pawlak à Bruxelles et Yann le Guernigou à Paris, Guy Kerivel pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    01/09/11

  • Sarkozy menace l'Iran d'attaque préventive !


    Sarkozy menace l'Iran!
    Qu’est-il arrivé à la France pour qu’elle aborde le XXIe siècle, arme à la main, dans des loques des guerriers des temps révolus, elle, qui entra dans le XXe toute contrit de son passé de puissance coloniale déchue ?

    Comment cette nation de raison qui enseigna longtemps à l’humanité les B-ABA de la démocratie s’est-elle réduite au rang d’un pantin manipulable, manipulé aux services des intérêts de Washington et de Tel-Aviv ? Hargneuse, irrationnelle, agressive, homicide, cette France que Sarkozy représente cumule les confrontations armées et de conflit en conflit, se ruine, croyant naïvement que le pétrole et le gaz volés aux pays conquis sous prétexte oh combien ridicule de l’humanitaire sauraient raboter sa dette abyssale, requinquer son économie, faire en sorte qu’un Français sur sept ne vivent plus sous le seuil de pauvreté.
     
    Cette France aveuglée par son tropisme pro-américain menace aujourd’hui l’Iran d’« attaque préventive ». Imbue sans doute de ses trophées de guerre en Libye, elle dit vouloir « frapper les sites nucléaires civils » d’un pays souverain, situé à des centaines de kilomètres de son territoire national pour le stopper net dans ses soi-disant « ambitions nucléaires » à ce jour non-prouvées.
     
    A entendre son Président, cette France-là veut singer l’Amérique de l’ère Bush avec le même aveuglement, la même démence, le même obscurantisme avant de connaitre les mêmes déboires. Ces menaces, qu’elles soient réelles ou fictives, marquent un tournant dans la diplomatie française, une désormais diplomatie de la canonnière que Sarkozy pratique au nom du « politiquement correct» et « économiquement juteux». Mais est-ce réellement correct et juteux ? L’Irak, l’Afghanistan prouvent le contraire. Quant à la Libye, nemo legem ignorare censetur et la loi veut que la colonisation et la dictature soinet les deux facettes d’une même médaille.
     
    IRIB
     
    ALTER INFO -01/09/11

  • Rocard s'excuse de ses propos sur la maladie mentale de son ami DSK... - La culture de l'excuse !

    L'ex-Premier ministre socialiste Michel Rocard a tenu à s'excuser mercredi auprès de son "ami" Dominique Strauss-Kahn, dont il avait estimé lundi qu'il était atteint d'une "maladie mentale" qui l'empêchait de "maîtriser ses pulsions".

    Michel Rocard a assuré qu'il "regrettait que les propos à l'emporte-pièce qu'il a tenus sur Canal+ aient pu être blessants pour son ami Dominique Strauss-Kahn et il tient à s'en excuser auprès de lui".

    Lors de l'émission Le Grand Journal de Canal+, Michel Rocard avait lancé : "Cet homme a visiblement une maladie mentale", éprouvant des "difficultés à maîtriser ses pulsions. C'est dommage, il avait un vrai talent, c'est vrai".

    TF1 News - 31/08/11

  • La leçon de morale de retour à l'école primaire...

    Le ministère de l'Éducation veut réactiver l'apprentissage des préceptes du bon sens citoyen. 

    Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage …» Le ministère de l'Éducation nationale fait une nouvelle offensive pour restaurer les leçons de morale à l'école primaire par le biais de maximes très simples. Glissées dans les nouveaux programmes de l'école primaire élaborés en 2008 par les services de Xavier Darcos, sentences et maximes d'autrefois reviennent sur le devant de la scène. Une note de synthèse de l'Inspection générale de l'Éducation nationale sur l'application de la réforme du primaire de juillet dernier note qu' «en instruction civique et morale, la morale n'est presque jamais abordée et l'utilisation de maximes illustrées demeure rarissime» . Explications : un manque de temps pour boucler les programmes, mais aussi une conception jugée «passéiste» par les enseignants, qui préfèrent souvent traiter de thématiques liées à la vie de l'école.

