Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1348

  • Mayotte, la "pompe aspirante" de l'Océan indien...

    Mayotte.jpg

    Contrairement aux autres  habitants de l’archipel des Comores,  les Mahorais ont  exprimé par trois fois   (1974, 1976, 2000), leur volonté de rester dans le giron  Français.  Un désir que le ministre de l’Outre-mer, Marie-Luce Penchard,  a entériné à sa manière  en annonçant  que le Revenu de Solidarité Active (RSA), allait être mis en place au 1er janvier prochain dans l’île de Mayotte,  officiellement 190 000  habitants,  devenue le 101e département français par referendum l’année dernière.

      95,2 % des 60% d’électeurs Mahorais ayant participé à cette consultation ont choisi de rejoindre le droit commun de la République française. Une départementalisation dont le coût financier, à la charge des contribuables métropolitains,  ne rebute pas  un François Fillon qui expliquait il y a peu que l’Etat français était en « faillite »…

     Une grande partie des Mahorais est polygame avec un indice de fécondité de 4.5 enfants par femme. 35 % des hommes et 40 % des femmes sont illettrés en français,  ce même pourcentage est inférieur en arabe puisque  depuis leur plus jeune âge, les Mahorais vont à la fois à  l’école de la République et à l’école coranique.

     « Tous les ministères sont mobilisés pour poursuivre la départementalisation que vous avez tant attendue »  a déclaré Marie-Luce Penchard mercredi: « droit syndical, formation, enseignement supérieur, accès à internet». «Le système de santé se modernise avec par exemple plus de 50 millions d’euros investis ces dernières années dans l’hôpital de Mamoudzou », a-t-elle souligné.  C’est en effet à  Mamoudzou que se trouve  la plus grande maternité de France, avec  près de 5 000 naissances par an sur les 8 000 dans l’île…   «En quelques années, a-t-elle ajouté, le nombre d’enfants scolarisés dès l’âge de 3 ans a été doublé» (75 % des 72 000 enfants scolarisés à l’école primaire à Mayotte  sont étrangers, NDLR),  tandis que «dès 2009, nous avons augmenté les prestations pour les personnes âgées et les personnes handicapées».

     Des annonces censées éteindre l’incendie qui a éclaté de nouveau à Mayotte    ces derniers jours avec son lot  de scènes de violences,   en marge des « journées  de grève générale illimitée contre la vie chère ». Les syndicats locaux ont dénoncé à cette occasion une  « véritable provocation du Préfet  », en l’espèce rapportait  Le Figaro « la   présence massive des gendarmes mobiles au cours des manifestations, ». En fait de « provocations », il s’agit de rappeler l’épisode des   ratonnades anti-blancs qui avaient  éclaté dans l’île en  2008, en marge aussi de manifestations,  lorsque le  27 mars au matin,  des centaines de Comoriens vivant clandestinement sur l’île sont sortis de leurs bidonvilles, coupe-coupe à la main, et s’en sont pris aux Français .

    Seuls les  journaux de La Réunion et de Mayotte avaient  fait leur Une  sur les scènes de « chasse aux blancs » et de lynchage perpétrées  par des immigrés en situation irrégulière en provenance de l’île d’Anjouan,  distante d’une cinquantaine de kilomètres. Les troubles avaient  fait  de nombreux dégâts matériels et 18 blessés. Un mois et demi après les faits, le quotidien gratuit 20 Minutes expliquait   que  les 130 000 Français de Mayotte, « Métros  et Mahorais réunis, sont encore profondément traumatisés par cette  chasse aux Blancs, la première dans l’histoire de cette collectivité territoriale française  (…). Surtout, ils craignent que les 50 000 étrangers de l’île – selon certaines sources, ils seraient le double – s’en prennent de nouveau à eux ».

     « L’ambiance (entre communautés) était froide, elle est désormais glaciale », témoignait Jean-Michel Laurence, chef du service des Renseignements généraux. La pression migratoire est telle que les tensions sont inévitables. Chaque jour, entre deux cents et trois cents Comoriens débarquent clandestinement sur les plages de l’île, où le PIB par habitant est environ neuf fois supérieur ».  Et chaque année deux cents personnes ne reviennent jamais d’une traversée plus que périlleuse. Sur  l’île d’Anjouan, considérée parmi les îles les plus densément peuplées du monde,  une femme y élève en moyenne une dizaine d’enfants. Un habitant sur deux vit en dessous du seuil de pauvreté, sur fond de  coups d’état et  de  corruption…

