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Blog - Page 1347

  • Carla Bruni: un périmètre de sécurité autour de la clinique...

    Après l'annonce de premières douleurs le 15 septembre, le blocage d'un étage entier de la clinique de la Muette à Paris le 28 septembre, puis celui de la rue de la clinique hier, la France entière a beau être suspendue au ventre de Carla Bruni-Sarkozy, cette dernière pourrait bien finir par accoucher dans l'indifférence totale, ou presque.

     Car cette attente commence à être lassante. On a beau être impatient de voir arriver le "premier bébé de France", qu'on nous avait annoncé pour n'importe quand à partir du 1er octobre, neuf mois, c'est long, presque autant pour nous que pour la future maman Carla Bruni.

     On saluera toutefois le tact du bébé de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni-Sarkozy, qui a eu l'obligeance de ne pas arriver hier, en même temps que le premier tour des primaires socialistes. Ceci dit, le futur bébé pourrait aussi avoir pitié des policiers et des pauvres journalistes qui font le pied de grue devant la clinique.

    Closer - 10/10/11

  • Egypte: l'armée tire à balles réelles sur les Chrétiens

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    (Cliquez sur la photo)

    Dans la petite salle de la morgue, l’air est suffocant. Douze corps sont allongés, épaules contre épaules. L’un a le crâne défoncé, les yeux exorbités. « Tantawi assassin (1) ! », hurlent les hommes et femmes qui se pressent pour voir et embrasser les « martyrs ». 

    Sur l’une des tables, Mina Daniel, un jeune homme aux longs cheveux noirs, baigne dans une mare de sang. Blogueur et militant socialiste, il a participé à toutes les batailles de la révolution de janvier. Son ami Khaled El Said, leader musulman de la Coalition des jeunes de la révolution, est hébété.

    Autour de lui, la foule est hystérique : les femmes lèvent les bras au ciel en pleurant, les hommes aux tee-shirts tachés du sang des blessés scandent des slogans hostiles à l’armée. « Est-ce que l’on n’est pas égyptien ? Est-ce que l’on n’est pas des humains ? », s’exclame Romani Samir, un bijoutier de 30 ans. « Ils ne veulent plus de chrétiens en Égypte ! Que n’importe quel pays nous offre l’asile et nous partirons ! »

    Un prêtre copte note minutieusement les noms des défunts. Au moins 24 victimes des violences de la veille avaient été identifiées lundi 10 octobre, parmi lesquels des soldats. Certains ont été tués par balles, d’autres écrasés par des véhicules de l’armée. « Cela rappelle les pires moments de la révolution, lorsque les manifestants de Tahrir étaient directement attaqués par la police », commente Mohsen Isaaq, 27 ans, qui était dans la marche. Il y a eu par ailleurs au moins 328 blessés.

    Une manifestation pacifique

    Il s’agissait, au départ, d’une manifestation pacifique pour réclamer que l’église du village de Merinab, en Haute-Égypte, en partie brûlée la semaine dernière, soit reconstruite et que les responsables de l’attaque contre l’édifice soient arrêtés et jugés. 

    Depuis plusieurs semaines, ce village proche d’Assouan est agité par une querelle : un groupe d’habitants musulmans – salafistes, selon certains –, affirme que l’édifice est en fait une « salle commune » et que les coptes ne disposent pas du permis nécessaire pour construire les dômes qu’ils veulent ajouter. 

    Le prêtre local assure au contraire que le lieu est enregistré comme église depuis plus de quatre-vingts ans. La manifestation de dimanche se saisissait de cette dernière attaque contre les coptes pour réclamer une loi unifiée sur la construction des lieux de culte en Égypte.

    « Nous sommes partis de Choubra (quartier du nord du Caire) vers 16 heures. Il y avait environ 10 000 personnes. En arrivant dans le secteur d’Oulali, le cortège a été attaqué à coups de pierre par des habitants ou des “baltaguis” » (hommes de main du régime), raconte Bishoï Tamry, un activiste de l’Union des jeunes de Maspero, un groupe de défense du droit des coptes. 

