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Trois hommes dans une voiture ont renversé une dizaine de piétons en fin de journée à Dijon en criant «Allah Akbar» («Dieu est le plus grand», en arabe). Il y aurait onze blessés dont deux graves.
La panique s’est emparée des alentours de la Place Wilson, en fin d’après-midi à Dijon. Selon nos informations, trois automobilistes ont foncé sur des passants en criant «Allah Akbar». Quatre piétons auraient été percutés par un véhicule dans un premier accident avant que sept autres ne soient renversés quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues rue des Godrans, rue Monge et rue du Transvaal, indique Le Bien Public. Il y aurait onze blessés dont deux graves.
«L’homme, né en 1974, présente le profil d’un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré une source proche du dossier indiquant que «pour l’heure ses revendications semblent encore floues». Cette agression survient au lendemain de l’attaque du commissariat de Joué-les-Tours (Indre-et-Loire), où l’assaillant avait agressé des policiers en criant «Allahou Akbar».
La voiture folle a tenté de s’en prendre aux forces de l’ordre, un commissariat étant situé proche de la place Wilson, avant de foncer sur des piétons. Le conducteur s’est enfui après l’accident avant d’être interpellé. En revanche, les deux passagers sont toujours en fuite. Le préfet de Côte-d’Or, Eric Delzant, est sur place. Ce dernier a confirmé que les collisions étaient «volontaires.»
Communiqué de presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen
Ce samedi après-midi, un jeune homme de 20 ans, originaire du Burundi, a attaqué à l’arme blanche trois policiers au commissariat de Joué-lès-Tours. Il a été abattu, avant de pouvoir mener à bien son entreprise meurtrière, même si une policière a été grièvement blessée. L’homme a crié « Allah Akbar » tout au long de son attaque. Si celui-ci était connu uniquement pour des actes de délinquance « classique », son frère en revanche était recensé comme islamiste et a même envisagé un temps de rejoindre le djihad en Syrie.
Cette attaque fait suite à plusieurs vidéos largement diffusées par l’État Islamique dans lesquelles des djihadistes francophones appelaient à attaquer la France et les Français, ces « kuffars » (infidèles), par tous les moyens. Au-delà de l’implication de notre pays dans la lutte contre l’État Islamique, c’est même désormais l’interdiction de la burqa ou du port du voile dans les bâtiments publics qui est présentée comme un motif d’attaque. La concomitance des événements prête à réflexion, et il devient de plus en plus difficile de parler de « loups solitaires » ou de « déséquilibrés ».
La République ne doit plus faire preuve d’aucune faiblesse face aux extrémistes ! La sécurité des Français nécessite désormais de la fermeté. C’est pourquoi le Front National réclame l’interdiction de tous les groupes islamistes radicaux, à commencer par l’Union des Organisations Islamiques de France (UOIF) dont Nicolas Sarkozy a fait un partenaire de l’État dans le cadre du CFCM. Il est aussi plus que nécessaire d’appliquer enfin la déchéance ou le retrait de la nationalité française pour les binationaux impliqués dans les réseaux djihadistes, en France ou à l’étranger.
21/12/2014 – DRESDE (NOVOpress) Condamné en chœur par les partis, les Églises et les media pour ses manifestations pacifiques et de plus en plus nombreuses, le mouvement allemand Pegida(Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident) s’est attiré la haine furieuse de tous les militants immigrationnistes.
La palme dans le déchaînement revient pour l’instant à Fabian Köhler, journaliste au quotidien Neues Deutschland (ancien organe officiel du Parti Communiste de la RDA, désormais proche de Die Linke, équivalent et allié allemand du Parti de gauche de Mélenchon), où il est, selon ses dires, spécialiste « de l’immigration et de l’Islam(ophobie) ».