     Ce qui explique notamment, comme nous l’avons vu,  que Mayotte accueille la plus grande maternité française,  les immigrées (Comoriennes mais aussi Malgaches voire Africaines) venant y accoucher en grand nombre pour mettre au monde  des « Français de papier » par les vertus du droit du sol…

    Dans un éclair de lucidité, François Baroin, ex-secrétaire d’Etat à l’Outre-mer,  avait  proposé le retour au droit de la filiation   à Mayotte pour combattre cette invasion. Peine perdue. Et la situation a encore empiré depuis la visite de Nicolas Sarkozy,  en janvier 2010, au cours de laquelle il avait promis de renforcer la lutte contre l’immigration clandestine.  Faute de réelle volonté politique, plus peut être que par manque de moyens, celle-ci revient à écoper la mer avec une petite cuillère, les 20 000 Comoriens expulsés chaque année revenant dans la foulée sur ce territoire français.

    Le quotidien Les Nouvelles de Mayotte –édition du 7 février 2007 -  relevait  qu’en 2006, les expulsions de clandestins ont coûté à la collectivité «  1 549 220 euros », chiffre qui ne comprend pas « le coût des effectifs chargés de les interpeller, ni les frais de nourriture lorsqu’ils séjournent au centre de rétention, etc. Il ne s’agit que des frais de reconduite proprement dits, partagés entre l’avion et le bateau ».  Selon les statistiques publiées pour l’année 2006 à Mayotte, rapportait encore ce journal, les « vols de voitures » ont augmenté de 62%, les « vols à l’arraché » de 33%, les « cambriolages » de 6%, les « coups et blessures volontaires » de 21%, les « rébellions et outrages à agents » de 41%, tandis que les agressions sexuelles ont quasiment doublé…Il n’y a pas qu’en métropole que l’UMP  peut se flatter de son bilan.

     On l’aura compris,  les beaux discours de Mme Penchard et les effets de manche de MM. Guéant et Sarkozy ne sont pas à la hauteur des problèmes, qui n’avaient pas du  tout la même ampleur  lorsque la France avait œuvré   au maintien de Mayotte  dans la collectivité nationale, notamment du fait de sa situation stratégique dans le canal du Mozambique. Comme l’ont relevé aussi bien Marine Le Pen que Bruno Gollnisch, il est impératif à Mayotte, comme aux  Antilles, en Guyane et bien évidement en Métropole, de réformer d’ores et déjà  les conditions d’accession à la nationalité française.

     C’est bien  le droit du sol et les avantages sociaux qui y sont attachés qui constituent  une véritable pompe aspirante de l’immigration. Le retour au droit de la filiation, que le FN est le seul grand mouvement politique à défendre dans son programme,  est une des conditions essentielles  pour inverser les flux migratoires.

    Blog de Bruno Gollnisch - 08/10/11

     

  • Le Bloc Identitaire vote Montebourg à la primaire socialiste

    Bloc-Montebourg.jpg

    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    08/10/2011 – 14h20
    PARIS (NOVOpress) –
    Ce matin Le Figaro titre un article “Le Bloc Identitaire soutient Montebourg”.
    Le Bloc Identitaire appelle ses sympathisants à participer à la primaire socialiste [ce dimanche 9 octobre] en votant Arnaud Montebourg pour soutenir son concept de “démondialisation” “, indique le journal.

    Le Figaro rappelle que le Bloc, “spécialiste des coups médiatiques”, écrit dans un communiqué qu’il appelle, ainsi que le réseau ‘Une Autre Jeunesse“leurs adhérents et sympathisants à se déplacer en masse dimanche pour apporter leurs soutiens à la démondialisation, et donc à Arnaud Montebourg, dans le cadre des primaires citoyennes”.

    Avec cependant un regret de la part du BI : qu’Arnaud Montebourg et ses partisans ne (soient) pas encore prêts (…) à s’attaquer à cet aspect de la mondialisation que constitue l’immigration massive et incontrôlée” véritable outil de “délocalisation à domicile”.

    En étendant le sujet, Le Figaro indique que Marine Le Pen, aussi, a déclaré plusieurs fois que c’est d’Arnaud Montebourg dont elle se sentait le plus proche parmi les candidats à la primaire socialiste. A la différence que Montebourg soutient un protectionnisme “européen” et non “national” comme le FN et ne demande pas la sortie de l’euro. Novopress remarque qu’il s’agit là de deux éléments de plus qui par contre rapprochent les positions du  Bloc Identitaire et de Montebourg

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Arnaud Montebourg: "Mon grand-père était un arabe, pas un pied-noir, un arabe "

    Arnaud Montebourg était l’invité jeudi 6 octobre de l’émission "Face à l’Actu" sur Beur FM. Interrogé par le journaliste Abdelkrim Branine sur plusieurs sujets, il a notamment abordé la question de ses origines :

