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  • Syrie - Le député Laurent LOUIS dénonce le projet du Grand Israël devant le Parlement belge

     

    Publiée le 8 mai 2013

    La Syrie subit depuis 2011 une tentative de déstabilisation. Il ne s'agit pas d'une guerre civile mais bien d'une invasion étrangère.  Le but est de détruire la Syrie telle que nous la connaissons aujourd'hui pour diviser le pays, affaiblir son allié iranien et permettre au projet du Grand Israël de voir le jour. Ce projet prévoit d'étendre Israël du Nil jusqu'à l'Euphrate recouvrant ainsi la Palestine historique, le Liban, la Syrie, la Jordanie, une partie de l'Irak et une partie de l'Egypte. Le député indépendant belge Laurent LOUIS dénonce pour la première fois devant un Parlement national l'existence de ce projet sioniste.

  • Abolition de l’esclavage : une mise au point de l’historien Bernard Lugan

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    Jean-Marc Ayrault devant le Mémorial de l’abolition de l’esclavage de Nantes, le seul construit en Europe. Un symbole de la repentance chère au Premier ministre. Crédit photo : Jean-Marc Ayrault via Wikimedia (cc)

    10/05/2013 – 12h00
    NANTES (NOVOpress Brezih) –
    Repentance oblige, comme chaque année la municipalité socialiste de Nantes commémore ce vendredi l’abolition de l’esclavage. Une cérémonie - avec jets de fleurs, prises de parole et minute de silence – se tiendra à 17 h 30, à la passerelle Schoelcher puis au Mémorial. Invitée d’honneur : Carole Aston, une Américaine chanteuse de jazz – « Une voix noire et douce comme de la mélasse » selon le Financial Times – “très engagée dans la défense des droits de l’homme”. Sur son blog, l’historien Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, remet utilement les pendules à l’heure.

     

    Le 10 mai, avec la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions », c’est encore un anniversaire de culpabilisation à sens unique qui est célébré. Sous la présidence de Jacques Chirac les députés votèrent à l’unanimité, (donc tous les élus de « droite »), et en première lecture, la loi dite « Taubira ». Définitivement adoptée le 10 mai 2001, cette loi qualifie de « crime contre l’humanité » la seule traite esclavagiste européenne. Christiane Taubira a insolitement précisé que sa loi passe sous silence la traite arabo-musulmane[1] afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express du 4 mai 2006).

    Et pourtant, au XIXème siècle, l’abolition décidée par les Européens ne concerna pas les Arabo-musulmans. Depuis la Libye, au nord, ou depuis Zanzibar, à l’est, des caravanes organisées militairement continuèrent en effet à dévaster des régions entières de l’Afrique noire. Au XIXème siècle, au centre comme à l’Est du continent, les réseaux esclavagistes musulmans étaient en pleine extension ; la documentation abonde les concernant.

    Dans la région sahélienne, de la boucle du Niger au Tchad, les esclavagistes puisaient dans le « vivier humain » du bilad al Sudan, Bambara, Sénoufo et Sara étant leurs principales victimes.

    Dans la région du Haut Nil, l’actuel Sud Soudan, Dinka, Nuer et Chillouk étaient pourchassés, les femmes pour leur beauté et les jeunes garçons pour être « transformés » en eunuques gardiens des harem.

    Dans l’Est de l’Afrique, les esclavagistes zanzibarites ravageaient les actuels Etats de Tanzanie, d’Ouganda, de RDC, de Zambie ainsi que tout le Nord du Mozambique. Tirant l’essentiel de ses revenus de la vente des esclaves, le sultan de Zanzibar avait constitué un corps de fonctionnaires chargé de tenir un compte précis du nombre de captifs débarqués sur son île. Grâce aux registres des perceptions douanières, nous savons ainsi qu’entre 1830 et 1873, environ 700.000 esclaves furent vendus sur le seul marché de Zanzibar. Ces chiffres ne valent cependant que pour le commerce officiel du sultanat et ils ne tiennent pas compte de la contrebande.

    Ce fut l’administration coloniale qui mit un terme à ces odieuses pratiques. Certaines ethnies ne survécurent alors que parce que la colonisation sépara victimes et razzieurs, comme au Mali, comme au Niger, comme au Tchad, comme en Centrafrique, comme au Nigeria, comme en RDC, comme en Tanzanie, comme en Ouganda, comme au Soudan, comme au Malawi, comme au Mozambique etc… Ce furent les Européens qui firent fermer le marché de Zanzibar en 1873. Ce furent également eux qui, à partir de 1890, obligèrent les autorités égyptiennes à interdire aux 78 marchands d’esclaves du Caire et aux 73 d’Alexandrie de cesser cette activité[2].

    En 2005, Jacques Chirac décida que le 10 mai, jour de l’adoption de la loi Taubira, serait désormais célébrée la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Rompant avec une sage pratique voulant, sauf exception, que des dates du passé soient toujours choisies pour célébrer les évènements historiques, le président de la République faisait ainsi d’une date du présent un jour de commémoration d’évènements du passé…

    Et pourtant, le 27 avril, date anniversaire de l’abolition de l’esclavage en France (27 avril 1848) était la date idéale qui aurait permis de célébrer cette « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » dans un climat d’unanimisme national. Jacques Chirac a préféré une date clivante.

    Tout cela n’est cependant qu’un début car les groupes de pression constituant le noyau électoral de François Hollande, modernes Minotaures à l’insatiable appétit, réclament maintenant des « réparations » sonnantes et trébuchantes. Comme les caisses de l’Etat sont vides, notre « pauvre » président ne va donc pouvoir nourrir ses électeurs que de paroles. Il faudra donc qu’elles soient roboratives. C’est pourquoi nous pouvons nous attendre à de nouvelles rafales de déclarations et de mesures symboliques de repentance.

    Voilà comment le totalitarisme se met en place et comment, lentement mais sûrement, nos « élites » gouvernantes, totalement coupées du « pays réel » se préparent des lendemains difficiles. Notamment parce que Madame Taubira dont les condamnations sont sélectives, ignore probablement, et les Romains l’avaient appris à leurs dépens, que chez les Gaulois « la patience dont on abuse se change en fureur ».

    Bernard Lugan

    [1] L’Afrique réelle du mois de mai 2013 consacre un important dossier aux traites arabo-musulmanes.
    [2] Voir mon livre Mythes et manipulations de l’histoire africaine. Mensonges et repentance. A commander sur ce blog.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • L'Ascension dans l'art européen - Les Très Riches Heures du duc de Berry

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    09/05/2013 – 14h00
    PARIS (NOVOPress) –
    La fête chrétienne de l’Ascension, célébrée quarante jours après Pâques, a fait l’objet de nombreuses œuvres d’art dans la culture européenne. Dans la foi chrétienne cette fête marque la montée au ciel de Jésus après sa résurrection. En voici une illustration dans un des plus renommé livre manuscrit enluminé : Les Très Riches Heures du duc de Berry.