Lundi dernier, en référence au bombardement anglo-américain qui avait anéanti Dresde en février 1945, il a carrément tweeté : « Encore 10.000 manifestants de Pegida à Dresde [en réalité 15.000 d’après Libération qui n’est pas suspect]. Chers alliés, ce serait de nouveau le moment ! »
Le rapport macabre de l’extrême gauche allemande aux bombardement de Dresde n’est pas nouveau. En février 2014, deux « femens » allemandes, dont la militante « antiraciste » Anne Helm, s’étaient exhibées à Dresde avec une inscription « Merci, Bomber Harris », à la gloire du maréchal Arthur Harris, le maître d’œuvre des bombardements massifs des villes allemandes.
21/12/2014 – JOUE-LES-TOURS (NOVOpress) Bilâl Nzohabonayo, qui a blessé avec un couteau samedi trois policiers en plein commissariat de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) avait publié une vidéo prévenant ceux à qui il devait de l’argent qu’il ne les paierait pas. En effet il “change de vie” (pour mourir en martyr de l’Islam ?).
Ce “Français” né au Burundi a tenté de tuer ses cibles en criant “Allahou Akbar” et a été abattu par les forces de l’ordre.
Le Père Guy Gilbert était invité sur France info ce matin…
Ses paroles y résonnent encore :
"L’Eglise est la seule institution au monde qui n’accepte pas de faire du ventre de la femme un cimetière. Elle n’accepte pas l’avortement, je n’accepterai jamais l’avortement. "
Un poisson translucide découvert à 8145 m de profondeur
Des scientifiques de l'université d'Aberdeen, en Ecosse, ont filmé un poisson vivant au plus profond des abysses, dans la Fosse des Mariannes. Il est décrit comme «incroyablement fragile».
Le poisson découvert par l'université d'Aberdeen, en Ecosse, résiste à une pression extrême. (CAPTURE NEW SCIENTIST.)
Au cours d'une expédition dans la Fosse des Mariannes, des scientifiques de l'université d'Aberdeen, en Ecosse, ont découvert un poisson vivant à 8145 mètres de profondeur. C'est la première fois qu'un tel animal est observé à cette distance de la surface.
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«Ce poisson ne ressemble en rien à ce que nous avons vu jusqu'à présent», commente le Dr Alan Jamieson, dans un communiqué. «Il est incroyablement fragile, avec de grandes nageoires en forme d'ailes et une tête de chien de bande dessinée.»
Grâce à un robot sous-marin, le Hadal-Lander, les scientifiques ont pu capturer des images de l'animal, parmi d'autres espèces observées à différentes profondeurs.
Vivre dans les abysses est une prouesse pour la plupart des animaux, note le magazine «New Scientist», la pression entravant notamment les muscles et les nerfs. Plus tôt cette année, les chercheurs Paul Yancey du Whitman College de Washington et Alan Jamieson de l'université d'Aberdeen, avaient estimé que la profondeur limite pour les poissons était de 8200 mètres, un calcul désormais vérifié par les faits. Le précédent record de profondeur était détenu par le Pseudoliparis amblystomopsis, déniché à 7703 mètres.
L’homme est entré dans le commissariat de Joué-lès-Tours samedi après-midi, armé d’un couteau et avec la ferme intention d’en découdre. Il a blessé trois policiers avant d’être abattu par d’autres membres des forces de l’ordre présents. Le parquet antiterroriste se saisit de l’enquête.
Un homme a été tué ce samedi au commissariat de Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire. Vers 14 heures, il se présente dans le bâtiment et semble particulièrement énervé. Trois policiers tentent de l’approcher pour le calmer. Sans s’expliquer, l’homme sort alors un couteau qu’il a caché dans son dos. Aussitôt, il s’attaque à une femme policière et la blesse au niveau de la joue et de l’oreille, sans toucher la carotide, tout en criant «Allah Akbar», («Dieu est le plus grand», en arabe). Il donne un autre coup de couteau aux deux autres agents en service. Un adjoint de sécurité sort alors son arme et tire à deux reprises sur l’homme, qui meurt sur le coup.
