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Blog - Page 1328

  • 11 Novembre: la mémoire de la France est davantage à Verdun qu'à Auschwitz. Par Jean-Yves Le Gallou

    L’évocation d’Auschwitz est omniprésente : dans les programmes de l’Education nationale comme dans les séries télévisées et les films de fiction. Mais l’hypermnésie de certains événements peut conduire à la négation du souvenir des autres. Or le souvenir français, tel qu’il a été charnellement vécu par les familles françaises, se trouve plus souvent sur les champs de bataille que dans les camps de concentration. A Verdun ou à Saumur plutôt qu’à Auschwitz.

    Explications :

    Le ministre de l’Education nationale a choisi symboliquement le jour de la rentrée scolaire, le 1er septembre 2011, pour recevoir Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), et le cinéaste Claude Lanzmann, auteur du film Shoah. Luc Chatel leur a redit solennellement l’importance primordiale qu’il accordait à l’enseignement de la « Shoah », une importance telle qu’elle justifie d’ailleurs l’existence d’un site officiel dédié sur le portail de l’Education nationale.

    La persécution dont les juifs ont été victimes durant la seconde guerre mondiale est naturellement un élément central de la mémoire juive. Et les souffrances des juifs français sont bien évidemment un élément important de la mémoire française. Nul ne peut oublier le souvenir de nos 25.000 compatriotes juifs français (et des 50.000 juifs étrangers présents en France) déportés dans les camps de concentration dont bien peu eurent, comme Simone Veil, la chance de revenir en France.

    Hypermnésie de certaines souffrances, amnésie des autres

    Mais ces souffrances-là ne doivent pas conduire à nier ou à minimiser les autres drames français. Or, l’hypermnésie de la souffrance des uns conduit souvent à l’amnésie de la souffrance des autres. A-t-on le droit d’oublier (chiffres donnés par Jacques Dupâquier dans Histoire de la population française) :

    • - les 123.000 militaires tués en 1939/1940 ; dans la bataille de France, en ce printemps 1940, c’est 3.000 hommes qui sont tombés chaque jour, le plus souvent en combattant, à l’instar des Cadets de Saumur ; – les 45.000 prisonniers de guerre qui ne revinrent jamais ;
    • - les 20.000 tués des FFI et des FFL ;
    • - les 27.000 résistants morts en déportation ;
    • - les 43.000 morts de l’armée de la Libération ;
    • - les 40.000 requis morts en Allemagne ;
    • - les 125.000 victimes des bombardements aériens (pas toujours justifiés militairement) et terrestres.

    Oublier ces victimes, ce n’est pas seulement un déni de compassion, c’est les tuer une deuxième fois ; c’est aussi trahir la vérité historique.

    Ce qui compte dans la mémoire d’un peuple c’est ce que ses ancêtres ont charnellement vécu

    Et pourtant ces victimes furent honorées dans l’immédiat après–guerre : par les timbres-postes, les noms de rue, les livres, les films, les disques, et ce jusqu’au début des années 1970, avant de disparaître dans l’obligation de repentance et l’oubli officiel. Pourtant ces victimes-là sont encore très présentes dans la mémoire française : parce que, les événements qui ont provoqué leur mort, ceux qui ont survécu les ont aussi connus et pas seulement au… cinéma. Or ce qui se transmet dans la mémoire des familles et des lignées, c’est ce que les ancêtres ont vécu. La patrie, c’est la terre des pères.

    Français de souche ? Avoir son patronyme inscrit sur un monument aux morts

    11 novembre : La mémoire de la France est davantage à Verdun qu'à Auschwitz

    Monument aux morts d’un village en Charente limousine, 540 habitants, 23 noms « Morts pour la France ».

    C’est pourquoi dans chaque famille française la mémoire de 1914 est si vive. Chaque famille conserve le souvenir des 1.400.000 morts de la Grande Ordalie : 1.000 morts par jour pendant quatre longues années. Et les Français vivants ont tous un père, un grand-père, un arrière-grand-père ou un trisaïeul qui a combattu à Verdun. Dans cette guerre civile européenne, c’est le sang gaulois qui a coulé. La présence dans nos villes et nos villages des monuments aux morts est infiniment poignante.

    Réfléchissons un instant à ce qu’est un Français de souche : un Français de souche, c’est un Français dont le patronyme est inscrit sur l’un de nos monuments aux morts.

