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  • Le protectionnisme n'est plus un gros mot, mais attention aux contrefaçons !

     

    12 mars 2012

    Samedi sur le site des Quatre vérités, Nicolas Bonnal écrivait qu’ « (il avait) compris que pour la première fois (lors d’une présidentielle) il y a un candidat officiel, en France, qui n’est pas le candidat des Français mais le candidat de mondialisation malfaisante et de la bureaucratie européenne qui a pris le pouvoir. On a le candidat de la BCE, de la banque Goldman, on a le candidat de la grosse commission de Bruxelles, on a le candidat de la chancelière allemande devenue ivre de sa puissance (…) et qui met sous tutelle les peuples périphériques de l’Europe après les avoir ruinés par la monnaie inique. » Mais pas question de sortir également de cette prison là : les ministres des Finances de la zone euro se réunissent aujourd’hui pour valider définitivement le deuxième plan d’aide à la Grèce et discuter du renforcement des mécanismes dit « de solidarité » mis en place…

    Hier pourtant, lors de la grosse démonstration de force de l’UMP autour de son candidat à Villepinte, Nicolas Sarkozy a endossé l’armure du preux chevalier bien décidé à mater l’hydre euromondialiste. Un registre nouveau qui vient parfaire ses « emprunts » (verbaux) à de nombreux autres pans du programme défendu depuis des lustres par le FN.

    Laurent Joffrin dans Le Nouvel Observateur, a bien résumé la tonalité du discours sarkozyste qui vise la France du non, cette France qui « tient l’Europe en suspicion et penche de plus en plus vers Marine Le Pen. » Et Sarkozy de promettre une « remise en cause du traité de Schengen sur la libre circulation des personnes, (l’)introduction d’un protectionnisme européen, (la) proposition d’un buy european act (acheter européen) qui serait le pendant du buy american act (qui donne la priorité aux producteurs locaux dans les appels d’offre publics, NDLR) promulgué par Franklin Roosevelt en 1933 et toujours en vigueur. »

    Un vœu qui recoupe aussi la proposition développée par Arnaud Montebourg lors de la primaire socialiste et pour le moins sujet à caution lorsqu’il émane du fidèle vassal de Mme Merkel. Car note encore cet article « encore faut-il convaincre l’opinion de la sincérité de ce choix (…). Peut-on faire campagne pendant quatre mois sur le sérieux européen, pour proposer tout à coup de renverser la table de l’Union ? En menaçant même, si nos partenaires étaient réticents, d’appliquer les nouvelles dispositions de manière unilatérale ? Ce qui nous renvoie au handicap fondamental de la campagne Sarkozy : ce n’est pas tant qu’on rejette son programme ; c’est qu’on ne croit pas celui qui le propose. La volte-face de Villepinte risque d’ajouter à la confusion… »

    La plupart des commentateurs n’ont pas manqué de relever en effet que le président sortant n’a eu cesse de fustiger le protectionnisme pendant cinq ans…lequel a cependant le vent en poupe. Les Echos indiquait le 8 mars que « fin décembre, la Banque mondiale recensait 1.593 mesures (protectionnistes) instaurées entre novembre 2008 et novembre 2011, parmi lesquelles 1.187 mesures discriminatoires à l’égard des fournisseurs étrangers. La liste des mesures protectionnistes est longue. »

    « Avec 182 mesures comptabilisées par l’organisme, qui recense l’ensemble des mesures commerciales mondiales Global Trade Alert (GTA), l’Argentine est le pays qui compte le plus de mesures protectionnistes ». Une nation qui su aussi se sortir d’une crise économique épouvantable en disant non, pour son plus grand bien, aux diktats du FMI -voir notre article en date du 3 janvier dernier. En tête de ce classement nous trouvons aussi la Russie, l’Inde…et la Chine.

    Dans Libération, réagissant au discours de M. Sarkozy, Arnaud Montebourg a estimé que ce dernier« fait semblant de briser Schengen pour draguer grossièrement le FN », et a reproché au chef de l’Etat de faire « comme s’il était le candidat de la rupture, après avoir soutenu l’Europe passoire dans la mondialisation ». « Les dégâts sont énormes: 750.000 emplois industriels perdus en dix ans … et 900 usines fermées ces trois dernières années », a-t-il jugé. Ce que M. Sarkozy dit à Villepinte, « ça sent le rattrapage en pleine panique électorale ».

    Tout cela est exact mais le hic c’est que ni le PS en général ni M. Montebourg en particulier, ne sont vraiment fondés à critiquer l’UMP avec lequel ils votent, partagent et appliquent peu ou prou, les mêmes options européistes, mondialistes. A quelques nuances prés, malgré l’écran de fumée électoraliste, PS et UMP sont bien des siamois bruxellois.

