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  • Morts en été…

       

     

    On ne se sépare pas impunément de sa jeunesse, à moins d’y être forcé par l’exil. Aussi, Nice est-elle restée dans mon cœur comme la ville d’adoption que l’Oranais de vingt ans que j’étais découvrit en y venant faire ses études en 1965.

    Nice était pimpante quand Marseille et Toulon étaient grises, elle présentait au sud ses façades blanches, ocres ou bleues quand Marseille croulait sous Le Corbusier, enfin, la Méditerranée ressemblait à celle qui baignait Oran. Je m’y sentis chez moi…ou presque. J’y revins aussi souvent que possible, ne pouvant – ni ne voulant – retourner dans ma cité natale.

    Mais Nice, chaque année descendait d’un cran vers le délabrement, tandis que sa population, élégante dans les années 60 et 70, s’encanaillant, s’enlaidissait et surtout se « tiersmondisait ».

    On comprendra que l’insistance des Niçois à se choisir des édiles qui ont favorisé l’invasion, bâtissant des mosquées en nombre et ayant pour l’islam « les yeux de Chimène », laisse pantois. Le politiquement correct des UMP puis « Les Républicains » qui dirigent la ville est la cause de l’horreur. A ce titre on doit citer l’incurie de Christian Estrosi qui a permis à 900 lieux de culte musulmans clandestins de s’installer, sans ne jamais donner l’ordre de les fermer. Mais pire, l’autorisation d’un rassemblement populaire d’importance sur la promenade des Anglais, toujours ouverte à la circulation, était criminel en plein état d’urgence.

    On peut être encore plus interloqué quand on songe à la proportion de Français d’Algérie installés dans cette ville, qui ont connu dans leur chair la cruauté du monde qui nous fait la guerre, et dont les avis ne comptent pour rien dans cette municipalité. Mais voilà, après qu’on leur a permis de faire de certains quartiers des fiefs où la police est à peine tolérée, les berbéro-musulmans ont frappé.

    Un camion loué dix jours plus tôt circula sur une promenade ouverte aux véhicules. Trente mille personnes s’y pressent en famille pour admirer un feu d’artifice tiré à la gloire d’une France en faillite, et 84 vies détruites ainsi que plus d’une centaine d’estropiés.

    Comment des hommes et des femmes de même ascendance, que l’histoire a rendu frères et sœurs, ne voient-ils pas qu’ils sont la cible de cette barbarie ? Comment ne comprennent-ils pas qu’on veut les évincer, les exterminer ? Comment ne se rendent-ils pas compte que leurs élus sont ceux qui organisent cette tragédie par leurs accointances et leurs mensonges ?

    J’attendais de la dégénérescence gauchiste dans tous ses états, de « Nuit debout » aux incultes de la CGT et aux ministricules sans savoir mais avec portefeuille qui pensent « gouverner », qu’elle osât reprendre l’antienne « pas d’amalgame », ce qu’elle fit. Leur presse qu’hélas bien des Français lisent, écoutent ou regardent, hésita, puis osa mettre en doute l’islamité de l’attaque. Il fallut un communiqué de l’Etat Islamique pour quelle cesse cette falsification. Mais elle continue dans la minimisation de l’acte en parlant d’un « fou », mauvais musulman de surcroît, et alla jusqu’à oser, dans Libération, écrire « qu’il ne fallait pas se focaliser sur l’argument religieux ». Nice-Matin se permit de mettre en première page la mort de Fatima « la première tombée » pour dénaturer l’acte du terroriste, en montrant qu’en tuant une musulmane l’attentat ne pouvait être taxé « d’islamiste ». C’est ignoble pour les autres victimes, mais faux historiquement : le FLN a tué bien des musulmans qui passaient en visant des européens, comme en témoigne par exemple l’attentat des « réverbères » à Alger en 1957. Ces morts musulmans dues au hasard ne prouvent rien sinon qu’ils ne seront jamais un obstacle à l’avancée de l’islam.

    Mais si la presse et l’armée des gouvernants de tous bords, fonctionnaires compris, sont dans leurs rôles de fourriers de l’invasion, ce qui fut surprenant est la relative passivité des Niçois eux-mêmes dans un premier temps.