    La réalisation de ce livre a eu une histoire complexe.

     

    Commandé en 1410 aux frères Paul, Jean et Herman de Limbourg, par le duc Jean de Berry, l’un des frères du roi Charles V le Sage, il était inachevé à la mort la même année en 1416 du commanditaire et des trois enlumineurs, peut-être du fait d’une épidémie de peste. Le travail fut continué par différents peintres et fut achevé par l’enlumineur Jean Colombe sur commande du duc de Savoie, en… 1485.

    Il est conservé au musée Condé à Chantilly, où l’original n’est qu’exceptionnellement exposé au grand public, pour assurer la bonne conservation de ce document fragile et précieux.

    Scène de vendanges dans Les Très Riches Heures du duc de Berry
    sans-titre.png Vendanges.png

    Crédit images : domaine public, via Wikipédia.

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  • Hollande parle d'"impossible réparation" morale de l'esclavage, le CRAN exige des réparations financières

    Lire: http://fr.news.yahoo.com/françois-hollande-parle-d-impossible-réparation-lesclavage-124457080.html

     

    NdB: Seuls les descendants des armateurs négriers de Bordeaux, de Nantes qui faisaient  le lucratif commerce du "bois d'ébène", pourraient être concernés  par  cette éternelle repentance. Pas les autres Français qui ne tiraient aucun profit de l'esclavage! Nous n'avons pas à battre notre coulpe!

     

  • Chine: la petite-fille de Mao est multimillionnaire

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    Kong Dongmei

    La petite-fille de Mao Zedong a fait son entrée dans la liste des grandes fortunes chinoises : la nouvelle a fait sensation, ce vendredi, illustrant spectaculairement la manière dont les héritiers, directs ou politiques, du Grand Timonier, ont inversé sa politique viscéralement égalitariste.

    Mais c’est aussi la démonstration de la place prise, dans la Chine actuelle, par les « fils et filles de », une nouvelle aristocratie rouge qui occupe les positions clés de l’Etat, de la société et de l’économie, aux dépens de la méritocratie communiste supposée.

     

    Petits-enfants de Mao

     
    Kong Dongmei

    Kong Dongmei, petite fille du fondateur de la République populaire, est donc la 242e fortune chinoise, avec des avoirs, en commun avec son mari Chen Dongsheng, estimés par le magazine financier chinois New Fortune à 620 millions d’euros.

    Cette femme de 41 ans est la seule descendante de l’union entre Mao et sa deuxième femme, He Zhizhen.

    Cette fortune s’est faite dans une maison de vente aux enchères, Guardian, cofondée par le mari de Kong Dongmei.

    Mais la jeune femme se consacre pour sa part à la « culture rouge », le souvenir de l’épopée des pionniers du maoïsme, popularisée au travers d’une société culturelle. Dans le China Daily, le quotidien officiel de Pékin, elle expliquait en 2008 :

    « J’ai démarré cette entreprise dans l’esprit et avec les mêmes objectifs que mon grand-père. »

    Avec une différence : l’article du China Daily précise qu’elle porte ce jour-là un manteau Agnès B., et les « objectifs » du grand-père (qu’elle n’a pas connu) ont été revus et corrigés par Deng Xiaoping quand il a lancé après la mort de Mao : « Enrichissez-vous » !

    Le général Mao


    Le général Mao Xinyu, le petit-fils du Grand Timonier (DR)

    Elle n’est pas la seule descendante de Mao à faire parler d’elle : Mao Xinyu, petit-fils du fondateur de la République populaire et son seul descendant mâle, est devenu d’un seul coup général de l’Armée populaire de libération en 2010, et membre des institutions politiques.

    Le général est devenu la cible favorite des internautes chinois qui manient habilement l’humour pour contourner la censure. Mao Xinyu est régulièrement moqué pour sa corpulence peu militaire et son absence visible d’expérience militaire qui n’empêche visiblement pas sa progression fulgurante.

    Rue89 - 10/05/13

  • Les Hommen à Lille - 4 mai

    ALTERMEDIA FRANCE

  • Nigeria - 17 adolescentes enceintes enfermées dans une "usine à bébés"

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    Onze enfants en bas âge ont également été retrouvés dans cette «usine à bébés» que les voisins prenaient pour un orphelinat ou un refuge pour femmes enceintes. On ne sait pas si les jeunes filles avaient été amenées de force dans la maison.

    Une femme soupçonnée d'avoir organisé ce trafic est toujours recherchée, a déclaré Joy Elomoko, porte-parole de la police de l'Etat d'Imo, dans le sud-est du Nigeria.

    Mal nourries

    Elles ont raconté à la police qu'elles avaient toutes été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison, ainsi que le garde qui surveillait la maison.

    «Une unité spéciale de la police de l'Etat d'Imo a fait une descente dans la maison illégale à Umuaka mercredi et porté secours à 17 jeunes filles, âgées de 14 à 17 ans, à différents stades de leur grossesse», a indiqué Mme Elomoko.

    «Les jeunes filles ont affirmé qu'elles n'étaient nourries qu'une seule fois par jour et n'étaient pas autorisées à quitter la maison», a-t-elle ajouté. Elles ont indiqué à la police que leurs enfants devaient être vendus à des personnes «désireuses de les acheter».

    Un fléau répandu

    Dans un rapport sur le trafic d'êtres humains publié le mois dernier, l'UE a classé le Nigeria comme le pays où ce fléau est le plus répandu. Ce rapport indique que la vente d'enfants y est courante et que la police a déjà découvert ce qu'on peut appeler des «usines à bébés».

    En mai 2011, dans l'Etat d'Abia (sud-est), la police a libéré 32 jeunes filles enceintes qui ont indiqué qu'on leur avait offert entre 25'000 et 30'000 naira (184 francs) selon le sexe de leur bébé. Un autre groupe de 17 jeunes filles a été découvert en octobre 2011 dans l'Etat d'Anambra (sud) dans des circonstances semblables. (ats/Newsnet)

    Créé: 10.05.2013, 18h10

    La Tribune de Genève

  • Festival de haine sioniste contre Stephen Hawking, par Mounadil Djazaïri

    jeudi, 09 mai 2013 12:07

           

    Festival de haine sioniste contre Stephen Hawking, par Mounadil Djazaïri
     
    IRIB-L’info tourne en boucle sur les réseaux sociaux en ce moment :
    le physicien britannique Stephen Hawking vient de s’associer au boycott académique de l’entité sioniste. En conséquence il a renoncé à participer à une conférence organisée par Shimon Peres prévue pour le mois de juin.Il va de soi que M. Hawking est maintenant voué aux gémonies par les tenants du sionisme ainsi qu’en témoigne le tombereau d’insultes dont il est victime sur les réseaux sociaux. Ces insultes sont d’une bassesse inouïe et réfèrent à la grave maladie, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) dont le célèbre savant est atteint.Mais ça, ce sont les insultes qui émanent de la « base » sioniste. Mais les « élites » de Sion n’ont pas grand-chose à lui envier en matière d’abjection.

