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  • Le Mémorial de la Shoah de Berlin est menacé par des fissures dans les blocs de béton

     Des travaux ont été entamés à la demande des autorités allemandes pour renforcer plusieurs centaines de blocs de béton du Mémorial berlinois de la Shoah, dont une étude a démontré la fragilité.

    Le site, voisin de la porte de Brandebourg, est l'un des plus visités de la capitale fédérale. Selon les tests effectués par des ingénieurs, 14% des 2.711 blocs qui le composent présentent un risque d'effondrement dû à des fissures. Ils seront renforcés à l'aide de colliers en acier.

    Nous ne sommes pas certains de ce qui a causé ces fissures dans les blocs, mais ce pourrait être dû aux variations de température et aux changements de temps, aux acides urinaires auxquels ils sont fortement soumis, ou tout simplement à l'opportunisme des promoteurs», a déclaré Felizitas Borzym, au nom de la fondation chargée de la gestion du Mémorial.

    La conception et la construction du site a donné lieu à de multiples controverses. Le chantier a notamment été suspendu en 2003 lorsqu'il est apparu que Degussa, fournisseur de la peinture antigraffiti, appartenait au groupe qui fabriquait le gaz utilisé dans les camps d'extermination.

     

    Avec Reuters
     
    20minutes - 15/03/12
  • Vers le droit à l'avortement post-natal !

    16/03/2012


    Vers le droit à l’avortement post-natal!
    IRIB-Le très sérieux Journal of Medical Ethics est une revue internationale de premier plan qui reflète l’ensemble du champ de l’éthique médicale. Dans son dernier numéro, le JME plaide pour le droit de supprimer des nouveau-nés, de la même manière que l’on peut avorter.

    Deux chercheurs en bioéthique, Francesca Minerva de l’Université de Melbourne et Alberto Giubilini, de l’université de Milan affirment en effet que « le droit de tuer un nouveau-né devrait être éthiquement permis dans toutes les mêmes circonstances que l’est l’avortement. Ces circonstances incluent les cas où les nouveau-nés […] peuvent être un risque pour le bien-être de sa famille ».
    Tout en distinguant l’euthanasie (acte qui consiste à faire mourir quelqu’un dans son propre intérêt) et l’avortement post-natal (tuer dans l’intérêt des personnes impliquées), les auteurs mettent en avant les « bonnes raisons d’avorter même si le fœtus est en bonne santé » : critères de coût social, psychologique ou économique pour les parents.
     
    IRIB

     

     

  • Vers le droit à l'avortement post-natal ?

    16/03/2012


    Vers le droit à l’avortement post-natal!
    IRIB-Le très sérieux Journal of Medical Ethics est une revue internationale de premier plan qui reflète l’ensemble du champ de l’éthique médicale. Dans son dernier numéro, le JME plaide pour le droit de supprimer des nouveau-nés, de la même manière que l’on peut avorter.

    Deux chercheurs en bioéthique, Francesca Minerva de l’Université de Melbourne et Alberto Giubilini, de l’université de Milan affirment en effet que « le droit de tuer un nouveau-né devrait être éthiquement permis dans toutes les mêmes circonstances que l’est l’avortement. Ces circonstances incluent les cas où les nouveau-nés […] peuvent être un risque pour le bien-être de sa famille ».
    Tout en distinguant l’euthanasie (acte qui consiste à faire mourir quelqu’un dans son propre intérêt) et l’avortement post-natal (tuer dans l’intérêt des personnes impliquées), les auteurs mettent en avant les « bonnes raisons d’avorter même si le fœtus est en bonne santé » : critères de coût social, psychologique ou économique pour les parents.
     
    IRIB

     

     

  • Les Africains ont une responsabilité dans la traite des Noirs

    Lire l'article: http://www.slateafrique.com/84079/traite-mabanckou-tabou-africain-esclave

     

     

    SlateAfrique - 16/03/12

  • Démographie de l'immigration: Yves-Marie Laulan aux Assises "La France en danger"


    Assises "La France en danger" — Yves-Marie Laulan par Agence2Presse

    Le 10 mars 2012 à Paris, intervention d’Yves-Marie Laulan, démographe, lors des Assises “La France en danger” organisées par l’association Nationalité, Citoyenneté et Identité, présidée par Catherine Blein.

    Démographie  de l'immigration : Y-M Laulan aux Assises “La France en danger” [vidéo]

    La carrière d’Yves-Marie Laulan, universitaire de longue date à Sciences Po, à l’université de Paris II, mais aussi à l’ENA et à l’École supérieure de guerre, l’a amené dans des horizons très divers. Après un passage dans les cabinets ministériels au temps du général de Gaulle, il a occupé le poste de haut fonctionnaire international à l’Otan pendant la Guerre froide. Il a également assumé les fonctions d’économiste en Afrique au service du développement durable et de banquier attaché au crédit social au service des plus déshérités. Par ailleurs, il est fort d’un engagement actif dans la vie associative en faveur des jeunes.

