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  • Interview de Marine Le Pen à Lille

    19/02/12

  • Faut-il réécrire Shakespeare ? C'est déjà fait

    Il se trouve des gens qui, non seulement se sont posé la question, mais ont répondu par l’affirmative : ils pensent que le maître du théâtre anglais a fauté, et ils ont décidé de revoir sa copie.

    Qu’a donc fait William ? A-t-il nié l’existence des chambres à gaz ou le droit à l’existence d’Israël ?

    En tout cas il a commis une oeuvre, célébrée dans le monde entier, dans laquelle un Juif nommé Shylock joue le bien vilain rôle du méchant usurier qui étrangle ses débiteurs avec cruauté : « Le Marchand de Venise ».

    Qu’importe que l’oeuvre du grand Shakespeare contienne une magnifique tirade contre l’intolérance envers les Juifs : « Le Marchand de Venise ne passera pas ! »

    Un site juif de promotion du théâtre : http://www.jewish-theatre.com/visit... a trouvé deux dramaturges qui ont revisité le maître pour le faire marcher droit.

    La première, Julia Pascal, a remanié le texte en faisant débuter la pièce par la rencontre d’une survivante de la Shoah avec une troupe théâtrale qui répète à Venise. Parler des Juifs sans parler de l’holocauste, voilà une faute réparée.

    Le second, Arnold Wesker, lui, a tout réécrit et change même le titre : « Shylock », au lieu du « Marchand de Venise ». Et celui-là n’est pas un méchant qui aime l’argent, mais un gentil amoureux des livres, du savoir, de l’architecture et de ses semblables à qui il offre l’asile et le soutien quand les chrétiens les persécutent en Espagne et que l’Eglise brûle leurs livres. Et, avec l’aide d’une universitaire américaine, il a résolu la difficulté consistant à présenter l’odieux marché du méchant juif en juste proposition d’un honnête banquier.

    Ouf ! On a rétabli l’ordre des choses, le spectacle va pouvoir reprendre.

    Souhaitons à ces aimables amoureux des arts et de la culture qu’ils ne soient pas accusés de véhiculer contre les chrétiens d’odieux poncifs nauséabonds qui rappellent les heures sombres de notre histoire.

     
    Egalité et Réconciliation
  • Une autre histoire de l'esclavage

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Une-autre-histoire-de-l-esclavage-10457.html

    2 VIDEOS

    Egalité et Réconciliation - 15/02/12

  • Les militaires israéliens ont pris d'assaut Jenine


    Les militaires sionistes ont pris d'assaut Jenine

    IRIB- Dans la foulée de leurs attaques et crimes, les militaires sionistes ont attaqué Jenine, en Cisjordanie.
    Cette attaque a eu lieu, vendredi, soir, contre la maison du président de la Cour d'appel de la Palestine. Les assaillants ont chassé les habitants de leurs propres maisons, en transformant le lieu en un centre militaire.
     
     D'autre part, l'artillerie du régime sioniste a pilonné l'Est du camp d'al-Brij, dans le centre de Gaza, tandis que les militaires de ce régime prenaientd'assaut le Nord de Beit-Lahiya. Six Palestiniens ont été blessés, lors des raids de jeudi des avions de chasse du régime sioniste, contre l'Est de Gaza. Les militaires sionistes attaquent, quotidiennement, différents endroits, en Cisjordanie et Gaza.
     
     
    IRIB
     
    ALTER INFO. NET - 18/02/12

     

  • Salazar: une nouvelle biographie

    Le président nationaliste et catholique du Portugal (1889-1970) avait fait l’objet d’une biographie copieuse par Jacques Ploncard d’Assac en 1983 (disponible ici).

    Voila que 30 ans après, le très remarquable chef de l’État nouveau fait l’objet d’une nouvelle biographie en français, sous la plume du journaliste Jean-Claude Rolinat :
    Salazar le regretté, Ed. les bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18 €. Commandable ici.

    4e de couverture :

    « Salazar, chef du Portugal nationaliste, l’Etat nouveau, de 1926 à 1968. Peu connu des nationalistes français, il transforma ce petit pays, fort d’un empire gigantesque que beaucoup trouvaient anachronique et que certains convoitaient, en une nation moderne. Et, 40 ans après sa mort, 41% des Portugais le considère comme le plus grand de leurs compatriotes, devant le navigateur Vasco de Gama… Loin des clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique, cette biographie que nous propose Jean-Claude Rolinat remet les choses à leur place. »

    Contre-info.com - 16/02/12

  • Viande halal: Marine Le Pen va déposer plainte pour tromperie sur la marchandise

    Voir en complément : Envoyé Spécial, 100% de la viande est halal en île-de-France y compris dans les boucheries traditionnelles

    « Tous les abattoirs d’Ile-de-France vendent du halal, sans exception. Que du halal », a-t-elle insisté, assurant détenir des « preuves ». Elle a précisé vouloir déposer une plainte avec constitution de partie civile pour qu’un juge d’instruction soit saisi, ce qui pourrait déboucher sur une enquête de plusieurs mois.

