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  • Printemps français: encore 52 opposants au mariage gay interpellés

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    Dans la nuit de mardi et mercredi, de jeunes opposants pacifiques au mariage pour tous ont été arrêtés dans Paris après une partie de cache-cache avec les forces de l'ordre pour «manifestation non-déclarée».

     
     

    Après la «fête gâchée» du PSG, les policiers ont vite retrouvé des cibles plus faciles… Au jeu de la «téléportation pour tous», ils semblent encore plus habiles que les opposants au mariage gay. Ce nouveau concept, imaginé par des jeunes militants ulcérés par le «deux poids-deux mesures» entre les traitements réservés aux «manifestants pacifiques» et aux "hooligans", consiste à scander, dans des endroits fréquentés, des slogans contre la loi Taubira. Quand la police arrive, la bande se disperse, pour se «téléporter», par petits groupes, ailleurs. Dans la nuit de mardi à mercredi, selon la préfecture, «52 personnes sur... une cinquantaine» ont été interpellées pour «manifestation non-déclarée». Sans incident, précise un porte-parole, ni dégradations.

    «L'opération a commencé près des Invalides, à la station Varenne, raconte Louis, qui «court plus vite que la police». Des policiers étaient là, visiblement au courant de l'opération, alors certains sont allés à Sèvres-Babylone, d'autres gare de Lyon, et on s'est retrouvés place de Carrousel, entre le Louvre et les Tuileries». Ce conseiller en défiscalisation de 29 ans, qui a déjà été arrêté 9 fois en marge de manif pour tous, a réussi à échapper aux CRS ce soir-là. Mais pas Roch, un étudiant de 21 ans, qui lui «ne faisait que regarder», à l'écart, en parlant avec deux amis. «On a vu des gens courir dans tous les sens, raconte le jeune homme. Moi, je n'ai pas compris pourquoi on m'attrapait et me menottait, mais un CRS m'a dit ‘on vous expliquera ensuite'».

    Pas même le temps, pour Roch et ses deux amis, de mettre un antivol sur leurs motos. Au commissariat du XVe arrondissement, ils apprennent qu'ils sont appréhendés pour «participation à une manifestation non autorisée et entrave à la circulation». «Devant mes protestations, poursuit Roch, le capitaine, une femme, m'a dit qu'ils avaient des instructions pour ratisser large, et que je pourrais toujours porter plainte, mais cela n'aboutirait pas…»

    «Créer un climat d'insubordination» parmi les policiers

    Même mésaventure pour Cyril, un informaticien de 28 ans. «Je buvais un verre après le sport avec cinq amis, indique-t-il. Alors oui, on était en jogging, mais pas de la manif pour tous!». A travers les vitres du bar, ils voient arriver une dizaine de camions de CRS, gyrophares en action. «Ces clients sont sortis au mauvais moment, témoigne José, le patron du Vauban. On a eu beau dire qu'ils étaient restés chez nous à consommer, les six ont tout de même été embarqués». En compagnie de participants à la partie de cache-cache, qui évoluaient aux alentours. «Les agents de police nous ont indiqué qu'ils ne faisaient «qu'exécuter les ordres», rapporte Cyril. Au commissariat, on a passé trois heures. Il n'y a rien de grave en soi, mais on va porter plainte».

    Les initiateurs de ce nouveau «jeu de potaches», eux, ne porteront pas plainte pour arrestations abusives. Ils savent très bien qu'en narguant ainsi les policiers, ils risquent de finir au poste. «L'objectif, c'est de provoquer une prise de conscience chez les policiers, explique Louis. Cette nuit-là, nous étions manifestement infiltrés par des policiers en civil n'ayant rien de mieux à faire. Ils ont été jusqu'à envoyer la BAC (brigade anticriminalité) pour courir derrière après une cinquantaine de gamins qui ne commettaient aucune dégradation!» Et selon Louis, «cela commence à marcher». «Les gendarmes et CRS nous disent qu'ils ne nous en veulent pas à nous, mais aux ordres qu'ils trouvent de plus en plus ridicules, affirme-t-il. Certains nous encouragent. On est en train de créer un climat d'insubordination: bientôt, ils diront, «stop! Je pose mon bouclier et je m'occupe des vrais criminels».

