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  • " Ils étaient tous pédés!": Michel Galabru crée le buzz

      

    07/12/2013 – 21h00
    BRUXELLES (NOVOpress) – Les grands médias sont en émoi au sujet du grand acteur français Michel Galabru, âgé de 91 ans. Chacun y va de son indignation : “grosse boulette”, “dérapage”, “crée le malaise”, etc.

    Il était interviewé jeudi en duplex et en direct par la télévision belge RTBF au sujet de sa participation à un court-métrage, Sacré Charlemagne, d’un jeune réalisateur belge, Adrien François, encore inconnu du grand public. Galabru y joue bénévolement. A propos d’autres tournages auxquels il avait accepté de participer il a déclaré qu’il avait eu parfois des surprises, en particulier une fois : “Ils étaient tous pédés. J’ai été pris pour un pédé moi aussi.”

    S’en est suivi un haro général des grands médias. Quel manque d’humour et quel politiquement correct alors que Galabru a été l’un des principaux acteurs du film La Cage aux Folles, en compagnie de Michel Serrault et Ugo Tognazzi. Le plus drôle est que les gamins derrière lui (voir la vidéo) comprenaient tout de suite le style de l’artiste, à la différence de la présentatrice. De même les commentaires des lecteurs des articles publiés sur internet par les grands médias manifestent un sens de l’humour opposé à l’indignation de ces articles.

  • Bruxelles assouplit le régime de visas pour les Turcs

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    5 décembre 2013
    Presseurop
    Hürriyet, Süddeutsche Zeitung

    L’Union européenne et la Turquie ont convenu de signer un accord en vue de supprimer les visas pour les ressortissants turcs d’ici trois ans. En échange, Ankara a accepté d’accueillir les immigrants clandestins arrivés dans l’UE via la Turquie. L’accord, “intervenu au terme de deux ans de négociations difficiles”, prévoit que les autorités turques puissent “suspendre la réadmission des migrants illégaux si l’UE n’applique pas le processus de libéralisation” des visas, rapporte Hürriyet. Dans sa version en anglais, le journal ajoute que l’accord sera signé le 16 décembre à Ankara et qu’il

    pourrait avoir une influence positive sur le processus d’adhésion de la Turquie.

    Il constitue un pas en avant également selon la Süeddeutsche Zeitung, pour qui

    pour de nombreux Turcs, la libre circulation est plus importante que l’adhésion à l’UE. Mais le prix que l’Europe paie pour cette liberté est élevé : Ankara aura pour mission de rendre le chemin vers l’Europe plus compliqué pour les réfugiés, car la Turquie est un pays de transit pour se rendre en Europe. […] Si les citoyens Turcs doivent avoir un visa aujourd’hui pour se rendre en Allemagne, en France ou en Italie, ce n’est pas pour former une caravane entre l’Anatolie orientale et Berlin, Paris ou Rome. […] Si les Turcs voyagent, ils le font en touristes, avec une carte de crédit et comme businessmen en classe affaires.

  • Le directeur de France Terre d'Asile dans la tourmente

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    Soupçonné de «détournement d'argent public», le patron de l'association humanitaire d'aide aux réfugiés, Pierre Henry, se dit «victime d'une cabale» et justifie au Figaro ses pratiques.

    L'association France Terre d'Asile vit des moments difficiles. Le parquet de Paris vient d'ouvrir une enquête préliminaire sur des suspicions de détournement d'argent public, selon des informations du Parisien . Le directeur général de l'association, Pierre Henry, s'en défend catégoriquement et dénonce un «procédé odieux» visant à le déstabiliser.

    Il y a trois mois, fin août, une lettre anonyme dactylographiée, signée du «Collectif et amis de France Terre d'Asile» et adressée au personnel, accuse le directeur général de multiples fautes et le rend responsable d'un «climat général de suspicion». «Emploi fictif», «détournement d'argent public»... les accusations sont lourdes. «Tout ça c'est du pipeau. J'ai aussitôt déposé plainte pour diffamation», confie Pierre Henry au Figaro, regrettant de se voir «violemment jeté dans la rubrique des faits divers».

    Principal fait reproché au directeur de l'association humanitaire: en mai 2004, il a contracté un emprunt de 271.000 euros auprès de la trésorerie de l'association, pour financer l'achat d'un appartement privé. «C'était une maladresse, reconnaît Pierre Henry aujourd'hui, mais il n'y a là aucun délit. J'ai intégralement remboursé ce prêt dans les vingt-trois jours qui ont suivi.» L'inspection générale de l'administration enquête actuellement sur le sujet, selon Le Parisien.

    «Je suis un symbole à salir»

    «Nous sommes dans une période déplorable, dégueulasse», tonne Pierre Henry. Rejetant en bloc les accusations, il y voit une «cabale» qui chercherait à le déstabiliser: «Je suis un symbole à salir, celui du vivre-ensemble, d'une France ouverte, qui aide les réfugiés et les demandeurs d'asile. Dans le climat politique actuel, ça ne passe pas.»

