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Entretien avec Me Olivier Pardo, avocat d'Eric Zemmour
« Zemmour est inclassable, et donc insupportable pour ses adversaires ! »
Vendredi dernier s’est déroulé le septième procès contre Éric Zemmour pour provocation à la haine raciale. Son avocat, Olivier Pardo, répond aux questions de Charlotte d’Ornellas pour Boulevard Voltaire.
Très intéressant sur la justice et la politique!
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Entretien Robert Ménard et Philippe de Villiers
BOULEVARD VOLTAIRE
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Nicolas Bedos relaxé: pas d'injure raciale...
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Soutien à la Hongrie de Viktor Orban !
Ecrit le 9 nov 2015 à 12:45 par Christian Vanneste dans Poing de vue
Samedi, j’ai répondu, en tant que président du RPF à l’invitation de Karim Ouchikh et Frédéric Pichon, respectivement président et vice-président du SIEL (Souveraineté, Indépendance, Et libertés), ce parti fondé par un autre gaulliste, et ami, Paul-Marie Couteaux. Nous nous sommes retrouvés square Foch à Paris à côté de l’Ambassade de Hongrie et devant un millier de personnes pour dire notre soutien à la Hongrie et à la politique menée notamment contre la déferlante migratoire par son Premier Ministre, Viktor Orban. De très nombreux policiers, sans doute plus utiles pour lutter contre la délinquance, encadraient la manifestation. Cette très coûteuse démonstration de force avait-elle pour but de souligner le caractère extrémiste du rassemblement ? Pas de chance ! Les amis que j’y ai retrouvés et qui ont comme moi pris la parole témoignaient au contraire d’un regroupement de personnalités de droite, certes, mais venus d’horizons divers, et qui se réunissaient à l’appel du bon sens face à l’effondrement de l’Europe, et singulièrement de la France en son sein. Etaient présents Charles Beigbeder pour l’Avant-Garde, François Billot de Lochner qui préside aux destinées de la Fondation de Service Politique, un mouvement chrétien inspiré par la Doctrine sociale de l’Eglise, Roland Hureaux, ce gaulliste qui au sein du RPF conseilla Charles Pasqua. Renaud Camus, le théoricien lucide du « grand remplacement », Pierre Cassen et Christine Tasin de Riposte Laïque étaient au premier rang, mais n’ont pas pris la parole. Voici en substance la déclaration que j’ai faite lors de cette manifestation :
» Nous sommes rassemblés ici pour exprimer notre soutien à la Hongrie, à la Hongrie de Viktor Orban.
D’abord, parce que la Hongrie est la championne de la liberté. En 1956, dans les rues de Budapest, les Hongrois se sont révoltés et ont renversé la dictature communiste et fait vaciller l’empire soviétique avant que celui-ci n’écrase la révolution et ses partisans sous ses chars. Le 19 Août 1989, c’est encore la Hongrie qui a soulevé le rideau de fer, et qui a entamé l’effondrement du bloc de l’Est. A Sopron, un pique-nique pan-européen, organisé à l’instigation de Otto de Habsbourg, se tenait aux abords immédiats de la frontière autrichienne. De nombreux Allemands de l’Est en ont profité pour gagner la liberté sans que les Hongrois s’y opposent. Le « mur de Berlin » était condamné. On dira que la Hongrie de l’époque ouvrait ses barrières et que maintenant elle les ferme. Il est clair pourtant que dans les deux cas, le but est la liberté. Dans le premier, il s’agissait de permettre à des Allemands de rejoindre la partie libre de leur pays. Dans le second, il s’agit d’empêcher une masse de migrants d’envahir l’Europe. On parle de 3 millions d’ici 2017. Ces immigrants ne sont pas tous des réfugiés syriens, mais dans leur quasi-totalité, ils sont de confession musulmane, et véhiculent des pratiques culturelles étrangères à l’Europe, et à ses valeurs. Certains d’entre-eux peuvent demain se révéler des terroristes fanatiques. La liberté pour un peuple, c’est aussi de préserver son identité, sa manière de vivre et sa sécurité, la première des libertés. Pour le 20e anniversaire du pique-nique de Sopron, Mme Merkel avait déclaré : « l’Allemagne remerciera toujours le peuple hongrois pour son courage ». Quand on perçoit le trouble qui a saisi la Chancelière, débordée par les conséquences de son encouragement irresponsable aux « réfugiés », on peut penser qu’elle devrait remercier la Hongrie pour sa clairvoyance.