    Le Figaro - 15/05/13

  • PSG: un million d'euros de préjudices en deux nuits d'émeutes à Paris !

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    50 voitures dégradées, 3 brûlées

    Le Figaro a reconstitué la facture des pillages et des violences au Trocadéro et sur les Champs-Élysées.

     
     

    De 750.000 à un million d'euros de préjudice en seulement deux nuits d'échauffourées à Paris! Le Figaro a chiffré les dérapages de la «fête» pour le titre du PSG dans la capitale, les dimanche 12 et lundi 13 mai.

    L'inventaire des dégâts a été fourni par les services municipaux et les élus des arrondissements concernés, après qu'ils ont effectué un recensement des sinistres auprès des riverains, des commerçants et des acteurs publics ou privés concernés par ces débordements.

    La liste tient de l'inventaire à la Prévert. «Plus de 15 vitrines de commerces détruites (place du Trocadéro, avenue Kléber et rues adjacentes)»: 150.000 euros de dégâts, «dont 50.000 à 70.000 pour le seul Café Kléber». Auxquels il faut ajouter plus de 50.000 euros de préjudice pour quatre enseignes des Champs-Élysées: Peugeot (25.000 euros), Vuitton, mais aussi Hugo Boss.

    Le jardin du Trocadéro saccagé

    Dans le XVIe, outre une papeterie et un supermarché Carrefour City, victimes de pillages, deux belles bijouteries de l'avenue Victor-Hugo ont subi des razzias. Coût estimé des vols: 70.000 euros au bas mot.

    On a dénombré 50 véhicules dégradés pour une facture prévisible de 150.000 euros, trois voitures brûlées, pour 30.000 euros de plus, sans parler d'une dizaine de scooters, pour environ 20.000 euros.

    Le mobilier urbain cassé ou détérioré (bancs, panneaux, grilles de protection des pelouses) coûtera 20.000 euros à remplacer ou à réparer. Le jardin du Trocadéro a été «saccagé, côté Musée de l'homme», aggravant encore la note pour le contribuable parisien. «Peut-être 10.000 euros de réfection», estime un élu. Sans parler du coût de sécurisation des échafaudages autour du Palais de Chaillot. Ces mêmes échafaudages que les casseurs jetaient sur les forces de l'ordre.

    Coût médical des blessés

    «Songez que la Mairie de Paris avait réclamé aux responsables de la pacifique Manif pour tous la coquette somme de 100.000 euros pour avoir seulement foulé la pelouse du Champ-de-Mars, le 13 janvier dernier!», rappelle un élu UMP de la capitale.

    Il faut y additionner les surcoûts liés au ramassage des multiples débris, mais aussi le coût de la sécurité privée qu'il a fallu mettre en place pour parer aux vols après l'événement: 100.000 euros de plus.

    Le seul coût estimé dans le XVIe arrondissement de Paris est de près de 500.000 euros. Député UMP de Paris, Pierre Lellouche, élu du VIIIe, livre «l'estimation basse» pour son propre quartier: «250.000 euros sans être exhaustif», confie-t-il, après avoir contacté ses administrés mais aussi le commissariat de police d'arrondissement, aujourd'hui dessaisi du dossier au profit d'un service spécialisé de la Préfecture de police.

    Le seul coût estimé dans le XVIe arrondissement de Paris est de près de 500.000 euros

    Total général pour les deux arrondissements théâtres des émeutes: 750.000 euros. Auxquels il faut encore ajouter le coût médical des blessés (une trentaine), le pretium doloris et les surcoûts d'emploi des forces de sécurité. Car il a fallu ramener jusqu'à 9 unités des forces mobiles pour parer à ces deux nuits de violence.

