Darren Goforth, 47 ans
http://www.fdesouche.com/640331-etats-unis-un-sherif-adjoint-abbatu-sur-fond-de-racisme-antiblanc
+ VIDEO (en anglais)
RIP
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Darren Goforth, 47 ans
http://www.fdesouche.com/640331-etats-unis-un-sherif-adjoint-abbatu-sur-fond-de-racisme-antiblanc
+ VIDEO (en anglais)
RIP
Marine Le Pen était ce samedi à Brachay, petit village de Haute-Marne .
Dans son discours de rentrée, prononcé samedi au coeur de la Haute-Marne, la présidente du Front national s'est posée en future présidente de la France et de la région Nord-Pas-de-Calais Picardie.
De notre envoyé spécial.
Lors de son quatrième passage samedi à Brachay, petit village de Haute-Marne érigé en symbole national des «oubliés» de la France, Marine Le Pen a promis «l'aurore du renouveau national» à l'issue d'un discours de quarante-quatre minutes.
D'emblée, la présidente du Front national a vanté une «parole différente» collant enfin, selon elle, à «la réalité». «Pas comme les rangs mous des UMP républicains qui s'endorment devant les discours d'Alain Juppé, qui font semblant de rire devant les sketches de Nicolas Sarkozy» a-t-elle attaqué en dénonçant un «zombie de la politique».
En opposant ceux qui veulent «détruire à la France» à ceux qui auraient envie de la «relever», Marine Le Pen a énuméré les grands classiques de son combat politique. Elle a débuté en vantant, situation oblige, l'ancienne «immense puissance agricole». «La situation de la France sous la présidence Hollande, ce n'est plus simplement une dégradation, c'est maintenant une déchéance complète» a-t-elle fustigé en visant celui qu'elle traitera un peu plus tard de «roi fainéant».
Pointant l'Union européenne comme la source de tous les maux français, l'eurodéputée a mis en garde son public contre les conséquences, à ses yeux, du traité transatlantique négocié «en secret».
Marine Le Pen a présidentialisé son discours, sous les applaudissements et les vivas, en disant ce qu'elle ferait si elle était au pouvoir. «Avec un vrai président, ou une vraie présidente» a-t-elle lancé avant d'énumérer quelles seraient ses décisions politiques: annulation des sanctions contre la Russie, arrêt de la participation aux négociations du traité transatlantique, abrogation de la directive sur le détachement des travailleurs, vote d'une loi «achetons français», nationalisation de la politique agricole commune et arrêt des versements à l'UE, référendum national sur la sortie de cette même UE... «Il n'y a pas de compromis possible» a-t-elle clamé.
La présidente du parti frontiste n'a pas manqué également de pointer la réforme territoriale en s'engageant sur une réduction du nombre d'élus locaux et la défense des départements. «Nous porterons dans la campagne régionale le grand souffle démocratique du concept de référendum d'initiative populaire pour les grands projets régionaux», a annoncé l'élue.
Croisant les crises «économiques, sociales» et «migratoires» pour mieux dénoncer une impuissance, Marine Le Pen a estimé que le pouvoir était «submergé», «débordé» et «noyé» avant de proposer un «modèle patriote, écologique et tirant les travailleurs vers le haut». Se disant «exaspérée» par les discours de François Hollande sur le «retour de la croissance», elle a vivement attaqué sa gestion de l'économie et du chômage, l'ère de «l'hyperfiscalité». «La situation, mes chers amis, va encore s'aggraver» a-t-elle prédit en évoquant, notamment, les conséquences de la «crise chinoise».
