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  • Haute-Savoie: une statue de la Vierge Marie provoque la colère des socialistes

     L'édification d'une statue de la Vierge Marie aux frais de la commune de Publier (Haute-Savoie) a provoqué l'indignation du parti socialiste et des Libres Penseurs qui dénoncent une "entorse à la laïcité".
     
    Reposant sur un socle où figure l'inscription "Notre-Dame-du-Léman veille sur tes enfants", la statue a été acquise la semaine dernière pour 23.700 euros hors taxes par la commune de Publier, située au bord du lac Léman, entre Thonon-les-Bains et Evian-les-Bains.

    Il n'en faut pas plus pour provoquer la colère de certains défenseurs de la laïcité. Dans une lettre ouverte au maire de Publier, la première secrétaire du parti socialiste de Haute-Savoie, Claire Donzel a jugé que cette acquisition sur derniers publics ainsi que son implantation sur un terrain communal "ont de quoi choquer tout citoyen français en ce qu'elles représentent à double titre une entorse à la loi de 1905 de séparation de l'Eglise et de l'Etat". De son côté, la Fédération départementale de la Libre Pensée a demandé dans un communiqué au maire de Publier "de prendre toutes dispositions pour faire procéder à l'enlèvement de la voie publique de cette Vierge qui est un symbole de la religion catholique". Les Libres penseurs évoquent en outre d'éventuelles actions "y compris sur le terrain administratif et juridictionnel" pour contrer "cette entorse à la laïcité".

    Contraire à la loi de 1905
     

    Contacté à plusieurs reprises depuis vendredi, le maire de Publier, Gaston Lacroix (divers gauche), n'a pas donné suite aux appels de la FLP. "C'est une oeuvre d'art. Cette vierge est un repère dans une société qui n'en a plus", avait-il déclaré au Dauphiné Libéré. Un habitant de Publier, Jean-Christophe Bernaz, a déclaré de son côté qu'il déposerait un recours devant le tribunal administratif contre la décision du maire. Il la juge contraire à la loi de 1905 et réalisée sans appel d'offres. "C'est une grave bêtise. Si des maires commencent à planter des vierges partout, où va-t-on ?", a interrogé ce promoteur immobilier, par ailleurs membre de l'UMP.
     
    En janvier 2010, le tribunal administratif de Rennes avait déclaré illégale une subvention versée par le conseil général du Morbihan pour l'édification d'une statue de Jean-Paul II à Ploërmel (Morbihan).

    TF1 News le 05 septembre 2011
  • Marine Le Pen dénonce les 15 milliards d'euros brûlés pour la Grèce

     

    Discours de Marine Le Pen, prononcé sur le Pont de la Concorde à Paris, aujourd’hui à 15h00

    Mesdames, Messieurs,

    Je vous remercie de votre présence à ce point presse. Nous l’organisons à l’occasion du vote aujourd’hui par l’Assemblée nationale du projet de loi de finances rectificative. Cette loi de finances alourdira la dette publique de notre pays de 15 nouveaux milliards d’euros, au bénéfice du deuxième plan de renflouement de la Grèce.

    15 milliards d’euros, c’est deux fois ce qu’on donne chaque année à notre Justice pour fonctionner. C’est davantage que le déficit des retraites cette année !

    Le geste que viennent d’accomplir sous vos yeux les jeunes du Front National symbolise parfaitement ce que plusieurs centaines de députés de l’UMP et du PS sont en train de faire avec l’argent des Français : le jeter à l’eau.

    En pleine période de crise, quand le chômage explose, le pouvoir d’achat s’effondre, quand le pays file à vitesse grand V vers le surendettement, ces députés ne trouvent rien d’autre à faire que de prendre 15 milliards d’euros dans la poche des Français pour le dilapider.