Le parquet antiterroriste s’est saisi de l’enquête dans l’après-midi. Selon nos informations, l’homme était un islamiste connu de la DGSI (Direction générale de la Sécurité intérieure) pour «ses positions radicales.» Il était originaire du Burundi et avait des antécédents judiciaires.
20/12/2014 – PARIS (NOVOpress) Mardi 16 décembre 2014, Bernard Cazeneuve prend publiquement position pour condamner des propos attribués calomnieusement à Éric Zemmour (en l’occurrence l’usage du terme de « déportation » qu’il n’a jamais prononcé). Vendredi 19 décembre 2014, I-Télé, une chaîne d’informations privée met fin à son contrat avec le journaliste.
La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie.
Littéralement, et sans avoir besoin de souscrire à aucune théorie conspirationniste, c’est donc le pouvoir exécutif qui, en pleine lumière -comme un tyran tellement sûr de sa force qu’il ne prend même plus la peine de dissimuler ses entorses à un droit qu’il prétend par ailleurs toujours respecter-, a fait pression sur un organisme privé pour qu’il débarque l’un de ses salariés, au motif que ses propos contreviendraient à l’idéologie dominante. Taubira avait déjà inventé le crime contrefactuel (vous auriez pu être nazi, donc vous êtes potentiellement nazi, donc vous êtes nazi), voilà que Cazeneuve invente le délit de non-dit : vous n’avez pas employé le terme de « déportation », mais vous le pensiez très fort, et ceci tombe sous le coup de la loi et de la justice (qui en l’occurrence ne s’est pas prononcée). La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie. Vous vous excusez ? Vous vous accusez. Vous ne vous excusez pas ? Vous vous accusez quand même. Vous n’avez rien dit ? Oui, mais vous avez pensé. Vous avez seulement pensé ? Oui, mais certaines pensées sont pires que des armes chimiques Monsieur, d’ailleurs si vous n’en avez pas, nous allons vous en trouver… La pénalisation du jugement, la criminalisation des intentions, c’est maintenant.
L’évidence aveugle celui qui n’est pas assez pur pour la recevoir, comme le sens littéral finit parfois par échapper à ceux qui se perdent dans de sophistiques considérations sur les sens figurés. Car enfin, que dit Éric Zemmour qui soit si dérangeant ? Si scandaleux ? Si dur à entendre qu’il faille l’interdire à défaut de pouvoir le contredire ? Il aligne, avec plus ou moins de bonheur, (mais toujours beaucoup de courage en des temps rendus sourds à la littéralité du sens), des évidences. Quelles sont-elles ?
1-Un peuple ne peut pas supporter sans finir par connaître une crise majeure et potentiellement meurtrière l’immigration massive de peuples aux coutumes qui lui sont radicalement étrangères, et ce, sans préjuger aucunement de la valeur des unes comme des autres. Zemmour réintroduit donc un paramètre quantitatif, (jamais indifférent au problème de la mesure), dans un champ politique qui prétend s’en affranchir au nom d’un humanisme abstrait pour lequel 1 ou bien 1 million, cela revient au même…
Chaque vestige, trace, rémanence de ce qui pourrait rappeler la grandeur culturelle du génie français est systématiquement rejeté (saccage méthodique de la langue et de sa puissance d’évocation au nom de normes hygiénistes et morales, ethno-masochisme, repentance continuelle etc.).
2-Il rappelle ensuite que le projet socialiste contemporain, progressivo-libertaire, a une ambition totalitaire puisqu’il désire réformer, non les contraintes de l’espace public pour rendre possible la coexistence pacifique, mais bien les pratiques privées, en les évaluant et les hiérarchisant à l’aune sa propre échelle de valeurs. Il est un dogme métaphysique, plus qu’un art politique, une hystérie de l’histoire, une église sans Dieu, qui fait donc du rien, son dieu (de ce point de vue les Femen n’ont rien d’une « anecdote », non plus que la ritualisation forcée de la laïcité).
