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  • Brigitte Macron : un statut qui fait grincer des dents

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/premiere-dame-un-statut-qui-fait-grincer-des-dents-966865.html

    NdB: "Transparence, transparence, est-ce que j'ai une gueule de transparence? "

  • Toulouse : depuis presque un an, des "migrants" dorment dans la cour de leur immeuble

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    Luc Fournier envisage de fermer la cour avec un cadenas même s’il n’a « pas le droit »./DDM, N. Saint-Affre
     

    Ils se disent « exaspérés ». Depuis des mois, voire un an, des résidents de plusieurs immeubles de l’avenue Étienne-Billières, à Toulouse, sont confrontés à la présence de migrants qui dorment dans la cour. « Au début, c’était une tente ou deux. Maintenant, c’est un vrai campement », explique Luc Fournier, président du conseil syndical des résidents.

    Chaque matin, les vestiges de la nuit traînent sur le petit carré de pelouse. Poubelles, couvertures, tentes mais aussi, de très fortes odeurs fécales ou d’urine sont devenues récurrentes. « Le jeune homme qui habite en rez-de-chaussée va péter un plomb un jour », craint Luc Fournier. Identifié par la municipalité et la préfecture, le campement de l’avenue Étienne-Billières n’est pas simple à gérer.

    D’une part, parce que ces personnes, en majorité des Roms d’Albanie, ne sont jamais les mêmes. Certaines sont relogées, d’autres arrivent. La proximité du Service d’information, d’accueil et d’orientation (SIAO) relevant du Centre communal d’action sociale (CCAS) pourrait en partie expliquer l’installation de ces migrants. « Ce n’est pas de la faute des employés du CCAS, ils subissent une pression constante et doivent s’occuper de tous les cas sociaux de la ville », glisse Nicole Folch, une habitante complaisante mais qui a « besoin d’une solution ». « Je n’ai aucune hostilité contre ces personnes, bien au contraire. Ils me saluent, me sourient… J’apporte de l’eau, des fruits ou des sandwichs aux femmes enceintes et aux enfants en bas âge quand il fait trop chaud mais ça ne peut pas durer ainsi. Pour eux, comme pour nous. »

    Une servitude de passage

    L’autre pan du problème concerne le « statut » de ladite cour. « Il y a une servitude de passage avec la rue Adolphe-Coll », signale Luc Fournier. Un portail a bien été installé par la municipalité mais il reste en permanence ouvert. Seul un panneau évoque la possibilité de le fermer la nuit. « Ce qui ne rimerait à rien puisqu’ils sont déjà là ! », estime Nicole Folch. « C’est une situation ubuesque ! Il suffirait pourtant qu’ils le ferment avec un code à communiquer aux résidents », poursuit la retraitée.

    D’autant que selon eux, le passage tout proche de l’église de la Patte-d’Oie suffit amplement pour les piétons qui souhaitent faire la jonction entre la rue Adolphe-Coll et l’avenue Étienne-Billières. Qu’à cela ne tienne, Luc Fournier a acheté un cadenas. « La mairie me dit qu’elle n’est ni pour, ni contre », explique-t-il. Dernièrement, un courrier a par ailleurs été adressé à Jean-Luc Moudenc, le maire. Ce week-end, la police nationale est même intervenue.

    « Il s’agit de demandeurs d’asile primo-arrivants qui doivent être pris en charge par l’État avec qui nous sommes en relation permanente », note Daniel Rougé, adjoint au maire à la coordination des politiques de solidarité et des affaires sociales. « La municipalité cherche à sécuriser les lieux, peut-être en fermant le portail, et réfléchit à des mesures de protection et d’évacuation. Il faut qu’on prenne ces personnes en charge de manière plus structurante dans les prochains jours », assure l’élu. La préfecture indique pour sa part « avoir proposé une solution d’hébergement en hôtel à 40 personnes ».

  • Un général italien explique comment régler l’invasion migratoire en quelques jours

     

    Journaliste

    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

     
     
     
     

    Il y a, en ce moment, un général qui fait beaucoup parler de lui en Italie. Non pas qu’il ait démissionné puisqu’il est à la retraite après avoir commandé l’armée de l’air dont il est l’un des pilotes les plus décorés, mais parce qu’il s’est déclaré très préoccupé par l’invasion migratoire.

    Le général de corps d’armée Vincenzo Santo n’a pas hésité à répondre ce que personne n’avait jamais osé imaginer lorsque le journaliste du quotidien LiberoIl Giornale – lui a demandé si l’immigration était un phénomène historique qu’il était impossible d’arrêter.