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    Nations  Presse Info

  • Le passé nazi de Monsieur Ikea resurgit de nouveau en Suède

    Ingvar_Kamstrad.jpg

    Ingvar Kamprad est né en 1926

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ingvar_Kamprad

    Le passé nazi du fondateur d'Ikea revient à la une de l'actualité en Suède. Le fait qu'Ingvar Kamprad avait été membre du parti nazi suédois dans les années 1940 est connu depuis longtemps – l'intéressé en parle comme d'une "erreur de jeunesse". Mais de nouveaux faits aggravants sont présentés dans un livre [Och i Wienerwald står träden kvar, Elisabeth Åsbrink, éditions Natur & Kultur, Stockholm]. La journaliste y affirme que Kamprad était plus fortement impliqué qu'il ne l'avait jusqu'alors reconnu.

     En effet, il recrutait activement de nouveaux membres pour le parti nazi et était surveillé par les services de sécurité à cause de son engagement. Le quotidien Dagens Nyheter écrit dans un éditorial : "Ingvar Kamprad s'en est déjà excusé. Mais pour être excusé, il faut tout dire, et ne pas avouer seulement ce pour quoi il existe des preuves indéniables, comme le fait un criminel soumis à un interrogatoire." Dagens Nyheter estime que la réaction d'Ingvar Kamprad témoigne d'une faible moralité, soulignant qu'"il met toute la réputation d'Ikea en jeu. L'entreprise compte 123 000 salariés dans 25 pays, dont Israël. On peut se demander comment réagiront les clients aux nouvelles compromettantes qui ne cessent d'émerger sur le passé du fondateur de l'entreprise."

    Le quotidien Aftonbladet rappelle pour sa part le statut de héros dont Ingvar Kamprad jouit en Suède, qui rend les Suédois réticents à le critiquer." Que faut-il pour que nous, les Suédois, arrêtions de voir Kamprad comme l'un des grands hommes du pays ?" se demande le journal, tout en rappelant les pratiques de défiscalisation de Kamprad récemment dévoilées [En janvier dernier, la chaîne publique suédoise a diffusé un documentaire qui détaillait les pratiques douteuses du groupe pour éviter de payer des impôts, notamment par l'intermédiaire d'une fondation au Liechtenstein.] Or la réponse des Suédois à tout cela, précise Aftonbladet, c'est :  "Arrêtez de pourchasser Kamprad qui a fait tant de bien au pays".

     Le quotidien ajoute qu'il est désormais nécessaire de se demander si "ce gentil marchand des meubles a changé d'opinion depuis 1945 ou s'il a toujours le même point de vue".

    Source Courrier International - 28/08/11

  • Royaume-Uni: un cas de maladie mentale sur dix lié à l'avortement

    Le British Journal of Psychiatry, cité par le Daily Telegraph, affirme que les femmes qui subissent un avortement courent un risque près de deux fois plus élevé que la moyenne de souffrir de problèmes psychiatriques, et qu’un cas de maladie mentale sur dix résulte « directement » d’un avortement.

    Cette étude publiée par un journal bien en cour porte la signature de l’universitaire américaine Priscilla Coleman et complète une étude réalisée il y a trois ans qui avait mis en doute l’affirmation des partisans de l’avortement selon laquelle l’avortement permettait de réduire plutôt d’aggraver les risques pour la santé des femmes.

    Il ne s’agit pas d’un sondage mais de l’analyse des résultats de 22 enquêtes qui ont porté sur l’expérience effective de 877.000 femmes, parmi lesquelles 163.831 avaient subi un avortement.

    Conclusion de l’analyse : « Les résultats indiquent de manière assez constante que l’avortement est lié à un risque modérément à fortement élevé de problèmes psychologiques liés à l’acte. »

    Le risque de troubles liés à l’anxiété croît de 34 %, le risque de dépression augmente de 37 %, pour l’abus d’alcool le risque est plus que doublé (+ 110 %), et même davantage pour l’usage de cannabis (220 %), tandis que le risque de tentative de suicide augmente de 155 %.

    Priscilla Coleman souligne au terme de son étude que les femmes devraient être averties de ces risques importants au moment où elles demandent un avortement.

