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Blog - Page 1210

  • Terrorisme/Action directe - Jean-Marc Rouillan est libre

    Posté par le 19 mai 2012

     

    Le dernier membre du groupe terroriste d’extrême gauche Action directe, Jean-Marc Rouillan, bénéficie depuis hier matin d’une liberté conditionnelle. Le cofondateur de l’organisation terroriste d’extrême gauche qui, à 59 ans, en a passé au total 24 en prison, a dit ne pas ressentir « d’excitation particulière ». « C’est la vie qui continue », a-t-il simplement déclaré, toute honte bue. Les familles des victimes apprécieront.

    Il avait été arrêté en 1987 avec d’autres membres du groupe, puis condamné en 1989 à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de dix-huit ans, pour l’assassinat de l’ingénieur général de l’armement René Audran en 1985 et celui du PDG de Renault Georges Besse en 1986.

    Il avait bénéficié d’un régime de semi-liberté du 17 décembre 2007 au 2 octobre 2008. Ce régime a été suspendu puis révoqué pour des propos tenus lors d’une interview à L’Express en 2007. Il bénéficie de nouveau d’un régime de semi-liberté le 19 mai 2011.

    Désormais, il a été définitivement libéré. Il peut donc recommencer…

  • Polémique en Grèce après des propos négationnistes de l'Aube dorée

     Source : tempsreel.nouvelobs.com

     

     

    Le gouvernement grec et la communauté juive ont vivement condamné lundi des propos du dirigeant du parti d’extrême-droite Aube dorée niant l’existence des chambres à gaz et des fours crématoires dans les camps de concentration allemands pendant la Seconde guerre mondiale.

    Nikolaos Mihaloliakos, dont le parti a réalisé un score historique de près de 7% lors des élections du 6 mai, a également remis en cause la mort de six millions de Juifs pendant la guerre au cours d’une interview accordée dimanche à la chaîne de télévision privée Mega.

    "Il n’y avait pas de fours, c’est un mensonge (...) Il n’y avait pas de chambres à gaz non plus", a déclaré le chef d’Aube dorée, dont les membres se sont déjà illustrés en faisant le salut nazi.

    Nikolaos Mihaloliakos a qualifié d’"exagération" la mort de six millions de Juifs, arguant que "beaucoup de gens de pays différents" ont succombé dans les camps de concentration allemands comme, a-t-il ajouté, de nombreux Japonais dans les camps américains.

    Lire la suite de l’article : tempsreel.nouvelobs.com

     

    Egalité & Réconciliation

  • Des cadeaux corréziens pour Michelle Obama

    Publié le 18 mai 2012 à 12h34Mis à jour le 18 mai 2012 à 15h01

     

     

    François Hollande et Valérie Trierweiler à côté de Michelle et Barack Obama. © Reuters

    Pour la visite de Hollande aux États-Unis, Valérie Trierweiler a décidé d'innover niveau cadeaux.

    Valérie Trierweiler rompt avec la tradition. Dans le cadre de la visite de François Hollande aux États-Unis, elle a emporté dans ses bagages des cadeaux plus originaux qu'à l'accoutumée pour le couple Obama. Habituellement, une liste est suggérée par les hôtes. Sauf que Valérie Trierweiler a décidé de ne pas prendre en compte ces suggestions.

    Le "made in France" à l'honneur

    Cette dernière a ainsi acheté à Michelle Obama des produits issus du savoir-faire corrézien, rapporte le quotidien La Montagne. L'épouse du président américain va ainsi recevoir "un sac à main haut de gamme de la marque Le Tanneur. Une marque implantée sur le site des tanneries de Bort-les-Orgues, à une heure de Tulle. Ses 340 employés fabriquent des produits maroquiniers de luxe. Un cadeau pas si corrézien que ça. L’entreprise a été reprise, il y a un an, par Qatar luxury group.

    Contactée par Europe 1, la marque assure ne pas être à l'initiative de cadeau. "Nous n'avons pas fourni de sac. Le sac a été acheté dans un magasin parisien. (…) Il n'y a donc pas eu de préparation particulière. Ce cadeau a été fait à l'initiative de François Hollande ou de ses proches", assure un membre du personnel.