    Forte de 540 salariés, l'association France Terre d'Asile est l'un des principaux acteurs hexagonaux de l'aide aux réfugiés, qui prend en charge plus de 5000 personnes chaque jour. Son budget de 50 millions d'euros provient presque exclusivement des subventions publiques, dont 70% du ministère de l'Intérieur. «Une grande association, c'est comme une grande entreprise, explique Pierre Henry. Le directeur peut toujours faire différemment, il peut toujours faire mieux. Mais on ne peut pas dire que j'ai fait quoi que ce soit de malhonnête. Les Urssaf, les services préfectoraux, le commissaire aux comptes: tout le monde passe nos comptes au crible et personne n'a jamais rien remarqué d'anormal.»

    L'enquête a été confiée à la brigade de répression de la délinquance économique (BRDE).

     

    LE FIGARO - 05 12 13

  • Selon la Croix-Rouge, le niveau de pauvreté dans l’Union européenne est proche de celui de la Seconde Guerre mondiale

     

    Fini de rire. Les balivernes qu’on nous serine sur l’Union européenne depuis des lustres pour asseoir les mythes de la paix et de la prospérité en Europe se payent comptant.

    La paix était possible sans ce montage politique démentiel qui vire au fascisme et qui peine de plus en plus à dissimuler la guerre économique que se livrent ses États-membres. Quant à la prospérité, chacun peut apprécier chaque jour davantage l’échec de cette organisation livrée aux banksters et aux multinationales grâce à la politique économique ultra-libérale dérégulée, présentée comme la seule possible.

    Le seul argument des constructeurs de cette Europe, « sans cela, cela aurait été pire », ne tient plus. Une autre Europe est pourtant possible mais les arguments des prix Nobel, économistes, intellectuels, et autres penseurs et praticiens proposant cette voie ne sont pas entendus. Les tenants d’une autre alternative sont qualifiés sans vergogne d’« euros-sceptiques » voire d’« europhobes » par les bien-pensants, avec une arrogance et un mépris grotesques, tant les résultats de « leur Europe » sont catastrophiques. Que la Troïka ait reconnu ses erreurs ne change rien. Désormais, c’est le Marché transatlantique à venir qui devient l’emblème de cette stratégie du chaos savamment organisée.

    En attendant des lendemains qui chantent et qui ne sont pas pour demain, bien au contraire, les populations s’enfoncent dans la pauvreté.

    Dans un entretien accordé à Russia Today [en anglais], Anita Underlin [photo ci-dessus], directrice de la Croix-Rouge Europe, fait état de la situation de la pauvreté en Europe dont le niveau dans certains pays atteint celui de la Seconde Guerre mondiale.

    Selon les dernières statistiques environ 43 millions de personnes souffrent de pauvreté dans l’Union européenne, soit près de 10 % de la population. La distribution d’aliments depuis le dernier recensement intervenu en 2009 a augmenté de 75% pour l’ensemble des 52 pays européens où est présente la Croix-Rouge.

    Au Royaume-Uni, pays où le nombre de banquiers ayant dépassé le million d’euros de rémunération atteint des sommets (pas de hasard là-dedans, Michel Husson a démontré le lien entre pauvreté et inégalité de répartition des richesses), la situation vire au cauchemar. Le nombre de personnes ayant recours aux banques alimentaires a triplé depuis 2009 pour atteindre les 350 000 l’année dernière.

    Pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale, la Croix-Rouge a dû solliciter des dons de nourriture et Anitta Underlin estime qu’il s’agit de « la plus grande campagne de distribution alimentaire depuis la Seconde Guerre mondiale ».

    D’autres pays ne sont en reste. La crise est particulièrement dure en Italie, en Grèce et en Espagne, où la Croix-Rouge espagnole soutient 1,2 millions de personnes en alimentation alors que selon Eurostat, l’organisme de statistiques aux ordres, ces pays ne seraient pas à risque.

    La Roumanie, la Bulgarie et la Croatie, dont il est certain que la récente entrée dans l’UE ne les tirera pas d’affaire, sont au plus haut risque de pauvreté extrême. Non seulement la pauvreté s’accroît, mais qui plus est, les gouvernements sont incapables de porter assistance tant les budgets publics ont été réduits.

    Dans les pays de l’Est, la paupérisation de la classe moyenne est devenue inquiétante. La classe moyenne, qui représentait 20 % de la population en 2009, n’en représente plus que 10 %.

    L’Union européenne s’est fixé comme objectif de ramener à 20 millions le nombre de personnes vivant dans la pauvreté d’ici 2020. La situation ne serait pas aussi dramatique, on en rirait d’avance.

     

    E&R

  • Nelson Mandela : l’icône et le néant

     

    par Bernard Lugan

    Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui. Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :

    1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.

    2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plaît à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien. Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.

    3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :

    - désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
    - empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
    - torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen.

    4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui total. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).

    Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.

    5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen », aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.

    6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.

    7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter-raciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l’ANC était "en guerre" contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.

    8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.

    En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs.

    Pouvait-il en être autrement quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres. Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.

    À voir, également, sur E&R : « Bernard Lugan sur le mythe Nelson Mandela »

  • Impunité totale pour le fils de Valérie Trierweiler

    07 décembre 2013

     

     

    L'un des fils de Valérie Trierweiler a été interpellé à plusieurs reprises en flagrant délit pénal sans qu'une poursuite judiciaire soit décidée. La plus édifiante de ces arrestations, selon le compte rendu de la brigade anti-criminalité en date du 23 octobre 2012, s'est déroulée à Saint-Ouen (93), en pleine zone de sécurité prioritaire (ZSP), mise en place par Manuel Valls afin de concentrer les moyens policiers pour démanteler l'économie parallèle. Le jeune homme s'y était rendu pour acquérir du cannabis.