    Ainsi The Jewish Press est-elle capable de titrer :

    "Stephen Hawking boycotte l’entreprise qui travaille sur le traitement de sa maladie"

    En effet, d’après Jewish Press

    Des avancées scientifiques israéliennes dans l’usage des cellules souches pour traiter toute une série de maladies graves et invalidantes, ont permis le rétablissement miraculeux [souligné par moi] du doyen de la yeshiva [école religieuse juive] Mir, le rabbin Refael Shmuelevich qui souffrait de SLA. De fait, selon ce journal juif, le rabbin que les médecins aux USA estimaient condamné à relativement brève échéance avait été remis sur pied après un mois de traitement à Jérusalem et avait pu reprendre ses activités d’enseignement.Je me demande si ce rabbin n’a pas plagié sa maladie comme un certain autre a plagié même ses souvenirs d’enfance…

    Et c’est là qu’intervient le bon goût caractéristique de la clique sioniste :

    "Il est possible que la prochaine fois que le professeur Hawking viendra à Jérusalem, ce sera pour recevoir des soins médicaux plutôt que pour admonester la communauté scientifique locale.Sauf si, comme l’a commenté en ligne un membre de la direction de The Jewish Press, Hawking préfère peut-être simplement les innovations et les apports que les Palestiniens ont offert au monde… des big bangs." [Hawking est l’auteur de la théorie du big bang, NdT].

    Si les sioniste se payent une bonne tranche de rigolade sur le dos d’un savant très connu et souffrant d’une maladie grave, on peut gager que d’autres, notamment en Grande Bretagne mais pas seulement, vont rire jaune pendant un certain temps et que cela n’ira pas dans le sens d’une amélioration de l’image d’une entité que seule la censure des sondages d’opinion peut laisser croire qu’elle jouit d’un soutien populaire en Occident.Elle a certes le soutien d’une bonne partie de la classe politique et médiatique, mais ces dernières n’empêcheront pas les mouvements venus de la société, comme celui du boycott du régime sioniste, de prendre de plus en plus d’ampleur.Parmi les figures les plus en vue dans le soutien au sionisme, on peut compter des personnalités comme l’écrivain philosophe Bernard-Botul-Henri Lévy, le médecin politicien, consultant pétrolier Bernard Kouchner, la comédienne Véronique Genest ou le cinéaste Romain Goupil. A comparer avec ceux qui soutiennent la cause palestinienne comme Stephen Hawking : le Dr Christophe Oberlin, l’écrivain Henning Mankell, les actrices Vanessa Redgrave et Tilda Swinton, le cinéaste Ken Loach, les musiciens Roger Waters et Elvis Costello etc. Sans parler de tous ceux, chanteurs, comédiens, écrivains, qui ont été muselés en France.

    Comme je le suggérais, l’humour sioniste n’est pas passé inaperçu en Grande Bretagne et le Daily Express y consacre un article qui témoigne d’une indignation froide.Et la meilleur preuve de cette indignation est le vocabulaire utilisé par la journaliste qui parle de «régime» pour désigner l’Etat sioniste et attribue la qualité de président du régime à Shimon Perez, le chef du gang sioniste.Or, comme chacun sait, la presse occidentale réserve le terme régime aux systèmes de gouvernement qui sont réputés non conformes aux valeurs démocratiques. On parle par exemple communément de régime nord-coréen, de régime syrien mais pas de régime français ou italien…

    C’est ce que j’appelle un tournant dans la perception de l’entité sioniste.

    Indignation devant les plaisanteries dégoûtantes sur “Stephen Hawking le handicapé” depuis qu’il s’est associé au boycott d’Israël

    Par Charlotte Meredith, The Daily Express (UK) 8 mai 2013 traduit de l’anglais par Djazaïri

    Stephen Hawking, le spécialiste de physique théorique à la renommée mondiale, a subi un tir de barrage d’insultes aujourd’hui de la part de personnes furieuses de le voir boycotter Israël. La salve de critiques est intervenue après que le très respecté professeur de Cambridge s’est associé à l’embargo académique contre le régime israélien en refusant de participer à une conférence organisée par Shimon Peres, le président du régime.Le professeur Hawking devait participer à la conférence annuelle Facing Tomorrow prévue au mois de juin, mais il s’en est retiré pour protester contre le traitement des Palestiniens par le gouvernement de Tel Aviv.“Hawking a décidé en toute Indépendance de respecter le boycott sur la base de ce qu’il sait de la Palestine et du conseil unanime que lui ont donné ses contacts académiques là-bas,” a déclaré le British Committee for the Universities of Palestine. Réagissant avec colère à la décision du professeur de s’associer au boycott académique, des Israéliens ont exprimé leur indignation sur les réseaux sociaux. "L’antisémite Stephen Hawking ne peut même pas se torcher le c **», a écrit un internaute écœuré. "Il devrait déjà être mort! ", écrit un autre, tandis qu’un internaute affirme que le professeur Hawking – généralement considéré comme l’un des hommes les plus intelligents dans le monde d’aujourd’hui – est " également paralysé dans sa tête " "Quelqu’un devrait desserrer le frein à main au sommet d’une colline," lit-on dans un autre message répugnant.

    Des internautes indignés condamnent ces insultes révoltantes qu’ils qualifient de festival de haine”.

    La démarche du professeur Hawking suit un boycott du régime israélien par le Teachers’ Union [syndicat des professeurs] d’Irlande et par les membres Américains de l’Association for Asian American Studies.En 2009, le professeur Hawking avait également condamné les trois semaines d’agression commise contre Gaza par le régime israélien, affirmant que la réaction de Tel Aviv aux roquettes tirées depuis la bande de Gaza «étaient complètement disproportionnées… La situation est semblable à celle de l’Afrique du Sud [de l’apartheid] avant 1990 et ne peut pas continuer.»