    Ils ne furent que quelques uns à huer François Hollande, mais devinrent une foule le lendemain pour siffler Valls lors de l’hommage de la nation aux victimes du 14 juillet.

    Le soleil brillait et la beauté du site, la masse des Niçois assemblés derrière les élus et le gouvernement firent de la minute de silence un instant de grandeur. Mais la grandeur ne se satisfait pas de l’imposture, et lorsque les « autorités » s’en furent en colonne, la voix du peuple s’éleva enfin, sévère, véridique, qui stigmatisa les responsable du massacre : le gouvernement avec Valls à sa tête.

    Est-ce de cette « guerre civile » dont parle le patron de la DGSI, Patrick Calvar ? Car que voudrait-il à la fin ? Que nous acceptions le mensonge et le dédain, les assassinats et les viols, puis, enfin, l’exclusion de notre propre patrie sans broncher ? Est-ce cela « être d’extrême droite » refuser de baisser la tête devant l’humiliation ? Il faudrait qu’il s’explique au lieu d’alerter. Que veut-il ? Qu’on arrête tous les siffleurs de président et les parents fous de rage devant le corps d’un enfant ? Confond-il la haine avec la colère ?

    On peut se demander si certains ne confondent pas résistants et occupants. Eussent-ils été dans la milice pour défendre l’ordre et lutter contre la xénophobie antiallemande pendant la guerre ?

    Alors, le jour où les Niçois ont hué Manuel Valls, fut un jour de gloire que notre grande bleue apprécia en scintillant, à deux pas des élites isolées, sur la plage, là où la Méditerranée joue toujours avec les galets…

    Et Honni soit qui mal y pense !

    Georges Clément

    NDF

  • Reims : les fillettes d'un centre de loisirs priées de mettre un short sous leur jupe

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    Des parents outrés. A Reims, Alice Nayrac et son mari emmènent régulièrement Prunille, leur petite fille de quatre ans, au centre d'animation des Trois Piliers. Lundi 18 juillet, lorsqu'ils sont allés la récupérer, ils ont, comme le rapporte L'Obs , trouvé, glissé dans son sac, un message très spécial appelant les fillettes à mettre un short sous leur jupe.

     

     «Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait. Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer.»

     

     

    La réaction d'Alice, furieuse, sur Facebook n'en finit pas non plus d'être retweetée. «Ma fille ne doit pas avoir à choisir entre une coquetterie - toute relative- et normale et la tranquillité de faire du toboggan sans avoir à subir les «comportements déplacés» de mômes à qui on apprend pas le respect de l'autre. Elle a quatre ans putain.»

      

      

    Jointe par L'Obs, la maman explique : «En voyant ce mot, j’étais très en colère. La responsabilité était déplacée du côté des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rôle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire 'non' à un garçon s’il embête une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embêter à cause de cela.»

     

    Les parents ont fini par contacter le centre de loisirs pour expliquer qu'en aucun cas la tenue de leur fille ne pouvait être liée au fait que d'autres enfants puissent avoir des «comportements déplacés». Sans incriminer les éducateurs.

     

    Jointe par «l’Obs», la directrice générale des maisons de quartier de Reims, Noëlle Harmand s’étonne de l’ampleur qu’a pris l'affaire.

    «Nos centres de loisirs accueillent des filles et des garçons, certains entre 11 et 12 ans. Les animateurs ont repéré que les enfants pouvaient avoir des réflexions envers les fillettes. Un travail éducatif a d'abord été fait avec les enfants pour rappeler les notions de respect mutuel. La directrice du centre a ensuite pris l'initiative de ce mot.»

     

    La directrice générale de se défendre : «Je comprends que le mot ait pu être mal interprété. Il n'y a eu aucun geste déplacé entre les enfants, nous avons voulu anticiper. Le but n'était pas du tout de demander aux fillettes de se cacher, il s'agissait avant tout d'éviter tout malaise et d'assurer le confort lors des activités extérieures. Il est hors de questions qu'on remette des pantalons à toutes les filles, nous sommes sensibles à la question d'égalité.»  

