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"Voter Sarkozy, c'est voter inutile" (Florian... par FranceInfo
21/02/12
21/02/12
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
Exemple : saturer le débat de « comment rembourser la dette » au lieu de se poser la bonne question « pourquoi une telle dette » ou « pourquoi rembourser pareille dette à pareil coût humain » ? Saturer l’infosphère avec la situation d’endettement des Grecs pour éviter de s’intéresser à celle des Anglais ou des Américains…Nous bassiner avec la non-affaire Bettencourt ou le non-suspense électoral français (Sarkosy ou Hollande ? Moscovici ou Coppé ? Minc ou BHL ?) alors que nous sommes à la veille d’un nouveau conflit militaire au Proche-Orient impliquant des nations nucléaires…
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
Exemple : encourager une immigration massive via, notamment l’autorisation du regroupement familial, pour détruire toute cohérence ethnique, culturelle, religieuse, bref identitaire de nations jusqu’alors régies par les mêmes valeurs civilisationnelles en présentant le chaos produit comme un paradis multiculturel sans alternative hormis l’enfermement crispé chafouin et raciste voire anti-sémite (quel rapport ? pas grave, ça marche..)
« Andrew Neather, qui rédigeait les discours de Tony Blair, Jack Straw et David Blunkett, a fait une révélation de taille, dans l’émission Question Time de la BBC. Il a en effet dévoilé que l’énorme augmentation de l’immigration durant la dernière décennie était une politique délibérée et organisée par les Travaillistes afin de modifier la constitution ethnique de la Grande Bretagne : « Outre les besoins du marché du travail, il y avait également une motivation « politique » derrière la politique d’immigration. [Les ministres entendaient] mettre le nez des conservateurs dans la diversité ». Cet apparatchik de premier rang a précisé que les dirigeants travaillistes avaient opéré secrètement, craignant que cette politique ne perturbe « la classe ouvrière qui est son vivier électoral ». Les vraies raisons, qui figuraient dans les premières versions du rapport Performance and Innovation Unit, rédigé par Downing street, ont été supprimées dans la version finale du document afin de ne pas révéler cette politique délibérée et organisée. Selon lui : « l’immigration de masse était pour le gouvernement le moyen de rendre le Royaume Uni totalement multiculturel. Cette politique délibérée a duré de 2000 au moins jusqu’au mois de mai 2008, date à laquelle on a mis en place le nouveau système de points.» Ce qui a entraîné l’arrivée, selon le think tank Migration Watch, de plus de trois millions de nouveaux immigrés. » Faits et documents 15-30/11/09
« Dans la Presse de la Manche, (16/01/12), Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Coutances, et d’Avranches, se confie quant à ses valeurs : « L’avenir est dans le métissage. Qu’il soit culturel, éthique, philosophique, religieux ou de nationalités. Nous ne pouvons pas nous replier sur nos seules préocupations personnelles. Il y a deux solutions : celle d’avoir peur et d’opter pour le repli identitaire, et puis il y a l’ouverture et la responsabilité. La foi chrétienne nous invite à cette ouverture. » Faits et documents 15-29/02/2012.
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
Exemple : la discrimination positive (affirmative action aux US) est une disposition rompant avec l’égalité républicaine devant la loi et la non-reconnaissance des communautés ethniques et/ou culturelles en France : cette discrimination, toujours promue sous le masque vertueux de critères économiques est en fait basée sur des critères ethniques au détriment de la grande majorité des français, européens de souche ; ainsi les départements les plus pauvres [source de la carte ci-contre : INSEE] de ce pays sont-ils systématiquement ignorés au détriment de la Seine-saint-Denis ou de l’Isère, pourtant largement moins touchés par la pauvreté mais occupés par des populations allogènes en sécession avec les cultures autochtones et d’autant moins portés à l’assimilation (désormais officiellement rejeté par le conseil des sages européens (cf une note précédente)) sinon à une quelconque intégration qu’ils voient leurs revendications communautaires systématiquement reprises par les plus hautes autorités de l’état au nom de la « lutte contre toutes les formes de discrimination », de l’ « anti-racisme » ou du nécessaire « métissage » désormais prôné également par l’église catholique…
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. [...]
Crédit photo : Ma8thew via Wikipedia, licence CC.
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine«Quand je vais quelque part, j'essaye de m'informer et j'essaye de m'informer le plus directement possible. Et en effet rencontrer Karadzic, c'était une manière de se renseigner». Voilà comment Jean-Marie Le Pen justifie sa rencontre avec l'ancien chef politique des Serbes de Bosnie, alors recherché par la justice internationale.
Interrogé mardi par I-Télé sur un passage du livre* à paraître de son ancien garde du corps, Thierry Légier, le président d'honneur du Front national a reconnu s'être entretenu avec Radovan Karadzic, surnommé le «Boucher des Balkans», sans en préciser la date.