Mais la Hongrie est aussi la championne de la démocratie contrairement à ce que laissent entendre l’oligarchie européenne et e microcosme médiatique français. Le gouvernement de Viktor Orban est soutenu d’abord par son parti, le Fidesz, l’Alliance des Jeunes Démocrates fondée sous le régime communiste, devenue « Union Civique », un parti de centre-droit traditionnellement uni aux démocrates-chrétiens. La présence dans son opposition de Jobbik, une formation d’extrême-droite clarifie les choses. Fidesz est un parti politique de droite, avec les idées qui devraient partout réunir la droite : le conservatisme des valeurs morales et culturelles, le libéralisme économique, le patriotisme. Ce n’est pas Fidesz qui est étonnant, mais ce que sont devenus les partis qui se prétendent « de droite » chez nous et qui ne sont plus que des officines de placement de carriéristes sans conviction. Largement majoritaire pour la seconde fois, il représente légitimement le peuple hongrois. Peu de gouvernements européens obligés à des alliance de circonstance ou très minoritaires dans l’opinion peuvent en dire autant. Mais au-delà des chiffres, la démocratie , c’est aussi respecter le « démos », le peuple, ce qu’il est et ce qu’il veut. Or, les technocrates européens et les lobbys qui les orientent, non seulement n’ont aucune légitimité populaire mais leur action consiste au contraire à effacer les frontières nationales jusqu’aux confins de l’Europe élargie que les pays qui les bordent sont incapables de contrôler. Non contents de faire de l’Europe un ectoplasme géographique soumis à toutes les pressions, ils ont aussi entrepris de gommer son identité. Le valeurs chrétiennes, celles du mariage et de la vie plus particulièrement, sont inscrites dans la Constitution hongroise. Elles ne l’ont pas été dans le projet de constitution européenne.
Enfin, la Hongrie est encore la championne du bon sens, ce bon sens auquel se référait le général de Gaulle en Juin 1940. Jean-Claude Juncker, qui préside la Commission Européenne après avoir dû quitter son poste de 1er Ministre du paradis fiscal luxembourgeois, depuis peu effacé de la liste grise, est assez mal placé pour donner des leçons à la Hongrie. Selon lui, « il n’y a plus de place en Europe pour des barrières ». Depuis la sentence du « grand homme », on remarquera que les frontières intra-européennes ont repris du service, en Allemagne même pour faire le tri entre migrants et réfugiés, en France sous prétexte de COP 21. Notre continent uni, fort de ses plus de 500 millions d’habitants, n’est pas capable de protéger ses frontières extérieures, mais surtout, il n’a ni la volonté ni le courage d’adopter une politique indépendante de celle des Etats-Unis, notamment au proche et moyen Orient. Face au chaos installé par les Etats-Unis dans le monde arabe, l’Europe est quasi-absente sur le plan militaire, mais notre Union, cette démocratie en trompe-l’oeil, n’hésite pas elle-même ou à travers ses membres à condamner le régime syrien tout en faisant les yeux doux à la Turquie, et même aux monarchies wahhabites du Golfe, comme si elles étaient plus fréquentables. L’Union Européenne avait un projet originel bâti par des Chrétiens comme Adenauer, Schuman et de Gasperi. Elle lui tourne aujourd’hui résolument le dos et c’est pour offrir son ventre mou à une immigration qu’elle ne contrôle pas et qu’elle n’assimilera pas.. La Hongrie, comme d’autres pays de l’Est de l’Europe est au contraire attachée à une identité qu’elle a reconquise après en avoir été privée pendant des décennies par les communistes. C’est pourquoi elle nous montre la voie de la résistance. Nous devons l’y rejoindre. Bien sûr, qui dit résistance dit aussi traîtres et collaborateurs qui encombrent les allées des pouvoirs politiques et médiatiques. Il faut les combattre !
La Hongrie appelle les Européens à se lever pour défendre leurs libertés et leur identité. Nous devons la soutenir. »
NDF
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En Allemagne, un best-seller un temps oublié mais jamais interdit
Nathalie Versieux VariaSuccès de librairie dans les années 30, «Mein Kampf» a été remisé dans les greniers allemands après-guerre. Le texte, qui tombera dans le domaine public en 2016, sera réimprimé dans une version commentée.
Après son départ de l’armée, le 31 mars 1920, Adolf Hitler n’a plus de revenus réguliers. Les quelques articles qu’il publie dans le Völkischer Beobachter, l’organe du NSDAP (le Parti national-socialiste), ne lui suffisent pas pour vivre. Hitler dépend financièrement de quelques riches mécènes munichois, convaincus par la cause nationale socialiste. Conscient de son potentiel de séduction auprès du public - lorsqu’il est à la tribune, les conférences données par le parti provoquent un afflux inhabituel malgré le prix élevé du ticket d’entrée - Hitler profite d’un séjour en prison en 1924-1925, à la suite de sa tentative de putsch manquée, pour rédiger un ouvrage «qui n’a d’autre but que de faire un maximum d’argent», dira l’un de ses proches, Julius Schaub. Le directeur de la prison, Otto Leybold, dira pour sa part au sujet de son illustre prisonnier : «Il mise sur une forte diffusion du livre et espère pouvoir réaliser les dépenses qu’il a en vue grâce à la vente de l’ouvrage.»
Le premier tome sort en juillet 1925, le second en décembre 1926. Les deux ouvrages adoptent vite le format usuel de la Bible, 12 x 18,9 cm. Pendant les vingt années d’édition (de 1925 à 1945) le texte est régulièrement revu et corrigé. Au point que les éditions des années 40 n’ont plus grand-chose à voir avec le texte des années 20.