    « Le calme est revenu et nous avons pu repartir. Arrivés devant l’hôtel Ramses Hilton, nous nous sommes retrouvés face à un cordon de soldats. Ils ont tiré en l’air pour disperser la foule », continue-t-il.

    Les soldats ont tiré à balles réelles sur la foule

    Sherif Azer, un militant des droits de l’homme, précise : « Il y avait une forte tension entre les soldats et les manifestants, qui scandaient des slogans contre le Conseil suprême des forces armées (Scaf). On m’a dit qu’il y avait eu des accrochages individuels entre soldats et manifestants, avant que la situation ne dérape. » Des coups de feu sont échangés dans la confusion.

    « La télévision d’État a tout de suite choisi sa version : les coptes sont arrivés armés et ont tiré les premiers sur les soldats qui n’ont fait que se défendre », fulmine Bola Abdu. Il semble clair que des groupes de « baltaguis », des hommes de main payés pour provoquer des violences, ont attaqué les coptes présents.

    La réaction de l’armée a été plus violente que jamais : après les tirs de sommations et les habituelles bastonnades, des véhicules blindés ont zigzagué au milieu des manifestants affolés, fauchant plusieurs personnes. Les soldats ont tiré à balles réelles sur la foule, au hasard.

    « L’armée a voulu montrer qu’elle pouvait utiliser la violence contre les manifestants avant les élections. Comme pour prévenir qu’aller manifester maintenant, c’est risquer sa vie, avance Sherif Azer. Il est plus facile de s’en prendre aux coptes, parce qu’ils savent que la population sera moins solidaire. » 

    Beaucoup redoutent que les événements ne provoquent des affrontements entre coptes et musulmans dans tout le pays, notamment en Haute-Égypte où les chrétiens sont proportionnellement plus nombreux.

    (1) Le maréchal Tantawi dirige le Conseil suprême des forces armées, au pouvoir depuis la chute de Hosni Moubarak, le 11 février dernier.

      NINA HUBINET, au Caire

    Source La Croix - 10/10/11

  • Après le printemps arabe, l'hiver démocratique ?

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Président du Front National

    Menées au nom de la liberté et des droits de l’homme, les révolutions dans les pays du Maghreb tournent au fiasco démocratique et à la poussée de mouvements islamistes violents.

    La mort dimanche de 24 chrétiens coptes au Caire qui protestaient contre l’incendie d’une église dans le sud du pays, fait suite aux nombreuses attaques meurtrières dont est victime cette minorité depuis plusieurs mois.

    Cette vague de violences s’étend également à la Tunisie, où 200 islamistes ont tenté de prendre d’assaut le siège d’une télévision privée après avoir attaqué en juillet dernier un cinéma qui diffusait un film sur la laïcité.

    Ces violentes attaques illustrent l’extrême fragilité des processus démocratiques dans des pays confrontés à l’influence grandissante des mouvements islamistes radicaux et les menaces qui pèsent sur les libertés individuelles.

    Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle condamne fermement ces violences perpétrées contre les minorités religieuses et exprime sa plus vive inquiétude face à la possibilité de voir surgir des dictatures islamistes aux portes de l’Europe.

    Elle appelle le gouvernement français à témoigner d’une solidarité particulière à l’égard de ces communautés persécutées et à rappeler aux dirigeants égyptiens et tunisiens, leur devoir d’assurer et de protéger les libertés et la démocratie.

    NPI

  • Nicolas Sarkozy menace la laïcité

     

    Par Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller République et Laïcité de Marine Le Pen

    Décidément, Nicolas Sarkozy ne comprend rien à la laïcité, et donc à la France et à la République. Sa conception de la nation est pleinement communautariste. Elle est dangereuse.

    À Erevan, le 7 octobre 2011, il cite un certain nombre de nos compatriotes, ayant atteint quelque notoriété, sous prétexte de leur origine arménienne. Sinon eux-mêmes, du moins leurs parents ou leurs grands-parents auraient trouvé en France « une seconde patrie », et non leur patrie en dehors de toute considération sur leur ascendance. Cette énumération de citoyens français en fonction de leurs racines ethniques, quels que soient les sentiments personnels des intéressés, est une atteinte portée au principe de laïcité qui place dans la sphère privée tant la religion que la généalogie de chacun.