    LA PARISIENNE

    NdB: On a tout compris... A quand la burka taille 4 ans ?

     

  • Un enfant palestinien tué par des soldats israéliens

    http://www.liberation.fr/planete/2016/07/19/un-enfant-palestinien-tue-par-des-soldats-israeliens_1467269

  • Nice : le tueur a mûri son projet pendant des mois , 1278 appels et SMS échangés avec ses complices

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    >Faits divers|21 juillet 2016, 18h16 | MAJ : 21 juillet 2016, 18h57|16

    Le procureur François Molins lors d'une conférence de presse le 21 juillet 2016 à Paris

     
      

    Une semaine après le terrible attentat qui a fait 84 morts le 14 juillet à Nice, le procureur de Paris, François Molins a annoncé jeudi que l'enquête menée par les différents services de police avait connu des «avancées notables». Quatre hommes et une femme, arrêtés car ils étaient en contact avec Mohamed Lahouaiej Bouhlel avant la tuerie ou sont soupçonnés de lui avoir fourni un pistolet, ont été déférés jeudi matin et ont été présentés à des juges d'instruction antiterroristes.

    Il s'agit de Ramzi A., franco-tunisien né le 28 novembre 1994 à Nice, de Chokri C., Tunisien né le 11 juillet 1979, d'Artan H., Albanais né le 30 janvier 1978, de Mohamed Oualid G., franco-tunisien né le 19 février 1976 et d'Enkeledja Z., née le 3 mars 1974, de nationalité française et albanaise.

     

    «Nique le camion»

     

    Ils sont toujours entendus, a souligné le procureur. A ce stade des investigations, il apparaît que de nombreux contacts téléphoniques ont eu lieu entre ces personnes avec le tueur fou au camion, Mohamed Lahouaiej Bouhlel. «Les investigations menées depuis la nuit du 14 juillet dernier n'ont cessé d'avancer et ont permis non seulement de confirmer plus encore le caractère prémédité du passage à l'acte mortifère de Mohamed Lahouaiej Bouhlel, mais également d'établir que ce dernier avait pu bénéficier de soutiens et de complicités dans la préparation et la commission de son acte criminel», a souligné le procureur, en évoquant l'exploitation des données téléphoniques et informatiques.

     

     

     

    Détaillant les résultats de ces exploitations, le procureur est formel. Mohamed Lahouaiej Bouhlel a pu bénéficier de complicités et «semble avoir envisagé et mûri plusieurs mois avant son passage à l'acte». Il a indiqué que des SMS ont été échangés entre le tueur et l'un de ces complices, un certain Choukri. S, lui conseillant de «charger le camion de fer, de le niquer, couper les freins et moi je regarde».

     

    Des échanges de SMS depuis un  an

     

    Des images relevées sur le portable du terroriste attestent d'un acte prémédité avec un soutien logistique important de ses complices déférés devant la justice. Pour exemple, le procureur souligne que l'exploitation des téléphones et des ordinateurs a permis de détecter 1 278 échanges entre le terroriste de Nice et ses complices entre juillet 2015 et juillet 2016. Le tueur avait des clichés sur son téléphone du feu d'artifice, à Nice, en 2015, avec des zooms sur la foule. Une autre photo d'un concert sur la Promenade des Anglais, théâtre de son effroyable attentat, avec, toujours, un zoom sur la foule.

     

    «Le parquet a ouvert à la mi-journée une information judiciaire des chefs de participation à une association de malfaiteurs terroristes, en vue de la préparation d'un ou plus crimes d'atteinte aux personnes», a indiqué François Molins. Toutes ces infractions «étant en relation avec une entreprise terroriste», a-t-il précisé. Il a indiqué avoir requis le placement en détention provisoire de ces cinq personnes, qui ne sont «pas connues des services spécialisés de renseignement».

     

    L'attentat a fait 84 morts et 331 blessés. Le pronostic vital de 15 d'entre eux est toujours engagé.