    Les CRS ont un coût que la Préfecture de police n'oublie pas de facturer, notamment aux acteurs des rencontres sportives, quand cela s'impose. Un agent des forces mobiles touche en heures supplémentaires 12 euros de l'heure, au-delà de huit heures de service. S'il est dépêché de province, il faut lui verser également de copieuses indemnités journalières d'absence temporaire (Ijat). La part des traitements et salaires des fonctionnaires et militaires engagés se facturait au taux horaire de 9,10 euros en 2005. In fine, une note à un million d'euros est loin d'être fantaisiste.

    Le Figaro - 15/05/13

     

     

  • Récession: "Le pire est passé" assure Hollande

    Le président français s'est montré optimiste sur la conjoncture française, lors de sa visite à Bruxelles, alors que la France est officiellement en récession. Et que l'agenda de réformes piétine aux yeux de Berlin et Bruxelles.

     
     

    François Hollande ne s'est pas laissé impressionner par les mauvais chiffres de la croissance française, tombés mardi, jour de sa visite à Bruxelles, où il rencontrait le collège des Commissaires pour défendre son agenda de réformes. «La récession est confirmée mais tous les États membres sont touchés» s'est défendu le président français, rappelant que l'Allemagne n'affichait qu'une croissance de 0,1% au premier trimestre, après une chute de PIB de 0,7% fin 2012. Autrement dit: la première économie de la zone euro n'aura échappé à la récession que de justesse…

     

    «En 2013 la croissance sera nulle en France, mais elle sera sans doute inférieure dans le reste de l'Europe», a ajouté le président français, qui n'aime pas s'entendre dire que la France est aujourd'hui le «malade de l'Europe»

    «Nous avons passé le moment le plus difficile» , a assuré François Hollande , à propos des mauvais chiffres du premier trimestre. «Il y a urgence à agir, et mon objectif c'est de relancer la croissance», a martelé le chef de l'État. François Hollande a promis à la Commission européenne, qu'il mettrait à profit les deux ans de délais accordés par la Commission pour réformer la France. C'est là qu'il est le plus attendu, notamment à Berlin.

    José Manuel Barroso a estimé qu'en matière de compétitivité, il y avait «urgence», car la France devait «rattraper vingt ans de retard». Mais la France ne semble pas prête à se faire dicter le rythme des réformes par Bruxelles, ni par Berlin.

    «Sur les réformes, nous faisons notre travail, au bon rythme», a assuré François Hollande. «Nous devons réduire notre écart de compétitivité avec l'Allemagne», a-t-il ajouté, rappelant, au passage, que «l'Allemagne avait mis des années à se réformer». Et de citer: les réformes à venir des retraites, des allocations chômage et de la formation professionnelle. «Mon objectif c'est de maintenir le sérieux budgétaire, et de réformer, pour être compétitif et relancer la croissance», a-t-il assuré à la Commission.

    «La France a l'ambition et les moyens d'accomplir les réformes crédibles», a estimé José Manuel Barroso, visiblement convaincu par le plaidoyer pro-européen de François Hollande. «En juin, je tâcherai aussi de convaincre Angela Merkel», a ajouté le chef de l'État, conscient que c'est surtout, à Berlin, que le bât blesse…

    Le Figaro - 15/05/13

    NdB: Quel enfumage ! C'est honteux de tromper ainsi les Français!

     

     

     

     

  • L'inquiétante montée des actes anti-chrétiens

    Communiqué de Marion Maréchal Le Pen, Député du Vaucluse

    L’insupportable agression dont a été victime un moine de la communauté Saint Jean lundi 13 mai en Avignon est symptomatique de l’ «ensauvagement » galopant dont souffre notre société.

    Aujourd’hui après l’apparition d’un racisme anti-blanc nié par le Gouvernement, une nouvelle forme de discrimination est en train de prendre une ampleur tout aussi inquiétante: la haine anti chrétienne.

    Ces comportements menacent directement l’un des fondements de la République, à savoir la liberté de culte. J’aimerais que M. Valls, si prompt à condamner les dégradations de mosquées ou « l’islamophobie », fasse également son travail à l’égard de la communauté chrétienne.