    D'où la volonté du ministère d'enfoncer le clou. Dans la circulaire pour la rentrée 2011, qui sert de trame aux enseignants pour les nouveautés de l'année, Jean-Michel Blanquer, directeur général de l'enseignement scolaire, a tenu à réaffirmer qu'«il est indispensable que l'école réaffirme son engagement dans la transmission de références communes qui permettent de penser, vivre et agir ensemble». Et de poursuivre : «Ceci doit se traduire, dès l'école primaire, par des exercices concrets. Les maîtres peuvent recourir par exemple à l'exercice classique de commentaire quotidien d'une maxime ou d'un exemple remarquable, pour aider l'enfant à acquérir les repères et les principes de la citoyenneté et de la vie collective.» Un air d'antan souffle sur la tête de nos petits chérubins. Afin de définir une méthode, un groupe de travail devrait se réunir dans les prochains jours, avec le projet de produire un livret de maximes.

    Ces dernières années, plusieurs ouvrages de morale du début du siècle sont ressortis en librairie, rencontrant leur petit succès, preuve que l'engouement pour une certaine nostalgie ne se dément pas. Auteur des Cahier pratique de morale *, l'historien Jacques Gimard raconte que «le principe de la maxime inscrite au tableau chaque matin, instauré en 1882 avec les premiers programmes de Jules Ferry, rencontrait déjà des premières oppositions dans les années 1920 parmi certains maîtres… Il a totalement disparu à la fin des années 1960, avec les circulaires Edgar Faure». Françoise, quasi la cinquantaine, se souvient encore «comme si c'était hier» de ces maximes écrites en pleins et en déliés sur le tableau noir, qu'elle apprenait chaque matin à l'école primaire d'un bourg ardéchois.

    Un peu plus d'éducation civique 

    Mais leur retour n'est pas forcément applaudi par tous. «Réintroduire les maximes de morale au tableau et les apprendre par cœur est une fausse bonne idée, poursuit Jacques Gimard. C'est totalement dépassé !» Sur le terrain, les pratiques sont très diverses. Reste que des méthodes plus modernes peuvent utiliser ces maximes : enseignante en CM1 à Carcassonne, Colette Monfrait, comme plusieurs de ces collègues, fait travailler ses élèves sur ces vieilles maximes. « C'est un moment que les enfants adorent ! explique-t-elle. Chaque semaine au premier trimestre, je les fais réfléchir et écrire sur une maxime que deux d'entre eux ont choisie dans un petit recueil. Aux deuxième et troisième trimestres, nous organisons des discussions sous le préau à partir de ces maximes d'antan !»

    De «Pierre qui roule n'amasse pas mousse» à «Bien mal acquis ne profite jamais» en passant par «Qui vole un œuf vole un bœuf», elles sont ensuite affichées dans la classe. Tout en refusant ce qu'il appelle «l'école de grand-papa», Sébastien Shir, secrétaire général du syndicat des enseignants du primaire Snuipp, insiste sur la nécessité de débattre avec les élèves à partir de questions sur le respect d'autrui, le bien et le mal, plutôt qu'un apprentissage par cœur. Autrement dit de faire un peu plus d'éducation civique.

    (1) «Cahier pratique de morale», Hors Collection, et «La Morale à l'école», Berg International.(2) La morale à l'école Berg International

    Source Le Figaro - 31/08/11

     

  • Libye - Seif al-Islam, dans une banlieue de Tripoli, appelle à résister

    mercredi 31 août 2011, par La Rédaction

    L’un des fils de Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, a affirmé mercredi se trouver dans la banlieue de Tripoli et a appelé à "résister" malgré la chute de la capitale libyenne aux mains des insurgés, dans un message sonore diffusé par la télévision Arrai, dont le siège est à Damas.
    "Je vous parle d’une banlieue de Tripoli. Nous voulons tranquilliser le peuple libyen, nous sommes toujours là, la résistance continue et la victoire est proche", a dit Seif al-Islam, traqué par la rébellion de même que sa famille, selon ce message.


    "Chaque Libyen est Mouammar Kadhafi, chaque Libyen est Seif al-Islam. Là où vous vous trouvez face à un ennemi, combattez-le", a-t-il ajouté. "Le Guide se porte bien", a-t-il encore dit.

    Seif al-Islam Kadhafi a en outre mis en garde contre une offensive sur Syrte où seraient massés 20.000 hommes armés.


    La chaîne arabe Arrai avait diffusé il y a dix jours des messages de son père, la télévision libyenne étant aux mains des rebelles.

    Source Al-Oufok - 31/08/11