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  • « Un ancien ministre s’est fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons » : Luc Ferry « ne regrette rien » et confirme l’information, France 5 parle de « fausse note » et de « couac »


    Luc Ferry s'énerve dans "Médias, le mag" par puremedias

     

     

    Ce dimanche, « Médias le Mag » recevait Luc Ferry. L’ancien ministre de l’Education ne s’est pas laissé démonté par l’insipide Thomas Hugues.

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  • « Le Point » : « Le Suicide français » de Zemmour « écrase tout sur son passage », dont « Merci pour le moment » de Valérie Trierweiler

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    Selon le réseau Datalib, qui calcule les ventes de 242 libraires sur les sept derniers jours, Valérie Trierweiler, qui caracolait en tête des ventes avec Merci pour ce moment (éditions des Arènes) depuis la sortie de son ouvrage il y a un mois, vient d’être dépassée… Éric Zemmour, avec Le Suicide français (éditions Albin Michel), « est en train de tout écraser sur son passage », commente LePoint.fr.

    Alors qu’il a été initialement imprimé à 100 000 exemplaires, une réimpression de plus de 20 000 exemplaires a été lancée avant même la mise en place de l’ouvrage, la semaine dernière. Et, depuis le début de la commercialisation, il s’en vend 5 000 exemplaires par jour !

    NDF

    Voilà une excellente nouvelle!

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  • "Diplômes privés" de Sciences Po : le directeur de l'IEP d'Aix annonce un moratoire

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    Aix-en-Provence / Publié le Mercredi 08/10/2014 à 17H11
     
     

    C'est un directeur de l'Institut d'Etudes Politiques embarrassé qui a répondu ce mercredi matin à la presse, à l'issue de la conférence sur cette rentrée universitaire. Il était venu parler de politique d'égalité des chances, du double diplôme franco-russe et franco-marocain, de l'excellent taux d'emploi à l'issue de la formation, de la création d'une académie d'entreprise avec la CMA CGM... Mais c'est l'affaire des diplômes dispensés par des organismes privés portant l'estampille Sciences po d'Aix, grâce à des partenariats signés depuis 2008 avec des organismes de formation privés aussi bien en France qu'à l'Etranger, qui a focalisé les questions de la presse.

    Cette externalisation de la marque "Sciences po", qui agace les autres IEP, qui émettent des doutes sur la légalité de cette pratique de sous traiter des diplômes nationaux, pourrait avoir des incidences sur le concours commun. Les IEP demandent donc des réponses d'Aix avant le 10 novembre, avant le salon des étudiants de Paris où ils vont communiquer sur le futur concours. "Je vais m'entretenir avec mes pairs, précise Christian Duval; j'ai demandé un audit qui donnera tous les éclaircissements sur cette affaire, sur la portée des conventions, les problématiques juridiques... En attendant je préconise un moratoire sur ces formations. J'engagerai ma responsabilité devant le conseil d'administration en décembre".

    La Provence  - 08 10 14

  • Le bilan africain de Nicolas Sarkozy - Editorial de Bernard Lugan

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    George Bush désintégra l'Irak et Nicolas Sarkozy la Libye, deux pays qui étaient des remparts contre l'islamisme. La Libye du colonel Kadhafi était, de plus, devenue un partenaire essentiel dans la lutte contre la déferlante migratoire venue de la mer, phénomène si bien annoncé par Jean Raspail dans son prophétique Camp des Saints.

    Si George Bush n'a plus d'avenir politique, Nicolas Sarkozy ambitionne quant à lui de revenir aux Affaires. Le bilan africain de son premier mandat doit donc être fait. Il est catastrophique et tient en sept points :

     

    1) Le plus grave par ses conséquences régionales fut la guerre incompréhensible qu'il déclara au colonel Kadhafi après qu'il l'eut pourtant reçu avec tous les honneurs. Nicolas Sarkozy devra répondre à trois questions :

    - Pourquoi outrepassa-t-il le mandat international prévoyant une zone d'exclusion aérienne dans le seul secteur de Benghazi pour le transformer en une guerre totale ?

    - Pourquoi refusa-t-il toutes les options de sortie de crise proposées par les chefs d'Etat africains, exigeant au contraire d'une manière obstinée la destruction pure et simple du régime libyen ?

    - Pourquoi, alors que le colonel Kadhafi venait de réussir à se sortir du piège de Syrte, fit-il tronçonner son convoi par l'aviation, le livrant ainsi aux islamo-gangsters de Misrata qui le mirent ignominieusement à mort ?

     

    2) Le plus irresponsable pour l'avenir de la France est d'avoir, par petit calcul électoral, et sans consultation préalable du peuple français, transformé Mayotte en département. Dans ce Lampedusa d’outre-mer qui vit des prestations versées par les impôts des métropolitains, la maternité de Mamoudzou met au monde chaque année 7000 jeunes compatriotes, dont 80% nés de mères immigrées originaires de toute l’Afrique orientale et jusqu’à la cuvette du Congo. Juridiquement, il n’existe plus aucun moyen de revenir au statut antérieur qui permettait de maintenir cette île de l’océan indien dans l’ensemble français sans avoir à subir les conséquences dramatiques de la départementalisation.

     

    3) Le plus indécent fut la façon dont, en Côte d'Ivoire, il intervint directement dans la guerre civile en hissant au pouvoir son ami et celui de la Banque mondiale, le très mal élu Alassane Ouattara, prolongeant ainsi toutes les conditions des futures crises.

     

    4) Le plus insolite fut son « discours de Dakar », dans lequel il osa déclarer que si l'Afrique n'est, selon lui, pas entrée dans l'histoire, c'est parce qu'elle ne s'est pas soumise au dogme démocratique...

     

    5) Le plus scandaleux fut sa gestion du dossier rwandais quand, influencé par son ministre Bernard Kouchner, il ne conditionna pas le rapprochement diplomatique entre Paris et Kigali au préalable de l'abandon des accusations fabriquées par Paul Kagamé contre l'armée française.

     

    6) Le plus symptomatique fut son alignement sur les Etats-Unis, politique illustrée par un vaste désengagement, de Djibouti à Dakar, avec pour résultat de laisser le Sahel à Washington. Il aura fallu un président socialiste pour que la France fasse son grand retour dans la région...

     

    7) Le plus incompréhensible, conséquence du point précédent, fut son refus d'intervention au Mali. Pourquoi laissa t-il les islamistes se renforcer puis coiffer les Touareg du MNLA alors que nos intérêts nationaux, notamment en ce qui concerne l'uranium du Niger, étaient directement engagés dans la région ?

     

    www.bernard-lugan.com

  • Le directeur de cabinet du préfet de police des Bouches-du-Rhône dérape

     

    Marseille / Publié le Mardi 07/10/2014 à 10H19
     

    Les extraits de la conversation houleuse entre une délégation kurde et Gilles Gray ont de quoi choquer

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    Manifestation et défilé de la communauté Kurde dans les rues de Marseille afin de dénoncer les exactions de l'Etat Islamique au Kurdistan.