    Je ne peux que m’indigner d’attaques aussi virulentes au sein même de la cité des Papes. Elles traduisent le mépris et le rejet de notre culture par certains jeunes issus de l’immigration, dépourvus des codes sociaux les plus élémentaires, le plus souvent Français, et qui ne se reconnaissent pas dans notre nationalité mais s’identifient à une forme d’Islam radical.

    15/05/13

  • Avignon - Un religieux tabassé par la racaille dans l’indifférence générale

     

    Lundi soir, vers 20 heures à Avignon, le père Grégoire de la communauté de Saint-Jean a été agressé « en pleine rue, par quatre voyous d’origine nord-africaine. Tabassage en règle, fracture du nez, perte de connaissance, nuit à l’hôpital ». Le religieux, qui était en habit, a été trouvé inconscient sur le sol.

    Aucun titre dans la presse. L’information laisse les médias indifférents. Leur attention se concentre ailleurs en effet : sur les actes dits « homophobes ». Une attention qui a des visées idéologiques puisqu'elle a pour but de disqualifier la mobilisation des opposants au « mariage » gay, avec lesquels les médias font systématiquement le lien. Monter en épingle des faits divers, leur associer des perspectives politiques ou sociétales, susciter une émotion, nourrir et favoriser ainsi l’amalgame… Bref, les médias français sont passés maîtres dans l’art d’ériger des lois générales à partir de faits singuliers. On imagine déjà les centaines de milliers de familles qui ont défilé dans la rue, armées de battes de baseball pour faire la peau aux homos. Mais bien sûr…

    En attendant, les journaleux sont bien peu émus de ce que les hommes d’Église se fassent tabasser par la racaille. S’il s’était agi d’un rabbin ou d’un imam tabassé par des crânes rasés, il est plus probable que cela eût séduit la presse. Mais il était blanc et catholique, il n’appartenait à aucune « minorité » (pas encore…), donc il lui restait le droit de fermer sa gueule…

    Contre-info.com

  • Le député socialiste Galut nous prend pour des cons

    Yann Galut, « Socialiste républicain et citoyen », député PS du Cher, signe sur twitter une grosse blague même pas drôle : « Les casseurs du Trocadéro sont les anciens ultras du PSG qui sont liés aux nationalistes et aux extrémistes de Droite… » Pour vous, lecteurs de Contre-Info, et en exclusivité, nous avons retrouvé l’étendard des nationalistes "français", brandi au Trocadéro :

    Monsieur Galut, les personnes qui brandissent ainsi leur drapeau sont sans doute nationalistes, mais ce ne sont sûrement pas des nationalistes français…

    Contre-info.com - 15/05/13

  • La France est entrée en récession

  • Horreur en Syrie - Le dirigeant d'une brigade rebelle mange le coeur d'un soldat syrien

    Lire: http://lejournaldusiecle.com/2013/05/14/syrie-le-dirigeant-dune-brigade-rebelle-mange-le-coeur-dun-soldat/

    +  VIDEO

  • Trocadéro: barbarie des racailles et trahison de Manuel Valls !

    Lire: http://ripostelaique.com/trocadero-barbarie-des-racailles-et-trahison-de-manuel-valls.html

    +  PHOTOS, VIDEOS

  • Lyon subventionne le Conseil régional du culte musulman

     

    Lu sur Lyon Mag :

    "Le candidat FN pour les prochaines municipales à Lyon n'a pas digéré le vote d'une subvention lundi lors du conseil municipal. Cette dernière, qui atteint 16 000 euros, sera versé au Conseil régional du culte musulman dont le siège se trouve à Villeurbanne. L'équipe de Gérard Collomb se défend de financer un culte et indique promouvoir "des activités culturelles, de médiation et de cohésion sociale" du CRCM ainsi que leur volonté d'encourager le dialogue inter-religieux.