    Un Français de souche, c’est un Français qui a dans ses archives familiales les lettres ou les carnets d’un ancêtre qui raconte avec des mots simples le quotidien de la Grande Guerre. Alors qu’approche le centenaire du 2 août 1914, ces écrits simples, précis et sans emphase, trouvent le chemin de l’édition : pieuses autoéditions familiales ou publication chez de grands éditeurs comme le carnet de route du sous-lieutenant Porchon (1). N’oublions pas non plus le succès du Monument, livre de Claude Duneton, qui raconte la vie des hommes dont les noms sont inscrits sur le monument aux morts d’un village du Limousin. Comme le dit un lecteur sur le site d’Amazon : « Vous ne traverserez plus jamais un petit village de France sans chercher des yeux son monument aux morts et avoir une pensée émue pour ces hommes dont le nom est gravé. Quels auraient été leurs destins et celui de leurs villages sans cette guerre ? Un livre à lire et à faire lire pour ne pas oublier. »

    Reprendre le fil du temps dans la fidélité à la longue mémoire

    Le siècle de 1914 s’achève : après avoir vu disparaître le fascisme, le national-socialisme, le communisme, c’est le libre-échangisme mondialiste qui s’effondre sous nos yeux. Le centenaire de 1914 approche, et il sera, n’en doutons pas, profondément commémoré. Pour la France et l’Europe le moment est venu de reprendre le fil du temps et de la tradition. Un fil du temps interrompu il y a un siècle. Un fil du temps à reprendre dans la fidélité à la longue mémoire.

    Jean-Yves Le Gallou
    7/11/2011

    (1) La précision de ces textes est admirable. J’ai eu la surprise de lire la narration des mêmes événements – attaques et contre-attaques aux Eparges en janvier/février 1915 – dans trois textes différents :
    - Carnet de route du sous-lieutenant Porchon, saint-cyrien, chef de section, tué au combat, commandant la section voisine de celle du sous-lieutenant Genevoix ;
    - Ceux de 14, admirable somme de Maurice Genevoix, blessé au combat ;
    - Mémoires d’Auguste Finet, mon grand-père, simple soldat, sorti de l’école à onze ans et écrivant bien le français, blessé au combat.
    Ce sont les mêmes faits qui sont précisément décrits, presque avec les mêmes mots. A cet égard la belle reconstruction littéraire de Maurice Genevoix est d’une fidélité parfaite aux événements.
    Source : Polémia.

    Voir aussi :

    - Austerlitz : de la repentance à l’autoflagellation
    -
    Mémoire de la « Shoah », mémoire française et politique d’immigration
    -
    Contre l’historiquement correct
    -
    Entretien avec Dominique Venner, « Le Choc de l’Histoire. Religion, mémoire,identité » Propos recueillis par Laure d’Estrée
    - « Le Siècle de 1914 / Utopies, guerres et révolutions en Europe au XXe siècle » par Dominique Venner

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Vols de Drouot: 6000 objets dérobés visibles sur Internet

    Afin d'identifier les victimes, un site Internet publie les photos de 6000 objets retrouvés lors des perquisitions dans les containers de l'hôtel des ventes Drouot. Ce site est consultable jusqu'au 28 février 2012.

     

    Un avis de recherche a été lancé par l'Office central contre le trafic des biens culturels sur Internet, pour ce tableau (ref: Drouot -027-35) volé à Drouot .(OCBC)
    Un avis de recherche a été lancé par l'Office central contre le trafic des biens culturels sur Internet, pour ce tableau (ref: Drouot -027-35) volé à Drouot .(OCBC)

     

    C'est un catalogue d'objets d'art volés, mais on ne sait pas à qui. Tableaux de Matisse, Chagall, Gauguin, Picasso, sculptures, bronzes, statuettes d'Art primitif, photos de famille, argenterie, vins fins, jouets anciens… Soit l'inventaire de 6000 pièces dérobées par les manutentionnaires de l'hôtel des ventes parisien Drouot. Les fameux «Cols Rouges» ou «Savoyards».

    Le trafic a été mis au jour en décembre 2009. Depuis, 147 perquisitions ont été menées. Mis sous scellés, tous les objets - représentant un volume de 250 tonnes - sont désormais stockés sous bonne garde dans un entrepôt, quelque part en France. Or, la plupart de ces pièces ne sont pas encore identifiées.

    Afin de retrouver les victimes, le juge d'instruction Alain Philibeaux, en charge du dossier, a ordonné l'ouverture d'un site (www.avisderecherches.interieur.gouv.fr) avec la photo de tous les objets retrouvés, quelle que soit leur valeur. «On a publié des objets retrouvés ensemble, afin de pouvoir remonter jusqu'à une maison de vente. Cela facilite aussi le travail de reconnaissance des victimes. Ce sont des personnes qui ont confié leurs objets bien souvent dans le cadre de successions, et qui tombent des nues», affirme le colonel Stéphane Gauffeny, chef de l'Office central des lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC).

