Voici, compilés, les échanges entre Eric Zemmour et Jacques Attali dans « Ce soir ou jamais » du 10 octobre. Une chose est certaine, les deux hommes ne vivent pas sur la même planète.
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Voici, compilés, les échanges entre Eric Zemmour et Jacques Attali dans « Ce soir ou jamais » du 10 octobre. Une chose est certaine, les deux hommes ne vivent pas sur la même planète.
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Le rappeur Youssoupha se produit ce soir à la salle Guy Obino. Entretien sans concession avec l'une des stars du rap actuel
Photo Nicolas Vallauri
Avec Négritude, Youssoupha va bientôt sortir le deuxième volet de ce qu'il a appelé la Trilogie noire. Le rappeur franco-congolais avait connu le succès avec son dernier album, Noir D***** qui a terminé disque de platine. Ce soir à 20 h 30, l'artiste connu notamment pour ses textes engagés et son amour des lettres françaises, sera sur la scène de Guy Obino, avec un mix de ses meilleurs morceaux depuis le début de sa carrière. Son parcours, son avenir, sa vision du rap actuel... Youssoupha s'est livré dans nos colonnes.
Pour nos lecteurs qui ne vous connaissent pas, pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Y. : Je m'appelle Youssoupha, je suis un rappeur d'origine franco-congolaise. Je suis issu de pas mal de cultures, j'ai beaucoup voyagé en France, aux États-Unis et j'ai eu la chance d'aller dans de grandes universités. Toutes ces rencontres et cette diversité ont permis de me construire. C'est également difficile car à force d'être chez moi partout, je n'ai été chez moi nulle part .
Pouvez-vous nous parler de votre prochain album, "Négritude", qui sortira dans les semaines à venir ?
Y. : C'est un disque un peu plus perso, j'ai voulu raconter ce qui s'est passé dans ma vie depuis que je suis autant populaire. En fait, mes albums c'est un peu de la téléréalité (rire), je parle de ma vie en temps réel.
Dans votre "Trilogie Noire", c'est un peu votre histoire que vous racontez ?
Y. : C'est un peu ça. J'ai eu un passage un peu chaotique dans ma vie personnelle et dans ma vie musicale. Aujourd'hui j'ai la chance d'avoir du succès et je profite au maximum. Je prends du plaisir dans ce que je fais, au moins je me dis que si demain ça ne marche plus, j'aurais au moins fait quelque chose que j'aimais.
Vous pouvez nous en dire plus sur le troisième volet ?
Y. : Je suis un grand fan de séries américaines et j'ai essayé de construire ces albums comme la série"Homeland" par exemple. On développe une thématique en plusieurs épisodes, il peut y avoir des pirouettes et il y a plusieurs saisons. Mais surtout on garde le suspense et on ne fait pas de spoilers, donc vous n'en saurez pas plus.
Vous êtes dans le rap depuis pas mal d'année, comment jugez-vous son évolution ?
Y. : Artistiquement, on va dire qu'il y a des vagues de bon et de moins bon. Mais je ne veux pas faire partie de ces gens qui disent que le rap c'était mieux avant. Chaque période est différente. Le seul problème c'est que cet art est vieux de presque 40 ans aux États-Unis et 25 en France, et ceux qui sont aux manettes ne sont pas ceux qui le connaissent le mieux.
Pour en revenir à votre concert de ce soir, connaissez-vous un peu la ville de Vitrolles ?
Y. : Je n'ai jamais eu l'occasion de venir dans cette ville. Mais de manière générale je suis assez curieux donc je suis assez impatient de la découvrir. D'autant plus que vu de l'extérieur, on a toujours l'image de "Vitrolles, ville Front national".
Pourtant le FN n'est plus aux commandes de la commune depuis 2002...
Y. : Oui, mais comme vous le savez les clichés ont parfois la dent dure. C'est pour cela qu'il ne faut pas s'en contenter et lorsqu'on a l'occasion de les briser, il faut la saisir. Je sais que je vais repartir avec l'idée que Vitrolles est une ville hip-hop. J'en suis persuadé.