    Un bon coup de pub

    Le Tanneur se réjouit toutefois que Valérie Trierweiler ait souhaité promouvoir une marque française. "Pour nous, le fait qu'il y ait une espèce de promotion d'une marque française à ce niveau est très positif. Nous sommes très contents que nos dirigeants s'intéressent aux produits fabriqués en France", ajoute-t-il. La marque n'a toutefois pas été en mesure de donner des détails sur le modèle du sac offert à Michelle Obama. Il s'agirait d'un sac tressé qui fait l'objet de nombreuses publicités ces derniers temps.

    Valérie Trierweiler a également acheté des produits de la marque Sothys, fabriqués à Meyssac, près de Brive. Le groupe Sothys, crée dans les années 1960 par la famille corrézienne Mas, a implanté ses marques de produits de beauté dans le monde entier, notamment aux États-Unis.


    Europe1- 18/05/12

  • Fini de rire !

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  • Cannibalisme en Corée du Nord

    Plusieurs cas ont été avérés par un organisme sud-coréen dans ce pays au bord de la famine.

    C'est une première : un organisme public sud-coréen, l'Institut pour l'unification nationale (KINU), confirme des faits de cannibalisme en Corée du Nord dans son Livre blanc annuel en Corée du Nord, comme le révèle Le Monde vendredi.

    Jusqu'ici, le cannibalisme nord-coréen n'était qu'une rumeur persistante. Mais l'enquête approfondie menée en 2011 auprès de 230 transfuges nord-coréens par le KINU lève les doutes.

    Un phénomène étendu ?

    Plusieurs témoignages font état de chair humaine vendue sur les marchés comme viande de mouton. Et trois exécutions publiques pour cannibalisme sont avérés entre 2006 et 2011, comme celui d'un habitant de la ville de Hyesan, exécuté en décembre 2009 pour avoir tué et mangé une fillette.

    L'an dernier, des missionnaires sud-coréens s'étaient déjà procuré un document de la police nord-coréenne relatant d'autres cas de cannibalisme, laissant entendre que le phénomène était plus étendu.

    Pénurie alimentaire chronique

    La Corée du Nord, où sévit une dictature totalitaire, est en situation chronique de pénurie alimentaire. En mars 2011, 6 millions de personnes y étaient gravement menacées par la famine selon le Programme alimentaire mondial des Nations unies.

    Les organisations internationales ont pourtant le plus grand mal à acheminer l'aide alimentaire aux populations en danger. Les autorités du pays sont souvent accusées de détourner ces aides, ce qui a plusieurs fois conduit l'ONU à interrompre ses livraisons.

    De son côté, la Corée du Nord nie tout en bloc, se contentant de dénoncer le "complot international" fomenté contre elle.

    Europe1 - 18/05/12

  • Le plan contre le "racisme" est déjà prêt

    Le : 18 Mai 2012

     

    En mars dernier Pierre Milloz a analysé pour Polémia le plan d’action antiraciste 2012/2014, un plan que François Hollande trouve ainsi tout prêt dans les cartons que lui a laissés Nicolas Sarkozy. L’essayiste Jean Madiran souligne ici une étrangeté : un plan national d’action, touchant aux libertés publiques, préparé et mis en œuvre avant une élection majeure et indépendamment de tout résultat électoral ! Ce qui illustre qu’en ces matières le peuple français a perdu sa souveraineté.

    Polémia

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    Sans faire beaucoup de bruit (mais la Fondation Polémia de Jean-Yves Le Gallou en a opportunément diffusé le texte intégral), le ministère de l’Intérieur a fait imprimer le 15 février dernier un incroyable Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme 2012-2014. (*)

    L’action du gouvernement est fixée… avant sa mise en place

    Il existerait donc une autorité capable de fixer d’avance l’action du prochain gouvernement et de la prochaine assemblée nationale.

    Ce « plan » ne porte aucune signature, sauf : « République française, Liberté, Egalité, Fraternité ». Il ne compte pas moins de 138 pages de format A4 pour décider jusque dans le détail ce que sera jusqu’en 2014 la nécessaire action publique se disant antiraciste. C’est une discrète mais radicale anomalie. Dès les premières pages, on comprend comment une telle anomalie a pu s’installer.