    La méthode est exceptionnelle. «Normalement, on garde la maîtrise des photographies, en demandant aux gens de venir nous voir. Mais là, il s'agit de ventes de la France entière», souligne le colonel Gauffeny. Depuis son ouverture, le 9 novembre, le site a déjà abouti à deux appels positifs. Il est consultable jusqu'au 28 février 2012.

    Le Figaro - 10/11/11

  • Océane: le meurtrier présumé connaissait la famille - Il a tenté de se suicider

    Le jour de la mort de la petite fille, Nicolas B. avait beaucoup bu et dormi dans sa voiture.

    Profil étrange que celui de cet homme de 25 ans, prénommé Nicolas, confondu par son ADN et ses aveux dans le meurtre d'Océane (8 ans). Habitant de Bellegarde, marié et père de trois enfants, il connaît des problèmes d'alcool et vit actuellement en concubinage avec la mère de son dernier bébé, âgé de deux mois à peine. Parfois, quand son couple bat de l'aile, il arrive à ce jeune homme surnommé «Blanco», apprenti-boucher de formation mais actuellement intérimaire dans les espaces verts, de dormir dans sa voiture.

    C'est d'ailleurs ce qui s'est produit samedi soir, jour de la mort d'Océane. Dans l'après-midi, Nicolas boit beaucoup de bière. Dans les bars de Nîmes d'abord. A Bellegarde ensuite, là encore dans sa voiture.

    «Il faut du temps pour avouer des choses horribles»

    Il dit également avoir consommé de la drogue - «Ce qui reste à démontrer», affirmait mercredi le procureur de Nîmes Robert Gelli. «Ce n'est pas un toxicomane contrairement à ce qui a pu être affirmé, dit son avocat Me Jean-François Corral. Il n'est pas alcoolique non plus mais connaît des problèmes d'alcoolisation qui ont probablement joué un rôle dans ce drame.»

    Il semble que la fillette connaissait Nicolas B. C'est peut-être ainsi qu'il l'a attirée aisément. «C'était une connaissance de la famille, mais pas un ami. Je lui demandé à nouveau ce matin, il n'a jamais ni mangé, ni dormi chez les parents d'Océane», explique au Figaro son avocat, Me Jean-François Corral. Comme l'avait affirmé le voisin des parents d'Océane : «La fillette n'était pas du genre à parler au premier venu.»

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, probablement pris de remords dans sa cellule de garde à vue, Nicolas B. a tenté de se suicider en se pendant avec son blouson. «Il est horrifié par ce qui s'est passé», poursuit son avocat. «Blanco» devrait être aujourd'hui mis en examen par un juge d'instruction nîmois pour le meurtre d'Océane. «Sa volonté est de faire progresser la connaissance de la vérité, affirme Me Corral. Son cas l'intéresse assez peu. Il essaie de reconstituer le fil des événements pour aider les enquêteurs mais consciemment ou inconsciemment, il faut peut-être du temps pour avouer des choses horribles».

    Le Figaro - 10/11/111

  • Les textos gênants de DSK: des noms de politiques cités (affaire du Carlton à Lille)

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    Les enquêteurs lillois dans l'affaire Carlton n'ont pas fini de faire des découvertes surprenantes. Dernière en date, les nombreux textos qu'aurait envoyé Dominique Strauss-Kahn à Fabrice Paszkowski, un chef d'entreprise du Pas-de-Calais, entre 2009 et 2011. Selon «Libération», l'entrepreneur nordiste dans le paramédical, mis en examen et écroué dans l'affaire de proxénétisme du Carlton, serait devenu un proche de l'ancien directeur du FMI en 2004.

     

    Le simple militant socialiste est soupçonné d'être l'organisateur de parties fines tarifées pour DSK à Paris et Washington, et d'avoir financé une partie des frais sur les comptes de son entreprise.

    Les deux hommes ont beaucoup correspondu. Toujours selon le quotidien, les enquêteurs auraient trouvé une série de SMS envoyés par DSK à M. Paszkowski en 2009. Il y est question de l'organisation de soirée spéciales. «J'emmène une petite faire les boîtes de Vienne le jeudi 14 mai. Ça te dit de venir avec une demoiselle ?», aurait ainsi écrit DSK. Autre proposition en juillet, «Veux-tu (peux-tu) venir découvrir une magnifique boîte coquine à Madrid avec moi et du matériel ?». Les réponses du chef d'entreprise ont par contre été effacées.