    Et puisque l’on parle de sincérité, Bruno Gollnisch tient à mettre les points sur les i. Il constate en effet que bien avant que M. Montebourg ose formuler ses critiques vis-à-vis des conséquences délétères de la mondialisation, il était de ceux qui, de Pascal Lamy à Jean-Luc Mélenchon, crachaient au visage de Jean-Marie Le Pen qui avait le front de parler protectionnisme, barrières douanières, immigration maîtrisée, et préférence communautaire…

    Blog de bruno Gollnisch

  • Sarkozy: après le "j'ai changé" de 2007, le "j'ai appris" !

    Posté par le 12 mars 2012

     

    Communiqué de Julien Rochedy, président des Jeunes avec Marine

    Nicolas Sarkozy est tout de même exceptionnel, il faut le reconnaître. Oui, extraordinaire, il faut le dire, car il en faut du culot pour oser faire exactement la même campagne qu’en 2007, alors que 5 ans ont passé et que son bilan est exactement l’inverse des promesses qu’il nous avait tenues. Quel culot !

    Le meilleur passage de cette comédie aura quand même été le « j’ai appris », répété tout le long du discours de Villepinte, qui a fait étrangement écho au « j’ai changé » de 2007. Les mêmes tours, les mêmes effets, les mêmes thèmes, les mêmes annonces qu’il y a 5 ans – il faut oser !

    Sauf que ce n’est pas d’un acteur que les Français veulent à la tête du pays. Ce n’est pas d'un menteur non plus. Et ça, M. Sarkozy ne l’a pas encore « appris ».

    Le 22 avril, nous allons nous charger de lui faire passer le message, n’en doutez pas.

  • Russie: la méthode Poutine pour mater des dirigeants d'industries voraces


    Quand Poutine mate des dirigeants d' industries... par kyuss1994

    Peu de temps après la crise de 2008, Poutine remet un milliardaire à sa place...

  • Marine Le Pen - "Qui êtes-vous ?" (2)

  • WAGNER - KARAJAN - Ouverture de Tannhauser

    Tannhauser  fut créé en 1845 à Dresde sous la direction de Wagner, avec sa nièce Johanna Wagner dans le rôle d’Elisabeth.

     

  • Menton - Odette, 84 ans, met en fuite son agresseur

     Menton : Odette, 84 ans, met en fuite son agr - 16269593.jpg

    La dame âgée s’est retrouvée face à un homme dans sa cuisine. Elle lui a déchiré son T-shirt avant de se lancer dans une course-poursuite. Elle a été blessée à la main dans la bagarre
     
     

    Pourquoi s'attaquer à des vieux comme nous ? C'est lâche ! » En tout cas, l'agresseur d'Odette Aman va réfléchir à plusieurs reprises avant de s'en prendre de nouveau à une personne du troisième âge. Parce qu'Odette, 84 ans, malgré une silhouette fluette, n'a pas faibli du haut de son mètre cinquante.

    Dans son deux-pièces de la résidence « La piscine », située au 2, avenue Général-De-Gaulle, à Menton, elle nous montre sa cuisine. Là où, vendredi en début d'après-midi, elle a trouvé un homme d'une quarantaine d'années : « Je prenais le soleil dans le jardin. Lorsque je suis rentrée, je me suis trouvée nez à nez avec lui devant mon congélateur. Comment est-il entré ? J'ai mal fermé la porte à clef ».

    Elle s'en veut encore pour cette maladresse. Mais ses pupilles bleues s'agitent soudain. Comme si elle revivait la terrible scène. « Je ne voulais pas qu'il parte avec mes sous ! Il était grand. Mince. Mais je l'ai quand même agrippé par le col en V de son T-shirt blanc sous un blouson noir. J'ai tiré de toutes mes forces. Il s'est déchiré, ce n'était pas du neuf, glisse-t-elle dans un sourire satisfait. Il m'a alors regardée avec des yeux méchants ».

    Odette Aman ferme les siens. Comme si elle replongeait dans le cauchemar. Au cœur de cet instant terrible où tout aurait pu basculer : « Je tirais la porte pour l'empêcher de partir. Lui poussait pour que je ne sorte pas. J'ai mis mes mains dans l'interstice. J'ai ressenti une terrible douleur ».

    La dame âgée nous montre alors ses bras meurtris. Les séquelles de cette bagarre qu'elle savait perdue d'avance : « Il était plus fort que moi. J'ai des hématomes et on m'a posé six points de suture au doigt. Mais je ne voulais pas lâcher. Je suis partie à sa poursuite. Je criais d'appeler la police. Mais comme je suis une vieille dame, j'ai dû m'arrêter de courir ».