    Il est l’auteur d’une bonne quinzaine d’ouvrages, dont plusieurs ont été primés, ainsi que de centaines d’articles dans la presse française ou étrangère. Mais n’évoquer que sa carrière bien remplie serait oublier un autre parcours : celui d’alpiniste de haut niveau, qui compte une tentative d’ascension de l’Everest en hiver ainsi que des expéditions au Groenland et au mont Kenya entre autres.

    Yves-Marie Laulan est aujourd’hui consultant et président de l’Institut de géopolitique des populations.

    Crédit photos : Novopress, licence CC.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]

     

     

  • Discours de Marine Le Pen à Palavas-les-Flots

    15/03/12

    1200 personnes assistaient à ce meeting à Palavas-les-Flots

  • Guérini, un arbre qui annonce une forêt !

    Posté par le 16 mars 2012

     

    Stéphane Ravier

    Communiqué de Stéphane Ravier, conseiller régional de PACA, membre du Bureau politique du Front National

    Après sa mise en examen au mois de septembre dernier pour « trafic d’influence, prise illégale d’intérêts et association de malfaiteurs » le socialiste Jean-Noël Guérini s’est vu retirer son immunité parlementaire par le Bureau du Sénat.

    Le toujours président du Conseil général des Bouches-du-Rhône – réélu avec trois voix venues de l’UMP- devra ainsi répondre aux questions de l’opiniâtre juge Charles Duchaine.

    Le Front National se félicite de cette nouvelle étape franchie par la Justice et souhaite la même opiniâtreté au juge Franck Landou qui a en charge l’affaire dite des « HLM de Marseille » où le nom de Madame Muselier est cité avec une insistance telle qu’une mise en examen serait envisagée.

    « L’entente quasi parfaite entre Jean-Claude Gaudin et Jean-Noël Guérini » dénoncée par Arnaud Montebourg nous rappelle que M. Muselier fut le premier adjoint du Maire de Marseille pendant treize longues années, ce qui fait de lui, non pas le chevalier blanc qu’il prétend être, mais le fidèle écuyer de l’ami de Jean-Noël Guérini.

  • La campagne de Marine Le Pen passe par l'Hérault avec un succès sans précédent (revue de presse)

    Posté par le 16 mars 2012

     

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  • Les bottes à 1700 € de NKM créent la polémique !

    16/03/2012, 15 h 16 | Mis à jour le 16/03/2012, 15 h 27

     
    Nathalie Kosciusko-Morizet.
     

    L'affaire est passée curieusement assez inaperçue dans les médias, mais a fait grand bruit sur les forums. Ancienne ministre de l'Ecologie et porte-parole controversée du président-candidat Nicolas Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet s'est encore une fois "distinguée" début mars, après avoir assuré fin février qu'un ticket de métro coûtait "4 euros et quelque".

    C'est l'hebdomadaire Le Point qui a vendu la mèche : NKM porterait une paire de bottes Hermès vendues 1 700 €. Le prix, bien que très élevé, serait pourtant la correction d'une valeur beaucoup plus importante (plusieurs milliers d'euros) qui aurait circulé entre les protagonistes de la campagne sarkozyste.

    "Attention à ce genre de détail"

    Un bonheur pour les forums des sites féminins, sur lesquels de nombreuses lectrices se sont transformées en journalistes d'un jour. Une contributrice du forum Au-feminin.com dévoilant même le modèle présumé de la paire de bottes polémique.

    Quelques jours après la divulgation de cette indiscrétion dans Le Point, le site Atlantico (pourtant pas réputé pour son animosité envers le milieu sarkozyste) assurait que NKM aurait assuré à "l’un de ses conseillers qui lui faisait remarquer en réunion : "On vous avait dit, Mme la ministre, qu’il fallait faire attention à ce genre de détail quand on est campagne", Nathalie Kosciusko-Morizet a rétorqué dans un éclat de rire : "Quand Sarko ne portera plus ses montres, j’enlèverai mes bottes ! ".

    Le site tient néanmoins à préciser que NKM nie "formellement" l'existence d'une telle conversation.

    Midi Libre

  • Fusillade à Montauban: deux militaires tués, un gravement blessé (actualisé 2) - L'antiterrorisme sur l'affaire

    Posté par le 16 mars 2012

     

    Un troisième militaire, grièvement blessé par balle ce jeudi après-midi à Montauban, « est décédé de ses blessures », a indiqué le ministère de la Défense. Ce qui est faux ! Gérard Longuet a fait part, dans ce communiqué, de « sa plus vive émotion » après ce drame. Les trois militaires, âgés de 28, 26 et 24 ans, ont été la cible d’un tireur en deux-roues qui a pris la fuite. Ils se trouvaient, en tenue, à proximité de commerces et d’une agence bancaire lorsque le tireur a ouvert le feu.

