http://www.frontnational.com/2016/09/creation-de-lassociation-des-maires-ma-commune-sans-migrants/
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Grèce: la population rejette de plus en plus les migrants
Par Alexia Kefalas
Mis à jour le 20/09/2016 à 17h51Sur l'île de Lesbos, la population s'inquiète de la décision du gouvernement grec de scolariser les enfants de réfugiés.
À Athènes
Alors que des vents violents soufflaient sur Lesbos, un incendie s'est déclenché lundi soir, vers 22 heures, à Moria, le centre de rétention de l'île où s'entassent quelque 5.650 migrants et réfugiés, pour 3.500 places. Arrivés depuis la Turquie voisine sur des embarcations de fortune, ils sont bloqués dans le pays, comme 55.000 autres réfugiés depuis la fermeture de la route des Balkans en mars.
S'il n'y a eu ni victimes ni blessés, le centre surpeuplé a été ravagé. «Des milliers de résidents, dont nombre de femmes serrant leurs bébés, ont été contraints de dormir à même le sol, près du port de Lesbos», affirme Spyros Galinos, le maire de l'île. Mardi, la police a arrêté neuf résidents de Moria, soupçonnés d'être à l'origine des affrontements qui ont éclaté dans la soirée et ont mené à l'incendie. Les autorités ont dépêché quarante policiers antiémeutes et le gouvernement a mis à disposition un ferry pour héberger un maximum de familles. Mais cela va prendre du temps et exaspère les habitants de Lesbos qui craignent des débordements.
La même tension est aussi palpable dans le nord du pays, dans la banlieue d'Oreokatsro à Thessalonique où, depuis quelques jours, les jeunes élèves ont retrouvé le chemin de l'école. Mais cette année, la rentrée des classes a été bien différente des précédentes. Si le rituel - bénédiction et prière du matin - a été respecté, un débat s'est imposé tant dans les salles de classe que dans la cour de récréation ou bien encore dans les familles: la rentrée des réfugiés irakiens, afghans et syriens.
Scolarisation et vaccination au cœur des tensions
Dès la sonnerie marquant le début des cours, l'association des parents d'élèves de la ville a multiplié les assemblées générales dans deux écoles d'Oreokastro, pour décider de «ne pas intégrer les réfugiés dans les écoles publiques». Le communiqué de l'association affirme que la décision a été prise exclusivement pour «des raisons de santé publique: les réfugiés n'ont pas été vaccinés et il y a des cas de paludisme et d'hépatite». Mais elle a immédiatement soulevé une polémique sans précédent. Le procureur de Thessalonique a diligenté une enquête préliminaire pour déterminer s'il y a eu infraction et violence raciste délibérée. Les parents d'élèves se sont aussi vu attirer les foudres de l'union des médecins, pour laquelle «tout être humain, quelle que soit son origine, doit avoir accès à des soins et à l'éducation».
Ces tensions font suite à la décision du gouvernement grec de scolariser les 22.000 enfants réfugiés. «Pas question de les mêler aux écoliers grecs, pour des raisons de langue et de niveau», précise un conseiller du ministre, Nikos Filis, «il s'agit d'utiliser les salles de classe, après les cours, pour qu'ils puissent suivre un enseignement dans leur langue. Ils ne croiseront pas les Grecs.» Malgré cela, le débat s'est embrasé. Les parents d'élèves d'Oreokastro menacent aujourd'hui d'occuper les écoles si elles s'ouvrent aux réfugiés. Asterios Gavotsis, le maire de la commune, qui soutient ses habitants, a demandé une preuve officielle de la vaccination de chaque migrant.
Au même moment, dans l'ancienne usine de la commune, transformée en centre d'hébergement inopiné, quelque 700 Syriens sont terrorisés par cette situation de rejet. Leur destination finale n'était certes pas la Grèce, mais ils sont néanmoins enthousiastes à l'idée que leurs enfants soient scolarisés.
Le gouvernement d'Alexis Tsipras dit s'inquiéter de cette tendance xénophobe en croissance exponentielle, mais la réalité est que la classe politique grecque est, et reste immobile. Elle n'a pas su anticiper le problème migratoire en 2015 et semble bien en peine de le gérer aujourd'hui.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 21/09/2016.