    « Il suffit d’utiliser l’armée pour la mission qui est à l’origine de sa création, celle de défendre nos frontières. Il est tout à fait possible de mettre le holà à cette immigration désordonnée et massive. En quelques jours, l’armée italienne pourrait y mettre fin. »

    Ce soldat très étoilé n’est pas n’importe qui. Il fut numéro deux de l’OTAN en Afghanistan, ancien chef d’état-major de l’ISAF (International Security Assistance Force/Force internationale d’assistance à la sécurité) et, à 71 ans, il est vice-président de l’Institut des affaires internationales, le think tank le plus en vogue en Italie. Il collabore également à l’un des plus importants sites d’information sur la défense et a des relations militaires dans de nombreux pays. Il est, en France, chevalier de l’ordre national du Mérite. Il explique comment il voit l’implication de l’armée italienne dans ce combat pacifique mais indispensable qu’il faut mener contre cette véritable invasion des côtes européennes.

     

    « Nous avons les outils pour contrôler la côte libyenne sans y poser le pied. Les routes migratoires qui nous concernent convergent vers Tripoli. La zone à contrôler est beaucoup plus petite que ce que vous pensez. Tout d’abord, nous devons mettre en œuvre le blocage des navires ONG pour les empêcher de pénétrer dans les eaux libyennes. En même temps, nos forces spéciales captureront les trafiquants et les conduiront en prison. Bien sûr, il n’est pas question d’attendre les autorisations des organismes internationaux ni de respecter la souveraineté nationale de la Libye ou d’un autre pays. N’oublions pas que la nôtre est violée chaque fois qu’un navire ou qu’un canot débarque sur nos rivages sa cargaison humaine. »

     

    La révolte gronde dans l’armée, les douanes et la population qui n’en peut plus de voir débarquer par dizaines de milliers ces migrants venus d’Afrique, très rarement avec des femmes, qui envahissent villes et villages avant de se disséminer à travers l’Europe, vivant dans des conditions d’hygiène indignes et dangereuses. « Comment peut-on avoir confiance dans nos institutions quand un migrant qui a poignardé à Milan un policier est aussitôt relâché ? ». Et le Général Santo d’expliquer qu’il est facile d’imaginer la frustration de ceux qui sont quotidiennement sur la route pour assurer la sécurité des citoyens.

    La création de camps en Libye ne résoudra rien tant qu’y régnera la confusion politique et la présence de djihadistes. « En outre, pour des raisons humanitaires, nous ne pouvons confier aux Libyens la gestion de camps éventuels qui devraient être créés et financés en Tunisie et en Égypte, et peut-être en Algérie. » Et ce général hors normes d’évoquer le problème des clandestins dont il croit nécessaire de les arrêter afin de les réexpédier par avion vers leurs pays d’origine, et pour ce faire, « il faut bien entendu augmenter nos forces de police »

    « Il faut confier aux policiers la mission de retrouver ces clandestins afin de les mettre à la disposition des diverses autorités consulaires, dans le but de procéder à leur identification, même s’ils ont fait disparaître leurs documents et prétendent qu’ils ont été volés ou retenus par les trafiquants afin de rendre plus difficile la recherche de leur pays d’origine. Mais je suis convaincu que si l’on veut remonter à la nationalité du clandestin, on réussit toujours. »

    Qu’il nous serait agréable de rêver que quelques-uns de nos courageux généraux se mettent à s’exprimer comme le général Vincenzo Santo !

    BV

  • L'allocution hebdomadaire du président Trump au peuple américain

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/SuperTrump-no26-Nous-erigerons-beautes-et-merveilles-de-nos-propres-mains-46940.html

    NdB: ce n'est pas Macron qui nous parlerait ainsi...

  • Un autre grand "rosé" !

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  • Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde

    Dimanche 30/07/2017 à 15H20
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    •  
     Depuis le tournant des années 2000, le rosé a posé la Provence sur la carte mondiale du vin et a évité en bonne partie à ses viticulteurs la crise économique qui a étrillé le Bordelais, le Languedoc ou les côtes-du-rhône

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    "Il y a vingt ans à Bordeaux, j'étais à table avec des propriétaires de grands crus. Y en a un qui me demande "Alors donc vous êtes vigneron ? Où ça ?". Quand je lui ai répondu "En Provence", il a tourné sa chaise vers sa voisine et je n'ai plus vu que son dos de toute la soirée... Maintenant si j'explique que j'ai des vignobles en Provence, presque on me ferait les pompes..." L'anecdote hâbleuse est bien dans le style d'Olivier Sumeire, vigneron de château Coussin, dans les Bouches-du-Rhône et président des côtes de provence sainte-victoire. Mais elle dit aussi tout le chemin parcouru ces dernières années par cette partie du vignoble hexagonal. Jusqu'au début des années 2000 regardés comme les producteurs d'une gentille piquette qui n'était buvable que l'été au bord de la piscine de l'hôtel, les vignerons provençaux ont depuis fait leur mue. Voire leur révolution. Et cette dernière a une couleur : rose pâle. Ils ont inventé d'un seul coup un nouveau type de vins, vifs, sur le fruit et sans lourdeur, et un fleuron viticole français de plus. Pour le monde entier désormais, le rosé est provençal. Et si l'on entend encore dans quelques salons où l'on cause la sentence aussi éculée que vide de sens "Le rosé, c’est pas du vin, mon bon monsieur !", le marché, lui, a depuis longtemps choisit son camp et validé les choix des vignerons d'ici.