Dans la seconde partie de son intervention, Marine Le Pen s'est attardée sur la «déferlante migratoire» et «l'islamisme radical». Là aussi, elle a promis des actes en ironisant au passage sur les réactions de la maire UMP de Calais et sur certaines déclarations de Manuel Valls. «Eh bien, moi je compte bien, si je gagne la région, tout entreprendre pour régler la situation» a-t-elle dit. Pour elle, il faut en finir avec les «aides ultrafavorables imposées par les directives européennes et acceptées par les partis au pouvoir depuis des années» qu'elle promet de «supprimer». Critiquant le logement gratuit et l'aide médical d'Etat, elle a ajouté: «Pendant ce temps, combien de familles françaises où l'on ne se soigne pas correctement les dents ou les yeux parce que cela coûte cher et que c'est très mal remboursé? ««On n'a pas la CMU nous!» crie un homme dans l'assistance.
«Je n'accepte pas ces injustices, je n'accepte pas ce désordre» a martelé l'oratrice avant d'affirmer avec force, dans un discours aux accents de plus en plus présidentiels: «Mon objectif est clair: arrêter l'immigration légale et clandestine. Ma méthode est limpide: se donner les moyens de le faire».
Concluant son propos sur les dangers du «fondamentalisme islamiste» et du «communautarisme», Marine Le Pen a enfin prôné, une nouvelle fois, l'expulsion des «étrangers fichés pour leurs liens avec la mouvance radicale», l'interdiction, pour eux, du territoire français et la fermeture des «mosquées radicales». Exigeant la «loi partout» et «tout le temps», elle a précisé: «Je demande que l'on mette l'islam radical à genoux et je le ferai toujours, a insisté la présidente frontiste, parce qu'à la différence de ceux qui nous gouvernent, je ne me résignerai jamais à demander aux jeunes Français, comme l'a fait Manuel Valls, de s'habituer à vivre avec le terrorisme islamiste.»
Puis, revenant sur l'échéance électorale des régionales, Marine Le Pen a ciblé une «majorité» pour laquelle il resterait «moins de deux ans à vivre». «Les socialistes savent que l'hiver va venir, que les Français vont les chasser et que c'est nous, les patriotes, qui allons les pousser vers la sortie en commençant par les conseils régionaux» a prévenu samedi la star, très applaudie, de Brachay avant de lancer une dernière prédiction: «Dès décembre prochain, nous pouvons transformer les élections régionales en aurore du renouveau national. Après, il restera seize mois pour que le peuple français redevienne maître chez lui!
NdB: Magnifique Marine qui n'a peur de rien ni de personne!
Lors de son discours de rentrée ce samedi, à Brachay (Haute-Marne ), Marine Le Pen a déploré le manque de considération envers la France rurale, dans laquelle « Brachay est le symbole d’une France des oubliés ». Pour elle, il est temps de « redonner la parole à la majorité silencieuse ».
La présidente du FN Marine Le Pen est revenue, samedi lors de son discours de rentrée à Brachay (Haute-Marne), aux fondamentaux du parti d’extrême droite en fustigeant la « déferlante migratoire » qui s’abat sur l’Europe.
« Il faut supprimer tout ce qui incite les clandestins à venir en France. L’AME sera parmi les premiers textes abrogés. »
« Mon objectif est simple : arrêter l’immigration légale et clandestine. » #Brachay2015#
Elle s’est longtemps attardée sur la crise migratoire, à l’occasion de sa rentrée politique devant 600 à 700 partisans réunis dans ce village d’une soixantaine d’habitants de Haute-Marne qui lui a offert son plus haut score au premier tour de la présidentielle 2012, 72%.
« Ils ne vous le disent pas et pourtant la situation de l’immigration est aujourd’hui en France totalement hors de contrôle. L’immigration était déjà gigantesque sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy (…), tout a été fait sous Nicolas Sarkozy et François Hollande pour que cette vague grossisse, prenne du corps et aujourd’hui déferle à pleine vitesse sur notre pays« .