    Les militaires abattus jeudi à Montauban et celui tué dimanche à Toulouse l’auraient été avec la même arme, révèle une source proche de l’enquête. A ce stade des investigations, tous les services de police spécialisés sont mobilisés, y compris la sous-direction antiterroriste (SDAT).

    Une demi-douzaine de policiers de la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire s’est rendue à Montauban ce vendredi matin suite au double assassinat par balles de militaires, révèle Europe 1. « Le groupe, dont Christian Louthion, directeur de la PJ, fait partie, doit appuyer les enquêteurs de la SRPJ de Toulouse.

    Dimanche 11 mars, près de la Cité de l’espace à Toulouse, un sous-officier du 1er Régiment du train parachutiste de Francazal avait été abattu dans des conditions proches. Ce jour-là, Imad Ibn-Ziaten, 30 ans, n’était pas en tenue. Mais, victime d’un même mode opératoire, il est tombé sous les balles d’un homme qui a pris la fuite en scooter. Le tueur s’était approché pour le viser à la tête, à bout portant là aussi. Le calibre de l’arme était le même.

    Le caporal Loïc Lieber, 28 ans, reste entre la vie et la mort. Il a été opéré à Montauban avant d’être hospitalisé à Toulouse dans la soirée d’hier. Le soldat de première classe Mohamed Legouad, 26 ans, et le caporal Abel Chenoulf, 24 ans, ont été tués sur le coups des balles meurtrières de 11,43 tirées par l’assassin.

  • Ces 20% de sondés qui ne veulent rien dire... et qui vont mettre Marine Le Pen au second tour !

     Posté par le 16 mars 2012

     

    Tribune libre d’Isabelle Weber

    Les instituts de sondage reconnaissent tous qu’il y a près de 20 % des gens interrogés qui refusent de dire pour qui ils vont voter… 20 % des sondés ça fait tout de même un paquet de gens qui en ont marre des manipulations journalistiques et journalières de la presse qui doit dire ce qu’elle doit dire : faire de l’avant premier tour un match Sarko-Hollande ! Il y va de notre crédibilité d’aller plus loin.

    Avant même le congrès de Villepinte de Talonette 1er, la presse se répandait déjà au travers de titres racoleurs « Sarko le retour », « Sarko reprend du souffle »… Facile de dire que Sarko rameute la foule quand il paie les déplacements de tous ceux qui viennent à son meeting ! 3 à 4 millions d’euros (payés par vous et vous seuls) pour 30 à 60 mille personnes… Voire 80 mille selon Copé alors que la salle n’en contient que la moitié…

    Moi si on me paie le déplacement, je vais voir rien que pour rigoler et observer ! Et en tant qu’ancienne UMP c’est ce que j’ai fait ! J’y suis allée ! Et j’ai vu des chauffeurs de salles suer comme des fous pour faire hurler la salle, pour surexciter les gens… pour que les images soient belles et le son soit parfait ! Jamais je n’ai vu pareil procédé dans un meeting de Marine Le Pen où les gens paient leur entrée d’ailleurs et ne sont pas payés pour y venir !

    Sauf que concernant le meeting de Villepinte de Sarkozy j’ai vu que tout était joué, et faux… ça m’a déprimée.

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  • Fusillade de Montauban: un lien avec le militaire tué dimanche à Toulouse ?

    Après la fusillade qui a coûté la vie à troiss militaires ce jeudi à Montauban, le ministre de la Défense, Gérard Longuet, qui s'est rendu sur les lieux du drame, n'écarte pas totalement l'hypothèse d'un lien avec le meurtre d'un militaire dimanche à Toulouse.

     
    Gérard Longuet a rencontré ce jeudi vers 21h00 le 17e Régiment du génie parachutiste (RGP) auquel appartiennent les trois victimes de la fusillade
     

    Le ministre de la Défense Gérard Longuet a déclaré ce jeudi soir à Montauban (Tarn-et-Garonne), où il s'est rendu après l'attaque par arme à feu contre trois militaires, que « toutes les pistes » devaient être « examinées » dans cette affaire.

    Ce jeudi après-midi, trois militaires ont été tués par un tireur qui a ouvert le feu sur ses victimes froidement, à bout portant, près d'un distributeur de billets dans un quartier paisible de Montauban, avant de prendre la fuite en scooter.

    Cliquez ici !

    Gérard Longuet, qui s'exprimait dans la cour du 17e Régiment du génie parachutiste (RGP) auquel appartiennent les trois victimes, peu après son arrivée vers 21h00, a estimé que ce n'était pas l'armée française qui était visée : « Profondément, je ne le pense pas, je ne le souhaite pas », a-t-il dit.