Cadeau de mariage.
Douze millions d’exemplaires ont été vendus du temps de Hitler, devenu ainsi millionnaire. Le contrat signé avec l’éditeur lui accorde 2 Reichsmark par exemplaire vendu, près de 20 % du prix de vente. Hitler n’a jamais payé un mark d’impôt sur ces revenus. Le succès commercial du livre, vendu à 240 000 exemplaires à l’arrivée au pouvoir de l’auteur en 1933, puis à 854 000 exemplaires entre janvier et novembre 1933, est assuré : nombre de municipalités achètent l’ouvrage pour l’offrir aux jeunes époux en cadeau de mariage. Aujourd’hui, les historiens s’accordent pour penser que, jusqu’en 1945, les Allemands avaient bien Mein Kampf sur une étagère mais que peu d’entre eux avaient lu ce livre indigeste, mal écrit et ennuyeux.
A la défaite de l’Allemagne, Mein Kampf - dont la possession n’a jamais été formellement interdite - disparaît dans les caves et les greniers. Aujourd’hui encore, des exemplaires poussiéreux et oubliés, parfois dédicacés, ressurgissent au moment des partages d’héritage. Nombre d’exemplaires des éditions originales restent disponibles sur Internet ou chez les bouquinistes, de même que quantité de traductions. Contrairement à ce que prétendent les néonazis, soucieux de pointer du doigt les «limites de la soi-disant démocratie», la possession du livre n’a jamais été réprimée. Qui veut lire Mein Kampf a toujours pu se procurer l’ouvrage pour quelques euros. L’édition du livre a par contre été longtemps interdite en Allemagne.
Domaine public.
En 1948, les Alliés ont confié au ministère des Finances du Land de Bavière, où Hitler a toujours été officiellement domicilié, l’embarrassante gestion de son «œuvre» jusqu’en janvier 2016. Sa mission, éviter une réimpression. Depuis, le Land a mené un combat acharné contre toute publication, au nom du respect des victimes du nazisme et de peur qu’une réédition ne soit mal interprétée à l’étranger. Mais les écrits de Hitler, comme ceux de n’importe quel auteur, tomberont dans le domaine public fin 2015, soixante-dix ans après sa mort. La Bavière s’est donc résolue, début 2014, à approuver l’édition d’une version pédagogique de l’ouvrage, agrémentée de commentaires d’historiens, pour éviter que l’extrême droite ne s’en empare.source
Libération :: lien VOXNR
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Un jeune homme interpellé pour avoir fait une "quenelle" devant Manuel Valls
30 voitures brûlées dans la même ville : aucune interpellation
- Publié le : mardi 10 novembre 2015
- Mots-clés : Délinquance ; Dieudonné; France; Manuel Valls; Politique; Quenelle
- Source : 20minutes.fr
- Commentaires : 40
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- E&R
Il avait été filmé en train de faire ce geste, vendredi, devant le Premier ministre venu en Isère, sur le lieu des émeutes d’octobre...
Son geste, popularisé par Dieudonné et très controversé depuis, va lui valoir des problèmes. Un homme qui avait fait une « quenelle » lors de la visite de Manuel Valls, vendredi dernier, à Moirans (Isère), a été interpellé mardi matin non loin de là, à Rives, a-t-on appris auprès des gendarmes.
Vendredi, l’homme avait été filmé en train de faire son geste, précisent les gendarmes, lors de la venue du Premier ministre dans cette commune, théâtre, en octobre, de scènes d’émeutes. Popularisé comme un geste anti-système semblable à un bras d’honneur par le polémiste Dieudonné M’bala M’bala, la « quenelle » (bras tendu vers le bas et main opposée posée sur l’épaule) ressemble à un salut nazi inversé, selon ceux qui la dénoncent.
Aucune interpellation après les émeutes
Lors de sa visite à Moirans, le Premier ministre avait affiché une grande fermeté assurant que « la République ne pliera pas » et promettant des « sanctions à la hauteur de la violence ». À sa sortie de la mairie, quelques centaines de personnes l’attendaient, mêlant appels de bienvenue et sifflets émanant d’une vingtaine de jeunes gens hostiles.
Le 20 octobre, une trentaine de voitures avaient été incendiées, certaines jetées sur les voies SNCF. La violence était partie d’un camp de gens du voyage qui souhaitaient que l’un d’entre eux, incarcéré, puisse assister à des obsèques. Aucune interpellation n’a été effectuée pour l’heure.
Source : 20minutes.fr
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La Russie suspend tous ses vols avec l'Egypte pour plusieurs mois
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Le convoyeur d'Air Cocaïne persona non grata chez les gendarmes
Jean-Marc Ducos | 10 Nov. 2015, 18h31 | MAJ : 10 Nov. 2015, 18h40
La position n'était plus tenable. Le mélange des genres non plus. Christophe Naudin, le convoyeur des fugitifs de l'affaire «Air Cocaïne», ne dirigera plus, selon nos informations, les mémoires de fins d'études de l'Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN) de Melun (Seine-et-Marne).