A quelques mois des régionales, la tête de liste FN dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie n’a pas caché ses ambitions. « Dès décembre prochain, nous pouvons préparer l’avenir et montrer la voie, transformer les élections régionales en aurore du renouveau national. Après, il restera 16 mois avant la mère de toutes les élections pour que le peuple français redevienne maître chez lui, le seul et véritable acteur de son destin« , a jugé Mme Le Pen.
Elle a décrit une France qui manque d’ »un vrai président ou d’une vraie présidente », dénonçant les « promesses électorales puis la lâcheté sans limite une fois au pouvoir » des socialistes et des Républicains.
« La situation de la France sous la présidence Hollande ce n’est plus la simple dégradation : c’est la déchéance complète. Ce n’est plus la France des oubliés, la France elle-même est oubliée » a lancé la dirigeante d’extrême droite, dépeignant François Hollande en « président fainéant » sous les acclamations de ses soutiens.
http://www.fdesouche.com/636517-tailande-explosion-dune-bombe-dans-le-centre-de-bangkok
(merci à Dirk)
Salut,
Je t’ai vu à la télévision dimanche soir. Tu débarquais triomphant de ton bateau pneumatique sur cette île. Je t’ai entendu jubiler, que tu avais 20 ans, que tu étais chrétien et que tu fuyais la guerre.
Les médias occidentaux, gangrénés par des journaleux gauchisants ne savent plus quoi faire pour essayer de nous culpabiliser. J’avouerai que ces images et ton discours m’ont mis mal à l’aise. Alors j’ai réfléchi. Ce que j’ai à te dire ne va pas te plaire. Ça ne plaira pas non plus à tous ces humanitaires, ces comités de soutien et ces ONG qui t’utilisent comme matière première de leur petit business.
Si toi qui as 20 ans refuse de te battre pour ton pays, qui va le faire?
Je vais faciliter ta réponse. Il te suffira d’évoquer les points Godwin pour me discréditer. Tant pis, les leçons de l’Histoire seule peuvent nous éviter de refaire indéfiniment les mêmes erreurs. Il y a 71 ans, l’Europe a connu un autre débarquement. Des gamins de 20 ans comme toi sont venus par milliers.
Pas pour nous envahir, mais pour nous libérer. Pas pour lâchement sauver leur cul, mais pour se battre. Ils sont morts pour des idées, pour un rêve de liberté, dans un pays qui n’était même pas le leur. Parce que c’était des hommes de devoir et qu’il fallait le faire.
Je ne dis pas qu’ils sont morts en héros. La mort n’est jamais belle. Certains ont atrocement souffert, d’autres sont morts comme des chiens. Mais ils l’ont fait.
Tu commences à comprendre où je veux en venir? Je sais bien qu’il y a des perspectives plus réjouissantes que de devoir prendre les armes et se battre. Le politiquement correct et la bienpensance dominante font que l’on glorifie désormais les fuyards et les déserteurs. Sache qu’il y a encore dans cette Europe de sans-couilles quelques hommes d’honneur, quelques patriotes, – estampillés vieux cons rétrogrades par toute la frange des fiottes qui te soutiennent -, pour qui tu n’es qu’un lâche.
Tu n’as pas de courage, tu n’as pas d’honneur, tu n’as plus de pays. Je ne te méprise pas, tu n’en vaux pas la peine. Tu as réussi à escroquer tes parents pour avoir de quoi payer les passeurs, tu continueras à vivre en parasite puisque c’est comme ça que ça fonctionne et que c’est l’idéal qu’on t’a fait miroiter.
Il y a cette autre question qui découle de la première et qui entretient mon malaise.
Si tu n’aimes pas assez ton pays pour te battre pour lui, que viens-tu faire chez moi? Ne me dis pas que tu vas aimer ma patrie comme la tienne: tu viens de lui tourner le dos! Au moindre problème tu reprendras ta route. Je sais que je ne peux pas compter sur toi.
Je suis un sale con nationaliste. Mes écrits puent l’extrême-droite. On m’accusera d’être xénophobe, que mes propos sécrètent la haine. Tes nouveaux petits copains médiatico-humanitaro-donneurs de leçons ne vont pas me louper.