    "La Provence doit devenir le champagne du rosé"

     

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    Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde

    Dimanche 30/07/2017 à 15H20
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    Depuis le tournant des années 2000, le rosé a posé la Provence sur la carte mondiale du vin et évité en bonne partie à ses viticulteurs la crise économique qui a étrillé le Bordelais, le Languedoc ou les côtes-du-rhône

    Économie - Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde


    "Il y a vingt ans à Bordeaux, j'étais à table avec des propriétaires de grands crus. Y en a un qui me demande "Alors donc vous êtes vigneron ? Où ça ?". Quand je lui ai répondu "En Provence", il a tourné sa chaise vers sa voisine et je n'ai plus vu que son dos de toute la soirée... Maintenant si j'explique que j'ai des vignobles en Provence, presque on me ferait les pompes..." L'anecdote hâbleuse est bien dans le style d'Olivier Sumeire, vigneron de château Coussin, dans les Bouches-du-Rhône et président des côtes de provence sainte-victoire. Mais elle dit aussi tout le chemin parcouru ces dernières années par cette partie du vignoble hexagonal. Jusqu'au début des années 2000 regardés comme les producteurs d'une gentille piquette qui n'était buvable que l'été au bord de la piscine de l'hôtel, les vignerons provençaux ont depuis fait leur mue. Voire leur révolution. Et cette dernière a une couleur : rose pâle. Ils ont inventé d'un seul coup un nouveau type de vins, vifs, sur le fruit et sans lourdeur, et un fleuron viticole français de plus. Pour le monde entier désormais, le rosé est provençal. Et si l'on entend encore dans quelques salons où l'on cause la sentence aussi éculée que vide de sens "Le rosé, c’est pas du vin, mon bon monsieur !", le marché, lui, a depuis longtemps choisit son camp et validé les choix des vignerons d'ici.

    "La Provence doit devenir le champagne du rosé"

    Le rosé de Provence, roi de l'été partout dans le monde - 2
    En 2008, Eric Kurver rachète le domaine de la Grande-Séouve, à Jouques. En 2009, il crée la marque "Aix rosé" et devient un poids lourd des côteaux d'aix.
    La marque Aix rosé, c'est "la" success story de ces dix dernières années dans les côteaux d'aix. En 2008, le Néerlandais Eric T. Kurver, fortune faite dans le monde du marketing international, rachète La Grande-Séouve, domaine viticole un peu en déshérence situé à Jouques (Bouches-du-Rhône). Reprise complète de l'encépagement, gros investissements techniques à la cave, Eric Kurver, qui ne s'est pas payé une danseuse mais une vraie entreprise, remonte la propriété. Mais c'est en 2009 qu'il a l'idée lumineuse qui va faire changer La Grande-Séouve de dimension.

    "Nos amis étrangers qui venaient nous voir à Jouques n'arrivaient jamais à se souvenir du nom de Grande-Séouve. Ils nous envoyaient des cartes postales du genre 'Merci pour le séjour au domaine de... Bref, c'était super !'" L'ancien publicitaire en tire une conclusion : Grande-Séouve, ça fonctionne peut-être pour le marché français mais ça n'a aucun avenir à l'export, il faut faire plus simple. Et qu'y a-t-il de plus direct et plus frappant que le nom de la ville d'Aix, carte postale internationalement connue de l'art de vivre provençal. Personne n'avait pensé à déposer le nom avant lui, Eric le fera depuis son ordinateur, sur le site de l'Institut national de la propriété industrielle, un soir de 2009. La marque Aix pour le rosé était née, elle a depuis fait florès. "Cette année, on va vendre 100 000 bouteilles en France et un peu plus d'un million à l'international", confie Eric Kurver. Les raisins cultivés à La Grande-Séouve alimentent le marché hexagonal ; les bouteilles à l'export sont issues d'achats de jus en négoce, vinifiés à façon pour Aix rosé, "parce qu'il faut que ça respecte bien nos exigences de qualité".

    Rosé : Tavel, un leader historique secoué mais debout

    En 2008, Eric Kurver rachète le domaine de la Grande-Séouve, à Jouques. En 2009, il crée la marque "Aix rosé" et devient un poids lourd des coteaux d'aix.

    La marque Aix rosé, c'est "la" success story de ces dix dernières années dans les coteaux d'aix. En 2008, le Néerlandais Eric T. Kurver, fortune faite dans le monde du marketing international, rachète La Grande-Séouve, domaine viticole un peu en déshérence situé à Jouques (Bouches-du-Rhône). Reprise complète de l'encépagement, gros investissements techniques à la cave, Eric Kurver, qui ne s'est pas payé une danseuse mais une vraie entreprise, remonte la propriété. Mais c'est en 2009 qu'il a l'idée lumineuse qui va faire changer La Grande-Séouve de dimension.

