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Blog - Page 1327

  • Grèce: l'extrême droite participe à l'union nationale

    Le nouveau gouvernement grec, qui a prêté serment vendredi, compte dans ses rangs un ministre d'extrême droite. Une première depuis 1974.

    Le nouveau gouvernement grec de coalition formé par le premier ministre Lucas Papademos, qui a prêté serment vendredi en fin d'après-midi lors d'une imposante cérémonie d'intronisation à la résidence présidentielle, marque l'entrée au pouvoir dans le pays de l'extrême droite. Une première depuis la chute de la dictature des Colonels, en 1974.

    Makis Voridis, avocat de 47 ans issu de l'organisation de jeunesse du parti d'extrême droite Epen, créé après le régime militaire et longtemps proche du Front national français de Jean-Marie Le Pen, a été nommé ministre des Transports, tandis qu'Adonis Georgiadis, notamment co-éditeur d'un pamphlet antisémite, accède au secrétariat d'Etat au développement et à la Marine marchande.

    Les trois conditions de l'extrême droite

    Tous deux sont aujourd'hui des députés du parti Laos (Alerte orthodoxe populaire) dirigé par Georges Karatzaferis. Lorsqu'il a été créé en 2000, ce parti est venu occuper un vide dans le paysage politique qui ne comptait alors aucune formation d'extrême droite. À coups de slogans xénophobes et antisémites, il a d'abord engrangé des succès lors d'élections municipales (13,7% des voix à Athènes-Le Pirée dès 2002) et régioanles (à l'époque, quatre néo-nazis étaient présents sur la liste de Georges Karatzaferis).

    À la faveur d'une quête de respectabilité, le Laos est parvenu en 2007 à franchir aux élections législatives le seuil de 3% des voix lui ouvrant les portes du parlement. Un succès qu'il a reproduit au scrutin de 2009 où il a obtenu 5,63% des suffrages. Il compte aujourd'hui 16 députés. Hétéroclite et opportuniste, le Laos n'en reste pas moins figé sur un nationalisme intransigeant. En 2010, lors du débat sur l'adoption d'un projet de loi assouplissant la législation sur les immigrés, il avait dénoncé haut et fort un risque d'«invasion» étrangère et défendu «l'homogénéité» du pays.

    Depuis le début de la crise grecque, le Laos a tenté de s'afficher en partenaire politique responsable allant jusqu'à approuver, seul avec les députés socialistes, le premier plan de sauvetage international de la Grèce accordé par l'Union européenne et le Fonds monétaire international en mai 2010. Ce plan avait décidé l'octroi de 110 milliards d'euros en échange de mesures de rigueur et de réformes d'assainissement budgétaire. Laos s'est toutefois opposé au nouveau plan, élaboré à Bruxelles fin octobre, que l'exécutif aura pour mission de ratifier et de mettre en œuvre.

    Georges Karatzaféris avait fixé trois conditions pour une participation de sa formation au nouveau gouvernement : l'arrêt des réductions de salaires et de retraites, le maintien de la souveraineté nationale et la suspension des privatisations. Georges Karatzaféris s'était également opposé à la nomination de Philippos Petsalnikos, président socialiste du parlement grec, au poste de premier ministre, lui préférant l'ancien gouvernement de la Banque de Grèce, Lucas Papademos.

    Une équipe resserrée

    La nouvelle équipe de Lucas Papademos compte au total 17 ministres, dont 14 de la majorité de gauche. Douze ministres socialistes sortants sont ainsi maintenus à leurs postes, dont Andréas Loverdos, Anna Diamantopoulou et Georges Papaconstantinou aux ministères sensibles, au vu des réformes en cours, de la Santé et de l'Education, et de l'Environnement-Energie. Le ministère grec des Finances reste ainsi dans les mains d'Evangélos Vénizelos, poids lourd socialiste.