    Sept lois « antiracistes »… votées sous Pompidou, Mitterrand, Chirac, Sarkozy

    Le Plan énumère en effet (p. 7-8) les sept lois antiracistes (sept, pas moins) qui ont été promulguées sous la Ve République de 1972 à 2008. Elles manifestent « un perfectionnement progressif de la législation », toujours dans le même esprit. Même si plus de la moitié (quatre sur sept) ont vu le jour sous la présidence Chirac, ces sept lois furent rédigées et votées par des assemblées nationales et sous des gouvernements politiquement très divers. Mais ces lois successives ne sont pas diverses. Elles vont exactement dans le même sens, bien qu’elles aient été promulguées par les présidents Pompidou, Mitterrand, Chirac, Sarkozy. Elles n’ont pas été créées dans la dépendance du président, du gouvernement, de l’assemblée qui se trouvait au pouvoir. Elles se sont développées comme une croissante et menaçante tumeur autonome.

    Donc, chers lecteurs, quel qu’ait été votre vote le dimanche 22 avril et quel qu’il soit le dimanche 6 mai, et quel que soit votre vote ultérieur en juin pour l’Assemblée nationale, le « plan d’action », qui est un plan de répression, n’en sera aucunement affecté, il ne dépend pas de votre suffrage, il n’en a jamais dépendu, il échappe à votre souveraineté, comme il l’a toujours fait dans cette République. Un plan « antiraciste » qui échappe à la souveraineté de l’électeur

    Ce plan de répression 2012-2014 fait le point de l’immense opération dite antiraciste entreprise depuis 1972 et constamment « perfectionnée ». Malgré une action fortement encadrée et développée par pas moins d’une dizaine de commissions et comités permanents (cf. p. 20-24 et 26), le plan en constate le triste résultat : le « racisme », nous dit-il, n’en a pas été diminué, il a au contraire augmenté en France, il va donc falloir sévir davantage.

    Mais l’explication de cette prétendue extension du racisme réside dans le fait que la qualification arbitraire de « raciste » a été étendue à tous les domaines comportant des « discriminations ». Or, tous les domaines en comportent, sans aucun rapport avec l’existence de races ou avec une idéologie raciste. Dès 1972, la première loi dite « antiraciste » décrétait sous ce prétexte la condamnation de toute préférence nationale ou religieuse. Aujourd’hui la tumeur antiraciste s’en prend à l’homophobie, à l’islamophobie, à l’ « intégrisme » religieux, à l’éducation familiale des enfants plutôt que leur enrégimentement par l’Etat dès l’âge de trois ans. La tumeur entend régenter finalement tous les domaines.

    MRAP, Licra, Ligue des droits de l’homme, SOS-Racisme : les experts qui nous gouvernent

    Si la tumeur est autonome, elle n’est pas anonyme. Page 35 et page 93 on trouve énumérés le MRAP, la Licra, la Ligue des droits de l’homme, SOS-Racisme, qui sont les seuls experts en la matière et les inspirateurs de l’ « action » ; ce sont toutes des associations qui relèvent idéologiquement de la gauche socialo-communiste dont elles sont en quelque sorte la conscience. Elles pratiquent cette invention communiste, la nouvelle forme d’une guerre dialectique : la « lutte contre toute discrimination », qui remplace dans l’arsenal léniniste ce qui naguère s’appelait aussi trompeusement la « lutte de classes ». Naturellement, le « Plan d’action » feint d’ignorer l’existence de l’Alliance générale contre le racisme (AGRIF) fondée et présidée par Bernard Antony. La tumeur est spécifiquement, elle est jalousement de gauche et d’extrême gauche. Nous aurons à en reparler.

    Jean Madiran
    5/05/2012

    Avec l’aimable autorisation du quotidien Présent

    (*) Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme 2012-2014.

     

    Correspondance Polémia – 18/05/2012

    Image : LICRA

     

    Jean Madiran

  • Ramadan 21 juillet : un phénomène totalitaire importé en Europe

     

    Ramadan le 21 juillet : un phénomène totalitaire importé en Europe
     
     
    17/05/2012
    ALGER (NOVOpress) –
    Le samedi 21 juillet devrait être le premier jour du Ramadan cette année. Dans un article mis à jour dernièrement, le site Slate Afrique rappelle le caractère totalitaire de l’islam, sous le titre : « Ne pas faire le ramadan est dangereux en terre d’Islam ».