    Les résultats de cette étude tombent à pic au moment où les parlementaires britanniques sont saisis d’une demande de modification de la loi d’avortement imposant aux femmes de voir au préalable un conseiller indépendant : ce projet ne rencontre pas l’approbation de groupes pro-vie, j’y reviendrai.

     Source : le blog de Jeanne Smits

    Contre-info.com - 05/09/11

  • Polynésie française: un maire condamné pour avoir refuser de marier

    Le maire de la commune de Taputapuatea, sur l’île de Raiatea en Polynésie française, a été condamné, jeudi par la Cour d’appel de Papeete, à 4.100 euros d’amende pour avoir refusé de célébrer le mariage d’un couple, en novembre 2009, sachant que « l’épouse » était transsexuelle.

    Thomas Moutame, qui s’était opposé à cette union en raison de ses convictions religieuses, devra en outre verser 625 euros à chacun des deux plaignants.

    La Cour d’appel a cependant infirmé la peine prononcée en première instance condamnant l’édile, de confession adventiste, à un an d’inéligibilité, « un grand soulagement », selon l’intéressé qui conserve donc ses mandats.

    Malgré sa condamnation au pénal, Thomas Moutame ne compte pourtant pas revenir sur ses positions.  » Pour moi un mariage c’est un homme et une femme. Est-ce que cette femme peut faire des enfants ? Ce sera toujours un homme », a-t-il déclaré à la presse.

     Une vision que partageraient, selon lui, nombre d’élus de ce territoire français du Pacifique où la religion est très présente : « J’ai demandé à tous mes collègues maires. Personne ne voulait faire ce truc-là », a-t-il ainsi ajouté.

    Selon son avocat, Me François Quinquis, « la question des mariages des transsexuels » ne serait cependant pas totalement tranchée « en droit positif ».

    « Il est vrai qu’elle est résolue en droit européen mais tant que les choses ne sont pas transposées dans la loi française, il est difficile, à mon sens, de venir dire que monsieur Moutame aurait contrevenu à la loi », a estimé le pénaliste qui a toutefois annoncé qu’il ne contesterait pas, en cassation, la « décision équilibrée » rendue par la Cour d’appel.

    Contre-info. com - 05/09/11

  • Rentrée des classes à Marseille

    05/09/11

  • Carla Bruni: "Je ne montrerai jamais de photos de mon enfant"

    Photos de Louis Sarkozy et d'Aurélien Enthoven:

    http://foro.opinando.ws/viewtopic.php?t=439&sid=e4ea6550c0a0fa4c0db6d74e6d4a830c

    TF1 - 04/09/11

     

  • Anne Mansouret juger "indécent" le retour de Strauss-Kahn

    Anne Mansouret, mère de Tristane Banon, qui a porté plainte contre DSK, et vice-présidente PS du conseil général de l'Eure, a jugé dimanche le retour de l'ancien patron du FMI "indécent" et a souhaité qu'il s'explique devant la police dans l'affaire qui concerne sa fille. "Espérons qu'il ne partira pas pour le Maroc pour fuir les interrogatoires de la police" dans l'affaire Tristane Banon, qui a porté plainte contre DSK pour tentative de viol en 2003, a déclaré Anne Mansouret sur BFM TV.

    "Je suis un peu choquée par le côté médiatique de ce retour. Pour moi, comme tous ceux qui ont fait du droit dans leurs études, tant que monsieur DSK n'aura pas été jugé, il ne sera pas blanchi", a déclaré Mme Mansouret au sujet du volet américain de l'affaire DSK, où subsiste une procédure civile.

    "Je trouve que ce retour est à proprement parler indécent. Comme Polanski, monsieur Strauss-Kahn fuit la justice américaine."

    "La moindre des choses serait qu'il soit disqualifié politiquement. Je n'ose imaginer qu'on lui donne un rôle pendant la campagne : cela serait se tirer une balle dans le pied à gauche", a ajouté Anne Mansouret. "J'ai honte qu'un membre éminent de la formation politique à laquelle j'adhère ait enfreint les valeurs de la gauche, a-t-elle poursuivi. Madame Diallo est une travailleuse qui méritait d'être défendue. Seule Marie-George Buffet a eu le courage politique de défendre madame Diallo. Je trouve cela très choquant.

