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  • La consécration religieuse de Bollène violemment contestée par les socialistes

    Fin juin, lors de la fête liturgique du Sacré-cœur, le maire de Bollène a renouvelé la consécration de Bollène au Sacré-cœur de Jésus. Marie-Claude Bompard, accompagnée de quelques élus de sa majorité, du père Emmanuel Berger et une poignée de personnes de la paroisse, réunis à la Collégiale Saint-Martin, a lu ainsi, devant ce petit comité, l’acte de consécration de la commune au Sacré-cœur de Jésus.

     
     
    Une insulte à la laïcité et aux valeurs de la République selon Anthony Zilio, PS

    Cette prière (NDLR : datant du voeu de Louis XIII), qui entend placer la ville et ses habitants sous la protection du Cœur sacré de Jésus, a soulevé l’ire des socialistes bollénois.

    Bertrand Delanoé et Anthony Zilio

    Pour le secrétaire de la section locale du PS, cet acte est « insoutenable ». Le Bollénois Anthony Zilio dénonce avec véhémence une « insulte à la laïcité et aux valeurs de la République. Les lois sont celles de la République et aucune autre. Cette cérémonie de consécration crée le communautarisme religieux », estime-t-il. Anthony Zilio a décidé de saisir le procureur de la République.

    Le maire Marie-Claude Bompard entend par cette cérémonie « réaffirmer la tradition chrétienne de la France et de l’Europe » et réfute toute « croisade contre les musulmans ». Et de poursuivre : « Ce genre de prières appartient à nos traditions, notre identité chrétienne, tout comme la bénédiction de la mer et des bateaux à Nice, à Boulogne-sur-mer ou dans de nombreuses villes du littoral ».

     La municipalité se réfère aussi à Gaston Defferre, le maire socialiste de Marseille, « qui l’a fait pendant des années ».

    La municipalité qui insiste sur le fait que la cérémonie n’a rien coûté aux contribuables bollénois, dénonce une attaque politique « ridicule » et renvoie les socialistes bollénois à la soirée du ramadan de Delanoë, maire de Paris. « Coût de cette fête : 100 000 euros. M. Delanoë, s’est même fait rappeler à l’ordre par le préfet de police de Paris pour cela », ajoute le maire qui ne gêne pas pour rappeler qu’Anthony Zilio « posait fièrement à côté de M. Delanoë lors de sa venue dans le Vaucluse ».
    Un débat loin d’être clos.

    Source : Le Dauphiné

    Défrancistion - 03/09/11

  • Zemmour vs Domenach - Théorie du genre

    03/09/11

  • Ankara va entamer une procédure à la CIJ contre le blocus de Gaza

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    (Cliquez sur le dessin)

    Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a indiqué samedi que la Turquie lancerait la semaine prochaine une procédure judiciaire pour contester la légalité du blocus imposé par Israël sur la bande de Gaza, a rapporté l'agence de presse Anatolie. La Turquie déposera une requête devant la Cour internationale de justice (CIJ) dans le courant de la semaine prochaine, a affirmé M. Davutoglu au cours d'un entretien accordé à la chaîne nationale turque TRT, selon Anatolie.

    La saisie de la CIJ est une des cinq mesures de rétorsion contre Israël annoncées vendredi par Ankara pour sanctionner le refus de l'Etat hébreu de s'excuser après la mort de neuf Turcs dans un raid de l'armée israélienne contre une flottille d'aide humanitaire pour Gaza, en mai 2010. « Il ne s'agit pas d'une affaire entre la Turquie et Israël, il s'agit d'une affaire entre Israël et la communauté internationale, le droit international et la conscience internationale », a souligné M. Davutoglu, cité par Anatolie.

    En réaction, le vice-ministre israélien des Affaires étrangères, Danny Ayalon, cité par la radio publique, a dit « déplorer la décision turque ». Il a estimé qu' « elle n'avait pas de chances d'aboutir après que la commission de l'ONU a jugé que le blocus naval (imposé par Israël sur Gaza) ne contrevenait pas au droit international ».


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    ALTER INFO - 03/09/11

  • Les hommes de Washington en Libye

     

    Dans Le Monde du 1er septembre, Benjamin Barthe et Laure Stephan publient un court article titré « Les hommes-clés du Conseil national de transition ».

    Ceux-ci sont au nombre de quatre et l’on apprend donc ce qui suit sur ceux qui dirigeront la Libye de demain.

    Mahmoud Jibril « Premier ministre » du CNT et « son diplomate en chef », est « un économiste de 59 ans, qui a étudié et travaillé aux Etats-Unis« .