3-Qu’une politique de persécution identitaire a lieu en France depuis des décennies, c’est-à-dire que rien n’est fait pour promouvoir et faire fructifier l’héritage gréco-romain et catholique de la France ; et qu’au contraire, chaque vestige, trace, rémanence de ce qui pourrait rappeler la grandeur culturelle du génie français est systématiquement rejeté (saccage méthodique de la langue et de sa puissance d’évocation au nom de normes hygiénistes et morales, ethno-masochisme, repentance continuelle etc.).
4-Il rappelle encore que la complémentarité homme/femme est niée au nom d’un égalitarisme qui n’est que le cache-misère de rapports de domination économique rendant possible la prostitution du vivant et sa commercialisation en pièces détachées pour assouvir les appétits morbides de castes déviantes planétarisées.
5-Il montre enfin, qu’au fond, le socialisme progressiste n’est qu’une politique du déracinement de la personne, qui, au nom de son émancipation individuelle, détruit les conditions de possibilité de son assomption culturelle collective. Un descellement de l’homme qui substitue le virtuel de la technique au surnaturel de la foi, le droit de faire et d’avoir à la liberté de risquer et de perdre, l’égalitarisme qui nivelle à l’équité qui hiérarchise, la préférence pour l’autre au souci de soi, la Différence, dès lors idolâtrée comme un fétiche fantasmatique, à l’Identité, piétinée comme le rebut répugnant de l’histoire de l’Europe, le fantôme spectral des injustices du passé…
C’est pour cela que le pouvoir veut faire taire Éric Zemmour : parce que ce qu’il dit possède la force d’évidence d’un regard lucide et dépassionné sur le réel tandis que le socialisme progressiste n’est lui qu’un art puéril et malfaisant de rêver un réel dont on s’efforce de chasser la violence par tous les subterfuges légaux et techniques imaginables.
Ces constats, analyses et critiques, sont aussi vieux que le progressisme et leur origine doit autant à Tocqueville, Guénon, Jünger ou Heidegger qu’à Valéry, Bonnard ou Bardèche. Éric Zemmour (qui a pour lui la modestie de sa prétention), se contente de les synthétiser pour les rendre accessibles à une population qui parfois sent dans son corps et son cœur plus qu’elle ne sait par sa raison les causes de son mal-être, les mobiles de sa dépression. C’est pour cela que le pouvoir veut faire taire Éric Zemmour : parce que ce qu’il dit possède la force d’évidence d’un regard lucide et dépassionné sur le réel tandis que le socialisme progressiste n’est lui qu’un art puéril et malfaisant de rêver un réel dont on s’efforce de chasser la violence par tous les subterfuges légaux et techniques imaginables.
L’ironie cruelle de la chose est que cette stratégie de l’éteignoir est vouée à l’échec et qu’à vouloir étouffer un feu dans la précipitation, on risque seulement de le propager un peu plus et à des endroits inattendus. Mais ce pouvoir n’est pas seulement malfaisant. Il est aussi très bête. Extrêmement bête. Tout empressement à nier et à faire taire n’est que l’authentification de l’importance de ce qui est affirmé et dit. Zemmour censuré, c’est le succès assuré.
Il n’est donc pas interdit de croire qu’en voulant faire taire Zemmour, ce pouvoir ait ici, lui-même, allumé la mèche qui le fera bientôt sauter. Ce ne serait pas étonnant après tout que ceux qui se réjouissent du Suicide français et qui s’emploient à le précipiter ne soient eux-mêmes, rien d’autre, que des suicidaires…
20/12/2014 – AMSTERDAM (NOVOpress via Bulletin de réinformation) Comme tous les pays d’Europe, les Pays‑Bas comptent des dizaines de milliers de clandestins. Environ 8 000 demandeurs d’asile déboutés refusent chaque année de rentrer dans leur pays. Nombre d’entre eux vivent dans la rue, des squats ou des logements mis à disposition par des organismes de charité ou certaines municipalités sans le soutien du gouvernement central. Le gouvernement néerlandais a en effet refusé de débloquer la somme de 15 millions d’euros aux 60 municipalités les plus infestées qui réclamaient une aide financière.