    Les interpellations en ZSP font toutes l'objet d'une procédure policière avec avis au parquet. Et depuis le mois de septembre 2013, dans les ZSP du 93, une amende, proportionnelle à la quantité, est requise sur-le-champ contre tout acheteur de shit.

    Dans le cas du fils de Valérie Trierweiler, il n'y a eu ni l'un ni l'autre.

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Le rêve fracassé de Nelson Mandela - Par Bruno Gollnisch

     

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    Le décès hier  soir à son  domicile de  Nelson Mandela, 95 ans,  est l’occasion d’un concert mondial d’hommages divers et variés. En France même le microcosme politico-médiatique n’est pas avare de dithyrambes, dont l’unanimisme  n’est pas pour nous surprendre mais cache bien des non-dits.

    Nous reproduisons ici l’article que nous lui avions consacré, publié en juin dernier sur le site de l’AEMN, au moment ou  l’ex premier président noir de la République d’Afrique du Sud (RSA), apparaissait déjà comme étant à l’article de la mort.

     Saint laïc, icône des apôtres de la société « arc-en-ciel » que la Caste souhaite étendre à la planète entière, Nelson Rolihlahla Mandela, est un personnage complexe, qui a eu ses faces d’ombre et ses faces de lumière, dont l’engagement d’une vie toute entière ne peut faire oublier le chaos, l’accroissement des violences, de la misère et des inégalités depuis la fin officielle de la politique dite de  développement séparé (« apartheid ») voici près d’un quart de siècle.

     Né en 1918, issu d’une famille de la noblesse Xhosa (la principale ethnie sud africaine avec celle des Zoulous), Mandela est le symbole mondial de la lutte contre l’apartheid.

     C’est à l’âge de 24 ans, tout juste licencié en droit, que les choses sérieuses commencent pour Mandela avec son engagement militant consécutif à  sa rencontre avec deux militants du Congrès National Africain (ANC, membre de l’Internationale Socialiste),  noyauté en profondeur par  le parti communiste sud africain (SACP).

     Mandela sera inculpé à l’âge de 45 ans pour sabotage et haute trahison, à un moment ou la RSA bénéficie du soutien plus ou moins implicite des chancelleries occidentales. La priorité est alors de faire contrepoids à une internationale communiste poussant ses pions et  bien décidée à déstabiliser le continent africain.

     Nelson Mandela restera en prison pendant 26 ans. Il  bénéficia d’un régime d’incarcération qui devint au fil des années  plutôt bienveillant puisque le gouvernement afrikaner estimait qu’il était un interlocuteur valable et moins extrémiste que ses autres compagnons de lutte.

     Il refusera en 1985 la libération que lui proposa le premier ministre P.W. Botha, en échange d’une déclaration par laquelle il rejetterait « de façon inconditionnelle la violence politique ».

     Cela explique, petite parenthèse, que quand Mandela fut accueilli en juin 1990 dans l’hémicycle à StrasbourgBruno Gollnisch s’étonna  que « le Parlement européen reçoive officiellement un homme qui refuse jusqu’ici d’abandonner la violence terroriste ».

     Devenu au fil des années l’incarnation de la lutte contre les discriminations, le racisme blanc et la domination colonialiste de l’occident sur les peuples du tiers monde, Mandela sera le chouchou d‘un camp progressiste qui ne trouvait pas les suppliciés du goulag aussi sexy, des idiots utiles du show biz et des « intellectuels » éclairés,  relayant plus ou moins consciemment la propagande communiste.

     C’est d’ailleurs au nom de la lutte contre la subversion communiste, du refus des mensonges sur la réalité de l’Afrique du Sud de l’époque, que le groupe FN à l’assemblée nationale dénonça en novembre 1987, par la voix de Jean-Pierre Stirbois et comme une large fraction du RPR, l’embargo contre ce pays qui pénalisait notamment  notre avionneur Dassault.

     Une nation où les ethnies noires jouissaient alors d’un niveau de développement et de prospérité  inégalé en Afrique noire. C’est aussi au nom de cette réalité que Jean-Marie Le Pen et le FN estimèrent à cette période que le régime afrikaner était alors de loin un moindre mal, un facteur de stabilité et de richesses, entouré par un océan de misère. La comparaison avec l’Afrique du Sud actuelle, nous allons nous y arrêter, permet difficilement d’affirmer le contraire.

     Lorsque Frederik de Klerk succéda à M. Botha, en 1989, le mur de Berlin s’apprêtait à tomber et avec lui un régime afrikaner dont la pérennité aux yeux des Etats-Unis et de leurs alliés n’était fondée que sur une politique d’endiguement de la menace soviétique.

     Le soutien certainement le plus fidèle à la RSA « blanche »  sera jusqu’à la fin l’État d’Israël qui entretient d’ailleurs toujours des relations suivies avec l’Afrique du Sud, pays comptant une  forte communauté juive notamment dans l’économie et le marché du diamant.