    Interrogée pour savoir si elle espérait relancer sa campagne avec cette initiative à deux mois de la présidentielle, elle a répondu : « C’est une manière de montrer aux Français qu’ils sont méprisés dans leur propre pays ». Elle a ajouté qu’elle comptait « faire condamner cette tromperie et obliger à informer les consommateurs sur la viande qu’ils achètent ».

    Défrancisation -18/02/12

  • Incendie d'une église dans le Loir-et-Cher: des suspects en garde à vue

     

    L’église d’Epiais incendiée le 5 février

    L’enquête de gendarmerie ouverte au lendemain de l’incendie qui, le 5 février dernier, a ravagé l’ancien presbytère et l’église d’Épiais, a franchi une étape décisive. (…) Les perquisitions menées au domicile des suspects ont permis de retrouver des objets volés au presbytère d’Épiais mais aussi dans trois autres cambriolages entre fin janvier et début février. « Les trois mis en cause sont également à l’origine de l’incendie d’Épiais, incendie dont les circonstances restent à préciser » précise le colonel Valynseele.

    La gendarmerie a interpellé deux autres personnes dans le cadre de l’enquête sur l’incendie qui a détruit l’ancien presbytère et l’église d’Épiais le 5 février dernier. Il s’agit de deux jeunes majeurs domiciliés dans la commune. Trois autres suspects se trouvaient toujours en garde à vue hier soir à la gendarmerie de Vendôme depuis leur interpellation survenue jeudi matin. Ils seront déférés tôt ce samedi matin au palais de justice de Blois.

    Sources : La Nouvelle République, Merci à Centriste

    Défrancisation

  • LE TESTAMENT D'UN CONDAMNE


    L'an trente-cinq de mes années,
    Ainsi que Villon prisonnier,
    Comme Cervantès enchaîné,
    Condamné comme André Chénier,
    Devant l'heure des destinées,
    Comme d'autres en d'autres temps,
    Sur ces feuilles mal griffonnées
    Je commence mon testament.

    Par arrêt, des biens d'ici-bas
    On veut me prendre l'héritage.
    C'est facile, je n'avais pas
    Terre ou argent dans mon partage.
    Et mes livres et mes images
    On peut les disperser aux vents
    La tendresse ni le courage
    Ne sont objets de jugement.

    En premier mon âme est laissée
    A Dieu qui fut son Créateur,
    Ni sainte ni pure, je sais,
    Seulement celle d'un pécheur,
    Puissent dire les saints français,
    Qui sont ceux de la confiance,
    Qu'il ne lui arriva jamais
    De pécher contre l'espérance.

    Quel don offrir à ma patrie
    Qui m'a rejeté d'elle-même?
    J'ai cru que je l'avais servie
    Même encore aujourd'hui je l'aime.
    Elle m'a donné mon pays
    Et la langue qui fut la mienne.
    Je ne puis lui léguer ici
    Que mon corps en terre inhumaine.

    Et puis, je laisse mon amour,
    Et mon enfance avec mon coeur,
    Le souvenir des premiers jours,
    Le cristal, le plus pur bonheur,
    Ah ! je laisse tout ce que j'aime,
    Le premier baiser, la fraîcheur,
    Je laisse vraiment tout moi-même,
    Ou, s'il existe, le meilleur.

    A toi, à la première image,
    Au sourire sur mon berceau,
    A la tendresse et au courage,
    A la féérie des jours si beaux.
    Soleil même dans les sanglots,
    Fierté aux temps les plus méchants,
    Pour qui rien ne change à nouveau
    L'âge qu'a toujours ton enfant.

    Et pour toi, ma soeur, mon amie,
    (J'ai passé, ah ! si peu de temps
    Loin de toi, toute notre vie
    Nos coeurs du même battement
    Ont battu). Ce que je laisse
    C'est nos greniers des vieux printemps,
    C'est les jeux de notre jeunesse,
    Nos promenades d'étudiants.

    C'est parmi la neige glacée,
    La gaieté qui restait la tienne,
    Le sourire que tu faisais
    Par delà les grilles lointaines,
    Toi si fière, ô toi indomptée,
    Rieuse parmi les déveines,
    Mon amie de tous nos étés,
    Ma soeur des joies comme des peines.