    D’ailleurs moi-même j’ai quelques origines (…) algériennes. C’est un peu mon deuxième pays. Pourquoi ? Parce que mon grand père (…) était algérien. Un arabe, pas un pied noir, un arabe… Il faut dire les choses. (…) Il a porté en 39-45 porté l’uniforme français et combattu pour la France, et puis après, pendant la guerre d’Algérie, il était du coté du FLN. (…) C’est-à-dire, il a finalement été l’un de ceux qui (…) s’est battu pour la décolonisation. Et bien cette décolonisation aujourd’hui elle n’est pas soldée ; c’est-à-dire qu’aujourd’hui vous avez des français qui n’acceptent pas la vision qu’on donne de cette histoire là. Il serait temps, je crois, de la mettre dans le patrimoine politique, culturel et même psychologique commun. Ça fait parti un peu des leçons que j’ai tirées de ma propre histoire personnelle, qui est l’histoire d’une rencontre entre un algérien égaré dans le Morvan et une famille de bouchers-charcutiers du côté de mon père. Dans notre famille on se surnomme les arabo-morvandiaux. C’est en tout cas mon histoire et j’en suis très fier parce que c’est une richesse, une force. Et il y a des millions de Français comme ça. La France n’est pas une nation ethnique, c’est une nation contractuelle.

    Au sujet de la religion :"Je ne suis pas de ceux qui acceptent l’idée qu’il y ait une sorte de catho-laïcité, c’est-à-dire une laïcité stigmatisante pour d’autres religions que la religion majoritaire dans notre pays. (…). Aujourd’hui il ne faudrait pas recommencer avec une confrontation entre l’islam et la chrétienté ou le judaïsme."

    Au sujet du Proche 0rient : "Les provocations d’Israël et de son gouvernement extrémiste, les appuis dont ils disposent et notamment, malheureusement excessivement aux Etats-Unis (…)… C’est à l’Europe et à la France de prendre l’initiative pour faire pression sur Israël et avancer dans le processus de paix, et on le fera en soutenant la cause palestinienne. Je suis favorable à la reconnaissance de l’Etat palestinien viable dans les frontières de 1967 tel que cela été proposé. Nous avons signé tous une résolution dans ce sens à l’Assemblée Nationale et j’en suis particulièrement fier."

    OUMMA.COM - 06/10/11

     

  • Journal de Bord de JMLP n°247

    Au sommaire:

    • Selon un sondage, les affaires « seraient susceptibles de profiter électoralement » au FN pour 48 % des Français. Commentaire.
    • Que penser du début de campagne présidentielle ?
    • Primaire PS : faut-il se satisfaire d’en voir le bout. Le pronostic de Jean-Marie Le Pen.
    • À l’UMP : les sondages mettent en avant Alain Juppé pour le cas où Nicolas Sarkozy ne souhaiterait pas être candidat. Réaction.
    • Souveraineté : Oscar Temaru profite des primaires pour organiser un référendum sur l’avenir institutionnel de la Polynésie française simultanément.
    • International : l’évolution des pays du sud de la Méditerranée après le printemps arabe (Tunisie / Égypte / Libye / Syrie)
    • L’affaire Dexia.
    • Les manifestations de retraités qui réclamaient hier plus de pouvoir d’achat alors que dans le même temps des retraites sont données en France à des étrangers n’ayant jamais cotisé (ASPA…).
    • Insécurité / Transports : l’agression d’un contrôleur de 54 ans poignardé à 8 reprises par un voyageur sans titre de transport.
    • Le décès du fondateur d’Apple Steve Jobs. Quel regard porter sur le système américain de l’entreprise ? Fait-on suffisamment confiance aux jeunes en France et permet-on assez aux gens d’entreprendre ?

    NPI - 08/10/11

  • 732 est à nous !

    94982153.jpg Tours.jpg

    Venez commémorer cette grande date qui marqua notre histoire. En octobre 732, les mahométans se dirigent vers la basilique Saint Martin pour y piller l’or ainsi que les reliques du patron de la Touraine qui s’y trouvent. Le 25 octobre, alors que l’occupant progresse en direction de notre ville, un homme, à l’origine simple maire du palais, devenu chef d’une armée, va chasser, lors d'une bataille d’une rare violence, l’envahisseur. Cet homme se nomme Charles Martel qui voit son nom lui être attribué pour sa pratique assidue du marteau lors des combats. Cette grande date, marquée par cette victoire façonne notre identité locale. Elle prouve également que de simples hommes sans grades, ayant pour seule fortune leur courage et leur foi, ont pu changer le cours de l’ Histoire. C’est le témoignage par excellence que rien n’est jamais figé en politique et que, même quand les situations semblent désespérées, tout est possible lorsque le courage bouillonne dans nos veines !