    Pierre Cherruau, l’auteur de l’article, constate qu’à « Tanger ou Tétouan, des chrétiens avouent bien volontiers qu’ils se sentent en liberté surveillée ». Le Maghreb est un univers totalitaire où « les conversions de musulmans au christianisme donnent lieu à des levées de boucliers. Les évangéliques américains qui tentent de faire du prosélytisme au Maroc comme en Algérie sont obligés de se dissimuler », peut-on lire.

    Via l’immigration massive, cette hégémonie de la haine gagne le continent européen. En août dernier, un homme de 17 ans « a été retrouvé ligoté dans un appartement de Miramas, dans les Bouches-du-Rhône » après avoir été roué de coups, pour non respect de cette prescription islamique. En avril dernier, sept « jeunes » ont été condamnés à Mulhouse (Haut-Rhin) pour avoir frappé « trois hommes au motif qu’ils buvaient de la bière pendant le Ramadan ». Soutenu par la grande distribution et les pouvoirs publics, le Ramadan est un cheval de Troie de l’islamisme en Europe.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Valérie Trierweiler ou la "First girlfriend"...

    Valérie Trierweiler a décidé d'accompagner François Hollande aux États-Unis malgré son statut particulier qui lui est donné par la presse américaine. La compagne du président de la République n'est en effet pas considérée par certains médias comme une "First lady" mais comme la "First girlfriend".

     
    Valérie Trierweiler accompagne François Hollande aux États-Unis
     

    Valérie Trierweiler ne pose aucun problème. Sa venue aux États-Unis pour le G8 est entendue depuis l'élection de François Hollande. Dans le protocole, les choses sont bien établies. Convenues d'avance. La journaliste est invitée à tous les événements organisés par Michelle Obama en marge des sommets, et le fait qu'elle ne soit pas mariée au président français n'est pas un souci. La Maison Blanche l'a encore répété.

    « Il n'y a pas de règle établie sur la façon dont ces questions sont gérées », a expliqué une porte-parole de la présidence américaine, Caitlin Hayden, interrogée sur le protocole concernant l'accueil d'un couple présidentiel non marié aux Etats-Unis. « Mme Trierweiler a été invitée à participer à tous les programmes des conjoints (des dirigeants) aussi bien au G8 qu'à Chicago. Nous nous réjouissons de l'accueillir aux Etats-Unis », a-t-elle conclu. Tout va bien donc. Mais la presse se moque ouvertement du statut un peu particulier de la compagne de François Hollande. Certains médias dont CNN l'ont même surnommé : « La First girlfriend » (la première petite amie, en anglais dans le texte). Savoureux...

    Cliquez ici !

    Une robe Yves Saint-Laurent

    Malgré cela, Valérie Trierweiler ne semble pas perturbé par ces railleries. La journaliste a même décidé de mettre les petits plats dans les grands pour ce déplacement outre-Atlantique, allant même acheter une robe Yves Saint-Laurent. Il faut ce qu'il faut.

    Et le programme est dense. François Hollande se rend vendredi à la Maison Blanche, avant d'aller à Camp David (Maryland, est), à 100 kilomètres de Washington, pour participer au sommet des dirigeants du G8 en soirée, ainsi que samedi. Il est aussi attendu dimanche et lundi à Chicago (Illinois, nord), le fief politique d'Obama, afin d'assister au sommet de l'Otan. La Première dame des Etats-Unis Michelle Obama guidera ses invités lors de ces événements, notamment lors de la visite guidée de la Maison Blanche. Rendez-vous qui sera suivi d'un « déjeuner intime » samedi.

    Le lendemain, les conjoints des dirigeantes et dirigeants participant au sommet de l'Otan ont été invités par Michelle Obama à se rendre avec elle dans un centre d'aide aux jeunes dans les quartiers Sud défavorisés de Chicago. Un spectacle de danse y est prévu. Dimanche soir, la première dame des États-Unis offrira un dîner aux épouses et époux de chefs d'Etat et de gouvernement de l'Alliance atlantique.