    Photo DR

     

    Les extraits de la conversation houleuse entre une délégation kurde et Gilles Gray, le directeur de cabinet du préfet de police des Bouches-du-Rhône révélés par la Marseillaise, ont de quoi choquer. Tout a démarré par une réunion plus que banale, jeudi dernier, entre le fonctionnaire et cette délégation qui occupait une tente sur le Vieux-Port depuis une semaine et qui organisait une manifestation pour ce samedi, en soutien à ses compatriotes ciblés par Daesh dans la ville de Kobane en Syrie. Sauf que le dir'cab du préfet a rapidement perdu ses nerfs, quant à cette tente et cette manifestation spontanée. "Ne nous prenez pas pour des cons, vous parlez au sous-préfet de police, monsieur qui-n'êtes-pas-français", pestait-il en reprochant à l'un de ses interlocuteurs de ne pas avoir déposé de demande d'autorisation de manifester, avant de déraper : "Vous ferez ce qu'on acceptera, vous avez compris ça ? C'est pas le club clodo ici, c'est pas le bordel".

    Et le fonctionnaire, ancien de la DST et de la police nationale, n'allait pas s'arrêter là, alors que la délégation tentait de faire entendre sa cause en évoquant une pétition demandant l'aide militaire de la France dans cette zone de la Syrie: "Mais attendez, les Marseillais s'en foutent, les Français de manière générale ont tellement de soucis, les gens s'en foutent. Franchement ne croyez pas que les gens s'intéressent à votre cause. C'est pas un jugement de valeur, c'est un constat", continuait le sous-préfet. Et alors que la délégation demandait l'autorisation de faire passer le cortège devant le consulat de Turquie, dont elle estime qu'elle joue dans ce conflit un double jeu, le dir'cab se faisait menaçant : "Le consulat c'est non ! Le premier qu'on chope il va en taule, c'est clair ? S'il n'est pas Français, il est mort !"

    Ce lundi, le préfet de police des Bouches-du-Rhône, Jean-Paul Bonnetain, que nous avons pu joindre, estimait que "ces propos ne sauraient engager l'État" et que "l'idée d'enregistrer une telle conversation est aussi inhabituelle que les paroles prononcées par ce fonctionnaire, lesquelles ne sont pas conformes aux standards de la profession".

    Selon nos informations, Gilles Gray a été sommé de rédiger un rapport et de le transmettre dans les plus brefs délais au ministre de l'Intérieur, qui serait des plus attentifs à ce dérapage incontrôlé. Bernard Cazeneuve décidera alors des suites à y donner.

    La Provence - 08 10 14

    NdB: Les Marseillais en ont effectivement assez de ces manifestations kurdes  vociférantes dans les rues de la ville, sur le Vieux-Port, le Prado... qui bloquent la circulation  par des défilés interminables accompagnés de musiques et de cris...  Que les Kurdes aillent se battre dans leur pays!

  • III La population nordique de l'Inde ancienne: des visages et des regards d'aujourd'hui

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    Blog Au bout de la route  - Peuples d'Asie centrale - Publié par Marc LAFONTAN

  • « Le Suicide français » d’Eric Zemmour

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    Note de lecture de Bernard Mazin, essayiste

    ♦ Comme le polémiste de talent qu’est Eric Zemmour nous y a depuis longtemps accoutumés, la plume est incisive. Mais cette prose alerte et souvent caustique est ici mise au service de la gravité du propos.

    Le dernier ouvrage d’Eric Zemmour pourrait s’intituler « Du bon usage du devoir de mémoire ». Il se présente en effet comme une éphéméride de quelques quatre-vingts événements intervenus sur la période 1970-2007, certains d’entre eux en apparence anecdotiques – un film sorti sur les écrans, la parution d’un ouvrage, une manifestation, un match de football… –, d’autres beaucoup plus « lourds » (la loi Pleven, l’affaire de la Rue Copernic, le Traité de Maastricht, l’entrée dans l’euro…).


    « Il est temps de déconstruire les déconstructeurs »

    L’objectif de l’auteur est en effet de montrer que « notre époque a été tout entière dessinée par Mai-68 », plus précisément par « le triptyque soixante-huitard : Dérision, Déconstruction, Destruction » qui a sapé « les fondements de toutes les structures traditionnelles : famille, nation, travail, Etat, école ».

    Les « révolutionnaires » de Mai-68 n’ont pas pris le pouvoir politique, mais cette défaite les a sauvés malgré eux. Car « l’Etat fut sauvé, mais pas la Société ». Citons encore quelques phrases de l’introduction de l’ouvrage, qui campent l’intention d’Eric Zemmour :

    « La Ve République fut maintenue. Mais l’édifice était lézardé. Pourri de l’intérieur. Rendu peu à peu inopérant. Retourné (…) une “évolution des mentalités” menée tambour battant vida peu à peu de sa substance l’esprit de la République gaullienne, bien que fussent conservées intactes les apparences institutionnelles. La couronne du Président lui fut ôtée, sans le renverser, le suffrage universel, débranché pour se débarrasser du peuple. La République, exaltée sans cesse pour mieux abattre la France. 1789, sacralisé pour mieux imposer la revanche d’une contre-révolution libérale que n’aurait pas reniée Burke. »

    « La France sortie de Mai-68 sonnerait la revanche des oligarques sur le peuple, de l’internationalisme sur les nations, des nouveaux féodaux sur l’Etat, des girondins sur les jacobins, des juges sur la loi, de la féminité sur la virilité. »

    « Il nous faut désormais conter les quarante années qui ont défait la France (…) l’histoire totale d’une déconstruction joyeuse, savante et obstinée des moindres rouages qui avaient édifié la France ; histoire d’une dépossession absolue, d’une désintégration inouïe ; d’une dissolution dans les “eaux glacées” de l’individualisme et de la haine de soi. »

    Chacune des 80 « vignettes » racontées par Eric Zemmour est une illustration de ce travail de sape insidieux, mais continu, qui a permis que l’échec politique de Mai-68 se transforme en une victoire dans les esprits qui produit encore ses effets près de cinquante ans plus tard. Il a réalisé, ce faisant, un véritable travail d’orfèvre, en mettant en résonance des événements d’importance très disparate, et qui sont sortis bien souvent de nos mémoires, mais qui illustrent chacun à leur manière cette évolution quasi inéluctable qui a marqué la France au lendemain de Mai-68. C’est en ce sens que l’on peut dire que cette fois-ci le devoir de mémoire sert une bonne cause.

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    L’auteur a choisi délibérément de borner son investigation à la période 1970-2007. On interprétera ce fait à la fois comme une volonté de prendre un peu de recul, mais surtout comme un refus de la facilité, car il eût été aisé de prolonger et d’amplifier l’analyse à certains événements qui ont jalonné le quinquennat de Nicolas Sarkozy (un exemple parmi bien d’autres : la validation par la voie parlementaire du traité constitutionnel de l’Union européenne refusé par les Français par référendum et rebaptisé pour les besoins de la cause « mini-traité »), sans parler des débuts de celui de François Hollande.