     

      leparisien.fr
  • JOURNAL TVLibertés DU 2I JUILLET 2018

    A voir absolument

  • La vidéo établit que l’Afghan à la hache de Wurtzbourg est pakistanais

    http://fr.novopress.info/202577/video-etablit-islamiste-hache-train-wurtzbourg-pakistanais/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Agressées au couteau pour leur tenue trop légère ? (MàJ : l’agresseur se justifie)

    http://www.fdesouche.com/749807-hautes-alpes-une-mere-et-ses-trois-filles-agressees-coups-de-couteau-un-motif-religieux

    Lire: c'est bien une agression islamiste qu'on veut cacher!  

  • Les slogans clairs et nets de la campagne hongroise contre l’immigration

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    20/07/2016 – HONGRIE (NOVOpress) : A deux mois et demi du référendum sur la politique d’immigration, le gouvernement hongrois a diffusé les premiers slogans de sa campagne d’information en faveur du rejet des quotas d’immigrés voulus par l’Union européenne. Ça dépote ! A se demander si le gouvernement de la Hongrie ne s’est pas inspiré de la communication directe de Robert Ménard à Béziers !

    Articulés autour de « Tudta ? » (« Le saviez-vous ? »), les slogans clament : « Le saviez-vous ? Les attentats de Paris ont été commis par des migrants », « Le saviez-vous ? Les abus contre les femmes ont augmenté de manière exponentielle depuis le début de la vague migratoire en Europe », « Le saviez-vous ? Depuis le début de la vague migratoire, plus de 300 personnes sont mortes du terrorisme en Europe », « Le saviez-vous ? Bruxelles veut que nous recevions un nombre de migrants équivalant à la taille d’une ville », etc. Le référendum est fixé au 2 octobre.

     

  • UZÈS Il agresse violemment une grand-mère et menace de tout faire péter « comme à Nice »

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    Un homme de 32 ans est en garde à vue depuis lundi soir 22h30, après une violente agression survenue dans le centre-ville d’Uzès. Il a arraché un sac à une dame de 70 ans.

    Cet homme très défavorablement connu des forces de gendarmerie et condamné récemment pour un trafic de stupéfiants avait été reconduit en avril dernier dans son pays natal, le Maroc. Il avait une interdiction judiciaire de séjour sur le territoire national. Il est revenu malgré cette interdiction et il en a profité pour faire parler de lui hier soir.

    Fortement alcoolisé, il s’en est pris à une dame qui se promenait dans les rues du duché. Quelques minutes après cette agression, il a été interpellé par la police intercommunale. Une arrestation houleuse d’après les forces de l’ordre, puisque cet homme aurait proféré des menaces de « tout faire sauter comme à Nice » !

    Il a été présenté mardi en soirée au parquet de Nîmes qui a demandé au juge des libertés et de la détention de le maintenir incarcéré jusqu’à son jugement en comparution immédiate dans la semaine. Il est poursuivi pour « vol avec violence, apologie du terrorisme et pénétration sur le territoire national alors qu’il a une interdiction d’y séjourner », affirme le substitut du Procureur, Patrick Bottero.

    Boris De la Cruz

    ObjectifGard

  • Attentat de Nice : l'Intérieur a-t-il menti sur la sécurisation de la promenade des Anglais ?

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/21/01016-20160721ARTFIG00001-attentat-de-nice-une-seule-voiture-de-police-municipale-securisait-l-entree-de-la-promenade-des-anglais.php#

    NdB: La seule chose qui les préoccupe, c'est de barrer la route... au Front National! 

  • Attentat de Nice : des décapiteurs de Daech félicitent Bouhlel

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    >Faits divers|20 juillet 2016, 22h31 | MAJ : 20 juillet 2016, 22h52|9

    Capture d'écran. Dans une vidéo de propagande, deux djihadistes menacent la France avant de décapiter deux hommes.

     
      
     
    Faits diversAttentat de NiceDaechTerrorisme
     

    «Nous venons ici nous féliciter et nous réjouir de l'attaque de Nice», proclame un djihadiste à la barbe longue et au turban noir. Dans une vidéo authentifiée par le site américain SITE et diffusée mercredi soir, le groupe terroriste Daech revendique une nouvelle fois le sanglant attentat du 14 juillet à Nice et rend hommage au tueur Mohamed Lahouaiej Bouhlel.