La direction générale des «soldats de la loi» a très peu apprécié les aventures de celui qui se présente comme criminologue ou expert aéronautique et qui a participé à l'évasion de Bruno Odos et Pascal Fauret, les deux pilotes français condamnés à 20 ans de prison en août dernier par la République Dominicaine. Le 19 mars 2013, ils avaient embarqué 26 valises contenant 680 kilos de cocaïne dans l'avion qu'ils pilotaient pour rejoindre l'aéroport de La Môle Saint-Tropez où les gendarmes les attendaient.
«En délicatesse avec la justice»
La direction de la gendarmerie a fait savoir que Christophe Naudin était persona non grata au sein de l'Ecole des officiers de l'arme. C'est là que depuis 2006, il coordonnait quelques mémoires de fin d'étude des Master 2 en «Droit et stratégie de la sécurité» que la plupart des élèves-officiers rédigent à l'issue de leur scolarité. Une formation dirigée par l'université Paris-Panthéon 2, le partenaire de l'Eogn. C'est la direction universitaire de ce master qui choisit les directeurs de mémoire et non la gendarmerie qui ne souhaite plus qu'il collabore avec des élèves-officiers. La direction de la gendarmerie estime qu'un intervenant au sein de l'Eogn ne peut à quel que titre que ce soit être en délicatesse avec la justice surtout vis à vis de ceux qui seront au cours de leur carrière «les soldats de la loi».LE PARISIEN
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Wallerand de Saint- Just sur Public Sénat et Sud Radio
Invité : Wallerand de Saint Just - Territoires... par publicsenatNDF
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Missouri : l’auteur des incendies d’églises à répétition est un Afro-Américain
La police de Saint-Louis (Missouri) vient d’arrêter et d’inculper un Afro-Américain pour les sept incendies criminels qui ont touché des églises de la ville en octobre dernier (voir ici et là). Immédiatement, les médias avaient pointé du doigt des racistes puisque la plupart des églises attaquées, mais pas toutes – ce qui avait mis en éveil ma suspicion –, étaient fréquentées par des communautés de croyants afro-américains. La réalité était donc tout autre… On ignore toujours les motivations de l’incendiaire, mais David Lopez Jackson, 35 ans, vient d’être inculpé pour l’incendie criminel de la New Life Missionary Baptist Church et de la Ebenezer Lutheran Church. De lourds soupçons pèsent sur lui quant à l’incendie des cinq autres églises. L’inculpé est sous les verrous et ne pourrait être mis en liberté provisoire dans l’attente de son procès que contre une caution de 75 000 US$, somme qu’il semble difficile pour lui de rassembler…
Source : NewsOne, 2 novembre 2015
L'Obs
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Sauver la Suisse ou pour l’attribution post-mortem du Prix Nobel de la Paix à Mouammar Kadhafi
09/11/2015 – MONDE (Tribune libre du Dr Anatoly Livry)
Avant que de prétendus démocrates ne renversent ces régimes, la Libye, l’Irak et la Syrie constituaient des verrous face au déferlement migratoire et contribuaient ainsi à la stabilité, donc la paix mondiale. Maintenant qu’ils ont sauté, la survie de l’Europe et de la Suisse sont menacées. Si pour le moment, le minima sociaux achètent une certaine paix sociale, la situation ne saurait perdurer.Mettons les choses au clair : il n’y a pas de cadre civique qui soit plus immonde et plus nuisible aux peuples boréaux que la démocratie. Cela est le plus visible chez nous, en Suisse, où ce système abject – porte ouverte à une tyrannie déjà largement installée en Occident – se heurte constamment au rarissime trésor social issu des tréfonds de notre civilisation indo-européenne qu’est la politie : la cité qui s’exprime via « initiatives » et « référendums », autrement dit la voix du pays réel, est détestable au pays légal, cette tyrannie cosmopolito-médiatique, ultra-minoritaire, souvent allochtone, haïssant tant sa terre que son peuple et qui continue à se nommer, dans sa stupide arrogance, « démocratie ». En somme, nous avons dans les poumons alpins du continent l’illustration de ce qu’a théorisé Aristote durant ses promenades lycéennes.
En effet, les gouvernants avaient laissé, durant les dernières décennies, cette politie à la Suisse étant donné que ce pays servait de refuge utile aux « démocrates » du monde entier qui s’évertuaient à piller, chacun selon ses coutumes, leur État. Semblables à ces familles mafieuses qui s’engraissent du racket, de la prostitution et de la drogue, ils préféraient ces quartiers tranquilles de l’Europe pour élever leur progéniture dans le cadre de la préférence nationale, du patriotisme glorifié, du service militaire obligatoire via des milices populaires ayant leurs armes à domicile, du franc qui avait naguère glorieusement résisté à la monnaie unique et du secret bancaire tant qu’il existait. Désormais, la mondialisation permet à ces pseudo-élites de s’installer confortablement parmi des peuplades moins élevées et donc moins fières. Ils abandonnent par conséquent la Suisse, laquelle sera dès lors perdue en quelques décennies par son ancestral respect de la personnalité humaine, tout comme le continent qui l’entoure.