     Libéré en 1990, Mandela prend la tête de l’ANC qui est de nouveau autorisé et entame des négociations qui déboucheront sur la fin d’un apartheid  asseyant  l’hégémonie politique de la minorité  blanche.

     De Klerk et Mandela recevront alors  tous deux le Prix Nobel de la Paix en 1993. Elu l’année suivante président après la victoire de l’ANC (62,65 % des voix), Nelson Mandela proclame haut et fort sa volonté de créer des relations inter-ethniques harmonieuses, son souhait de  bâtir une « nation arc-en — ciel en paix avec elle-même et le monde ».

     Il occupera ce poste jusqu’en 1999 (avec deux vice-présidents à ses côtés, Thabo Mbeki et Frederik de Klerk), à la tête d’un gouvernement d’union nationale composé de l’ANC, du Parti National Afrikaner et du parti zoulou Inkhata.

     Trois ans avant le fin de son mandat, il divorcera de sa femme de sinistre mémoire, Winnie « la rouge », connue pour son racisme délirant, ses prévarications multiples, son  goût pour la torture dans son fief de Soweto. Notamment le terrible « supplice du collier », un pneu enflammé passé autour du corps de ses « opposants ». En 1998, Mandela épousera en seconde noces  Graça Machel, veuve de l’ancien président mozambicain Samora Machel.

     Thabo Mbeki (alors président de l’ANC) lui succédera à la tête de la RSA puis Jacob Zuma, actuel président qui se veut avant tout le président des noirs, sous la conduite duquel un apartheid anti-blanc et les tensions raciales, notamment entre ethnies noires,  se sont exacerbées.

     Peut-on douter de la sincérité de Mandela dans son souhait  de voir l’avènement d’une société plus juste — actée par l’antiracialisme officiel  de la constitution —, plus  pacifiée ? Lors de son premier procès très médiatisé au début des années 60, il proclamera : « Au cours de ma vie, je me suis entièrement consacré à la lutte du peuple africain. J’ai lutté contre la domination blanche, et j’ai lutté contre la domination noire. Mon idéal le plus cher a été celui d’une société libre et démocratique dans laquelle tous vivraient en harmonie et avec des chances égales. J’espère vivre assez longtemps pour l’atteindre. Mais si cela est nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir. » Ce courage force le respect. 

     Force est de constater que Mandela président a multiplié les discours et les actes  d’apaisements.  D’ailleurs, en janvier 2002, Jean-Marie Le Pen avait affirmé  tenir « en estime » Mandela pour sa « grande capacité à établir la paix et la réconciliation entre les Africains du Sud ». Il avait même manifesté le souhait  de rencontrer l’ex-président sud-africain, ce qui n’avait pu se faire du fait des pressions exercées par un certain Jacques Chirac.

     Le 26 juin dernier, sur  France Inter, Marine Le Pen avait également salué avec la même justesse une « figure d’apaisement », qui a mis fin  à « un système évidemment profondément contestable, condamnable et injuste ».

     Certes, même victime d’une politique d’épuration ethnique, de meurtres sauvages, soumis à  la loi de discrimination positive sur l’embauche équitable (Employment Equity Act) d’avril 1999 et celle sur la promotion des Noirs dans le secteur économique (Broadbased Black Economic Empowerment Act) de 2003, la minorité blanche reste de très loin la plus prospère.

     Mais elle ne représente plus qu’environ 10 % de la population  totale contre 20 % il y a vingt cinq ans. Et une partie des blancs chassés de leurs emplois ont plongé dans la misère. D’autres prennent le chemin de l’exil, comme les Pieds-Noirs en leur temps…

     Le grand photographe blanc sud africain Graeme Williams a affirmé dernièrement que  « Sans Mandela nous aurions connu un bain de sang en 1990. Il a vraiment porté le pays vers la démocratie. Avec lui, nous avons rêvé d’une transition parfaite, où les ennemis d’hier deviennent frères. Mais peut-être que cela n’était pas réaliste et que nous payons aujourd’hui le prix de ce rêve. »

     Le prix de ce rêve est certes  terrible. Bruno Gollnisch évoquait sur son blog un article du site congolais Inzocongo.net : « assiste-t-on aujourd’hui à une élimination massive des Blancs via des meurtres ciblés ? Chose tue par les médias traditionnels ? », dans une  République sud-africaine qui est désormais « la capitale mondiale du viol et du meurtre », avec dans les seuls années 90, 250 000 assassinats !

     « Si dans les années 1990, la Commission Vérité et Réconciliation avait été un exercice de catharsis extrêmement important pour baliser un chemin futur de paix et de cohabitation pacifique entre les différentes composantes sociales et ethniques de l’Afrique du Sud, la vérité est qu’aujourd’hui une frange de la population vit dans un mode de vengeance. Cela passe par des meurtres nombreux contre les Blancs sud-africains. Meurtres dont l’ampleur est très peu connue du commun des mortels car les médias internationaux sont très silencieux sur ce sujet comme si on ne pouvait pas critiquer le pays de Nelson Mandela. »

     D’après les statistiques établies par Netbank, 85 % des fermes attaquées dans ce pays n’ont pas été volées, le vol n’est donc pas la motivation première des attaques. Professeur de droit à la retraite, à la tête de « L’observatoire du génocide », le docteur Grégory Stanton, indique qu’il ya « un mobile de haine, dans ces meurtres de fermiers, ce sont des crimes de haine, des gens assassinés, violés, torturés de façons déshumanisés ».