    Ce choix de période est cependant loin d’être anodin. Il nous enseigne plusieurs leçons : il nous rappelle d’abord que les évolutions dont nous parle Eric Zemmour se sont développées indépendamment de la famille politique au pouvoir à un moment donné. Autrement formulé : le ver était dans le fruit dès Pompidou et Giscard d’Estaing, a prospéré sous Chirac, et le pourrissement n’a pas forcément été accéléré pendant la période mitterrandienne. Cette constatation confirme, s’il en était besoin, la dichotomie qui s’opère entre l’appétence aux réformes sociétales ou culturelles et le contexte politique sous-jacent : en particulier, les « alternances » ou le supposé clivage gauche-droite tel qu’on l’entend communément, n’interfèrent en rien sur l’idéologie dominante.

    A cet égard, Eric Zemmour rejoint à sa façon la cohorte de plus en plus nombreuse, de Jean-Claude Michéa à Paul-François Paoli, des analystes qui mettent en évidence que dans le domaine économique et social plus rien ne sépare vraiment les deux familles politiques qui se succèdent au pouvoir en France depuis cinquante ans. De nombreux événements qu’il relate montrent d’ailleurs de façon éloquente cette complicité objective (cf. les citations des personnalités politiques de tous bords ou presque – de Mélenchon à Madelin – sur le fait que ne pas voter pour le Traité de Maastricht serait un signe de débilité profonde des Français, incapables de comprendre l’avenir radieux que ce traité leur préparait !

    Démission du politique

    Les récits d’Eric Zemmour montrent également que le « suicide français » n’est pas le résultat d’un complot savamment orchestré, mais d’une somme de démissions individuelles d’une classe politique « de droite » qui a abandonné depuis longtemps le combat des idées au profit de ses adversaires, pour ne garder que des préoccupations électoralistes. Le drame qui se noue depuis 1970 est que les protagonistes n’avaient souvent même pas conscience de leurs abandons.

    Il est vrai, et c’est là un autre aspect de l’analyse qui s’inscrit dans la durée, que déjà dans les années 1970, la machine politico-médiatique était en place, prête à ringardiser et à diaboliser tous ceux qui auraient été tentés de se montrer rétifs à la perspective de changements « sociétaux » que leurs partisans, si minoritaires fussent-ils, jugeaient inéluctables. Si la gauche a pu avancer sur le boulevard du mariage homosexuel en 2013, c’est parce qu’au milieu des années 1980 a commencé à émerger un pouvoir gay, avec la complicité de personnalités du monde du spectacle (Thierry Le Luron, Coluche, Yves Mourousi) qui jouissaient d’une grande popularité, souvent humoristes de surcroît, donc que peu se seraient hasardés à aborder de front, de peur de se voir cloués au pilori.

    Mais si le manque de clairvoyance est excusable, le manque de courage l’est beaucoup moins et, malheureusement, la classe politique française ne s’est pas montrée à son avantage dans ce domaine, comme en témoigne l’absence de réactivité, quand ce n’est pas la complicité active, des politiciens dans les différents épisodes passés au tamis de la recherche d’Eric Zemmour.

    Face à une gauche qui, même si elle communie avec la « droite », en matière économique, dans l’acceptation du capitalisme mondialiste, n’a jamais renoncé à faire prévaloir ses vues sur les « valeurs de la République (1) », les droits de l’homme ou l’égalitarisme poussé à son paroxysme, et qui considère le « progrès » comme une tendance continue (2), la droite post-gaullienne, giscardienne ou chiraquienne n’a jamais pu opposer un référentiel de valeurs cohérent ; de surcroît, elle n’a jamais pu prendre appui sur un réseau d’influence aussi solide que celui de la gauche : enseignants, syndicats, technocratie des « énarques », juges, médias, écologistes politiques, lobby de l’immigration, féministes, LGBT et, bien sûr, les « intellectuels » qui, dans un passé pas si lointain, avaient le choix entre être « de gauche » ou n’être pas.

    Eric Zemmour fait donc œuvre de salubrité publique en dénonçant, preuves à l’appui, les responsables de la situation dramatique dans laquelle se trouve notre pays, et au passage on ne lui en voudra pas d’avoir plus d’aisance que d’autres pour épingler certains des individus (Bernard-Henri Lévy) ou certaines des institutions (CRIF) qui par leur action contribuent au « suicide français ».

    Ce n’est faire preuve d’un optimisme irraisonné que de constater que cette démarche de déconstruction des déconstructeurs est de moins en moins l’apanage d’auteurs isolés, « vilains petits canards » qui prêchaient souvent dans le désert ou qui se voyaient réduits au silence par l’étouffoir médiatique. Il n’en reste pas moins que des analyses telles que celles d’Eric Zemmour demandent encore courage et pugnacité à leur auteur. On en veut pour preuve les nombreuses tentatives de déstabilisation, campagnes de diabolisation et anathèmes que lui valent ses ouvrages, ses articles dans la presse écrite et ses interventions radiophoniques ou télévisuelles.

    On ne saurait donc trop saluer et recommander cet ouvrage passionnant de la première à la dernière ligne. Il nous aide à comprendre comment et par qui la France en est arrivée là, et la compréhension du passé est un premier pas vers l’espérance d’un futur mieux maîtrisé.

    Bernard Mazin
    5/10/2014

    Eric Zemmour, Le Suicide français, Ed. Albin Michel, Collection Essais, octobre 2014, 544 pages.

     

    Correspondance Polémia – 7/10/2014

  • C’était un 7 octobre…

    Contre-info.com

    1571 : bataille navale de Lépante (au large de la Grèce), pour assurer la suprématie sur l’île de Chypre, entre les chrétiens (principalement espagnols et italiens) rassemblés par le pape Saint Pie V, et les Ottomans de Sélim II. En réalité, ce sont deux mondes qui s’affrontent.
    Les pertes sont énormes : 30 000 morts chez les Barbaresques, pourtant partis favoris car plus puissamment armés et plus nombreux, contre environ 8000 chez les chrétiens. Cette bataille de quelques heures met fin à la réputation d’invincibilité des Turcs, même s’ils conservent Chypre.
    Il est décidé, quelques jours après, par Saint Pie V, de créer la fête du rosaire sous le nom de Notre-Dame de la Victoire, pour célébrer le triomphe de la chrétienté. Il attribue en effet celui-ci à la récitation universelle du rosaire qu’il avait demandée aux chrétiens, en vue de cette bataille cruciale.

    1793 : les révolutionnaires, menés par le conventionnel Philippe-Jacques Rühl, ex-pasteur luthérien, brisent, à coups de couteau, la Sainte Ampoule de Reims,  utilisée pour le couronnement des rois de France. Rühl se suicida en mai 1795, pour ne pas être guillotiné.

    1878 : naissance de Georges Valois, dont Lénine disait qu’il fut « le plus intéressant économiste d’Europe ». D’abord lié à l’Action française, avec laquelle il rompit bruyamment, il fonda en 1925 le Faisceau, premier parti « fasciste » français. Il anima ensuite une coopérative de tendance libertaire, la « République syndicale », fut arrêté pour gaullisme en 1940, et mourut en déportation au camp de Bergen-Belsen.