    "Toutes les pistes doivent être examinée"

    C'est la deuxième fois en moins de cinq jours qu'un militaire est tué par un tireur en deux roues dans la région. Mais, comme les enquêteurs, le ministre s'est refusé dans l'immédiat à établir un lien entre cette affaire et le meurtre à Toulouse dimanche d'un militaire, en civil, tué d'une balle en pleine tête par un tireur qui s'est enfui en deux roues. « C'est un lien que je ne ferai pas à cet instant », même s'il « mérite d'être examiné », a-t-il dit .

    A l'heure actuelle, aucune piste n'est toutefois écartée. « Toutes les pistes doivent être examinées et les motifs peuvent être de nature extrêmement différente, depuis la démarche individuelle jusqu'à quelque chose de collectif et de conçu, nous n'en savons rien », a affirmé le ministre quant à l'éventualité d'un acte terroriste.

    "Tout le monde peut être visé par un fou"

    Le ministre de la Défense a estimé qu'il n'était pas forcément nécessaire que les soldats français prennent des mesures pour se protéger : « Le militaire en France est connu, reconnu et apprécié, tout le monde peut être visé par un fou, a-t-il estimé. Les militaires sont chez eux en France, ils n'ont pas de raison de raser les murs. »

    « Moi, mon devoir, c'est de garantir au 17e que tout sera fait pour élucider cette tragédie », a assuré Gérard Longuet. Au cours de ce déplacement à Montauban, Gérard Longuet a tenu à exprimer « une marque de solidarité » au régiment frappé par le drame, tout en leur assurant de poursuivre « le plus rapidement possible l'enquête la plus approfondie. »

     

  • Vers le mémoricide de la Grande Guerre ?

     

    Le souvenir des « Poilus » reste profondément ancré dans la mémoire française : dans la mémoire des familles où chacun a un grand-père, un arrière-grand-père ou un trisaïeul qui a combattu ; dans la mémoire des villages qui ont tous leur monument aux morts. Pourtant, à deux ans du centenaire de 1914 le gouvernement s’est engagé dans la voie du mémoricide.

    Le 11 novembre va devenir une sorte de Memorial Day à l’américaine dont la guerre de 1914 a vocation à disparaître. Alors même que les autres événements du dernier siècle gardent leurs dates commémoratives, la Grande Guerre perd celle qui lui était propre. Abbon fait le point pour Polémia.

    La loi du 20 février 2012

    Dans son discours du 11 novembre 2011 le président Sarkozy annonça qu’il « inaugurait une nouvelle ère dans la mémoire collective ». Le changement annoncé, pour une fois, n’allait pas tarder à se réaliser. Un mois plus tard, l’Elysée émettait une proposition de loi qui reçut dès le 20 février 2012 l’approbation du Parlement. Selon les termes de Nicolas Sarkozy, « Désormais ce seront tous les morts pour la France, ceux d’hier et d’aujourd’hui, ceux d’Indochine, d’Afrique du Nord, de Suez, et tous ceux qui sont tombés plus récemment dans les opérations extérieures des Balkans, d’Afghanistan, du Moyen-Orient, de la Côte d’Ivoire et de la Libye qui seront honorés le 11 novembre. »

    La banalisation de la Grande Guerre

    Voilà donc la Grande Guerre banalisée, relativisée sur décision du gouvernement français alors que sa commémoration presque centenaire était entrée dans les mœurs et que son souvenir continue à inspirer cinéastes et littérateurs ; alors que la communauté internationale lui rend un hommage insigne depuis près d’un siècle, le protocole voulant qu’un chef d’Etat étranger en visite officielle manifeste sa déférence à la France par le dépôt d’une gerbe sur la tombe du Soldat inconnu, sous l’Arc de Triomphe, la juxtaposition de ces deux monuments montrant le lien unissant la souffrance et la gloire, celle-ci ne pouvant s’acquérir qu’au prix de la première. C’était là un geste de respect pour la nation française qui sut préserver son indépendance et son intégrité grâce à l’héroïsme de ses Poilus.

    Il est vrai que l’énormité du sacrifice consenti par le peuple de France entre le 3 août 1914 et le 11 novembre 1918 – 1.400.000 tués dans des conditions inhumaines, 3 millions de blessés, près du tiers de la richesse nationale anéantie – a pu nourrir une contestation pacifiste. On a pu déplorer, en comptant ses huit millions de morts, toutes nations confondues, à 95% européens, une sinistre boucherie préludant au déclin d’une Europe jadis hégémonique.

    La loi du 20 février peut être interprétée comme une concession aux traditions antimilitaristes et pacifistes de la gauche, qui la vota aux côtés de l’UMP. Plus largement, le rappel d’un conflit opposant sur son front principal une Allemagne et une France autour desquelles se construit l’Union européenne fait désordre aujourd’hui, aussi les historiens officiels orientent-ils leurs travaux autour du « Plus jamais ça », et nombre de nos contemporains ont tendance à rejeter le souvenir de cette guerre dans l’oubli, faute d’en comprendre les causes et les conséquences.