Quel type de concert allez-vous proposer ce soir ?
Y. : Il y aura des nouveaux morceaux, des classiques... Un medley de tout ce que j'ai fait.
De quoi va être composée votre actualité dans les prochaines semaines ?
Y. : Il y a le concert et puis après la sortie de mon prochain album dans les semaines à venir. Ce qui signifie que la machine va se mettre en route au détriment de mon corps... Mais ce n'est pas grave ça, car c'est vraiment un plaisir.
La Provence
11/10/2014 – PARIS (NOVOpress)
« UMP trahison- on veut l’abrogation ! », c’est en scandant ce slogan que 50 militants de Génération Identitaire ont occupé ce matin le siège central de l’UMP, rue de Vaugirard.
En effet, voici trois semaines, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy – les deux candidats potentiels à l’élection présidentielle les plus en vue de l’UMP – ont tour à tour laissé entendre qu’ils ne comptaient pas abroger la loi Taubira ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe. Leur emboîtant le pas, des personnalités comme Christian Estrosi et Nadine Morano ont abondé dans le même sens. Depuis, Nicolas Sarkozy a vaguement parlé de « réécriture » de la loi, confirmant le flou de sa position.
La police a réussi à déloger les militants identitaires. Mais le message est passé : les élus de l’UMP doivent prendre leurs responsabilités et s’engager clairement à abroger la loi Taubira sur le mariage gay !
Interview d'Alain Chouet à lire intégralement sur Atlantico:
"Il ne fait plus de doute aujourd’hui que l’Arabie Saoudite et le Qatar ont largement contribué financièrement et logistiquement à l’émergence et au développement des mouvement djihadistes en Irak et en Syrie en vue de déstabiliser les pouvoirs locaux suspects de connivence avec l’Iran. L’EI a même bénéficié dans ce domaine d’une surenchère entre les Saoudiens et les Qataris." Suite
Observatoire de l'islamisation
Oracle de "la France d'après", il fut dès l'élection de Nicolas Sarkozy convoqué au chevet de la république pour contribuer à réformer la France, le tout sans une once de légitimité démocratique. Nous remontons cette note d'octobre 2007 parallèlement à son retour en force dans les médias, qu'il subjugue par son art de la prospective...dont les prédictions ont toutes échouées depuis 30 ans.
"Alors que le rapport Attali vient d'être jugé "plutôt raisonnable" par Nicolas Sarkozy, malgré sa proposition phare de "relance de l'immigration" (comme si elle avait été arrêtée) inspirée de son livre L'avenir du travail sorti en 2007 proposant l'arrivée de 2 millions d'immigrés annuellement pour mener la France à 187 millions d'habitants en 2040 (alors qu'il suffit de sauver le régime des retraites par la capitalisation privée), je publie de nouveau les citations de l'illuminé mondialiste, glanées ça et là, en rajoutant celle-ci : « La logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide[…]L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement. » L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005.
Deux vieilles interviews de Jacques Attali, une de mai 1992, l’autre de mars 1997, éclairent sur sa vision de la colonisation islamique de l’Europe contemporaine.
« La France doit-elle se contenter d’accepter sur son sol les travailleurs européens ou assumer sa dimension musulmane ? Là est sans doute la principale question masquée par ce débat (ndlr : sur l’immigration), le vrai choix géopolitique. Si la France et l’Europe décidaient de s’affirmer comme un club chrétien, elles devraient se préparer à l’affrontement avec un milliard d’hommes, à une véritable « guerre de civilisations ». Avec en prime, en France, une guerre civile » Jacques Attali, Le Monde du 19 mars 1997
L’Algérie, le Maroc, la Tunisie ainsi que les pays de la péninsule arabique et du monde asiatique ont décidé- il y a 30 ans déjà -de s'affirmer en tant que club musulman exclusif par la création de l’OCI. Est-ce pour autant que 800 millions de chrétiens à travers le monde ont décidé de leur déclarer la guerre ? Absurde.