    Ali Tarhouni détient les portefeuilles des finances et du pétrole, au sein du Conseil national de transition, c’est un « ex-professeur d’économie à l’université de Seattle, aux Etats-Unis ».

    Khalifa Hifter est présenté ainsi : « dans la nébuleuse militaire rebelle, il est l’un de ceux avec lesquels il faudra compter. » Avant qu’on nous informe qu’il vient de vivre « vingt-quatre ans d’exil aux Etats-Unis ».

    Seul Abdel Hafez Ghoga, le quatrième « homme fort » du Conseil national de transition semble ne pas avoir de liens directs avec Washington.

    Les analystes politiques et les journalistes, s’ils identifient sans difficulté au sein de la nouvelle équipe dirigeant libyenne les hommes de Washington et de Ryadh (qui sont parfois les mêmes), sont par contre bien en peine pour savoir qui sont « les hommes de Paris », tant Nicolas Sarkozy n’a dans cette affaire joué qu’un seul rôle : celui d’un supplétif.

    NPI

  • Chirac trop "vulnérable" selon un rapport médical

     Jacques Chirac ne devrait pas assister à son procès qui débute lundi. On le savait affaibli et il ne devait pas être présent avant mardi, mais un nouveau rebondissement est intervenu ce samedi.

    Il n'a «plus l'entière capacité de participer au déroulement des audiences» de son procès qui s'ouvre lundi, et a demandé au tribunal que ses avocats «puissent le représenter», ont annoncé samedi les avocats de l'ancien chef de l'Etat dans un communiqué.

     
    Le rapport médical, qui a été sollicité par l'épouse de l'ancien président, Bernadette Chirac, et sa fille Claude, en juillet, et qui est signé du professeur Olivier Lyon-Caen, chef du service de neurologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, indique que M.Chirac est dans un état de vulnérabilité qui ne lui permet pas de répondre aux questions sur son passé.

    Source Le Parisien - 03/09/11

  • Chirac n'assistera pas à son procès en raison de son état de santé

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    Chirac cet été à Saint-Tropez - (Cliquez sur la photo)

    Par François-Damien Bourgery

    Les avocats de l'ancien président de la République Jacques Chirac ont annoncé, ce samedi 3 septembre 2011, qu'en raison de son état de santé, il ne pourra pas assister à son procès sur les emplois présumés fictifs de la ville de Paris qui s'ouvre lundi prochain. Il a donc demandé que ses avocats puissent le représenter dans une lettre envoyée au tribunal. Depuis la fin de son mandat présidentiel en 2007, Jacques Chirac apparaît en effet de plus en plus diminué.

     

    Alors que le procès de Jacques Chirac dans l’affaire des emplois présumés fictifs à la ville de Paris s’ouvre lundi 5 septembre, ses avocats viennent d’annoncer que l’ancien président, qui aura 79 ans en novembre, ne pourra pas y assister en raison de son état de santé. Une demi-surprise. Lundi 29 août, l’un de ses avocats avait en effet déjà annoncé que Jacques Chirac ne se rendrait pas à la première audience, consacrée à des questions de procédure, mais qu’il serait là dès le deuxième jour. Dans la lettre envoyée au tribunal vendredi 2 septembre, l’ancien président a demandé que ses avocats puissent le représenter.

    Jacques Chirac doit répondre dans ce procès de faits datant du début des années 1990 lorsqu’il était maire de Paris. Il est soupçonné d’avoir permis que des personnes travaillant essentiellement pour le parti qu’il dirigeait (le RPR, Rassemblement pour la République, « ancêtre » de l’UMP, Union pour un mouvement populaire) soient rémunérées par la mairie de Paris. Un volet de l’affaire, instruit à Nanterre (région parisienne), porte sur sept emplois ; le second, instruit à Paris, en concerne 21. Le procès, initialement prévu en mars, avait été ajourné à cause d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) soulevée par la défense. La cour de cassation avait rejeté cette QPC en mai, permettant de reprogrammer les débats.

    L’ancien président s’est toujours défendu de l’existence d’un « système organisé », affirmant que les recrutements mis en cause étaient « légitimes » et « utiles à la ville de Paris ». Après un accord d’indemnisation conclu avec l’UMP et Jacques Chirac en 2010, la ville de Paris a finalement renoncé à se porter partie civile. C’est désormais l’association anticorruption Anticor et quelques particuliers qui vont devoir porter la contradiction face à la défense.