    "Nos amis étrangers qui venaient nous voir à Jouques n'arrivaient jamais à se souvenir du nom de Grande-Séouve. Ils nous envoyaient des cartes postales du genre 'Merci pour le séjour au domaine de... Bref, c'était super !'" L'ancien publicitaire en tire une conclusion : Grande-Séouve, ça fonctionne peut-être pour le marché français mais ça n'a aucun avenir à l'export, il faut faire plus simple. Et qu'y a-t-il de plus direct et plus frappant que le nom de la ville d'Aix, carte postale internationalement connue de l'art de vivre provençal. Personne n'avait pensé à déposer le nom avant lui, Eric le fera depuis son ordinateur, sur le site de l'Institut national de la propriété industrielle, un soir de 2009. La marque Aixpour le rosé était née, elle a depuis fait florès. "Cette année, on va vendre 100 000 bouteilles en France et un peu plus d'un million à l'international", confie Eric Kurver. Les raisins cultivés à La Grande-Séouve alimentent le marché hexagonal ; les bouteilles à l'export sont issues d'achats de jus en négoce, vinifiés à façon pour Aix rosé, "parce qu'il faut que ça respecte bien nos exigences de qualité".

    LA PROVENCE
  • Massacrée à 78 ans pour une centaine d’euros par cinq racailles dans le silence des responsables politiques marseillais.

     

    CommunIqué d'Eléonore BEZ

    Conseiller Régional Groupe Front National PACA

     

    Ce 17 juillet, une septuagénaire habitante d’une cité HLM de Pont-de Vivaux, dans le 10ème arrondissement de Marseille, a été véritablement massacrée par une bande de racailles « cagoulées » pour cent euros et un téléphone. Cette mamie si appréciée dans le quartier, est aujourd’hui dans un état critique.

    Face à cet acte immonde, pas une réaction des responsables politiques des 9ème et 10ème arrondissements, pas un mot du Maire de ce secteur, Lionel Royer-Perreault LR, ni du député Guy Teissier LR réélu le 18 juin dernier, pas une réaction.

    Tout comme le Maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, ils font l’autruche face à cet acte criminel répugnant pour préserver la fameuse « paix sociale » dans les cités HLM de Marseille. Leur priorité, cacher la vérité de l'insécurité dans la cité phocéenne aux Marseillais. 

     

    Les Marseillais et les Marseillaises, eux, en ont plus qu’assez de cette politique du déni et du « vivre-ensemble » : ils et elles ne veulent pas « mourir seuls ».

    Plus que jamais, face à l’ultra-violence des racailles, il est urgent de faire appliquer la tolérance zéro, d’augmenter les effectifs de police municipale d'aujourd'hui encore largement insuffisants pour une Ville de près de 900.000 habitants, de se doter de véritables moyens répressifs contre ces bandes de racailles qui, pour le moment, agissent en toute impunité.

     

    C’est ce que je m’attacherai à défendre et à réclamer sans répit, pour qu'en 2020 les 9ème et 10ème arrondissements  comme toute la ville, se dotent d'une nouvelle équipe municipale déterminer à rétablir la sécurité pour tous les Marseillais. 

     

     

  • Le lion blanc

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  • La honte! Espagne: un taureau se suicide contre un poteau après que des hommes ont enflammé ses cornes

     

    Une fois détaché, l'animal a foncé en direction d'un poteau, se tuant sur le coup.

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    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    Un taureau est mort lors d'une fête traditionnelle à Foios, près de Valence (Espagne), comme le montre une vidéo diffusée le dimanche 23 juillet sur Facebook. Sur les images, on voit la bête s'agiter, attachée à un poteau avec une corde, alors que ses cornes ont été enflammées. Puis l'animal se libère, s'écarte de quelques mètres puis fonce en direction du poteau, se tuant sous le regard de plusieurs centaines de personnes.

    Une pétition pour interdire cette pratique

    C'est lors d'une fête traditionnelle appelée "Toro embolado" ("Taureau avec des boules"), que l'animal est mort. L'association de défense des animaux Bulls Defenders United a ensuite diffusé les images sur le réseau social. Une pétition adressée au gouvernement espagnol a également été lancée sur internet. Samedi 29 juillet, à 10 heures, elle avait recueilli plus de 5 000 signatures.

    Le débat sur l'interdiction de la corrida, une autre tradition torrine, prend de l'ampleur en Espagne. Plus de 1 800 corridas ont lieu par an en Espagne et 40 000 taureaux meurent chaque année en Europe. 

  • Patrice Quarteron brandit le drapeau français : il se fait traiter de «facho», «traître» et «bounty»

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    15h49

    Drapé dans les couleurs de la France après sa victoire en boxe Muay thai, l’athlète Patrice Quarteron (né à Sevran, 93) s’est attiré les foudres d’une partie des réseaux sociaux, qui l’ont qualifié de « traître » et de « bounty». Pour Fatiah Boudjahlat, cela révèle la haine de la France d’une partie des enfants d’immigrés. Fatiha Boudjahlat est cofondatrice avec Céline Pina du mouvement Viv(r)e la République. Elle est aussi l’auteur de l’essai à paraître aux éditions du Cerf : « Féminisme, tolérance, culture: Le grand détournement. »

     

    La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave.