    Dans cette vidéo de 7 minutes typique des productions de Daech, deux francophones mettent en scène l'exécution de deux «espions» et menacent la France. « Telle est la rétribution du peuple criminel qu'est le peuple français qui n'hésite pas à descendre dans la rue pour son ventre, pour son contrat de travail», poursuit le djihadiste en uniforme devant une petite foule dans un lieu indéterminé au milieu d'une ville dans la province irakienne de Ninive (nord).

       

    Marseille menacée pour la première fois

     

    « Chaque missile tombé ici sera rendu et nous n'aurons aucune hésitation, ô François Hollande. Nous allons intensifier nos attaques» prévient encore le militant terroriste.

     

    Un autre djihadiste à l'accent moins marqué prend alors la parole avant d'égorger son otage : « Regarde bien cette scène François Hollande, elle va bientôt arriver dans les rues de Paris, de Marseille, de Nice et dans toute la France».

     

    Daech avait revendiqué samedi l'attaque de Nice en affirmant qu'elle venait en réponse aux appels du groupe à prendre pour cible les pays faisant partie de la coalition antijihadiste en Irak et en Syrie. La France fait partie de cette coalition menée par les Etats-Unis qui bombarde des positions du groupe terroriste.

     

    Des experts estiment que l'EI ne semble pas avoir organisé directement les récentes attaques en France ou en Allemagne mais pourrait avoir inspiré ses auteurs et chercher à renforcer son image de terreur en les revendiquant.

    LE PARISIEN

     

  • VIDEO. Attentat de Nice : une seule voiture de police municipale barrait la Prom'

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-attentat-de-nice-une-seule-voiture-de-police-municipale-barrait-la-prom-20-07-2016-5982913.php

    +INFOGRAPHIE

    NdB: Nous allons de mensonges en mensonges de part de ce Gouvernement

  • En Israël, le mystère des "bébés disparus" bientôt résolu?

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    20/07/16 à 08:32 - Mise à jour à 08:32

    C'était il y a 66 ans mais Shoshana Dougma se souvient clairement du matin où elle est entrée dans la pouponnière pour nourrir son bébé, dans le camp d'immigrants où elle vivait en Israël, et a découvert qu'il avait disparu.

    © capture d'écran

    "A six heures du matin, j'étais la première et ma fille n'était pas là. Son lit était vide", raconte cette femme aujourd'hui âgée de 83 ans.

    Comme des milliers d'autres juifs yéménites qui venaient de gagner le tout jeune Etat dans les années 1950, Shoshana vivait dans une tente avec sa famille, dans un camp du nord du pays.

    Mazal, 11 mois, "n'était pas malade, elle n'était pas faible, elle mangeait bien", insiste-t-elle dans un hébreu mêlé d'arabe dans sa maison d'Elyakhin, sur la côte. Shoshana n'a jamais su ce qui est arrivé à sa fille. Et de telles histoires, il s'en raconte depuis des décennies en Israël.

    Militants des droits de l'Homme et familles d'immigrants affirment que des milliers de bébés ont été enlevés à leurs parents biologiques dans les années qui ont suivi la création d'Israël en 1948: principalement dans des familles juives yéménites, mais aussi originaires d'autres pays arabes ou encore des Balkans.

    Qui a donné les ordres ?

    Ils assurent que ces bébés ont été donnés à des couples juifs ashkénazes (originaires d'Europe de l'est), en mal d'enfants, en Israël et à l'étranger. Les médecins assuraient aux parents biologiques que leur enfant était mort, mais ne leur remettaient jamais le corps, selon ces militants.

    Au fil des ans, plusieurs enquêtes officielles ont conclu que la majorité des enfants disparus étaient morts, mettant en avant les mauvaises conditions sanitaires dans ces camps. Mais elles n'ont pas réussi à dissiper les doutes.

    Face aux appels de plus en plus pressants des familles de disparus, une commission parlementaire vient d'être mise en place pour tenter de faire la lumière sur cet épisode douloureux. "Où ont disparu ces enfants? Et qui a donné les ordres?", veut savoir la députée Nourit Koren, qui en est à l'origine.