    Une variante à la française du Memorial Day

    On ne saurait donc s’étonner du rôle personnel de Nicolas Sarkozy, connu pour son suivisme à l’égard des Etats-Unis, dans la conduite d’une réforme qui nous impose une variante à la française du Memorial Day. On ne s’étonnera pas non plus que le président ait profité de l’occasion pour normaliser, face à une opinion publique de plus en plus réticente, des guerres menées loin de la mère-patrie en Afghanistan, dans les Balkans ou en Afrique pour y défendre des intérêts plus américains que vraiment français.

    Le cosmopolitisme soixante-huitard, symbolisé par une célèbre boutade : « Nous sommes tous des juifs allemands », semble inspirer plus nettement la politique internationale de notre actuel président que le nationalisme français. L’hédonisme jouisseur des émules de Cohn-Bendit exprimé dans un slogan bien connu : « Faites l’amour, pas la guerre », caractérise des individus fiers de l’être qui ne se reconnaissent que des droits, à l’exclusion de tout devoir, qu’il soit d’ordre familial ou patriotique.

    Un tel état d’esprit, largement répandu dans les médias et le show-biz, ne prédispose guère à comprendre les sacrifices inouïs consentis par les Poilus dans l’horreur des tranchées afin de défendre, contre l’envahisseur allemand, des frontières que n’importe quel immigré venu du bout du monde peut franchir aujourd’hui sans trop de difficultés grâce aux Accords de Schengen pour jouir, aux frais du contribuable, des largesses de l’Etat français. Mais ce n’est pas seulement l’esprit de Mai-68 qui sévit dans cette réforme, car il s’agit aussi et surtout d’une adaptation à l’idéologie mondialiste, dont la révolution soixante-huitarde posa les premiers jalons.

    Une nouvelle ère de la mémoire collective placée sous le signe du mondialisme

    La nouvelle ère inaugurée dans l’histoire collective par la loi du 20 février se fonde sur une révision de notre histoire inspirée des nouvelles valeurs prônées par l’idéologie dominante que l’on désigne du terme de mondialisme, laquelle est propagée, pour son plus grand profit, par l’hyperclasse mondiale des banquiers, patrons de multinationales, hauts fonctionnaires des institutions internationales.

    Notons au passage que les idéologies totalitaires ont par nature une propension fatale à manipuler l’histoire dont elles se jugent seules aptes à désigner le sens. C’est ce que montre Orwell dans 1984 : « Celui qui contrôle le passé contrôle le présent, celui qui contrôle le présent contrôle l’avenir ». Quelles sont donc les nouvelles valeurs de l’Evangile mondialiste ?

    Ce sont les Droits de l’homme apatride, sans identité ethnique ni culturelle ni même sexuelle, réduit à ses qualités de producteur et de consommateur homogénéisé par le marché, interchangeable, donc apte à immigrer en n’importe quel point de la planète où il jouira des mêmes avantages, des mêmes droits démocratiques que les autochtones. Si en quelque région du monde ces droits viennent à être entravés par un tyran, les organisations internationales ou les grandes puissances, se réclamant du droit d’ingérence, sont fondées à intervenir militairement pour rétablir la démocratie.

    Les guerres humanitaires sont légitimées par les grands principes qu’elles sont censées défendre, même si les idéaux proclamés cachent des intérêts pétroliers ou les visées géopolitiques d’une hyperpuissance. Le mal, en revanche, vient des nations qui ont la possibilité d’entraver la libre circulation des capitaux, des marchandises et des migrants par leurs frontières, leur souveraineté qui les autorise à édicter des réglementations visant à protéger des intérêts nationaux, donc discriminatoires (horresco referens), menaçant la paix mondiale, enfin, par leurs armées belliqueuses et belligènes.

    La pensée unique instrumentalise la Guerre de 1914 pour criminaliser le nationalisme censé avoir à lui seul provoqué le déclenchement des hostilités et légitimé la poursuite du conflit. De là à condamner définitivement tout nationalisme, et même tout patriotisme et, par-dessus le marché, la nation sous prétexte qu’en elle réside la grande cause des guerres, il n’y a qu’un pas. La pensée unique établit ainsi une hiérarchie des guerres : les seules honorables sont celles que l’on qualifie d’ « humanitaires », dont le prototype est la Seconde Guerre mondiale, livrée contre un régime nazi, antisémite, raciste et xénophobe, et dont le dernier avatar est l’expédition de Libye.

    Le vote de la loi du 20 février a été obtenu contre la garantie du maintien de la commémoration du 8 mai 1945 sans compter d’autres journées apparentées. Les guerres nationales, en revanche, sont privées de légitimité car livrées pour des raisons identifiées au fascisme, même si les belligérants se trouvaient dans une position défensive. Le succès planétaire d’Indignez-vous, ce petit bréviaire du politiquement correct, s’explique par le prestige d’un auteur qui se veut résistant au nazisme plutôt qu’ancien combattant.