Une situation intolérable pour un comité d’experts de l’ONU !
Un groupe de rapporteurs spéciaux des Nations Unies, spécialistes des droits de l’homme, a sommé mardi les Pays‑Bas de bien vouloir fournir des abris d’urgence cet hiver aux migrants vivant sur le sol hollandais. Le rapporteur spécial de l’ONU Philip Aston a déclaré « En ces sombres jours précédant Noël, il est effrayant de constater que le gouvernement néerlandais ne souhaite pas consacrer moins de 0,01 % de son budget annuel pour aider des gens vivant dans la misère et la pauvreté absolue ». On notera qu’il est autorisé d’utiliser Noël lorsqu’il s’agit de culpabiliser les nations européennes. Leilani Farha, le rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à un logement convenable (sic) a pour sa part rajouté « Les services d’urgence tels que les refuges pour itinérants, et des alternatives de logement adéquat, doivent être mis à la disposition des migrants, indépendamment de leur statut juridique dans le pays ».
Quelle est la position du gouvernement hollandais ?
Le gouvernement néerlandais a rejeté ces vertueux appels. Le secrétaire d’Etat à la Justice Fred Teeven ne souhaite pas mettre ce budget à disposition, craignant de miner le système de demande d’asile en récompensant ceux qui n’acceptent pas l’expulsion. Le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits humains des migrants, François Crépeau, lui a répondu, estimant que : « Les politiciens des Pays‑Bas essaient de gagner des voix dans le débat national sur l’immigration au détriment des migrants irréguliers sans‑abri », et ajoutant : « Les flux de migration ne changeront pas en laissant des migrants dormir dans la rue ».
On peut lui rétorquer que la très ferme politique anti‑immigrationniste du gouvernement australien a quant à elle porté ses fruits : il n’y a plus aucun immigré clandestin au pays des kangourous…
Photo : le parlement des Pays-Bas et les bureaux du Premier ministre. Crédit photo : Markus Bernet, via Wikipédia, (cc).
Publié le 20 décembre 2014- Modifié le 20 décembre 2014
Dans un entretien au quotidien italien Corriere della Sera, Eric Zemmour a tenu, fin novembre, des propos sur les musulmans qui ont fait une nouvelle fois polémique. Scandale dans le scandale, le terme « déportation » retranscrit dans l’article mais non employé par l’essayiste, cristallise aujourd’hui les critiques. Les réactions du socialiste hollandien Bernard Cazeneuve, de l’ultra-mondialiste Jacques Attali ou encore de Louis Aliot, vice-président du Front National et député français au Parlement européen.
La chasse au Zemmour est ouverte… Son livre fait mal au système. Tant mieux ! Il a toute ma sympathie face à la meute ! (Louis Aliot)
Une très belle synthèse d’une partie de la réflexion de Soljénitsyne sur notre temps proposée par RéinformationTV…
C’est seulement la deuxième réédition de ce célèbre discours, depuis qu’il fut prononcé devant les étudiants américains de Harvard, à la séance solennelle finale du 8 juin 1978. Les Belles Lettres l’ont assorti d’une préface, signée par celui qui fut son éditeur, son agent et son ami, pendant 35 ans, Claude Durand – longtemps directeur de la maison Fayard, il a lui-même raconté en 2011 le récit tumultueux de la publication de l’œuvre de l’écrivain dans Agent de Soljénitsyne. Une œuvre qui défie le temps et la mode, en opposant, dans Le déclin du courage, à la violence du système soviétique, l’écœurement matérialiste et le vide spirituel de la société occidentale… Soljénitsyne dit son désarroi et défait les œillères.