    Des noms de politiques cités dans plusieurs textos

    Selon Le Point, Fabrice Paszkowski a même fourni un autre portable aux enquêteurs. Celui qu'il aurait égaré lors d'une partie fine organisée à l'hôtel Murano à Paris en février 2011. Récupéré puis utilisé par DSK durant trois mois, il contient des messages tout aussi explicites. «Tu viens accompagné à Washington ?» écrit-il le 6 mai 2011. La réponse de l'entrepreneur est encore effacée. «Je la connais ?» insiste l'ancien patron du FMI. Sur le procès verbal de son audition, M. Paszkowski affirme n'avoir récupéré son portable que le 13 mai 2011 à Washington lors d'un autre rendez-vous coquin organisé outre-atlantique.

    Plus surprenant encore, «Libération» révèle que des messages n'ayant aucun lien avec l'organisation de ces soirées, prouveraient que DSK a cherché à mettre en relation l'entrepreneur avec au moins trois de ses amis politiques. Les noms de Martine Aubry, de «Mosco» qui pourrait désigner Pierre Moscovici et de Jean-Marie Le Guen apparaissent dans des messages plus que mystérieux. Exemple le 30 juin 2009, un SMS de DSK laisse perplexe, «Appelle Christophe Borgel, explique lui et demande lui qui tu peux appeler chez Aubry». Des messages qui tendent à prouver que le modeste homme d'affaires était bien en relation avec le milieu politique.

     Le 19 janvier 2010, un dernier SMS de DSK est même surréaliste, «Ok, il faut qu'il prenne contact avec Gerry Rice qui est prévenu.» M. Rice n'est autre qu'un des porte-parole du FMI.  

    Le Parisien - 10/11/11

  • Les crimes de l'Epuration en 1944

    Lire et voir les photos: http://www.propagandes.info/ext.php?id=1635&url=http%3A%2F%2Fkonigsberg.centerblog.net%2F610-L-epuration-en-1944-par-orduriere-gaulliste-etamp%3B-communiste

    10/11/11

  • Législatives: Marion Maréchal-Le Pen sera-t-elle candidate à Carpentras ?

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    Marion Maréchal-Le Pen, 21 ans, fille de Yann Le Pen et de Samuel Maréchal, nièce de Marine, se lance à son tour en politique.

    Elle occupait déjà la deuxième position sur la liste départementale du FN dans les Yvelines, à l'occasion des élections régionales de 2010. Mais c'est dans le Vaucluse que cette étudiante à Paris II-Assas, en Droit, pourrait faire son véritable baptême du feu électoral, à l'occasion des législatives de l'an prochain.

    Elle brigue la 3e circonscription

    Plus précisément dans la 3e circonscription, qui couvre une bonne partie de Carpentras. Une ville hautement symbolique pour le Front national, qui y avait été vilipendé en 1990 par tout ce que la gauche comptait de ténors suite à la profanation du cimetière juif, commise par de jeunes néonazis sans lien avec le parti frontiste.

    "C'est une ville où nous avons été insultés et victimes d'une manipulation honteuse, soulignait encore récemment Jean-Marie Le Pen lui-même à l'occasion d'un passage à Carpentras. Nous en ferons une élection emblématique". D'autant que l'un des deux seuls conseillers généraux FN élus en France lors des dernières cantonales l'a été précisément dans le canton Carpentras Nord.

    "Une surprise" annoncée par Jean-Marie Le Pen

    Jean-Marie Le Pen annonçait voici un mois "une surprise", en laissant entendre que le Front national allait présenter dans la 3e circonscription du Vaucluse une femme... Il n'en fallait pas plus pour que le microcosme politique se mette à cogiter sévère et que nombre d'observateurs aboutissent à la conclusion que la "franchise Le Pen" sautera sur Carpentras en la personne de Marion, petite-fille de para qui ne manquerait pas de se faire traiter de parachutée.

    Du côté du bureau politique du Front national on ne confirme ni ne dément. Bruno Bilde, qui préside la commission d'investiture, se contentait hier d'assurer que le cas de la 3e circonscription du Vaucluse - qu'il qualifie de "très bonne électoralement" - n'a pas encore été étudié. Difficile à croire connaissant les scores impressionnants qu'y enregistre le FN élection après élection. D'ailleurs, de certains militants énervés par ce parfum de "préférence familiale" jusqu'au député UMP sortant, ils sont nombreux à être d'ores et déjà convaincus que c'est bel et bien Marion qui montera au Front.