    Osons la dissidence !

    La rétrogradation de la Première Guerre mondiale dans la hiérarchie des célébrations n’est donc pas tellement due à l’usure du temps qu’à la révolution opérée dans les mentalités par l’idéologie mondialiste, liée elle-même au phénomène de mondialisation identifié à un progrès irréversible, comme le furent autrefois les révolutions communistes.

    Mais toute idéologie étant sujette à dissidence du fait de son caractère utopique et totalitaire, il est légitime de penser contre le politiquement correct. Rappelons-nous que le marxisme-léninisme, il n’y a pas si longtemps, attribuait au seul régime capitaliste la responsabilité du déclenchement des hostilités de 1914. Voilà une preuve, parmi d’autres, que les « vérités » d’ordre idéologique sont éphémères. La diabolisation des opposants au mondialisme par une récurrente reductio ad hitlerum ne devrait pas intimider les contestataires. Secouons l’apathie où l’idéologie plonge ses victimes « dans une indifférence cynique ou embêtée » à son propre sort, selon les mots si justes de Hannah Arendt ! (*)

    A quoi peut mener le constant dénigrement de notre nation, de sa langue, de sa culture, la repentance unilatérale exigée pour tant d’événements de notre histoire et, en l’occurrence, le renoncement, inscrit dans la loi du 20 février, à l’une de nos plus attachantes victoires, à quoi peut mener la perte de notre fierté d’appartenance, sinon à la servitude volontaire au profit des empires du moment ?

    La nation, cette communauté forgée par l’histoire, est d’une valeur irremplaçable, car elle rend possible l’exercice de la démocratie qui ne peut se réaliser à l’échelle mondiale en raison de la diversité des civilisations sur laquelle le mondialisme fait l’impasse. En même temps elle permet aux citoyens d’échapper à l’atomisation, source de tous les dangers dans un monde qui a toujours été violent ; contrairement aux prédictions d’un progressisme de bazar, elle n’est pas condamnée par l’histoire. La France, plus que millénaire, n’est pas la moindre des nations du monde, elle n’a pu survivre au long des siècles que par les sacrifices d’innombrables générations. C’est la leçon que nous ont transmise les combattants de 1914 qui ont sauvé l’indépendance et l’intégrité de notre pays. Les premiers résistants qui manifestèrent à l’Arc de Triomphe le 11 novembre 1940 l’avaient compris. A nous de reprendre le flambeau : il n’est pas de liberté sans combat.

    Abbon
    9/03/2012

    (*) Système totalitaire / Les origines du totalitarisme, éditions du Seuil, collection Politique, page 39

    Voir aussi : 11 novembre : La mémoire de la France est davantage à Verdun qu'à Auschwitz

    Correspondance Polémia – 15/03/2012

  • Dans un quartier d'Athènes, les néonazis prospèrent grâce à la crise

    Le contexte économique exacerbe le racisme en Grèce. Dans un quartier de la capitale, un parti néonazi fait la loi et des étrangers sont tabassés. Reportage.

    (D'Athènes) Je suis chez Christina Samartzi, une responsable de Médecins du Monde à Athènes, pour parler des milliers de cas de sous-nutrition récemment constatés chez les enfants grecs. Cela fera l'objet d'un autre article. Au fil de la conversation, elle me raconte qu'un de leurs traducteurs a été tabassé récemment :

    « Il est afghan. On suppose que c'est L'Aube d'or. »


    Le logo d'Aube d'or

    L'Aube d'or (Chrysi Avyi) est un parti néonazi. A Athènes, les agressions d'immigrés sont de plus en plus nombreuses. Toutes sont attribuées à ce parti de jeunes braillards qui aiment tendre le bras et afficher leur logo pas très éloigné de la croix gammée.

    Né dans les années 80, L'Aube d'or connaît une nouvelle jeunesse à la faveur de la crise économique.

    C'est un peu plus loin, à Agios Panteleimonas, que les allumés de L'Aube d'or concentrent leur activité. Une place présentée comme dangereuse par les guides touristiques, tant les affrontements sont nombreux autour de l'église homonyme.

    Le danger ne saute pas tout à fait aux yeux ce premier jeudi de mars. Il fait grand soleil, les enfants jouent dehors et les Albanais au chômage enchaînent les parties de dominos.

    Nettoyer la Grèce


    L'église d'Agios Panteleimonas (Zineb Dryef/Rue89)

    Sur le parvis de la grande église, il faut baisser les yeux pour voir le grand message tagué au sol qui invite les étrangers à partir. Un tag antifasciste le recouvre, lequel est lui-même dissimulé par un autre, raciste ; enfin, tout cela est devenu illisible.