    Un vrai regret. Le même que celui du coiffeur situé au pied de l'immeuble mais qui a tenu à conserver l'anonymat : « Il avait des cheveux attachés en queue-de-cheval. Tout d'un coup, il a grimpé dans une BMW noire qui est partie en direction de l'Italie ». Des détails qu'Odette confirme : « Si le conducteur n'était pas un complice, j'aimerais qu'il se manifeste ».

    En attendant un hypothétique témoignage, la malheureuse a eu une mauvaise surprise en rentrant de l'hôpital : « Il m'a pris deux portefeuilles avec cinquante euros, une montre et des babioles. Mais c'est surtout des souvenirs auxquels j'étais attachée ». Ses yeux rougissent. Une larme roule sur ses joues : « C'était des cadeaux de mon mari que j'ai perdu il y a peu. C'est terrible. En plus, mes filles m'appellent souvent. Elles sont très loin et s'inquiètent ».

    Et il y a de quoi.

    « J'ai pris des gants pour les empreintes digitales »

    Parce qu'Odette a beau avoir démontré sa force de caractère, les blessures psychologiques sont présentes : « J'ai pris une pilule. Puis deux autres à minuit. Mais je n'ai pas dormi. Et je tremble toujours comme une feuille ». D'ailleurs, au moment de se coucher, Odette Aman a eu une surprise. « Lorsque j'ai voulu me coucher, j'ai remarqué qu'il avait jeté tous les bijoux de pacotille dans mon lit. J'ai pris des gants pour les empreintes digitales. J'attends la visite des policiers de l'identité judiciaire », explique la dame, avec un sourire malicieux.

    À 84 ans, Odette Aman était loin d'être une proie facile. Son agresseur le sait mieux que quiconque !

    Nice-Matin - 11/03/12

  • Louis Sarkozy: c'étaient des billes de pistolet pour enfant...

    NdB: Louis Sarkozy est né le 28 avril 1997. Il aura donc 15 ans très prochainement.

  • Gaza: 18 morts en trois jours, dont un enfant - Aucune victime du côté israélien

     

    Un Palestinien de douze ans a été tué et un autre blessé dimanche dans un raid israélien sur le nord de la bande de Gaza, portant à 17 le nombre de tués dans des frappes israéliennes depuis vendredi à Gaza, selon des sources médicales locales.

     

    La flambée de violence entre des groupes palestiniens de Gaza et l'armée israélienne a provoqué dimanche la mort de deux Palestiniens, portant à 18 le nombre de tués dans les raids israéliens ce week-end, et de nouveaux tirs de roquettes sur Israël.

    Un homme de 60 ans, Adel Saleh al-Issi, a péri dans un nouveau raid, selon le porte-parole des services d'urgence de Gaza, Adham Abou Selmiya.

    Plus tôt dans la matinée, un écolier de 12 ans, Ayoub Asaliya avait été tué, tandis que son frère âgé de sept ans était blessé, selon des sources médicales qui ont également fait état d'un autre blessé lors d'un troisième raid.

    L'armée israélienne a confirmé un raid contre deux sites de lancement de roquettes, dans le nord de la bande de Gaza, "utilisés par les organisations terroristes pour lancer des roquettes à longue portée --supérieure à 40 kilomètres-- contre Israël".

    Ce nouveau cycle de violences a été déclenché par "l'élimination ciblée" vendredi par Israël de Zouheir al-Qaïssi, chef des Comités de résistance populaire (CRP).

    Au total, 18 Palestiniens ont été tués, dont 15 combattants, et 30 autres blessés, depuis vendredi, au cours de 26 raids aériens sur Gaza confirmés par le ministre de la défense Ehud Barak.

     

    Le Berry.fr - 11/03/12

  • Les candidats et les banlieues, par Michel de Poncins

    Que c'est étrange : le problème des banlieues pourtant significatif est le grand absent de la campagne des présidentielle 2012 ! Tout se passe comme si les candidats ou présumés tels avaient la crainte de parler du brasier, de peur qu'il ne s'allume tout seul. Parler des banlieues c'est, à l'évidence, évoquer seulement celles qui ont des problèmes et non les plus paisibles.

    Huit millions de personnes vivent dans cinq cent villes ou quartiers échappant à l'autorité de l'État. Cela signifie que, dans le pire des cas, la police ne peut jamais y pénétrer sauf avec des effectifs considérables, médecins et pompiers idem, pharmacies fermées, boutiques en déshérence. Évidemment ce terrifiant tableau varie selon les lieux et dans chaque lieu selon les moments ou les périodes.