«Je ne suis pas chargé de traquer les criminels de guerre désignés par l'opinion publique», a ajouté Jean-Marie Le Pen.
«Je rencontre tout le monde, moi. Je n'ai pas peur»
Accusé de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre pour son rôle pendant la guerre de Bosnie (1992-95), Radovan Karadzic a été arrêté en juillet 2008 à Belgrade après s'être caché pendant treize ans. Son procès devant le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) s'est ouvert à La Haye en octobre 2009.
Jean-Marie Le Pen a également déclaré ce mardi avoir rencontré à l'époque Biljana Plavsic, à Pale (Bosnie). L'ancienne présidente de la Republika Srpska, l'entité des Serbes de Bosnie, était entrée en fonction en 1995, à Pale a été condamnée en 2003 par le TPIY à 11 ans de prison pour crime contre l'humanité. Elle a été libérée en 2009. «Je rencontre tout le monde, moi. Je n'ai pas peur», a conclu l'ancien leader frontiste.
* « Mission Le Pen », Thierry Légier avec la collaboration de Raphaël Stainville Ed. du Toucan 200 pages 15 euros
LeParisien.fr - 21/02/12
FBB_Abattage Rituel VF 4-3 QT par FondationBrigitteBardot
Pouvons-nous tolérer pareille horreur ? NON !
21/02/12
21/02/2012 – 11h45
PARIS (NOVOpress) — Lors d’un déplacement à Lille samedi, Marine Le Pen, s’appuyant sur le dernier numéro d’Envoyé spécial a affirmé : « Il s’avère que l’ensemble de la viande qui est distribuée en Ile-de-France, à l’insu du consommateur, est exclusivement de la viande halal. Tous les abattoirs d’Ile-de-France vendent du halal, sans exception. Que du halal ». L’Ile-de-France compte quatre grands abattoirs ovins et bovins. Sur ces quatre abattoirs, trois pratiquent un abattage exclusivement rituel : Ezanville, dans le Val-d’Oise, et Jossigny et Meaux, en Seine-et-Marne. Le quatrième est un abattoir de porcs. La totalité de la viande ovine et bovine produite en Ile-de-France est donc halal.
Sur les 200.000 tonnes consommées annuellement en Ile-de-France, 5.000 tonnes, soit 2,5%, sortent de ces trois abattoirs. Certains en ont conclu un peu rapidement que seuls 2,5% de la viande consommée dans la région-capitale serait halal. Ce qui est évidemment faux. Les 195.000 tonnes complémentaires viennent des grands bassins de production français, Normandie, Bourgogne, Pays-de-Loire, Bretagne, auxquels s’ajoutent la viande d’importation.
Or, selon Gilbert Mouthon, professeur à l’École Vétérinaire de Maison Alfort (94) et expert auprès des tribunaux : « pour des raisons économiques, tous les animaux abattus en Ile-de-France le sont selon les techniques halal. Et le phénomène est en train de gagner toute la France, où on estime que 80% des moutons sont abattus selon les méthodes halal ». Quant aux viandes d’importation, on peut estimer qu’elles sont en majeure partie halal si l’on en croit ce document de 2004 (la situation a largement empiré !) sur le halal-business qui précise entre autre : « Il est remarquable que les principaux exportateurs de viandes et produits halal soient essentiellement les pays sans tradition musulmane comme l’Australie, la Nouvelle Zélande, le Brésil, l’Argentine, les États-Unis, le Canada et également quelques pays européens comme l’Irlande, le Danemark (…) ». (p 15)
Pour le Dr Jean-Louis Thillier, auteur de nombreux rapports officiels sur la sécurité sanitaire, le scandale du halal « c’est celui du non-respect des normes d’hygiène, conduisant à une augmentation des contaminations à l’Echerichia Colli, ces terribles bactéries qui provoquent tant d’insuffisances rénales chez les enfants. Au cours de ce type d’abattages rituels, le contenu de l’œsophage et des intestins des animaux risque de souiller la viande, particulièrement les quartiers avant qui finissent dans les steaks hachés. Voilà pourquoi l’étiquetage indiquant comment les animaux ont été abattus est si important. Le consommateur est en droit de savoir. »
Le consommateur a en effet le droit de refuser d’être malade, le droit de refuser d’acheter de la viande provenant d’un animal condamné à souffrir de longues minutes après égorgement, et le droit de refuser de subventionner l’implantation sur notre sol d’une volonté politique et cultuelle exogène, puisque les bêtes estampillées halal le sont moyennant une redevance aux mosquées !
Henri Dubost pour Novopress France
Crédit photo : BrotherMagneto via Flickr
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine21/02/12
21/02/12
PARIS (Reuters) - Les noms des élus parrainant les candidats à l'élection présidentielle en France continueront à être rendus publics contrairement à ce que souhaitait le Front national qui est toutefois confiant sur les capacités de sa candidate Marine Le Pen à recueillir les 500 signatures requises.