    Face aux accusations portées contre lui, Jacques Chirac a toujours affirmé qu’il assumerait ses responsabilités et qu’il souhaitait que ce procès ait lieu et aille à son terme, affirment ses avocats. Mais selon une source proche du dossier, le désir de l’ancien président d’être jugé comme tout citoyen est incompatible avec son état de santé. « Il n’est plus en mesure de se défendre, et il ne supporte pas l’idée qu’on le dise », soutient la source en question.

    L’ancien président tente pourtant de faire bonne figure en poursuivant ses apparitions publiques, ici au Salon de l’Agriculture à Paris, là à la terrasse d’un restaurant en Bretagne, se mêlant volontiers au bain de foule. Cet été, en vacances à Saint-Tropez, il a ainsi passé plus d’une heure à signer des autographes et à poser avec des touristes sur le port, apparemment ravi. Mais les médias le montrent fatigué, diminué, la démarche hésitante, posant la main sur l’épaule de ceux qui l’accompagnent comme pour s’y appuyer. En juin dernier, lorsqu'il déclare qu'il votera François Hollande à l'élection présidentielle 2012, on le présente presque gâteux. Et les spéculations vont bon train. Fin janvier 2011, le Journal du dimanche a ainsi écrit que Jacques Chirac était atteint de la maladie d’Alzheimer. Une information aussitôt démentie par son épouse Bernadette qui avait déclaré : « Les médecins lui ont dit qu’ils n’avaient pas la maladie d’Alzheimer. Je les crois. Si mon mari souffrait de cette maladie, je n’hésiterais pas à le dire ».

    Alzheimer ou pas, depuis sa retraite présidentielle en 2007 après deux mandats à la tête de l’Etat français, Jacques Chirac décline. Son épouse elle-même le reconnaît. « Il n’est plus exactement ce qu’il a été », concède-t-elle, parlant de « troubles dont on ne sait pas s’ils sont liés à un effet à distance de son petit accident vasculaire cérébral ou au processus normal de vieillissement ». Ses visiteurs, sous couvert d’anonymat, évoquent des « absences », des « pertes de mémoire », confient qu’il « lui arrive de ne pas reconnaître les gens, même des proches ».

    Dans ce procès, Jacques Chirac encourt en théorie dix ans de prison et 150 000 euros d’amende. Mais le parquet, qui avait requis un non-lieu pendant l’instruction, devrait logiquement demander sa relaxe.

    Source RFI - 03/09/11

     

     
  • Seine-et-Marne: le maire UMP de Romainvilliers agressé

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    Être au mauvais endroit au mauvais moment. Un adage qui convient parfaitement pour décrire ce qui est arrivé vendredi soir à Arnaud de Belenet, maire UMP de Bailly-Romainvilliers et conseiller général de Thorigny-sur-Marne. Alors qu’il se rendait à l’inauguration du centre social de Thorigny-sur-Marne, à deux pas d’une cité HLM habituellement calme, il a été victime de deux agresseurs.

    D’après des témoins, ces hommes, visiblement éméchés, auraient d’abord frappé un gardien d’immeuble qui leur aurait refusé une cigarette. Ces derniers se mettent alors à le tabasser au sol à coups de pied et de poing. Pour une raison indéterminée, ils s’en seraient ensuite pris à Arnaud de Belenet, qu’ils auraient frappé de plusieurs coups de poing avant de prendre la fuite. Dans leur course, ils s’en sont également pris à un jeune adolescent.
     
    Choqué, le conseiller général de Thorigny souffre aussi d’un nez cassé. Il devait subir d’autres examens dans la soirée à l’hôpital de Lagny, où il a été transporté vers 18 heures. Tout comme le gardien, plus grièvement blessé. Dans la soirée, les auteurs des coups étaient toujours recherchés.

    Le Parisien - 03/09/11
  • Yvelines: un couple de retraités retrouvé assassiné

    Un couple de retraités âgés de 72 et 77 ans, a été découvert assassiné vendredi soir à Maurepas (Yvelines). Vers 21 heures, avenue du Roussillon, les pompiers sont intervenus à la demande de la famille, inquiète de ne pas avoir de nouvelles.

    Le couple a été retrouvé ligoté avec du fil de fer et tué de plusieurs coups de couteau.

     «Il est encore trop tôt pour affirmer s’ils ont été torturés », précise le procureur de Versailles Michel Desplan. Une autopsie a été ordonnée par le parquet.

    Ce modeste pavillon a été fouillé de fond en comble. L’heure de la mort n’a pas encore été établie mais les volets de la maison étaient fermés depuis jeudi après midi. La brigade criminelle de la DRPJ de Versailles est chargée de l’enquête.