Discours à Harvard
L’écrivain russe a été expulsé de l’Union Soviétique quatre ans auparavant, au début de la parution des trois tomes de L’Archipel du Goulag. Depuis deux ans qu’il est parvenu en terre américaine, il n’est pas encore sorti de son silence. Il le fait en ce mois de juin 1978, non pas pour s’acharner sur le communisme dont il a déjà opéré une solide critique, mais pour esquisser une terrible et non moins juste dénonciation, celle du système occidental que d’aucuns posent comme l’envers positif du premier. Ce discours va générer un déluge de commentaires, des plus acerbes aux plus élogieux. Le gros de la presse le fustige, préoccupée par l’unique fait politique, et l’élite libérale américaine fulmine contre l’ingrat à qui elle a eu la bonté de donner asile – l’universitaire Richard Pipes ose parler d’une critique « qui sent le pogrom »…
Stéphane Tiki (dont nous ne connaissons pas actuellement la nationalité réelle), 27 ans, a été nommé mercredi président des « Jeunes Populaires » (les adhérents de l’UMP âgés de moins de 30 ans), à l’issue de leur bureau politique réuni par Nicolas Sarközy, selon un communiqué du parti.
Ça fait un bout de temps que le clown triste Finkielkraut et une poignée d’israélolâtres se sont mis en quatre pour défendre un principe : celui de l’identité nationale. Avec quelle véhémence il faut les entendre glapir. La patrie über alles !
Racines, terroir, verts pâturages, clochers carillonnants… Leurs cœurs vibrent à l’unisson pour des images de carte postale que Déroulède aurait bénies des deux mains. Sous leur plume, on assiste à la résurrection des Cuirassiers de Reichshoffen. « Sambre et Meuse » ! « Et, malgré vous, nous resterons français » ! Les voilà prêts à se damner pour un défilé de Jeanne d’Arc. Ne sont-ils pas « à l’avant-garde de la République », comme le déclare le toréador coquet ? Que dis-je, de la République ? De la France éternelle ! C’est beau, et comment dire ? C’est trop beau. On ne leur connaissait pas, à ces gens-là, cet attrait irrépressible, cet amour inextinguible, cette passion folle pour France-la-doulce. Cette soif de Clovis et de Charlemagne. Cette nostalgie du curé de campagne.
Fut un temps pas si lointain où, les yeux injectés de sang, ils sortaient de leurs gonds dès que l’expression « identité nationale » survenait dans la discussion. Le plus banal des gaullistes était tenu pour un adepte de Mussolini. J’ai très bien connu cette époque idiote. On les voyait alors éructer, sangloter, se couvrir la tête de cendres, agonir le nazi qui avait osé proférer une saleté démentielle qui rallumait les crématoires d’antan. Que n’ai-je entendu sur l’identité nationale. Ils auraient donc changé...
Après tout, la rédemption ça existe. Changé, mais pourquoi ? Oui, pourquoi ? Parce qu’ils sont subitement tombés raides dingues du pays de Racine et Corneille, de la « mère des arts, des armes et des lois » ? Parce que leurs yeux s’illuminent lors des Grandes Eaux de Versailles ? Parce qu’ils tombent à genoux quand ils visitent la cathédrale de Chartres ? Parce qu’il leur est impossible de passer une journée sans s’évanouir d’extase en lisant une page de Saint-Simon ? Ce serait un peu vite oublier que Finkielkraut a fondé avec BHL l’Institut d’études lévinassiennes, basé à Jérusalem ; que Gilles-William Goldnadel est président de l’Association France-Israël ; que Meyer Habib a été un gros bras des milices sionistes; j’en passe. Si tous les cerveaux fonctionnaient convenablement, je veux dire sans tabou ni auto-hypnose, bref à 37° de température, on comprendrait vite que ce n’est pas tout à fait le thème de la pièce de théâtre qui est en train de se jouer devant nous. Car ces nouveaux convertis n’ont qu’un objectif en tête, pas très difficile à comprendre pour qui les observe depuis longtemps : celui de rendre honorable l’idéologie maladivement tribale d’Israël, d’en faire la propagande sous tous les climats et de profiter de l’occasion pour jeter un pont entre les sionistes et une certaine droite, prête à tout pour sortir la tête de l’eau.