    Le parc à proximité de l'église est désormais vide. Comme la place Attique, dans le quartier d'Omonia, il a été occupé par L'Aube d'or qui en a chassé, par la violence et les coups, tous les étrangers. Jusqu'à ce que le conseil municipal décide finalement la fermeture du parc.

    Distrait par une pièce de monnaie qu'il s'emploie à chercher dans la grande église, le pope refuse de me parler. C'est pourtant ici que se sont déroulées certaines des plus violentes attaques de L'Aube d'or contre les immigrés. Des descentes de dizaines de jeunes dont l'objectif est de « nettoyer la Grèce de ses souillures ».

    En septembre dernier, un demandeur d'asile afghan a été grièvement blessé après son agression par une quinzaine de personnes. En mai, ce sont treize migrants qui ont été battus par les extrémistes. Il serait malheureusement trop long de recenser tous ces « pogroms » – c'est ainsi que les Grecs désignent ces affrontements.

    La police tolère les néonazis


    Affiche de la station Kokkino (Zineb Dryef/Rue89)

    Tolérés par la police, « ils agissent souvent comme les auxiliaires des CRS », explique Jason, journaliste à Kokkino, une radio de la gauche radicale qui suit attentivement ce mouvement.

    Kostis Papaioannou, président du Comité national pour les droits humains, a lui relevé que la plupart des crimes et agressions de nature raciste ne font même pas l'objet d'enquêtes policières. Une attitude dénoncée par le HCR à Athènes.

    Ce mouvement néonazi, même s'il reste marginal, progresse dans le centre d'Athènes. Plusieurs sondages créditent le mouvement de près de 2,5% d'intentions de vote aux législatives anticipées du mois d'avril.

    En novembre 2010, Nikolaos Michaloliakos, de L'Aube d'or, a été élu au conseil municipal d'Athènes avec ce slogan : « Refaire d'Athènes une ville grecque » ; les électeurs d'Agios Panteleimonas lui ont été favorables.

    Ils ont le soutien de la population dans ces quartiers populaires, surtout des jeunes, explique Jason :

    « Leur progrès s'explique par la crise mais aussi par la participation du Laos [l'alerte populaire orthodoxe, parti d'extrême droite, ndlr] au gouvernement. Beaucoup de gens ont été déçus et s'en sont détournés.

    Leur succès s'explique aussi par leurs liens avec la population. Ils fonctionnent par milices et ils créent des comités d'autodéfense. Dans le quartier d'Agios Panteleimonas, ils ont fait du porte-à-porte pour laisser un tract avec un numéro à joindre si les gens venaient à se sentir menacés par les immigrés. »


    Dans une épicerie du quartier (Zineb Dryef/Rue89)

    « Grâce à eux, il n'y a plus d'Asiatiques »

    Les affirmations de Jason se vérifient au premier petit commerçant interrogé. Il est épicier dans le quartier d'Agios Panteleimonas depuis les années 80. Maintenant, il ferme à 21 heures parce qu'il a peur des attaques et parce qu'« aucun Aryen ne circule à la nuit tombée » :

    « Les immigrés volent des petites choses. Par exemple, une combine courante, c'est de prendre un paquet de cigarettes, de demander le prix, d'en saisir un second et hop ! Ils partent en courant.

    Ce sont des gens qui achetaient autrefois mais maintenant ils volent. Heureusement, je ne me suis jamais fait braquer. »


    Tract de L'Aube d'or (Zineb Dryef/Rue89)

    Il estime que son chiffre d'affaires a baissé de 70% ces deux dernières années. Il dit aussi que le quartier a été nettoyé :

    « C'est grâce à Chrysi Avyi. Moi, je ne fais pas de politique et je n'ai pas d'avis sur le sujet mais grâce à eux, il n'y a plus d'Asiatiques [les Afghans et les Pakistanais, ndlr] dans le quartier. »

    Dehors, on ne repère pas dans la journée de militants de L'Aube d'or. Mais de nombreuses affiches témoignent de leur récente présence dans le quartier :

    • « Je vote L'Aube d'or pour chasser la souillure de notre pays » ;
    • « La Grèce appartient aux Grecs » ;
    • « Une mosquée à Athènes ? Jamais. Et nulle part en Grèce. »

    « Avant, on n'aimait pas trop les Albanais »

    Dans ce qui subsiste de commerces grecs dans le quartier – d'après le petit commerçant, plus beaucoup mais il exagère – il y a ce minuscule café tenu par un Grec, « de la minorité grecque en Albanie ». Il y a là de très vieux messieurs, pas forcément très âgés, non, mais l'air vieux à leur manière d'être assis, chacun seul à une table, dos au mur. Ils boivent du café et de l'eau de vie que le patron leur sert régulièrement et généreusement. Il tolère les cigarettes, fume lui-même.