     

    Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d’afficher et de verbaliser son patriotisme. Il leur a répondu par un post des plus intéressants: «Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit «bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture’. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: ‘t’es un chien, un putain de facho’. Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France.» Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu’à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.

    Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires. […]

    La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant «la plus dangereuse maladie des sociétés humaines.» . Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France. J’ai pris l’habitude d’exiger de ces élèves qu’ils dessinent ou affichent un drapeau français de la même dimension que celui dessiné. Autant il est difficile de leur faire verbaliser le fait qu’ils sont français et que la France mérite tout autant d’être respectée et aimée que les pays du bled, autant ils réalisent combien leur attitude pose problème quand on inverse les pays: si une personne née et vivant en Algérie d’origine Française n’affichait que le drapeau français, clamait qu’elle n’était pas Algérienne, ne cessait de critiquer l’Algérie, tout cela en y vivant, comment régiraient les Algériens? Mal, les élèves en conviennent. […]

    Le Figaro>/a>

    Merci à Lilib

     

     

  • Liverpool : 3 musulmans agressent sauvagement des passants parce qu’ils sont « blancs » et « non-musulmans »

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    12h47

    Une bande de jeunes musulmans ont traversé le centre-ville de Liverpool et ont attaqué plusieurs individus parce qu’ils étaient des «non-musulmans blancs».

     

    Trois jeunes hommes ont appréhendé plusieurs personnes dans les rues de Liverpool, l’un demandant aux gens leur religion. Ils les ont frappés à plusieurs reprises s’ils n’étaient pas musulmans – en riant pendant qu’ils filmaient les assauts.

    Gary Bohanna, un témoin choqué, a cru que Amin Mohmed, 24 ans, Mohammed Patel, 20 et Faruq Patel, 19 ans, étaient des terroristes de Daech en raison de la férocité de leurs coups et de ce qu’ils disaient. Il a suivi le gang, l’un des agresseurs lui a demandé : «Je suis musulman, qu’est-ce que vous êtes?», Il a répondu «Je suis chrétien».

    L’assaillant a alors crié: «Pourquoi n’êtes-vous pas musulman?» Avant de le frapper deux fois, en cassant ses lunettes et en faisant une coupe de 2 cm au-dessus de son oeil gauche.

    Mohammed Patel, l’un des trois enragés racailles, a confirmé que les victimes étaient «ciblées parce qu’elles étaient blanches et non musulmanes».

    Metro.co.uk

    Merci à Franc E

  • Toulouse - Meurtre de Cintia, 21 ans : « Elle ne méritait pas ça, c'était quelqu'un de gentil »

     

    Faits divers

    La victime avait emménagé récemment dans le quartier Arnaud-Bernard. / DDM Thierry Bordas
    La victime avait emménagé récemment dans le quartier Arnaud-Bernard. / DDM Thierry Bordas

    Le calme est revenu dans le quartier Arnaud-Bernard à Toulouse. Ce samedi, seul un reste de ruban à scellés témoigne du passage de la police. Une armada de policiers a investi un appartement du quartier jeudi 27 juillet lors de la découverte du corps de Cintia, 21 ans.

    La jeune femme a été retrouvée égorgée à l’aide d’une arme blanche plusieurs jours après le crime. Autre détail glaçant : son visage présentait des traces de coups très violents. D’origine angolaise, elle avait emménagé récemment et était peu connue dans le quartier.

    Une de ses amies de lycée souhaitant rester anonyme se souvient d’une fille « très menue, discrète et agréable ». « Elle n’était pas le genre de filles à s’emporter. On s’est vues en ville il y a une dizaine de jours, elle allait bien, n’avait pas de problèmes particuliers. Elle avait réussi à trouver un travail de femme de ménage, ça avait l’air de bien se passer. Quand quelque chose n’allait pas, elle m’en parlait », raconte-t-elle.

    Depuis qu’elle a appris l’affreuse nouvelle, cette Toulousaine de 19 ans est sous le choc. « Elle ne méritait pas ça. C’était vraiment quelqu’un de gentil », dit-elle les larmes aux yeux.

    « Avant, c'était une zone de non-droit »

    Karima, une commerçante du quartier, se dit, elle aussi, très choquée. « C’est un quartier où il y a beaucoup de passage mais on ne se sent pas en insécurité. Ça fait 38 ans que je travaille ici, je n'ai jamais eu de problème ! »

    Pour Étienne, gérant d’un hôtel place des Tiercerettes, si l’insécurité est toujours une réalité, les choses se sont bien améliorées depuis quelques années. « Avant c’était une zone de non-droit, mais depuis trois ans il y a une amélioration. Même s’il y a encore du trafic de drogue, la municipalité a fait des efforts, en installant notamment des caméras de vidéosurveillance. »

    « Côté bruit et insécurité, c'est bien mieux que quand j'y vivais il y a quelques années  », confirme Simon, un jeune Toulousain. Pour d'autres, comme Julien en revanche, le quartier est mal fréquenté et bruyant. « Le gros avantage reste l'emplacement en centre-ville », déclare-t-il.