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Hollande récompensé… à New-York
20 septembre 2016 par Lionel- Contre-info.comOn a les récompenses que l’on mérite. C’est ainsi que François Hollande est l’un des plus calamiteux présidents que la France ait jamais connus, au point que s’il se représentait à l’élection à venir, il ne serait pas assuré de passer le premier tour, ce qui serait inédit. Pire même, il est fort vraisemblable qu’il serait devancé par un autre candidat de gauche, alors que le système démocratique à l’occidental procure toujours un avantage au candidat sortant, ce que les politologues appellent une « prime au sortant », avantage qui explique pourquoi de mauvais présidents ont quand même pu être réélus. Mais, on le voit, ce n’est pas le cas de François Hollande, tant il est mauvais et honni par les Français. Malgré cela, cet individu reçoit des récompenses…
C’est ainsi qu’à New-York, Hollande a été gratifié du titre de « Homme d’État de l’année » par la fondation « Appeal of conscience » et a reçu son trophée des mains d’Arthur Schneier et d’Henry Kissinger (Juif né en Allemagne, immigré aux Etats-Unis et qui a reçu le Prix Nobel de la Paix car, paraît-il, il a beaucoup oeuvré à la paix entre Israël et les pays arabes suite de la guerre du Kippour). On notera que, lors de la réception de son trophée, Hollande avait son rictus stupide dont il nous gratifie régulièrement, alors même qu’Arthur Schneier était coiffé d’une kippa. Le Président d’un pays soi-disant laïque ne semblait nullement gêné par ce détail, alors que, précisons-le, la fondation « Appeal of conscience » est une organisation qui se veut être politique et laïque, et nullement confessionnelle. Ainsi, Hollande n’avait pas ici affaire à des dignitaires religieux, mais bien à des acteurs civils et il ne s’est nullement ému de constater que l’un d’eux portait une kippa… Comme quoi, la chasse aux signes ostentatoires religieux ne semble pas concerner toutes les religions.
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JOURNAL TVLibertés DU 20 SEPTEMBRE 2016
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JOURNAL TVLibertés DU 19 SEPTEMBRE 2016
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En Grande-Bretagne, Theresa May propose des écoles d'élite aux élèves dès 11 ans
Le gouvernement britannique a annoncé une réforme importante du système éducatif qui repose sur la multiplication des grammar schools, des collèges et lycées publics d'excellence, réservés aux élèves les plus brillants.
Au Royaume-uni, la sélection n'est pas un tabou. À l'université, bien sûr, où c'est la règle à l'entrée. Mais aussi dans le primaire et le secondaire (voire la maternelle), revendiquée par les meilleures écoles privées élitistes. La nouvelle première ministre Theresa May a pourtant jeté un pavé dans la mare en proposant de la généraliser à partir de onze ans. Son gouvernement a annoncé une réforme importante du système éducatif qui repose sur la multiplication des grammar schools, des collèges et lycées publics d'excellence, réservés aux élèves les plus brillants. En 1998, le travailliste Tony Blair avait décidé d'interdire l'ouverture de nouveaux établissements de ce type, gelant leur nombre à 163, au profit d'un cursus unique. Theresa May propose de lever ce moratoire, enveloppe de 50 millions de livres (58 millions d'euros) de financements publics à la clé. C'est une vieille lune de la droite britannique, qui divise profondément le pays. David Cameron s'était efforcé de l'enterrer, jugeant ce combat rétrograde. La première ministre conservatrice justifie son projet par une volonté de développer la méritocratie. Mais l'idée est controversée. La gauche dans son ensemble est contre. «Arrêtez votre stupide guerre des classes», a enjoint la députée travailliste Angela Rayner au gouvernement. Une partie non négligeable des conservateurs y est également hostile, mettant en péril l'adoption du projet quand il sera présenté au Parlement - s'il n'est pas retiré d'ici là.
Ségrégation sociale
Selon ses détracteurs, le système risque d'accroître encore davantage les inégalités et la ségrégation sociale. La sélection des meilleurs élèves dans des écoles d'élite risque de condamner les autres à végéter dans des établissements de niveaux médiocres. «Promouvoir les grammar schools comme la voie d'élite place immédiatement tous les autres lycées dans un rôle subalterne», dénonce Kevin Courtney, responsable du syndicat enseignant National Union of Teachers.