    A toi encor que j'ai vu naître,
    Comme une enfant de mes douze ans,
    Petite soeur, à la fenêtre
    Tu vins aussi aux jours pesants.
    A toi tout ce qui nous assemble,
    Le mépris des coeurs trop fuyants,
    Le silence qui nous ressemble,
    Et l'amour qui n'est pas bruyant.

    Petits enfants de ma maison,
    O vous qui ne m'oublierez pas,
    (Et peut-être d'autres viendront)
    Vous m'avez donné ici-bas
    Vos joues, l'étreinte de vos bras,
    Votre sommeil sur qui je veille :
    Je vous appelle ici tout bas,
    Je vous rends toutes ces merveilles.

    Et maintenant, à toi, Maurice
    A toi, frère de ma jeunesse,
    Que te donnerai-je qui puisse
    N'être à toi de ce que je laisse ?
    Voici Paris qui fut à nous,
    Voici Florence qui se dresse,
    Et, sur les chemins secs et roux,
    Voici notre Espagne sans cesse.

    Mais voici surtout, ô mon frère,
    Le coeur de notre adolescence
    Nul hasard ne le désespère,
    A tout il garde confiance.
    Au destin même bien masqué
    Nous disions oui d'une voix claire,
    Quel qu'il fût. Et rien n'a manqué
    Aux cadeaux qu'il pouvait nous faire.

    Bien ou mal, acceptons le lot !
    Je le lui rends, tout pêle-mêle.
    Mais je te laisse le plus beau,
    Nos dix-sept ans, l'aube nouvelle,
    La couleur du matin profond,
    Nos années pareilles et belles,
    Les enfants dans notre maison,
    Et notre jeunesse immortelle.

    Et puis, voici, pour mes amis,
    Chacun leur carte-souvenir.
    Vous d'hier, et vous d'aujourd'hui,
    Vous m'entourez sans vous enfuir,
    Vous allumez sur mon passage
    Le plus beau feu de l'avenir.
    Je tends mes mains à vos images,
    Elles me gardent de frémir.

    Cher José, voici la Cité,
    Et la Cour de Louis-le-Grand.
    Georges, pour un futur été,
    Voici la route dans les champs.
    Henri, voici les quais de Seine,
    Et les livres à feuilleter,
    Et le pays de la Sirène
    Que nous aurions dû visiter.

    Voici les Noëls de Vendôme,
    Notre-Dame des pèlerins.
    Le passé fut si beau en somme
    Qu'il ne faut blâmer le destin.
    Jusqu'au bout de nos années d'homme
    Nous aurons gardé le meilleur,
    Le savoir de ce que nous sommes,
    La jeunesse de notre coeur.

    Et pour toi, depuis si longtemps
    De l'adolescence surgie,
    Je n'ai que d'étranges présents
    A te laisser, ô mon amie :
    Moins de joie, c'est sûr, que de peines,
    L'asile où j'abritais ma vie
    Au coeur des mauvaises semaines,
    Et ce qui jamais ne s'oublie.

    Pour vous, les frères de la guerre,
    Les compagnons des barbelés,
    Fidèles dans toutes misères,
    Vous ne cessez de me parler.
    Voici nos neiges sur le camp,
    Voici nos espoirs d'exilés,
    Notre attente de si longtemps,
    Notre foi que rien n'a troublée.

    Et vous, garçons de mon pays,
    Voici les mots que nous disions,
    Nos feux de camp parmi la nuit,
    Et nos tentes dans les buissons.
    Vous le savez mieux que personne,
    J'ai voulu garder ma patrie
    Du sang versé, et je vous donne
    Ce sang gardé, ô mes amis.

    Cher Well, notre sainte colline,
    Le petit peuple du marché,
    Le rue grouillante où l'on chemine,
    Les charrettes des maraîchers,
    Ils sont à toi, ami têtu,
    Qui dans l'ombre toujours devines
    Ce que l'espoir jamais battu
    Malgré l'apparence dessine.

    Et pour vous les derniers venus,
    Compagnons des sombres journées,
    O captifs des cachots reclus,
    Gardez mes heures condamnées,
    Gardez le froid, gardez l'ennui :
    Pour ceux qui ne les auraient plus,
    Ce sont des trésors eux aussi.
    Avec vous je les ai connus.

    Quelques ombres, quelques visages
    Ont droit encore à quelques grains
    Finissons vite le partage
    Avant que vienne le destin.
    Tous ceux-là qui, garçons ou filles,
    Sont venus couper mon chemin
    Peuvent bien dans la nuit qui brille
    Attendre avec moi le matin.