    Du côté de l’enquête, le Parquet précise que « beaucoup d’éléments sont en cours d’investigation ». Pour le moment, aucun suspect n’a été interpellé.

  • Le titre "innocent" de Santé Magazine !

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-titre-innocent-de-Sante-Magazine-Ou-faire-l-amour-a-plusieurs-cet-ete-46939.html

    Pas question de faire du voyeurisme en dénonçant les petits cochons qui s’amusent avec leur popo.

    Il s’agit ici de montrer comment les médias, depuis 40 ans (la libération sexuelle date de 1975, année de l’autorisation de l’avortement, mais c’est une coïncidence), font avancer le progressisme en faisant reculer les dernières barrières de l’intimité.

    Il y a un double avantage pour le Système : un, faire de l’argent avec les nouveaux comportements et deux, éclater la famille en individus consommateurs.

    Conclusion : la fidélité est un obstacle au progrès !

    - La rédaction d’E&R -

     

  • Des "hotspots" pour examiner les demandes d'asile à l'étranger, un mirage ou solution miracle à la crise migratoire ?

     

    Emmanuel Macron a évoqué, jeudi 27 juillet, la création de centres d'examen des demandes d'asile à l'étranger, notamment afin d'éviter aux migrants de risquer leur vie en traversant la Méditerranée.

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    Des migrants font la queue pour recevoir de la nourriture à l'extérieur du centre d'enregistrement, appelé "hotspot", situé sur l'île grecque de Samos, le 3 mars 2016.  (LEFTERIS PITARAKIS / AP / SIPA)
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    Laura WelfringerfranceinfoFrance Télévisions

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    Plusieurs déclarations contradictoires en une journée. Jeudi 27 juillet, l'Elysée a rétropédalé lors de la présentation de sa politique migratoire. Après avoir annoncé sa volonté d'ouvrir des "hotspots" en Libye "dès cet été", le chef de l'Etat a indiqué que ce projet n'était "pas possible aujourd'hui", mais que des "missions de l'Ofpra", l'Office français de protection des réfugiés et des apatrides, seraient envoyées "sur les 'hotspots' italiens" et "sur le sol africain, dans les pays sûrs".

    Ces centres d'examen pour les candidats à l'asile représentent-ils un mirage ou une vraie solution capable de résoudre la crise migratoire ? Pour l'heure, cinq "hotspots" ont été créés en Grèce et quatre ont ouvert en Italie. Il s'agit en fait de centres situés aux frontières, dans lesquels les autorités enregistrent les migrants, prennent leurs empreintes et tentent de faire la distinction "entre demandeurs d'asile et non demandeurs d'asile", explique Judith Sunderland, experte en migrations à Human Rights Watch, contactée par franceinfo.

    Un distinguo controversé entre migrants économiques et politiques

    Seulement, le principe même de cette différentiation fait polémique. "Pour les institutions européennes, les 'hotspots' sont des centres d’identification à l’arrivée. Pour nous, les 'hotspots' sont des centres de tri des personnes à la frontière", résume à franceinfo Marine De Haas, responsable des questions européennes à la Cimade, une association qui aide les étrangers à faire reconnaître leurs droits.

    Au cœur de cette polémique, le distinguo entre migrants politiques et migrants économiques"Les 'hotspots' font le tri entre les 'gentils' Syriens qui seront relocalisés, et migrants économiques qui, je caricature à peine, n’auraient aucune raison de venir en Europe", fustige Marine de Haas, qui juge cette démarche "contraire à la convention de Genève""Nous avons toujours eu des migrants économiques qui se sont installés en France", rappelle également Corinne Torre, cheffe de mission à Médecins sans frontières (MSF), contactée par franceinfo.

    Pourtant, la différence entre migrants économiques et réfugiés est au fondement de la politique migratoire d'Emmanuel Macron. "C’est cette grammaire qu’il nous faut expliquer à nos concitoyens et qu’il nous faut traduire en actes", a expliqué le président de la République, jeudi 27 juillet. Lors de son déplacement à Orléans (Loiret), il a indiqué sa volonté d'envoyer des "missions de l'Ofpra" en Italie et en Afrique "dans les pays sûrs" pour "traiter des demandeurs d'asile". Objectif affiché de cette gestion délocalisée des demandes d'asile : "éviter" aux migrants concernés de devoir traverser la Méditerranée et ainsi "de prendre des risques inconsidérés".

