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  • Tunisie: Hollande annonce 500 millions d'euros de prêts et de dons...

    Lire:  http://www.leparisien.fr/international/tunisie-francois-hollande-annonce-500-millions-d-euros-de-prets-et-dons-05-07-2013-2957457.php

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    NdB: Il n'y a plus d'argent pour la France (ni pour Batho) mais il y en a pour la TUNISIE !

  • Nigel Farage prévoit «une tempête électorale l’année prochaine lors des élections européennes»

    Ecrit le 4 juil 2013 à 11:14 par Eric Martin  

     
     

     Ce 28 juin, le député anglais Nigel Farage dénonce au Parlement européen les milliards d’euros que l’Union européenne s’apprête à dépenser pour « résorber » le chômage chez les jeunes et revient sur le caractère anti-démocratique de l’entité, avec l’entrée de la Croatie dans l’Union sans réel appui du peuple et sans vrai débat. Farage prévoit une tempête électorale l’année prochaine lors de l’élection européenne…

     

    Nouvelles de France

  • Marseille: démantèlement d'un important trafic d'ames de guerre: deux légionnaires arrêtés

    20130705_1_6_1_1_0_obj4179171_1.jpg armes de guerre.jpg

    C'est un réseau d'importance qui vient de tomber. Un de ces réseaux faits d'intermédiaires fourmis, où la discrétion est la règle, où les protagonistes cultivent le secret, gage évident de réussite, où chacun doit rester à sa place, au risque de faire éclater l'ensemble de la pyramide. Mais cette fois, deux renseignements anonymes ont aiguillonné les enquêteurs . "D'un côté la police judiciaire, de l'autre le Service départemental d'information générale (Sdig, ex-Renseignements généraux), mais des renseignements complémentaires et convergents",explique le directeur adjoint de la PJ, Christian Sivy.

    Des semaines d'écoutes et de filatures avec l'aide de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) et de la Brigade de répression du banditisme (BRB) pour un coup de filet samedi à proximité de la zone commerciale de Plan-de-Campagne. Six interpellations.

    Un joli coup aux allures de flagrant délit

    Un joli coup aux allures de flagrant délit. Quand les policiers interviennent, ils saisissent 14 armes de guerre, des pistolets mitrailleurs de type Scorpio, de calibre 7.65, de conception tchèque, très prisées pour les combats rapprochés, dangereuses à faible distance. Une arme d'autant plus appréciée qu'elle est courte - moins de 30 centimètres de long -, et très compacte - elle pèse à peine plus d'un kilo. 12 armes sont découvertes dans la voiture des acheteurs, 2 sont encore dans celle des fournisseurs.

    Les enquêteurs saisissent aussi en perquisition quelque 6 000 euros en espèces. Mais surtout, ils mettent la main sur au moins deux fournisseurs au profil singulier, deux légionnaires âgés d'une trentaine d'années. L'un est d'origine hongroise, l'autre roumaine. Un légionnaire de troupe et un sous-officier. L'un faisait partie du 1er Régiment étranger d'Aubagne, le second du 1er Régiment étranger de Génie de Laudun (Gard). "Ils font partie du groupe auquel on attribue la fourniture de ces armes", précise le procureur adjoint de la République de Marseille, Christophe Barret. Faisaient-ils cela depuis longtemps ? Et, surtout, qui ont-ils approvisionné jusque-là ? Des caïds de cités ? Des membres du milieu traditionnel ?

    Il semble pour l'heure que les acheteurs soient des membres de la communauté des gens du voyage. Les deux principaux sont, en l'état de l'enquête, âgés de 36 et 38 ans, et ils avaient déjà été condamnés pour infraction à la législation sur les stupéfiants. Les armes étaient-elles destinées à les protéger d'éventuels rivaux dans le cadre de quelque "guerre de territoire" sur fond de stups, surtout quand on sait que les réseaux brassent des recettes quotidiennes qui dépassent parfois les 20 000 à 30 000 euros ? "Nous sommes très satisfaits d'avoir mis hors du circuit ces 14 armes de guerre, destinées à se retrouver entre des mains très dangereuses",a insisté hier le procureur Barret.