    Pour eux tous j'avais les mains pleines
    Elles sont vides maintenant
    Des images les plus lointaines,
    Du passé le plus émouvant.
    Je ne garde pour emporter
    Au-delà des terres humaines
    Loin des plaisirs de mes étés,
    Des amitiés qui furent miennes,

    Que ce qu'on ne peut m'enlever,
    L'amour et le goût de la terre,
    Le nom de ceux dont je rêvais
    Au coeur de mes nuits de misère,
    Les années de tous mes bonheurs
    La confiance de mes frères,
    Et la pensée de mon honneur
    Et le visage de ma mère.



    Fresnes, 22 janvier 1945

    Robert Brasillach - Poèmes de Fresnes

  • Vienne la nuit


    Vienne la nuit que je m'embarque,
    Loin des murs que fait ma prison
    Elle suffit pour qu'ils s'écartent,
    Je retrouve mes horizons.
    Que m'importe si l'on me parque
    La Nuit abat toutes cloisons.

    Avec la nuit je me promène
    Sous le soleil des jours anciens.
    Je ne vois plus ce qui m'enchaîne,
    Le sommeil brise le destin :
    Voici la mer, voici la Seine,
    Voici les fraîches joues des miens.

    Comme dans les camps d'Allemagne,
    Chaque nuit, ô Nuit, tu reviens
    Me rendre tout ce qu'on éloigne.
    Je ferme les yeux sous tes mains,
    Je m'embarque, tu m'accompagnes,
    Me caresses jusqu'au matin.

    O Nuit, ô seul trésor pareil
    Pour l'homme libre ou le proscrit,
    Je t'ai donc retrouvée, merveille,
    Après trois ans te revoici !
    Je me rends à ton cher soleil,
    Enlève-moi comme jadis.

    Sur la paille où sont les soldats,
    Tu m'apportais les mêmes songes
    Qu'aux heureux dont je n'étais pas.
    Aujourd'hui, vers toi je replonge,
    O secourable, ô toujours là,
    O Nuit qui n'as pas de mensonges.

    24 octobre 1944.

    Robert Brasillach - Poèmes de Fresnes

  • L'enfant Honneur

    Au berceau de l’enfant Honneur
    On a vu deux fées apporter
    Deux présents pour l’enfant Honneur
    Le courage avec la gaieté.

    - A quoi, dit-on à la première,
    Sert un présent comme le vôtre ?
    - Presqu’à rien répond la première
    A donner du courage aux autres.

    - L'autre, dit-on à la seconde,
    N'est-il pas de trop pour l'Honneur?
    - Un enfant, répond la seconde,
    A toujours besoin d'une fleur.

    30 janvier 1945.

    Robert Brasillach - Poèmes de Fresnes

  • Lille: Jean-Marie Le Pen récite deux poèmes de Robert Brasillach

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Jean-Marie Le Pen aime la poésie… et la lumière médiatique. Le président d’honneur du Front national a fait son show à Lille, au premier jour de la convention présidentielle de Marine Le Pen, samedi 18 février. Après un discours musclé sur les valeurs devant les jeunes, qu’il a encouragés à « acquérir une formation militaire », le matin, le vieux leader s’est plu à citer, l’après-midi, un poème de Robert Brasillach, fusillé à la Libération pour collaboration. Il se doutait bien qu’il attirerait l’attention. Ça n’a pas manqué.

    En janvier 2011, dans son dernier discours de président, Le Pen, qui a des lettres, avait déjà glissé un vers de l’écrivain tiré du Testament d’un condamné, mais sans le nommer. Cette fois, il a conclu son discours devant les congressistes en citant longuement L’Enfant Honneur, un autre de ses poèmes écrits à la prison de Fresnes. Il a été ovationné.

    « Est-ce que le fait d’avoir été condamné empêche d’être poète?" a fait mine de s’interroger Jean-Marie Le Pen, dans les couloirs du Grand palais lillois. La poésie que j’ai citée n’est pas une poésie engagée. » Il ajoute : « Je suis de ce temps. » Comprendre: la Seconde Guerre mondiale. Très en verve, Le Pen se met à réciter intégralement le Testament du condamné.