    Source Le Parisien - 03/09/11

    NdB: Ils n'ont pas été "torturés" puisqu'ils ont été simplement ligotés avec du fil de fer et tués à coups de couteau !

  • L'humour ne chôme pas!

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  • Polémique! L'UMP Marleix qualifie le Vert Jean-Vincent Placé de "Coréen national"

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    «Pour M. Marleix, manifestement, seul le sang donne le droit d'être français. C'est une honte qu'un élu de la République puisse tenir de tels propos», a vivement réagit samedi Jean-Vincent Placé, conseiller politique de (Europe Ecologie-Les Verts). L'homme, tête de liste d'une liste d'union de la gauche pour les sénatoriales en Essonne, s'est dit choqué des propos d'Alain Marleix (UMP) le qualifiant de «Coréen national».

     



    «C'est un scandale absolu, et je suis rarement scandalisé, estime l'élu sur Rue89. Aujourd'hui il s'agit de moi, demain il dira de "notre Espagnol national" ou de "notre Marocaine nationale" ou de Rama Yade "notre Sénégalaise nationale"», a continué Jean-Vincent Placé.

    «Notre Coréen national, Jean-Vincent Placé, va avoir chaud aux plumes !»

    Sur publicsenat.fr, le responsable UMP chargé des élections sénatoriales du 25 septembre prochain, estime que la majorité aura «une avance assez nette» au Sénat. Evoquant la division à gauche, il parle des listes de gauche dissidentes, dans le Maine-et-Loire, en Moselle, en Meurthe-et-Moselle, dans le Pas-de-Calais, et «aussi dans l’Essonne, où notre Coréen national, Jean-Vincent Placé, va avoir chaud aux plumes !».

    «S'il appartient à la liberté d'expression du M. "charcutage électoral" de l'UMP de faire les pronostics qu'il souhaite sur le résultat des élections sénatoriales même si cela s'apparente davantage à la méthode Coué qu'à la froide analyse électorale, le propos tenu à mon sujet est particulièrement choquant», réagit encore l'intéressé. «Non que le fait d'être Coréen ne soit bien évidemment d'une quelconque infamie mais bien tout simplement parce que je suis Français depuis 34 ans et uniquement français», ajoute dans un communiqué le vice-président EELV du Conseil régional d'Ile-de-France qui rappelle avoir été adopté en 1975 par une famille normande et naturalisé 2 ans plus tard.

    «A l'UMP une accumulation de dérapages nauséabonds dans la plus grande impunité»

    «Cela démontre une fois de plus la lepénisation avancée de l'UMP après les propos condamnés de M. Hortefeux sur "l'Auvergnat", le débat scandaleux sur la bi-nationalité porté par l'extrême droite populaire et les attaques indignes d'un Premier ministre, Monsieur Fillon, à l'encontre d'Eva Joly», poursuit Jean-Vincent Placé.

    Faouzi Lamdaoui, l'un des conseillers de François Hollande, a «condamné avec la plus grande fermeté des propos indignes». «Il y a désormais à l'UMP une accumulation de dérapages nauséabonds dans la plus grande impunité», a-t-il ajouté, demandant «que tout cela cesse immédiatement et que ces propos graves reçoivent la sanction qu'ils méritent dans les plus brefs délais».

    Dans un communiqué, le PS estime qu'Alain Marleix devait s'excuser. Qualifiant ces propos d'«absolument odieux», d'«anti-républicains», de «totalement insupportables pour tous les citoyens, d'origine étrangère ou non» et de «très gravement contraires à nos valeurs nationales» dans un communiqué, Medhi Ouraoui, conseiller politique d'Harlem Désir, premier secrétaire par intérim du parti, le parti dénonce un «énième dérapage (qui doit) être sanctionné immédiatement».

    Sur son compte Twitter, Jean-François Copé a qualifié de «maladroits» les propos d'Alain Marleix. «Je les regrette, je les récuse», a écrit dans l'après midi le secrétaire général de l'UMP.

    Source Le Parisien - 03/09/11 

  • Humour

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    (Cliquez sur l'image pour la voir en entier)

  • Devinettes, jeux de mots et à-peu-près

    Pendant les vacances, la maman d'Aline, sept ans, l'envoie acheter du pain à la boulangerie du village pour le repas du soir.

    - Bonjour, Madame, dit Aline, je voudrais du pain debout !

    - Qu'est-ce que tu veux? demande la boulangère qui ne comprend pas.

    Mais une cliente qui se trouve là se met à rire et dit à la boulangère que, elle, elle a très bien compris ce que voulait Aline !

    Quel pain veut acheter Aline ?