Tu peux me haïr, c’est facile. Mais sache une chose: dans 30 ans, quand tu regarderas en arrière et que tu verras ce gosse de 20 ans qui a refusé de se battre, tu te détesteras. Tu comprendras ce que je voulais dire. Mais il sera trop tard.
Tant pis pour toi.
Mireille Greschter(merci à Dirk)
28/08/2015 – FRANCE (NOVOpress)
L’association immigrationniste Singa vient d’annoncer le lancement du dispositif CALM (Comme A La Maison) avec le slogan suivant : “Vous avez une chambre libre dans votre appartement ? hébergez un réfugié“.
Pour Alice Barbe, cofondatrice de l’association Singa, «Le projet Calm est une sorte de Airbnb, mais adapté aux réfugiés».
Voici la présentation du projet :
Vous cherchez une solution de logement pour quelques jours, quelques semaines ou quelques mois ? Et surtout, vous cherchez une expérience humaine qui va vous permettre de vous familiariser avec la France ?
Le dispositif CALM permet la mise en relation entre des réfugiés mal logés ou sans domicile fixe et des particuliers. Pour cela, il s’appuie sur une communauté grandissante de citoyens souhaitant s’engager sur l’accueil des réfugiés et, à terme, sur une plateforme web qui permettra un impact plus important. Ce dispositif doit répondre, au-delà de l’hébergement, au besoin important et grandissant d’inclusion socio-professionnelle des réfugiés en France.Avec des projets tels que celui de l’association Singa, l’invasion migratoire n’est pas prête de s’arrêter…
Pour ce qui semble être un simple regard de travers, un père et son fils ont été roués de coups par un groupe de jeunes dans la nuit de mercredi 26 à jeudi 27 août, dans le bas de la rue de Dunkerque, à Saint-Omer. Trois mineurs et un majeur comparaîtront devant la justice.
[...] Après avoir reçu quelques coups, la victime parvient à s’extirper, et appelle son père à la rescousse. Ce dernier, âgé de 50 ans, arrive au volant de sa voiture aux abords du quartier Bon-Mariage. Le groupe de jeunes lui barre la route et commence à frapper sur la voiture. Le père est tiré du véhicule, et roué de coup. Les agresseurs s’emparent même de la canne avec laquelle il est contraint de se déplacer pour le passer à tabac. Ils finissent par lui fracasser une bouteille en verre sur le crâne, dont quelques résidus viennent se loger dans un œil. À ses côtés, son fils reçoit encore quelques coups.
Malgré tout, les deux victimes parviennent à s’enfuir et trouvent refuge au commissariat, en pleine nuit. Les policiers les conduisent au centre hospitalier pour qu’elles se fassent soigner. Le père en est quitte pour une incapacité totale de travail (ITT) de sept jours, un jour pour le fils. [...]
Deux mineurs ont été placés sous contrôle judiciaire. Le majeur, déjà très défavorablement connu des services de la justice, comparaîtra devant le tribunal correctionnel lundi matin. Il a été placé en détention dans l’attente de son procès.
Ils sont dix et ont de 15 à 23 ans. Tous ont opté pour des vacances un peu particulières. Ils participent à une immersion au sein de la Légion étrangère à Calvi.
Ici pas de repos, les jeunes sont réveillés à cinq heures par les instructeurs pour un footing à travers les dunes. Tous ces jeunes ont accepté de rompre avec leurs habitudes des quartiers nord de Marseille.
Un afro-américain, frustré par son licenciement d’une chaîne locale de Virginie, a assassiné en direct, à coups de revolver, une journaliste et un caméraman blancs. Il a filmé le massacre.