  • Loi Taubira : selon un collectif de juristes, les maires pourraient refuser de l’appliquer sans risque de poursuites pénales

     

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    Mariage symbolique en 2012

     

     

    09/05/2013 – 12h00
    PARIS (NOVOpress Breizh) -
    Sauf censure par le Conseil constitutionnel, la loi Taubira permettant le mariage homosexuel sera promulguée toutes affaires cessantes par le président de la République. Les maires pourront-ils alors refuser de l’appliquer sans encourir de sanctions ? Selon un collectif de juristes et d’avocats, c’est possible.

     

    Dans un texte publié hier par la Fondation Polémia, un collectif de juristes et d’avocats estime qu’il est légalement possible aux maires de refuser de procéder au mariage de couples homosexuels sans s’exposer à des poursuites pénales pour discrimination « homophobe ». S’appuyant sur les dispositions de l’article L 2122-34 du Code général des collectivités territoriales qui dispose que « dans le cas où le maire, en tant qu’agent de l’Etat, refuserait ou négligerait de faire un des actes qui lui sont prescrits par la loi, le représentant de l’Etat dans le département peut, après l’en avoir requis, y procéder d’office par lui-même ou par un délégué spécial. Le collectif invite les maires à écrire aux préfets pour leur faire part de leur décision de ne plus accomplir aucun acte d’état civil à effet de la date de promulgation de la loi Taubira. Il appartiendra alors aux préfets de M. Valls, où à leurs délégués, de procéder aux mariages. Une charge de plus dans leurs attributions qui sont déjà importantes.

    Selon le Collectif des maires pour l’enfance, 14.900 maires ont déclarés qu’ils refuseraient de célébrer des mariages entre personnes de même sexe. Et dans 2 500 communes, maires et adjoints sont tous opposés au mariage dit « pour tous ». Même si elle est promulguée, la loi Taubira risque donc fort de rencontrer quelques difficultés dans son application. En attendant, la détermination des opposants demeure intacte. « On ne lâche rien ! » : ce fier slogan devrait encore se vérifier lors de la grande manifestation prévue le 26 mai prochain à Paris.

     

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Klarsfeld "partagé" après l'arrestation d'un garde présumé d'Auschwitz

    Revue de presse
    Publié le 7 Mai 2013

     

    Serge Klarsfeld, membre de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, a rappelé que des gardiens d'Auschwitz ont été acquittés après la guerre.
     

     

    Serge Klarsfeld, président de l'association des Fils et filles de déportés juifs de France, s'est dit "partagé" après l'annonce lundi de l'arrestation en Allemagne d'un ex-garde présumé du camp de concentration d'Auschwitz, âgé de 93 ans. "Je suis partagé, a-t-il déclaré, entre ma conception de la justice et la nécessité de poursuivre les criminels de guerre jusqu'à leur dernier souffle." "Il faut des preuves et des documents pour les incriminer, et j'estime qu'il n'y aura sans doute plus de témoins pour les accuser." Serge Klarsfeld, qui est également vice-président de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, a rappelé que des gardiens d'Auschwitz ont été acquittés après la guerre. "La justice allemande, a-t-il ajouté, aurait pu juger après la guerre des cadres supérieurs des camps d'extermination, mais elle ne l'a pas fait."

    Crif

  • “La France orange mécanique” de Laurent Obertone et “Sale Blanc !” de Gérald Pichon – par Claude Lorne

     

    “La France orange mécanique” de Laurent Obertone et “Sale Blanc !” de Gérald Pichon – par Claude Lorne
     
     

    09/05/2013 – 08h00
    PARIS (via Polémia) –
    De passage à Marseille où des règlements de compte en série avaient fait une douzaine de morts dans les « cités », Manuel Valls déclarait solennellement « la guerre de l’Etat de droit contre la barbarie ». Mais n’est-il pas trop tard pour ce faire ? Et, surtout, comment espérer la réussite de cette entreprise titanesque si l’on ne désigne pas clairement les « barbares » ? C. L.

     

    Preuve que l’immigration et ses inéluctables conséquences – hausse du chômage, de la criminalité, des dépenses sociales et pénitentiaires, baisse généralisée du niveau scolaire, etc. – inquiètent de plus en plus nos compatriotes, le nombre de livres qui leur sont consacrés ne cesse d’augmenter, avec un succès croissant.

    Barbarie et racisme anti-Blancs, deux marques de fabrique
    Après Fractures françaises de Christophe Guilluy ou Le Sanspapiérisme/ Où sont les papiers des sans-papiers ? de Luc Gaffié, commentés ici même, paraissent ainsi simultanément La France orange mécanique, de Laurent Obertone, et Sale Blanc ! – Chronique d’une haine qui n’existe pas, de Gérald Pichon : deux ouvrages très différents, mais qui se complètent parfaitement.

    Le premier, dû à un journaliste, démontre avec rigueur et nombre de références, mais sur un ton très enlevé, l’ « ensauvagement » galopant des zones dites sensibles. Le second, plus militant mais également référencé, insiste sur l’aspect volontairement occulté, bien que tout aussi effrayant, du phénomène : à savoir le racisme anti-Blancs exacerbé des sauvages importés. La douzaine de voyous, tous « bien connus de la justice pour des délits d’outrage, de violence ou de recel » qui, le 27 juin 2010 sur l’autoroute A 10, à la suite d’un banal accrochage, ont lynché à mort le jeune automobiliste Mohamed Laidouni devant son épouse et sa mère, ne reprochaient-ils pas au malheureux, qui voulait procéder à un constat, de « faire le Français » ?

    Voici prévenus les immigrés tentés par l’intégration : ils seront traités par leurs congénères en apostats raciaux.

    La « tyrannie médiatique » complice des sauvages

    "La France orange mécanique" de Laurent Obertone

    “La France orange mécanique” de Laurent Obertone

    Si la barbarie s’installe et prospère, estime Laurent Obertone, c’est dû en partie à la « tyrannie médiatique », comme dirait Jean-Yves Le Gallou, les journalistes en quasi-totalité de gauche taisant ou minimisant les exploits des Jeunes, récemment requalifiés Individus, alors que « nul – et surtout pas la presse ! – n’est censé ignorer la réalité ». De fait, évoquant le parcours particulièrement sordide d’un violeur en série, Le Parisien dissimulait début avril son origine et son identité, se contentant d’écrire qu’il n’avait « jamais encore été condamné dans notre pays ». Manière élégante de dire qu’il est étranger.