     L’étude de Netbank affirme encore de son côté que « le taux de tués chez les fermiers blancs est le plus haut de tous les groupes de la planète », taux quatre fois plus important que pour le reste de la population. « D’après une estimation 35 000 blancs ont été tués sur les routes,dans leurs maisons et au travail en Afrique du Sud. »

     L’Afrique du Sud ravagée par les haines inter-ethniques et le sida, c’est annuellement environ 240 000 cambriolages chez les particuliers, 60 000 vols dans les magasins, les usines et les bureaux, 140 000 cas de dégradation lourde de matériel, aux alentours de 50 000 viols, 19 000 assassinats et autant de tentatives de meurtre. Le taux d’homicide dépasse les 40 pour 100 000 habitants, vingt fois plus que dans n’importe quel pays occidental. Seule la Colombie (où la criminalité a fortement chuté ces dernières années) et le Salvador font pire.

     Une situation qui découle directement de la corruption des forces de police mais aussi et surtout de la désorganisation des structures de l’État et de la société sud-africaine, consécutive à la discrimination positive mise en place par l’ANC qui a eu pour effet de faire fuir des dizaines de milliers de cadres compétents.

     Si 79 % des 50 millions de Sud-Africains sont noirs, 9,5 % blancs, 9 % métis et 2,6 % asiatiques, le déclin de la population blanche dans la décennie 1995-2005 est estimé à 16,1 %. En octobre 2006, l’Institut Sud-Africain des Relations Raciales (SAIRR) révéla que près de 900 000 Sud-africains blancs, représentant un quart des Blancs, avaient quitté le pays depuis 1994.

     Quant aux villes encore majoritairement blanches comme Prétoria, Bloemfontein, Swellendam, plus vieille ville d’Afrique du Sud avec Le Cap et Stellenboch, ou encore  Potchefstroom, ancienne capitale des Boers (dont  les rues portant les noms des héros Boers ont été débaptisées…) elles font  les frais d’un redécoupage territorial.

     Concrètement, celui-ci a eu pour objet de systématiquement noyer ces communes blanches dans une entité administrative plus vaste comptant au minimum 70 % de noirs. Celles-ci sont alors  livrées à des gestions disons  beaucoup plus chaotiques et corrompues…

     Comme l’affirmait l’africaniste renommé Bernard Lugan sur le plateau de I-télé, interrogé par Robert Ménard le 11 juin 2010, la situation ne cesse de se  dégrader depuis l’arrivée de l’ANC au pouvoir.

    « Le chômage a doublé depuis la fin de l’apartheid (de 20 % à 40 %) et à cette époque au moins la criminalité était jugulée, l’électricité fonctionnait et les noirs des différentes ethnies étaient des citoyens à part entière dans les Bantoustans (les Etats noirs indépendants) ».

    La « seule solution » estime-t-il, pour éviter le chaos actuel aurait résidé dans « un partage territorial équitable », ce que le pouvoir blanc de l’époque n’a pas su ou voulu faire, en lieu et place du « projet mondialiste de melting pot » actuellement en vigueur avec les conséquences dramatiques que l’on sait pour tous les sud-africains. »

    Si un arbre se juge à ses fruits, et une doctrine à ses réalisations pratiques,  le rêve arc-en-ciel  de Nelson Mandela, personnalité exceptionnelle sans successeurs de son envergure,  est en miettes.

  • Israël se prépare à expulser des milliers d’Africains pour préserver « le caractère juif » de l’Etat !

     

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    Les difficultés apparentes à gérer le problème de l’immigration en général et la question des immigrés clandestins en particulier semblent avant tout liées à un état d’esprit présent communément en Europe et en Amérique du Nord. Tant en Arabie Saoudite qu’en Israël, les autorités n’hésitent pas à prendre des mesures bien plus radicales sans que cela n’entraîne de grand tollé médiatique.

    Le gouvernement israélien a ainsi approuvé dimanche une série de mesures destinées à expulser des milliers d’Africains entrés clandestinement dans le pays. Selon le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, ces mesures « sont nécessaires pour maintenir le caractère juif et démocratique de l’État ». Bigre ! Quand on pense que chez nous, le simple fait de parler de préférence nationale vaut déjà d’encourir les foudres de tous les médias du système…

    Selon un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, les nouvelles mesures migratoires, adoptée dimanche 24 novembre, prévoient des sanctions contre les employeurs et des mesures financières incitatives pour leur retour au pays, avec une prime au départ passant de 1 500 à 3 500 dollars.

    En outre, le ministère de l’Intérieur a préparé un projet de loi autorisant la rétention des clandestins pendant un an sans jugement. Selon le communiqué, une « installation fermée » est prévue pour les migrants arrivés clandestinement en Israël – où la construction d’une barrière de sécurité le long de la frontière sud est pratiquement achevée – et pour ceux qui se trouvent déjà dans le pays et « troublent l’ordre public ».

    Les unités chargées de contrôler les migrants africains seront renforcées par 550 nouveaux officiers afin de mieux lutter contre le travail au noir.