Justifiant son acte par un long texte décousu et victimaire, Vester Lee Flanagan ne cache pas sa haine du Blanc et son délire de persécution en tant que noir et homosexuel…
Chez lui, un drapeau arc-en-ciel, symbole du lobby homosexuel : il n’a pas été question de l’interdire, contrairement au drapeau sudiste dans une autre affaire il y a quelques mois.
Barack Obama et Hillary Clinton (candidate Démocrate à sa succession) n’ont rien trouvé de mieux que de relancer leur obsession visant à désarmer les honnêtes citoyens (dont les armes sont déclarées) pour le plus grand bénéfice des gangsters (dont les leurs ne le sont pas).
À Cluj-Napoca, Capitale européenne de la jeunesse 2015, ceux qui s'affichaient avec un bon livre dans les transports en commun se sont vu offrir leur titre de transport durant une semaine. Bien vu.
"Je crois qu'il est mieux de promouvoir la lecture en récompensant ceux qui lisent plutôt qu'en critiquant ceux qui ne lisent pas", explique Victor Miron, jeune enthousiaste à l'origine de l'initiative qui a couru durant une semaine du mois de juin dans la ville de Cluj-Napoca, au nord-ouest de la Roumanie.
Convaincu qu'il faut innover pour promouvoir la lecture auprès des plus jeunes, Victor Moulon a eu l'idée d'offrir le trajet aux navetteurs qui lisaient dans les transports en commun. Lorsqu'il a proposé l'initiative au maire de la ville, Emil Boc, celui-ci a immédiatement répondu avec enthousiasme.
Le projet s'inscrit dans une série d'événements organisés dans le cadre de l'European Youth Capital 2015 que Cluj-Napoca a décroché cette année. D'autres initiatives ont également été prises dans le même sens, comme l'affichage de citations d'auteurs classiques et contemporains dans les bus et trams de la ville, la distribution de marque-pages, ou encore l'entrée gratuite au Jardin botanique offerte aux gens qui portaient un livre sur eux.
Mais Victor Miron ne compte pas s'arrêter là et organise aussi Bookface, qui encourage les utilisateurs de Facebook à utiliser une photo de profil sur laquelle on les voit lire, en échange de réductions chez certains libraires, coiffeurs et même dentistes. Et essaie même de convaincre Mark Zuckerberg de s'y mettre...
Pas moins de 7603 membres des forces de l'ordre ont été blessés en opération l'an dernier. «Le tabou de l'autorité est en train de tomber», déplore Pascal Lalle, directeur central de la sécurité publique.
Selon un bilan porté à la connaissance du Figaro, pas moins de 7603 membres des forces de l'ordre ont été blessés en opération l'année dernière. Soit près de vingt victimes par jour. Depuis 2008, les chiffres ont explosé de 46 %. Alors que les gendarmes dénombrent 1769 victimes à la suite d'une agression, les policiers recensent de leurs côté 5834 blessés en mission. Le mépris ne cesse de croître à l'égard des porteurs de l'uniforme. Comme si l'immense élan de sympathie du 11 janvier dernier au lendemain des attentats qui ont ensanglanté la région parisienne avait masqué la haine viscérale d'une frange de la population.
«Le tabou de l'autorité est en train de tomber dans certains secteurs géographiques, déplore Pascal Lalle, directeur central de la sécurité publique, à la tête de 66.000 hommes. Le policier, représentant de l'État et des pouvoirs publics, focalise une certaine révolte de la part d'individus qui ne répondent plus aux injonctions, qui agressent avec parfois la volonté de tuer.»Selon nos informations, 805 gendarmes ont également été agressés avec des armes en 2014, soit un bond de 28% par rapport à la même période de l'année précédente. Il s'agit là de la hausse la plus significative jamais enregistrée depuis dix ans.
LE FIGARO
3 questions à François Billot de Lochner, président de la Fondation de service politique et du collectif France Audace.
