Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1256

  • Une boutique néonazie fait scandale en Allemagne

     

    Le magasin «Brevik» appartient à la marque Thor Steinar, appréciée par les néonazis.

    La ville de Chemnitz se mobilise contre l'extrême droite ce mercredi soir. Plusieurs associations et la classe politique locale ont appelé à manifester contre l'ouverture d'un magasin de vêtements appartenant à la marque Thor Steinar, très prisée par les néonazis outre-Rhin. Le nom de la boutique, «Brevik», est considéré comme un hommage au tueur d'extrême droite Anders Breivik, qui avait assassiné 77 personnes en Norvège l'année dernière, et passe pour une provocation intolérable.

    «Avec ce choix de nom scandaleux, Thor Steinar devient plus agressif et dévoile ses tendances violentes d'extrême droite», accuse Hanka Kliese, élue du SPD à Chemnitz. «Avoir un magasin qui porte ce nom est une catastrophe, juge Katja Uhlemann, porte-parole de la mairie de Chemnitz. Nous sommes en contact avec l'entreprise qui loue l'immeuble et nous faisons tout notre possible pour faire fermer le magasin. Cela pourrait être difficile parce qu'il s'agit d'une entreprise privée. Mais comme l'a montré la fermeture d'autres enseignes Thor Steinar à travers le pays, ce n'est pas impossible».

    Mythologie nordique

    Thor Steinar (le marteau de Thor) est l'une des marques de vêtements fétiches des groupuscules néonazis allemands, qui se sont détournés des traditionnels blousons bombers et rangers pour adopter des signes d'appartenance plus discrets. Les crânes rasés vouent un véritable culte à Thor, le dieu du tonnerre dans la mythologie germanique.

    Fondée par un entrepreneur réputé proche des milieux néonazis, la marque s'était illustrée par son premier logo, d'inspiration runique, utilisé par les groupes Wehrwolf qui luttèrent clandestinement, après la défaite de 1945, contre les occupants alliés. Depuis, Thor Steinar a changé son sigle, utilisant le drapeau norvégien et donnant à ses boutiques des noms inspirés par la mythologie ou la géographie nordique.

    Connue comme étant un haut lieu de l'extrême droite allemande, Chemnitz, 250.000 habitants, a décidé de se mobiliser contre l'ouverture du magasin «Brevik» pour défendre sa réputation. Selon les services de renseignements allemands, cette ville d'ex-RDA, située près de la frontière tchèque, compte quelque 200 militants d'extrême droite.

    Lettres anonymes et têtes de cochons

    Les trois membres de la NSU (Underground National Socialiste), qui avaient perpétrés une série de dix assassinats racistes entre 2000 et 2006, s'y étaient établis à la fin des années 1990. Avant de s'installer à Zwickau, à quelques kilomètres de là.

    Les crânes rasés de Chemnitz sont réputés pour leur comportement agressif. Ainsi, Uwe Dziuballa, propriétaire d'un restaurant de spécialité juives, se plaint depuis dix ans des agressions antisémites dont il est la cible. Régulièrement, des lettres anonymes lui signifient que le «peuple allemand n'a pas besoin des Juifs». Des têtes de cochons sont jetées sur la devanture de son restaurant.

    Le 20 avril, date anniversaire de la naissance d'Adolf Hitler, il reçoit des réservations pour 88 personnes (le «H» est la huitième lettre de l'alphabet et le chiffre «88» signifie «Heil Hitler» dans la symbolique néonazie). Depuis les révélations sur la série de meurtres du trio de la NSU, en novembre 2011, l'Allemagne se mobilise contre les agissements de cette ultra minorité brune qui ternit l'image du pays.

    LIRE AUSSI:

    »L'hommage de Merkel aux victimes de néonazis

    »L'Allemagne va ficher ses néonazis

     

    Le Figaro - 07/03/12

  • L'embryon, un être humain ?

    Contre-info.com - 07/03/12

  • Ces millions de morts oubliés !