    1918 : l’aviateur Roland Garros, qui avait réalisé la première traversée aérienne de la Méditerranée, en septembre 1913, tombe en combat aérien près de Vouziers (Ardennes).

    1936 : assassinat par des communistes, du militant du Parti social français Charles Moreau.

    1940 : création, par Vichy, de l’Ordre des médecins. Nul ne pourra exercer la médecine s’il n’est habilité par le conseil de l’ordre. L’une des principales erreurs du Maréchal Pétain sera d’accepter, comme conséquence, l’interdiction des études et du diplôme d’herboristerie.

    1950 : après avoir maîtrisé le Sin-Kiang, 30 000 soldats chinois envahissent le Tibet pour « libérer » leur « peuple-frère ».

    1957 : mort du multi-assassin « Ali-la-pointe », adjoint du chef terroriste de la Casbah, Yacef Saadi, quand le 1er REP fait sauter sa cache.
    A cette date, la bataille d’Alger est gagnée par le général Massu.

    Source : Ephémérides nationalistes

  • A 82 ans, il sort le sabre face à des jeunes trop bruyants

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    REIMS (51). Lors de la dernière fête des voisins, un octogénaire avait employé les grands moyens pour faire taire les jeunes qui discutaient au pied de son habitation.

    Les victimes réclamaient 26 000 euros pour le remboursement des frais, essentiellement dentaires, engagés.

    Georges n’en pouvait plus. Mais alors plus du tout. Depuis 1971, ce retraité de 82 ans vit avec son épouse dans le même appartement, sur l’avenue de Laon. Sa femme est « en fin de vie », dit-il et, à 82 ans, il n’aspire qu’à la tranquillité. Pas tout à fait le mot pour caractériser la dernière fête des voisins, le 23 mai 2014. Vers une heure du matin, des jeunes, regroupés en bas de chez lui, continuent de discuter. Un peu trop bruyamment selon Georges, pourtant dur d’oreille. Plutôt que d’appeler la police, le vieil homme veut régler ça à l’ancienne : avec une casserole remplie d’eau. Cette tentative de dispersion ne lui attire qu’insultes et moqueries. Georges passe alors la surmultipliée et s’en va se saisir de son sabre décoratif.

    « Une enquête ni faite, ni à faire »

    Par la suite, les versions divergent considérablement. Georges prétend avoir voulu « seulement les impressionner ». Personne n’y croit au regard des certificats médicaux dressés pour deux des jeunes : deux dents cassées pour l’un, des plaies suturées aux urgences pour l’autre. Quelques jours d’ITT au passage. Appelés, les policiers arrivent et embarquent l’octogénaire en garde à vue, meurtri de devoir laisser sa femme seule. Et voilà comment un homme au crépuscule de sa vie, jusque-là sans antécédent, s’est retrouvé, hier, jugé par le tribunal correctionnel de Reims pour « violence avec usage d’une arme ».

    Venues sans avocat, les deux victimes demandent… 26 000 euros pour le remboursement des frais engagés, essentiellement dentaires. La substitut du procureur requiert quatre mois de prison avec sursis et 300 euros d’amende. Suffisant pour faire bondir l’avocat de la défense : « Mais on est où là ? » Il fustige « une enquête ni faite, ni à faire » et sort des photos montrant une vitre cassée et un barbecue jeté dans un hall d’immeuble, celui de Georges et sa femme. Il s’adresse directement à la représentante du parquet : « Mais Madame, la police, elle n’y va pas là-bas ! » Il dégaine des pétitions signées par des habitants du quartier contre les nombreuses incivilités enregistrées.

    Georges est invité à prendre une dernière fois la parole : « Moi, je voudrais bien être tranquille. Eux, ils boivent, ils fument sous mes fenêtres jusqu’à deux heures du matin. »

    Au final, Georges, déclaré coupable, écope d’une amende de 300 euros. Et pour ne pas avoir suivi correctement la procédure, les deux victimes aux mines déconfites devront entamer de nouvelles démarches pour espérer une indemnisation.

    L'Union-L'Ardennais -  07 10 14

    Honte à ces juges anti-Français!

  • La militante de la "famille traditionnelle" Farida Belghoul a été pacsée à une femme

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    Béatrice Bourges, Farida Belghoul, Christine Boutin

     

    Par Libie Cousteau, publié le 06/10/2014 à 11:20, mis à jour à 12:54

    La croisée anti-genre qui défend la famille traditionnelle a été pacsée avec la propriétaire de son pavillon, depuis décédée. L'Express a pu se procurer les documents qui le prouvent. 

         

     

    La croisée anti-genre Farida Belghoul a été pacsée avec une femme. L'Express s'est procuré le document administratif attestant de l'information qui circule sur le net depuis ce week-end.  

    Selon ce document, Farida Belghoul a été pacsée à Simone G. le 28 octobre 2008. D'après nos informations, Simone G., décédée à l'âge de 93 ans à la fin de 2011, était la propriétaire du pavillon occupé par Farida Belghoul depuis de nombreuses années à Bezons

    Le pacs Farida Belghoul/Simone G. a été dissous le 26 avril 2011, quelques mois avant le décès de cette dernière. En 2013, selon le cadastre de la ville de Bezons que L'Express a pu se procurer, le pavillon était toujours au nom de Simone G.  

    Quels ont été les véritables liens entre Farida Belghoul et la propriétaire du pavillon? De quoi Farida Belghoul, professeur en disponibilité de l'Education nationale pendant plusieurs années, a-t-elle vécu? Une certitude, cette apôtre de la famille traditionnelle n'est pas à une contradiction près. A moins qu'elle n'ait pas eu d'autre choix que de se pacser pour des raisons qui, à ce jour, restent obscures. Contactée par l'Express, Farida Belghoul a refusé de nous répondre: "Au revoir madame !" a-t-elle lancé avant de raccrocher.  

    La semaine commence mal pour Farida Belghoul qui est convoquée aujourd'hui par le Rectorat à la suite d'une procédure disciplinaire


    http://www.lexpress.fr/education/la-militante-de-la-famille-traditionnelle-farida-belghoul-a-ete-pacsee-a-une-femme_1608145.html#VL6UWuA4deZRpghW.99

     

  • II La population nordique de l'Inde ancienne

           

    L'instauration de la domination mongole (qui dura du VIIIème siècle jusqu'à

     

    1536) marque la victoire de la composante asiatique de la population de l'Inde. La religion*, la pensée et la création artistique représentèrent ensuite seulement les traits du

     

    substrat indoustan et des métis sombres qui maintenant prédominent en Inde. « L'esprit indien, toujours plus aliéné de l'ancien aryanisme, donna naissance aux dieux* de

     

    l'Hindouisme, avec leurs images polycéphales et de nombreux bras, chargés de sensualité,

       

    de cruauté et de déréglement.

     

     

     

    Pourtant, dans les VIème ou VIIème siècles EC. il devait encore être resté une faible

     

    présence de sang nordique. Les fresques d'Ascianta, qui sont de cette époque, représentent,

     

    parmi des personnages semblables aux Indiens modernes, des gens de haute

     

    taille, au nez et au visage étroit, au teint clair, blonds et aux yeux bleus. De nos jours, le

     

    teint clair tout seul, occasionnellement, et les yeux clairs encorent moins fréquemment.