    Cette élue du Likoud (droite), elle-même originaire du Yémen, a reçu le soutien de députés de tous bords et celui du Premier ministre Benjamin Netanyahu qui s'est dit favorable à l'ouverture de dossiers qui devaient rester classifiés pour des décennies.

     

    'Blessure ouverte'

    "C'est une blessure ouverte dans le coeur de la nation", souligne Mme Koren. Car cette histoire résonne des accusations de racisme et de "discrimination" formulées par les sépharades (juifs originaires des pays arabes) à l'encontre de "l'establishment" contrôlé par les ashkénazes, qui ont fondé l'Etat.

    Après la création de l'Etat, les autorités ont installé des camps pour gérer l'afflux de nouveaux immigrants, essentiellement venus des pays arabes, dont 30.000 yéménites.

    Une partie d'entre eux étaient en mauvaise santé, explique Esther Meir-Glitzenstein, spécialiste à l'université Ben Gourion de l'immigration yéménite en Israël. Et selon elle, ils ont été confrontés au "paternalisme" des Israéliens d'origine européenne, qui ont pu estimer que les enfants de ces nouveaux-venus, arabophones, seraient mieux avec eux.

    'rentre à la maison'

    Le bébé de 7 mois de Barood Jibli, également d'origine yéménite, a disparu en 1950. Arrivée à la pouponnière pour s'occuper de Tziona, elle s'est retrouvée nez à nez avec des infirmières. "Elles m'ont dit qu'elle ne se sentait pas bien" et qu'elle était hospitalisée à Haïfa, raconte la vieille dame de 86 ans.

    Elle s'est précipitée à l'hôpital avec son mari. "On a dit: "On veut voir notre enfant". Ils ont répondu: "Elle est morte"".

    "J'ai dit "c'est pas possible. Je l'ai nourrie hier. Elle est en bonne santé et forte". Ils ont dit: "Ma petite, rentre chez toi, on ne peut rien pour toi"".

     

    La première commission d'enquête sur ces disparitions date de 1967. A l'époque, les langues commencent à se délier quand les parents reçoivent les convocations au service militaire pour leurs enfants disparus. La commission a conclu que sur 342 enfants "disparus", 316 étaient morts.

    Sa fiabilité ayant été remise en question, deux autres commissions furent créées en 1988 et en 1995. En 2001, elles ont conclu que 927 enfants étaient morts sur les 1.033 cas de disparitions examinés.

    Le sort de 56 enfants a été impossible à déterminer. La trace de cinq autres a été retrouvée. Mais la commission a rejeté les accusations de vol. Dans la plupart des cas, selon elle, il s'agit de parents qui n'ont pas été informés correctement de la mort de leur bébé.

     

    Ces conclusions n'ont pas convaincu familles et militants, notamment car les dossiers ont été classifiés pour 70 ans pour cause de confidentialité des témoignages.

     

    Un jumeau manquant

    Shlomi Hatouka, 38 ans, milite pour leur déclassification. Cet Israélien a découvert à 16 ans que sa grand-mère d'origine yéménite avait donné naissance à des jumeaux dont l'un a été "enlevé".

    Depuis, il a fondé le groupe Amram qui collecte des témoignages sur ce "crime contre l'humanité", comme celui de Gili Grunbaum, 60 ans. Durant la moitié de sa vie, il a cru être le fils de survivants de la Shoah avant de découvrir qu'il avait été adopté.

    Il a retrouvé sa mère biologique, d'origine tunisienne, à qui on avait annoncé que son bébé était mort juste après la naissance. "Je lui ai demandé pourquoi elle n'avait pas réclamé le corps, pourquoi il n'y avait pas eu de funérailles", raconte M. Grunbaum. "Mais ils étaient naïfs, ils venaient d'immigrer et acceptaient ce qu'on leur disait sans poser de questions", poursuit-il. Grave, il ajoute: "personne ne peut se prendre pour Dieu, et décider où un enfant vivra le mieux".