    Posté par le 7 mars 2012

     

    Communiqué d’Alexandre Simonnot

    Il y a 59 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourait.

    Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.

    Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !

    Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?

    A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.

  • Marine Le Pen: "Le halal n'est pas un sujet accessoire"

    Marine Le Pen s'est une nouvelle fois invité mardi dans le débat sur la viande halal. La présidente du FN a fustigé l'attitude de Nicolas Sarkozy sur le sujet.

     « Je ne crois pas tout que le halal soit un sujet accessoire », affirme Marine Le Pen. 

    C'est elle qui avait lancé le débat, affirmant fin février que « 100% de la viande abattue en Ile-de-France est halal ». C'est donc tout naturellement, alors que la polémique enfle depuis les sorties de Claude Guéant et François Fillon , que Marine Le Pen évoque à nouveau le sujet, mardi. « Je ne crois pas du tout que le halal soit un sujet accessoire, affirme la présidente du Front national. C'est un sujet qui touche quand même quatre grands thèmes pour les Français: le problème de la laïcité, de la sécurité sanitaire, de la nécessaire transparence à l'égard des consommateurs et de la souffrance animale. »

     

    Selon elle, Sarkozy "court" après ses idées

    La viande halal est, surtout, pour la leader d'extrême droite, l'occasion de s'en prendre à Nicolas Sarkozy. Pour elle, le président sortant, candidat déclaré de l'UMP pour la prochaine élection présidentielle, « court » après ses idées, lui, « capable, le lendemain de ma déclaration sur le halal, de courir comme un dératé pour aller à Rungis expliquer aux bouchers que Marine Le Pen raconte n'importe quoi. Et qui, quelques jours plus tard, manifestement au vu d'un sondage, change radicalement son fusil d'épaule, tourne sa veste et vient expliquer que pour finir c'est un sujet essentiel », ajoute Marine Le Pen.

     

    « Je ne suis pas satisfaite, je suis inquiète, commente-t-elle. (…) Ce changement brutal d'attitude veut dire d'abord que cet homme n'a pas de colonne vertébrale et qu'il n'a aucune conviction. La seule conviction qu'il a, c'est la courbe des sondages. » Et Marine Le Pen de prédire la défaie du président sortant. « Ce que je ressens sur le terrain, c'est que Nicolas Sarkozy, quelles que soient les circonstances, que je sois présente que je sois absente, ne peut pas gagner », conclut-elle.

    France-Soir - 06/03/12

  • Toulouse: une postière agressée

    sans-titre.png poste.png

    Les malfaiteurs, qui ont dérobé 360.000 euros, l'ont frappée, ligotée et aspergée d'essence.

    Deux malfaiteurs ont enlevé mardi à Toulouse une postière pour la forcer à ouvrir le bureau de poste et le coffre-fort contenant plus de 300.000 euros.

    C'est en sortant de chez elle, vers 8 heures, dans le quartier Saint-Cyprien de Toulouse que cette chef de caisse de la poste de Bellefontaine a été agressée. Un homme avec des gants noirs l'a embarqué dans une voiture conduite par un complice. Pendant le trajet vers son lieu de travail, situé dans un autre quartier de Toulouse, cette femme a été violemment prise à partie par les malfaiteurs.

    Aspergée d'essence

    "Elle a été menacée. Elle a été frappée. Elle a été aspergée d'essence. Elle a été gazée. Et elle a été conduite à la Poste de Bellefontaine dans laquelle elle a permis à un des malfaiteurs d'accéder", a déclaré le procureur de la République, Michel Vallet au micro d'Europe 1.

    Une fois sur place, elle a dû ouvrir le bureau de poste. Elle est entrée avec l'un des deux malfaiteurs puis elle a été forcée d'ouvrir le coffre contenant une "importante somme d'argent". Elle a ensuite "été ligotée à une chaise", a ajouté le procureur.

    Le butin se monterait à quelque 360.000 euros en espèces, selon une source syndicale de la police. Les deux hommes ont ensuite pris la fuite à bord de la voiture. L'enquête a été confiée au service régional de la police judiciaire (SRPJ). La victime, âgée de 46 ans, est en état de choc. Elle a dû être hospitalisée.

    Europe 1 - 06/03/12

  • Qui est Michel Field ?

    Né le 17 juillet 1954 dans le Vaucluse, Michel Field est le fils d'Erwin Feldschuh, un ouvrier autrichien de confession juive, dont la vie bascule quand, en 1938, militant clandestin avec Bruno Kreisky, accusé de haute trahison en 1935, il immigre en France.

     Pendant la Seconde Guerre mondiale, ce père de deux autres enfants, Claude et Marianne, entre dans la résistance et transforme son nom en « Field ». Ouvrier chez Ferodo, il devient par la suite ingénieur grâce à une formation du CNAM, puis consultant en organisation[1].

    Au Lycée Claude-Bernard, Michel Field est responsable lycéen de la Ligue communiste. Il y milite de 14 à 20 ans. Élève brillant mais frondeur, il est à la fois présenté au concours général et exclu du lycée Claude-Bernard à l'automne 1971 au moment où un mouvement de protestation agite le milieu lycéen (parmi les leaders de l'époque : Jean-Christophe Cambadélis[2]). À la suite de son exclusion, Michel Field fait paraître une tribune dans Le Monde. Il est l'un des leaders du mouvement lycéen contre la Loi Debré (1973) : lors d'un débat télévisé, il lance un fameux « rigolo ! » au ministre de l'Éducation, Joseph Fontanet. « J'ai arrêté de militer à 21 ans. Ce qui m'a sauvé, c'est l'investissement dans les études en même temps que la politique[3]. »

    Il obtient son agrégation de philosophie et devient professeur à l'École normale d'institutrices de Douai puis à l'École normale d'instituteurs de Versailles. Il enseigne également dans les universités de Nanterre et Vincennes à Saint-Denis.

    En parallèle à son activité professionnelle, il publie plusieurs romans, et collabore à France-Culture et aux Nouvelles Littéraires.

    Il commence à acquérir une certaine notoriété en tant qu'homme de radio sur la chaîne de France Culture, où il est durant de longues années un collaborateur régulier de l'émission Le Panorama.

    Lire la suite de sa biographie sur Wikipédia:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Field

  • A Pantin (93), il n'y a plus désormais que des boucheries halal !

    Posté par le 6 mars 2012

     

    par Isabelle Weber

    Yves Béguin, le dernier boucher dit « traditionnel », un boucher qui n’était pas halal, a pris sa retraite le 25 septembre 2011, le jour de l’ouverture de la chasse. Désormais à Pantin, en Seine-Saint-Denis, il n’y a plus que des bouchers confessionnels halal.

    Quand il a mis en vente son fond de commerce, tous les candidats à la reprise de son commerce étaient tous « maghrébins » et Yves Béguin a compris très vite que sa boucherie allait devenir confessionnelle. Lui qui avait misé sur une clientèle dite « bobo » à laquelle il vendait des produits du terroir, des viandes « d’origine France », du bio et du vin, a senti que sa clientèle n’allait plus trouver à Pantin les produits dit « traditionnels ».

    Yves Béguin a demandé à son successeur, Lahcen Hakki, de constituer une petite réserve pour ses clients de produits produits bio ainsi que du vin, ce que M. Hakki a refusé, car dans l’islam l’alcool est interdit !

    Le repreneur M. Hakki affirme que le bio ne se vend pas et que pour satisfaire sa nouvelle clientèle regardante sur les prix il achète désormais sa viande à l’étranger.

    Fini donc à Pantin les produits du terroir et la viande « d’origine France ». Désormais les anciens clients de Monsieur Béguin doivent sortir de la ville et se rapprocher de Paris pour trouver des rillettes, les côtelettes de porcs et des paupiettes ! Aujourd’hui, dans la vitrine de la nouvelle boucherie halal les plats d’avant ont été remplacés par les tagines, les dattes et autres produits traditionnels maghrébins.

    A Pantin, toutes les boucheries sont désormais halal .

  • Marine Le Pen invitée de "Parole de candidat" sur TF1

    Posté par le 6 mars 2012

     

    Plan de désendettement et chiffrage du projet économique

    Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle de 2012, est l’invitée de « Parole de candidats » sur TF1.

    Revoir l’émission qui est disponible 

    en cliquant ici

    Hier soir dans l’émission « Parole de candidat » sur TF1, record d’audience pour Marine Le Pen.

    En moyenne 4.800.000 téléspectateurs et pic d’audience avec Marine Le Pen avec 5.400.000 téléspectateurs.

     4 VIDEOS - Cliquez sur le lien:  http://www.nationspresse.info/?p=162816#more-162816

     

    NdB:  Regardez particulièrement  la 4ème partie sur l'immigration et la discrimation ! 

     


  • Halal: les propositions de Marine Le Pen face aux girouettes électorales

    Le texte de cette vidéo est joint ci-dessous :

    Mes chers compatriotes,

    Je souhaite faire un point sur le débat que j’ai lancé au sujet de l’abattage rituel dans notre pays.
    Remarquons d’abord comment la classe politique a réagi.
    Comme d’habitude lorsque je lance un débat, sur les prières de rue par exemple ou sur le protectionnisme, la classe politique UMPS commence par tout nier en bloc, par rejeter ce qu’elle considère comme une vaine polémique, et choisit l’insulte et l’esquive.

    Souvenez-vous il y a quelques jours encore le gouvernement, l’UMP et Nicolas Sarkozy lui-même en visite à Rungis nous disaient que le problème halal n’existait pas, qu’il n’y avait strictement aucun problème !
    Puis, embarrassé par des réactions de Français et d’associations qui montrent que je touche un point sensible et important, affolés par des sondages qui prouvent que je réponds à une vraie préoccupation, le camp sarkozyste a complètement retourné sa veste, en quelques heures, dans un cynisme électoraliste incroyable. Lire la suite de cet article »

    NPI - 06/03/12

  • Betty-Coton, le livre sur l'esclavage qui fait scandale dans une école primaire

    Des parents d’élèves d’une école primaire de Morsang (Essonne) sont choqués. Un enseignant a lu un ouvrage sur l’esclavage dont certains passages sont particulièrement violents.

                                  

    Morsang-sur-Orge (Essonne), hier. C’est à l’école Marcel-Cachin que l’instituteur a travaillé avec ses élèves sur « Betty Coton ».

    Morsang-sur-Orge (Essonne), hier. C’est à l’école Marcel-Cachin que l’instituteur a travaillé avec ses élèves sur « Betty Coton ». | (LP/FLORENCE MEREO.)

     

    Quand il est rentré à la maison, son fils de 10 ans paraissait « si mal » et Martine*, sa mère, n’a pas compris pourquoi. « Maman, on a lu une histoire à l’école, et j’ai pleuré », lui a-t-il expliqué en lui résumant des passages d’un livre étudié le jour même à l’école Marcel-Cachin de Morsang-sur-Orge (Essonne).
     
    Un ouvrage traitant de l’esclavage et racontant, entre autres, le d’une fillette avec un coupe-papier, dans des termes susceptibles de heurter de jeunes écoliers.

    Sous le choc, une dizaine de familles ont créé le Collectif de parents indignés (CPI). Hier matin, ils ont distribué des tracts appelant à la « protection des enfants » et une pétition est en ligne depuis le 1er mars. Elle avait recueilli hier soir 311 signatures.

    Au cœur de la polémique : « Betty-Coton », un roman publié chez Actes Sud Junior, prix Aficion’ados de Mont-de-Marsan 2007, et destiné, comme le confirme son auteur, Corinne Albaut, à un « public averti, pas avant 13-14 ans ». Ce qui scandalise les parents, c’est qu’il a été intégralement lu fin janvier à une classe de CM 1-CM 2, à des enfants âgés de 9 à 11 ans, par leur enseignant.

    « Quand j’ai réussi à me procurer les extraits du livre, j’ai été profondément choquée que mon enfant ait dû entendre cela. Les mots étaient bien trop crus et violents pour son âge », explique cette maman dont le fils, affirme-elle, semble « perturbé » depuis cette lecture. « Un enseignant peut aborder tous les sujets, mais il doit adapter son propos au public qu’il a en face de lui. Avoir lu de tels passages, avec des détails sexuels aussi barbares, sans que les parents ne soient au courant ou les enfants préparés, est totalement contre-productif », affirme le du collectif de parents, Sébastien Narme.

    Alertée par les parents, l’inspection académique, qui n’a pas répondu hier à nos sollicitations, a décidé de la mise en place d’une cellule d’écoute animée par une psychologue afin que les enfants parlent de ce qu’ils avaient ressenti à l’écoute de l’ouvrage. L’enseignant mis en cause, Pascal Noury, par ailleurs maire (DVG) de Morangis, a évoqué hier « un devoir de réserve » lié à son statut de fonctionnaire.

    « Il n’a pas lu ce roman pour choquer mais pour son aspect pédagogique et humain, glissait un autre membre du corps enseignant. Et il a accompagné sa lecture d’un travail sur le respect de l’autre et de la dignité humaine. Réduire ce travail à la lecture de cette scène, certes violente, est totalement disproportionné. » Et pourtant les parents comptent bien continuer leur action et demandent que « l’Education nationale prenne ses responsabilités face à ce fait grave ». Ils réclament en outre la mise en place d’une autre cellule psychologique, cette fois individuelle. S’ils ne sont pas entendus, assurent-ils, leur action pourrait s’étendre au domaine pénal.

    * Le prénom a été changé.

    Des extraits de l'ouvrage

    Les parents n’ont pas été choqués par le livre dans son ensemble. C’est le chapitre intitulé « La blessure » et relatant le viol de la petite Betty par un esclavagiste qu’ils estiment beaucoup trop « violent » pour des enfants de 9 ans. Extraits.

    « Vas-tu obéir à la fin, Viens ici, tout près… Maintenant, touche!

    — Mais, monsieur Henri, je ne peux pas, non, ça, je ne peux pas.

    Henri commence à s’énerver :

    — Comment ça, tu ne peux pas? Depuis quand tu te permets de me désobéir?

    Il se redresse d’un seul coup, lui saisit la main et la plaque sur sa verge.

    — Tu vois que tu peux! A présent, bouge, doucement… caresse… de haut en bas.

    Le cœur à l’envers, Betty fait ce qu’il lui demande. »

    Ou encore :

    « Tu commences à m’agacer, Betty. Tu es à mon service, ne l’oublie pas. Mon père t’a achetée pour moi. Tu es mon esclave. Tu dois faire tout ce que je t’ordonne. »

    Betty n’a jamais eu de rapports sexuels. Elle sait que certains maîtres ont leurs tisanières, des esclaves qu’ils font venir dans leur chambre, le soir. »

    Le roman décrit ensuite dans des termes très crus le viol et la mutilation de la petite fille.

    Le Parisien - 06/03/12
     
     
    NdB: l'auteur de Betty-Coton, une oeuvre de fiction, considère son livre comme un "devoir de mémoire". Mais pourquoi y introduire des scènes pornographiques de pédophilie ?
  • Les avorteuses Bachelot et NKM fustigent les propositions de Marine Le Pen sur l'IVG

    Lire l'article: http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/bachelot-et-nkm-fustigent-les-propositions-de-le-pen-sur-l-ivg-06-03-2012-1892410.php

     

    + 3 VIDEOS

     

     

    Le Parisien - 06/03/12