    Les six auteurs interpellés ont été mis en examen par la juge d'instruction Isabelle Coudert pour "association de malfaiteurs, fabrication ou commerce de matériel de guerre en bande organisée, importation d'armes ou de munitions de 1er et de 4e catégorie et recel".

    Cinq d'entre eux ont été écroués mercredi soir, le sixième a été déféré hier. Ils risquent jusqu'à 10 ans de prison. Outre les deux militaires, les quatre autres hommes sont des civils. Interrogés, ils ont minimisé le sens de leur présence sur les lieux. Mais les armes ont été découvertes soigneusement conditionnées et emballées. Du travail "propre", qui est rarement la signature de béotiens du banditisme.


    Des pistolets mitrailleurs vendus de 1 400 à 1 600 euros

    À combien devaient se monnayer les pistolets mitrailleurs de type Scorpio saisis cette semaine à Plan-de-Campagne ? Selon nos sources, ils devaient être vendus de 1 400 à 1 600 euros pièce. Combien devaient encaisser les fournisseurs ? Entendus, ils auraient, au moins pour certains d'entre eux, contesté qu'ils devaient toucher quelque commission que ce soit. Un scénario peu crédible.

    On sait aussi que des kalachnikovs par dizaines traversent l'Europe dans les camions ou par la mer, parties de Croatie ou de Serbie, puis sont retrouvées dans les caves des cités de Marseille. Un fusil d'assaut, qui se vendait 3 000 euros il y a encore quelques années, se brade aujourd'hui 1 000 euros, voire la moitié du prix si on n'est pas trop regardant sur la qualité. Certains trafiquants marseillais vont même jusqu'à traverser l'Europe pour aller chercher en Albanie des kalachnikovs à petits prix.

     

    "La kalach', c'est devenu un Opinel"

    "La kalach', c'est devenu un Opinel", nous confiait récemment un syndicaliste policier, pour dire que l'arme s'est banalisée et qu'on la trouve presque partout. Les uns s'en serviront pour "monter au braquage", comme disent les "flics" marseillais. Les autres l'utiliseront comme "bouclier" pour préserver leur vie contre les appétits de la concurrence sur fond de marché parallèle.

    "Ceux qui avaient de la drogue mais pas d'armes, le Maroc et l'Espagne, ont rencontré ceux qui avaient des armes et qui voulaient de la drogue, les pays de l'Est", analysait il y a peu Me Pierre Caviglioli, avocat et fin connaisseur de la matière. La France ayant une position centrale, elle a "profité" de ces échanges, facilités par la porosité des frontières." Un pistolet Glock s'achète environ 500 euros et se revend jusqu'à 3 000 euros. Un kilo de dynamite peut dépasser les 4 000 euros.

     

    La Provence - 05/07/13

     

  • Le mariage qui fait honte à la France

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    Lui se nomme Sofiane Ben Ahmed, elle Yamina El Attari. Leur récent mariage, à Orange, n’est pas passé inaperçu. On y a hissé les couleurs, mais pas celles de la France. Celles du Maroc et de l’Algérie. Pour le mariage d’un soldat avec une gendarmette, voilà qui fait désordre.

    C’est une histoire symptomatique des ravages de la double allégeance ; une histoire de Français de « la France d’après »; une histoire comme on en voit tous les samedis ou presque mais qui cette fois, par la personnalité singulière des protagonistes, touche le corps social dans ce qu’il devrait avoir de plus fiable : ses forces armées.

     

    Nous sommes le samedi 22 juin à Orange, la cité du Vaucluse connue pour son théâtre antique, ses chorégies et son député-maire, Jacques Bompard, à cheval sur les principes et le respect du drapeau tricolore. Dans la salle des mariages de la mairie a lieu l’union de Sofiane Ben Ahmed et de Yamina El Attari. Il n’y a rien de secret : conformément à la loi, les bans ont été affichés publiquement durant les dix jours précédant leur union.