    "La France se dédouane de ses responsabilités"

    "Cette annonce du président de la République marque une compréhension de la réalité des flux migratoires, notamment des immigrations qui se produisent en Europe et en France", estime auprès de franceinfo Gérard-François Dumont, professeur à la Sorbonne et auteur de Géopolitique de l'EuropeRappelant que "toute immigration est précédée d’une émigration", le chercheur considère que "la question de l’immigration doit être traitée avec les pays d’origine, ce que l’on a totalement oublié de faire dans le cas de la migration de la Syrie et de l'Irak ces dernières années". 

    Selon lui, l'ouverture de "hotspots" en Grèce "n’était absolument pas logique". Sans voir dans les annonces du chef de l'Etat une solution miracle, il espère que la mise en œuvre de la politique d'Emmanuel Macron permettra de réduire le nombre de morts en Méditerranée.

    En ce qui concerne la grande migration qui s'est produite jusqu'en mars 2016 via la Turquie, j’ai toujours considéré que les dossiers des migrants auraient pu être étudiés dans les consulats français du Liban, de Jordanie ou de Turquie.

    Gérard-François Dumont

    à franceinfo

    Emmanuel Macron est resté assez flou sur la manière dont il souhaiterait voir traitées les demandes d'asile sur territoire africain. "Si l’idée, c’est d’augmenter la capacité des consulats à délivrer des visas d'asile, pourquoi pas", concède Marine de Haas, qui estime par ailleurs qu'une telle mesure ne devrait pas donner un blanc-seing aux pays d'immigration pour "empêcher les migrants de venir par leurs propres moyens" et par des "voies légales""Mais si l’idée, c’est de délocaliser des missions de l'Ofpra sur sol africain, ce n'est même pas envisageable", affirme-t-elle, arguant que la vocation de l'Ofpra est d'opérer en France.

    La France externalise le traitement de l’accueil et se dédouane un peu de ses responsabilités sur ce plan-là, sachant que c’est déjà le cas, car l’Europe n’accueille qu’une petite proportion des migrants dans le monde.

    Marine De Haas

    à franceinfo

    Autre argument développé par les opposants aux "hotspots" : l'examen des demandes d'asile hors des frontières de l'Europe ne découragera pas les migrants de risquer leur vie pour fuir leur pays, et n'empêchera donc pas "l'appel d'air" tant craint par les responsables politiques des pays d'accueil. "Ça ne marche pas de fixer des populations contre leur gré à un endroit", constate Marine de Haas.

    Plus on ferme l’accès au territoire, plus on crée d’obstacles, plus les routes deviennent longues, dangereuses et mortelles, et cela se vérifie sur le nombre de morts en Méditerranée.

    Marine De Haas

    à franceinfo

    De son côté, Corinne Torre, de Médecins sans frontières, déplore la tenue, par le chef de l'Etat, d'un "discours protectionniste" et conclut : "Tous les pays européens sont plutôt dans la fermeture des frontières, je trouve ça affligeant."

    Des centres vraiment sûrs pour les migrants ?

    Si la traversée de la mer Méditerranée est particulièrement dangereuse pour les migrants qui transitent par l'Afrique du Nord pour rejoindre l'Europe, les "hotspots" ne sont pas non plus sans risque pour les migrants. Selon Corrine Torre, "comme les migrants sont bloqués [dans les "hotspots"] après un parcours migratoire extrêmement compliqué, ils sont traumatisés et beaucoup souffrent de problèmes de santé mentale." Sur place, les travailleurs sociaux sont "débordés" et trop peu nombreux, déplore-t-elle. Les soins ne sont pas délivrés de manière optimale et les migrants souffrent d'un "manque d'orientation"

    Judith Sunderland indique que l'ONG Human Rights Watch n'est "pas opposée, en théorie, à l’idée de réaliser des examens de demandes d'asile hors du territoire et dans des centres dans des pays africains, pour ensuite relocaliser les personnes ou réinstaller les réfugiés en Europe". Mais si elle note qu'"en théorie, cela peut éviter des voyages dangereux" aux migrants, "on a constaté des abus de droits dans les 'hotspots'" : migrants non informés de leurs droits, trafics, mauvaise identification des personnes... Sans compter que l'envoi de missions de l'Ofpra en Libye ou au Niger signifierait, selon Judith Sunderland, "l’absence absolue de sécurité également pour les fonctionnaires français".

  • Jean Raspail, l’oracle des ultras, de Le Pen à Steve Bannon

     

    16h27

    Le Nouvel Obs trace le portrait de l’écrivain Jean Raspail auteur du livre “Le Camp des saints”, « récit d’une apocalypse migratoire, qui « fascine toujours identitaires et suprémacistes blancs ».

     

    Raspail le concède, «le Camp des saints» serait aujourd’hui impubliable. Par goût de la provocation, le vieil écrivain a lui-même listé quatre-vingt-sept motifs de poursuites judiciaires sur la base de la législation actuelle.