    Dans le communiqué, Benjamin Netanyahu s’est dit « déterminé » à bloquer les arrivées de travailleurs clandestins et à expulser « les dizaines de milliers de migrants clandestins » déjà installés dans les villes israéliennes.

    Source Article from http://medias-presse.info/israel-se-prepare-a-expulser-des-milliers-dafricains-pour-preserver-le-caractere-juif-de-letat/3068?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=israel-se-prepare-a-expulser-des-milliers-dafricains-pour-preserver-le-caractere-juif-de-letat

     

    ALTERMEDIA FRANCE

  • Le maire UMP de Lompret (59) en garde à vue pour consultation de sites pédophiles

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    Michel Loosvelt a été interpellé à son domicile, ce mardi à 6h du matin...

    L'élu consultait des sites à caractère pédopornographique. Michel Loosvelt, maire UMP de Lompret (2.300 hab.) depuis 2001, a été interpellé au petit matin ce mardi à son domicile par des gendarmes de la section de recherche régionale de Villeneuve d'Ascq.

    Il comptait se représenter

    Selon des informations révélées par RTL et confirmées par la gendarmerie, les enquêteurs lui reprochent la consultation "régulière" de sites pornographiques présentant des images de mineurs. L'élu de 68 ans, qui s'était opposé au mariage pour tous au printemps dernier, comptait se représenter en mars prochain aux municipales.

       
    20minutes
  • LE GAZ DE SCHISTE

     

    LE GAZ DE SCHISTE  - Face à l’obscurantisme écologique

     

    Face à l’obscurantisme écologique



    Michel Lhomme
    le 05/12/2013
    Quand Métamag aborde les questions énergétiques françaises, les commentaires fusent. Et pourtant, défendre le nucléaire, soutenir les gaz de schiste, prôner la géothermie et se moquer des éoliennes et des panneaux solaires chinois, c'est ne pas vouloir dépendre encore plus demain du Qatar ou être condamné à voir sa facture énergétique tripler, quadrupler chaque année.
     
     
    En octobre dernier, le Conseil constitutionnel a validé la loi interdisant la fracturation hydraulique, technique qui, comme le rapporta pourtant l'ancien Premier Ministre Michel Rocard, fut utilisée pendant des années à Lacq. Cette technique est décriée en raison de son impact environnemental et des risques de pollution sismique et de tremblements de terre. La société texane Schuepbach contestait la légalité de l'abrogation de ses deux permis de recherches à Nant, dans l'Aveyron, et à Villeneuve-de-Berg, en Ardèche et avait donc soumis aux Sages une question prioritaire de constitutionnalité. A l'audience du 24 septembre, l'avocat de la société texane avait fait valoir que l'annulation de ces permis constituait une application "trop rigoureuse" du principe de précaution, et qu'il n'existe aucune étude démontrant que la fracturation hydraulique présente le moindre risque. La société Schuepbach avait aussi pointé une éventuelle rupture du "principe d'égalité", indiquant que la fracturation hydraulique était interdite pour l'exploitation du gaz de schiste mais restait autorisée pour la géothermie profonde. Les deux motifs ont été rejetés par le Conseil constitutionnel. L'interdiction du gaz de schiste est devenue ''générale et absolue" ! C'est Torquemada contre le cercle de raison, l'Inquisition au royaume imaginaire de l'énergie propre et renouvelable !

     
    Rappelons qu'une nappe phréatique se situe entre deux et quelques mètres sous le sol naturel alors que les forages de recherche ou d'exploitation de gaz de schiste se font entre plusieurs centaines et quelques milliers de mètres sous terre. L'argument de la pollution des nappes phréatiques par les techniques de fracturation hydraulique est aussi fou que les conclusions du GIEC sur le réchauffement climatique ou la montée "biblique" des eaux !

    La France a donc bloqué l'exploitation du gaz de schiste, seule capable, comme aux Etats-Unis, de relancer son économie tandis que Bruxelles, lui emboîtant pour une fois le pas, prépare de son côté des mesures règlementaires sur l'extraction. Une étude sur l’impact environnemental devra être menée non seulement avant l’exploitation mais aussi pendant ce qui augmenterait les coûts d'exploitation et rendrait l’exploitation du  gaz de schiste non rentable ! L’Union Européenne se condamne donc à une énergie chère qui nous désavantage dans la compétition économique avec les Etats-Unis qui aura forcément lieu avec le Traité Transatlantique. Aux Etats-Unis, le gaz de schiste bon marché a permis de créer des emplois, de retrouver une compétitivité même dans le textile et d’autres secteurs très gourmands en énergie.
     
     
    En fait, depuis l'exploitation du gaz de schiste aux Etats-Unis et au Canada, la fracturation hydraulique a fait d'importants progrès. C'est aujourd’hui une technologie maîtrisée. Certaines entreprises telles qu'Haliburton se targuent d'avoir limité les additifs chimiques au profit de substituts non toxiques agréés par l'agroalimentaire. Concernant la pollution des nappes phréatiques, régulièrement pointée par les opposants au gaz de schiste, elle n'est pas due à la fracturation hydraulique mais « à des défauts de cimentation des puits ou des déversements en surface » (lire à ce sujet le rapport parlementaire Bataille et Lenoir). 