    Actu France-Soir
  • Cécile Duflot en jeans à l'Elysée: quelle importance ?

     

    Damien Licata Caruso | 18.05.2012, 11h59 | Mise à jour : 14h59

     
    Qu'est ce qu'une ministre «normale» ? Cécile Duflot en a donné un premier aperçu jeudi à la sortie du tout premier conseil des ministres. La nouvelle ministre de l’Egalité territoriale et du continue de tweeter, de prendre le RER et.
     
    .. de porter ses jeans favoris même lors du premier rassemblement du nouveau .

    Tout le monde n'apprécie pas le style décontracté de la secrétaire nationale d'Europe Ecologie (EELV). «Je trouve que quand on représente les Français, il faut faire la différence entre la dilettante du week-end et la tenue du Conseil des ministres», critique l'ex-ministre Nadine Morano vendredi matin sur RTL. Partisane du tailleur en vogue chez les femmes dirigeantes, la candidate aux législatives à Toul, connue par ses prises de position remarquées, poursuit sur la solennité d'un conseil des ministres : «c'est un moment protocolaire de la République où nous représentons tous les Français».

    Aucun règlement ne stipule pourtant quelle doit être la tenue la plus appropriée d'un ou d'une ministre mais la patronne des écologistes a franchi une ligne jaune que l'une de ses prédécesseuses, Dominique Voynet, n'avait pas osé tenter. L'ancienne ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement (1997-2001) l'a rappelé avec humour jeudi soir dans un reportage de France 2 : « J'ai été impressionnée que Cécile ait résisté à la pression de son entourage et qu'elle soit venue en jeans».

    Une ex-ministre vole au secours de Cécile Duflot

    Sur Twitter, c'est Roselyne Bachelot, ministre sortante des Solidarités et de la Cohésion sociale, qui défend avec légèreté le look un peu trop moderne pour certain(e)s de Cécile Duflot.

    leparisien.fr

  • Vincent Peillon, ministre de l'Education nationale

    Vincent Peillon est issu du côté maternel d'une famille alsacienne[1]. Sa mère Françoise Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l'INSERM, spécialiste en physiopathologie de l'hypophyse et de la prolactine, son grand-père était le professeur Léon Blum (1878-1930), grand spécialiste de la physiopathologie rénale à Strasbourg, initiateur de l'insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum (1847-1925) et de Jeannette Lederman, et sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985), née à Caen, fille d'un assureur de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua particulièrement le jeune Vincent[2]. Son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), professeur honoraire de médecine du Collège de France et membre de l'Académie des sciences, et sa tante maternelle est Suzanne de Brunhoff, née en 1929, une ancienne économiste du CNRS, belle-fille du créateur de Babar[3].

    Son père Gilles Peillon (1928-2007) était banquier et communiste, il fut directeur général de la première banque soviétique hors URSS[4], la Banque commerciale de l'Europe du Nord, puis de la banque franco-algérienne Union méditerranéenne de banque.

    Vincent Peillon est le frère du journaliste Antoine Peillon, né en 1959[5]. Il est père de quatre enfants, deux filles, Salomé et Maya, issues de son premier mariage, et deux fils, Elie et Isaac, nés de son union avec sa femme actuelle, la journaliste Nathalie Bensahel[6].

     Wikipédia

     

  • Premier Conseil des ministres pour François Hollande

    Par François-Xavier Bourmaud Mis à jour le 17/05/2012 à 22:41 | publié le 17/05/2012 à 20:01

    Fin de la pose à l'issue du premier Conseil des ministres.
    Fin de la pose à l'issue du premier Conseil des ministres.Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro
     

    Le président de la République a choisi la baisse du salaire des ministres comme première mesure.

    Les socialistes se plaignaient que la droite ne leur ait laissé que des dettes à régler. Mais en arrivant jeudi dans leurs ministères, les membres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault ont trouvé autre chose: le mode d'emploi des éléments de langage, aussitôt mis à profit pour décrire en deux mots les premières mesures adoptées à l'issue du premier conseil des ministres du quinquennat de François Hollande. «Efficacité et exemplarité», a ainsi énoncé la porte-parole du gouvernement et ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem.