Attali, le 12 mai 1992 dans Le Monde, lors de la commémoration de la victoire de 1492 sur la colonisation islamique en Espagne, se félicitait qu’enfin, après cinq siècles, l’Europe s’ouvre à nouveaux aux zélateurs d’Allah :
« En 1492, l’Europe s’est fermée à l’est ( ndlr :comprendre au sud-est) et tournée vers l’ouest en essayant d’expulser d’elle tout ce qui n’était pas chrétien. Aujourd’hui, assez largement, le contraire se prépare. Une parenthèse de cinq siècles se ferme. L’Europe occidentale s’ouvre à son passé »
En bon mondialiste favorable à la « gouvernance mondiale », le sans-patrie fustigeait les frontières dans le même article :
« En 1492, comme aujourd’hui, le problème politique majeur est celui de la frontière, le choix entre nation et unité. On parle partout de marché et de démocratie comme si c’était des évidences parallèles, sans voir que l’économie de marché n’a pas besoin de frontières- la frontière interdit le développement de l’économie de marché et condamne au dirigisme économique- (…) Pour que la démocratie ne soit pas un frein au développement, elle doit être sans frontières, sinon on aura la frontière sans la démocratie »
On ne voit pas bien en quoi des frontières servant de filtre pour les personnes empêcheraient les biens de circuler. Sur la question de la démocratie qui réussit sans frontières, découpler la liberté des peuples à disposer d'eux même d'une souveraineté nationale s'exprimant dans un Etat-nation délimité géographiquement et un positionnement assez délirant. Mais on comprendra mieux en sachant que dans la démocratie universelle d'Attali, droit d'ingérence ( il rejoint en cela Kouchner) et exportation de celle-ci "à l'américaine" vont de pair.
Sur son blog, réagissant à la mini-polémique sur les prénoms exotiques des enfants Dati et Sarkozy ( respectivement Zora et Solal ), Jacques Attali commit un billet sur cette question et ce qu'elle révèlerait de l'état moral d'un pays. Il oppose une assimilation stérile à une intégration enrichissante: « Quand une nation décline, se rétrécit et se recroqueville, elle assimile ( note de l'Obs-i: alors que la France n'a jamais été aussi puissante que dans les périodes où elle a assimilé les étrangers !) ; et le nombre de prénoms qu’elle emploie est de plus en plus réduit, signe de son uniformisation. Au contraire, quand une nation est vivante, dynamique, ouverte, en croissance, elle intègre ; et elle utilise alors de plus en plus de prénoms différents, dont elle se nourrit pour augmenter sa diversité. L’assimilation appauvrit. L’intégration enrichit."
Aussi, Attali, pour remédier à la « haine de l’étranger » (comprendre le refus de l’africanisation et de l’islamisation d’une Europe chrétienne depuis 1500 ans) a sa solution : le droit de vote des étrangers ! Voilà les propos de l’illuminé :
« Partout en Europe, surgit la haine de l’étranger, de l’autre, responsable de nos malheurs…il faudra donc entrer dans les détails, penser et décrire les institutions concrètes en organisant, par exemple, le droit de vote des non-citoyens ( ndlr : le droit de vote des étrangers légaux ou non) ou le droit d’ingérence, ou le droit de vote des générations ultérieures »
« le droit de vote des générations ultérieures » vous avez bien lu ! Pratique, le Système choisirait les tendances de vote des français du futur pour contrecarrer les mal votants du présent. Il suffisait d'y penser.
Observatoire de l'islamisation
Par Winkelried <http://www.reduitnational.com/author/winkelried/> en 10 octobre 2013 en Analyses, Chroniques<http://www.reduitnational.com/category/analyses-chroniques/> , immigration <http://www.reduitnational.com/category/immigration-2/> , uerss <http://www.reduitnational.com/category/uerss-2/>
<http://www.reduitnational.com/category/uerss-2/>
<http://www.reduitnational.com/images/kalergi1.jpg> Traduit de l'italien par Winkelried
L'immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande « multiethnique » s'efforce de nous persuader qu'elle est inévitable. Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n'est pas un phénomène spontané. Ce que l'on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l'histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d'années pour détruire complètement le visage du Vieux continent.