  • Frédéric, Christine, Manuel et l'art du faux-semblant

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    Ex porte-parole de l’UMP, Secrétaire d’Etat au Tourisme, Frédéric Lefebvre a  suscité une petite polémique vendredi dernier en liant en France  la persistance du chômage  avec un   taux de natalité élevé. Mercredi, il a persisté dans son « analyse » en affirmant :    « Le taux de natalité est une chance pour notre pays, une chance au regard des retraites, (…) de la croissance à long terme. Il n’empêche qu’il y a un défi à relever. Quand vous avez comme cette année entre 140 et 150 000 rentrants nouveaux sur les marchés du travail, (…) pour faire baisser le chômage il faut créer plus que ces 150 000, car vous ne le ferez baisser qu’au-delà de ces 150 000. »

      Il a  également précisé  que sa réflexion découlait des travaux  d’Eric Heyer, directeur adjoint de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) qui  affirme  qu’il est plus difficile de faire baisser le chômage en France qu’en Allemagne où la population active diminue.

     M. Lefebvre a été vivement attaqué par la militante anti FN  Christine Boutin. La  présidente du groupuscule  Parti chrétien démocrate (PCD)  a  parlé  d’ « aberration, indigne d’un ministre de la République ». « Rien ne nous sera épargné. Après la taxation à la CSG du congé parental annoncée mercredi dernier par François Fillon, l’UMP semble oublier ses promesses en matière de politique familiale, » a-t-elle ajouté.  Le « semble » est de trop…

     A gauche,  le député-maire d’Evry engagé dans la primaire socialiste, Manuel Valls,   a également réagi en estimant que Frédéric Lefebvre était  « à côté de la plaque ».  Il est à noter que M. Valls  a  fait bondir ses petits camarades en se prononçant pour  une « (simplification) des titres de séjour »,  des « quotas migratoires » tout en gardant «la tradition d’asile» de notre pays  (quelle audace !). Il a précisé son  souhait  de « simplifier les titres de séjour »,  de «convaincre nos compatriotes que cette immigration peut être profitable à la France si les flux sont véritablement maîtrisés ».

     Un message pas vraiment révolutionnaire et certainement pas à la hauteur des enjeux et des problèmes suscités par l’immigration de peuplement, mais qui a pourtant du mal à être entendu par les éléphants du PS et leurs alliés.

     Pour preuve, la réaction assez aberrante de Jean-Paul Huchon, président socialiste de la région Ile-de-France,  qui dans ce registre  a dénoncé « l’inhumanité et la brutalité » de l’opération de police qui a lieu  hier. En l’espèce,  l’évacuation d’un camp de Roms en situation irrégulière  avec le soutien logistique d’une rame du tramway T1, qui relie Saint-Denis à Bobigny

     C’est pourtant à la lumière de l’immigration-invasion  que les propos de Frédéric  Lefebvre auraient eu  un semblant de vérité… ce que ce dernier n’a pas vu ou  su (voulu ?) expliciter.  Le problème du chômage ne découle pas  de la natalité française –qui est artificiellement soutenue par les flux migratoires comme le constate Bruno Gollnisch-  mais de  la colonisation de peuplement qui  vient gonfler notamment  le déficit de nos comptes sociaux  et qui contribue à la paupérisation des Français.

    Une démographie « indigène » dynamique de la France et des pays européens  serait  un gage  de prospérité économique.  Et non   l’afflux anarchique  d’immigrés débarquant sur notre sol sans contrat de travail,  par le biais  du regroupement familial et rapidement transformés en « Français de papier » par les bonnes grâces du droit du sol.  Mais ce constat de bon sens nécessite de sortir du faux-semblant et des débats tronqués qu’affectionnent la classe politicienne.

    Blog de Bruno Gollnisch - 02/09/11

     

     

  • Jules fête ses 105 ans aux côtés de la petite fille juive qu'il a sauvée pendant la guerre

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    Gilberte et Jules à nouveau réunis pour les 105 ans de ce grand monsieur.
    Chaque année, ils se retrouvent.

    Gilberte Stemmer ne manque pas un anniversaire de celui qui lui a sauvé la vie pendant la 2e guerre mondiale.

    La petite Juive avait quatre ans quand elle est arrivée chez Jules et Odette Hébrard, en 1942.
    Elle sera hébergée deux ans à Lasalle, un village des Cévennes (Gard).
    À ceux, Allemands et Français, qui s’interrogeaient sur la présence de la fillette, le métayer répondait que c’était sa nièce.

    Soixante-dix ans plus tard, Gilberte considère toujours Jules comme son "tonton".
    Gilberte Stemmer : "Si je suis là aujourd’hui, c’est grâce à lui".