    Déjà, le 4 octobre, il avait cru devoir flatter les protestants en déclarant que la France leur serait redevable de la liberté de conscience. Que le président de la République en déplacement dans les Cévennes aille visiter les musées réformés et des lieux qui perpétuent le souvenir des Camisards, rien de plus normal. Qu’il souligne que, grâce à la laïcité, la France a mis fin aux conflits religieux qui ne l’ont que trop déchirée, tel est son rôle. Mais que Nicolas Sarkozy se fasse historien pour courtiser un culte est un accroc à la laïcité.

    Lire la suite de cet article »

    NPI - 10/10/11

  • Copé le mauvais joueur...

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Jean-François Copé se ridiculise en persistant dans son attitude de mauvais joueur face au succès des primaires socialistes.

    Sa mauvaise humeur l’incite à s’en prendre de façon assez ridicule à Arnaud Montebourg, au point de qualifier de « dinguerie » la remise en cause de la mondialisation. Voilà qui en dit long sur le fond de sa pensée : en dehors de l’ultralibéralisme et du libre-échange point de salut. Voilà qui en dit long aussi sur son mépris pour l’électorat qui sort de la bien-pensance copéiste.

    Il faut le reconnaître : il y a à l’évidence des points de convergence entre les projets économiques de Marine Le Pen et d’Arnaud Montebourg : le dépassement du dogme du libre-échange, et la nécessité de mettre au pas les banques et les marchés financiers.
    En ce sens, le très bon score d’Arnaud Montebourg est un signe encourageant qui démontre la profonde aspiration des Français à davantage de protection, même si ces idées disparaissent désormais du débat socialiste au profit du conformisme de Martine Aubry et François Hollande.

    On doit cependant déplorer chez Arnaud Montebourg un manque de cohérence : il n’est pas possible de sortir de la mondialisation débridée sans remise en cause des principes ultralibéraux de l’Union européenne, sans réflexion sur l’euro ; et chacun sait que le protectionnisme au niveau européen restera toujours une chimère, tant il est contraire à l’idéologie européiste. Arnaud Montebourg ne va donc pas au bout de sa logique, et c’est regrettable.

    NPI

  • Laurence Parisot vs Marine Le Pen

    09/10/11

  • Polémique à Lyon autour d'un banquet à la mémoire du Maréchal Pétain

    Il est prévu le 15 octobre prochain à l’occasion du XIVe «Forum de la nation» qui se déroulera au Pavillon du parc de la Tête d’Or.
    Il s’agit d’un colloque regroupant des associations et groupuscules d'extrême-droite. Et cette année le banquet de clôture rendra hommage au Maréchal Pétain.

     Contrairement aux années précédentes, il ne se tiendra pas au même endroit que le colloque, mais dans un autre lieu de la région lyonnaise, tenu secret.

     
    Rédigé par L. L. dans Divers le 07/10/2011
  • Auprès de ma blonde

    Composée sous Louis XIV en 1704 et attribuée, selon une tradition locale, à André Joubert du Collet, cette chanson est probablement l’une des plus représentatives des chants populaires français.
    Cette marche militaire, dont le titre original (« le prisonnier de Hollande ») cadre avec les différents conflits du XVIIe siècle, fut rapidement très populaire à l’époque parmi les troupes.
    Ainsi, l’histoire rapporte que les soldats du duc de Villars, maréchal de France du XVIIe siècle (1653 – 1734) la chantaient en entrant au Quesnoy en 1712.
    Ce chant de marche, populaire encore au XIXe siècle et jusque dans les tranchées de la Grande guerre, passa ensuite dans le grand public puis comme beaucoup d’autres, fut classé parmi les chansons enfantines.
    A noter que l’air pourrait être plus ancien et remonter au XVIe siècle …
    Dans une version ancienne, on peut lire :

    Mon père a fait faire
    Un petit bois joli
    Le rossignol y chante
    Et le jour, et la nuit.
    Il chante pour les filles
    Qui n’ont pas d’amis
    Il chante aussi pour moi
    Car j’en ai un joli

    Il n’est point dans la danse
    Il est bien loin d’ici
    Il est dans la Hollande
    Les Hollandais l’ont pris

    Cette chanson a certainement été retouchée par des auteurs anonymes depuis cette époque, jusqu’à la version que nous connaissons aujourd’hui.