    Le 21 octobre prochain, venez nombreux pour honorer et défendre, par votre présence dans la rue, la terre de nos pères. Pour que le sang qui fut versé jadis ne soit pas vain et pour que demain une poignée d’hommes libres sache s'arracher de ce monde moderne pour y faire la reconquête !

     

     

  • FRIEDRICH (1774-1840)

    462px-Caspar_David_Friedrich_011.jpg Le rêveur.jpg

    Le rêveur 

    (Cliquez sur le tableau)

  • L'Allemagne relance la chasse aux criminels nazis: le temps presse...

    66f185c8-f117-11e0-995d-bfc3d5bfdf01.jpg Demjanjuk.jpg

    John Demjanjuk, 91 ans, le 12 mai 2011 - (Cliquez sur la photo)

    La jurisprudence du procès de John Demjanjuk permettrait de rouvrir une centaine de dossiers. 

    La justice allemande pensait avoir tourné la page des grands procès pour les crimes du IIIe Reich. En réalité, la condamnation sans preuve directe, en mai dernier par un tribunal de Munich, de John Demjanjuk, 91 ans, pourrait entraîner une nouvelle vague de procès contre des participants à l'Holocauste.

    Les autorités allemandes ont décidé de rouvrir les dossiers de plusieurs centaines de gardes dans des camps de concentration nazis, classés faute de preuves suffisantes. Le temps est désormais le principal ennemi pour les procureurs, qui cherchent à traduire en justice ces hommes âgés de 80 à 90 ans.

    Traiter les dossiers «en un an»  

    «Nous ne voulons pas perdre de temps. Nous avons déjà rouvert les enquêtes, sans attendre les résultats de la procédure d'appel de Demjanjuk. Nous espérons pouvoir traiter tous les dossiers en un an», affirme Kurt Schrimm, directeur du Centre national d'enquêtes sur les crimes de guerre nazis à Ludwigsburg.

    Les enquêteurs ont commencé par se replonger dans les dossiers de gardes dans les camps d'extermination nazis, puis sur ceux de membres des Einsatzgruppen, les escadrons mobiles d'extermination des SS. Grâce au cas de John Demjanjuk, les enquêteurs de Ludwigsburg, qui s'étaient aventurés en terrain inconnu, ont établi un précédent outre-Rhin. Déchu de sa nationalité américaine et expulsé des États-Unis vers l'Allemagne, Demjanjuk a été condamné, en mai, à cinq ans de prison pour complicité de meurtre dans l'extermination de 28 060 Juifs, en 1943, au camp de Sobibor en Pologne durant l'occupation nazie.

    Pour la première fois lors d'un tel procès, les procureurs ont obtenu une condamnation sans fournir la preuve de la participation de l'accusé à un crime spécifique. L'accusation avait fondé son argumentation sur le fait que s'il travaillait dans un camp dont l'extermination était le seul but, sa fonction de garde le rendait automatiquement complice des meurtres commis pendant la durée de son séjour à Sobibor. «Aucune culpabilité individuelle, établissant que telle ou telle personne a été tuée tel jour, n'a été prouvée», se félicite Schrimm.

    Déjà confondu avec Ivan le Terrible, un sinistre garde du camp de concentration de Treblinka, John Demjanjuk avait été condamné à la peine de mort en Israël en 1988. Avant que ses avocats ne démontrent en appel une confusion sur l'identité et que sa relaxe ne soit prononcée faute de preuves. Le parquet de Munich a ordonné sa remise en liberté, après deux ans de détention, en attendant son procès en appel, en raison de son âge et de sa santé fragile. Seule la mort pourrait épargner un nouveau procès à Demjanjuk, d'origine ukrainienne mais apatride depuis qu'il a perdu sa nationalité américaine.

    Le Centre Simon Wiesenthal a annoncé son intention de prêter main-forte à la justice allemande. «Dans deux mois, nous allons lancer une nouvelle campagne en vue de faire passer en jugement des criminels de guerre nazis», a indiqué Efraïm Zuroff, directeur du centre Wiesenthal de Jérusalem.