    Elle est venue de Paris pour fêter les 105 ans de son sauveur, hier à la maison de retraite .
    Les Glycines, à Lasalle.

    Jules Hébrard y réside depuis 2008. "Si je suis là aujourd’hui, c’est grâce à lui. Quand mon père est venu me chercher en 1944, je ne voulais pas repartir. Il m’a convaincu en me promettant du chocolat... Puis je suis revenue tous les ans ici en vacances. Jules était devenu garde champêtre. Je le revois avec son tambour et son képi criant : “Avis à la population” !" Des souvenirs, Gilberte en a des milliers avec son “tonton”.

    Ne l'oublions pas que la région des Cévennes a été un refuge pour de nombreux juifs pendant la seconde guerre mondiale, sa population protestante a protégé, hébergé pendant de longues années des enfants juifs souvent en leur faisant passer la frontière.

    Les Cévennes ont un long passé de résistants et font partie des régions de France qui n'ont pas à rougir de leur passé bien au contraire.

    Notamment Le Chambon-sur-Lignon, 5000 Juifs sauvés, principalement des enfants
    "Nous ignorons ce qu'est un juif, nous ne connaissons que des hommes"
    est la réponse de Trocmé au préfet qui lui annonçait un recensement des Juifs sur le plateau du Chambon.
    Le pasteur André Trocmé été désigné Juste parmi les Nations en 1971,
    Il est difficile de décrire l'action du pasteur Trocmé et de sa femme Magda (elle-même reconnue Juste parmi les Nations en 1984), tant elle fut continue et importante.

     02/09/11

  • Reconnaissance de l'Etat palestinien: Israël prévoit un "échec diplomatique" et se prépare au pire

    Article paru dans "La Croix"

    L’État hébreu estime que 130 à 140 pays voteront l’adhésion à l’ONU d’un État palestinien.

    Suite à l’annonce de la demande d’adhésion d’un État de Palestine aux Nations unies, des Palestiniens ont créé un siège aux couleurs de la Palestine, lundi 29 août.

    À l’occasion de la réunion de l’assemblée générale des Nations unies, à partir du 13 septembre, au cours de laquelle l’Autorité palestinienne demandera l’adhésion à l’ONU d’un État palestinien dans les frontières antérieures à la guerre des Six Jours de 1967, Israël n’a pas la moindre chance de réunir « une majorité » de pays « amis » ou « éclairés » pour s’y opposer.

    C’est ce qui ressort d’un rapport interne de l’ambassadeur de l’État hébreu à New York, Ron Prosor. Pour lui, Israël va au-devant d’« un échec diplomatique ».Il prévoit qu’« entre 130 et 140 États approuveront la démarche des Palestiniens et que seule une poignée de pays s’y opposera ».

    Dans une Union européenne très divisée, Israël devrait pouvoir compter sur le soutien des Pays-Bas, de l’Allemagne, de l’Italie et de la République tchèque, en dehors évidemment des États-Unis. « Les représentants de la plupart des pays occidentaux préféreront s’abstenir », regrette un officiel à Jérusalem.

    Résigné, le ministre israélien de la défense Ehoud Barak a demandé à Catherine Ashton, chef de la diplomatie européenne, d’user de son influence pour que les 27 pays de l’UE insistent formellement sur « la nécessité d’une reprise des pourparlers de paix israélo-palestiniens directs et sans préalables ».

    Le premier ministre Benyamin Netanyahou a averti que « la démarche unilatérale des Palestiniens à l’ONU constitue une violation des engagements qu’ils ont pris dans leurs accords signés avec Israël ».

    Dans le même temps, un rapport confidentiel de Shaoul Mofaz, président de la Commission des affaires étrangères et de la défense de la Knesset, a sévèrement jugé la politique du gouvernement « qui a conduit à la faillite du processus stratégique » de paix avec les Palestiniens.

    Dispositif de sécurité

    L’État hébreu veut croire qu’un déferlement de violences pourrait succéder au vote favorable à la création d’un État palestinien. Selon Avigdor Lieberman, leader de l’extrême droite et chef de la diplomatie, l’Autorité palestinienne ne prépare rien de moins qu’« un bain de sang, sans précédent ».

    La police, les gardes-frontières, l’armée et les services de renseignements sont d’ores et déjà sur le qui-vive. Tous se préparent à des manifestations massives de réfugiés palestiniens ipso facto transformés en citoyens de plein droit après le vote de l’Assemblée générale de l’ONU. De nouveaux champs de mines et des réseaux barbelés ont été installés face au Liban et à la Syrie.