      Joël RUMELLO et Martine QUINETTE

    La Provence - 09/11/11

  • Marine Le Pen invitée du 22h sur Public Sénat

    Lien: Marine Le Pen 22h Public Sénat

    Marine Le Pen, candidate pour la défense de la France et de tous les Français à l’élection présidentielle de 2012, est l’invitée de l’émission 22h présentée par Sonia Mabrouk sur la chaîne Public Sénat.

    09/11/11

  • Plan d'austérité - Sondages de BFM TV

     

    Les questions BFM TV

    (Cliquez sur l'infographie pour l'agrandir)

    BFM TV réalise quotidiennement des sondages en ligne relayé par la télévision et internet. Les deux derniers sondages réalisés auprès de plus de 6.000 votants sont révélateurs d’une ambiance politique.

    A la question du 8 novembre : « Pensez-vous que les mesures annoncées par François Fillon (TVA, crédit d’impôt, aides sociales) vont affecter votre pouvoir d’achat ? »

    80 % de votant répondent oui et 20 % pour qui le pouvoir d’achat ne sera pas atteint !

    A une deuxième question : « Les mesures du nouveau plan de rigueur présenté par François Fillon vous paraissent-elles justes ? »

    73 % des votants ont une excellente compréhension des conséquences qu’engendre de telles mesures, elles sont perçues comme injustes quant à l’opposé, 27 % les considèrent comme justes.

    NPI - 09/11/11

  • Nucléaire de l'AIEA: un rapport aussi partial que partiel - Campagne d'intoxication orchestrée contre l'Iran

     
    Nucléaire iranien: un rapport aussi partial que partiel !
    IRIB- C’est le Directeur général de l’Agence internationale de l’Energie atomique, Yukiya Amano, qui sera responsable des retombées de cette énorme erreur historique et de son approche, totalement, politique, vis-à-vis du programme nucléaire civil iranien.
     
     En réaction au nouveau rapport de Yukiya Amano, publié, mercredi soir, le représentant permanent iranien, auprès de l’AIEA, Ali-Asghar Soltaniyeh, a déclaré que Yukiya Amano, en distillant son venin, ne fait que mettre face à face les membres de l’Agence et le secrétariat, et que c’est sur lui, lui seul, que retombera la responsabilité de cette grave erreur.
     
     "Ce rapport n’est ni équilibré ni professionnel, c’est un texte politique", a souligné Ali-Asghar Soltaniyeh, avant d’ajouter que, malgré les avertissements lancés par les Non-alignés, la Russie et la Chine, Yukiya Amano s’entête à exprimer ses propres points de vue personnels. Son rapport ne contient aucune nouveauté; il ne fait que répéter des allégations et des comptes-rendus, totalement, obsolètes, sans preuves, ni documents fiables. Ce que l’Iran a rejeté en 117 pages documentés. Tandis que le dernier rapport en date de l’Agence est, sous plusieurs aspects, ni équilibré, ni professionnel, il a été élaboré sous les pressions américaines avec des motifs politiques. Cela va sans dire que le rapport de Yukiya Amano est très loin de son processus ordinaire et tout montre que le directeur général de l’Agence a préféré mettre tout simplement de côté les démarches et les enquêtes techniques concernant les activités liées au programme nucléaire iranien. De surcroît, il a mis les documents concernant de prétendues enquêtes à la disposition des cinq pays détenteurs d’armes nucléaires, membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU, avant la publication du rapport, ce qui constitue une infraction à l’esprit même du statut de l’Agence, qui aurait dû traiter sur le même pied d'égalité tous les pays. De simples informations mises à la disposition de l’Agence, par un ou plusieurs pays, comment pourraient-elles confirmer la véracité des prétentions de dérive militaire d’un programme nucléaire.
     
    Ce, alors qu’après 4.000 inspections des installations atomiques de l’Iran, le directeur général de l’Agence n’a pu trouver ne serait-ce qu'un epsilon de la matière qu’il prétend être utilisée à des visés militaires, d’autant plus qu’il a lui-même reconnu que les accusations portées contre l’Iran ne sont pas prouvées. Or, il faudra attendre la prise de position de la Russie et de la Chine, qui avaient, auparavant, mis en garde Yukiya Amano contre son rapport anti-iranien. Le processus du rapport montre comment les Etats-Unis ont instrumentalisé le directeur général de l’Agence, dans le sens de leurs propres visées tendancieuses et politiques, à l’encontre de l’Iran. En vérité, sous pression des Etats-Unis et du Conseil de sécurité, l’Agence s’est empêtrée dans un jeu politique, dont l’adoption, par le Conseil de sécurité, de 4 résolutions anti-iraniennes stipulant des régimes de sanctions injustes et illégales.
     