    L’interprétation est ici d’Aimé Doniat, disque 33t « chants et musiques de France ». Autre interprétation : http://www.youtube.com/watch?v=9jUQIIHYwo0

    Dans les jardins d’mon père
    Les lilas sont fleuris ;
    Tous les oiseaux du monde
    Vienn’nt y faire leurs nids.

    Refrain
    Auprès de ma blonde
    Qu’il fait bon, fait bon, fait bon,
    Auprès de ma blonde
    Qu’il fait bon dormir.

    Tous les oiseaux du monde
    Vienn’nt y faire leurs nids ;
    La caill’, la tourterelle
    Et la joli’ perdrix.

    Et ma jolie colombe,
    Qui chante jour et nuit.

    Qui chante pour les filles
    Qui n’ont pas de mari

    Pour moi ne chante guère
    Car j’en ai un joli

    « Dites-nous donc la belle
    « Où donc est votr’ mari ?

    Il est dans la Hollande
    Les Hollandais l’ont pris

    Que donneriez-vous belle
    Pour avoir votre ami ?

    Je donnerai Versailles
    Paris et Saint-Denis

    Les tours de Notre-Dame,
    Et l’clocher d’mon pays

    Et ma blanche colombe
    Qui l’attend jour et nuit

    Contre-info. com - 09/1011

  • Le Tyrol du sud veut racheter sa liberté à Rome

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    (Cliquez sur la photo)

    05/10/2011

    ROME (NOVOpress, via kurier.at) — Le Tyrol du sud veut tirer profit de la menace d’une faillite de l’Italie pour acheter à Rome sa complète autonomie.

    Thomas Widmann, vice-président du Südtiroler Volkspartei (crédit : svpartei.org)

    Thomas Widmann, vice-président du Südtiroler Volkspartei (crédit : svpartei.org)

    « Tirons-nous de ce foutoir » – C’est, en d’autres termes, ce que souhaite Thomas Widmann (photo), vice-président du Südtiroler Volkspartei (SVP) – le “parti populaire du Tyrol du sud”. Ce qu’il entend par là, c’est la totale autonomie du Tyrol du sud. Une autonomie dans laquelle l’État ne conserverait que quelques compétences clé telles que la monnaie et la politique extérieure. Widmann est persuadé que la situation est désormais favorable pour faire ce pas. Le conseil de la province veut profiter de la situation de quasi-banqueroute de l’État italien pour « racheter » à Rome sa totale autonomie. Le moment est venu de s’emparer des compétences de la souveraineté fiscale, la souveraineté juridictionnelle et la police provinciale : « Nous sommes en train de calculer le prix de ces services, et rajoutons encore dix ans par-dessus le marché : mais après ça, nous sommes sortis de ce merdier » – c’est en ces termes que le quotidien tyrolien du sud Dolomiten(Dolomites) a cité le vice-président de la province.

    Le Tyrol du sud veut, à travers cette mesure, lancer le processus de « fuite en avant ». La province ne veut plus assumer son rôle de « cochon de payeur » : l’accord de Milan lui a fait renoncer, selon Widmann, à 500 millions d’euros. La facture du pacte de stabilité s’élèvera à son tour à 280 millions d’euros. « Mais si nous continuons à faire des chèques de ce montant pendant trois ans encore, le Tyrol du sud n’aura plus aucune marge de manœuvre », argumente Widmann. En dépit des efforts accomplis, le plan d’épargne romain de 60 milliards d’euros aura un effet « quasiment nul ». Comme la note de solvabilité de l’Italie a été abaissée, Rome doit payer davantage d’intérêts pour ses obligations de 50 milliards. « L’Italie ne s’est donc pas éloignée d’un millimètre de la situation de faillite par rapport à la situation précédente », a souligné Widmann.