     

    Quelques races des frontières nord-occidentales, parmi lesquelles Kisley avait rencontré

     

    des blonds des yeux bleus, ont distinctement conservé le sang nordique en proportion un

     

    peu supérieure ; comme c’est peut-être même le cas du Sikh dont la taille moyenne est de

     

    1.71 m.

     

     

     

    * * *

     

     

    Brani traite de la Tipologia razziale dell’Europa, Ghénos, Ferrara 2003.

    Autrement, ce sont les castes indiennes plus élevées - les brahmanes - qui montrent

     

    le plus clairement une composante nordique. Ils ont une taille moyenne de 6 à 9 cm supérieure

     

    à celle des castes inférieures, ils ont un teint plus clair en comparaison du marron

     

    ou marron foncé de ceux-ci et ils ont un nez et un visage plus étroit. Parmi les Brahmanes

     

    de la zone de Bombay on trouve encore maintenant des individus aux yeux gris.

     

    La langue indienne : ou bien, plus exactement, ce qu’est devenu la langue indienne après le

     

    métissage - est encore parlée dans de vastes zones de l'Inde, mais le teint de ceux qui introduisirent

     

    cette langue a disparu presque sans laisser de traces. Du point de vue linguistique,

     

    les actuels habitants de l'Inde sont dans leur grande majorité indo-européens,

     

    mais somatiquement ils sont le résultat du mélange avec diverses races sombres.

     

    Mais même dans la langue on peut relever l'influence des couches non-nordiques du peuple indien,

     

    au moins dans la syntaxe : « Du point de vue syntaxique, il est licite de douter que

     

    les langues indiennes modernes puissent encore être classées comme indo-européennes* .

     

    »»

     

     

    Extraits dr l’ouvrage Typologie raciale de l'Europe, de Hans Friedrich Karl Günther,

    édit. Ghénos, Ferrare 2003

                                                       * * * * *

                        

  • Ebola: hospitalisation de trois nouvelles personnes en Espagne

    http://www.leparisien.fr/societe/ebola-bruxelles-veut-savoir-comment-une-femme-a-pu-etre-contaminee-en-espagne-07-10-2014-4194471.php

  • "Madame le président": sanctionné, le député UMP nie toute provocation


    "Madame LE président": la polémique qui agite l... par BFMTV

    C'est une petite phrase qui lui coûte cher. Lundi soir dans l'hémicycle, le député Julien Aubert s'est obstiné à employer le masculin au lieu du féminin en s'adressant à la présidente de séance. Une effronterie qui va le prive d'une partie de son indemnité parlementaire. 

    Lors du débat sur la transition énergétique, l'élu du Vaucluse a appelé la présidente de séance, la Sandrine Mazetier, «Madame LE président».

     

                                

    Depuis son perchoir, celle-ci l'a d'abord rappelé à l'ordre, lui demandant de respecter la présidence et le règlement de l'Assemblée nationale en l'appelant «Madame LA présidente». 

    «Au , il vaut mieux s'appeler Thévenoud qu'Aubert»

    Mais le député de l'opposition lui a tenu tête répondant qu'il ne faisait que suivre «l'Académie française» en disant «Madame le président». Voilà qui lui vaut une inscription au procès-verbal et la privation pendant un mois, du quart de son indemnité parlementaire. L'élu UMP ne s'est pour autant pas démonté. S'adressant ensuite à la ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, il l'a appelée «Madame LE ministre».



    «Au Parlement, il vaut mieux s'appeler Thévenoud qu'Aubert», déplore, auprès du parisien.fr, le député UMP, relevant qu'on le prive de 1400€ d'indemnités alors que le député socialiste -débarqué du gouvernement pour cause de problèmes fiscaux- n'a pas été sanctionné. Selon lui, la sanction qui lui est infligée est «totalement disproportionnée» et vise à «intimider l'opposition».

    «Mes collègues veulent se cotiser», ajoute-t-il, même s'il estime que «le sujet n'est pas financier». «Mon seul tort est d'avoir parlé français», se défend l'élu, dénonçant une volonté d'«imposer une vision politisée du langage avec une pression financière». «C'est la théorie du genre qui est derrière», avance-t-il encore. «C'est la novlangue.» Le député UMP, qui se défend de toute provocation, assure que «le groupe entend protester très bruyamment au moment de la reprise des débats», ce mardi après-midi.

    Julien Aubert et Sandrine Mazetier ont déjà eu ce type de confrontation dans l'hémicycle. En janvier 2014, alors que le député du Vaucluse donnait déjà dans le «Madame le président», Sandrine Mazetier, qui présidait alors une séance, lui avait répondu avec humour : «Monsieur la députée. Vous étiez la dernière oratrice inscrite. La discussion générale est donc close.»

    Le Parisien - 07 10 14

  • Calais: la distribution de repas aux migrants perturbée par des passeurs: le plat était trop fade...

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    Une association d'aide aux migrants de Calais a dû annuler sa distribution de repas lundi soir après le refus d'une poignée de migrants de manger le repas qui leur était offert sur fond de lutte de pouvoir au sein d'une population à la marge.

    Chaque soir, quai de la Moselle, les 300 bénévoles de Salam se relaient pour servir un plat chaud et copieux à plusieurs centaines d'étrangers sans papier qui vivent dans des abris de fortune, souvent dans des conditions de dénuement, avec l'espoir, malgré les obstacles, de passer en Grande-Bretagne pour y rejoindre des proches et y demander l'asile.
     
     
     
    Mais lundi soir, les choses ne se sont pas déroulées comme d'habitude. «Le repas était beaucoup moins salé et quasiment pas épicé par rapport à d'habitude», raconte Jean-Claude Lenoir, un des responsables de l'association. «On avait compensé par un repas doux, avec de la sauce de citron, des citrons frais». 

    Les premiers à tendre leur assiette ont refusé de manger le repas qu'ils trouvaient bien fade. Derrière eux, les autres migrants, de 600 à 800 selon les soirs, ont fait demi-tour. Pour le président de Salam et membre de l'association depuis sa création après la fermeture du centre de Sangatte, en 2002, il ne fait aucun doute que ces hommes détiennent le pouvoir au sein du groupe et que personne n'ose les défier. «Quand il y a 800 personnes qui attendent, évidemment que ceux qui sont en de ligne sont des passeurs qui ont le pouvoir», explique-t-il au Parisien.fr.


     Ce qui pourrait n'être qu'un épiphénomène, un soir d'automne dans un no-man's land que ni les ni les autorités ne veulent regarder, en dit long sur la peur que font régner ceux qui ont la possibilité de faire passer des migrants vers leur eldorado. «Ceux-là qui ont, en refusant le repas, interdit aux autres d'en prendre, ont les moyens d'aller s'acheter à manger. Pas les autres qui sont repartis le ventre vide, déplore Jean-Claude Lenoir. A une époque, ils faisaient même payer pour accéder à la zone de distribution».