  • Nice. Et après ?

     

     

    La tragédie de Nice mérite autre chose que des lamentations. Il faut rendre des comptes car cette boucherie a révélé la stupéfiante incompétence des autorités à tous les niveaux (municipal, départemental, régional, national) dont aucun politicien ne peut se dédouaner, du trio Hollande-Valls-Cazeneuve à un Estrosi qui se dépêche d’accuser les autres pour essayer de dissimuler sa responsabilité dans ce carnage puisqu’il est bel et bien comptable de la sécurité des Niçois. Il aurait dû en effet veiller, en tant que premier adjoint de la ville de Nice (où tout le monde sait très bien que tout en n’étant plus officiellement maire il tire toutes les ficelles) à la mise en place d’un système de sécurité à la hauteur d’un événement attirant, comme il était prévisible, une foule de spectateurs, parmi lesquels beaucoup de femmes et d’enfants. Or il se défausse de sa responsabilité, d’une manière indigne que pointe du doigt à juste raison Marie-Christine Arnautu, députée européenne, présidente du groupe FN au conseil municipal de Nice.

    La tragédie de Nice suscite une légitime émotion collective. Partagée par tous ? Eh non. Le samedi 16 juillet avait lieu à Forcalquier un mariage maghrébin. Un long cortège de voitures, klaxons bloqués, a envahi le centre de la ville. A une portière, un homme hilare faisait avec ses doigts le V de la victoire. Une heure avant, les media annonçaient que Daesch revendiquait le carnage de Nice…

    Celui-ci est une étape dans le processus de guerre enclenché par ceux pour qui la mort de Gaulois, ces mécréants, est une offrande à leur Dieu. Ceux qui nient cela vont être confrontés de façon de plus en plus directe à la colère qui monte chez les Gaulois. Les anesthésistes de tous bords n’y pourront rien. Trop de mensonges, trop d’impuissance, trop d’incompétence, trop de lâcheté (pas d’amalgame, n’est- ce pas ?). Trop, c’est trop.

                                                                           Pierre VIAL

    TERRE ET PEUPLE

    (Merci à Dirk)

  • Tuerie de Nice: un rescapé russe a vu deux terroristes

    https://m.facebook.com/panhamza/photos/a.259863080821062.1073741827.258337060973664/690340167773349/?type=3&theater

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    NICE : UN RESCAPÉ A VU DEUX TERRORISTES.

    INFO PANAMZA : le 15 juillet, le quotidien russe a rapporté le témoignage de Baï Parchoev, rescapé de la tuerie de Nice.
    Ses propos ont été traduits et publiés -aujourd'hui, mardi 19 juillet- par le site du Courrier de Russie {http://panamza.com/btm; http://panamza.com/btn}.

    Le jeune homme de 28 ans est catégorique :

    « Je ne comprends pas pourquoi on ne parle que d’un terroriste ?
    Ils étaient deux !
    Un qui conduisait, et un autre sur le siège passager, c’est lui qui a tiré ».

    Rappel : selon François Molins, procureur de la République de Paris , seul un homme, dénommé Mohamed Lahouaiej Bouhlel, a été « retrouvé mort » dans le camion -« sur le siège passager » {http://panamza.com/16569}.

  • Tuerie de Nice : le camion n’avait pas le droit de circuler le 14 juillet!!! Ni le 13…

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    Comment ce camion de 19 tonnes a pu se retrouver jeudi 14 juillet sur la promenade des Anglais ? Les Niçois et plus particulièrement les chauffeurs-routiers et transporteurs se posent la question depuis l’attentat de Nice qui a fait 84 morts et plus de 300 blessés. « C’est irréel » s’exclame Patrick Mortigliengo, le président de la FNTR (Fédération nationale des transports routiers) des Alpes-Maritimes. D’abord, tous les transporteurs que nous avons contactés affirment avec certitude que ce camion « n’est pas frigorifique » contrairement à ce qu’a indiqué le procureur de la République de Paris, François Molins, qui expliquait vendredi 15 juillet, que le terroriste avait frappé a bord d’un « véhicule frigorifique de 19 tonnes loué à une société de Saint-Laurent-du-Var ». (…) . Ce camion est en fait un Renault Midlum de livraison.