    Le budget de la province doit faire face à des hausses de coûts indéniables au niveau de la santé et du personnel. Tôt ou tard, le Tyrol du sud manquera d’argent pour le social, l’économie et bien d’autres mesures de gestion.

    « Politiciens : il y en a marre »

    La situation politique en Italie, dans un pays à l’économie chancelante, fait l’objet d’un flot de critiques ininterrompues de personnalités italiennes en vue. Samedi dernier, c’est le patron de la marque de chaussures de luxe Tod’s, Diego Della Valle, qui a placé une annonce en pleine page dans les grands quotidiens du pays portant le titre : « Politiciens : il y en a marre ».

    Le texte de l’annonce dit qu’il est temps que les politiciens se réveillent et se rendent compte que beaucoup de gens dans le pays ne leur font plus confiance, voire ne les respectent plus. Beaucoup d’Italiens ne veulent plus être représentés par une classe politique qui, à de rares exceptions près, a perdu tout contact avec la réalité et ne sait plus ce dont les gens ont vraiment besoin. Au lieu de cela, les politiciens n’auraient plus en tête que leurs intérêts personnels ou ceux de leur parti. Cela nuit à la réputation de l’Italie et mène le pays à la ruine.

    Associations patronales

    Les critiques à l’encontre du premier ministre Silvio Berlusconi et de son gouvernement de centre-droit n’ont cessé d’enfler au sein de la population et des décideurs de l‘économie. Ceux qui les émettent reprochent au gouvernement de réagir trop mollement à la crise financière et économique. L’association patronale Confindustria, entre autres, a exigé un plus grand engagement de la part du gouvernement. « Nous en avons marre de passer pour des clowns dans le monde entier », avait en substance déclaré la présidente de la Confindustria, Emma Marcegaglia.

    L’association a menacé, vendredi dernier, de quitter la table des négociations menées avec le gouvernement à propos de la maîtrise de la crise si des mesures n’étaient pas rapidement prises pour relancer l’économie, réformer la fiscalité et limiter les retraites et les dépenses publiques. Berlusconi lui-même doit faire face à quatre procès, entre autres pour corruption et des affaires de mœurs.

    Lundi dernier, le président de la conférence épiscopale italienne avait fustigé le manque de morale de la classe politique italienne en en appelant à une tempête salvatrice. Le pape Benoît XVI avait, quelques jours auparavant, appelé à un renouveau moral en Italie dans un télégramme adressé au chef de l’État, Giorgio Napolitano.

    Crédit photo : MyNeChimKi via Flickr (image sous licence creative commons)

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Crise grecque: notre argent servira à acheter 400 chars lourds US et 20 blindés amphibies

     

    Le gouvernement grec veut acquérir 400 chars Abrams M1A1 et 20 engins blindés amphibies AAV7A1 aux Etats-Unis pour un coût estimé à des centaines de millions d’euros, selon la revue très spécialisée Hellenic Defense & Technology. Les coûts précis ne sont pas connus, mais un char de ce type vaudrait dans les 3,2 millions d’euros d’unité. Le gouvernement américain devrait bientôt donner son accord.

    Vu que la Grèce se trouve au bord de la faillite et doit fortement économiser, on ne peut que s’étonner d’une telle commande qui ne correspond en rien aux besoins des forces armées helléniques, puisque l’armée grecque a déjà commandé à l’Allemagne 70 Leopard-2 Hel (Hellenic), qui ont été livrés entre 2006 et 2009.

    Le peuple grec descend mercredi dans la rue afin de protester contre les plans du gouvernement.

    Source

    NPI

  • Ségolène Royal, présidente des Africains, à Mantes-la-Jolie et à Barbès

    Après Saint-Denis et Argenteuil, Ségolène Royal était en campagne pour les primaires socialistes au Val-Fourré de Mantes-la-Jolie et à Barbès.