    Concrètement, cela se traduit par une mesure hautement symbolique, puisqu'elle restera comme la première décision de François Hollande: la baisse de 30 % de la rémunération du président de la République et des ministres. Adoptée par décret, cette mesure fait passer le salaire du président de la République et de son premier ministre de 21.300 euros mensuels aujourd'hui à 14.910 euros. La rémunération des ministres passe de 14.200 euros à 9.940 euros, selon les chiffres communiqués par le gouvernement.

    «Imposture!» s'est immédiatement écrié Jean-François Copé qui a fait ses comptes. Pour le patron de l'UMP, «on passe de 15 ministres, 4 secrétaires d'État et 1 haut commissaire (dans le premier gouvernement Fillon, NDLR ) à 34 ministres et ministres délégués, soit une hausse de 65 %. La baisse des salaires de 30 % ne peut pas masquer cette réalité: le gouvernement de François Hollande va coûter beaucoup plus cher au contribuable». Quoi qu'il en soit, l'adoption de cette mesure aura surtout été l'occasion pour les nouveaux ministres de prendre la mesure du décorum républicain dans lequel ils vont désormais évoluer. Pesant, contraignant, impressionnant. Surtout après dix ans dans l'opposition et sans avoir jamais exercé de responsabilités ministérielles, sauf pour cinq d'entre eux. Et encore, avec Jacques Chirac comme président de la République et Lionel Jospin comme premier ministre.

    Prendre la pose ou pas?

    De tout le gouvernement, Laurent Fabius est le seul à avoir connu la gauche au pouvoir à la fois à l'Élysée et à Matignon. D'où sans doute une certaine décontraction du nouveau ministre des Affaires étrangères à son arrivée dans la cour de l'Élysée, encadré de Bernard Cazeneuve (Affaires européennes) et de Yamina Benguigui (Français de l'étranger). Pour les autres, saisis par une «émotion» unanimement partagée, la remontée vers le perron de l'Élysée s'avérait un peu plus crispée, beaucoup de ministres arrivant les mains vides, sans dossier, ne sachant pas trop s'il fallait ou non s'arrêter devant la presse, répondre ou non aux questions des journalistes, prendre la pose ou pas pour les photographes.

    Au cours du Conseil des ministres proprement dit, François Hollande a insisté sur «trois mots: rigueur, devoir, honneur», a rapporté Najat Vallaud-Belkacem. Les membres du gouvernement se sont par ailleurs vu présenter une charte de déontologie qui prévoit notamment d'utiliser le train pour les voyages de moins de trois heures ou la remise aux domaines des cadeaux de plus de 150 euros. Cette charte «vise aussi a écarter tout risque de conflit d'intérêts», et, «dans les jours à venir», les ministres sont invités à remplir «une déclaration d'intérêt», a rapporté Najat Vallaud-Belkacem.

    De son côté, Jean-Marc Ayrault a redit durant ce premier Conseil des ministres qu'il allait demander à la Cour des comptes un «rapport d'évaluation sur l'exécution de la loi de finances 2012 et sur l'état des comptes publics» qui devra être remis «d'ici le 1er juin». Message final de la journée: les socialistes sont «au travail».

    À son départ de l'Élysée, Benoît Hamon (Économie sociale) confiait avoir trouvé «très impressionnant» ce premier conseil. Un peu plus loin, Marylise Lebranchu (Réforme de l'État, Fonction publique) assurait: «On ressort de là très imprégné de ce qu'est la République.» Elle figure pourtant parmi les rares à avoir déjà éprouvé ce cérémonial.

    LIRE AUSSI:

    » Un gouvernement qui ménage toutes les sensibilités

     

    Le Figaro - 17/05/12

  • Etats-Unis - Pour la première fois, les bébés des minorités sont la majorité

    17/05/2012

    Etats-Unis: Pour la première fois, les bébés des minorités sont la majorité



    Pour la première fois de l’histoire des Etats-Unis, les bébés issus de minorités ethniques sont devenus majoritaires, témoignant de l’évolution démographique de la société américaine, selon des données officielles publiées ce jeudi. Selon les chiffres du Bureau du recensement américain, qui prennent en compte le nombre d’enfants de moins d’un an au 1er juillet 2011, 50,4% des enfants de cette tranche d’âge étaient issus de minorités, contre 49,5% au 1er avril 2010.