    04/09/11

  • Vastes manifestations en Israël contre Netanyahu

     

    IRIB- Les manifestations de protestation de 700.000 Sionistes, dans 19 villes, en Palestine occupée, dite Israël, y ont fait monter d’un cran la crise.

    Quelque 700.000 Sionistes opposés aux politiques du cabinet de Netanyahu, en descendant, hier soir, le 3 septembre, dans la rue, et en scandant des slogans anti-régime, ont réclamé la démission du cabinet. Ces manifestations qui sont, depuis la proclamation illégitime de  ce régime en 1948, les plus grandes du genre, se poursuivent, depuis le mois d’août, gagnant, au deuxième mois, toute la Palestine occupée.

    Contrairement aux chiffres annoncés par les activistes politiques, les médias gouvernementaux ont évalué le nombre des protestataires à 400.000 tandis que la police l’a réduit à 300.000. Et ce, dans des conditions où l’étendue de la discrimination et de l’injustice, au sein de la société sioniste, s’est élargie, à tel point que les milieux sionistes ont prévu que le nombre des protestataires augmentera, dans les jours à venir, à plus d’un million.

     La montée en flèche du prix des logements et des produits alimentaires, l’augmentation des frais des soins médicaux et de l’enseignement, et la hausse des impôts, avec, en filigrane, des conditions sociales défavorables, figurent parmi les raisons qui ont fait descendre, non seulement, les citoyens, mais aussi, les colons sionistes, dans la rue, pour exprimer leur vif mécontentement contre les politiques du cabinet Netanyahu. Il est clair qu’en tenant compte d’une population de 7 millions d'âmes, dont un million sont des Palestiniens, la présence de 700.000 protestataires dans la rue, est un nombre considérable, soit 10% d’une population hétérogène.

     Les manifestants réclament la démission du cabinet de coalition de Benyamin Netanyahu, mettant l'accent sur la poursuite de leur mouvement, jusqu’à ce qu’ils obtiennent gain de cause. Il ne fait aucun doute qu’au cours de ces deux dernières décennies, les autorités sionistes, sans prendre en compte les conditions de vie de leurs citoyens, incitent les Juifs, à travers le monde, à venir s’installer, en Palestine occupée, afin d’augmenter le nombre de leur population hétérogène.

    Ces immigrants séduits, initialement, par de belles promesses, pourtant creuses, de vivre dans le Paradis promis, malgré leur formation universitaire, se livrent, actuellement, en tant que citoyens de deuxième classe, à des activités inappropriées ou bien sont au chômage, d’une part, et de l’autre sont hébergés dans des colonies plantées dans les territoires palestiniens de Cisjordanie et de Qods-Est. Le résultat de 63 ans d’occupation de la Palestine, est un régime qui s’est uniquement focalisé sur l'achat et le stockage d'armes conventionnelles et non-conventionnelles, sur la poursuite de ses politiques bellicistes et sur la propagation de l’extrémisme.

    Actuellement, les séquelles de cette iniquité, propageant misère et corruption, minent de l’intérieur ce régime. Dans de telles conditions, bien que les experts israéliens n’estiment pas immédiate la chute du cabinet de Netanyahu malgré les vastes manifestations à son encontre, il est évident que, désormais, son cabinet, ainsi que ses successeurs devront relever de nombreux défis, notamment, de la part de la classe moyenne, et il n’est pas exclu que ce danger en puissance sape les piliers de ce régime factice.

    IRIB - 04/09/11

     

  • Qui est-ce ? n° 45

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    (Cliquez sur la photo)

  • DSK de retour à Paris garde le silence

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    Strauss-Kahn et Sinclair dans leur hôtel particulier de la Place des Vosges - (Cliquez sur la photo)

    PARIS (Reuters) - Dominique Strauss-Kahn est rentré dimanche à Paris, un retour très médiatisé mais pour l'instant silencieux qui ouvre un nouveau chapitre du feuilleton judiciaire et politique lancé par son arrestation le 14 mai.