On assiste à une telle proximité dans chaque livraison de Causeur, le magazine de l’hystérique Lévy (pas BHL, l’autre) ou dans Valeurs actuelles(président du conseil de surveillance : Olivier Dassault), pour ne citer que ces deux organes de la Francisraël. Dans le viseur, la cible principale : l’islam. Avec son cortège désigné : l’antisémitisme, le révisionnisme, le renouveau du nazisme, etc. Je sais bien qu’ils ne profèrent pas que des bêtises. Ils ont parfois de belles envolées. Le lyrisme, ça les connaît. Parfois ils dansent en rythme. Causeur a réalisé en début d’année un joli dossier sur Dieudonné et Ernst Jünger. On appelle ça de la récupération. Le piège à loups est tendu. Et c’est dans ce piège gros comme Meyer Habib (peu mis en avant car aussi mou du bide que du bulbe) que tombent ceux qui veulent bien s’y laisser prendre, parce qu’ils y trouvent un intérêt quelconque, souvent d’ordre personnel et carriériste. Le dernier en date, Ivan Rioufol, résidant au Figaro, l’avoue sans hésiter :
« La France ne doit pas avoir honte de défendre son identité. La démocratie israélienne, confrontée depuis longtemps au même défi de l’islam radical, devient un exemple à suivre. »
Enfin un peu de clarté !
Et Zemmour, là-dedans ? Ah, celui-là. J’ai pris sa défense naguère, quand la meute des bien-pensants se déchaînait contre lui et je ne retire pas un iota à ce que j’ai écrit. Que voulez-vous ? J’ai mes bonnes oeuvres. Il aime tellement paraître antipathique qu’il ne réussit pas à l’être autant qu’il le voudrait. Il est assez évident qu’il se démarque des autres ne serait-ce que parce qu’il a le cul entre deux chaises. Chez Jean-Marie Le Pen, au début des années 2000, il était très en cour, chose rarissime dans sa confrérie ; personne ne connaissait Louis Aliot à l’époque. Il avait une longueur d’avance, Éric. Un petit malin.
N’empêche. Si Zemmour était parfaitement honnête avec lui-même et voulait, en tant que patriote impartial, s’en prendre aux vrais responsables de la montée de l’antisémitisme en Occident et dans le monde, il devrait systématiquement pointer du doigt les États-Unis et pas le Coran, qui existait, que je sache, bien avant les attentats de Toulouse et de Bruxelles. Au XVIIIe siècle, le Vénitien Casanova estimait « le mahométisme plus raisonnable que le christianisme » (Le Philosophe et le théologien) ; on ne peut soupçonner le libertin d’avoir été un fanatique religieux. Sous le Second Empire, du haut de Notre-Dame l’émir Abd el-Kader s’écriait, admiratif : « Paris est une ville de géants ! » Et pourtant ce grand seigneur avait perdu la guerre. Je ne crois pas non plus que l’un des meilleurs spécialistes de la spiritualité traditionnelle, René Guénon, devenu ’Abd al-Wâhid Yahyâ, ait enseigné un jour qu’il faille faire sauter les synagogues muni d’une GoPro à la ceinture. Non, Zemmour, ce sont les Yankees qui ont armé les islamistes dans les années 1980 en Afghanistan, eux qui leur ont fait jouer une influence néfaste en Europe dans les années 1990, et puis eux encore qui ont rompu l’équilibre au Proche-Orient en menant une suite infernale de guerres néo-coloniales sans scrupules. Ils ne sont pas musulmans, ils sont athées, juifs ou chrétiens dans la version la plus nulle de toute : l’évangélique.