    Selon une projection de cette agence fédérale, à ce rythme-là, les Blancs (non hispaniques) seront minoritaires dans l’ensemble de la population américaine en 2042. Le Bureau du recensement a publié jeudi un rapport qui détaille la population américaine par catégorie ethnique (Blancs, Hispaniques, Noirs, Asiatiques, Amérindiens et Polynésiens) et par âge.

    La plus forte communauté hispanique vit en Californie

    Les Etats-Unis comptaient 114 millions de personnes issues des minorités en 2011, soit 36,6% de la population totale, contre 36,1% en 2010. Les Blancs, qui sont 197 millions, représentent toujours la plus grande part de la population, à 63,4%. La minorité la plus importante est celle des Hispaniques, forte de 52 millions de personnes en 2011 (+3,1% en un an), et c’est celle qui croît le plus (+3,1% en un an). Désormais, 16,7% de la population américaine est hispanique, contre 16,3% en 2010.

    La plus forte communauté hispanique vit en Californie (ouest, 14,4 millions), dont 4,8 millions à Los Angeles, la deuxième agglomération du pays. Le Nouveau-Mexique (sud-ouest) détient le plus fort taux (46,7%) de population hispanique.

    Viennent ensuite les Noirs, avec 43,9 millions de personnes (+1,6%), dont la plus forte communauté réside à New York (3,7 millions). Les plus forts pourcentages de la population noire sont enregistrés à Washington (52,2%) et dans l’Etat du Mississippi (sud, 38%).

    6,3 millions d’Indiens d’Amérique et d’Alaska

    La communauté asiatique est forte de 18,2 millions de personnes (+3%). C’est une nouvelle fois la Californie qui accueille la plus importante communauté asiatique (5,8 millions de personnes). Quant aux Indiens d’Amérique et d’Alaska, ils sont 6,3 millions (+2,1%). Les Polynésiens d’Hawaii et d’autres îles sont 1,4 million (+2,9%).

    Selon Vanessa Cardenas, experte du Center for American Progress (Centre pour le Progrès américain), «ces chiffres montrent où se trouve l’avenir et ajoutent à l’urgence d’investir dans les communautés qui progressent le plus». Par ailleurs, l’âge médian de la population américaine est passé de 37,2 ans à 37,3 ans. Les plus de 65 ans sont passés de 40,3 millions à 41,4 millions, dont 5,7 millions de plus de 85 ans.

    Le nombre des 18-64 ans a grossi de 2 millions de personnes, passant à 196,3 millions en 2011 mais le nombre d’enfants de moins de 18 ans – 74 millions en 2011 – a baissé de 200.000, notamment dans la tranche 14-17 ans.
     

    http://www.algerie1.com/flash-dactu/etats-unis-pour-la-premiere-fois-les-bebes-des-minorites-sont-la-majorite/ http://www.algerie1.com/flash-dactu/etats-unis-pour-la-premiere-fois-les-bebes-des-minorites-sont-la-majorite/    

     

    ALTERINFO.NET


     

  • Le "redressement productif" arrive !

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  • Le Redressement productif: attention au coup de com !

    Posté par le 17 mai 2012

     

    Communiqué de Florian Philippot, porte-parole du Rassemblement Bleu Marine

    Le ministère du « redressement productif » a toutes les chances de n’être qu’une astuce électoraliste de plus si le nouveau gouvernement n’applique pas une politique économique radicalement novatrice.

    Il n’y aura aucun redressement productif sans patriotisme économique et social.

    Il n’y aura aucun redressement productif sans protectionnisme intelligent à nos frontières pour lutter contre la concurrence déloyale que nous font certains pays.

    Il n’y aura aucun redressement productif sans Etat fort, libéré des absurdes contraintes des Traités européens que l’UMP et le PS soutiennent en toutes circonstances.

    Il n’y aura aucun redressement productif sans soutien massif aux TPE, PME et PMI alors que la priorité aujourd’hui est donnée aux grands groupes du CAC 40.