    Le dispositif de sécurité a été renforcé près de la barrière de sécurité qui longe la bande de Gaza, ainsi qu’aux passages reliant la Cisjordanie occupée et Israël. Des troubles sont aussi envisagés à Jérusalem-Est (annexée) et dans les villes arabes d’Israël. Les colons en Cisjordanie se préparent eux aussi au pire.

    02/09/11

  • Lynchage raciste anti-blanc à Dijon

    02/09/2011 – 14h30

    http://fr.novopress.info/96062/lynchage-raciste-anti-blanc-a-dijon-le-maire-de-dijon-botte-en-touche-audio-exclusif/

    DIJON (NOVOpress) – Novopress a déjà rapporté le lynchage raciste anti-blanc par une bande ethnique, survenu en plein centre ville de Dijon il y a quelques jours. Comme l’indique le quotidien  Le Bien Public le jeune homme de 15 ans, de type européen, marchait en compagnie de deux copains, l’un d’origine maghrébine et l’autre d’origine africaine. Les copains n’ont pas été touchés et le jeune homme a indiqué qu’il a entendu ses agresseurs dire « On casse du cblan [blanc] ! ».

    Etonnés par l’absence totale de réaction des responsables politiques les Identitaires Bourguignons ont d’abord interpellé le député de Côte d’Or, Bernard Depierre (UMP) par l’intermédiaire de son secrétaire (enregistrement audio ici sur Novopress), puis hier ils ont appelé la Mairie de Dijon pour interroger le Maire.

    Ci-dessus jusqu’à 1min42 l’enregistrement de l’appel pour poser la question, ensuite (séparé par des bips) l’enregistrement de la réponse du cabinet du Maire. L’interlocutrice, qui appartient à l’Antenne municipale de lutte contre les discriminations, est manifestement très mal à l’aise. Elle est chargée de répondre que le maire n’intervient pas car l’enquête est en cours (l’agression date quand même du 19 août !).

    Un enterrement de première classe, quoi ! Comme dans la réponse du secrétariat du député de Côte d’Or, Bernard Depierre (voir ci-dessus).

    Quelle différence avec le tintamarre politico-médiatique dès la moindre suspicion de racisme anti-magrébin, africain ou juif !

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  • Baromètre politique du FIGARO Magazine: la stratégie électorale de Sarkozy porterait ses premiers résultats

    02/09/2011 – 18h00
    PARIS (NOVOpress) —
    Il est facile de donner pour mort un président en fonction impopulaire qui doit faire face à une crise économique à rebondissements.

    Pourtant, il ne faut pas passer par pertes et profits un animal politique comme Nicolas Sarkozy qui va se battre jusqu’au bout pour remporter les élections présidentielles de 2012. La gauche ne va pas tarder à l’apprendre à ses dépens.

    La préparation des élections est en marche depuis quelques mois selon un plan où l’on sent la patte de Patrick Buisson, le conseiller très à droite du président.

    Après l’échec des élections régionales où le Front national a bénéficié de l’effet « bleu Marine » et repris des couleurs, il était pour l’UMP urgent de réagir. Cette fois, ce n’est plus le chef de l’État qui marche en tête, comme l’année dernière avec le discours de Grenoble sur la sécurité qui avait pris à rebrousse-poil les faiseurs d’opinion et laissé de marbre l’électorat populaire. Désormais, ce sont les seconds couteaux qui vont au charbon, comme le ministre de l’Intérieur, en multipliant les déclarations à l’emporte-pièce et les visites sur le terrain, comme récemment à Marseille.

    Le président n’a pas besoin pour le moment de payer de sa personne sur le plan électoral car dans un paysage médiatique qui sera dominé par les primaires socialistes, ce serait un gaspillage d’énergie. Il est bien plus rentable pour lui de rester à la barre de l’État pour engranger les bénéfices de l’opération libyenne et de son volontarisme dans la crise de la dette souveraine.

    Le baromètre politique que va publier demain le Figaro Magazine offre au président des premiers résultats encourageants. Si sa cote de confiance demeure faible, Nicolas Sarkozy a enregistré une forte progression auprès des sympathisants de Marine Le Pen. Quant à la présidente du Front national, sa cote dégringole de six points en un seul mois.

    La baisse du Front national ne s’explique pas seulement par un effet d’attrition dû à un moindre intérêt médiatique. Des experts l’attribuent à des prises de position controversées qui déconcertent une frange plus évoluée de son électorat. Ses projets de retour au franc sont un exemple des idées radicales puisées auprès d’une nouvelle génération de conseillers.