Lorsque, Juif, j’étais en Union soviétique, il fut dit à la synagogue de Moscou que Bush et Gorbatchev s’étaient rencontrés, qu’un accord avait été passé et que leurs conseillers avaient fixé le nombre de Juifs soviétiques auquel il était permis de quitter l’URSS à 50 000 personnes. C’était clair. Le nombre ainsi que l’ethnie des émigrés ont été strictement respectés, tout comme ceux des vagues suivantes. Il était certes toujours possible à une personne, voire à une famille, de fuir à l’improviste l’URSS. En revanche, même en l’absence des caméras actuelles (omniprésentes), les populations restaient clouées sur place jusqu’à ce que l’agrément de l’autorité ne leur soit accordé.Car jamais – même dans l’Antiquité ! – le pouvoir authentique, à présent supra-étatique et qui depuis a prodigieusement renforcé ses dispositifs de surveillance, n’a permis de larges déplacements de groupes humains sans au préalable les autoriser. Ceux qui proclament que des millions de personnes peuvent fuir d’un continent à l’autre sans qu’on ne puisse les arrêter vous prennent pour des intelligences sous-humaines ou, excusez-moi de ce terme non-académique, pour de vrais tarés !
L’exemple parfait est cette Australie de 2015 qui, par la voix de sa marine, a opposé un « No Way ! » à ces milliards d’Asiatiques toujours friands de ses espaces. Eh bien, pas un criminel – puisqu’une personne pénétrant sans autorisation sur un sol étranger est un criminel, et non un « migrant », un « Flüchtige » – n’a mis le pied sur le sol australien, détourné par une marine militaire qui ne sert pas à accueillir les délinquants, mais qui s’acquitte des missions qui sont les siennes : repousser l’envahisseur, qu’il soit guerrier ou qu’il arrive sous le masque du pacifisme. Quant à ceux qui parviennent à demander l’asile politique sur le territoire australien, ils sont envoyés attendre la décision légale dans des camps installés en Asie, dans les États avec lesquels l’Australie a passé des accords à cette fin.
Ce que je viens de décrire fonctionnait parfaitement dans ce triangle des trois continents Europe – Asie – Afrique. Il y avait, chez nos voisins, trois verrous forts, à savoir Saddam Hussein, père et fils Assad et le grand génie africain Mouammar Kadhafi qui n’était pas seulement le supra-protecteur de l’Europe, mais aussi le bienfaiteur du peuple libyen, quelle que soit l’ethnie, la race ou la religion du citoyen. Nous vivons dans un monde attaché au momentané. L’Histoire, autrement dit ce parcours de l’esprit vers le passé nécessitant la révision permanente, n’est plus enseignée et n’est donc pas connue.
Par conséquent, nos véritables gouvernants, ces journaleux stupides, ne font plus de lien entre le passé – même de quelques années – et le présent. Ces créatures malfaisantes sont les authentiques héritiers de l’immonde putsch de 1789, car ils s’adonnent quasi quotidiennement à refaire une tabula rasa. Pourtant, un nouveau procès de Nuremberg s’impose. Tous ceux qui ont fait assassiner Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi ainsi que ceux qui ont affaibli notre allié – compte tenu de la Realpolitik – syrien sont toujours en bonne santé et omnipotents. Ils se déclarent même fiers de leur folie démocratique et droit-de-l’hommiste.
Il est donc nécessaire de commettre tout d’abord un authentique « devoir de mémoire », non pas envers des événements fabuleux ou semi-mythiques qui peuvent remonter à plus de 70 ans, mais de ce qu’il s’est passé à Bagdad ou dans le désert libyen au cours du XXIe siècle. Il faut juger ces charlatans américains ou français. Il faut les exécuter publiquement et, surtout, éviter aux peuples de l’Asie, de l’Afrique et, si possible de l’Europe, ce cadre civique ordurier que l’on appelle « démocratie ».
Il faut réinstaurer à Bagdad et à Tripoli des dictateurs théocratiques liés par des intérêts financiers et privés au monde boréal. C’est ainsi seulement que l’on pourra préserver l’humanité, par essence inégale et non métissée, et donc censée, pour sa survie, rester dans son cadre originel.Même les pays européens qui ont l’expérience centenaire de la gestion de l’Afrique et de l’Asie (ainsi la France ou la Grande-Bretagne) ne parviennent plus à administrer leur folie communautariste ! Pour éviter des clashs, autrement dit de véritables guerres civiles interethniques et interreligieuses, ils sont obligés de dissimuler toute tension pré-insurrectionnelle, voire étouffer les crimes les plus atroces comme des viols de masse d’enfants. En revanche, des pays comme la Suisse, qui n’ont pas l’habitude de gérer des populations africaines ou asiatiques sur leur territoire, sombreront plus vite que les anciens empires.