    " S'il veut financer certains cultes qu'il le dise et qu'il l'assume et qu'il ne trouve pas un vague prétexte culturel ou social à des subventions clairement clientélistes et communautaristes, s'emporte Christophe Boudot, secrétaire départemental du Front National. Le maire de Lyon se moque une nouvelle fois des Lyonnais. (...) La vision de la société de Gérard Collomb n'est pas la mienne. Alimenter l'islam et promouvoir une religion dans une France qui obéit encore, au moins, dans les textes, au principe de laïcité n'est pas ma conception de la France républicaine une et indivisible. La vérité, est que monsieur Collomb et les socialistes, complètement dépassés par le phénomène de violence urbaine, par celui de l'immigration incontrôlée et celui du développement des communautarismes, doivent continuellement acheter la paix sociale pour ne pas voir sombrer les grands centres urbains dans le chaos."

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige

  • Marseille capitale de la culture: l'architecte du MuCem mis en examen et placé sous contrôle judiciaire

     

     
    Marseille / Publié le mardi 14 mai 2013 à 22H18
     

    Rudy Ricciotti, l'architecte du MuCEM, le musée des civilisations de Marseille, a été mis en examen ce soir par le juge Rachel Isabey, du tribunal de grande instance de Toulon.

    Comme nous le révélions le 12 avril dernier, l'architecte se trouvait au coeur d'une enquête pour travail dissimulé et construction sans permis depuis quelques semaines, après la mise en cause et l'incarcération d'un entrepreneur toulonnais peu avant. Rudy Ricciotti a finalement été convoqué par les enquêteurs du Groupe d'intervention régional et de la Police aux frontières du Var pour une garde à vue, lundi matin, qui ne s'est achevée qu'en fin de journée à l'hôtel de police de Marseille. Il a finalement été transféré au palais de justice de Toulon, où la magistrate l'a mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il a dû verser une caution de 80 000 euros.

    Les faits portent sur la construction de sa maison, sur le site classé de la Presqu'île, à Cassis, où il est soupçonné d'avoir fait travailler des ouvriers au noir. Les travaux auraient également été réalisés sans les autorisations nécessaires. Par ailleurs, des éléments nouveaux recueillis par les enquêteurs ont conduit le parquet de Toulon à ouvrir une enquête préliminaire pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale, concernant l'activité professionnelle de l'architecte. Plusieurs millions d'euros auraient été détournés des comptes de l'administration fiscale.

    La Provence

  • Fastueux anniversaire à Saint-Tropez pour l'épouse du président du Congo !

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    Entre vendredi et dimanche, Antoinette Sassou-Nguesso a célébré en grande pompe son 70e anniversaire à Saint-Tropez.

     

    Une délégation composée de près de 150 personnes accompagnait l'épouse du controversé président congolais Denis Sassou-Nguesso, qui se trouve impliqué dans l'affaire des "biens mal acquis".

     

    Le programme des Congolais à Saint-Tropez a été clinquant : logés dans des hôtels cinq étoiles, ils ont multiplié les séances shopping dans les boutiques de luxe, les dîners dans les restaurants les plus prestigieux et les sorties en discothèque.

     

    Ce voyage est actuellement au coeur d'une polémique au Congo, un pays où la population est en proie à de graves problèmes de pauvreté. Selon des journalistes congolais opposés au pouvoir en place, le coût de ce fastueux séjour s'élèverait à un million d'euros.

    Nice Matin - 14/05/13

  • UMPS: moins de sécurité, plus d’immigration - Par Bruno Gollnisch

      

    valls

    Trente blessés, des magasins vandalisés, des voitures incendiées, du mobilier urbain détruit, des touristes agressés par des racailles du type de celles qui sifflent la Marseillaise, une cérémonie très rapidement écourtée : le rassemblement « festif » pour célébrer la victoire du PSG en coupe de France hier au Trocadéro a vite dégénéré. Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, a expliqué que des milliers de casseurs étaient présents sur place. Bandes de jeunes qui ont démontré une nouvelle fois l’amateurisme de Manuel Valls qui, à l’instar d’un Bertrand Delanoë, a été bien incapable d’estimer à sa juste valeur l’ampleur et surtout les dangers d’une telle manifestation. Même la candidate bis des bobo à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, de retour de Londres où elle a été obligée d’écouter son maire Boris Johnson lui expliquer que l’UE ne renouera pas avec la croissance « tant qu’elle gardera l’euro », y a été de sa critique vaguement sécuritaire…c’est dire !