     "J’ai besoin de votre énergie pour que nous redressions la France."
    Ségolène Royal au Val-Fourré

      "Avec elle, la France c’est nous tous ! Elle est multiculturelle, multiethnique ! Ça c’est la France ! Une France métissée, une France multicolore !"

     Défrancisation - 08/10/11

  • DSK en embuscade dans son fief de Sarcelles

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    (Cliquez sur la photo)

    Peu après son entrée dans le bureau de vote, il a salué l’actuel député-maire (PS) de la commune, François Pupponi, la première adjointe, un ancien proche conseiller, puis a pris dans ses bras et embrassé une ancienne élue municipale, vice-présidente du bureau de vote.

    "Bonjour, patron !", lui ont-ils lancé.

    En l’espace de quelques secondes, Dominique Strauss-Kahn a émargé, glissé un billet comme participation financière dans la boîte prévue à cet effet puis s’est dirigé vers l’isoloir. Il a glissé ensuite son bulletin dans l’urne et affirmé aux quelques journalistes présents qu’il ne ferait "aucune déclaration", avant de préciser que le scrutin de la primaire socialiste était "très important". Il a tout de même déclaré qu'il avait voté pour Martine Aubry.

    DSK, à l’abri de toute poursuite pénale aux Etats-Unis après l’abandon des charges concernant les accusations de la femme de chambre de l’hôtel Sofitel de New York, reste visé par une procédure civile aux Etats-Unis et par une plainte pour tentative de viol en France.

    09/10/11

  • Sarcelles: DSK est allé voter pour Aubry

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Dominique Strauss-Kahn est arrivé peu avant 16 heures au bureau de vote de l'hôtel de ville de Sarcelles (Val-d'Oise) pour participer au vote à l'occasion de la primaire socialiste. Vêtu d'un costume sombre et d'une chemise blanche, une barbe naissante sur les joues, il est arrivé seul au volant de sa voiture.

     

    Dans le bureau, c'est avec une certaine émotion qu'il a serré la main d'anciens collaborateurs. Ceux-ci l'ont salué d'un joyeux «bonjour patron».

    C'est la première fois que Dominique Strauss-Kahn revient à Sarcelles depuis son retour des Etats-Unis. L'ancien député-maire de la ville y est en effet toujours inscrit sur les listes électorales.

    Après avoir émargé et glissé un billet dans la boîte des contributions, il s'est rendu dans l'isoloir. «J'ai voté comme un citoyen de gauche», a simplement expliqué DSK, sans annoncer quel candidat il soutenait. Dominique Strauss-Kahn s'est ensuite dirigé vers le bureau du maire François Pupponi, qu'il a finalement quitté vers 16h15.
    Suivi jusqu'à sa voiture par des journalistes, il a finalement lancé : «Ce n'est un secret pour personne, j'ai voté pour Martine Aubry».

    09/10/11

  • Une émission sur la Palestine déclenche une polémique

    La diffusion lundi sur France 2 d'un reportage sur l'avenir de l'Etat palestinien a provoqué de vives réactions de la part de la communauté juive, qui dénonce un parti pris. La direction de France Télévisions va être reçue par l'ambassadeur d'Israël pour s'expliquer.

    http://oeil-sur-la-planete.france2.fr/?page=emissions&id_rubrique=89

    La diffusion sur France 2 d'une émission sur les Territoires palestiniens a déclenché une vive polémique cette semaine, amenant le président de France Télévisions a annoncer qu'il allait prochainement rencontrer l'ambassadeur d'Israël et les représentants de la communauté juive en France.

    En cause : un numéro du magazine Un oeil sur la planète diffusé lundi 3 octobre à 22h45 et intitulé «Un État palestinien est-il encore possible ?» (visible ICI). Cette émission «a entraîné au sein de la communauté juive une intense émotion et une stupéfaction écœurée», a déclaré le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Richard Prasquier, dans une lettre ouverte à Rémy Pflimlin, patron du groupe audiovisuel public.