    Lancé sur Aragon, il poursuit: « Il m’arrive de citer Aragon, mais il n’a pas écrit sur l’honneur. Il aurait pu. J’ai cité le Martiniquais à de nombreuses reprises. [Aimé] Césaire, j’ai le droit; Brasillach, je n’ai pas le droit. » Provocateur jusqu’au bout, Le Pen se met à déclamer un dernier vers de son auteur de chevet: « Le sang qui a coulé est toujours un sang pur. »

    L’un de ses proches lui indique alors qu’il est temps pour lui de quitter les journalistes qui commencent à affluer. Mais Le Pen ne semble pas pressé. Au contraire, il interpelle ceux qui suivent de longue date le parti d’extrême droite, en mimant le geste du toréador: « C’est la muleta! Vous êtes de vieux taureaux, vous devez connaître la cape. »

    Le vieux torero termine: « Moi, j’ai une culture vaste. Je peux me permettre de citer beaucoup de gens très différents, très contradictoires. Je sais chanter l’Internationale, ce que très peu de gens savent faire. Vous voulez que je chante? » Et Le Pen d’entonner le premier couplet…

    Crédits photo : Pascal Rossignol / Reuters

    L'EXPRESS - 18/02/12

  • Marine Le Pen: "Le comportement du président sortant est proprement déshonorant à l'égard des Français" - France 3 Nord Pas-de-Calais

    18/02/12

  • Le yacht de Stéphane Courbit a coulé en mer Egée

    Le yacht du richissime homme d'affaire Stéphane Courbit a fait naufrage en mer Egée vendredi a révélé le site de Paris-Match. Le «Yogi» a rencontré des problèmes mécaniques lors d'une tempête.

      

    Διάσωση Επιβαινόντων σε Γαλλική Θαλαμηγό from haf.webmaster on Vimeo.

    Il s'est dans un premier temps retrouvé sur le côté, puis a fini par couler.

    Le bateau n'était pourtant pas vieux car il a pris le large pour la première fois en mars 2011, il était le plus grand de . De plus, sa construction, sous les directives de l'architecte Jean Guy Verges, avait été minutieusement suivie. Le Centre de sécurité des navires de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) et un expert technique français contrôlaient le chantier en Turquie.

    L'homme d'affaire proposait son yacht à la location pour 357 000 euros par semaine en basse saison et jusqu'à 378 000 euros en haute-saison. Derrière ces tarifs exorbitants, les 60 mètres du «Yogi» renfermaient 800 mètres carrés d'appartements privés accueillant douze voire quinze personnes.

    Deux hélicoptères et une frégate grecs ont sauvé les huit membres de l'équipage.
    Le Parisien- 18/02/12
  • Marine Le Pen invitée du JT- 20h sur TF1 cloue le bec de Claire Chazal !

     

    Lien: Marine Le Pen invitée du JT de 20h sur T-F-1

    NdB: La vidéo ne s'ouvre pas sur le blog:  cliquez sur le lien sevenload pour la visionner!

    A écoutez jusqu'à la fin!

    17/02/12

  • Télévision égyptienne: " Les Juifs défèquent dans leurs tanks par peur de se faire tuer "

    Ci-dessous des extraits d'une allocution du cheikh Muhammad Al-Arifi, diffusée sur la télévision satellitaire égyptienne Al-Nas le 6 février 2012 :

    « Ils emportaient donc des sacs dans les tanks pour déféquer et uriner… »

     

    « Les Juifs ont plusieurs caractéristiques. L'une d'entre elle est leur incapacité à supporter la confrontation. J'ai étudié l'histoire des Juifs quand je donnais un cours de religion, autrefois. De toute leur histoire, il n'y a pas une seule bataille qu'ils ont menée de front. Est-ce croyable ?... Ils se battent toujours de derrière des fortifications ou des murailles, qu'il s'agisse de murs mentaux ou physiques… Ainsi, quand un Juif armé jusqu'aux dents se retrouve devant trois ou quatre Palestiniens, on le voit souvent prendre la fuite, son arme à la main. N'ont-ils même pas le courage de tuer ? Eh bien non.

     Dans les anciens tanks, il n'y avait pas d'ouverture pour déféquer ou uriner. Les soldats qui passaient huit heures dans un tank avaient des besoins naturels, mais ils avaient trop peur de quitter leurs tanks pour se soulager, et revenir. Bien qu'ils fussent armés, et que leurs camarades pussent les couvrir, leurs cœurs étaient remplis de terreur et ils n'osaient pas. Ils emportaient donc des sacs dans les tanks pour déféquer et uriner

    J'ai aussi lu qu'à un moment donné, lors de l'Intifada palestinienne, qu'il convient d'appeler "djihad palestinien", la demande en comprimés anti-diarrhée s'est accrue. Comme vous savez, quand une personne a peur, son organisme évacue des fèces… Ils ont commandé ces comprimés pour leurs soldats, afin qu'ils ne se promènent pas dégoulinants de merde." 

    Le CRIF - Revue de presse - 17/02/12