    Chacun a pu remarquer que les consignes données aux forces de l’ordre par l’Etat PS contre les opposants au mariage pour tous dans les manifestations se traduisent par une répression souvent très dure et disproportionnée à leur endroit après la dispersion des cortèges. Or CRS et policiers en sous-effectif et sans ordres clairs n’ont procédé hier aux abords du Trocadéro qu’à 21 interpellations…

    Comme à son habitude et comme ses prédécesseurs, M. Valls a promis d’identifier les casseurs, comme il avait promis de surveiller le militant algérien d’Al-Qaïda Saïd Arif qui s’est fait la belle en Haute-Loire, comme il avait promis de juguler l’insécurité et l’immigration avec l’insuccès dramatique que l’on sait.

    En matière de flux migratoires justement, Manuel Valls multiplie les démonstrations de laxisme derrière les poses de matamore, comme le rappelait Bruno Gollnisch dans un communiqué hier.

    Au nombre des flux officiels composant le torrent migratoire -avec les vrais ou faux étudiants non Européens qui ne rentrent pas chez eux après leurs études, les détenteurs de visas de tourisme qui restent chez eux chez nous et le rapatriement sur notre sol des femmes et enfants restés dans le pays d’origine au nom du regroupement familial-, nous trouvons aussi les demandeurs d’asile.

    Le ministre de l’Intérieur, pour répondre à une promesse électorale du candidat Hollande, vient ainsi d’annoncer une réforme pour « améliorer l’accueil des demandeurs d’asile »,avec notamment la création de 9.000 places d’hébergement.

    Surtout, M. Valls précise que « toutes les démarches seront simplifiées, de la domiciliation jusqu’à l’accueil en préfecture ».Dans les faits le délai de réponse de l’administration au demandeur d’asile serait réduit de seize à neuf mois…ce qui laisse le temps de faire un enfant rendant le demandeur inexpulsable…Sera également mis en place « une procédure d’appel pour les candidats déboutés. »

    D’ores et déjà la France, connue pour la qualité de son accueil et la gratuité de ses prestations sociales et médicales, a gagné une place…puisqu’elle est désormais le deuxième pays européen le plus sollicité par les réfugiés politiques, le plus souvent en réalité des réfugiés économiques fuyant la misère dans leur pays d’origine. Depuis 2007 les demandes d’asile politique ont augmenté de 70% dans notre pays!

    Dans les faits sur les 62.000 demandes d’asiles annuelles, seulement environ 10.000 d’entre elles satisfont aux critères légaux. Mais les déboutés ont droit de résider en France, reçoivent une aide pécuniaire et leurs enfants sont scolarisés.

    Quant aux 52.000 candidats qui, dans notre Etat en faillite et ses 8 millions de pauvres, sont déboutés après de longs mois d’attente constate Bruno Gollnisch, ils ne sont bien sûr jamais expulsés. Ils restent dans l’attente d’une prochaine régularisation, d’un futur mariage ou d’une future grossesse qui leur ouvriront tous les droits….

    La démographe spécialiste de l’immigration, Michèle Tribalat , le rappelait plus largement sur la site Atlantico en avril dernier, contrairement à ce qu’affirme un récent rapport du ministère de l’Intérieur, «il est faux de dire qu’il y a eu une stabilisation de la proportion d’immigrés en France depuis 1975 », « que la France n’est plus à proprement parler aujourd’hui un très grand pays d’immigration »..