Jusqu'à présent, le mot d'ordre était à l'amélioration générale du niveau éducatif. David Cameron avait tenté de forcer tous les lycées à devenir des «academies», des établissements d'excellence non sélectifs. Selon de nombreuses études, les enfants issus de milieux défavorisés ont moins de chances d'accéder aux grammar schools que ceux venant de milieux privilégiés. Cela risque aussi de réduire les chances de ceux qui en sont exclus d'accéder à l'université.
Le Figaro
NdB: Que Najat Belkacem en prenne de la graine, elle qui conduit l'Education nationale à la catastrophe! Elèves qui entrent en 6ème sans savoir ni lire ni écrie ni compter, mais avec l'injure à la bouche et un couteau dans leur poche!
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BNP Paribas veut soutenir et encourager l’invasion de « migrants »
19 septembre 2016 par admin4 - Contre-info.comet met la pression à ses salariés…
Cela date d’il y a un an mais n’a pas été très ébruité et est toujours d’actualité.
Evidemment, la Banque, tout comme le Medef, a intérêt à voir la France submergée de ce nouveau sous-prolétariat.
Mais de la à oser afficher aussi nettement son goût pour les prétendus réfugiés, il y avait un pas que vient de franchir BNP Paribas, comme on peut le voir sur son site et sur ses comptes sur les réseaux sociaux :
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David Rachline invité de France 3 Provence-Alpes
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Discours de Marine Le Pen aux Estivales de Fréjus (18/09/2016)
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VIDEO - Elections en Russie: les jeunes pro-Poutine
http://www.ndf.fr/nos-breves/18-09-2016/elections-en-russie-la-jeunesse-pro-poutine/
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VIDEO - Barbara Spectre et la promotion du multiculturalisme en Suède
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Suede-qui-fait-la-promotion-du-multiculturalisme-18990.html
A voir absolument
(merci à Dirk)
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Avenue du muslim, le dernier cri de la mode islamique
Et dire que c’est nous que politiques et médias traitent de rassis et de moisis !
Envie de changer de look ? Vite, allez sur le site avenuedumuslim.com, il vaut le détour.
Hijabs, jilbabs saoudiens, abayas, bas et gants opaques assortis, faites votre choix et gagnez du temps : seulement 7 couleurs unie, toutes foncées ! Vous avez choisi l’abaya prune et avez soudain envie de faire plaisir à votre petite fille de deux ans ? Prenez-lui le chatoyant jilbab sarouel gris grâce auquel elle n’aura plus les cheveux au vent, il n’y a que lui. Vos copines vont en pâlir d’envie. Que vous compléterez avec Mon prophète Muhammad pour l’aider à s’endormir. Pour votre fils gymnaste, vous allez hésiter entre d’élégants et très confortables sarouels, entrejambes ultra-larges et super descendants – trop cool – ou un kami jogging noir, il va adorer. Ainsi que la veilleuse coranique pour sa prière du soir. Tant que vous y êtes, n’oubliez pas votre mari.
Pour lui, une longue robe à manches courtes noire et blanche, cela s’appelle un kami. Qui a dit que ce n’était pas sexy ?
Je me moque un peu, je l’admets. Tout de même, comme preuve de l’absence de joie de vivre et de modernité de l’islam, c’est plutôt réussi ! Des formes aux couleurs en passant par la variété de choix ou leur élégance que ne lui envierait pas Chanel et Saint Laurent, et il faudrait se demander comment nous avons pu si longtemps nous en passer ? Côté littérature, c’est même le pompon. Entre autres lectures – dont les incontournables Coran, hadiths et tajwid -, Les Délices du paradis et L’Enfer et ses supplices, pour toute la famille, et pour vous, madame, Les Qualités de l’épouse vertueuse, avec son corollaire Le Recueil de fatwas concernant les femmes. À côté, Montaigne, Rousseau et Hugo peuvent aller se rhabiller ! Aucune chance, évidemment, de vous ruer sur Cinquante nuances de Grey !
À la Belle Époque, les dames sortaient la taille serrée dans leurs robes à crinoline et les messieurs portaient beau le costume trois pièces et le chapeau. Le XVIIe siècle a vu fleurir corsages à baleines, robes-manteaux pour la gent féminine et éclatants pourpoints pour la masculine ; les années soixante, la mini-jupe, et les seventies les pattes d’eph’. L’histoire de la mode française est riche et continue, somptueuse ou sexy, elle é-vo-lue… Mais pas la mode islamique !