    Lundi soir, «je suis intervenu pour leur dire que s'ils ne voulaient pas manger, nous, on rangeait et que c'était quand même scandaleux, parce qu'ils devaient être conscients qu'il y a bon nombre de personnes en qui n'ont pas un tel repas le soir».

    Après treize ans de présence quotidienne auprès des migrants du Calaisis, Lenoir refuse de tomber, dit-il, dans la démagogie : «Ils vivent des situations inhumaines, il pleut des cordes, ils se noient, on les marque au feutre sur la main pour les appeler par un numéro au tribunal mais on doit pouvoir leur dire qu'ils ont fait un caprice. Je l'ai fait. La grande majorité est venue discrètement s'excuser». 

    Quelque 1400 à 1500 clandestins, selon les autorités françaises, principalement originaires du Soudan et d'Érythrée, se trouvent actuellement à Calais et dans les environs avec l'espoir de traverser la Manche. L'association Salam sera ce mardi soir quai de Moselle pour une nouvelle distribution.

    LeParisien.fr  -  10 14

  • Une nouvelle enquête judiciaire vise des proches de Sarkozy

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    http://www.leparisien.fr/faits-divers/une-nouvelle-enquete-judiciaire-vise-des-proches-de-nicolas-sarkozy-07-10-2014-4194537.php

  • I - La population nordique de l'Inde ancienne

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    Bodhisattva. Monastère de shahbaz-Garhi, art de la Gandhara, VIe siècle.

    Musée Guimet, Paris.

     

    Vu le 24-9-10/ http://www.centrostudilaruna.it/la-popolazione-nordica-dellindia-antica.html

     

    21 septembre 2010 | Auteur : Hans Friedrich Karl Günther

     

    Tags : arméniens, blonds, Bouddhisme, castes, Caucase, eugénisme, Inde, Indiens, Indouisme,

     

    Hittites, Kalidasa, Manu, métissage, Persans

     

    Il semble encore que les nordiques indiens soient passés par le Caucase vers 1.700 AEC , selon Hüsing. Depuis très longtemps ils étaient très étroitement associés avec les Persans et les deux races parlaient la même langue, l'indo-iranien (dit aussi « aryen »). Les traces de cette langue commune (l'indo-persan) indiquent qu'il y eut un itinéraire commun suivi par ces deux populations de la Russie méridionale jusqu'au Caucase. On peut donc supposer que les peuples indo-persans habitaient l'Europe sud-orientale depuistrès longtemps, parce que dans les langues hungaro-finnoises on trouve, entre les mots allogènes acquis plus anciennement, un considérable nombre de mots indo-persans. Il s’ensuit que les races indo-persanes (c'est-à-dire : ces peuples de race nordique qui s'établirent ensuite en Inde et en Iran, où donnèrent origine à des peuples historiques) durent habiter dans l'Europe sud-Orientale comme voisins de peuples de langue hungaro-finnoise (et de race balte-orientale). Encore au temps d'Hérodote (au Vème siècle AEC), la Russie centrale et septentrionale était habitée par des peuples de langue hungaro-finnoise ; il est donc probable que la Russie méridionale ait été la zone de rencontre entre les indo-persans et les peuples de langue hungaro-finnoise. Même les différents noms de fleuves indiqueraient que la Russie méridionale a été le lieu temporaire de résidence des indo-persans,

     

     

    noms qui peuvent être expliqués comme dérivants du mot persan danu = fleuve

     

         

     

    (ossète don), comme Don, Dnepr (Danapris), Dnjestr (Danastrus), Donau [Danube].

    L'archéologie a même identifié cette zone Sud-Est européenne comme un lieu de permanence de peuples indo-iraniens.

     

     

      

                   

     

    Déjà, avant 1400 AEC, les Indo-persans avaient dû pénétrer dans les zones adjacentes

     

     

      

     

    à celle des Hittites (principalement de race levantine) ; ceci est indiqué par des mots indo-iraniens empruntés à la langue Hittite. Peu de temps après, les indo-persans durent rejoindre la zone arménienne. Vers 1.400 AEC les Indiens acquièrent une physionomie spécifique, dans les terres arméniennes, et s'appellent mêmes « Hari », c'est-à-dire« les blonds ».

     

    Dans les sagas indiennes anciennes, dieux* et héros sont toujours décrits comme

          « blonds ». Une vieille saga indienne indique que le Cashmire était leur première contrée de peuplement ; cependant que, tant le Veda indien que l'Avesta iranien contiennent des traces d'une fête* solsticiale d'hiver qui peuvent s’expliquer seulement par une origine nord-européenne. Dans les batailles entre Indra et le monstre Vrtra, il semblerait que le Veda indique encore le combat de l'été contre l'hiver ; et les Indiens, comme les Romains, s’maginaient que le siège des dieux* était dans le Nord. Les combats décrits dans lepoème indien Rig-Véda (comme cela été découvert pour la première fois par Brunnhofer) ont comme scène l'Afghanistan. De l'Afghanistan, suivit la migration vers les plaines indiennes et la diffusion de la vallée de l'Indus vers l’Est et le Sud-Est.

     

    …Les immigrés apportèrent avec eux l'architecture en bois et la coutume de

           

    l'incinération des cadavres, et avaient une structure sociale de relativement haut niveau. Dans les documents indiens plus anciens les peuples conquérants de langue indo-européenne* sont décrits comme « grands », « blancs », « clairs » et de « bel aspect », pendant que les aborigènes du lieu sont dits « de peau sombre », ainsi que « petits », « noirs » et « avec le nez plat » ou « sans nez ». Est indicatif le fait qui le mot indien pour `caste' (varna) signifie aussi `couleur'.

     

    Encore maintenant, après des millénaires, les Indiens des hautes castes sont reconnaissables à leur peau plus claire et européenne nordique - comme le dit Häckel lors de son voyage en Inde - et il cause la surprise des Indiens qui pensent qu'il doit appartenir àune caste supérieure. Et, selon les vieilles poésies religieuses, les anciens Indiens s'imaginaient leur dieu* suprême - Indra, dieu de la tempête, blond à la barbe rousse 

           

    comme semblable à lui et y voyaient la figure d'un véritable héros nordique.

     

    sans-titre.png Inde 2.png

    Le Veda témoigne que, pour les anciens Indiens, une nombreuse famille était une marque de richesse. Il y a lieu de croire que la mortalité infantile dans la classe des immigrés nordiques était relativement élevée pendant l'été - même dans l'Europe méridionale, les enfants nordiques sont plus en danger que les enfants de races plus sombres. Il est même probable que les Indiens étaient devenus conscients des dangers du métissage dans une région à laquelle ils étaient mal adaptés. Donc, une très rigide législation garantit les castes en empêchant le mélange entre les seigneurs nordiques et les natifs. Le livre des lois de Manu , le code judiciaire plus ancien de l'Inde (écrit au début de notre calcul chronologique mais qui conservait des legs beaucoup plus anciens), contient des lois visant à empêcher le métissage ainsi que toute une série de très intéressantes indications eugéniques. Il semble que le métissage fut évité pendant très longtemps ; et ce furent ces temps d’encore relative pureté raciale qui produisirent les chants héroïques, la philosophie indienne du brahmanisme et la poésie indienne, tous témoignages de la forme indienne de l'âme nordique. Les créations intellectuelles indiennes méritent continuellement d'être appréciées, et elles ne cessent jamais d'étonner.