Depuis quelques années, l’opinion helvétique s’habitue à subir cette invasion, car il est dit, par des manipulateurs : « Regardez ces Albanais, regardez ces Turcs. On les a intégrés et cela n’a pas posé de problème ». C’est la « tactique du voleur chinois » : le criminel entre dans votre boutique et déplace par des mouvements imperceptibles l’objet convoité vers la sortie ; une fois près de la porte, il s’en saisit et se sauve. Or la Suisse a accepté, voire partiellement assimilé sur son sol, des populations issues de pays dépendant depuis des siècles de la culture européenne et germanique.
Avec l’Afrique et l’Asie qui s’abattent actuellement sur elle, elle sera désarmée, car elle n’aura aucun moyen pour communiquer avec ces allogènes que les journaux helvétiques du système montrent, dans un effort de manipulation, nettoyer les chemins suisses avec des râteaux. Quelle image d’Épinal ! Certes, les envahisseurs se tiennent calmes pour l’instant, car, réfugiés statutaires, ils perçoivent le minima social suisse.
Il faut qu’en Suisse, l’on soit conscient que ce minima social helvétique surpasse le traitement officiel du chef d’État-major éthiopien ou du président du Mali ! Tant que la Suisse aura la possibilité d’injecter ces sommes monstrueuses – qui, par ailleurs, créent un appel d’air pour des tribus d’Érythrée –, elle connaîtra une certaine paix civile, qui ressemble cependant plus à une anesthésie temporaire. Mais dès que l’argent manquera (car les élites ne font plus confiance aux banques suisses qui ont perdu la guerre financière face aux États-Unis) ou dès que se formeront différentes communautés allogènes sur le sol helvétique lesquelles pourront dès lors faire chanter le pouvoir fédéral (regardez les crimes raciaux en France commis quotidiennement dans les zones de non-droit où la police n’ose se rendre), ce sera la fin de la Confédération helvétique !
J’entends les voix des politiques suisses criminels qui appellent à « réformer le droit d’asile » et qui clament être « réalistes ». Alors, soyons réalistes ! Laissons la Suisse tenir son rôle ancestral de médiateur international dans lequel elle a naguère excellé. Réunissons les belligérants afin de réinstaurer des théocraties naturelles en Irak et en Libye, des théocraties tenues par des despotes pécuniairement, et donc charnellement, liés à la puissance européenne, laquelle pourra se reconstituer comme telle exclusivement en dressant un nouveau mur entre elle et des sauvages qui n’ont rien à faire au nord de la Méditerranée.
En France, l’on pleurniche hypocritement, depuis des décennies, sur une occupation allemande qui a amené sur son sol quelque 40 000 conquérants – c’est le nombre des clandestins-délinquants qui est amené, sur le sol de l’Europe, chaque semaine ! Vous voulez à cette fin commettre un éclat médiatique qui marquera un tournant spirituel ? Alors, modifions, pour une fois, à Oslo, les statuts du Prix Nobel de la Paix afin de l’attribuer exceptionnellement post-mortem au meilleur défenseur de facto de la paix, de la civilisation et de l’humanité que fut Mouammar Kadhafi.
Dr Anatoly Livry, Université d’État de Russie, Moscou-Lomonossov
Crédit photo : thierry ehrmann via Flickr (CC) = Muammar al Gaddafi R.I.P. Mouammar Kadhafi Colonel Quaddafi painted portrait
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Dieudonné débouté devant la Cour européenne des droits de l'Homme
Le polémiste français Dieudonné, qui contestait devant la Cour européenne des droits de l'Homme sa condamnation pour avoir fait monter sur scène un négationniste, a été débouté mardi par la CEDH au motif qu'elle ne protégeait pas "les spectacles négationnistes et antisémites".
La Cour, dont la décision est définitive, a estimé qu'en faisant monter sur scène le négationniste Robert Faurisson, Dieudonné ne s'était pas livré à "un spectacle (...), même satirique ou provocateur" mais à "une démonstration de haine et d'antisémitisme", ainsi qu'à une "remise en cause de l'Holocauste".
Dieudonné M'Bala M'Bala avait saisi les juges européens en faisant valoir une atteinte à sa liberté d'expression, en raison d'une amende de 10.000 euros qui lui avait été infligée par la justice française pour "injure" à caractère racial.
Le polémiste avait été condamné pour son spectacle du 26 décembre 2008 au Zénith de Paris. Ce soir-là, il avait convié sur scène Robert Faurisson, l'avait fait applaudir par le public et lui avait fait remettre un "prix de l'infréquentabilité" par un comparse déguisé en déporté juif.
"Travestie sous l'apparence d'une production artistique", la démonstration de haine à laquelle s'est livrée le polémiste "est aussi dangereuse qu'une attaque frontale et abrupte" contre l'Holocauste et les juifs, a tranché la CEDH.