    L’émergence de la Droite populaire de Thierry Mariani et la permanence du Bloc identitaire peuvent être des éléments d’inquiétude pour le Front national au cours des mois à venir.

    L’Élysée ayant décidé de muscler le courant le plus droitier de l’UMP afin de le discipliner et le transformer en machine électorale sous la direction du ministre des Transports, il est probable que ce courant de l’UMP va séduire l’électoral évolué du Front national, celui-là même qui est décontenancé par son nationalisme « new look » intégrant des valeurs marqués à gauche.

    Quant au Bloc identitaire, qui fera parler de lui la semaine prochaine à l’occasion de son Université de rentrée, il peut aussi inquiéter le Front national par son rôle de pôle d’attraction à l’égard de la jeunesse et par sa critique de ses contradictions, notamment sur l’islamisation.

    Rien n’est donc joué pour les élections présidentielles de 2012. La gauche aurait bien tort de croire que l’impopularité actuelle du président Sarkozy annonce l’arrivée d’un socialiste à l’Elysée en 2012 et le Front national est loin de pouvoir rejouer l’année prochaine la même partition que le 21 avril 2002.

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  • Turquie - Ahmet Davutoglu: "Le temps est venu pour Israël de payer le prix pour ses actions illégales"

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    vendredi 2 septembre 2011, par La Rédaction

    Expulsion de l’ambassadeur israélien, suspension des accords militaires, saisine de la Cour internationale de Justice : la Turquie a pris vendredi des mesures de rétorsion contre Israël qui refuse de s’excuser après le raid qui a coûté la vie à neuf Turcs en 2010.

    "A ce stade, nous prenons les mesures suivantes : les relations entre la Turquie et Israël sont ramenées au niveau de deuxième secrétaire (d’ambassade). Tous les responsables ayant un rang supérieur à celui de deuxième secrétaire, comme l’ambassadeur, rentreront dans leur pays avant mercredi", a déclaré le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu.

    Ankara a également suspendu l’ensemble de ses accords militaires avec Israël.

    Au total, la Turquie a pris cinq mesures pour protester contre le refus d’Israël d’accéder à ses demandes après le raid israélien contre une flottille cherchant à briser le blocus imposé à Israël sur la bande de Gaza, qui avait coûté la vie à neuf Turcs.

    "En tant que pays avec la plus longue côte maritime en Méditerranée, la Turquie prendra toutes les précautions qu’elle estime nécessaires pour la sécurité de la navigation maritime dans l’est de la Méditerranée", a ajouté M. Davutoglu, sans donner plus de précisions.

    Le chef de la diplomatie turque a également annoncé la saisine de la Cour internationale de justice de la Haye "pour examiner la légalité du blocus mis en place par Israël sur Gaza depuis le 31 mai 2010".

    Critiquant les "actions illégales" d’Israël, le ministre turc souligne que les relations entre les deux pays "ne se normaliseront pas tant que ces conditions ne seront pas remplies".

    "Le temps est venu pour Israël de payer le prix pour ses actions illégales", a-t-il dit.

    En réponse, Israël a indiqué examiner sa réponse à la décision d’Ankara. Le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu "tient des consultations" pour décider de la réponse et de sa formulation, a expliqué un haut responsable sous couvert de l’anonymat.

    La Turquie avait annoncé début septembre qu’elle mettrait en oeuvre son "plan B" de sanctions contre Israël si ce pays s’obtinait à ne pas s’excuser à la suite du raid.

    Cette crise a fait l’objet d’un rapport de l’ONU qui souligne que l’opération de la marine israélienne était "excessive", mais reconnaît la légalité du blocus naval.

    Vendredi, le président turc Abdullah Gül a fustigé ce rapport comme "nul et non avenu" et mis en garde Israël : "la Turquie pourrait envisager d’autres mesures dans le futur".

    Pour sa part, Israël, qui avait plutôt bien accueilli le rapport, avait déclaré qu’elle en accepterait les conclusions avec des "réserves ponctuelles".

    La publication de ce rapport avait déjà été reportée plusieurs fois cette année afin de permettre à Israël et la Turquie de réduire leurs divergences.

    Après le raid qui s’était déroulé dans les eaux internationales, la Turquie avait rappelé son ambassadeur à Tel-Aviv et assuré que les relations bilatérales ne seraient "plus jamais les mêmes", tout en exigeant des excuses.

    Israël s’est dit prêt à exprimer ses regrets et à verser des fonds "à titre humanitaire" aux parents des victimes mais a refusé de présenter ses excuses pour ne pas exposer ses soldats à des poursuites judiciaires.

    Source Al-Oufok