    Deux signatures pour rien au bas d’une charte

    Tous deux sont français. Leur métier exige qu’ils le soient. Sofiane Ben Ahmed est sous-officier dans l’armée. Yamina El Attari est gendarme. Honneur et patrie. Lever des couleurs. Hymne national. Ordre. Discipline. Force à la loi. Ils ont choisi Orange pour s’unir parce que leurs parents y sont domiciliés.

    Comme tous les futurs époux, ils ont signé une charte. Echaudé – et exaspéré, comme les habitants du centre ville – par quelques mariages qui ont transformé les abords de la mairie en défilé de la victoire un soir de victoire de l’équipe algérienne de football, Jacques Bompard a décidé, en décembre 2011, de soumettre une charte de bonne conduite aux futurs époux. Depuis, plusieurs villes ont fait de même comme Nice, Beauvais, Cavaillon ou Forbach.

    La Charte pour le bon déroulement de la cérémonie de mariage, longue de deux pages, rappelle les règles élémentaires de la politesse (veiller à être à l’heure, par exemple) et attire l’attention des futurs époux sur le nécessaire respect du Code de la route par le cortège. Elle se conclut ainsi: « Je reconnais avoir pris connaissance des instructions ci-dessus énoncées et je m’engage à les respecter et à les faire respecter par les participants. » On date et on signe, ce qui fut fait.

    Pour les voitures, y’a pas mieux que les Allemands

    Le mariage s’est bien déroulé; c’est après que ça s’est gâté. Quand les mariés et leurs invités ont repris leurs voitures – ou celles qu’ils avaient louées, ou empruntées. De bien beaux véhicules. Qualité allemande (BMW, Audi…) mais exubérance nord-africaine. Les Orangeois n’en ont pas cru leurs yeux. Les caméras de surveillance non plus…

    Les amis du soldat et de la gendarmette, son épouse, faisant ronfler leurs puissants véhicules – dont un, allez savoir pourquoi, immatriculé en Roumanie – se sont déployés dans la ville avec des drapeaux marocains et algériens ! Comme on dit dans la gendarmerie: « Pour la patrie, l’honneur et le droit. »

    Et ni le soldat, ni la gendarmette son épouse, n’ont fait quoi que ce soit pour faire respecter les engagements qu’ils avaient pris.

    Deux signatures au bas d’une feuille de papier de la mairie, qu’est-ce que ça vaut ? « Gendarme de France, soldat de la loi », à d’autres ! Le souk, pour rester dans le ton, a gagné la Nationale 7, qui traverse la ville. « Tout excités, on chante, on fête/Les oliviers sont bleus, ma p’tite [Yamina], L´amour joyeux est là qui fait risette/On est heureux Nationale 7. » Puis la rue de la République. Y’a des jours comme ça où les symboles parlent d’eux-mêmes.

    Tandis que scooters et motos bloquaient un carrefour pour faire passer le cortège (tutut et youyous), la voie de gauche était occupée par un véhicule remontant (à contresens donc) la petite dizaine de voitures archi-pleines pour les filmer. Le cameraman amateur a dû avoir du mal à ne manquer personne car il y en avait partout: assis sur le coffre, assis ou debout, nez au vent, aux portières grandes ouvertes, sur le capot et même sur un pare-brise. C’était à qui ferait le plus le guignol et à qui brandirait le mieux, le plus haut, son drapeau marocain ou algérien.

    La police municipale, qui ne s’attendait pas à de tels débordements vu la personnalité des mariés, a été débordée. Mais à Orange, les caméras de vidéosurveillance sont bien faites: elles enregistrent.

    Plainte a donc été déposée auprès de l’officier du ministère public, avec un descriptif détaillé des faits, films des événements, nom et qualité des époux. Théoriquement, Sofiane Ben Ahmed et Yamina El Attari, responsables des infractions commises par leurs invités, devraient être convoqués devant le tribunal de police. Et écoper d’une amende.