    La signification de la pensée indienne pour nous, a été indiqué d’une manière précise par Houston Steward Chamberlain

     

    dans son livre Arische Weltanschauung [Vision du monde aryen] » (1917). Les Indiens  

    étaient un ensemble de peuples nordiques ayant une physionomie spécifique et,chez eux, on relève un accord de religion, de pensée et de poésie non encore disjoints et proche de la source primitive de l'esprit nordique qui, ensuite, se développent dans la créativité intellectuelle. Dans ces temps primordiaux, la langue Indienne - qui nous a été transmise dans sa forme sanscrite - développa toutes ses riches potentialités et il y eut des travaux d'érudits   

          

          de la linguistique, dans le champs de la grammaire, qui n'ont pas été

     

    égalés et encore moins dépassés.

     

                                                                  * * * * *

     

    sans-titre.png INDE 3.png

    Bodhisattva, art de la Gandhara, IVème siècle. Collection privée.

     

    Il se pourrait que cela soit la cause de l'apparition de Bouddha (né en 570 AEC) et

       

    de sa doctrine, le Bouddhisme, qui n'est plus d'esprit nordique et qui a irréversiblement 

     

    dissout l'esprit de conscience raciale de ce splendide peuple. Provoqué dans une région où

     

     

    la population indienne nordique était insuffisante et diffuse, à ce qu’il semble, surtout

      

     

    par ses missionnires non nordiques, le Bouddhisme détruisit les vieilles traditions fidèles à

      

    la race et, à la place de la philosophie indienne ancienne, il mit une doctrine problématique

       

    de salvation, laquelle (et ceci est fondamental) ne faisait pas appel seulement à la

       

    classe dominante nordique, mais aux populations de chaque caste et race. La courageuse

       

    spécificité de la sagesse indienne archaïque fut dilacérée par le Bouddhisme, qui lui a

     

      

    substitué l'esprit de renoncement, au point que le grand penseur indien Sankara, dans

         

    ses Réfutations du Bouddhisme, lui reprochait « de ne pas avoir proposé, sinon son vraiment

     

         

    immense déséquilibre, mais sa haine du genre humain ».

     

    Le Bouddhisme n’indique pas la marque de quelque pensée créatrice et ne fait rien

       

    d’autre que contrecarrer et détruire ce qui avait été créé par le Brahmanisme dans les 

      temps anciens. De la syntonie que l'Inde archaïque concédait à toute la nature, le Bouddhisme     

    tira la négation de la volonté de reproduction. Il est possible que, à travers son

             

    conseil d'éviter l'amour charnel, et son aversion pour le mariage et pour la propriété, il ait

     

        contribué à la disparition du sang nordique ; puisque ce furent plus probablement les éléments

          nordiques qui accueillirent cette nouvelle doctrine, qui de l'antiquité Indienne

       

    avait pris beaucoup, plutôt que les personnes provenant des classes inférieures à peau

       

    sombre. Le Sage brahmane se dédiait à une vie de contemplation et de pensée seulement

       après qu'il ait été époux et père, qu’il ait pris part à la vie publique et connu ses fils et

       

    neveux. Le Bouddhisme, par contre, était contraire tant au mariage qu'à l'enracinement

       

    de l'individu dans son peuple, en le déliant de son devenir historique. Pour nous, le  

    Bouddhisme peut se définir comme la « manifestation du triomphe d'une puissance   

    destructrice ».

           

    Il est tout à fait évident que même la situation climatique de l'Inde doit avoir contribué

     à la dénordicisation du peuple indien. En raison de leurs caractéristiques génétiques

       mûries dans l'Europe nord-occidentale, la constitution des Indiens nordiques n'était

     

      pas appropriée pour la vie dans les régions tropicales. L'ambiance indienne doit avoir

     

      exercée de vraies sélections à rebours dans la composante nordique de la population. Déjà,

     

      en Asie Mineure, pendant l'été, la mortalité infantile des enfants blonds est très supérieure

       

    à celle des enfants sombres.

       

    C’est à ce type de contre sélection que le métissage doit avoir amené à la décadence   

    de la civilisation Indienne. L'attaque macédonienne contre l'Inde (327 - 326 AEC) montra

       

    déjà alors combien fut faible l'état indien. La pénétration des populations que les   

    Grecs appelaient Indo-Scythes (de même provenance du Nord-Ouest) semble avoir apporté

       

    une retrempe dans l'élément nordique. Ils fondèrent, dans l'Inde nord-occidentale,

       

    un règne qui dura de 120 AEC jusqu'à 400 EC.… et qui, pour un certain temps (après

       

    environ 45 EC), porta sa frontière occidentale jusqu'aux abords de la Perse. Dans ce règne   

    « indo-scythe » il y eut même une renaissance de la poésie Indienne. Ce fut au IVème

       ou Vème siècle EC. que Kalidasa - le plus grand poète indien dont on sache le nom - écrivit ses grands poèmes.

            

    [Note du traducteur : Une isola de ces Macédoniens est demeurée vivante - et   païenne – jusqu’à nos jours dans le Nord de l’Afghanistan, aux confins montagneux du   Pakistan islamiste (!), ce sont les Kalashs, des indo-européens du Chitral, en but aux exactions  et assassinats musulmans avec l’aide (involontaire…?) de l’UNESCO .

     

     

    indo_europeen.jpg kalash Pakistan.jpg

    Jeune fille Kalash avec tatouages - Nord Pakistan

     

     

    NdB: Je suis désolée pour cette mise en page si défectueuse malgré tous mes efforts.  Mais le texte reste extrêmement intéressant et à méditer sur la disparition d'un peuple nordique blanc au cours des siècles dans le métissage induit par le Bouddhisme, religion athée et destructrice des valeurs ancestrales du Brahmanisme.

     

    ( Merci à Dirk)  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La militante Farida Belghoul a été pacsée à son ancienne propriétaire nonagénaire

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    Créé le 06/10/2014 à 20h35 -- Mis à jour le 06/10/2014 à 20h59

    Alain Escada (c), président de Civitas, et Farida Belghoul (d) manifestent le 11 mai 2014 à Paris "en l'honneur de Jeanne d'Arc"

     Farida Belghoul a été pacsée à la propriétaire du pavillon qu’elle occupe depuis des années…

    Farida Belghoul, militante à l'initiative de la rumeur sur la théorie du genre à l'école, a été pacsée avec une nonagénaire, peu avant la mort de la vieille dame. L’Express s'est procuré lundi un document administratif attestant de ce pacs, après que l'information circule depuis le week-end.  

    Farida Belghoul a été pacsée à cette dame d'octobre 2008 à avril 2011, date à laquelle le pacs a été dissous. Simone G. est décédée fin 2011, à l'âge de 93 ans. Elle était propriétaire d’un pavillon occupé par Farida Belghoul depuis de nombreuses années à Bezons, dans le Val d’Oise.