    Deux conservateurs font également leur entrée dans ce gouvernement resserré, chargé de rassurer les marchés financiers sur la cohésion du pays à l'approche d'élections législatives anticipées en février 2012. Dimitris Avramopoulos décroche le portefeuille de la Défense tandis que l'ex-commissaire européen Stavros Dimas, devient ministre des Affaires étrangères. Ce dernier, âgé de 70 ans, est vice-président de la Nouvelle Démocratie, le principal parti d'opposition qui s'est rallié dimanche à l'idée de participer à ce gouvernement de coalition pour sauver la Grèce de la faillite.

    Vendredi, Nicolas Sarkozy s'est dit certain que le nouveau premier ministre grec «aurait à cœur» de faire le nécessaire pour ancrer son pays dans l'Europe. «La France, amie de la Grèce, continuera à lui apporter son soutien et son assistance pour mener à bien les réformes qui permettront à votre pays de retrouver le chemin de la compétitivité et de la croissance», a assuré le président de la République.


    Le Figaro - 11/11/11

  • Draghi, Papadimos, Monti: le putsch de Goldman Sachs sur l'Europe

    (édito 11/2011)

    Mario Draghi est le nouveau patron de la Banque centrale européenne (BCE). Loukas Papadimos vient d’être désigné comme premier ministre grec. Mario Monti est pressenti comme président du conseil italien. Ce sont trois financiers formés aux Etats-Unis, dont deux anciens responsables de la sulfureuse banque Goldman Sachs. Est-il bien raisonnable de recruter les incendiaires comme pompiers ? Explications.

    Mon premier s’appelle Mario Draghi. Il est diplômé d’économie du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été chargé des privatisations italiennes de 1993 à 2001. Il est devenu gouverneur de la Banque d’Italie en 2006. De 1993 à 2006, il a siégé dans divers conseils d’administration de banques. De 2002 à 2006 il a été vice-président pour l’Europe de Goldman Sachs, la sulfureuse banque d’affaires américaine. Il vient d’être nommé président de la Banque centrale européenne (BCE).

    Mon second s’appelle Loukas Papadimos. Lui aussi est diplômé du Massachussetts Institute of Technology (MIT). Il a été professeur à l’Université américaine de Columbia avant de devenir conseiller économique de la Banque de réserve fédérale de Boston. De 1994 à 2002, il a été gouverneur de la Banque de Grèce : poste qu’il occupait quand la Grèce s’est « qualifiée » pour l’euro, grâce à des comptes falsifiés par Goldman Sachs. Puis, il a été vice-président de la Banque centrale européenne (BCE). Il vient d’être nommé, sur pression de l’Union européenne et du G20, premier ministre de Grèce avec le soutien des deux partis dominants.

    Mon troisième s’appelle Mario Monti. Il est diplôme de l’Université de Yale. Il a étudié le comportement des banques en régime de monopole. Puis il a été durant dix ans commissaire européen, de 1994 à 2004. D’abord « au marché intérieur et aux droits de douane » (ou plutôt à leur suppression) puis à la concurrence. Membre de la Trilatérale et du groupe de Bilderberg – selon Wikipédia – il a été nommé conseiller international de Goldman Sachs en 2005. Il vient d’être nommé sénateur à vie et l’Union européenne et le G20 tendent de l’imposer comme président du conseil italien.

    Mon tout c’est trois financiers européens (?), trois hommes de la superclasse mondiale, formés dans les universités américaines et étroitement liés à Goldman Sachs.

    « Government Sachs » : aux commandes de l’Europe ?

    La banque Goldman Sachs est surnommée aux Etats-Unis « government Sachs » tant elle est influente sur le gouvernement américain. Le secrétaire au Trésor de Clinton, Robert Rubin, qui procéda à la dérégulation financière, venait de Goldman Sachs. Tout comme le secrétaire au Trésor de Bush, Hank Paulson, qui transféra aux Etats les dettes pourries des banques, lors de la crise financière. L’actuel président de Goldman Sachs, Llyod Blankfein, aime à dire qu’il « fait le métier de Dieu ». En fait, Goldman Sachs est au cœur de la prédation financière et elle est impliquée dans de nombreux scandales financiers : celui des « subprimes », celui de la tromperie de ses clients (à qui elle recommandait d’acheter des produits financiers sur lesquels elle spéculait à la baisse), celui du maquillage des comptes grecs.

    Ce sont les hommes de Goldman Sachs qui sont aujourd’hui poussés aux commandes. Par quels moyens ? Et pour quelles fins ? Faire prendre en charge par les peuples les fautes des banques ? Faire sauver l’Amérique par les Européens ?

    Dans six mois – et sauf imprévu – les Français vont élire un nouveau président de la République : il serait prudent de leur part de demander aux trois principaux candidats (en l’état, François Hollande, Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy) de s’engager à ne pas se faire imposer comme premier ministre un… ancien de chez Goldman Sachs.

    Polémia.
    10/11/2011
    (Source : Wikipedia)

    Voir aussi :

    L'Arnaque : La finance au-dessus des lois et des règles de Jean de Maillard (première partie)
    L'Idéologie de la superclasse mondiale (1re partie)
    Les non-dits de la crise économique et financière
    Le pouvoir financier au coeur de la crise de 2008 : Les analyses prophétiques de Maurice Allais

    Image : Le gouverneur de la Banque d'Italie Mario Draghi et le président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet (ici en octobre 2009).

     

  • Propagande métisseuse: le Secours catholique n'est pas en reste...

    http://www.contre-info.com/propagande-metisseuse-le-secours-catholique-nest-pas-en-reste#more-16211

     

    Voici les trois affiches de la campagne publicitaire que lance le Secours « Catholique »  pour récolter votre argent.

    Contre-info.com - 11/11/11

  • Karim Benzema: " Mon sang, il est algérien!"

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    10/11/2001 – 20h00
    MADRID (NOVOLyon) – L’attaquant de l’équipe de France et joueur du Real de Madrid, Karim Benzema, vient montrer une nouvelle fois son amour de l’Algérie ! Dans un entretien au magazine So Foot, dont des extraits ont été diffusés par le site musulman Oumma.com, il a déclaré sans ambages : “Mes parents sont français, nés en France, après oui, mon sang, il est algérien, voilà.”

    En décembre 2006, il avait déjà dit au micro de la radio RMC : “L’Algérie c’est le pays de mes parents, c’est dans mon coeur, mais sportivement, je jouerai en équipe de France.”

    Novopress info - 10/11/11

  • CRIF: Nicolas Sarkozy rassure Israël face à un Iran "qui le menace"

    IRIB- "La France sera toujours aux côtés d'Israël, pour s'opposer à un Iran qui le menace", a déclaré Nicolas Sarkozy au Conseil représentatif des institutions juives (Crif) et au Congrès juif mondial (CJM), a annoncé, jeudi, un communiqué du "Crif".

    Ronald S. Lauder, Président du Congrès juif mondial et Richard Prasquier, Président du "Crif", ont été reçus mercredi à l'Eysée, où ils exprimaient également au chef de l'Etat, leur inquiétude "face à l'unilatéralisme palestinien", précise le communiqué.


    http://french.irib.ir/info/international/item/152372-crif-nicolas-sarkozy-rassure-isra%C3%ABl-face-%C3%A0-un-iran-qui-menace

    ALTER INFO - 11/11/11

     


  • Forte mobilisation des catholiques à Rennes contre la pièce blasphématoire

    Compte rendu envoyé par un protestataire : Face aux blasphèmes répétés, la mobilisation ne faiblit pas, à Paris comme en province. Vendredi soir c’est à Rennes qu’environ 800 manifestants se sont rassemblés pour une marche de protestation et de réparation. Dès 19h la foule afflue sur la Place de Bretagne où rendez-vous a été donné par l’Institut Civitas. Après un discours dynamique d’Alain Escada rappelant la raison de la mobilisation, le cortège s’est ébranlé pour rejoindre le Théâtre National de Bretagne où était jouée la pièce blasphématoire de Castelluci. Banderoles et drapeaux en tête, la marche s’écoule solennellement, les chants et prières étant parfois entrecoupés de slogans de protestation. Arrivés à 100 mètres du théâtre, les manifestants sont bloqués par la police à l’aide de grandes grilles bloquant tout le quartier.

     

    L’Abbé de Cacqueray, supérieur du district de France de la Fraternité St Pie X, prend alors le micro. Ses mots pleins d’indignation résonnent dans toute l’avenue sous les applaudissements de la foule. Puis chacun s’agenouille pour réciter le chapelet sous les yeux des policiers. C’est le moment que choisit une centaine de militants d’extrême-gauche pour faire son apparition en queue de cortège et hurler ses slogans antifascistes et antichrétiens. Tenus à distance par un un cordon de policiers, il repartiront une demi-heure après. Le cortège rejoindra ensuite son point de départ avant de se disperser dans le calme.


    Merci Philou

    Contre-info.com - 11/11/11

  • Le 11 Novembre est une journée du souvenir, fondement du patrimoine, c'est aussi une date de notre Histoire

     

    Libres propos de Françoise Buyrebaud

    A nos arrière grands pères, grands oncles, ou grands pères et grands oncles pris dans la tourmente de Verdun, du Chemin des Dames, de la bataille de la Marne, à leurs lettres qui attendent encore, serrées d’un ruban, dans nos tiroirs, nous devons plus qu’un souvenir de pitié et de piété pour ce qu’ils ont enduré, surmonté, ce qu’ils nous ont donné ; à ces photos pâlies qui en témoignent, nous devons plus qu’un geste de respect : en parler toujours et encore, afin que l’oubli ne tue pas ceux qui sont revenus autant que ceux qui sont tombés. Envers ces femmes qui attendaient ces lettres, en ville ou à la campagne, et que leurs pas portaient, à l’heure de l’affichage, vers les listes de tués ou disparus, nous avons le même devoir.

    Car la mort n’existe que lorsque tout récit s’est éteint, lorsque l’oubli efface définitivement tout souvenir, toute image, toute connaissance, racines délitées qui ne lanceront plus aucune pousse vers la lumière et la vie .

    N’oublions pas ces « cibles prédestinées », les écrivains Alain Fournier, fauché le 22 septembre 1914 à vingt neuf ans
    Charles Péguy, tombé le 5 septembre 1914 à plus de quarante ans
    Augustin Cochin, historien de la Révolution française, né en 1876, tué le 8 juillet 1916
    Guillaume Appolinaire, mort de ses blessures le 8 novembre 1918


    N’oublions pas non plus les survivants et témoins Roland Dorgelès, Georges Bernanos, réservistes volontaires pour le front,comme le pacifiste Henri Barbusse, Drieu la Rochelle retournant au front après chaque blessure ; les compositeurs Maurice Ravel, réformé et enfin accepté comme brancardier, et Claude Debussy (Claude de France !) mort en mars 1918, profondément éprouvé par ces années.

    Nations Presse Info

  • Le meurtrier de la petite Océane a été incarcéré

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    Au centre, Jimmy et Michaëla Luna, les parents d'Océane - (Cliquez sur la photo)

    Depuis hier, Océane est enterrée et son meurtrier présumé dort en prison. Dans la soirée, Nicolas B. a été mis en examen pour « meurtre sur mineur de 15 ans précédé ou suivi de viol » puis incarcéré. La veille, ce jeune homme de 25 ans au parcours instable avait avoué sa participation dans l’enlèvement et la mort de la fillette de 8 ans, volatilisée à deux pas de chez elle samedi soir dernier avant que sa dépouille asphyxiée et poignardée ne soit découverte le lendemain.

    Mercredi soir, alors qu’il était en garde à vue, ce père de 3 enfants a tenté de se suicider en se pendant avec son tee-shirt. « Ce geste trahit sa fébrilité », analyse son avocat, Me Jean-François Corral, qui souligne combien la reddition volontaire de son client prouve son « humanité » : « Il ne supportait plus ce qu’il avait fait, il fallait qu’il paie », ajoute Me Corral.

     

    Nicolas a poursuivi hier ses aveux. Ainsi, samedi après-midi, comme il en avait la malheureuse habitude, l’ancien boucher s’est fortement alcoolisé à Nîmes. Au lieu de rentrer directement chez lui — une modeste maison du centre-ville de Bellegarde qu’il partage avec sa compagne, mère de ses deux derniers enfants —, il décide de se rendre chez un ami. Cet homme n’est autre que celui chez lequel se rend justement Océane, à la demande de son père, pour récupérer des jeux vidéo. Nicolas croise la petite fille et parvient sans difficulté à la faire monter dans sa voiture. Elle le connaît car il s’est déjà rendu chez ses parents.

    Peu d’habitants le connaissaient

    Là, au lieu de se rendre chez l’ami en question, Nicolas décide de prendre une autre direction et de commettre l’irréparable. Selon ses dires, l’enchaînement des faits — les caresses intimes, l’asphyxie et les coups de couteau — se serait déroulé à la sortie du village, là où le corps sera découvert. Grâce à ses indications, les gendarmes y ont retrouvé hier l’arme utilisée pour poignarder la fillette à quatre reprises : un canif que l’intérimaire transportait dans sa voiture. A Bellegarde, le soulagement de l’arrestation n’a pas effacé la colère, ni l’incompréhension.

    Peu d’habitants connaissaient Nicolas, ses cheveux blonds coupés ras, sa maigreur et son teint très pâle. Ses voisins décrivent un garçon « très nerveux », mais n’imaginaient pas que ce « bon père de famille » puisse commettre un tel acte. Les riverains se souviennent surtout des innombrables disputes qui émaillaient la vie du couple. « Ça criait beaucoup à l’intérieur », indique une jeune fille. Hier midi, sa compagne est revenue dans la maison, protégée par les gendarmes, pour une perquisition.

    Le Parisien - 11/11/11

     

  • Philippe Pétain, maréchal de France, vainqueur de Verdun

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    Le Maréchal Pétain entrant dans le salle du tribunal le 23 juillet 1945. Il est âgé de 89 ans.

     

    UN PROCES INIQUE

    Accusé, levez-vous ! »

    L’insultante injonction ne figure pas dans la sténographie des débats ; elle a cependant été prononcée, le 23 juillet 1945, par le président Mongibeaux à l’adresse du maréchal de France Philippe Pétain, comparaissant devant la prétendue haute cour de justice. À son entrée, toute la salle s’est spontanément levée, subjuguée. Celui dont « la bonté, la noblesse et la gloire dominent ce siècle de voleurs, de menteurs, de tueurs et de parasites » (Georges de Nantes), sait ce qui l’attend. Il a confié avant l’ouverture des séances au chanoine Potevin :

    « Maintenant que mon sacrifice est consommé, ils pourront dire ou faire ce qu’ils voudront. Que m’importe. »

    « Quels sont vos nom, prénom, âge et qualité ?

    – Pétain, Philippe, maréchal de France. »

    Il n’a pas dit son âge : quatre-vingt-neuf ans. Mais en cinq mots, tout est dit.