    Rien dans la campagne de François Hollande ne laisse augurer l’application de ces mesures de redressement économique et social. Et la nomination de Pierre Moscovici à Bercy, l’ultra-européiste, ne laisse présager aucun changement véritable.

    Les Français réclament des actes concrets, des changements véritables pour l’emploi, et non encore et toujours de la poudre aux yeux électoraliste.

    Les candidats du Rassemblement Bleu Marine aux élections législatives portent ce projet de réindustrialisation de la France, loin des astuces de communication.

  • Christiane Taubira, Garde des Sceaux, a été condamnée par la justice en octobre 2004

    Posté par le 17 mai 2012

     

    Le nouveau Garde des Sceaux est une repris de justice ! Ayrault, puis Fabius et maintenant Taubira… Le candidat socialiste déclarait le 14 avril dans Le Journal du Dimanche : « Je n’aurai pas autour de moi à l’Élysée des personnes jugées et condamnées. » Un quinquennat hollandien qui commence donc par un bien gros mensonge…

    Le 15 mai, soit exactement un mois après cette déclaration médiatique, François Hollande, président de la République fraichement intronisé, nommait Jean-Marc Ayrault, son ami et compagnon de route au PS, Premier ministre. Le nouveau Premier ministre avait été, en 1997, condamné à six mois avec sursis et à l’équivalent de 4.500 euros d’amende pour favoritisme dans une affaire de marché public. N’ayant fait l’objet d’aucun appel, la peine est devenue effective en 1997 et a été considérée comme exécutée cinq ans plus tard. Et le député-maire de Nantes a été réhabilité en 2007.

    Même chose pour Laurent Fabius : le député de Seine-Maritime, ancien Premier ministre de François Mitterrand, avait été mis en examen pour homicide volontaire de l’affaire du sang contaminé. Il a comparu en février et mars 1999 devant la Cour de justice de la République qui l’a relaxé le 9 mars 1999. Il est devenu le ministre des Affaires étrangères de François Hollande.

    Et aussi pour Christiane Taubira, devenue Garde des Sceaux, qui, en septembre 2004, a été condamnée aux pour le licenciement injustifié et la rupture abusive de son ancienne assistante parlementaire Sylvia Edom.

    A l’époque L’Express relatait l’événement comme suit :
    « La rentrée parlementaire de Christiane Taubira a eu lieu en avance, dans une petite salle au quatrième étage du conseil des prud’hommes de Paris, où, le lundi 27 septembre, la députée de la Guyane a été condamnée. Son ancienne assistante parlementaire d’octobre 2002 à avril 2003, Sylvia Edom, a obtenu la requalification de ses deux CDD en CDI. Le conseil a également estimé son licenciement injustifié et la rupture du CDD « abusive ». Si elle échappe au paiement d’heures supplémentaires réclamé par la partie adverse, l’ex-candidate à l’élection présidentielle devra lui verser 5.300 euros. Se disant « sûre de son bon droit », elle ne s’interdit pas de faire appel et s’ « étonne du bruit soulevé par cette affaire ordinaire ».

    Celle-ci témoigne d’un malaise grandissant chez les assistants. Selon l’Union syndicale des collaborateurs parlementaires, il y a eu depuis le début de l’été environ 70 licenciements parmi les petites mains des députés. Le secrétaire général de l’organisation, Jean-François Cassant, évoque la multiplication de « mauvaises pratiques » à l’Assemblée depuis un an. Et passe à l’offensive : le 5 novembre, il présentera avec son homologue du Sénat un projet de convention collective des assistants parlementaires. Une démarche symbolique, car l’Assemblée ne peut pas signer un tel texte, n’étant pas considérée comme l’employeur des assistants, même si elle alloue chaque mois aux députés 7 500 euros pour rémunérer leurs collaborateurs. C’est ce qu’a confirmé le 18 février la Cour de cassation : « Les députés composant l’Assemblée nationale ne constituent pas une unité économique et sociale. » Chacun d’entre eux gère donc sa petite entreprise comme il l’entend. Au risque, tout de même, de se faire taper sur les doigts s’il ne respecte pas la loi. Un comble pour ceux qui l’élaborent. »

    Pas joli, joli, le sens social de Madame le Garde des sceaux !