Et dire que c’est nous que politiques et médias traitent de rassis et de moisis ! Pire : c’est nous qui fantasmons la prolifération des signes islamiques dans les espaces publics… La mode islamique figée au temps du Prophète, sombre, uniforme et triste, intolérante et sexiste, mais cela ne leur met toujours pas la puce à l’oreille… À moins que reluquer les femmes en « jilbab assalafiyat de portage », ils adorent !
Où se trouve le siège de cette collection dernier cri, Avenue du muslim ? En Arabie saoudite ? À Bezons, dans le Val-d’Oise ! Vous avez dit « avancées », « progrès », « évolution » ?
Boulevard Voltaire
NdB: Parcourez le catalogue du site en ligne avenue du muslin, lien indiqué plus haut: oui, cela vaut le détour en effet!
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VIDEO - La sinistre des Droits des femmes annonce des « mesures pour faire cesser les sites qui trompent les femmes » (sic) sur l’avortement
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Un spot télévisé appelle les Suédois de souche à s’intégrer au « nouveau pays »
15h59Appel aux lecteurs : sous-titrage en français de la vidéo (VO en suédois ici).
Le nouveau paysIl n’y a plus de retour en arrière. La Suède ne sera plus jamais comme avant. Un constat sur le monde qui nous entoure
– la Suède est un endroit sûr dont ont besoin les personnes persécutées. Ce qui était un manque pour certains. Penser au passé est bon et en parler aussi
– mais nous devons aussi aller de l’avant, trouver un moyen de vivre tous ensemble. De nos jours, l’Europe et la Suède sont ce qu’ils sont : en train de changer.Il est temps de réaliser que de nouveaux suédois vont venir avec une culture, une langue et des traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce «nouveau pays» forme un nouvel avenir. Etre suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble.
Il n’y a pas uniquement les nouveaux suédois qui doivent être intégrés. Tout le monde doit être intégré, même des suédois de souche.
L’intégration ne veut pas dire que les uns doivent s’adapter aux autres ou que tout le monde doit penser, faire et réagir de la même façon.L’intégration est une question de rencontres, et de réelles rencontres nécessitant réciprocité.
Créons un avenir basé sur autant de réalité que d’espoirs d’avenir. Formulons un plus grand sentiment d’un «
nous» et construisons un pays où la haine et la peur sont mis à l’écart. Nous avons tous le nouveau pays en nous, dans notre façon de voir les choses, nos pensées et actions. Il est temps de construire, ensemble, un pays qui est fier, inclusif et durable
– quelque chose de nouveau.(merci à Guillaume D.)
(merci à Dirk)
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Victor HUGO L'enfant
Les turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil,
Chio, qu’ombrageaient les charmilles,
Chio, qui dans les flots reflétait ses grands bois,
Ses coteaux, ses palais, et le soir quelquefois
Un chœur dansant de jeunes filles.Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis,
Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis,
Courbait sa tête humiliée ;
Il avait pour asile, il avait pour appui
Une blanche aubépine, une fleur, comme lui
Dans le grand ravage oubliée.Ah ! pauvre enfant, pieds nus sur les rocs anguleux !
Hélas ! pour essuyer les pleurs de tes yeux bleus
Comme le ciel et comme l’onde,
Pour que dans leur azur, de larmes orageux,
Passe le vif éclair de la joie et des jeux,
Pour relever ta tête blonde,Que veux-tu ? Bel enfant, que te faut-il donner
Pour rattacher gaîment et gaîment ramener
En boucles sur ta blanche épaule
Ces cheveux, qui du fer n’ont pas subi l’affront,
Et qui pleurent épars autour de ton beau front,
Comme les feuilles sur le saule ?Qui pourrait dissiper tes chagrins nébuleux ?
Est-ce d’avoir ce lys, bleu comme tes yeux bleus,
Qui d’Iran borde le puits sombre ?
Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand,
Qu’un cheval au galop met, toujours en courant,
Cent ans à sortir de son ombre ?Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois,
Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois,
Plus éclatant que les cymbales ?
Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l’oiseau merveilleux ?
– Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus,
Je veux de la poudre et des balles.8-10 juillet 1828
Victor Hugo, Les Orientales
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18 septembre 1981 : abolition de la peine de mort en France
18 septembre 2016 par admin4- Contre-info.comLe projet de loi abolissant la peine capitale, présenté par Robert Badinter, fut adopté par l’Assemblée nationale le 18 septembre 1981 (par la majorité de gauche mais aussi certaines voix de droite dont celles de Jacques Chirac et de Philippe Séguin), puis par le Sénat le 30 septembre 1981.
Badinter, avocat cosmopolite né en 1928, fut l’artisan majeur de cette petite révolution judiciaire (avec François Mitterrand, dont ce fut l’une des premières mesures), qu’il avait entamée en défendant et sauvant de la guillotine Patrick Henry.
Ce dernier avait assassiné un enfant de 8 ans, qu’il avait kidnappé en demandant une rançon. Son procès s’ouvrit en 1977 et le tueur fut condamné à la prison à vie au lieu de la peine capitale.
Bien sûr, sa « perpétuité » n’atteint pas son terme et pris fin en 2001 alors que le détenu n’avait que 48 ans.La traditionnelle pyramide des peines lourdes fut décapitée avec l’abolition de la peine de mort, qui fut prise contre l’avis majoritaire des Français à l’époque !
En effet d’après des sondages d’octobre 1981, 62% des Français voulaient le maintien. Telle est la démocratie…
Lire la suite -
Discours de Marine Le Pen à Fréjus devant 5.500 personnes venues de toute la France
(Cette vidéo me semble de meilleure qualité que la précédente)
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VIDEO - Autoroutes: les péages vont augmenter de 0,4%
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Tremblay: l'affaire du restaurant Le Cénacle n'est pas terminée
Régulièrement, une patrouille de police passe devant le Cénacle, un restaurant gastronomique de Tremblay-en-France. Signe que les choses ne se sont pas complètement calmées après la polémique déclenchée, fin août, par le chef de cet établissement. Filmé à son insu, l’homme avait proféré des propos islamophobes à l’encontre de deux clientes musulmanes voilées, déclarant notamment que « tous les musulmans sont terroristes ».
La vidéo, postée sur Internet, avait déclenché l’émoi. Dans la foulée, une quinzaine d’habitants étaient venus demander des explications au restaurateur, qui comparaîtra le jeudi 24 novembre devant le tribunal de Bobigny, pour « discrimination à caractère religieux ».
Depuis l’affaire, la fréquentation du Cénacle a baissé. Ainsi, ce mercredi, une entreprise a annulé sa réservation pour dix convives, précisément à cause de la polémique. « Je me suis excusé pour mes propos, j’ai expliqué que je ne suis pas raciste et que ce jour-là, j’ai pété un câble. Mais, sur Internet, certains ont quand même appelé à ruiner ma réputation. Mon établissement, c’est le travail d’une vie ! J’ai des employés à payer, un crédit à rembourser », argumente le cuisinier. Qui déplore une « double peine » : « Je vais aussi passer au tribunal, la justice me punira ! » Il a également reçu des menaces et est désormais placé sous surveillance policière.
Du côté des habitants de Tremblay, on a pris du recul sur la polémique, même si celle-ci alimente encore les conversations. « Ce monsieur est une victime », estime Sidi, un chauffeur-livreur musulman de 22 ans qui avait discuté avec le chef du Cénacle dès le lendemain des faits. « S’il avait ouvert des livres au lieu de regarder la télévision, il n’aurait peut-être pas fait d’amalgame entre musulmans et terroristes », poursuit celui qui en veut plutôt aux chaînes d’info et aux politiques, coupables selon lui « de ne parler que de terrorisme et d’islam ». Reste la violence des propos du restaurateur : « La meilleure réponse, c’est qu’il soit condamné », conclut Sidi.
L’enquête, elle, est terminée. L’agression islamophobe, reconnue par le patron du restaurant, ne fait aucun doute. Mais la police n’a pas pu établir l’hypothèse, un temps envisagée, que les deux victimes étaient en « mission » pour une association antiraciste.
leparisien.fr
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Discours de Marine Le Pen aux Estivales 2017 de Fréjus
https://www.facebook.com/marinelepen
Magnifique! Merci Marine!