    Source http://www.crc-resurrection.org/Restauration_nationale/Histoire_France/Vichy_8-Proces-du-Marechal-Petain.php

    10/11/11

  • Elections du premier parlement juif européen: la participation dépasse les prévisions

     
     
     

    Elections du premier parlement juif européen : la participation dépasse nettement les prévisions, selon les organisateurs

     par: EJP  

      BRUXELLES (EJP)--- Plus de 170.000 personnes ont voté jusqu'à présent dans 54 pays européens pour élire les 120 membres du premier Parlement juif européen, a annoncé dimanche l’Union juive européenne (European Jewish Union, EJU).

    Ce chiffre, dit l’organisation, "dépasse nettement les prévisions les plus optimistes."

    Le processus électoral, qui a débuté le 15 août, se terminera le 15 décembre.

    Le nouveau parlement, qui sera basé à proximité du siège du Parlement européen à Bruxelles, vise à "rassembler et coordonner les voix des nombreuses communautés juives et des individus en Europe de l'ouest, centrale et orientale."

    Pour, la première fois, indique EJU, les candidats à ces élections "ne sont pas des organisations, ou d'autres formes d'institutions juives, mais des personnes venant d'horizons différents."

    Les Juifs dans toute l'Europe ont la possibilité d'être élus ou d’élire leurs représentants au Parlement juif européen "indépendamment de leur affiliation politique, religieuse ou communautaire».

    Le vote direct via l’internet et les médias sociaux "devrait révolutionner le niveau d'implication et l'engagement des Juifs d'Europe".

    "Jusqu'à présent, les représentants d’organisations et non des membres du grand public ont été élus aux organes paneuropéens favorisant ainsi l’agenda de l'organisation et pas nécessairement celui de l'ensemble de la population juive d'Europe", dit l'organisation basée à Londres.

    Les noms d'un certain nombre de candidats qui n'ont pas souhaité figurer sur la liste électorale malgré le fait qu’ils aient été suggérés par d’autres, ont été enlevés, souligne l’UEJ, dans une réponse à une demande exprimée par plusieurs de ces candidats.

    L'idée originale d'établir un parlement juif européen revient au président israélien Shimon Peres qui avait prédit le succès de cette nouvelle structure.

    L'Union juive européenne (EJU), qui a initié la création du Parlement européen juif, a été fondée en avril 2011 avec à sa tête l’homme d’affaires et philanthrope ukrainien Igor Kolomoisky, élu président pour un mandat de cinq ans.

    10/11/11

  • Un millier de catholiques manifestent à Rennes contre la pièce de Castellucci

    Lire l'article: http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Theatre-sous-haute-tension-a-Rennes-les-integristes-repartent-vers-la-place-de-Bretagne-[Direct]_6346-2009914-fils-tous_filDMA.Htm

    + vidéos

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    10/11/11

  • Le patron de France-Soir, Alexandre Pougachev, va voter Marine Le Pen !

    10/11/11

  • Kosovo: fusillade meurtrière à Mitrovica

    Une fusillade entre Serbes et Albanophones a fait grimper la tension au Kosovo. Un Serbe a été tué et deux autres blessés à Mitrovica.

    La fusillade s’est produite en banlieue, dans un quartier à population mixte.

    La police ne sait pas s’il s’agit d’un incident inter-ethnique. Mitrovica est divisée entre une minorité serbe et une majorité albanophone.

    Le gouvernement kosovar a condamné cette violence et appelé “au calme”.

    Mais le maire de la partie serbe de Mitrovica, Krstimir Pantic, s’est enflammé:

    “Je ne sais pas qui a tiré, mais je suis convaincu qu’ils étaient Albanais, je ne sais pas s’ils appartiennent aux unités spéciales de la police du Kosovo ou si ce sont des Albanais ordinaires, mais je sais que ce sont des terroristes. Ces gens ne devraient pas se balader dans les rues, ils ne devraient même pas être en prison mais dans une cage.”

    Pristina, qui craint que cet incident ne déclenche une nouvelle flambée de violences dans le nord, aux postes-frontières avec la Serbie, a déjà annoncé qu’un suspect avait été arrêté.

    euronews - 10/11/11