    Aloïs Brunner en tête de liste 

    «Sur les centaines d'enquêtes rouvertes, il se peut qu'une vingtaine débouche sur des procès effectifs», estime Zuroff. Le célèbre chasseur de nazis souligne que «le temps qui passe est le meilleur allié des criminels de guerre nazis» toujours en vie, qui étaient pour la plupart des subalternes âgés d'une vingtaine d'années à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon Zuroff, Aloïs Brunner figure encore en première position sur la liste des dix principaux criminels de guerre recherchés par le Centre Simon Wiesenthal. «Probablement mort», il est responsable direct de la déportation de plus de 100 000 Juifs d'Autriche, de Grèce et de France vers les camps de la mort, et a trouvé refuge en Syrie après la guerre. Parmi les principaux responsables des crimes nazis, nombreux sont ceux à avoir échappé à la justice… jusqu'au Jugement dernier.

    Le Figaro - 07/10/11

     

     

  • Estrosi aux Mahorais: "nous avons des choses à construire ensemble..." - Une mosquée peut-être ?

    Ajoutée par Nissa Rebela le 30 septembre 2011

  • Jamila F. reçoit de la CAF 2000 euros par mois en moyenne

    untitled.jpg

    (Cliquez sur le document pour l'agrandir)

    Allocations familiales, APL et RSA cumulés, Jamila F., 33 ans, reçoit en moyenne plus de 2000 euros par mois de la Caisse d’allocation familiale. L’allocation de rentrée scolaire versée en septembre fait monter cette somme jusqu’à 3123 euros.

    Défrancisation - 07/10/11

     

  • Logement en France, les étrangers d'abord

    JT de France 3, le 04 octobre 2011, un reportage intitulé « Les oubliés de la république ».

    L’état a injecté 600 millions d’euros dans la rénovation urbaine de Clichy-sous-Bois, c’est sans précédent. Aminata vient d’y aménager avec ses 6 enfants.

    Défrancisation - 04/10/11

  • L'assassin Churchill: 3 millions morts de faim au Bengale

    22 sept. 2010 - telegraph.co.uk

    Selon un livre qui vient de sortir, "Sir" Winston Churchill a ignoré les demandes d'aide alimentaire d'urgence concernant des millions de personnes, il les a laissé mourir de faim, au Bengale, leurs rizières ayant été transformées pour produire de la toile de jute pour les sacs de sable et leur approvisionnement provenant habituellement de Birmanie ayant été compromis après l'intervention japonaise.

    Entre un et trois millions de personnes sont mortes de faim en 1943.

    Le grand chef de guerre Churchill a déclaré que la Grande-Bretagne ne pouvait se priver de ses navires pour le transport de fournitures d'urgence, alors, les rues de Calcutta se sont remplies des visages émaciés des villageois des campagnes... mais l'auteur de ce livre, Madhusree Mukerjee, a mis à jour de nouveaux éléments qui remettent en cause la version officielle.

    Dans son livre, "La guerre secrète de Churchill" (Churchill's Secret War), elle cite les dossiers du ministère et des documents personnels qui révèlent que des navires transportant des céréales en provenance d'Australie ont contourné l'Inde sur leur chemin en direction de la Méditerranée, où là, les approvisionnements étaient déjà abondants. « Ce n'était pas un oubli ou une erreur : les demandes d'aide et secours pour le Bengale ont été multipliées, et lui et ses proches collaborateurs ont tout fait pour que ces demandes n'aboutissent pas » a déclaré l'auteur.

    « Les Etats-Unis et l'Australie ont proposé d'envoyer de l'aide, mais ne pouvaient pas parce que le cabinet de guerre anglais n'était pas disposé à libérer les navires. Et quand les États-Unis ont proposé d'envoyer des céréales sur leurs propres navires, cette offre a été ignorée par les anglais », a-t-elle ajouté.

    La famine artificielle et le contraste entre le sort des Indiens affamés et des officiers britanniques bien nourris mangeant dans les clubs de la ville coloniale a été décrit comme l'un des chapitres les plus sombres de la domination britannique sur le sous-continent indien.


    Source : telegraph.co.uk

    Traduction : propagandes.info
    Reproduction libre en indiquant les sources

  • Génocide arménien: cinglante réponse d'Ankara à Sarkozy

    Ankara a conseillé vendredi à la France d'affronter son passé colonial avant de donner des leçons aux autres pays, en réponse aux déclarations de Nicolas Sarkozy demandant la reconnaissance du génocide arménien.

    «Je vais lancer une grenade dégoupillée», prévenait jeudi Nicolas Sarkozy devant une partie de la délégation qui l'accompagnait à Erevan, en Arménie. Le président de la République y est revenu sur un sujet sensible en évoquant la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie. Le Président a déclaré que la France modifierait sa législation pour que le négationnisme du génocide de 1915 soit condamné au pénal, si la Turquie ne reconnaissait pas officiellement le massacre de plus d'un million et demi d'Arméniens.