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VIDEO - Marine Le Pen sur le "grand remplacement"
Question non programmée de l'interview de Marine Le Pen
(merci à Dirk)
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Aymeric Chauprade quitte le FN pour des raisons "morales et idéologiques" mais reste député européen
NdB: Pourquoi Chauprade n'a-t-il pas démissionné plus tôt, avant la troublante affaire d'Air Cocaïne? On remarque qu'il se met à parler de la "mondialisation" rejetée par Marine Le Pen... Sa violente charge contre Marine Le Pen et Florian Philippot ne relève pas de la droiture, de la "verticalité", mais bien davantage du coup de pied de l'âne.
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Jacques Sapir: Si la France revenait au Franc, « une baisse du chômage des 2/3 constitue une prévision robuste et crédible. »
Vu sur : News360X, écrit par : Mickael
L’un des rares économistes français à l’esprit indépendant, passe en revue la situation financière et économique de la France pour le cas où celle-ci quitterait l’eurozone. Les mensonges des europhiles adeptes d’une France vassale du Nouvel Ordre Mondial, tels Sarkozy ou Hollande, qui hurlent en coeur pour prédire la catastrophe pour le cas où la France reviendrait au Franc, sont mis à nu.
La question des dettes ne pose pas de problèmes
Pour ce qui est des dettes, on sait aussi que la dette souveraine de nombreux pays, dont la France à 97%, est émise dans le droit de ce pays. Or, la règle, établie par la cour d’arbitrage internationale depuis la fin des années 1920, est que tout titre émis dans le droit du pays « x » doit être payé dans la monnaie du pays « x », quel que soit le nom de cette monnaie. C’est ce que l’on appelle la lex monetae. Cela veut dire que si la France décide de quitter l’euro et de revenir au franc, 97% de notre dette publique sera immédiatement et sans contestation possible, re-dénomminée en franc. De ce point de vue, le seul pays qui serait obligé de faire défaut sur sa dette souveraine serait la Grèce car plus des deux-tiers de sa dette sont émis en droit étranger. Parler soit d’une multiplication importante pour la dette française comme le font Nicolas Sarkozy et les dirigeants de l’ex-UMP, ou au contraire parler d’un possible défaut, comme le fait J-L Mélenchon, n’a aucun sens. Pour les uns, cela relève du mensonge pur et simple, et pour Mélenchon de son incompréhension du mécanisme des dettes publiques.En ce qui concerne les dettes privées, une grande part de ces dernières est placée auprès d’acteurs français. Il n’y aura aucun problème en cas de sortie de l’euro. Pour les entreprises multinationales françaises, une large part de leur endettement est souscrite par des non-résidents. Mais, ces entreprises font aussi une large part de leur chiffre d’affaires hors de France. Dès lors, en cas de sortie de l’euro accompagnée d’une dépréciation du « nouveau » Franc, les dettes seraient réévaluées mais le chiffre d’affaires (et les profits) aussi! Les calculs qui ont été fait par diverses banques indiquent que les deux mécanismes s’équilibrent.
La question des flux financiers ne pose pas davantage de problèmes
Il reste le problème des flux financiers entre pays, qu’ils soient dans la zone euro ou hors de la zone euro. Techniquement, les grandes banques internationales se sont déjà préparées à la perspective d’une dissolution de l’euro. Il conviendrait de suspendre les transactions financières pour une durée de 24 à 72 heures, puis de limiter les mouvements à très court terme (qui relèvent essentiellement de la spéculation) pour une période d’environ six mois.L’image d’une sortie de l’euro provoquant un « désastre » relève donc de la fiction. C’est une fiction dont les partisans de l’euro se servent pour alimenter des peurs au sein des populations. Il faut remarquer que ce sont les mêmes qui accusent Marine le Pen et le Front National de jouer sur la peur qui, en réalité, tiennent un véritable discours de peur et cherchent à provoquer une réaction de panique chez les électeurs. Ce point est important. En fait, la peur semble bien devoir être le seul argument que les partisans de l’euro peuvent encore utiliser devant la faillite complète de l’Union économique et monétaire.
Les nombreux avantages d’une sortie de l’euro
Maintenant, il faut être aussi conscient que les avantages d’une sortie de l’euro, et ces avantages sont nombreux que ce soit dans le domaine de la croissance, de l’emploi, mais aussi du rétablissement des comptes publics, seront affectés par les conditions dans lesquelles se fera cette sortie et par la politique qui sera conduite une fois la question de l’euro résolue. L’euro peut disparaître par une décision concertée, commune à l’ensemble des pays de la zone, comme il peut disparaître par une succession de crises donnant lieu à des sorties, chacune aggravant la crise et conduisant un nouveau pays à sortir à son tour. Cette hypothèse est la plus défavorable.