    A ce jour, il n'est pas possible, en l'état des connaissances scientifiques actuelles, d'incriminer la technique de fracturation hydraulique elle-même à la pollution des nappes. Reste, il est vrai, l'abondante quantité d'eau utilisée mais dans ce cas pourquoi ne pas interdire également la culture du maïs si peu adaptée à nos climats tempérés !
     
    METAMAG 
  • La légende de Saint Nicolas

    Mise en ligne le 15 juin 2009

    ou "le miracle de St Nicolas" , chanson très ancienne qui se chantait sous forme de cantique dès la fin du 16e siècle. La présente version fut recueillie par Gérard de Nerval en 1842 dans le Valois (nord est de l'ile de France) et devint vite populaire dans les milieux intellectuels du 19e siècle .
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_...

    interprétation : Chorale franco/allemande , album "Chants des pays de France "

  • Afrique du Sud: le meurtrier d'Eugène Terre'Blanche a été condamné à la prison à perpétuité

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    Le leader raciste Eugène Terre'Blanche, le 12 mars 2001, en Afrique du Sud

     Il a été reconnu coupable du meurtre à coups de hache

    Un tribunal sud-africain a condamné ce mercredi à la prison à perpétuité un ouvrier agricole noir pour le meurtre d'Eugene Terre'Blanche, chef de file d'un mouvement suprémaciste blanc favorable à l'apartheid.

    Chris Mahlangu a été reconnu coupable du meurtre à coups de hache en avril 2010 d'Eugene Terre'Blanche, dans sa ferme de Ventersdorp, à environ 125 km à l'ouest de Johannesburg, en raison d'un différend que le juge John Horn a qualifié d'ordre salarial et non politique. Un autre accusé, mineur à l'époque des faits, a été jugé coupable d'effraction et a été condamné à une peine avec sursis.

    >> Retrouvez notre reportage à Ventersdorp en cliquant ici

    Figure éminente des partisans de l'apartheid dans les dernières années du régime ségrégationniste, à la tête du Mouvement de résistance afrikaner (AWB), et âgé de 71 ans lors de son meurtre, Eugene Terre'Blanche vivait dans un relatif anonymat depuis sa sortie de prison en 2004, après une condamnation pour avoir battu un Noir.

     

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  • Décès de Nelson Mandela : débauche d’hommages du système et triste héritage

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    06/12/2013 – 11h30 [Mis à jour à 12h45]
    PARIS (NOVOpress/Bulletin de Réinformation) - Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU salue « une source d’inspiration pour le monde », Laurent Fabius : « un géant charismatique qui s’en va », Obama : « un homme courageux, profondément bon », David Cameron : « une grande lumière [qui] s’est éteinte »…

    Pour la célébration du quatre-vingt dixième anniversaire de Mandela, il y a cinq ans, l’hebdomadaire sud-africain Mail and Guardian jetait le trouble, regrettant que « la célébration d’un leader dévoué et généreux se mêle au goût amer d’un héritage pollué ». Pour le journal son héritage est « menacé par l’apparition d’une classe de vampires politiques ». Selon l’indicateur du développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (le PNUD), l’Afrique du Sud a reculé de 35 places depuis la fin de l’apartheid. L’espérance de vie, qui était de 60 ans en 1994, est maintenant de 43 ans. La criminalité – qui se nourrit d’une pauvreté galopante : 43 % de la population vit à présent avec moins de deux dollars par jour – est l’une des plus élevées du monde.

  • Royaume-Uni : deux homosexuels pédophiles condamnés à la prison à vie

    Ecrit le 4 déc 2013 à 12:02 par Eric Martin dans Article

     
     

    Royaume-Uni : les deux homosexuels pédophiles condamnés à la prison à vie

    Royaume-Uni. Anthony Marsh, 53 ans, et Lee Davis, 39 ans, ont été condamnés le 2 décembre à la prison à vie par la Sheffield Crown Court.

    Ces deux homosexuels ont été reconnus coupables d’abus sexuels sur de nombreux garçons mineurs du Nord de l’Angleterre qu’ils amadouaient, sous pseudonymes, via Facebook, Bebo, Skype et des sites ou applications communautaires gays comme Grindr, avant de les rencontrer et de passer à l’acte. De nombreuses victimes étaient consentantes.

    Pendant le procès, Davis a reconnu avoir violé un garçon considéré comme « très vulnérable » et âgé de 13 ans tandis que Marsh, séropositif depuis plusieurs années – ce qu’il n’a jamais indiqué aux victimes, a admis la possession de photos pédo-pornographiques mettant en scène des enfants de trois ans…

    Des messages échangés entre les deux individus sur Internet (ils n’étaient pas amis, juste complices pour leurs méfaits en ligne puis dans la vraie vie) montrent que leur but était de trouver des victimes les plus jeunes possible. Au total, Marsh a plaidé coupable de 34 infractions depuis 2005, Davis de 21.