    « Le Monde avait déjà chanté cette chanson-là dans un article du 4 décembre 2009 dans lequel il annonçait une stabilisation de l’immigration. Il y annonçait que l’évolution de la population immigrée entre 1982 et 2006 reflétait une stabilisation. C’est évidemment faux. La population immigrée (personnes nées à l’étranger, de nationalité étrangère ou française par acquisition) a augmenté à un rythme voisin de celui de l’ensemble de la population française entre 1975 et 1999. Ce qui revient effectivement à une stabilisation de la proportion d’immigrés sur cette période. Mais la France a, depuis, entamé un nouveau cycle migratoire qui a porté la proportion d’immigrés à son plus haut niveau (8,4 % en 2009). L’accroissement relatif de celle-ci sur la période 1999-2009 est d’intensité voisine à celui connu au cours des Trente Glorieuses »

    Mme Tribalat a bien évidemment raison de le souligner.C’est d’ailleurs de ce laxisme criminel là dont ne veulent plus les Français qui loin d’être sans cœur, savent aussi qu’ils ne peuvent accueillir toute la misère du monde affirme Bruno Gollnisch .Il faudra bien un jour que l’UMPS explique franchement aux Français les raisons de la poursuite d’une immigration de peuplement qui ne se justifie en rien.

     

  • Noah attaque Marine Le Pen pour propos diffamatoires

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    Les avocats de Yannick Noah et de Marine Le Pen ont croisé le fer mardi après-midi devant la cour de la 17e chambre correctionnelle du palais de justice de Paris.

     
     
     

    L'accusée n'est pas là, le plaignant non plus. Après une joute médiatique livrée par télévisions interposées, ce sont les avocats de Yannick Noah et de Marine Le Pen qui ont croisé le fer mardi après-midi devant la cour de la 17e chambre correctionnelle du palais de justice de Paris. Depuis le 9 mars 2012, le chanteur accuse la présidente du Front national d'avoir «gravement porté atteinte à son honneur, sa réputation et son image» en tenant publiquement des propos diffamatoires dans une émission de Canal+, notamment en le qualifiant d'«exilé fiscal» ayant «planqué son argent à l'étranger». «Au lieu de payer ses impôts en France, ce monsieur se permet de donner des leçons de morale, des leçons de charité et de partage alors que lui, il ne partage rien, que son argent est planqué et qu'il n'en fait pas profiter les malheureux Français, je trouve ça lamentable», avait alors dit Marine Le Pen.

    «Marine Le Pen n'ignore pas les engagements publics de monsieur Yannick Noah en faveur d'actions caritatives. Ses propos ont ainsi pour objet d'écorner un des éléments constitutifs de sa notoriété auprès du grand public», justifie Me William Bourdon dans la citation à comparaître, l'avocat de l'ex-tennisman. Pour l'avocat, le «torrent de boue» visant à salir son client avait commencé après sa participation à la campagne de François Hollande quand la vedette était montée sur scène lors d'un meeting pour interpréter une chanson. Des élus UMP s'étaient alors élevé pour dire que le candidat socialiste ne pouvait pas prôner une République exemplaire et convier un chanteur qui était en contentieux avec l'administration fiscale. En effet, Yannick Noah a engagé en 1996 une procédure à l'encontre de cette dernière, qui conteste la domiciliation du chanteur en Suisse pour l'année 1993. Toujours devant le Conseil d'État, cette procédure «a déjà abouti à une réduction de plus de la moitié des sommes réclamées», stipule l'avocat de Yannick Noah. À ses yeux, le préjudice serait aggravé par cet «amalgame» entre les propos diffamatoires de Marine Le Pen et le contentieux existant, «laissant croire à l'opinion que ces accusations seraient parfaitement fondées». Yannick Noah a également intenté un procès en diffamation contre le sénateur UMP Pierre Charon et l'ancienne députée UMP Valérie Rosso-Debord.

    «Ma cliente ne comprend pas le procès de monsieur Noah qui est en vérité bien plus épidermique que légalement fondé», défend Me Wallerand de Saint-Just, avocat de Marine Le Pen. Ses propos n'étaient pas diffamatoires ni même contraires à son honneur car elle n'a jamais dit qu'il était fraudeur. Elle a simplement fait observer sur le plan moral qu'une personne qui planquait son argent à l'étranger n'avait pas la légitimité de donner des leçons de solidarité et d'humanitarisme aux Français. Comme dit le proverbe, quand on veut monter au cocotier, il ne faut pas avoir le caleçon breneux. On est dans la polémique politique, une fois de plus.»