     Il y a la banlieue dont les trafiquants sont les propriétaires et qui se gère totalement comme un territoire indépendant, en passant, au besoin, des « traités » pour le partage de zones avec d’autres territoires ; à côté peuvent exister des quartiers simplement tristounets.... . Vivre dans la paix, n’importe où, reste l'un des services majeurs que les habitants d'un pays doivent exiger et obtenir de l'État…

     Michel de Poncins, extrait de « Reconquérir les banlieues », 5/03/2012.

    Polémia

  • Sarkozy à Villepinte, la main sur le coeur : "J'ai tout donné à la France !"

    Mis en ligne le 11/03/2012 à 16:37

    © BFM TV.com

    Nicolas Sarkozy à Villepinte: "J'ai tout donné à la France"
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    Le discours de Nicolas Sarkozy à Villepinte a pris dans sa première partie des accents de bilan et de remise en question sommaire. En 2007, Sarkozy avait changé, aujourd'hui, il a appris. Que d'évolution !

    Nicolas Sarkozy était ce dimanche 11 mars à Villepinte pour un grand meeting censé l'aider à glaner plus de voix et séduire les Français.

    En guise de programme, dans les 20 premières minutes, le président candidat s'est fendu d'un discours en forme de bilan, de constat, sur son quinquennat qui touche indubitablement à sa fin.

    "Je me souviens de ce mois de mai quand les Français m'ont élu président de la République", "J'ai appris l'humilité", "J'ai compris", "J'ai senti sur mes épaules le poids de la fonction", c'est sur le ton de la nostalgie et des réminiscences, que Nicolas Sarkozy a ouvert son meeting.

    Etre président, ce n'est pas facile, il faut "prendre ses responsabilités" et Sarkozy est convaincu d'avoir fait de son mieux (et plus) et le dit ouvertement.

    Eh oui, ce n'est pas de sa faute si la vilaine crise est passée par là, pile pendant les 5 années où il était au pouvoir, et il n'y peut rien s'il y a eu des mécontents.

    Il explique : "j'ai appris que le Président de la République est comptable des joies et des peines des Français. Il est plus attaqué, caricaturé que n'importe qui d'autre. J'ai appris qu'il fallait tenir".

    De toutes façons, c'est pas moi, c'est les autres, voilà par quelle phrase on pourrait résumer l'entrée en matière de Nicolas Sarkozy qui tape tour à tour sur les syndicats, les chômeurs et les profiteurs (bénéficiaires d'allocations et étrangers dans le même sac).

    Il déclare : "les vrais blocages ne viennent pas du peuple français mais de certains syndicats, de certaines organisations, de certains corps intermédiaires qui ont intérêt à l'immobilisme" ou encore il critique "l'assistanat" et "l'étranger qui vient en France pour le seul attrait de nos prestations sociales".

    Mais attention, si tout le monde doit marcher droit et se serrer la ceinture, le président aussi a des responsabilités.

    Ah les responsabilités, le mot préféré de Nicolas Sarkozy qui en plus de sauveteur la France, se voit en super-héros de l'Europe et du monde entier.

    C'est pour cela que Sarkozy a aussi donné dans la diplomatie en parlant affaires étrangères. Il rêve d'une France forte à l'international qui interviendrait là où la paix et la démocratie sont menacées : Israel, Syrie, Libye, pays où les chrétiens sont la cible d'attaques...

    Morceaux choisis :

    "La France doit être au côté des peuples. Elle doit être au côté du peuple syrien. C'est son devoir et sa responsabilité", "Il faut défendre le droit des chrétiens d'Orient à vivre en paix" ou encore "La France sera intransigeante pour défendre Israël, ce miracle de la volonté et de la démocratie".

    Bref, à en croire Nicolas Sarkozy, il a fait beaucoup et peut faire encore plus, à condition bien sûr d'être élu et pour ça il lance un appel à l'aide.

    A peine 25 minutes après le début de son discours, Nicolas Sarkozy tente le tout pour le tout et nous prend par les sentiments:

    "Je vous demande de me croire : j'ai tout donné à la France. Pendant cinq ans, j'ai fait de mon mieux pour protéger les Français de toutes ces crises, pour que la France en sorte plus forte, j'y ai mis toutes mes forces. Je me suis engagé comme jamais je ne l'avais fait avant dans ma vie".

    Ah patriotisme quand tu nous tiens...

    STARAGORA

     

  • Depardieu et Macias au meeting géant de Villepinte !

    11/03/12

     

    Cette France pipolisée dont les Français ne veulent plus !

     

  • VIDEO - Il pleut sur le fort d'Ivry