    Le CRIF juge en effet que l'équipe qui l'a réalisée «a présenté, d'un conflit complexe, une image caricaturale et unilatérale», «en distordant les causalités, en ridiculisant l'adversaire, sans éviter les insinuations à la limite des théories conspirationistes antisémites». Dans cette lettre, Richard Prasquier demandait à rencontrer Rémy Pflimlin.

    Le présentateur menacé

    Un groupe a été créé sur Facebook, «Boycott France Télévisions». Le but «est non pas de boycotter France 2 puisque nous savons tous que ca ne sera jamais appliqué, mais que France 2 revienne sur cette émission et présente des excuses», peut-on notamment lire sur cette page.

    Le rédacteur en chef de l'émission, Patrick Boitet, a tenu à réagir à cette controverse. Dans les colonnes du Parisien, il s'explique : «Nous avons fait notre travail de journalistes avec rigueur (...) Pour le Proche-Orient, les opinions s'enflamment facilement. Mais là, c'est exagéré». Il raconte notamment avoir reçu «800 mails» cette semaine, «où nous sommes traités de petits nazillons». Le présentateur de l'émission, Etienne Leenhardt, aurait par ailleurs été physiquement menacé.

    L'ambassade d'Israël à Paris n'a pas réagi à ces informations samedi, jour du Yom Kippour, le Grand Pardon, la fête la plus importante du judaïsme.

     08/10/11

  • Arnaud Montebourg, famille et vie privée (Wikipédia)

    Arnaud Montebourg est le fils de Michel Montebourg, fonctionnaire des Impôts, et de Leïla Mint Cadi, universitaire, professeur d'espagnol et essayiste issue, par son père, Khermiche Ould Cadi, d'une famille de walis de l'Algérie française[2] et d'une mère normande[3].

    Il a épousé le 31 mai 1997, la veille du second tour des élections législatives qui le virent devenir député, en l'abbaye cistercienne de Valmagne, Hortense de Labriffe, née en 1968, fille du comte Antoine de Labriffe et d'Anne de Lacretelle et petite-fille par son père du comte Pierre de Labriffe — propriétaire du Château de Gambais, dans les Yvelines — et par sa mère de l'académicien Jacques de Lacretelle (1888-1985). Elle a été collaboratrice d'Édouard Balladur et de Philippe Douste-Blazy. Elle est aujourd'hui déléguée générale de l'API (Association des producteurs indépendants du cinéma français) et secrétaire générale d'Uniciné (Union des cinémas – France). Ils ont deux enfants, Paul né en 2000 et Adèle née en 2002.

    Début 2010, la presse people révèle sa relation avec la journaliste Audrey Pulvar, présentatrice sur la chaîne d'information en continu i>Télé.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Montebourg

    (Wikipédia)

  • La Syrie frappera Israël en cas d'attaque de l'OTAN

     

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    Le président syrien Bachar el-Assad promet de tirer des « centaines de missiles » sur le territoire israélien si l’Otan attaque son pays, rapporte mercredi l’agence d’information iranienne Fars.

    « Il ne me faudra que six heures pour transférer des centaines de missiles et d’obus sur les hauteurs du Golan et les tirer sur Tel-Aviv », a déclaré le leader syrien au cours d’une rencontre avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu.

    L’agence Fars ne précise pas la date exacte de la rencontre. Toutefois, certains médias affirment que cette déclaration a été faite le 9 août à Damas. Toujours selon Fars, en cas de frappe contre la Syrie, l’Iran attaquera les bâtiments de guerre américains dans le golfe Persique et demandera au mouvement chiite libanais Hezbollah de lancer des tirs de roquettes contre Israël.

    « L’Iran attaquera les navires américains dans le golfe Persique, et les intérêts américains et européens dans la région seront menacés », a déclaré M.Assad cité par l’agence iranienne.

    La Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime en place. Les troubles ont débuté à Deraa (sud) avant de s’étendre à d’autres villes. Selon les données de l’Onu, la répression de la révolte populaire par les forces de sécurité aurait fait plus de 2.700 morts.

    05/10/11