    Dans le petit café (Zineb Dryef/Rue89)

    Ce matin-là, ils ressassent. La beauté passée du quartier, la quasi bourgeoisie des habitants – la tante d'un des clients du bar a vendu autrefois cinq de ses magasins en province pour pouvoir s'installer dans l'un des immeubles aujourd'hui décrépis du quartiers –, son microclimat même.

    Un homme prend la parole.

    « La première vague d'immigrés, c'étaient les Albanais. On ne les aimait pas trop, on pensait qu'ils étaient dangereux mais ils n'ont pas défiguré le quartier. Ils travaillent bien.

    Aujourd'hui, beaucoup d'Albanais, de Bulgares, de Roumains rentrent chez eux. Avec la crise, ils ont perdu leur travail mais ils ne veulent pas devenir des voleurs.

    Les Afghans et les Pakis sont obligés de rester ici, alors ils sont prêts à tout pour survivre. Le problème, c'est qu'ils ne pourront pas vivre longtemps, ni très bien, uniquement du vol.

    Les Albanais, eux, n'auraient jamais fait des choses humiliantes comme mendier ou essuyer les pare-brise contre de la monnaie, ils partent. »


    Dans le petit café (Zineb Dryef/Rue89)

    Les autres acquiescent. Ils semblent lui vouer quelque chose comme de l'admiration un peu révérencieuse. L'homme s'appelle Takis Mouzoukos. Il est le plus âgé de l'assemblée. Ingénieur civil à la retraite, il a eu cette idée baroque, il y a maintenant deux ans, de créer le premier cimetière d'animaux domestiques d'Athènes. Lui et son associé – un Albanais – ne souffrent pas de la crise, affirme-t-il.

    « Ils sont dans une impasse »

    Le patron me montre son gros cahier. La crise c'est ça, cette liste de noms et en face une somme, souvent élevée. Un de ses clients lui doit 250 euros mais il n'a pas le cœur à lui refuser des consommations :

    « Avant la crise, ils venaient, ils me faisaient vivre, je ne vais pas les laisser tomber maintenant. »

    Lui aussi a une dent contre les « Asiatiques » ; ils ne veulent pas s'intégrer. La preuve : jamais il n'en a vu un seul au café ! Pas une fois. Il les croise parfois dans la rue, rasant les murs. Il n'est pas rassuré :

    « Ils sont dans une impasse parce qu'ils ont été dupés par les mafias et qu'ils se retrouvent maintenant coincés à Athènes sans travail, ni argent. Les hommes deviennent des bêtes féroces quand ils ont faim. »

    C'est entendu, ces hommes-là n'aiment pas les « Asiatiques » mais à l'évocation de L'Aube d'or, ils s'agitent. Takis parle pour les autres :

    « Bien sûr que je préférerais qu'ils rentrent chez eux mais je ne peux pas accepter qu'on les traite comme le fait L'Aube d'or !

    Je suis choqué quand je vois ces jeunes, des jeunes du quartier parfois, qui tapent des hommes avec des battes de baseball. Je n'aime pas voir ça en Grèce.

    Les Grecs sont eux aussi responsables. De riches propriétaires d'immeubles louent les sous-sols et entassent des dizaines d'immigrés à l'intérieur. Les endroits les plus dangereux maintenant, ce sont les halls d'immeubles. »

    Il se demande si « tout ce bordel n'est pas organisé par des gens de l'immobilier » mais enfin, il ne faut pas s'inquiéter, « la Grèce s'est souvent retrouvée dans des situations impossibles mais l'espoir d'un Grec ne meurt jamais. A la vôtre ! »

    Rue89

    (Cliquez sur les photos)

  • Une jeune militante varoise du FN dépose plainte pour agression

    Publié le jeudi 15 mars 2012 à 18h40 - 1

    Une militante varoise du FN dépose plainte pour agression D. L

    Une jeune femme âgée de 18 ans, militante au Front national depuis un mois, a déposé ce jeudi une plainte pour agression au commissariat de La Seyne.

    Elle affirme avoir été agressée ce matin à 9h45 par deux individus cagoulés. L'incident aurait eu lieu alors qu'elle venait de déposer sa fille à la crèche "Le petit monde", dans les anciens locaux de l'école Eugénie Coton à La Seyne.

    D'après son témoignage, l'un des deux agresseurs l'a menacé avec un cutter et lui a entaillé la joue. "Ils m'ont dit qu'ils m'avaient reconnue dans un reportage de France 3 Toulon tourné à la permanence du FN de Six-Fours, qui a été diffusé mardi", explique Cécilia

    Dans un communiqué, le secrétaire départemental du FN, Frédéric Boccaletti, condamne "condamne sans réserve cette agression d'une grande lâcheté" et "rappelle à ses adversaires que notre République ne saurait s'accommoder de l'irruption dans le débat électoral d'incitations à la violence".

    Nice-Matin - 15/03/12