    Et Yamina El Attari devrait se faire remonter sérieusement les bretelles. Un courrier a été envoyé au colonel de gendarmerie commandant le département, histoire qu’il localise la donzelle. Idem pour le beau militaire, qui n’avait pas indiqué son affectation. Il serait caporal dans les troupes de Marine. Et il s’est vanté, à la mairie, d’avoir servi… au Mali.

    Marc Bertric

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 3  juillet 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Crédit image : DR.

     

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • La France donne 30 millions CFA aux homosexuels de Côte-d’Ivoire

     

    Après l’adoption par le Parlement français de la loi sur le mariage gay dans ce pays, la Côte-d’Ivoire va-t-elle très bientôt emboîter le pas à la France ?

    Nous ne sommes pas encore là. Mais le moins qu’on puisse, c’est que la France de François Hollande encourage les homosexuels de Côte-d’Ivoire à mieux s’organiser pour défendre leurs droits.

    Là où, dans d’autres pays, les homosexuels sont vus comme des parias, ce pays a posé, mardi, un acte à polémique qui tend au renforcement des droits des minorités sexuelles en Côte-d’Ivoire, autrement dit des homosexuels. Une convention a été signée au siège de l’ONG Alternative Côte-d’Ivoire sis à Cocody-Angré entre cette ONG d’homosexuels présidée par l’homosexuel Touré Claver et qui regroupe tous les gays de Côte-d’Ivoire et la France.

    Par le biais de la Coopération française qui a octroyé à cette ONG 30 millions Fcfa pour ses activités de promotion et de vulgarisation des droits des homosexuels de Côte-d’Ivoire. Le montant du projet de cette ONG qui porte sur cette promotion et cette vulgarisation soumis à la Coopération française est de 43 millions Fcfa.

    Ce financement des activités des homosexuels de Côte-d’Ivoire n’est pas nouveau. Le Programme d’urgence du président des États-Unis pour la lutte contre le sida (Pepfar) finance déjà les activités des minorités sexuelles. 


    Cette convention a été signée par l’ambassadeur de France en Côte-d’Ivoire, Georges Serre, et le président de cette ONG, M. Touré Claver. Le consul de l’ambassade des États-Unis en Côte-d’Ivoire et un représentant de l’ambassade d’Allemagne en Côte-d’Ivoire étaient présents à cette cérémonie.



    E&R

  • Florent Philippot sur BFMTV

  • 5 juillet 1962 : le massacre d’Oran avec la complicité de De Gaulle

     

    Cette ordure de général Katz, aux ordres d’une autre ordure

    Ce 5 juillet à Oran, alors que le prétendu « cessez-le-feu » était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroule une chasse aux Blancs visant les malheureux qui n’avaient pas encore eu le temps de quitter les lieux.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

    Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
    Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».

    « C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.

    La tuerie dura près de six heures. Lorsque à 17 heures les gendarmes français sortirent de leur trou à rats, le calme revint aussitôt.

    Les cadavres jonchaient la ville, on en trouva pendus aux crochets des bouchers, dans des poubelles…

    Dans la chaleur de juillet, la puanteur était horrible.

    Les soldats français et algériens déversèrent par camions les cadavres dans le Petit Lac et les couvrirent de chaux vive. Nul ne sait le bilan exact de cette Saint-Barthélemy.

    On parlait dans les semaines qui suivirent de 3.000 morts et disparus.

    C’est le chiffre que donna le sinistre De Broglie et que reprit le ministre André Santini.

    Ce qui est sûr, c’est que le massacre était prémédité car les tueries commencèrent à la même heure aux quatre coins de la ville qui était vaste.

    On peut presque dire que les morts eurent de la chance, car le sort des disparus qui furent signalés par des témoins dans les mines de l’Algérie, dans des prisons sordides, dans des maisons closes et des bars à soldats, traités en esclaves ou torturés fut sans nul doute pire encore. » (témoignage de Geneviève de Ternant)

    A lire, un dossier sur l’affaire « Katz – massacre d’Oran » ici.