    Arrivé peu après 7h00 à l'aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle en provenance de New York, l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) et son épouse, Anne Sinclair, ont rejoint leur appartement de la place des Vosges, dans le centre de Paris, où les attendaient plusieurs dizaines de journalistes.

    Mais l'ex-favori des sondages pour la présidentielle de 2012 ne s'exprimera pas publiquement dans les prochaines heures, a déclaré sa conseillère en communication et amie Anne Hommel.

    "C'est impossible à faire dans ces conditions donc vous pouvez largement vaquer à vos occupations ! Travailler comme ça, c'est trop compliqué", a-t-elle dit aux journalistes.

    Comme à Washington et à New York ces derniers jours et comme à Roissy à son arrivée, reporters, cameramen et photographes étaient en effet très nombreux à suivre chacune des étapes du retour de l'ex-favori des sondages pour la présidentielle française de l'an prochain.

    Une effervescence commentée par les habitants du quartier.

    "Je suis heureux pour lui, qu'il puisse vivre en homme libre", a déclaré à Reuters Jonathan Boulet, qui se présente comme l'un des anciens militants de ce dernier.

    Un passant brandissait toutefois devant les caméras deux feuilles de papier sur lesquelles il avait inscrit: "DSK gros dégueulasse, vieux dégueulasse".

    INCONNUES

    L'ex-maire de Sarcelles retrouve la France pour la première fois depuis son arrestation il y a trois mois et demi pour agression sexuelle présumée à l'encontre d'une femme de chambre d'un hôtel new-yorkais, après l'abandon des poursuites pénales par un tribunal de New York le 23 août dernier.

    Son retour, attendu non sans un certain embarras par certains responsables socialistes, a été salué par ses amis.

    "Le choc des événements de ces dernières semaines l'a amené à se mettre de côté par rapport à la vie politique mais je ne vois pas comment notre pays pourrait se passer de telles compétences", a dit sur LCI Jean-Marie Le Guen, député PS de Paris et proche de "DSK".

    Mais la candidate à la primaire socialiste en vue de la présidentielle de 2012, Ségolène Royal, tout en reconnaissant ses "compétences", s'est montrée plus prudente.

    "Il faut laisser du temps au temps, comme le disait François Mitterrand", a-t-elle dit sur BFM TV en ajoutant : "C'est à lui-même de définir ce qu'il souhaite faire."

    Son concurrent François Hollande a abondé dans le même sens, insistant aussi sur la compétence "reconnue" de l'ancien directeur général du FMI et annonçant, sans plus de précision, qu'il comptait utiliser "tous les talents" s'il était élu.

    Si l'hypothèse d'une intervention médiatique de Dominique Strauss-Kahn dès ce dimanche est écartée, il pourrait accorder un entretien à un journal télévisé dans les prochains jours, selon plusieurs médias.

    Cette intervention pourrait lui permettre de livrer sa version des événements des derniers mois et du dossier judiciaire. Mais pas forcément de tenter d'emblée de reprendre place sur l'échiquier politique.

    RÉTICENCES

    Car Dominique Strauss-Kahn n'en a toutefois pas totalement fini avec la justice. Américaine d'abord, car il reste visé par une procédure au civil engagée par son accusatrice, Nafissatou Diallo. Française ensuite, puisqu'une enquête est ouverte sur un abus sexuel présumé, allégué par Tristane Banon, une romancière qui dit avoir été agressée en 2003.

    La mère de cette dernière, Anne Mansouret, élue PS au conseil général de l'Eure a d'ailleurs critiqué dimanche les conditions de son retour.

    "Tant que M. Strauss-Kahn n'aura pas été jugé, il ne sera pas blanchi. Donc, comme beaucoup de Français, comme beaucoup de socialistes, je trouve que ce retour et la façon dont il est présenté est à proprement parler indécent", a-t-elle ajouté sur BFM TV.