Nouvelles de France : La Fondation de service politique est associée à l’organisation de l’Université d’été qui se tient ce week-end à la Sainte Baume, sous l’égide du diocèse de Fréjus. Marion Maréchal Le Pen a été invitée pour intervenir au cours de ces journées, ce qui a déclenché une polémique. Qu’en pensez-vous ?
François Billot de Lochner : Je trouve assez extraordinaire que l’on se pose la question de savoir s’il est opportun ou non d’inviter, à une université d’été clairement catholique, une députée talentueuse qui se revendique publiquement catholique… Marion Maréchal Le Pen, sur les sujets dits « sociétaux », fait partie de ces élus nationaux, si peu nombreux hélas, qui n’ont cessé de se battre avec un rare courage et une rare ténacité contre les déconstructeurs de tous bords, à la basse manœuvre depuis 2012. Dans ces conditions, ne pas l’inviter à la Sainte Baume aurait été à la fois une faute et une erreur.
Nouvelles de France : Marion Maréchal Le Pen appartient tout de même à un parti, le Front National. L’inviter ne revient-il pas également à valoriser son parti ?
François Billot de Lochner : Je constate que Marine Le Pen est la seule responsable d’une grande formation politique à prendre des positions cohérentes sur un certain nombre de sujets fondamentaux, comme par exemple la loi Taubira dont elle semble être la seule à exiger l’abrogation pure et simple. À cet égard, inviter une députée de son parti, qui défend à temps et à contretemps les valeurs sur lesquelles s’est bâti notre pays, ne me paraît pas être une option, mais plutôt un devoir…
Nouvelles de France : Pour éviter toute polémique, n’aurait-il pas été préférable d’inviter un élu national moins « marqué » ?
François Billot de Lochner : Agir de cette façon serait revenu à se coucher devant le système politico-médiatique, qui s’attribue autoritairement, je dirais même dictatorialement, la mission de dresser le catalogue des personnes dites fréquentables et des personnes qui ne le sont pas. Marion Maréchal Le Pen mérite évidemment d’être fréquentée, et a donc toute sa place à l’Université de la Sainte Baume, n’en déplaise au Système.
NOVOPPRESS
http://www.fdesouche.com/638921-perpignan-une-jeune-fille-decouverte-egorgee-dans-un-parc
+ AUDIO
RIP Erika
L’invitation de la députée du Front national, Marion Maréchal-Le Pen, à une université d’été catholique, une première, suscitait l’émoi ce jeudi « dans les rangs chrétiens », certains soulignant l’incompatibilité de la doctrine de ce parti avec l’Evangile.
La députée de 25 ans, réputée proche des milieux catholiques traditionalistes, doit participer samedi à Plan-d’Aups-Sainte-Baume, dans le Var, à une table ronde sur le thème «Politique et médias» au côté de personnalités politiques de droite et de gauche. Cette université d’été a été initiée par l’évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, Monseigneur Dominique Rey, figure plutôt conservatrice de l’épiscopat français, qui assume son choix d’inviter Marion Maréchal-Le Pen au motif que le Front national «fait partie du paysage politique français, surtout dans le sud de la France». «Il ne s’agit pas d’être complaisant, mais c’est l’occasion, au contraire, d’interpeller le FN sur son rapport à l’immigration, sa vision de l’homme et du vivre ensemble dans une société pluraliste», assure l’évêque, dans les colonnes du Figaro. [...]
La Conférence des évêques de France (CEF) «ne cautionnera jamais un parti politique où toute formation dont les thèses seraient contraires à ces valeurs», a dit son directeur de la communication Vincent Neymon.
Un commentaire inattendu est en outre venu du président du Sénat, Gérard Larcher, qui s’inscrit à droite dans la tradition du christianisme social. «Attaché à la laïcité, et aussi chrétien, d’une autre Eglise certes (protestante, NDLR), je me dis tout simplement : est-ce que c’est compatible avec les valeurs évangéliques ? », a-t-il dit sur la radio RTL.