     

    Contre-info.com

  • Afrique du Sud: les Blancs se protègent à Kleinfontein


    Les Afrikaners retranchés de Kleinfontein par FranceInfo

     

    REPORTAGE VIDÉO | Près de Pretoria, la communauté de Kleinfontein vit totalement isolée du reste de la population. Le but déclaré est de perpétuer la culture afrikaner, refusant d'accueillir des habitants de couleur entre les murs de l'enceinte ultra-sécurisée. Ses habitants observent de loin l'actualité autour de l'état de santé de Nelson Mandela.

    Ils sont environ un millier à vivre dans les maisons disséminées à l'intérieur du camp de Kleinfontein, tout près de Pretoria. Un millier d'Afrikaners qui se veulent "pur jus", revendiquant leur héritage et leurs traditions.

    C'est par sentiment d'insécurité, et impression de ne plus "être chez soi", que ces habitants ont choisi de s'isoler du reste de la population sud-africaine, notamment celle de couleur. Kleinfontein est une enclave où tout le monde ne peut pas rentrer, où l'accès est ultra-sécurisé. Pour ces Afrikaners, leur Afrique du Sud est et doit rester blanche. Véronique Rebeyrotte et Gilles Gallinaro ont pu y pénétrer.

    Par Véronique Rebeyrotte, Gilles Gallinaro 

    FRANCE INFO  - 04/07/13     

     

     

    04/07/13

  • " Lumière" pour Nicolas au Trocadéro


    Lumière pour Nicolas par actuclip

    «Lumière pour Nicolas» au Trocadéro

    Dimanche 30 juin 2013 sur l’esplanade du Trocadéro, des amis de Nicolas Bernard-Busse se sont retrouvés pour un rassemblement intitulé « lumière pour Nicolas ». « Libérez Nicolas, libérez Nicolas » scandaient-ils après avoir entonné des chants portant cette revendication.

  • Les Sages rejettent le compte de campagne de Sarkozy

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    L'ancien président ne sera pas remboursé de ses dépenses de campagne. La facture s'élève à près de 11 millions d'euros pour l'UMP.

     
     

    Le Conseil constitutionnel vient de rejeter le recours déposé par l'ex-président contre la décision de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP). Cette commission avait refusé d'approuver le compte de campagne de Sarkozy en décembre dernier. L'ancien hôte de l'Élysée avait alors contesté ce refus devant les Sages. Mais le Conseil constitutionnel vient de confirmer la décision de la CNCCFP. L'UMP voit ainsi s'envoler près de 11 millions d'euros.

    L'État ne rembourse à un finaliste de la présidentielle la moitié du plafond des dépenses autorisées - soit 11 millions d'euros environ - que si son compte de campagne est approuvé par la CNCCFP. Or, la commission reprochait à Nicolas Sarkozy de n'avoir pas intégré dans son compte de campagne des dépenses payées par l'État ou par l'UMP et qui, selon la commission, auraient dû être acquittées par l'association de financement du candidat. Le litige portait sur plusieurs déplacements en province de Sarkozy avant sa déclaration officielle de candidature, le 15 février 2012. Ces déplacements avaient été, pour le président, l'occasion d'exposer son programme. La CNCCFP pointait aussi du doigt l'organisation du meeting de Villepinte, le 11 mars 2012, payé à moitié par l'UMP. La CNCCFP avait donc réintégré ces dépenses dans le compte de Sarkozy. Du coup, les dépenses du président-candidat dépassaient la limite autorisée, à savoir 22,5 millions d'euros pour chacun des deux finalistes. «C'est à bon droit que la CNCCFP a rejeté le compte de campagne de M. Sarkozy», confirment les Sages dans leur décision.