    A droite, les premières réactions visent aussi la médiatisation de ce retour, qui occulte en partie le "Campus", l'université d'été de l'UMP réunie à Marseille ce week-end.

    "Il est évident que ce soir, dans les premiers titres de l'actualité, on verra probablement plutôt toute la journée de DSK que les débats que nous aurons ici" a ainsi déclaré Benoist Apparu, le secrétaire général au Logement, en marge de la réunion UMP.

    "La vie politique est comme ça, l'actualité est comme ça. On ne va pas non plus s'arracher les yeux pour ça."

    Pauline Mével, Chine Labbé et Marc Angrand, avec Emmanuel Jarry à Marseille, édité par Yves Clarisse

    Source Yahoo Actualités - 04/09/11

  • Moscou: des milliers de musulmans prient dans les rues

    04/09/2011 08h30
    MOSCOU (NOVOpress) - Les images sont saisissantes. Des milliers de musulmans priant dans la rue à Moscou. Des résidents ont pris des images de cette prière.

    A Moscou, il y a quatre grandes mosquées. De plus, la salle Sokolniki, qui peut accueillir 8.000 personnes, a été utilisée pour cet « événement ». Mais même cela n’était pas suffisant, de sorte que plusieurs rues étaient bondées.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

     

  • Béziers: sept jeunes agressent une jeune fille dans le train

    Midi Libre
    03/09/2011, 20 h 17
     

    Mardi 30 août, en fin de journée, les policiers du commissariat de Béziers sont alertés pour intervenir à l’arrivée d’un train qui vient de Montpellier en direction de Narbonne.

    À son bord, sept jeunes seraient en train d’agresser une jeune fille âgée de 18 ans. Pour “passer le temps”, ils lui tripotent les cuisses, les bras, jettent des morceaux de billets de train entre ses seins, lui lance des propos obscènes. Bref, c’est un calvaire pour la jeune victime qui reste pétrifiée et impuissante face à cette bande d’énergumènes qui terrorise l’ensemble de la rame.

  • Italie: tuberculose, gale et lèpre sont au rendez-vous...

    Mycobacterium-leprae-500x250.jpg

    Bactérie de la lèpre

    03/09/11

    ROME (NOVOpress) – 79 bébés contaminés : c’est le dernier bilan de la tuberculose au service de néonatologie du prestigieux CHU Agostino Gemelli de Rome (l’hôpital du Pape), après qu’une infirmière s’est révélée atteinte de la maladie, le 18 août dernier. Des tests systématiques sont en cours sur tous les enfants nés à Gemelli ces derniers mois et le nombre de ceux qui sont positifs augmente tous les jours : 22 nouveaux cas viennent d’être découverts. Le scandale est d’autant plus grand que le mari de l’infirmière, lui aussi infirmier (les autorités refusent de communiquer leur patronyme), avait eu une pleurésie tuberculeuse en 2004, sans que personne ne s’inquiète du risque de contagion.

    L’Italie est confrontée à une montée de la tuberculose, directement liée à l’immigration. À Milan, on dénombre depuis plusieurs années au moins 300 nouveaux malades par an, dont 70% sont des étrangers. L’inquiétude est particulièrement forte « en raison de la présence de nouvelles souches résistantes aux traitements, arrivées dans notre pays avec les flux migratoires les plus récents ». Un rapport officiel de 2009 par le Ministère de la Santé italien constatait : « L’augmentation progressive des cas de tuberculose parmi les personnes immigrées d’autres pays a produit de nouveaux problèmes dans la gestion de cette pathologie (difficulté d’accès aux services, barrières culturelles et linguistiques, difficultés de suivi) ». Le rapport préconisait « d’employer des médiateurs culturels dans les zones à forte proportion d’immigrés », tout en avertissant que « la question de programmes de dépistage parmi les immigrés provenant de pays à haute endémie tuberculeuse n’a pas été abordée ». Il ne faudrait évidemment pas « stigmatiser » ces populations.