    Un pavillon toujours enregistré au nom de la vieille dame en 2013, selon le cadastre consulté par l’hebdo. Contactée sur ce pacs et l'occupation de ce pavillon, Farida Belghoul n’a pas répondu à l’hebdo

    A.-L.B.
     
    20minutes.fr
     
    NdB:  Un drôle de genre!
  • Ce que dit Geert Wilders au Parlement (néerlandais)

    06 octobre 2014

     

    Je ne sais pas si un jour on entendra cela au Parlement français. Je ne le crois pas, car l’élu qui oserait dire cela se ferait couper la parole et ne pourrait pas continuer. Alors qu’au Parlement néerlandais, on laisse Geert Wilders dire ce qu’il a à dire sans l’interrompre, sans le moindre murmure. Cela vaut la peine d’être souligné avant de le lire et de le voir. C’était le 2 octobre dernier, lors du débat, suivi le lendemain du vote, sur l’envoi de F16 en Irak contre l’Etat islamique (parce que dans une démocratie, non seulement on laisse s’exprimer l’opposition, mais on vote sur l’entrée en guerre).

    Madame le Président,

    L’Etat islamique est un cancer islamique ; c’est un serpent venimeux basé sur le Coran et sur la vie de Mahomet, un criminel qui, il y a 14 siècles, assassinait et décapitait, de Médine à La Mecque. Son successeur autoproclamé calife de Bagdad est maintenant aux portes de Bagdad et de Damas. Il a des fidèles partout dans le monde, y compris dans notre pays, nos villes et nos rues.

    Je le répète, Madame le Président, des gens sont décapités selon les commandements du Coran, sourate 47, verset 4 : « Quand tu rencontre les infidèles, frappe-les au cou et cause un bain de sang parmi eux. » (1)

    Eh oui, Madame le Président, même les musulmans modérés ne peuvent échapper à cette violence parce que, selon le Coran et la Charia, ce sont des apostats qui doivent donc mourir.

    Madame le Président, tous les esprits naïfs qui disent que l’Etat islamique n’a rien à voir avec l’islam commettent une sérieuse erreur politiquement correcte, qu’il s’agisse d’Obama, de Cameron, de Rutte (2), de Samsom (3).

    Madame le Président, c’est une guerre qui a été déclarée contre l’Occident libre. Notre liberté, notre culture, l’avenir de notre pays et de nos enfants sont en jeu. Nous devons riposter durement, tant aux Pays-Bas que dans tout le monde occidental, et bien sûr aussi en Irak et en Syrie. C’est pourquoi mon parti soutient la décision du gouvernement d’envoyer des F16 néerlandais contre l’Etat islamique. Nous disons : Bombardons-les ! Mais nous ne comprenons pas, Madame le Président, pourquoi nous allons bombarder en Irak et pas en Syrie. Est-ce que le gouvernement est d’accord pour que des gens soient décapités en Syrie, des femmes violées, et qu’un génocide soit commis, seulement parce qu’il n’y a pas de mandat sous droit international ? Quelle lâcheté, Madame le Président. Le gouvernement dit qu’il comprend les Etats-Unis quand ils bombardent l’Etat islamique en Syrie, mais il n’y participe pas lui-même. Compréhension, mais pas participation : quelle lâche timidité.

    Encore plus important que de combattre l’Etat islamique en Irak et en Syrie est de combattre le terrorisme islamique ici, aux Pays-Bas, dans notre pays. La sécurité des Pays-Bas doit être notre priorité numéro un. Nos concitoyens doivent être en sécurité dans les trains, pouvoir marcher tranquillement dans la rue, doivent pouvoir conduire tranquillement leurs enfants à l’école, pouvoir faire leurs courses en toute sécurité. Voilà l’enjeu. Et dans l’article 100 de sa lettre au Parlement, le gouvernement ne consacre que deux paragraphes à la sécurité nationale. Il y a même davantage d’attention aux questions d’égalité de genre et à la situation des femmes dans le monde arabe. C’est une parodie.

    Madame le Président, nous devons protéger les Pays-Bas. C’est pour cela que nous avons été élus. Pour protéger nos concitoyens. Pas seulement les citoyens d’Irak et de Syrie, mais aussi et spécifiquement notre propre peuple ici aux Pays-Bas. Pourquoi est-ce que l’armée n’est pas déployée pour protéger nos gares – en uniforme naturellement et lourdement armés, évidemment. Et pourquoi est-ce que nous essayons d’arrêter les jihadistes quand ils veulent quitter notre pays ? Dimanche dernier, le ministre de la Sécurité et de la Justice annonçait fièrement que les passeports de 41 jihadistes avaient été confisqués pour qu’ils ne puissent pas se rendre en Syrie ou en Irak. Que c’est stupide ! Maintenant ils se baladent, ici, dans nos rues. Ceux qui veulent faire le jihad ailleurs, qui veulent décapiter des gens, commettre des attaques, se baladent dans nos rues à cause de la décision du ministre, aux Pays-Bas. Je le dis depuis dix ans et je le répète une nouvelle fois : fermez la frontière aux immigrants des pays islamiques. Trop c’est trop. La culture islamique de la haine n’a rien à faire ici aux Pays-Bas, et 65% des Néerlandais sont d’accord avec cela. Laissez les jihadistes quitter le pays, et ne les laissez jamais revenir. Telle est la solution. Rétablissez les contrôles aux frontières, expulsez quiconque exprime la moindre sympathie envers l’Etat islamique, enlevez-leur leur passeport néerlandais, exigez que tous ceux qui ont un passeport d’un pays islamique signent une déclaration anti-charia.

    Je dis au gouvernement : réveillez-vous ! ne vous contentez pas de discuter de l’Etat islamique, assurez-vous que les Néerlandais soient en sécurité dans nos rues et en sécurité dans les trains, et puissent faire leurs courses en sécurité. Ne protégez pas seulement les Irakiens contre l’Etat islamique, protégez les Néerlandais contre la menace terroriste islamique. Telle est votre mission, tel est votre boulot, telle est votre responsabilité. Assumez cette responsabilité, faites votre devoir.

    (1) Le verset ne parle pas littéralement d’un bain de sang. Il se poursuit ainsi : « Puis, quand vous les avez dominés… » Mais là il y a une note des autorités sunnites : « Vous les avez dominés : quand vous les aurez affaiblis par un grand nombre de morts et de blessés. » Il s’agit donc effectivement d’un bain de sang…

    (2) Marc Rutte, Premier ministre néerlandais.

    (3) Diederik Samsom, chef du parti du travail.

    Blog d'Yves DAOUDAL

  • En Ouganda, un mort de Marburg, virus "cousin" d'Ebola

    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/10/06/22870-ouganda-mort-marburg-virus-cousin-debola

    Comme pour Ebola, l'hôte naturel du virus serait une chauve-souris. La période d'incubation est de 2 à 21 jours et la transmission interhumaine se fait par les fluides corporels des cadavres ou des malades symptomatiques (et par le sperme jusqu'à plusieurs semaines après la guérison).

    Le Figaro