     Et ce, alors que l’Iran a, à maintes et maintes reprises, annoncé la nature civile de son programme nucléaire, ne cherchant, nullement, à se doter de la bombe H. Dans l’optique de l’Iran, qui s’appuie sur ses préceptes religieux, l’arme nucléaire est inhumaine.
     
     
    IRIB - 09/11/11
     
     

  • 10 commandants US seront tués en cas d'assassinat d'un officier iranien

     
    10 commandants US seront tués, en cas d’assassinat d’un officier iranien

    IRIB- Dix officiers américains seront tués, en Irak et en Afghanistan, si les Etats-Unis tuent un officier iranien, a menacé un haut gradé, en Iran, en réponse à une proposition d’assassinat de responsables militaires iraniens, suggérée, par des experts américains, selon l’agence Fars.

    «Une poignée de dirigeants américains sans cervelle, qui semblent être atteints par la maladie d’Alzheimer, menacent d’assassiner les commandants des Gardiens de la Révolution», a affirmé le général Amir Ali Hadjizadeh, Commandant de la force aérospatiale des Gardiens de la révolution, cité, mardi, par Fars.

     
     «Vous ne devez pas oublier que les commandants américains se trouvent en Afghanistan, en Irak et dans les autres pays de la région. Si vous tuez l’un des nôtres, nous tuerons dix des vôtres», a-t-il ajouté.
     
    Des experts militaires américains avaient affirmé, fin octobre, lors d’une audition, au Congrès américain, que les Etats-Unis devraient assassiner des commandants des Gardiens de la Révolution. «Pourquoi ne pas les tuer? Ces gens ont tué près d’un millier des nôtres. Pourquoi ne les assassinons-nous pas? Je ne suggère pas une action militaire, je suggère des opérations clandestines», a déclaré Jack Keane, ancien chef d’état-major de l’armée de terre américaine.
     
     
    IRIB - 09/11/11
     
     
  • Scandale "islamophobe" en Suède: une contrôleuse demande son billet à un voyageur musulman

    09/11/11 – 08h00
    STOCKHOLM (NOVOpress) -
    La dernière abomination islamophobe a eu lieu en Suède et a bouleversé les musulmans dans toute l’Europe. Des sites comme « Islamophobia Watch »  et « Islam in Europe. The premier source for news about the Muslim community in Europe »  s’en sont immédiatement fait l’écho, sous le titre terrifiant « Un musulman jeté hors d’un train pour avoir prié ».

    Figurez-vous qu’un « pieux musulman » qui retournait en train de Stockholm jusqu’à Flen (dans la banlieue de la capitale suédoise), où il réside, « a eu besoin d’accomplir certaines de ses prières quotidiennes. Pour ne pas déranger ses compagnons de voyage, il s’est rendu dans un compartiment calme et isolé, comme il l’avait déjà fait plusieurs fois dans le passé ».

    C’est alors que l’horreur a commencé. Comme l’a raconté notre dévot au site d’information suédois Nyheter24, « J’ai commencé à prier mais la contrôleuse est arrivée et m’a poussé trois fois dans le dos. Elle a failli me culbuter. Puis elle m’a dit : “Montrez-moi votre billet !” ». Le musulman a refusé de montrer son titre de transport « car il estimait qu’il ne pouvait pas interrompre ses prières une fois qu’il les avait commencées ».

    On l’a alors averti qu’il aurait à descendre du train à la station suivante et, comme il refusait, les contrôleurs ont appelé la police. Le musulman a finalement dû retourner à Stockholm et « pour ne pas être contraint d’errer dans les rues de la capitale, il s’est rendu dans une mosquée où il a passé la nuit ».

    Le musulman s’est plaint auprès du service clientèle des Chemins de fer suédois, qui lui ont envoyé en dédommagement un bon de transport de 1.000 couronnes (environ 100 euros). Il n’entend pourtant pas en rester là et a dénoncé les Chemins de fer à l’équivalent suédois de la Halde, les Diskrimineringsombudsmannen, une agence gouvernementale qui emploie 90 personnes pour lutter contre toutes les formes de discrimination.

    La ville de Flen comprend une importante communauté musulmane, qui a récemment pu transformer en mosquée une ancienne église chrétienne (pentecôtiste), les pentecôtistes ayant voulu ainsi « montrer leur amour chrétien vis-à-vis des musulmans ». Une vidéo en arabe montre la transformation et souligne, sur fond de prière du muezzin, la disparition de la croix qui ornait auparavant la façade.