Le Conseil constitutionnel a rejeté mardi une question prioritaire de constitutionnalité déposée par le FN qui réclamait l'anonymat pour les parrains afin d'éviter qu'ils ne subissent des pressions.
"Au total, le Conseil a rejeté les griefs tirés de la méconnaissance du principe du pluralisme des courants d'idées et d'opinions et du principe d'égalité devant la loi. Il a jugé conforme à la Constitution le cinquième alinéa du paragraphe I de l'article 3 de la loi du 6 novembre 1962", annoncent les "Sages" dans un communiqué.
Cet alinéa de la loi relative à l'élection du président de la République dispose que les noms des élus-parrains, qui doivent être au nombre de 500 minimum par candidat, "sont rendus publics par le Conseil constitutionnel huit jours au moins avant le premier tour de scrutin, dans la limite du nombre requis pour la validité de la candidature".
Les "Sages" ont estimé que la présentation des candidats ne pouvait être assimilée à un vote et n'était donc pas tenue aux principes d'égalité et de secret du suffrage.
En outre, la publicité ne va pas à l'encontre du principe du pluralisme des courants d'idées et d'opinions, souligne le Conseil constitutionnel.
La question prioritaire de constitutionnalité avait été déposée par le Front national et avait reçu le soutien de plusieurs "petits" candidats, comme Corinne Lepage (Cap21) et Christine Boutin, chef de file du Parti chrétien-démocrate et ralliée depuis une semaine à la candidature de Nicolas Sarkozy.
"TARTINE"
"Ça ne m'étonne pas outre mesure", a réagi Jean-Marie Le Pen auprès de Reuters TV. "Les neuf membres du Conseil constitutionnel sont nommés par le président de l'Assemblée, celui du Sénat et par le président de la République, par conséquent ils savent de quelle côté leur tartine est beurrée".
Dans la matinée, Jean-Marie Le Pen s'était montré confiant sur les capacités de sa fille à recueillir les 500 parrainages requis.
Prié de dire si le FN finirait par obtenir ces signatures, il avait répondu : "Une fois de plus, oui, mais en ayant consacré la plus grande partie de la campagne électorale à cette démarche administrative qui devrait être simplifiée".
Lors de l'audience du 16 février au Conseil constitutionnel, le FN avait plaidé pour l'anonymat des "parrains" et Marine Le Pen avait affirmé que des élus subissaient des pressions pour ne pas lui accorder leur signature.
Corinne Lepage, qui demandait l'abrogation de la modification de la loi, a indiqué que "l'hypocrisie qui consiste à vanter le référendum pour mieux bafouer le vote qui en résulte est avérée."
"Je lance un appel à tous les maires indépendants, qui ont dans l'histoire été bien souvent des exemples de courage, à résister et à donner des parrainages quelles que soient les pressions auxquelles ils sont soumis", écrit-elle dans un communiqué.
Christine Boutin avait proposé pour sa part que le parrainage s'élargisse aux conseillers municipaux afin de permettre aux minorités de s'exprimer.
Avec Marine Pennetier, édité par Patrick Vignal
Yahoo! Actu - 21/02/12
Polémique halal : les consommateurs doivent-ils... par rtl-fr
20/02/12
21/02/12
21/02/12
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20/02/12
20/02/12 – 11h30
PARIS (NOVOpress) – Dans un courrier daté du 17 février 2012, le président de l’université Paris 8 a informé les organisateurs du colloque « Des nouvelles approches sociologiques, historiques et juridiques à l’appel au boycott international : Israël, un État d’apartheid ? », prévu les 27 et 28 février prochains, qu’il retirait l’autorisation qu’il avait accordée à cette initiative.
Le prétexte de cette censure est, comme toujours, d’éventuels « troubles à l’ordre public ». La direction de l’université a donc décidé d’annuler deux journées de conférences-débats réunissant des spécialistes venus, entre autres, de France, d’Italie, de Belgique et de Grande-Bretagne. Universitaires, journalistes, membres du Tribunal Russel sur la Palestine.
Ce retournement de la direction de l’université qui, dans un premier temps, avait non seulement accordé son autorisation mais également soutenu l’initiative en lui attribuant un financement du Fonds de Solidarité et de Développement des Initiatives Étudiantes (FSDIE) fait suite à la publication par le Conseil représentatif des institutions juives de France d’un « communiqué » dénonçant l’organisation du colloque avec véhémence, n’hésitant pas à parler de « provocation à la discrimination nationale, raciale ou religieuse ».
Appuyant son appel à l’interdiction de ces rencontres universitaires par des menaces à peine voilées ( « De par sa nature, ce colloque pourrait être susceptible de provoquer des troubles manifestes à l’ordre public » peut-on lire notamment dans le communiqué), le Crif a donc obtenu gain de cause, l’université se soumettant au diktat de l’institution communautaire.
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
19.02.12