    Une vive réaction était à prévoir et la réponse, cinglante, ne s'est pas fait attendre. Vendredi, Ahmet Davutoglu a conseillé à la France d'«affronter son passé colonial avant de donner des leçons aux autres pays». Le ministre turc des Affaires étrangères a également insisté sur la situation des étrangers, considérés comme des «citoyens de seconde zone» dans l'Hexagone, selon lui.

    La Turquie dénonce l'«opportunisme politique»

    Le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, a pris le même chemin que son collègue et raillé le Président français qui joue, selon lui, «les historiens» et l'a invité à «se creuser la tête pour sortir son pays du gouffre économique dans lequel il se trouve». Bagis a également dénoncé l'«opportunisme politique» dont ferait preuve Nicolas Sarkozy à l'approche de l'élection présidentielle, la diaspora arménienne représentant un demi-million de citoyens en France. «Sarkozy adopte ce type d'accroche après avoir été effrayé par les derniers sondages politiques en France», a déclaré le ministre.

    Claude Guéant, présent vendredi à Ankara pour la signature d'un accord de coopération sécuritaire, a rappelé que le président «n'a pas évoqué de délai» pour la reconnaissance du génocide. Lorsque des journalistes l'ont interrogé sur la réaction de la France si la Turquie lui demandait de reconnaître le «génocide des Algériens», le ministre français de l'Intérieur a évoqué les «propos extrêmement forts» de Nicolas Sarkozy à propos d'un «douloureux passé entre la France et l'Algérie», affirmant que la page était tournée.

    Avant son élection, Nicolas Sarkozy s'était engagé à faire adopter une loi pénalisant le négationnisme d'Etat à l'égard du génocide arménien, reconnu légalement par la France depuis janvier 2001. Votée par l'Assemblée nationale en 2006, la loi est depuis bloquée par le Sénat.

    Le Figaro - 07/10/11

  • Géraldine: "Mes locataires sont un cauchemar"

    En achetant un studio en 2004, Géraldine n’imaginait pas mettre le doigt dans un engrenage infernal. Grâce à un emprunt sur vingt-cinq ans et à un PEL, elle acquiert un 31 m2 dans un quartier populaire de Paris. Sept ans plus tard, son studio est dévasté. Rendu insalubre, occupé illégalement par ses locataires, il est invendable. Comment cette propriétaire de 33 ans en est-elle arrivée là ?

    Quand, en 2005, Géraldine part travailler comme graphiste à Perth, en Australie, elle confie son studio en location à l’agence qui lui a vendu son bien. Dès la deuxième année, des retards de loyer apparaissent. Début d’une valse de recommandés et d’injonctions à payer. Géraldine se montre d’abord sensible aux difficultés du locataire, elle qui a déjà manifesté contre les expulsions aux côtés de Droit au logement. « J’ai même proposé un bail solidaire. Le locataire a refusé. »
    En 2008, un dégât des eaux affecte les appartements voisins. Géraldine tente de faire intervenir, via son agence, des experts pour établir des devis sur ces travaux urgents. Impossible de pénétrer dans le studio : « Personne ne peut venir réparer quelque chose chez moi tant que je suis là », assène le locataire, quasiment injoignable.

     

    "En quatre ans, ils ont tout saccagé"

    En réalité, Géraldine découvre qu’un couple et cinq enfants vivent dans ses 31 m2. Bris de vitres, jets de poubelles, graffitis : les plaintes pleuvent au commissariat voisin. En septembre 2009, un huissier pénètre enfin dans les lieux. Ce qu’il découvre dépasse l’entendement. Serrures et carreaux arrachés, sanitaires brisés, cloisons cloquées et moisies… « Quand j’ai vu les photos, j’en ai pleuré. En quatre ans, saccager un logement ainsi, c’est impensable ! », se désole Géraldine.

    Son père, un enseignant qui vit en Moselle, prend le relais. Fin 2009, congé est donné aux locataires. Le bail prend fin en avril 2010. Mais les occupants ne quittent pas le studio. En décembre 2010 seulement, le tribunal d’instance prononce une décision d’expulsion. Géraldine ne perçoit plus de loyer depuis déjà cinq mois et pense le combat gagné. Mais, trêve hivernale oblige, les locataires gagnent quatre mois de répit. Et la série noire continue. Cette fois, c’est la propriétaire de l’étage du dessous qui assigne la jeune femme en justice pour dégradation de son logement. En conséquence, à l’été 2011, le studio de Géraldine est déclaré insalubre. Depuis, elle ne perçoit plus les allocations de ses locataires, ne peut ni vendre, ni louer, ni remettre en état son logement. Ubuesque !