  • Paris exige des sanctions "dures" contre l'Iran, d'une ampleur sans précédent

    Le chef de la diplomatie Alain Juppé plaide pour une saisine du Conseil de sécurité de l'ONU au sujet de l'Iran, au lendemain de la publication d'un rapport inquiétant sur son programme nucléaire.

    Pour éviter que la région bascule dans une confrontation armée après la publication d'un rapport alarmant de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) sur le programme nucléaire iranien, la communauté internationale n'a de cesse de durcir sa position à l'égard de Téhéran. En France, le ministre des Affaires étrangères considère qu'une saisine du Conseil de sécurité de l'ONU «s'impose».

    «Nous sommes décidés à réagir» face à cette situation «inacceptable», a dit mercredi le chef de la diplomatie, en précisant que «la France est prête avec ceux qui le voudront à aller beaucoup plus loin dans des sanctions (…) pour faire plier l'Iran». «La France considère qu'il faut franchir un palier dans le renforcement de la pression diplomatique sur l'Iran», a-t-il insisté dans un communiqué, se disant prêt à adopter «des sanctions dures (...), d'une ampleur sans précédent». Objectif de Paris : empêcher Téhéran «de continuer à se procurer des ressources lui permettant de poursuivre ses activités en violation de toutes les règles internationales».

    «Nous pouvons aller encore beaucoup plus loin»

    Depuis 2007, l'ONU a déjà infligé à l'Iran quatre séries de sanctions économiques et financières. Les Occidentaux, Américains en tête, ont en outre pris des mesures bien plus sévères que celles décidées par les Nations unies. Est-il encore possible d'aller plus loin ? «Sur les plans économiques, technologiques, industriels, nous pouvons aller encore beaucoup plus loin sans recourir à une solution de force», a assuré mercredi le ministre de la Défense Gérard Longuet. Selon lui, il faut «mobiliser les grands pays et en particulier convaincre Chine et Russie qui font cavaliers seuls qu'il est absolument indispensable de faire pression sur l'Iran pour que ce pays ne suive pas dans la voie de la dissémination nucléaire», ce qui «serait une catastrophe» pour l'humanité. Le ministre a jouté que la voie de frappes militaires préventives, envisagée par Israël, n'est pas souhaitable : «La réponse est dans le bord des sanctions internationales».

    À l'unisson de Paris, l'Union européenne a exprimé mercredi de «sérieuses préoccupations», tout en se montrant moins précis sur les réponses à apporter. L'UE va travailler avec ses partenaires pour élaborer une «réaction adéquate» à la publication de ce rapport, a déclaré Maja Kocijancic, porte-parole de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton et négociatrice du groupe des Six (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni, Allemagne) sur ce dossier. Dès mardi, les États-Unis ont de leur côté prévenu qu'ils allaient augmenter la pression sur l'Iran et peut-être réclamer de nouvelles sanctions. «Nous pensons qu'il y a un grand éventail d'actions que nous pouvons entreprendre», a affirmé un responsable sous le couvert de l'anonymat.

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    Le Figaro - 09/11/11

  • L'assassin (présumé) d'Océane est passé aux aveux

    Le jeune homme de 25 ans, placé en garde à vue mardi soir après s'être spontanément présenté à la gendarmerie dans le cadre du meurtre de la petite Océane à Bellegarde, est passé aux aveux, selon le procureur de la République de Nîmes.
    Il a avoué avant même que les résultats des tests ADN soient connus, a précisé Robert Gelli dans le cadre d'une conférence de presse.

    En fin d'après-midi, on avait appris que les tests ADN avaient parlé et des traces génétiques du suspect avaient été retrouvées sur les vêtements de la petite fille de 8 ans. Les analyses ADN avaient été commandées par le parquet de Nîmes (Gard) après les déclarations ambigües du jeune homme. Sans s'accuser du meurtre, ce dernier s'était présenté spontanément mardi soir vers 22h30 à la gendarmerie. En apprenant que des prélèvements ADN avaient été effectués pour démasquer le meurtrier, le jeune homme s'est présenté en demandant à «ce qu'on fasse des prélèvements sur lui pour vérifier» s'il n'était pas l'auteur des faits, arguant qu'il était «trop ivre pour s'en rappeler».

    Il aurait croisé la fillette «par hasard»

    Suite aux résultats ADN et aux aveux du suspect, le procureur de Nîmes a tenu une conférence de presse mercredi soir en présence des enquêteurs.

    «Il ne souvenait plus de ce qu'il avait fait du samedi 17 heures au dimanche 9 heures où il s'était réveillé dans sa voiture, a expliqué le procureur. Il aurait absorbé une grande quantité d'alcool dans l'après-midi ainsi que de la drogue, ce qui reste toutefois à vérifier», a-t-il précisé. «Le gardé à vue est passé aux aveux juste avant le résultat des tests ADN, a confirmé Robert Gelli. Il aurait rencontré la fillette par hasard qu'il aurait invitée à monter dans sa voiture», a-t-il ajouté. 
     