    Le Conseil constitutionnel, présidé par Jean-Louis Debré, avait le pouvoir de repêcher l'ancien président et d'approuver son compte, mais à des conditions strictes. La clémence est possible si «la méconnaissance des dispositions applicables est involontaire et de portée très réduite», explique une source proche du Conseil. «Il faut cumuler ces deux conditions», précise cette même source. Les arguments des avocats de l'ancien président n'ont donc pas convaincu.

    Le coup est très rude pour l'UMP, déjà en butte à des difficultés financières. Ses défaites aux sénatoriales de 2011 et aux législatives de 2012 ont entraîné une baisse de la dotation publique versée au parti d'environ 10 millions d'euros. Et la guerre fratricide entre Jean-François Copé et François Fillon a entraîné des défections d'adhérents, et donc des cotisations en baisse.

    Deux candidats seulement avaient vu jusqu'alors rejetés leurs comptes de campagne: Jacques Cheminade en 1995 et Bruno Mégret en 2002. Ancien président, Nicolas Sarkozy siège de droit rue Montpensier. Il avait donc fait savoir qu'il ne participerait pas au délibéré lorsque ses collègues examineraient son recours. Valéry Giscard d'Estaing n'a pas non plus participé au délibéré.

    Le Figaro - 04/07/13

  • L'église Saint- Martin d'Arc-sur-Tille sauvée de la "déconstruction" !


    Saint-Martin d'Arc-sur-Tille, l'église miraculée par latribunedelart

     Arc-sur-Tille est dans la Côte-d'Or, région Bourgogne

    E&R

  • Et vous trouvez ça drôle ?

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Et-vous-trouvez-ca-drole-18937.html

    Nombreuses photos: vite cliquez sur le lien!

     03/07/13

  • France: la totalité de nos communications sont espionnées par la DGSE

    Lire: http://www.egaliteetreconciliation.fr/France-la-totalite-de-nos-communications-espionnees-par-la-DGSE-18961.html

     

    04/07/13

  • Marine Le Pen renouvelle son oppostion au traité de libre-échange transatlantique

    Publiée le 4 juil. 2013

    Dans le cadre d'une conférence de presse lors d'un déplacement dans les Vosges, Marine Le Pen a renouvelé son opposition au traité de libre échange transatlantique.

     

  • Face au grand remplacement, le retour au pays, par Damien Rieu

    Ecrit le 3 juil 2013 à 17:30 par Damien Rieu

     

    Damien Rieu

    Lorsque l’on parle d’immigration entre gens « conscients », il n’est pas rare de constater un scepticisme surprenant quant aux solutions à apporter au « Grand remplacement ».

    Untel, intraitable pessimiste, pense que « nous n’avons plus le choix », qu’il est « trop tard » et que de toutes manières le combat contre l’immigration massive est perdu d’avance. Il préconise donc de s’enfuir au Québec – qui n’est plus épargné –, en Thaïlande ou bien dans le fond d’une vallée perdue, en espérant des jours meilleurs. Dont on ne comprend pas bien comment ils pourraient arriver.

    Un autre vous expliquera « qu’il est toujours temps de les franciser » par la conversion religieuse ou républicaine, et qu’il a des exemples parmi ses proches « d’amis maghrébins qui chantent La Marseillaise et/ou fréquentent des paroisses tradis ».

    Ce discours, que je pensais vaincu depuis des années par la réalité, je l’ai pourtant entendu il y a peu, de la bouche d’un professeur de banlieue dans un cercle de conférence lyonnais proche de la droite forte.

    Continuer à défendre cette assimilation, c’est pourtant avoir deux épisodes et 40 ans de retard. L’échec de l’assimilation (abandon de l’identité d’origine) des années 70 précède l’échec de l’intégration des années 90 (assemblage des deux identités) auquel succède la diversité (exaltation de l’identité d’origine) des années 2000. On sait malheureusement comment se terminent le plus souvent ces juxtapositions hasardeuses de populations hétérogènes…

    Et puis, c’est aussi oublier que cette assimilation était envisageable à une époque où l’immigration n’était pas encore un phénomène démographique ou familial de masse mais bien une démarche individuelle de travailleurs volontaires.