S’il voulait pousser la logique jusqu’au bout, Zemmour commencerait enfin par souligner l’influence néfaste du plus gros vecteur d’antisémitisme au monde : Israël lui-même, pays le plus cordialement détesté par toute la planète du fait de l’état de guerre permanent qu’il inflige à la région (et au reste du monde par extension), de sa paranoïa furieuse, de son racisme pénible, de sa chutzpah ostentatoire et de la propagande roublarde qu’il fait ingurgiter tous les jours, 24h sur 24, à tous les peuples de la terre – l’une des plus grosses pompes à fric de l’histoire.
Avant de désigner le banlieusard de base, c’est par là que Zemmour devrait creuser et non dans l’interprétation oiseuse de sourates dont il ne maîtrise pas le sens. Le « banlieusard de base » salafisé tombe dans les pièges tendus par le système ; comme les autres, et parfois un peu plus que les autres. Il a sa part de responsabilité, qui s’appelle prioritairement la connerie. Mais ce n’est pas lui qui a dressé les plans. Il n’est pas l’ordonnateur des conflits. C’est un maillon de la chaîne, un pion, un type qui n’est pas intégré dans une société devenue inintégrable et qu’on envoie au feu sans vergogne pour que son geste jette l’opprobre sur une communauté qu’il croit défendre et une cause qu’il entend servir. Bien documenté, Zemmour devrait être suffisamment informé pour le savoir. Alors, doucement les basses, haut les coeurs et désignons les vrais coupables de ces fléaux sans tomber dans les rets que dressent les agents d’Israël pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. La France ne s’en portera que mieux, et on pourra visiter ensemble le Grand Trianon en chantant :
Au diable guerres, Rancunes et partis ! Comme nos pères Chantons en vrais amis, Au choc des verres Les roses et les lys !
Jérôme Chodron de Courcel occupe un appartement HLM en plein coeur de Paris depuis les années 80, époque où son beau-frère Jacques Chirac était maire de la capitale. Selon «Le Monde», d'autres proches habitent la même résidence.
ARCHIVE. Le frère de Bernadette Chirac, Jérôme Chodron de Courcel, loue pour une somme dérisoire un appartement HLM en plein Paris depuis les années 80, lorsque son beau-frère Jacques Chirac était maire de la capitale. (LP/L.C.)
Le frère de Bernadette Chirac, Jérôme Chodron de Courcel, occupe depuis 1984 un spacieux appartement du quartier Saint-Paul, dans le 4e arrondissement de Paris. Selon les informations du «Monde», ce logement calme et bien situé lui est loué pour une somme dérisoire puisqu'il s'agit d'une HLM.
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Ce logement social lui a été attribué à l'époque où son beau-frère, Jacques Chirac, était maire de la capitale.
Selon le quotidien du soir, le petit immeuble de trois étages abrite d'autres personnalités proche du microcosme politique, et plus encore de l'ancien président de la République. Ainsi Pierre Mazeaud, ancien secrétaire d’Etat du gouvernement Chirac et ancien président du Conseil constitutionnel, habite à quelques pas de Jérôme Chodron de Courcel. Ce dernier assume : «A 86 ans, les difficultés de l’organisation d’un déménagement me retiennent dans cet appartement et j’ai proposé à la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP) de payer un surloyer». Le commissaire Yves Jobic, ancien patron de l’antigang, est lui locataire depuis 1987.
Moins de 15 euros le mètre carré en plein centre...
Dans le quartier, le mètre carré est estimé à un peu plus de 30 euros. Les illustres locataires de cette résidence HLM payent eux, entre 11 et 15 euros le mètre carré, hors charges.
«Le Monde» rappelle que l’immeuble a longtemps été sous administration de la Sagi, la Société anonyme de gestion immobilière, qui disposait jusqu’en 2005 d’un réservoir de 35 000 logements. Plusieurs milliers sont loués à des personnes non assujetties à la moindre condition de ressources, parmi lesquels de nombreux proches de l’ancien maire de Paris.
Dans le cas de Jérôme Chodron de Courcel, le quotidien explique qu'en 2007, suite à une demande de la Régie, le frère de Bernadette Chirac a cédé l'un des deux appartements de la Ville de Paris dont il bénéficiait : le plus petit.