    Frigorifique ou pas, le camion n’avait rien à faire sur la voie publique le 14 juillet car la législation est très claire, elle est la même partout en France. « Sur l’ensemble du réseau routier, les véhicules ou les ensembles de véhicules de plus de 7,5 tonnes de PTAC affectés aux transports routiers de marchandises dangereuses ou non-dangereuses, à l’exclusion des véhicules spécialisés et des matériels et engins agricoles, n’ont pas le droit de circuler du samedi 22h au dimanche 22h. Cette interdiction générale s’applique également les veilles de jours fériés à partir de 22h jusqu’à 22h le lendemain ». Ce camion blanc de 19 tonnes était donc concerné par l’arrêté préfectoral.

    En d’autres termes, ce camion roulait en toute illégalité le jeudi 14 juillet quand, à quatre reprises, le tueur, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, est venu repérer les lieux. François Molins a précisé ce lundi 18 juillet que « plusieurs selfies de l’auteur ont été pris le 14 juillet sur la promenade des Anglais. L’un à 13h43 devant la plage. Un second à 16h02 devant un camion remorquant un char d’assaut. Un troisième à 16h42 sur la promenade des Anglais. Enfin, un quatrième à 19h25 devant une allée piétonne ».L’exploitation de vidéosurveillance de la ville de Nice confirme également que le terroriste s’est rendu avant de passer à l’acte « au volant du camion sur la promenade ».

    Ce camion était également sur la voie publique en toute illégalité, quand à 21h34 le jeudi 14 juillet, Mohamed Lahouaiej Bouhlel est monté à bord du camion dans le quartier Auriol, à l’est de Nice. Même chose à 22h30 quand il apparaît quartier Magnan avant de prendre la direction de la promenade des Anglais pour commettre son attentat.

    En plus de l’arrêté préfectoral, la promenade des Anglais, comme l’ensemble du territoire de la Ville de Nice, fait l’objet d’un arrêté municipal permanent (2014-03878 du 29 septembre 2014) interdisant la circulation des véhicules dont le poids total est égal ou supérieur à 3,5 tonnes.

    Patrick Mortigliengo, comme ses collègues transporteurs, ne comprend pas comment les forces de l’ordre n’ont pas repéré ce poids lourd. (…)

    La Préfecture des Alpes-Maritimes n’a pas souhaité répondre à nos questions renvoyant au parquet de Paris, chargé de l’enquête. La mairie de Nice a donc répondu ce mardi soir : « Il existe bien un arrêté préfectoral et un arrêté municipal régissant la circulation des poids-lourd. La Ville de Nice ne peut en aucun cas faire appliquer un arrêté préfectoral. Il existe des exceptions-dérogations à cet arrêté municipal permettant à certains camions de 19T de circuler en ville et sur la Promenade des Anglais. Exemple: livraison, déménagement… Il n’est donc pas possible d’identifier uniquement par les caméras un camions étant autorisé ou non autorisé. La Police Municipale effectue des contrôles réguliers et quotidiens sur la Promenade des Anglais.Les caméras du CSU sont aussi mises à disposition de la Police Nationale. Ces derniers ont le même accès aux caméras que la Police Municipale. Ils peuvent visionner en temps réel, les diriger et ainsi surveiller la circulation tout comme le fait la Police Municipale. »

    Nous rappelons que la sécurité est une mission régalienne.

    Bien que les 1400 caméras de Nice constituent un maillage de toute la ville, il est impossible d’avoir un agent qui visionne les images de chaque camera de la ville en temps réel. Nous rappelons que ce sont des agents de la Police Municipale, qui n’avaient pas été réquisitionné par la Préfecture pour le 14 Juillet, mais qui était sur une autre mission sur le terrain, qui ont constaté le camion à son entrée sur la Promenade et qui ont immédiatement donné l’alerte ayant permis à la Police Nationale de stopper le camion quelques seconde après. Sans leur intervention, le camion aurait pu continuer sa course bien plus loin.

    Source

    DélitD'Images