    Il n’y a pas que la tuberculose. À Otrante, dans les Pouilles, le centre d’accueil « Don Tonino Bello » a dû être fermé aujourd’hui en raison d’une épidémie de gale. Deux mineurs iraniens et un Afghan ont déjà développé la maladie. Les débarquements se succédant sans discontinuer sur les côtes du Salento (129 clandestins sont encore arrivés il y a quelques jours et ont été transférés à Otrante), le centre est surpeuplé et le risque de contagion particulièrement élevé.

    Même la lèpre est de retour. Après l’émotion suscitée en 2009 par le cas d’une Srilankaise à Milan, une sommité médicale, le Professeur Claudio Viscoli, directeur de la Clinique des maladies infectieuses de l’Université de Gênes, s’était voulu rassurant : « il n’existe aucune urgence sanitaire liée aux flux migratoires qui arrivent dans notre pays ». Il avait pourtant dû avouer que « ces dernières années, il y a eu des cas de lèpre, de tuberculose et d’autres maladies typiques des pays non-européens (où elles sont endémiques) que l’on n’avait jamais vues en Europe » (http://www.ilgiorno.it/milano/2009/03/06/156241-caso_lebbra_milano.shtml). Un second lépreux, un clandestin égyptien, avait été découvert à Milan quelques jours plus tard (http://milano.corriere.it/milano/notizie/cronaca/09_marzo_18/lebbra_secondo_caso_dieci_giorni-1501098183894.shtml).

    Comme toujours, la grande préoccupation du système politico-médiatique n’est pas de protéger les populations mais de lutter contre le « racisme ». En 1989, lorsqu’un clandestin marocain avait ramené la lèpre à Turin, La Repubblica, sous le titre « La lèpre déchaîne le racisme », s’était apitoyée sur les pauvres Nord Africains : « dans la colonie turinoise (ils sont 5 000 entre Marocains, Tunisiens et Algériens), ils craignent une autre croisade raciste à leur encontre. Certains diront à présent que, non contents d’être délinquants, trafiquants de drogue et violeurs, nous sommes encore porteurs de maladies graves ». C’est vraiment effarant tout ce que les Italiens racistes peuvent aller inventer !

    Lorsqu’a éclaté l’affaire de la tuberculose à Gelmini, l’Amsi (Association des médecins d’origine étrangère en Italie) s’est hâtée de publier un communiqué pour mettre en garde contre le risque de « préjugés et alarmisme à l’encontre des élèves d’origine étrangère » dans les écoles. Les médecins d’origine étrangère soulignent que «les immigrés n’apportent pas de maladies, mais ils tombent malade en Italie à cause de leurs difficiles conditions hygiéniques et sanitaires, économiques, sociales, de travail et de logement ».

    C’est à cause du racisme des Italiens que les immigrés ont la lèpre, rien de plus évident.

    Photo : Microphotographie de Mycobacterium leprae, bactérie de la lèpre.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Haïti: un temple maçonnique vandalisé

    Un temple franc-maçon a été vandalisé au Cap-Haïtien, dans le nord d'Haïti, dans la nuit de samedi à dimanche, moins d'un mois après la profanation de la cathédrale de cette ville.

    Cet acte n'a pas été revendiqué, mais des tracts ont été retrouvés sur place accusant la franc-maçonnerie d'être un "groupe de malfaiteurs qui utilisent la bible pour masquer leur vrai visage".

    Source Le JDD - 04/09/11

  • "La France doit intégrer l'islam" selon un idéologue bobo du PS

     

    Élucubrations et profession de foi d’un génocidaire par substitution : « Nous devons aujourd’hui faire admettre que l’identité de la France, n’est pas celle, n’est plus celle de l’autochtone dont vous parlez ». Tout un programme…
    Olivier Ferrand, président fondateur du think tank de gauche Terra Nova.

     Répliques, France Culture, 3 septembre 2011.

    NPI