    «Marine Le Pen est une chatte qui s'aiguise les griffes avec gourmandise et qui a la diffamation dans les gènes, soutient pour sa part Me Bourdon. Mon client accepte le débat d'idée mais pas d'être sali en étant jeté dans le sac à linge des grands fraudeurs du fisc.» Au titre des dommages et intérêts, l'accusation demande 50.000 euros à la présidente du Front national et 5000 euros à titre d'indemnité.

    Le Figaro - 14/05/13

  • Allocations familiales: l'incroyable décision

    Exclusif. Quand l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés. Même nés à l’étranger.

     

    En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant « épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.

    Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de « non-discrimination » inhérent à la jurisprudence européenne – laquelle interdit depuis les années 1980 aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques – mais aussi l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues !

    Cela signifie, en clair, que tous les efforts faits par la France depuis 1993 (gouvernement Balladur) pour limiter les fraudes au regroupement familial viennent de voler en éclat : à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée…

    On se souvient, en 2010, de l’affaire Hebbadj, du nom de ce français d’origine algérienne soupçonné d’avoir fait subventionner par la caisse d’allocations familiales de Loire Atlantique un foyer composé de quatre femmes et de douze enfants. Finalement mis hors de cause, le 27 mars dernier par le tribunal de Nantes (mais condamné pour des faits connexes à six mois de prison avec sursis), M. Hebbadj ne connaîtrait plus aujourd’hui, tous ces « tracas ». Quand bien même il n’aurait pas acquis la nationalité française, le seul fait de reconnaître les enfants de ses compagnes comme les siens suffiraient à lui accorder de plein droit le bénéfice des prestations familiales…

    A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale, on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration ! En 2010, les services du ministère de l’Intérieur, sollicités par Brice Hortefeux, avaient recensé, au bas mot, 80.000 pères de famille dans le cas de M. Hebbadj. Un chiffre, certes approximatif, comme le sont, par nature, ceux des hors-la-loi présumés, mais qui n’en donne pas moins le vertige. Même en partant d’une hypothèse extrêmement basse (deux femmes pour un homme, et deux enfants par femme), voilà qui désignerait au moins un demi-million de personnes vivant sous un régime que proscrivait jusqu’alors le droit français.

    Or tout indique que la réalité est bien pire. Ecoutons l’ancien député communiste de Seine-Saint Denis, Jean-Pierre Brard, peu suspect de « complicité » avec la droite, cité dans une étude passionnante que la Fondation Montaigne avait consacrée, en novembre 2009, à la polygamie. Maire de Montreuil jusqu’en 2008, celui-ci rapportait la situation de deux frères jumeaux d’origine africaine: «Mariés chacun à deux épouses, ils avaient à eux deux 40 enfants, la plupart inscrits dans la même école. Nous avons mis un an à les convaincre de disperser les gamins dans différents établissements scolaires. Les deux pères voulaient qu’on leur trouve un grand appartement pour continuer à vivre tous ensemble. J’ai refusé fermement : non seulement nous n’avons pas de 15 pièces, mais, en plus, la famille coûtait déjà une fortune à la commune. »

    Nul doute qu’avec la décision du 7 avril, le casse-tête tournera bientôt au cauchemar pour de nombreux maires!

    Eric  Branca - Valeurs actuelles - 14/05/13

  • Avignon: un curé agressé dans la cour du centre paroissial

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    Lundi soir vers 20 heures, le père Grégoire de la communauté de Saint-Jean a été agressé par un individu. Frappé au visage, le religieux était inconscient sur le sol à l'arrivée de deux autres membres de la communauté. Ce mardi matin vers 11 heures, monseigneur Cattenoz, archevêque d'Avignon a tenu une conférence de presse en tapant du poing sur la table. Dénonçant l'insécurité dans le quartier Saint-Ruf et la multiplication des vols et menaces envers les membres de la communauté.

    Vaucluse Matin - 14/05/13