    Les deux individus ont filmé leurs propres crimes – Davis conservait les DVD derrière un panneau de bois dans sa cave. Une vingtaine de victimes ont été identifiées et sont assistées par des organismes spécialisés, celles qui ne l’ont pas été sont invitées à se présenter aux forces de l’ordre. Dieu merci, sur les vingt mineurs abusés, aucun n’est séropositif.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Nous sommes tous les gardiens de la France éternelle

    Ecrit le 6 déc 2013 à 2:43 par Edouard de Praron dans Poing de vue

     
     

    Nous sommes tous les gardiens de la France éternelle« La France, le plus beau royaume après celui du Ciel. » (1) La France est éternelle. Mystique et charnelle, la France ne se réduit ni à une géographie ni à des institutions. Elle est du domaine de l’imaginaire, de l’émotion, du sensible.

    La France éternelle est une brûlure de l’âme, un passé millénaire qui nous contemple, une incarnation du panache. Son Histoire, ses monuments, ses paysages, la visite de la basilique Saint-Denis, une Marseillaise chantée, un événement national sont autant d’éléments qui nous rattachent à une histoire multiséculaire. Être insufflé par la France éternelle, c’est se sentir acteur par héritage et non simplement spectateur lors d’une cérémonie aux Invalides, d’un défilé du 14 juillet, d’une balade dans nos villes et nos campagnes, etc. Vivre de la France éternelle, c’est peupler le vide qui nous entoure de récits épiques et du souvenir de nos glorieux aînés.

    « Croire à la ‘France éternelle’, c’est choisir la mystique plutôt que la politique. »

    Nous devons tout à la France et à son histoire : notre identité, notre manière de penser, de nous exprimer, de nous comporter, notre vision de l’Homme, etc. L’Histoire de France, la langue française, l’héritage chrétien, la littérature, la gastronomie sont autant de cadeaux que nos ancêtres nous ont donnés. Quelle chance d’être né dans un pays façonné pas les Gaulois, les Romains, le christianisme, Saint Louis, Louis XIV, Napoléon, Chateaubriand, Victor Hugo, le courage des Poilus, et bien d’autres. Nos traditions, nos vignobles, notre amour du débat, notre prétention à gouverner le monde tout en étant ingouvernable, notre arrogance, notre goût pour l’inutile, pour le panache, sont un legs de plusieurs siècles. Enracinés dans la terre de France, nous sommes les gardiens d’un art de vivre.

    Récoltant les fruits du passé, notre devoir est de semer pour l’avenir. Nous devons rendre à la France ce qu’elle nous a donné. Fils de France depuis des générations ou depuis peu, dépositaires de son patrimoine, nous devons léguer à nos descendants ce qu’elle a de meilleur, en combattant ce qu’elle a de pire. Croire à la « France éternelle », c’est choisir la mystique plutôt que la politique, c’est croire que la France est « quelque chose d’impalpable, jailli de nos fantasmes, à mi-chemin entre l’humour et le radotage. La France éternelle est une flamme instable qui danse gaiement, feu follet dans la ténébreuse forêt calcinée. » (2) La France est corps et âme. À nous d’en vivre et de la faire vivre.

    1. Grotius
    2. Raspail réadapté

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Pour Mandela, drapeaux en berne à l'Elysée, portrait géant au Quai d'Orsay

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    http://www.20minutes.fr/ledirect/1260145/20131206-mandela-drapeaux-berne-elysee-portrait-quai-orsay

  • Mort du criminel Nelson Mandela: un terroriste marxiste antiblanc

     


    Bernard Lugan “Mandela a tout raté" par Bienpensant

      6 décembre 2013

    La mort de Nelson Mandela déclenche une prévisible hystérie médiatico-politique.
    Pour les prochains jours : déluge d’émotion feinte, concert unanime de louanges chez tous les politiciens et slogans idiots en vue.

    Il faut rappeler, à propos de Mandela, qu’il fut des années durant un chef terroriste d’extrême-gauche (chef du UmKhonto we Sizwe, l’aile terroriste de l’ANC et du Parti communiste sud-africain).

    Rappelons que le 1er janvier 1985, le président sud-africain Botha s’exprimant au parlement, a proposé à Mandela d’être libéré (il était emprisonné pour terrorisme), s’il rejetait « inconditionnellement le recours à la violence comme arme politique ». Mandela rejeta cette offre, refusant d’abandonner les meurtres.

    Il a contribué à faire de la prospère Afrique du Sud un enfer pour les Blancs, et pour beaucoup de Noirs.

    Depuis 1994, plus de 4000 fermiers blancs ont été assassinés par les émules racistes de Mandela, leur famille violée, parfois dépecée vivante, etc.

    Depuis cette date ce sont plus généralement quelque 75 000 Blancs qui ont été tués par des Noirs, dans un génocide initié par le président Mandela et son parti l’ANC, toujours au pouvoir.

    Des dizaines de milliers de Blancs se sont vu voler leurs biens par des hordes noires armées de machettes, après la victoire de Mandela, et vivent maintenant dans des conditions de grande misère, dans des bidonvilles, souffrant de la faim.

    Sur quatre millions de Blancs, un quart a déjà fui le pays.

    Ci-dessus une vidéo de David Duke sur le génocide des Blancs, en particulier des Boers, en Afrique du Sud.

     

    Et l’africaniste Bernard Lugan (auteur d’une Histoire de l’Afrique du Sud)

     rappelle quelques vérités sur ce pays et sa situation réelle.

    Contre-info.com