    Elle ne peut ni vendre, ni louer, ni remettre en état

    « Nous sommes victimes d’une triple peine », estime son père, qui gère les relations avec le tribunal, l’avocat, la copropriété, le syndic et l’agence. « C’est devenu un suivi journalier », dit-il. Cerise sur le gâteau, la Préfecture vient de leur indiquer que si le studio est rendu temporairement inhabitable par les travaux, ils seront tenus de reloger les occupants ! « Ils ont tout saccagé, et ils vont peut-être obtenir un logement social. A quoi servent nos lois ? » Outre 4.650 € d’impayés de loyer, elle devra s’acquitter de 3.000 € de frais de justice et de 10.000 € de travaux.

    La mairie du quartier a promis d’appuyer leur cas auprès du préfet pour faire appliquer l’expulsion, sans effet depuis dix mois. A l’approche de la trêve hivernale, en novembre, la jeune femme a créé une page sur Facebook : « Je veux éclairer les gens sur la situation des petits propriétaires comme moi, qui n’ont aucun moyen de faire entendre leurs droits. Je reçois énormément de témoignages similaires. » Ironie du sort, elle-même pourrait se retrouver à la rue, en Australie. Le propriétaire de son logement a résilié son bail, préférant louer à la semaine en vue d’une compétition nautique internationale. Géraldine n’aura que vingt et un jours pour retrouver un toit. Aux antipodes, les propriétaires sont rois.

    Un pass anti-impayés
    Le pass Garantie du risque locatif mis en place par l’Etat et le 1 % logement couvre les revenus locatifs du propriétaire. Il garantit de percevoir le montant du loyer et les charges pendant la durée du bail, dans la limite de 70.000 €. Les dégradations sont indemnisées jusqu’à 7.700 €. Son coût : 1,8 % du loyer et des charges si le bailleur loue par agence, 2,5 % s’il loue en direct, déductible des revenus fonciers. Ainsi, pour un loyer de 600 €, le bailleur paie une prime de 180 €/ an.
    www.grl.fr

    Actu France-Soir - 07/10/11

  • Mort dans le métro, Babu avait porté les premiers coups...

    "Babu", c'est cet Indien de 33 ans décédé le 29 septembre en chutant sur les rails du métro parisien à l'issue d'une rixe avec un autre voyageur... Alors que de vibrants hommages lui ont été rendus très officiellement (jeudi, le ministre des Transports Thierry Mariani et Frédéric Mitterrand -Culture- avaient déposé une gerbe à la station de métro Crimée, et salué "un héros ordinaire"), on a appris hier que c'est en réalité lui qui avait donné les premiers coups lors de la bagarre...

    L’attitude de l'homme mort dans le métro lors d'une altercation est désormais remise en cause.

    Il avait été surnommé "le héros du métro". "Babu", l'Indien de 33 ans mort le 29 septembre en chutant sur les rails dans une station du métro parisien après une altercation avec un autre voyageur qui a depuis été arrêté, a donné en réalité les premiers coups lors de la bagarre, selon les informations dont Europe 1 a obtenu confirmation.

    L'altercation aurait débuté dans la rame du métro, avant la station Crimée dans le XXe arrondissement. L'homme suspecté d'avoir poussé Babu aurait importuné des jeunes filles, qui n'ont pas été retrouvées, en leur proposant des bonbons. Un détail donné par les quatre amis de Babu présents avec lui et corroboré par le fait que le suspect tient un paquet de friandises à sa descente de la rame. Babu serait alors intervenu "verbalement", de manière vive.

    A leur sortie de la rame de métro, à la station Crimée, la vidéosurveillance permet d'établir que Babu et l'homme suspecté "se repoussent mutuellement", selon les informations recueillies par Europe 1. Puis Babu "porte un coup" à l'autre homme "en le tenant fermement". Enfin, en retour, le suspect "porte un coup et Babu bascule sur les rails". C'est là qu'il est mort électrocuté.

    "On voit Babu qui se jette sur mon client"

    "Ce qu'il s'est passé, c'est que dans la rame, mon client a proposé des bonbons à une jeune fille qui a refusé. Toute cela était bon enfant", a assuré de son côté l'avocat de l'homme arrêté, Me d'Ollone. Ce dernier a certifié que son client "a eu peur" de Babu et a décidé de quitter la rame. "On voit Babu qui se jette sur mon client une première fois, puis Babu se jette une nouvelle fois sur mon client et le fait tomber. Mon client le repousse vivement, Babu recule et il tombe sur les rails. Il est électrocuté et il décède", a-t-il raconté.