    Le coût de la criminalité : 115 milliards d’euros !
    L’auteur ne s’est pas contenté d’accumuler des milliers de coupures de presse, il a aussi dépiauté quantité de rapports officiels et d’études spécialisées. Citons celle, en 2010, de l’économiste Jacques Bichot : « Chaque année, la délinquance et la criminalité coûtent aux victimes et à l’Etat un total de 115 milliards d’euros… Le coût total de la délinquance et de la criminalité représente 5,6% du PIB », soit « l’équivalent de deux fois le total de l’impôt sur le revenu ». Commentaire de L. Obertone : « Le déficit de la France en serait-il un si l’on ramenait l’insécurité à son taux de l’après-guerre ? La réponse est claire : notre pays ne serait tout simplement pas endetté. »

    Une chance pour la France ?
    Or, le poids de l’immigration dans cet insupportable fardeau est gigantesque. Quelques chiffres ?

    « Au tribunal de grande instance de Toulouse, sur 543 affaires réparties en 102 audiences, le chercheur au CNRS Daniel Welzez-Lang a noté que 65% des prévenus étaient “d’apparence maghrébine ou d’apparence noire” (Carré d’info, 27/03/2012). »

    « Les renseignements généraux ont établi le profil type des caïds, meneurs des fameuses “bandes”, à partir de l’étude de 436 d’entre eux répartis dans 24 quartiers sensibles”. 87% ont la nationalité française ; 67% sont d’origine maghrébine et 17% sont d’origine africaine. Les Français autochtones représentent 9% des meneurs (Le Monde, 25/02/06). »

    « Le fichier Canonge (un peu plus de 100.000 malfaiteurs) définit, entre autres, les individus par leur “type”… Il comprend 37% d’individus de type “européen”, 29% d’individus de type “nord-africain” et 19% d’individus de type “africain subsaharien” », les 5% restants étant sans doute roms ou asiatiques. Etc.

    Une catastrophe pour la balance commerciale

    "Sale Blanc !" de Gérald Pichon

    “Sale Blanc !” de Gérald Pichon

    Si l’on considère avec le médiocrate Jean-Jacques Bourdin que les immigrés ne représentent aujourd’hui que « 5,6% de la population française » ou, avec l’ «expert » Philippe Manière (auquel cela a valu le 19 mars dernier un Bobard d’Or), que « nos flux migratoires en France sont extrêmement ténus » et que ce « tout petit flux d’immigration (…) n’est pas tellement susceptible d’avoir un impact ni économique ni démographique », on admettra que ce flux « insignifiant » a une incidence, au contraire, très signifiante sur la criminalité et donc sur un climat d’insécurité si prégnant qu’il commence notamment à beaucoup inquiéter nos offices du tourisme.

    « Paris fait la une en Chine pour son insécurité.
 Pékin demande à la France de mieux protéger les touristes chinois suite à la multiplication des agressions et des vols qu’ils subissent», pouvait-on lire

    le 28 mars sur le site des Echos, quotidien du milliardaire du luxe Bernard Arnault qui redoute, à bon droit, la désertion des voyageurs du Céleste Empire, les plus dépensiers du monde. Et, quelques jours plus tard, le 9 avril, les gardiens du Louvre se mettaient en grève à l’appel des syndicats FO, CGT et SUD, excédés de devoir, parfois à leurs risques et périls, protéger les visiteurs de vols systématiques et d’agressions parfois violentes alors que leur métier est de veiller sur les seuls tableaux. Qui sont ces terreurs qui ont transformé le Louvre en coupe-gorge ? Des « mineurs d’Europe de l’Est [qui ont toute facilité d’entrer dans le musée, gratuit pour les moins de 26 ans], à vingt ou trente » et qui, bien que parfois arrêtés par la police, « recommencent à sévir quelques jours plus tard ».

    Les étrangers ainsi détroussés ayant raconté leurs mésaventures sur Internet, la bonne réputation de la capitale en a pris un sacré coup alors qu’elle était déjà exécrable, ayant déjà été classée au 22e rang pour la sécurité dans un sondage réalisé l’an dernier auprès de plus de 60.000 internautes par le site de voyages TripAdvisor. Or, le tourisme était l’un des seuls postes positifs de notre balance commerciale. Cela risque de changer très rapidement grâce aux « sauvages ».

    Qui stoppera la « machine à entretenir la criminalité » ?
    Comment en est-on arrivé là ? Pour Laurent Obertone, qui dit avoir « voulu rendre la parole aux victimes », tout le monde est responsable : les gouvernements successifs, d’abord, les politiques suivies par la droite et la gauche face à la « machine à entretenir la criminalité » étant si semblables « qu’on se demande parfois qui est au pouvoir depuis Mitterrand » ; mais aussi « les élites, les chercheurs, les journalistes, les enseignants », qui « n’ont jamais été aussi conformistes » (alors même que la violence importée n’est pas peu étrangère à l’absentéisme croissant de la dernière catégorie) : « Sur vingt ans de faits divers, on parlera davantage d’une bavure policière que des milliers d’assassinats commis par des Jeunes ». En effet, le souvenir de Malik Oussekine, diabétique décédé lors d’une charge de police en 1986, est rituellement invoqué mais tout le monde a oublié le tueur en série Sid Ahmed Rezala, ce « Marseillais » au « visage d’ange » qui, à l’automne 1999, assassina une Britannique et deux Françaises après avoir tenté de les violer. Condamné dès son plus jeune âge pour de multiples délits, dont le viol d’un enfant, le drogué Rezala était l’incarnation même du « sauvage ».

    Même le citoyen lambda, pourtant victime du racisme anti-Blancs dénoncé par Gérald Pichon avec force et conviction, ne saurait s’exonérer de toute responsabilité : ayant parfaitement intégré la vulgate, plébiscitant le comédien sénégalais Omar Sy comme leur « personnalité préférée » (sondage national du Parisien Magazine en décembre 2012), certains autochtones sont les premiers à s’élever contre « tout amalgame » quand ils sont violentés par ceux qui « sont chez eux chez nous ».

    Début avril avait lieu devant les assises de la Marne le procès des assassins d’un Polonais dont le cadavre avait été retrouvé calciné et démembré. Les meurtriers ont été condamnés à 12 et 6 ans de réclusion. Leur complice, qui avait démembré le corps, s’en est tiré avec un an de prison. Avec sursis. La barbarie a de beaux jours devant elle.

    Aussi Laurent Obertone conclut-il avec pessimisme qu’il est impossible de « revenir en arrière ». A moins qu’une réaction ne s’amorce. Signe encourageant : grâce au bouche à oreille, son livre s’est hissé en mars dans le « Top 20 » des ventes de la FNAC, alors que celle-ci, soi-disant « agitateur d’idées », refuse de le mettre en rayons. Espérons que cette hirondelle fera le printemps, fût-il tardif.

    Claude Lorne

    Laurent Obertone, La France orange mécanique, préface de Xavier Raufer, Editions Ring, janvier 2013, 349 pages.
    Gérald Pichon, Sale Blanc ! Chronique d’une haine qui n’existe pas, Editions Idées, 2013, 105 pages.

    Crédit photo : DR

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  • 8 mai 1945 Fin de la guerre en Europe

    La Seconde Guerre mondiale se termine officiellement en Europe le 8 mai 1945, à 23h01, au lendemain de la capitulation sans condition de l'Allemagne nazie, signée le 7 mai à Reims.

     

    Il revient au successeur de Hitler, l'amiral Dönitz, de demander la cessation des combats aux puissances alliées. Celui-ci envoie le général Alfred Jodl, chef d'état-major de la Wehrmacht, à Reims, au quartier général des forces alliées du général Dwight Eisenhower.

     

    Le général Alfred Jodl signe dans la nuit du 6 au 7 mai, à 2h41 du matin, la capitulation sans condition de l'Allemagne. Quelques mois plus tard, il sera condamné à mort par le Tribunal de Nuremberg pour avoir contresigné des ordres d'exécution d'otages ou de prisonniers.

    Le chef d'état-major du général Eisenhower, commandant suprême des Alliés, et le général soviétique Ivan Sousloparov signent l'acte de capitulation au nom des vainqueurs. Le général français François Sevez, chef d'état-major du général de Gaulle, est invité à le contresigner à la fin de la cérémonie en qualité de simple témoin.

    La cessation des combats est fixée au lendemain 8 mai, à 23h 01.

    Ratification de la capitulation à Berlin (8 mai)

    Pour Staline, il ne suffit pas que la capitulation ait été signée à Reims, dans la zone occupée par les Anglo-Saxons. Il faut aussi qu'elle soit ratifiée à Berlin, au coeur du IIIe Reich, et accessoirement dans la zone d'occupation soviétique.

    Cette formalité est accomplie le lendemain, au quartier général des forces soviétiques du maréchal Joukov. Le gouvernement de De Gaulle y est représenté par le général Jean de Lattre de Tassigny. Charles de Gaulle avait convaincu Winston Churchill d'accorder une place à son gouvernement, bien que la France se fût officiellement retirée de la guerre avec l'armistice du 22 juin 1940.

    Les chefs d'État et de gouvernement alliés, dont le général de Gaulle, peuvent annoncer simultanément sur les radios la cessation officielle des hostilités en Europe.

    La capitulation n'est pas la paix

    Malgré la capitulation de l'Allemagne nazie, son allié le Japon poursuit un combat désespéré contre les Américains dans l'océan Pacifique. Il faudra les deux explosions atomiques de Hiroshima et Nagasaki, les 6 et 9 août 1945, pour le contraindre à capituler, près de quatre mois après l'Allemagne.

    Lacapitulation vue de... Paris

    Bien que la France se fût officiellement retirée de la guerre avec l'armistice du 22 juin 1940, le gouvernement du général de Gaulle est représenté à Berlin par le chef de la 1ère armée française, le général Jean de Lattre de Tassigny.

    Négligeant de commémorer la capitulation du 7 mai, à Reims, à laquelle ils n'ont eu aucune part, les Français ont choisi par la suite de commémorer exclusivement le 8 mai 1945. En 1975, le président Giscard d'Estaing a souhaité mettre un terme à cette commémoration par souci de réconciliation avec les Allemands... mais au grand scandale des associations d'anciens combattants.

    En 1981, le président Mitterrand a voulu prendre le contrepied de son prédécesseur. Il ne s'est pas contenté de refaire du 8 mai un jour férié. Il en a aussi fait un jour chômé... sans rencontrer beaucoup d'objections.

    Source: Hérodote.net

  • L’âge du consentement devrait être abaissé à 13 ans en Grande-Bretagne, selon une avocate

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    Barbara Hewson, une importante avocate, a suscité l’indignation après avoir affirmé que l’âge du consentement en Grande-Bretagne devrait être abaissé à 13 ans afin d’arrêter la "persécution des vieillards" dans le sillage du scandale des abus sexuels de Jimmy Savile, célèbre présentateur de la BBC.

    Elle a également suscité la colère en réclamant que l’anonymat des plaignants d’abus sexuels soit retiré et que le délai de prescription soit réformé afin d’éviter que des accusations sur d’anciens faits ne soient poursuivis.

    Les propos de l’avocate ont été condamnés par les organismes de bienfaisance pour enfants, après avoir comparé les abus sexuels envers les enfants à de simples "délits de bas niveau", qui ne devraient normalement pas être poursuivis.

    Barbara Hewson est reconnue dans les domaines du droit public et administratif, les droits et les libertés civiles, et le droit du travail, selon le site de son cabinet. Elle a également remporté des procès devant la Cour européenne des droits de l’homme, la Cour suprême et la Haute Cour de la République d’Irlande.

    Sources : Express.uk / Le Journal du Siècle

  • La Corée du Nord demande de l'aide à la Mongolie

    La Corée du Nord a demandé de l'aide humanitaire à la Mongolie pour lutter contre l'insécurité alimentaire. Lors d'une réunion avec Tsakhiagiin Elbegdorj, président de la Mongolie, l'Ambassadeur de la RPDC a déclaré que son pays pourrait faire face à de graves pénuries alimentaires. L'Ambassadeur a demandé au président mongol de réfléchir à l'acheminement d'aide humanitaire en Corée du Nord.

    Les agences d’information de la Corée du Nord n’évoquent pas les problèmes alimentaires que connaît le pays, mais des rumeurs sur les famines paraissent régulièrement dans la presse mondiale. L’une des causes probables de la nouvelle famine pourrait être l’inondation qui s'est produite dans le pays durant l'été 2012 ayant détruit une grande partie des récoltes.

    La Voix de la Russie - 22/04/13

  • Ces Français derniers défenseurs du bunker de Hitler

     

    Laurent Brayard, Rédaction en ligne
    8.05.2013, 19:01, heure de Moscou
     
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    © Flickr.com/Ghirigori Baumann/cc-by-nc-sa 3.0

    Alors qu’on fête en France l’anniversaire de la victoire de 1945 sur l’Allemagne nazie, l’événement fait toujours et avec raison la part belle à ces héros français qui combattirent de toutes leurs forces la tyrannie et l’occupation nazie. Mais cette histoire de héros ne serait pas complète sans une part d’ombre, les antihéros, des hommes qui choisirent l’autre camp, qui choisirent la collaboration et l’Allemagne d’Hitler plutôt que la France Libre de De Gaulle. Ils furent parmi les derniers défenseurs de Hitler dans son bunker de Berlin. Retour sur une page moins glorieuse et sombre de la France.

    La 33ème division de grenadiers SS dite Charlemagne restera à jamais une tâche sur le drapeau français. Ils furent plus de 7 000 à porter l’uniforme de l’armée internationale SS créée par Himmler, la Waffen SS. Fondée en 1943, l’unité était elle-même une émanation d’une autre unité française de la Waffen, la Sturmbrigade SS Frankreich (Brigade d’assaut SS France). Une autre unité française, toujours sous uniforme allemand mais de la Wehrmacht, la LVF (Légion des Volontaires français contre le Bolchevisme) avait été recrutée dès 1941 dans les milieux collaborationnistes français et envoyée se faire massacrer en URSS. C’est elle qui avait ouvert le bal des unités françaises servant l’Allemagne nationale-socialiste.

    Composée de tous les Français qui étaient entrés dans les rangs allemands, que ce soit des rescapés justement de la LVF ou de la Frankreich, elle fut renforcée à sa création par des volontaires de la Kriegsmarine et de nombreux anciens miliciens après la libération de la France entre juin et décembre 1944. Comme les autres unités françaises, elle fut envoyée sur le front de l’Est où elle s'engagea à la fin du mois de février 1945. Cette drôle d’unité française sera des derniers combats de l’apocalypse de ce Reich qui aurait dû durer mille ans. Ironie cruelle et totalement dérisoire que ces quelques milliers d’hommes jetés dans une bataille perdue d’avance pour une cause qui sera condamnée au tribunal de Nuremberg par l’Humanité toute entière.

    Pour l’heure, ils combattirent en Poméranie et se firent hacher sur place sans grands résultats mais s’accrochèrent au terrain. Ils finirent par être encerclés par les troupes soviétiques mais un bataillon ou ce qu’il en restait, un peu plus de 300 hommes, soit un effectif d’environ une compagnie et demi, réussit à se frayer un chemin et à s’échapper du piège. Désormais baptisé « bataillon Charlemagne » il se trouva sous les ordres d’Henri Fenet de sinistre mémoire. L’homme originaire de l’Ain et du village de Ceyzériat (1919-2002) était passé par Saint-Cyr et avait reçu une Croix de guerre durant la campagne désastreuse de 1940. Très engagé dans la collaboration, il avait rejoint la milice dès l’automne 1942 et fut désigné pour devenir l’un des chefs de la future division Charlemagne.

    Avec lui, les survivants de la Charlemagne firent retraite sur Berlin où ils eurent le triste privilège d’être les derniers défenseurs du bunker du Führer. Intégré dans les restes de la division Nordland, une unité normalement constituée des volontaires de la Waffen des pays scandinaves, c’était de fait à la fin de la guerre une unité internationale comprenant des Norvégiens, des Danois, des Suédois, des Finlandais, des Estoniens, des Hongrois, des Roumains, des Néerlandais, des Espagnols, des Suisses, des Allemands, des Français et même quelques Britanniques. Ils défendirent avec acharnement les ruines de Berlin avec l’énergie inutile du désespoir. Selon les témoignages, les hommes de la Charlemagne détruisirent plus de 70 chars soviétiques dans de violents combats de rue qui eurent lieu dans les derniers jours du mois d’avril et jusqu’à la capitulation de Berlin, le 2 mai 1945.

    Ceux qui ne furent pas tués ou fusillés par les Soviétiques furent traduits lorsque cela fut possible devant les tribunaux. L’un d’eux, dont les romans sont toujours recherchés, était Marc Augier, dit Saint-Loup (1908-1990). Il écrivit beaucoup sur l’histoire et la destinée de ceux qui avaient choisi la collaboration et l’Allemagne plutôt que la France, du moins la France de la démocratie et de la République. Henri Fenet survécut à la fournaise de Berlin, il fut décoré de la Croix de Fer, l’une des plus hautes décorations allemandes. Fait prisonnier par les Soviétiques, il fut libéré mais reconnu en France et condamné à 20 ans de travaux forcés pour trahison et port de l’uniforme de la Waffen SS. Etrangement, il fut relâché bien avant la fin de sa peine, en 1959. Jamais amendé et toujours farouchement attaché à la cause nazie, Henri Fenet devait défrayer la chronique en 1998 en pointant du doigt les résultats de la Seconde Guerre mondiale et en affirmant son antibolchevisme viscéral.

    Certains Waffen SS français combattirent contre les Américains, notamment ceux du régiment Hersche, une colonne de marche qui après une course-poursuite en Thuringe, fut acculée à la reddition après des combats retardateurs. Des rescapés poursuivirent le combat en Autriche et dans le Tyrol et ne capitulèrent qu’au début de mai. Une poignée d’entre eux furent livrés à la 2e DB du général Leclerc et interrogés par ses soins. Ils furent exécutés sans autre forme de procès à Bad Reichenhall dans une clairière et laissés sans sépulture avant que les Américains ne les enterrent. Une polémique qui ressurgit régulièrement met en cause le héros du serment de Koufra avant de retomber dans les limbes où elle devrait rester. Marc Augier, qui avait été condamné à mort par contumace en 1948, fut finalement lui aussi gracié dès 1953, et Fenet en 1959.

    Cette histoire rappelle que durant de longues décennies, la France n’a pas voulu se regarder dans le miroir. Paul Touvier le célèbre milicien, fut lui aussi gracié en 1971 avant d'être enfin rattrapé par la justice qui prononça d’abord de manière incroyable un non-lieu en 1992 avant de le condamner à la réclusion à perpétuité en 1994, un peu plus de deux ans avant sa mort… Maurice Papon sera le dernier des collaborateurs condamné par la justice française pour crimes contre l’humanité en 1998… et libéré pour raisons de santé en 2002 avant de décéder en 2007 à un âge canonique. Une autre personne, compagnon et ami de François Mitterrand qui fut probablement le Français ayant le plus de responsabilités dans les crimes contre l’humanité, ne devait jamais être jugé : René Bousquet fut assassiné en 1993, et l’un des responsables directs de la fameuse Rafle du Vel’ d’Hiv échappa ainsi au déshonneur d’un procès.

    Les joies de la victoire et de l’armistice du 8 mai 1945 ne doivent pas faire oublier aux Français qu’il y eut aussi « ceux-là », les fameux Hérétiques de Saint-Loup. La France ne doit jamais les honorer mais elle ne doit pas oublier qu'en son sein, il y eut l’infamie. Il n’y avait pas beaucoup de Jean Moulin en 1940… Le premier fusillé à Paris fut Jacques Bonsergent, le 10 novembre 1940. Une station de métro honore aujourd’hui sa mémoire. En face, il est étonnant de voir combien les responsables ont été nombreux à mourir de leur belle mort dans un lit…/OS

  • Isère : il entre dans une gendarmerie et poignarde un militaire aux cris d’Allah Akbar

     

    Voici comment France 3 présente ce « fait divers régional » :
    « Un gendarme de 44 ans a reçu trois coups de couteau au cou, au bras et à hauteur des jambes donnés par un déséquilibré qui a fait irruption mardi dans la matinée, dans la gendarmerie de Roussillon.
    « L’agresseur a ensuite reçu une balle dans la cuisse tirée par un autre militaire. Ce dernier, âgé de 37 ans, a aussi été touché par un éclat de balle au tibia.
    Tous les intervenants dans cette affaire ont été hospitalisés à Lyon et Roussillon. Aucun n’est dans un état grave.

    « La famille de l’agresseur a confirmé qu’elle avait des doutes depuis quelques mois sur son état psychologique. Il se présentait de plus en plus souvent comme « guerrier de l’Islam ». Son épouse avait d’ailleurs quitté le domicile familial alors qu’il était en pèlerinage à La Mecque. Lors de son entrée dans la brigade de gendarmerie, l’homme a crié « Allah est grand ». De nombreux livres et revues religieuses ont été retrouvés dans son logement. »
    Le procureur insiste aussi dans la video ci-dessus, sur la folie de l’agresseur.
    Bref, c’est une histoire de folie pure et simple, l’islam n’a en fin de compte rien à voir là-dedans, bien sûr !
    Pourquoi tant de déséquilibrés cherchant à assassiner autour d’eux sont-ils musulmans ? Le hasard évidemment !

    Contre-info. com

  • Le nouveau piège à cons de Mélenchon : la VIe République

    jean-luc-melenchon

     
     
     
     
    Adrien
    Abauzit
    Ecrivain et juriste.
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    Mélenchon s’est attaqué, dans son discours du 5 mai, à la Ve République, qualifiée par lui de « monarchie verticale qui permet à la finance d’étendre ses tentacules ». Ringard. Mitterrand nous a déjà fait le coup en 1964 dans l’essai politique le plus hypocrite de l’Histoire de France, quoique bien écrit, Le Coup d’État permanent.

    Il s’agit, chez les hommes de gauche, d’un piège à cons invoqué à intervalles réguliers : quand la gauche n’a pas le courage de s’attaquer au capital, ce qui est en théorie son travail, elle s’en prend aux institutions. Il est vrai qu’il est plus facile de faire voter des parlementaires serviles au Congrès que de modifier la répartition des richesses entre le capital et le travail.

    Mélenchon, pour reprendre un mot de Marx, ne fait que mettre des claques à une grand-mère. En effet, compte tenu des dépouillements de souveraineté prévus dans les traités européens, les institutions nationales ne sont plus responsables de grand-chose.

    Politique de la dette, politique monétaire, commerciale, industrielle, budgétaire et agricole, pour ne citer qu’elles, sont directement dictées par les divers traités européens, traités dont d’ailleurs notre opposant en carton-pâte ne propose pas la dénonciation. Et qu’importe si les institutions européennes reposent sur la négation du suffrage universel et la négation de la séparation des pouvoirs.

    Là où Mélenchon se fout royalement de la gueule du monde — et de celle de ses électeurs en premier lieu —, c’est lorsqu’il accuse les institutions nationales d’être propices au règne de la finance, alors que la finance n’a pu exploser en Europe que grâce au tremplin du droit européen. Nous visons en particulier la liberté de circulation des capitaux, prévue dès le traité de Rome (1957) et mise en place par l’Acte unique (1986) et la privatisation de la création monétaire (art. 104 du traité de Maastricht). Bizarrement, l’ami Mélenchon ne propose pas de sortir de l’UE. Bref, comme pourfendeur du système, on a rêvé mieux.

    Faisons preuve cependant d’imagination.

    Imaginons que nous soyons dans une belle République parlementaire, avec un président dépourvu de pouvoir et un Premier ministre rendant réellement des comptes au Parlement.

    Qu’est-ce que cela changerait à nos malheurs ? Réponse : strictement rien.

    Le droit européen continuerait de nous imposer le libre-échange, la liberté de circulation des capitaux, l’interdiction de monétisation de la dette et le Deutsche Mark (que d’aucuns appellent l’euro), soit les principaux facteurs responsables de notre chômage, de notre dette, de la compression des salaires et du renchérissement du coût de la vie.

    Ajoutons que les banques, les fonds de pension et les hedge funds ne seraient pas non plus empêchés de spéculer sur notre dette ainsi que sur les matières premières et les produits dérivés.

    En résumé, la stratégie de diversion de Mélenchon est intégralement du flan. Peut-être est-ce là un clin d’œil à celui dont il a contribué à l’élection, il y a à peine un an.

    Adrien Abauzit, le 8 mai 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Italie. Pour la nouvelle ministre de l’intégration, “la polygamie facilite les rapports en société”

     

     

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    Màj n°4 8 mai 2013

    Cécile Kyenge, ministre de l’Intégration du nouveau gouvernement italien, qui a reconnu avoir pénétré illégalement sur le territoire italien lors de son arrivée, crée la polémique en disant vouloir supprimer la notion d’immigration clandestine en Italie.

    Issue d’une famille de 38 enfants, la ministre a affirmé que l’Eglise devait apprendre à s’adapter au monde:

    «Grandir avec tant de frères et soeurs m’a donné l’impression de vivre dans une communauté. Cela facilite les relations avec l’autre partie de la société, en dehors de la famille»

    a-t-elle déclaré à une chaîne de télévision italienne. Une déclaration qui a suscité de vives réactions en Italie, une jeune député du Peuple des Libertés (PDL) a répliqué en se demandant si, après la loi sur l’immigration:

    “Le ministre Kyenge compte aussi présenter une loi autorisant la polygamie, basée sur son expérience familiale au Congo ?“.

    Les Observateurs

    Màj n°3 7 mai 2013

    Cécile Kyenge, première ministre noire d’Italie, est confrontée à de nombreuses insultes racistes. « Qui l’a dit, qu’elle est italienne ? Sa nomination a été une grande connerie », a déclaré à la radio Erminio Boso, un ex-sénateur de la Ligue du nord. « La ministre Kyenge doit rester chez elle, au Congo. C’est une étrangère dans ma maison », a-t-il poursuivi. « C’est un choix de merde, un éloge à l’incompétence », a déclaré le député européen de la Ligue, Mario Borghezio.

    D’origine congolaise (RDC), le projet politique de Cécile Kyenge est clair : elle veut « changer concrètement le pays », Lire la suite

    François Desouche