    «Sa responsabilité dans cette affaire apparaît d'ores et déjà pleine et entière tant en fonction des résultats ADN que de part ses déclarations», a estimé le haut-magistrat devant la presse, ajoutant que l'homme allait être déféré et qu'une information judiciaire allait être ouverte jeudi. La qualification du crime n'a pour le moment pas été décidée. Le procureur a également insisté pour dire qu'il «reste des choses à expliquer, notamment sur le déroulement des faits». Pour toutes ces raisons, la garde à vue du principal suspect sera prolongée mercredi soir de 24 heures. Les enquêteurs veulent notamment obtenir des précisions de la part du suspect sur son véhicule et sur la localisation du couteau utilisé.

    Un marginal connu pour des problèmes de drogue

    Cet homme de 25 ans et père d'un enfant a été décrit par les habitants du village comme «un homme marginal et sans emploi», connu «pour des problèmes de drogue et d'alcool et non de violence». Ce dernier s'était apparemment disputé avec sa compagne depuis une semaine.

    Asphyxiée, le corps lardé de quatre coups de couteau et victime d'attouchements, Océane avait été retrouvée morte le dimanche au bout d'une vigne du village situé non loin de la Camargue. Le jour des faits, la tempête et des pluies diluviennes sévissaient dans la région. Une marche blanche a été organisée mercredi après-midi dans les rues de Bellegarde à la veille des obsèques de la petite fille.
    Le Parisien - 09/11/11

  • Cannes: Sarkozy a tenu des propos insultants contre Papandreou

    09/11/11 – 16h00
    PARIS (NOVOpress)
    — C’est le journal « le Parisien » qui le révèle : Nicolas Sarkozy aurait gravement manqué de respect au Premier ministre grec en le qualifiant de “fou” et de “dépressif“.

    C’est au cours d’une conversation avec son homologue américain Barack Obama, lors du sommet du G20 à Cannes, que le président Français aurait tenu ces propos insultants à l’encontre du Premier ministre grec, coupable aux yeux de Nicolas Sarkozy d’avoir osé envisager de consulter son peuple par la voix d’un référendum.

    La discussion entre les deux chefs d’État était censée être privée mais elle a été entendue par plusieurs journalistes, notamment français. La presse avait déjà révélé que le président français avait qualifié de “menteur” le Premier ministre israélien Netanyahou.

    Décidément le président français ne semble guère avoir d’estime pour nombre de ses homologues…

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Meurtre d'Océane: un marginal de 25 ans confondu par son ADN

    Rebondissement inattendu dans l'affaire du meurtre d'Océane, 8 ans, à Bellegarde (Gard).

    Alors que le précédent suspect, un voisin de 73 ans, a été relâché car son ADN ne correspondait pas à celui trouvé sur la fillette, un jeune homme de 25 ans s'est présenté de lui-même aux enquêteurs, mardi à 22 h 30, et leur a demandé d'analyser son ADN. Et mercredi après-midi, selon une information d'Europe 1, on apprend que l'ADN de ce nouveau suspect est bien celui retrouvé sur le corps de la fillette.

    Trou noir

    Ce jeune homme affirme ne plus se souvenir de ce qu'il a fait samedi soir, le soir même de la disparition d'Océane. "Il a eu un trou noir" et était ivre, précise le procureur de la République. Mais le "jeune homme ne s'accuse pas du meurtre", précise-t-il. Il est en outre toxicomane, alcoolique et au chômage, et est déjà connu pour des faits de violence, indique Le Figaro.

    Il a déclaré s'être présenté après avoir entendu que le premier suspect, déjà connu de la justice pour une agression sexuelle en 1999, avait subi des tests ADN.

    Océane a disparu samedi soir alors qu'elle se rendait chez une amie, et a été retrouvée dimanche matin près d'une vigne. L'autopsie a révélé un attouchement sexuel, quatre coups de couteau et une asphyxie.

    Mercredi à 14 h 30, les habitants de Bellegarde ont marché silencieusement en mémoire d'Océane, dont les obsèques sont prévues jeudi.

    LE POST - 09/11/11

  • William TURNER (1775-1851)

    turner_g.jpg bateau sur l'océan.jpg

    Navire sur l'océan giorgio_morning.jpg

    San Giorgio Maggiore, au petit matin

    (Cliquez sur les tableaux pour les agrandir)