    C’est un vieil écrivain, longiligne et élégant, qui, malgré ses 91 ans, porte beau et fume des Camel avec un porte-cigarettes. Moustache, chaussettes rouges, chemise rose à rayures. Dans son bureau, un étrange bric-à-brac: des maquettes de navire, des figurines de généraux vendéens, une casquette de capitaine de frégate posée sur un canapé. Un vieil écrivain, donc, qui eut son heure de gloire il y a longtemps, invité dans les émissions phares du service public, «Apostrophes» ou «Radioscopie», et qui, depuis, coule des jours monotones à Paris, dans un appartement du quartier Pereire, où il nous reçoit.

    Et cependant, en France et à travers le monde, il est une frange de militants, de penseurs, de dirigeants politiques, qui vouent à ce vieil écrivain une admiration sans borne. On les trouve, pour l’essentiel, à la droite de la droite: déclinistes, identitaires, suprémacistes blancs. Pour ceux-là, Jean Raspail est le prophète, l’homme qui, le premier, a vu se dessiner «la catastrophe migratoire» que nous vivons actuellement, prélude à l’inéluctable choc des civilisations qui verra l’Occident sombrer s’il ne réagit pas (par la force, cela va sans dire). […]

    Il serait cependant erroné de réduire Jean Raspail à sa seule dimension politique. C’est le grand paradoxe de son œuvre: au-delà des thèses qu’il véhicule, «le Camp des saints» est probablement le plus mauvais livre de Raspail. Ce que beaucoup de ses admirateurs reconnaissent. Manifeste verbeux, personnages désincarnés, sans attaches, aux postures grotesques, dont la seule raison d’être est d’étayer les idées de l’auteur, logorrhée sordide où se mêlent nostalgie des croisades et désir latent de guerre civile («L’ennemi, le vrai, se trouve toujours derrière les lignes, dans votre dos, jamais devant ni dedans. Tous les militaires savent cela et combien, dans toutes les armées de tous les temps, n’ont pas été tentés de laisser tomber l’ennemi désigné pour se retourner sur l’arrière et lui régler son compte une bonne fois»). On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments. On en fait rarement avec de mauvais, ou alors il faut s’appeler Céline. […]

    Le Nouvel Obs

    Merci à valdorf

    (Merci à Dirk)

  • Autriche : une piscine a installé des pancartes incitant les migrants à ne pas agresser les nageuses

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    20h30

    Autriche – Une piscine a affiché des pancartes à l’attention des migrants leur disant ne pas entrer dans le vestiaire des femmes et qu’il était interdit de peloter les femmes.

     

    Les panneaux ont été affichés dans une piscine à Perchtoldsdorf, une ville en Basse-Autriche, à une courte distance de la capitale Vienne.

    Dans le but de prévenir les agressions sexuelles commises par les migrants pendant la saison estivale, la direction de la piscine a décidé de placer ces signaux.

    Une affiche montre un homme entrant dans le dressing-room des femmes avec le mot « STOP! » tandis qu’une autre montre une jeune adolescente en bikini avec trois mains qui semblent vouloir l’agripper.

    Le député autrichien Christian Hoebart, du parti de la liberté (FPÖ), qui s’oppose à l’immigration, a déclaré que la mise en place de ces affiches ne devraient pas être nécessaires dans une «société civilisée».

    DailyStar

  • JOURNAL TVL DU 28 JUILLET 2017

    TVL reviendra le 16 août après des vacances bien méritées. 

  • Le vrai hommage au Père Hamel : combattre l'islamisme sans faiblesse !

     

    Un an après le lâche assassinat du père Jacques Hamel (86 ans) dans son église par deux djihadistes, l'émotion et la douleur sont toujours aussi vives dans l'esprit des Français. Dans cette attaque, ce sont notre civilisation et nos racines qui sont ciblées. Le vrai hommage au Père Hamel : combattre l'islamisme sans faiblesse. 

    Le père Jacques Hamel a été égorgé lors de la célébration d’une messe, simplement en raison de sa foi, et on peut - comme l'a rappelé Marine Le Pen - le considérer comme un martyr. Quelques jours après l'attentat islamiste de Nice et ses 86 victimes (et 250 blessés !), la barbarie islamiste franchissait un nouveau palier en commettant ses atrocités dans un lieu de culte catholique.

     

    Les attaques récentes sur les Champs-Elysées et sur le parvis de Notre-Dame, tout comme celles survenues en Angleterre, ont montré que la menace est toujours présente et peut frapper à tout moment. Si les hommages sont certes indispensables, ils ne permettront pas à eux seuls de protéger les Français. Le meilleur, le plus bel hommage que l'on puisse rendre au père Hamel et à toutes les victimes, c'est de mener - enfin - une guerre contre l'islamisme sans la moindre faiblesse, sans la moindre hésitation.

       

    Nicolas Bay
    Secrétaire Général du Front National

  • Incendies dans le Var: "Ce feu, c'est un enfer"

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/incendies-dans-le-var-ce-feu-c-est-un-enfer-27-07-2017-7159878.php

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    La famille De Meyer vient de Belgique chaque année passer ses vacances dans un camping à Bormes-les-Mimosas.  Elle est réfugiée dans un centre d'accueil.