    Ainsi, les derniers soldats républicains de l’assimilation se basent sur une  réalité élitiste ô combien anecdotique, ou du moins en décalage complet avec la démarche psychologique inverse largement adoptée par la plupart de nos hôtes : le communautarisme francophobe et revanchard. De ce fait, c’est le croissant plutôt que la croix qui orne depuis longtemps la poitrine de ceux qui ont toujours préféré la coiffe d’un hijab ou d’un kufi au bonnet phrygien.

    Croire que l’on peut inverser cette réalité, c’est au mieux perdre son temps, au pire marquer contre son camp. Plus grave pour les « intellectuels » ou « responsables » : c’est mentir à son camp !

    Entre ceux qui ont déjà baissé les bras – ils sont nombreux, et les derniers irréductibles de l’assimilation – beaucoup moins, n’y aurait-il personne pour conjuguer le passé au présent et comprendre qu’il reste encore une solution au « Grand Remplacement »?

    Des précédents historiques de retour au pays

    Parmi les défaitistes, beaucoup ont pourtant la clef dans leur propre histoire familiale. Pas celle de leurs lointains ancêtres non, celle de leurs parents ou de leur grands-parents. Celle des pieds-noirs, qui ont dû, du jour au lendemain, quitter une terre qui n’était plus la leur, puisque ni les lois, ni les armes, ni les dieux ne pouvaient les protéger du cercueil.

    On peut également citer le triste épisode de la « Partition des Indes » de 1947, qui vu 12,5 millions de réfugiés choisir entre le dominion du Pakistan et l’Union indienne au motif de la religion.

    Ces cruels événements montrent bien que, dans l’histoire récente, des mouvements de retour au pays ont bien eu lieu, sans aucun autre souci que la survie, bien loin des tracas législatifs, du « qui a construit quoi » et des questionnements philosophiques sur le nombre de générations qui vivaient pourtant sur cette terre.

    La manière (atroce) dont s’est fait ce retour au pays n’est évidemment pas un exemple pour nous. D’une part car il est issu d’une conflit sanglant, que nous comptons bien épargner à nos descendants en le désamorçant à temps, et d’autre part car il s’est fait dans la précipitation, et donc le tragique.

    Le divorce à l’amiable aujourd’hui, plutôt que le drame familial demain

    Faisant le constat que :

    - toutes les tentatives de société multiculturelles ont débouché sur des conflits (et donc, à terme, à la disparition de l’un des protagonistes),

    - toutes les solutions de vivre-ensemble (assimilation, intégration, diversité) n’ont fait que retarder le conflit et ont fini par lamentablement échouer,

    nous pensons qu’il est préférable pour chacune de ses composantes de se séparer à l’amiable avant d’en arriver à des drames humains (tensions, haines et guerres interreligieuses ou ethniques, agrémentées de conflits socio-économiques et d’éventuelles ingérences/manipulations étrangères) comme l’histoire en compte tant.

    Prendre conscience de l’importance de choisir le moindre mal, c’est agir avec pragmatisme et réalisme, pour la paix. L’inverse, c’est entraîner, par mauvaise foi ou idéologie mais le plus souvent par inconscience, les différents peuples dans la haine et le conflit. C’est-à-dire la guerre. S’ils en veulent, pas nous.

    Cette séparation nécessaire peut s’envisager par la mise en place du dispositif de retour au pays. Une mesure accompagnée par un dispositif complet comprenant :

    -  La lutte totale contre l’immigration clandestine (les clandestins, les réseaux mafieux, les entrepreneurs, les bailleurs – c’est à dire la totalité de la chaîne).

    - La fin des pompes aspirantes de l’immigration comme les aides sociales.

    - Le droit rétroactif de la nationalité, avec un moratoire sur les naturalisations des 20 dernières années (étude au cas par cas).

    - La fin de la binationalité.

    - fin du harcèlement judiciaire envers les entreprises, agences immobilières sous prétexte de « lutte contre les discriminations » et retour à la liberté de choix total.

    - la reconnaissance officielle de l’existence des communautés extra-européennes sur notre sol et pourquoi pas la mise en place d’un dialogue avec leurs représentants respectifs (mettant fin au mythe de la république une et indivisible en conflit avec le réel depuis longtemps).

    - La construction de partenariats avec les pays d’origine pour s’assurer que le retour des immigrés extra-européens se fasse dans des conditions optimales, à l’instar des accords italo-africains signé début 2010 par le ministre de l’Intérieur de la Ligue du Nord, Roberto Maroni.

    - Dans cette lignée, le soutien des campagnes anti-émigration actuellement mené par de nombreux États, soucieux d’en finir avec une jeunesse (dans lequel l’état a parfois investie des années en éducation ou en santé) qui n’a pour seul espoir que le départ vers l’Europe.

    - Enfin, l’interdiction du financement public et étranger des lieux de culte musulmans qui inviterait ces derniers à rejoindre une vraie Terre d’Islam, plus adaptée à les accueillir.

    Mais il y a un point que nous ne pouvons négliger : si les immigrés extra-européens sont venus en Europe, ce n’est ni pour la beauté des paysages ni par amour de notre civilisation mais uniquement par survie, ou au moins par l’espérance de trouver chez nous de meilleures conditions de vie, que cela soit vrai ou totalement fantasmé.

    Toute politique de retour massif  au pays négligeant cet aspect, c’est-à-dire n’assurant pas des conditions de vie dignes pour ceux qui repartiraient, ne pourrait se faire que par la force, entraînant des souffrances inutiles à chacune des parties concernés. Ce serait donc contraire à notre objectif : la coopération au bénéfice de chacun.

    Ainsi, pour être aussi efficace qu’humain, le retour au pays doit être accompagné moralement et matériellement.

    Je comprends les nombreuses réticences de ceux qui s’indisposent à l’idée d’une nouvelle dépense, de taille, dans un contexte de crise. Mais en réalité cette dépense n’est qu’un investissement sur les économies réalisées grâce au départ des populations extra-européennes. La baisse du chômage, de l’insécurité et du coût des prestations sociales ou de santé compensera largement, à terme, cette dépense. Quant au montant de l’enveloppe accordée, il pourrait, par exemple, être équivalent au coût moyen des populations extras-européennes dans notre pays sur une période de X années.

    Avec cette somme, les volontaires pourraient à la fois s’assurer des conditions de vies équivalentes (voir meilleures) que chez nous, et en plus, participer au développement économique de leur pays respectifs, entraînant un appel d’air inversé. Un bonus familial pourrait également être de mise.

    « C’est impossible ! »

    Vous allez donc être surpris d’apprendre… qu’il existe déjà un début de retour subventionné au pays dans le micro-dispositif actuel de lutte contre l’immigration. Il est discrètement dissimulé dans le droit français. Son nom ? L’aide au retour.

    Proposé par l’Office Français de l’immigration et de l’intégration, il s’adresse « aux étrangers en situation irrégulière ainsi qu’aux étrangers sans ressources qui souhaitent regagner leur pays. » Évidemment, notre proposition d’aide au retour au pays n’aura pas la clémence de s’adresser aux étrangers en situation irrégulière. En effet, contrairement aux autorités actuelles, nous n’avons pas encore oublié qu’ils étaient délinquants. Néanmoins, nous pouvons imaginer, dans le contexte où, bien sûr, nos idées auraient triomphé dans les urnes (et donc dans les esprits), qu’il s’adresse aussi aux extra-européens binationaux et aux extra-européens en général.

    Ce programme actuellement co-financé par le Fond européen pour le retour est donc la preuve que nous n’inventons rien, et que le principe du retour au pays n’est ni dénué de sens, ni absent de toute réalité. Évidemment, il reste à l’améliorer, le promouvoir pour l’intégrer au débat, et en faire l’un des principaux enjeux politiques de demain.

    Retrouvez Damien Rieu sur Twitter : @damienrieu

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