    Me d'Ollone souhaite donc rétablir la vérité et a assuré que "Babu a pris l'initiative de la bagarre alors que mon client est resté passif, jamais menaçant". "L'histoire qui a été contée ne correspond pas à la réalité", a-t-il conclu.

    La détention provisoire requise

    Dans ce dossier, les enquêteurs disposent donc des bandes des caméras de vidéosurveillance placées sur les quais de la station Crimée. Pour les événements survenus dans la rame du métro, ils ne peuvent en revanche compter que sur les dires des quatre amis de Babu. Aucun autre témoin ne s'est signalé.

    Une information judiciaire a été ouverte pour "violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Le suspect arrêté après la mort de Babu se trouvait par ailleurs être en situation irrégulière en France. Le parquet a demandé son placement en détention provisoire.

    Europe 1 - 07/10/11

  • En Arménie, Sarkozy presse la Turquie de "revisiter son histoire"

    2011-10-06T153011Z_01_APAE795172F00_RTROPTP_2_OFRWR-FRANCE-ARMENIE-TURQUIE-SARKOZY-20111006.jpg

    EREVAN (Reuters) - Nicolas Sarkozy a exhorté jeudi la Turquie à reconnaître le génocide arménien de 1915 et brandi la menace d'une loi pour punir, en France, le négationnisme turc.

    Un des premiers gestes du président français après son arrivée en fin d'après-midi à Erevan, la capitale d'Arménie, pour une visite d'Etat, a été de se recueillir au mémorial du génocide arménien avec son homologue Serge Sarkissian.

    Cette esplanade dominée par une flèche et 12 stèles de basalte abritant une flamme, sur une colline d'Erevan, fait face au Mont Ararat, aujourd'hui en Turquie mais considéré par les Arméniens comme un emblème de leur identité.

    A l'issue d'une visite au musée qui retrace, sur le même site, le massacre d'un million et demi d'Arméniens, Nicolas Sarkozy a condamné le "négationnisme collectif", pire, selon lui, que le négationnisme individuel.

    "Le génocide des Arméniens est une réalité historique" et "le négationnisme n'est pas acceptable", a ajouté le chef de l'Etat français, qui a estimé que la Turquie "s'honorerait à revisiter son histoire" et à la "regarder en face".

    La France a officiellement reconnu en janvier 2001 le génocide des Arméniens par les Turcs. Mais le Sénat français a rejeté en mai dernier une proposition de loi socialiste visant à réprimer la négation du génocide arménien.

    Nicolas Sarkozy a laissé entendre que ce texte, ou un texte similaire, pourrait être remis à l'ordre du jour si Ankara s'entêtait dans son refus de reconnaître le génocide arménien.

    Si la Turquie persistait, "alors sans doute faudrait-il aller plus loin", a déclaré le président français.

    06/10/11

    NdB: La communauté arménienne compte en France environ 500.000 membres et représente un enjeu électoral.

  • Russie: castration chimique pour les crimes pédophiles

    04/09/2011 – 17h30
    MOSCOU (NOVOpress) –
    Face à la recrudescence de crimes de pédophilies (plus de 9.500 crimes sexuels ont été commis en 2010 sur des mineurs), la classe politique russe n’a pas hésité à prendre des mesures pour le moins radicales. La Douma a votée mardi la légalisation de la castration chimique des pédophiles reconnus coupables de crimes sexuels sur des mineurs de moins de 14 ans. Adoptée en première lecture, 322 députés ont voté en faveur de cette mesure de bons sens sur un total de 323 votants.

    Il s’agit d’un véritable renforcement de la loi contre les pédophiles, qui inclut également une peine allant jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité pour les récidivistes.

    La castration chimique sera encadrée et réalisée sur la base d’expertises médicales ordonnées par le tribunal comme l’affirme Garri Minkh, représentant du président russe à la Douma, pour qui « un tribunal s’appuyant sur l’avis d’une commission de médecins pourra contraindre l’auteur d’un crime sexuel sur un mineur de moins de 14 ans à une mesure de castration chimique ».

    Cette adoption en première lecture laisse désormais place à un examen de deuxième et dernière lecture, avant la navette avec la chambre haute du Parlement.

    La loi devrait être prochainement promulguée par le président Dmitri Medvedev, qui avait proposé en mai l’introduction de la castration chimique basée sur le volontariat.

    Une décision politique courageuse qui tranche avec le laxisme des politiciens et de la justice en France, contrairement à leurs homologues russes pour qui la victime potentielle doit être avant tout protégée des prédateurs sexuels.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine