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Blog - Page 1252

  • Tours - Jamel Debbouze veut-il chasser les "François Desouche" ?

     

    La nouvelle est tombée ce matin, lorsque l'organisateur de la soirée de soutien à Fdesouche.com a reçu un appel téléphonique d'un responsable du cabinet de sécurité publique rattaché à la préfecture lui demandant de déplacer son rassemblement ailleurs qu'au Centre des Congrès du Vinci.

    Le motif de cette demande étant que Monsieur Jamel Debbouze présente son spectacle à la même heure au même endroit. La préfecture craint donc des risques d'incidents entre les patriotes présents et le public de l'artiste.

    Pour ceux qui ne le savent pas, Fdesouche.com est un site d'information indépendant (le plus visité en France) qui dénonce principalement les problèmes liés à l'immigration mais aussi à l'islamisation de la société française. A en croire le responsable, ce rassemblement pourrait heurter la sensibilité religieuse ou ethnique des personnes assistant au "Show".

    De plus, l'interlocuteur nous explique que, dans la même soirée, deux autres gros événements ont lieu en ville, ce qui n'arrange en rien les choses.

    Rappelons simplement que, pour interdire un rassemblement déclaré en préfecture, le risque de trouble à l'ordre publique n'est pas suffisant; il faut que l’État prouve son incapacité à assurer, par un manque de moyens physiques ou logistiques, la sécurité des citoyens présents.

    Les organisateurs de la soirée donneront une réponse au service en question sous 48h. Notre site diffusera leur décision mercredi dans la journée.
     
    Publié par Vox Populi - 12/03/12

  • Herta arrête la production de produits halal

    Herta stoppe la fabrication de produits halal, du fait de ventes faibles et des suites de la polémique qui avait frappé la marque de Nestlé en janvier 2011

    La marque Herta (groupe Nestlé) leader sur la charcuterie et sur le marché des aides culinaires, a décidé d’arrêter toutes ses gammes de produits halal. Dernières en date encore en GMS, les pâtes à tarte halal ne seront plus commercialisées d’ici à la fin du mois de mars, le temps d’écouler la fin des stocks. Les ventes, trop faibles sur ce segment, et la polémique qu’avait suscitée des traces d’ADN de porcs dans les knackis halal d’Herta début 2011, auront eu raison de la présence de la marque rouge et blanche sur l’offre halal.

    Source : Lsa-conso, Merci à Trois3quatre4

    Défrancisation - 12/03/12

  • Mouammar Kadhafi a-t-il financé la campagne présidentiele 2007 de Nicolas Sarkozy ?

    Posté par le 12 mars 2012

     

    Le site Mediapart révèle une note confidentielle concernant le marchand d’armes Ziad Takieddine, qui a effectué plusieurs visites en Libye…

    Nouvel épisode embarrassant pour les liens concernant le camp Sarkozy au marchand d’armes Ziad Takieddine. Alors que le site Mediapart s’interroge ce lundi sur un possible financement, par l’ancien dictateur libyen Kadhafi, de la campagne présidentielle 2007 de Nicolas Sarkozy, Nathalie Kosciusko-Morizet, porte-parole de campagne du président-candidat, a déclaré ce lundi après-midi lors d’un point presse au QG de campagne : « Cela fait des mois, et maintenant des années que les uns et les autres cherchent à faire des révélations fracassantes. Je ne vais pas commenter plus avant l’éternel feuilleton. »

    Car, ce lundi, le site Mediapart se pose la question : « Mouammar Kadhafi a-t-il financé Nicolas Sarkozy ? » Le site révéle un document confidentiel relatif au marchand d’armes Ziad Takieddine, qui a effectué plusieurs visites en Libye en 2005 et 2007, alors sous le régime du Guide Mouammar Kadhafi.

    Selon cet article, le marchand d’armes, « organisateur en 2005 des visites du ministre de l’Intérieur et de ses proches en Libye, puis en 2007 du président élu, aurait mis en place les « modalités de financement » de sa campagne présidentielle par le régime de Kadhafi, en lien avec Brice Hortefeux, alors ministre des Collectivités locales ».

    Lire la suite qui est passionnante!

  • François Hollande: quand le chantre de la "diversité des couleurs" veut supprimer le mot "race"

     

    François Hollande : quand le chantre de la « diversité des couleurs » veut supprimer le mot « race »
     
     
     

    12/03/2012 – 15h00
    QUIMPER (NOVOpress Breizh) – « Ne voyez-vous pas que le véritable but du Novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? A la fin nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer. » S’inspirant du célèbre roman de George Orwell « 1984 », François Hollande, très attentif aux désirs des ligues de vertu antiracistes, a annoncé samedi dernier que, s’il est élu, il demandera que le mot « race » soit supprimé de la Constitution. Une réforme qui avait déjà été proposée en 2008 par le député du Finistère J.J. Urvoas. Ce qui n’empêche pas le candidat de faire l’apologie de la « diversité des couleurs ».

    « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. » Lors d’une réunion consacrée à l’Outre-mer qui se tenait samedi à Paris, le candidat socialiste a proclamé qu’élu il ferait disparaitre le terme de « race » qui figure dans l’article 1er de la Constitution.

    Cette proposition avait déjà été soutenue à l’Assemblée nationale le 23 mai 2008 par le député socialiste J.J. Urvoas lors de la discussion du projet de loi constitutionnelle de modernisation des institutions de la Ve République. Celui qui était à l’époque un inconditionnel de DSK déclarait : « Il y a une dimension symbolique à retirer des premières lignes de notre loi fondamentale un terme porteur d’ignominie. En outre, les exégètes feront remarquer que la Constitution interdit à la loi d’établir des distinctions selon la race, mais que, de ce fait, elle légitime paradoxalement, et donc en creux, l’opinion selon laquelle il existe des races distinctes. Il faut donc, pour des raisons symboliques et historiques, supprimer ce terme de la Constitution. »

    Mais, ajoutait l’élu finistérien, « la suppression du terme « race » de la Constitution ne supprimera évidemment pas le racisme. » Aussi admettait-il sans la moindre hésitation que le terme honni devait demeurer dans « l’arsenal juridique » destiné à lutter contre le racisme.

    Il est vrai que la tâche n’est pas simple. L’intervention qu’a faite François Hollande samedi en est une belle illustration. Qu’a dit en effet le prétendant à l’Elysée ? « La République ne craint pas la diversité parce que la diversité, c’est le mouvement, c’est la vie. Diversité des parcours, des origines, des couleurs, mais pas diversité des races », a-t-il affirmé citant – référence obligée devant un public « ultramarin » – Aimé Césaire (« la France est poreuse à tous les souffles du monde »).

    « Vous êtes le peuple qui aspire au changement, et pas pour demain. Ce peuple a toutes les couleurs, car la France que nous aimons a toutes les couleurs. Vous incarnez ce que notre pays a de plus précieux : sa diversité, et cette diversité, c’est notre identité », a conclu le candidat mondialiste qui, s’il entend supprimer le mot « race », insiste lourdement sur la diversité des « couleurs ».

    L’actuel favori des sondages, encore inspiré par Orwell dans “Animal Farm”, ne craint manifestement pas de violer le principe d’égalité et d’introduire une hiérarchie entre les Français. Si on le suit bien, les ressortissants d’Outre-mer incarneraient ce que la France a de plus « précieux ». Les Bretons, Auvergnats et autres autochtones de l’Hexagone apprécieront.

    Crédit photo Idf-fotos via Flickr. Licence cc.

     

     

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
  • Le protectionnisme n'est plus un gros mot, mais attention aux contrefaçons !

     

    12 mars 2012

    Samedi sur le site des Quatre vérités, Nicolas Bonnal écrivait qu’ « (il avait) compris que pour la première fois (lors d’une présidentielle) il y a un candidat officiel, en France, qui n’est pas le candidat des Français mais le candidat de mondialisation malfaisante et de la bureaucratie européenne qui a pris le pouvoir. On a le candidat de la BCE, de la banque Goldman, on a le candidat de la grosse commission de Bruxelles, on a le candidat de la chancelière allemande devenue ivre de sa puissance (…) et qui met sous tutelle les peuples périphériques de l’Europe après les avoir ruinés par la monnaie inique. » Mais pas question de sortir également de cette prison là : les ministres des Finances de la zone euro se réunissent aujourd’hui pour valider définitivement le deuxième plan d’aide à la Grèce et discuter du renforcement des mécanismes dit « de solidarité » mis en place…

    Hier pourtant, lors de la grosse démonstration de force de l’UMP autour de son candidat à Villepinte, Nicolas Sarkozy a endossé l’armure du preux chevalier bien décidé à mater l’hydre euromondialiste. Un registre nouveau qui vient parfaire ses « emprunts » (verbaux) à de nombreux autres pans du programme défendu depuis des lustres par le FN.

    Laurent Joffrin dans Le Nouvel Observateur, a bien résumé la tonalité du discours sarkozyste qui vise la France du non, cette France qui « tient l’Europe en suspicion et penche de plus en plus vers Marine Le Pen. » Et Sarkozy de promettre une « remise en cause du traité de Schengen sur la libre circulation des personnes, (l’)introduction d’un protectionnisme européen, (la) proposition d’un buy european act (acheter européen) qui serait le pendant du buy american act (qui donne la priorité aux producteurs locaux dans les appels d’offre publics, NDLR) promulgué par Franklin Roosevelt en 1933 et toujours en vigueur. »

    Un vœu qui recoupe aussi la proposition développée par Arnaud Montebourg lors de la primaire socialiste et pour le moins sujet à caution lorsqu’il émane du fidèle vassal de Mme Merkel. Car note encore cet article « encore faut-il convaincre l’opinion de la sincérité de ce choix (…). Peut-on faire campagne pendant quatre mois sur le sérieux européen, pour proposer tout à coup de renverser la table de l’Union ? En menaçant même, si nos partenaires étaient réticents, d’appliquer les nouvelles dispositions de manière unilatérale ? Ce qui nous renvoie au handicap fondamental de la campagne Sarkozy : ce n’est pas tant qu’on rejette son programme ; c’est qu’on ne croit pas celui qui le propose. La volte-face de Villepinte risque d’ajouter à la confusion… »

    La plupart des commentateurs n’ont pas manqué de relever en effet que le président sortant n’a eu cesse de fustiger le protectionnisme pendant cinq ans…lequel a cependant le vent en poupe. Les Echos indiquait le 8 mars que « fin décembre, la Banque mondiale recensait 1.593 mesures (protectionnistes) instaurées entre novembre 2008 et novembre 2011, parmi lesquelles 1.187 mesures discriminatoires à l’égard des fournisseurs étrangers. La liste des mesures protectionnistes est longue. »

    « Avec 182 mesures comptabilisées par l’organisme, qui recense l’ensemble des mesures commerciales mondiales Global Trade Alert (GTA), l’Argentine est le pays qui compte le plus de mesures protectionnistes ». Une nation qui su aussi se sortir d’une crise économique épouvantable en disant non, pour son plus grand bien, aux diktats du FMI -voir notre article en date du 3 janvier dernier. En tête de ce classement nous trouvons aussi la Russie, l’Inde…et la Chine.

    Dans Libération, réagissant au discours de M. Sarkozy, Arnaud Montebourg a estimé que ce dernier« fait semblant de briser Schengen pour draguer grossièrement le FN », et a reproché au chef de l’Etat de faire « comme s’il était le candidat de la rupture, après avoir soutenu l’Europe passoire dans la mondialisation ». « Les dégâts sont énormes: 750.000 emplois industriels perdus en dix ans … et 900 usines fermées ces trois dernières années », a-t-il jugé. Ce que M. Sarkozy dit à Villepinte, « ça sent le rattrapage en pleine panique électorale ».

    Tout cela est exact mais le hic c’est que ni le PS en général ni M. Montebourg en particulier, ne sont vraiment fondés à critiquer l’UMP avec lequel ils votent, partagent et appliquent peu ou prou, les mêmes options européistes, mondialistes. A quelques nuances prés, malgré l’écran de fumée électoraliste, PS et UMP sont bien des siamois bruxellois.

    Et puisque l’on parle de sincérité, Bruno Gollnisch tient à mettre les points sur les i. Il constate en effet que bien avant que M. Montebourg ose formuler ses critiques vis-à-vis des conséquences délétères de la mondialisation, il était de ceux qui, de Pascal Lamy à Jean-Luc Mélenchon, crachaient au visage de Jean-Marie Le Pen qui avait le front de parler protectionnisme, barrières douanières, immigration maîtrisée, et préférence communautaire…

    Blog de bruno Gollnisch

  • Sarkozy: après le "j'ai changé" de 2007, le "j'ai appris" !

    Posté par le 12 mars 2012

     

    Communiqué de Julien Rochedy, président des Jeunes avec Marine

    Nicolas Sarkozy est tout de même exceptionnel, il faut le reconnaître. Oui, extraordinaire, il faut le dire, car il en faut du culot pour oser faire exactement la même campagne qu’en 2007, alors que 5 ans ont passé et que son bilan est exactement l’inverse des promesses qu’il nous avait tenues. Quel culot !

    Le meilleur passage de cette comédie aura quand même été le « j’ai appris », répété tout le long du discours de Villepinte, qui a fait étrangement écho au « j’ai changé » de 2007. Les mêmes tours, les mêmes effets, les mêmes thèmes, les mêmes annonces qu’il y a 5 ans – il faut oser !

    Sauf que ce n’est pas d’un acteur que les Français veulent à la tête du pays. Ce n’est pas d'un menteur non plus. Et ça, M. Sarkozy ne l’a pas encore « appris ».

    Le 22 avril, nous allons nous charger de lui faire passer le message, n’en doutez pas.

  • Russie: la méthode Poutine pour mater des dirigeants d'industries voraces


    Quand Poutine mate des dirigeants d' industries... par kyuss1994

    Peu de temps après la crise de 2008, Poutine remet un milliardaire à sa place...

  • Marine Le Pen - "Qui êtes-vous ?" (2)

  • WAGNER - KARAJAN - Ouverture de Tannhauser

    Tannhauser  fut créé en 1845 à Dresde sous la direction de Wagner, avec sa nièce Johanna Wagner dans le rôle d’Elisabeth.

     

  • Menton - Odette, 84 ans, met en fuite son agresseur

     Menton : Odette, 84 ans, met en fuite son agr - 16269593.jpg

    La dame âgée s’est retrouvée face à un homme dans sa cuisine. Elle lui a déchiré son T-shirt avant de se lancer dans une course-poursuite. Elle a été blessée à la main dans la bagarre
     
     

    Pourquoi s'attaquer à des vieux comme nous ? C'est lâche ! » En tout cas, l'agresseur d'Odette Aman va réfléchir à plusieurs reprises avant de s'en prendre de nouveau à une personne du troisième âge. Parce qu'Odette, 84 ans, malgré une silhouette fluette, n'a pas faibli du haut de son mètre cinquante.

    Dans son deux-pièces de la résidence « La piscine », située au 2, avenue Général-De-Gaulle, à Menton, elle nous montre sa cuisine. Là où, vendredi en début d'après-midi, elle a trouvé un homme d'une quarantaine d'années : « Je prenais le soleil dans le jardin. Lorsque je suis rentrée, je me suis trouvée nez à nez avec lui devant mon congélateur. Comment est-il entré ? J'ai mal fermé la porte à clef ».

    Elle s'en veut encore pour cette maladresse. Mais ses pupilles bleues s'agitent soudain. Comme si elle revivait la terrible scène. « Je ne voulais pas qu'il parte avec mes sous ! Il était grand. Mince. Mais je l'ai quand même agrippé par le col en V de son T-shirt blanc sous un blouson noir. J'ai tiré de toutes mes forces. Il s'est déchiré, ce n'était pas du neuf, glisse-t-elle dans un sourire satisfait. Il m'a alors regardée avec des yeux méchants ».

    Odette Aman ferme les siens. Comme si elle replongeait dans le cauchemar. Au cœur de cet instant terrible où tout aurait pu basculer : « Je tirais la porte pour l'empêcher de partir. Lui poussait pour que je ne sorte pas. J'ai mis mes mains dans l'interstice. J'ai ressenti une terrible douleur ».

    La dame âgée nous montre alors ses bras meurtris. Les séquelles de cette bagarre qu'elle savait perdue d'avance : « Il était plus fort que moi. J'ai des hématomes et on m'a posé six points de suture au doigt. Mais je ne voulais pas lâcher. Je suis partie à sa poursuite. Je criais d'appeler la police. Mais comme je suis une vieille dame, j'ai dû m'arrêter de courir ».

    Un vrai regret. Le même que celui du coiffeur situé au pied de l'immeuble mais qui a tenu à conserver l'anonymat : « Il avait des cheveux attachés en queue-de-cheval. Tout d'un coup, il a grimpé dans une BMW noire qui est partie en direction de l'Italie ». Des détails qu'Odette confirme : « Si le conducteur n'était pas un complice, j'aimerais qu'il se manifeste ».

    En attendant un hypothétique témoignage, la malheureuse a eu une mauvaise surprise en rentrant de l'hôpital : « Il m'a pris deux portefeuilles avec cinquante euros, une montre et des babioles. Mais c'est surtout des souvenirs auxquels j'étais attachée ». Ses yeux rougissent. Une larme roule sur ses joues : « C'était des cadeaux de mon mari que j'ai perdu il y a peu. C'est terrible. En plus, mes filles m'appellent souvent. Elles sont très loin et s'inquiètent ».

    Et il y a de quoi.

    « J'ai pris des gants pour les empreintes digitales »

    Parce qu'Odette a beau avoir démontré sa force de caractère, les blessures psychologiques sont présentes : « J'ai pris une pilule. Puis deux autres à minuit. Mais je n'ai pas dormi. Et je tremble toujours comme une feuille ». D'ailleurs, au moment de se coucher, Odette Aman a eu une surprise. « Lorsque j'ai voulu me coucher, j'ai remarqué qu'il avait jeté tous les bijoux de pacotille dans mon lit. J'ai pris des gants pour les empreintes digitales. J'attends la visite des policiers de l'identité judiciaire », explique la dame, avec un sourire malicieux.

    À 84 ans, Odette Aman était loin d'être une proie facile. Son agresseur le sait mieux que quiconque !

    Nice-Matin - 11/03/12

  • Louis Sarkozy: c'étaient des billes de pistolet pour enfant...

    NdB: Louis Sarkozy est né le 28 avril 1997. Il aura donc 15 ans très prochainement.

  • Gaza: 18 morts en trois jours, dont un enfant - Aucune victime du côté israélien

     

    Un Palestinien de douze ans a été tué et un autre blessé dimanche dans un raid israélien sur le nord de la bande de Gaza, portant à 17 le nombre de tués dans des frappes israéliennes depuis vendredi à Gaza, selon des sources médicales locales.

     

    La flambée de violence entre des groupes palestiniens de Gaza et l'armée israélienne a provoqué dimanche la mort de deux Palestiniens, portant à 18 le nombre de tués dans les raids israéliens ce week-end, et de nouveaux tirs de roquettes sur Israël.

    Un homme de 60 ans, Adel Saleh al-Issi, a péri dans un nouveau raid, selon le porte-parole des services d'urgence de Gaza, Adham Abou Selmiya.

    Plus tôt dans la matinée, un écolier de 12 ans, Ayoub Asaliya avait été tué, tandis que son frère âgé de sept ans était blessé, selon des sources médicales qui ont également fait état d'un autre blessé lors d'un troisième raid.

    L'armée israélienne a confirmé un raid contre deux sites de lancement de roquettes, dans le nord de la bande de Gaza, "utilisés par les organisations terroristes pour lancer des roquettes à longue portée --supérieure à 40 kilomètres-- contre Israël".

    Ce nouveau cycle de violences a été déclenché par "l'élimination ciblée" vendredi par Israël de Zouheir al-Qaïssi, chef des Comités de résistance populaire (CRP).

    Au total, 18 Palestiniens ont été tués, dont 15 combattants, et 30 autres blessés, depuis vendredi, au cours de 26 raids aériens sur Gaza confirmés par le ministre de la défense Ehud Barak.

     

    Le Berry.fr - 11/03/12