LA PANEUROPE
Peu de gens savent qu'un des principaux protagonistes du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s'agit d'un obscur personnage dont les masses ignorent l'existence, mais que les « puissants » considèrent comme étant le père fondateur de l'Union Européenne. Son nom est Richard Coudenhove Kalergi. En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi à attirer dans ses filets les plus importants chefs d'Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d'unification européenne [1]. En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « Paneuropéen », qui visait l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L'unification de l'Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial. Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a dû être momentanément stoppé, et l'Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce aux appuis de Winston Churchill, de la loge maçonnique B'nai B'rith et d'importants quotidiens comme le New York Times, réussit à faire accepter son projet au gouvernement des USA.
L'ESSENCE DU PLAN KALERGI
<http://www.reduitnational.com/images/kalergi2.jpg> Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs »Etats Unis d'Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il affirmait, sans demi-mesure, qu'il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir.
« L'homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples [...][2]
Voilà comment Gerd Honsik décrit l'essence du Plan Kalergi :
Kalergi proclama qu'il fallait abolir le droit à l'autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l'immigration allogène de masse.
Pour que les élites puissent dominer l'Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d'infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l'élite de lui être supérieure.
En éliminant d'abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer.
En abolissant le principe d'égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses. Les politiques de l'époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c'est lui l'instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht. Kalergi, inconnu de l'opinion publique, [...] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme. Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu'il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu'il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l'incapacité] et l'instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race » [3] (ndt noble race = élite)
<http://www.reduitnational.com/images/kalergi3.jpg>
DE KALERGI A NOS JOURS
Bien qu'aucun livre d'école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l'Union Européenne d'aujourd'hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l'intégration et à la défense des minorités.
Tout cela n'est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l'histoire.
Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur. Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particulièrement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d'Angela Merkel ou d'Herman van Rompuy.
<http://www.reduitnational.com/images/kalergi4.jpg> <http://www.reduitnational.com/images/kalergi5.jpg>
La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010.
Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s'est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l'union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l'ordre de la Rose-Croix.
L'ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d'immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe. Un rapport de la « Population Division » des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : « Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin ».
Selon ce rapport, l'Europe aurait besoin d'ici 2025 de 159 millions d'immigrés. On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l'immigration ait été prévue et étudiée « sur papier ».
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En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n'est pas avec l'apport d'un patrimoine génétique différent que l'on protègera le patrimoine génétique européen, et qu'en agissant ainsi, on accélère sa disparition.
Ainsi, l'unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d'individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.
Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu'à aujourd'hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l'immigration de masse.
G.Brock Chrisholm, ex-directeur de l'OMS, nous montre qu'il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme :
« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d'une autorité centrale ».[4]
CONCLUSION
Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s'être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d'une vraie tiers-mondialisation de l'Europe.
L'axiome de la « Nouvelle citoyenneté », c'est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d'immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d'individus métis : les « enfants de Kalergi ».
Sous la double poussée de la désinformation et de l'abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s'efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu'ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.
En ces temps, il est plus que jamais nécessaire de réagir aux mensonges du Système, de réveiller l'esprit de rébellion chez les Européens. Il va falloir mettre sous les yeux de tous que l'intégration [de l'immigration de masse] équivaut à un génocide.
Nous n'avons pas d'autre choix [que de nous rebeller], l'alternative est le suicide ethnique.
(merci à Dirk)
Le verre de vin
Jeune femme endormie
Coup d'envoi des commémorations des 25 ans de... par euronews-fr
Le prix Nobel de la paix a été décerné à la Pakistanaise Malala Yousafzai et à l'Indien Kailash Satyarthi, vendredi 10 octobre à l'Institut Nobel d'Oslo (Norvège). "C'est une condition préalable au développement pacifique du monde que les droits des enfants et des jeunes soient respectés", précise le comité Nobel norvégien. Pas moins de 278 individus et organisations étaient en lice cette année, un nombre record de candidatures.