Mais, même dans cette hypothèse, et en supposant que la France soit l’un des derniers pays à sortir de l’euro, notre situation serait meilleure que la situation actuelle. Ensuite, un point important sera celui des politiques à mettre en place une fois la sortie de l’euro effectuée. Il est clair que si le gouvernement alors en place donnait la priorité au désendettement de la France, et cherchait à maintenir le taux de change à un niveau surévalué, les avantages de la sortie de l’euro seraient très faibles. Mais ils ne seraient pas nuls. Par contre, avec une politique rompant de manière décisive avec les politiques menées depuis ces 25 dernières années et donnant une priorité à l’investissement, les avantages d’une sortie de l’euro seraient impressionnants. C’est pourquoi j’ai toujours dit que la sortie de l’euro était une condition nécessaire, c’est à dire que tant que nous restons dans l’euro rien n’est possible, mais nullement une condition suffisante. Ce point est important car, trop souvent, nombre des adversaires de l’euro présentent la sortie de la monnaie unique comme une panacée, ce qu’elle n’est pas.Quand fut rédigée la brochure pour la fondation ResPublica ou ont été estimées les conséquences possibles d’une sortie de l’euro, une bonne part des discussions qui se sont déroulées avec Cédric Durand et Philippe Murer, les deux autres co-auteurs de cette dite brochure, portaient justement sur l’ampleur des gains que l’on pouvait attendre d’une telle sortie. Les premiers résultats donnés automatiquement par le modèle nous avaient semblé fantastiques, au point que nous avons délibérément corrigé à la baisse certains de ces résultats. Même ainsi, une sortie de l’euro conduirait à près de 2 millions de créations d’emplois supplémentaires à court terme, rien que pour la catégorie « A » de la DARES. Avec les effets induits (plus d’emplois implique plus de cotisation, donc un retour à l’équilibre des régimes retraites et santé, donc la possibilité de baisser les cotisations individuelles, etc…), on arriverait en cinq ans à près de 3,5 millions de créations d’emplois, c’est à dire à un retour au plein emploi. Il faut avouer que l’on peut avoir des doutes sur de tels chiffres, parce que les changements d’échelle impliquent des changements dans les relations économiques.Mais, on peut considérer qu’une baisse du chômage des deux tiers constitue une prévision robuste et crédible. (Source:Sputnik)
Jacques Sapir s’en tient aux avantages économiques et financiers d’un rétablissement du Franc. Ce constat ne tient donc pas compte du retour à la fierté nationale que serait cette libération de la France. D’un point-de-vue politique, cela décupleraient les résultats, parce qu’il restituerait à la France son indépendance, le libre-choix de ses alliances, le retour au contrôle de ses frontières, en un mot la France retrouverait sa souveraineté, vis-à-vis de l’Union européenne, vassale de l’ordre unipolaire apatride sous égide US.
Il suffit de constater l’explosion de la place prise par la Russie dans le monde depuis qu’elle a secoué le joug de sa vassalité vis-à-vis de l’ordre mondial unipolaire américain. Et ceci en dépit du blocus économique que les banksters lui ont opposé. C’est une question de volonté politique, comme la Russie le démontre chaque jour.
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Du Captagon pour les islamistes ? La drogue, arme de guerre
Selon toute probabilité, les destinataires principaux sont les combattants de l'Etat Islamique et des divers groupes islamiques plus ou moins "radicaux" ou "modérés", qui en ont bien besoin en ce moment.On sait qu'ils fonctionnent au Captagon. Ce qui n'exclut pas évidemment les recrues de Tsahal, qui peuvent avoir besoin d'un petit coup de pouce bienvenu quand il s'agit de tirer des enfants comme des lapins ou de bombarder écoles et hôpitaux.C'est une erreur de penser la drogue uniquement en termes de trafic et d'argent. La drogue est une arme, elle l'a quasiment toujours été. Il faut se rappeler que le nom "assassin" est la traduction de "haschischin", fumeur de haschich, le Captagon de l'époque.Ce qui peut prêter à confusion est qu'il y a eu deux vagues distinctes dans l'utilisation de cette arme :- La première, celle initiée par Sassoon & Rothschild et supportée par la reine Victoria et l'Angleterre, est la drogue destructrice, opium-héroïne, imposée à la Chine;- La seconde est celle de la drogue de l'efficacité et de la violence, cocaïne ou amphétamines comme le Captagon.Si la CIA et l'armée US (en réalité, le National Security Council qui les chapeaute) ont, dans les années 80, pris (temporairement) le contrôle du marché de la cocaïne nord-américain en s'alliant avec les trafiquants nicaraguayens et en détruisant les Cartels colombiens, ce n'est pas uniquement pour des motifs financiers, quoique importants.Il y avait également un intérêt stratégique. Il serait évidemment scandaleux que la drogue soit officiellement considérée comme "stratégique", parce que le public pourrait se poser quelques questions gênantes sur les manipulations mentales etc.Dans l'affaire de la cocaïne dominicaine, il est clair que les pilotes sont d'anciens (?) officiers, que Chauprade a longtemps été à l'Ecole Militaire, et que la CIA était impliquée dans le "tuyau". -
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(merci à Dirk)