"Le comité a tenu à remettre le prix à un hindou et à un musulman, qui sont aussi respectivement un Indien et une Pakistanaise, dans un combat commun pour l'éducation et contre les extrémismes", ajoute le comité.
Francetv info revient sur le parcours de ces deux personnes récompensées.
Bête noire des talibans, incarnant le combat pour le droit des filles à l'éducation à travers le monde, Malala Youzafsai, à 17 ans seulement, est de loin la lauréate la plus jeune en 114 ans d'histoire du Nobel. Depuis plusieurs années, elle milite pour le droit des filles à l'éducation. Cela lui a valu d'être la cible d'une tentative d'assassinat par les talibans, qui a failli lui coûter la vie il y a presque deux ans jour pour jour, le 9 octobre 2012.
Après avoir reçu une balle en pleine tête au Pakistan, elle s'est fait opérer à Birmingham, dans le centre de l'Angleterre, où elle vit désormais. Elle était "à l'école comme d'habitude" vendredi matin, lorsqu'on lui a attribué le prix Nobel de la paix.
L'adolescente, devenue l'héroïne du Pakistan, était déjà favorite pour le prix Nobel de la paix, en 2013. Elle avait, à l'époque, écrit ses mémoires et francetv info lui avait consacré un portrait. Après l'attribution du prix, ce vendredi 10 octobre, elle est devenue "la fierté du Pakistan", s'est félicité le Premier ministre Nawaz Sharif.
Moins connu du grand public et nettement plus âgé, puisqu'il a 60 ans, Kailash Satyarthi a dirigé des manifestations contre l'exploitation des enfants, réduits à l'état d'esclaves dans les usines indiennes où ils effectuent des tâches pénibles à longueur de journée et sont victimes de violences, y compris sexuelles. Kailash Satyarthi a par exemple organisé des manifestations non violentes contre l'exploitation dans "la tradition de Gandhi" comme l'a souligné le comité Nobel.
"Il a été calculé qu'il y a 168 millions d'enfants travailleurs dans le monde aujourd'hui", a noté le président du comité Nobel norvégien. "En 2000, ce chiffre était plus élevé de 78 millions. Le monde s'approche du but qui vise à éliminer le travail des enfants."
L'Indien Kailash Satyarthi, prix Nobel de la paix, a estimé que ce prix constituait une "reconnaissance" de son "combat en faveur des droits des enfants". "Je remercie le comité Nobel pour cette reconnaissance de la détresse de millions d'enfants qui souffrent", a-t-il ajouté, "ravi" de ce prix, selon des propos rapportés par l'agence Press Trust of India.
Notez le refus par le rédacteur de l’ordre du jour de faire l’emporter le masculin sur le féminin (« acteurs-trices engagés-ées »), comme pour montrer l’allégeance de la majorité socialiste strasbourgeoise à l’idéologie du gender :
> le site de l’association La Lune
NDF
+ VIDEO
(merci à Dirk)
Les mariages mixtes entre Hollandais de souche blancs et personnes d’origine turque ou marocaine ne conduisent pas une meilleure intégration des groupes minoritaires. C’est la conclusion d’une chercheuse de l’université d’Amsterdam.
Ceux qui contractent un mariage avec des personnes issues d’une autre culture auraient au contraire tendance à s’éloigner de leur racines, écrit Leen Sterckx dans sa thèse de doctorat.
« C’est un faux espoir de croire que les mariages mixtes permettent aux différentes composantes de la population de se rapprocher. Un mariage mixte amène rarement à des liens émotionnels entre les amis et la famille des deux partenaires ».
La chercheuse a basé ses recherches sur l’expérience de 28 couples qu’elle a suivis pendant 10 ans, ainsi que leurs familles et amis.
Ni assimilation ni intégration...