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Blog - Page 1370

  • Mouammar Khadafi promet de poursuivre la lutte

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    TRIPOLI (Reuters) - Mouammar Kadhafi, qui n'a plus été vu en public depuis la prise de Tripoli par les insurgés libyens, a appelé jeudi ses partisans à poursuivre le combat et a promis une longue lutte qui "embrasera la Libye".

    Selon un chef militaire des autorités provisoires à Tripoli, le dirigeant libyen se trouverait à Bani Walid, ville du désert à 150 km au sud-est de Tripoli.

    Quarante-deux ans jour pour jour après l'arrivée au pouvoir du "guide", une conférence internationale de soutien à la Libye nouvelle s'est ouverte à Paris en présence des dirigeants de l'insurrection, qui contrôle la majeure partie du territoire libyen après six mois de guerre civile.

    Sur le front, le Conseil national de transition (CNT) a repoussé d'une semaine, jusqu'au 10 septembre, l'ultimatum lancé aux soldats et partisans de Kadhafi, notamment ceux qui défendent sa ville natale, Syrte, à 450 km à l'est de la capitale. Le CNT leur laisse ce délai pour déposer les armes, faute de quoi l'assaut sera lancé contre leurs positions.

    Dans une déclaration diffusée sous forme écrite par la chaîne satellitaire syrienne Arraï, Mouammar Kadhafi assure que les tribus qui lui sont restées fidèles à Syrte, sur la côte méditerranéenne, et à Bani Walid, à l'intérieur des terres, sont armées et qu'elles ne seront pas vaincues.

    "NOUS NE SOMMES PAS DES FEMMES"

    Affirmant que les forces de ses ennemis sont divisées, il demande à ses partisans de continuer à se battre même s'ils ne peuvent entendre sa voix. "Nous n'abandonnerons pas, nous ne sommes pas des femmes. Nous continuerons à nous battre", lance-t-il dans cette déclaration.

    Mercredi soir, l'un de ses fils, Saadi, déclarait pourtant à la chaîne de télévision Al Arabia qu'il avait été mandaté par son père pour négocier avec le CNT afin de mettre un terme aux affrontements.

    Le chef du conseil militaire installé à Tripoli, Abdoul Hakim Belhadj, a confirmé à Reuters avoir parlé au téléphone avec Saadi Kadhafi et lui avoir promis qu'il serait correctement traité s'il se rendait.

    Mais un autre fils du "guide", Saïf al Islam, affirmant parler d'un faubourg de la capitale, a juré de poursuivre le combat et de libérer Tripoli.

    Selon Abdel Madjid Mlegta, coordinateur des opérations militaires au CNT, Mouammar Kadhafi, Saïf al Islam et le chef des services de renseignements Abdallah al Senoussi ont gagné Bani Walid, ville d'environ 50.000 habitants, trois jours après la chute de Tripoli la semaine dernière.

    Tous trois sont recherchés par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye pour crimes contre l'humanité.

    Les combattants du CNT ont déclaré mardi qu'ils ne se trouvaient qu'à une trentaine de kilomètres de Bani Walid.

    Des poches de résistance demeurent et les pro-Kadhafi tiennent également, outre Syrte et Bani Walid, l'oasis de Sebha, dans le centre-ouest du pays.

    DÉBLOCAGE D'AVOIRS LIBYENS

    Mercredi, l'Otan a mené des raids aériens contre des batteries lance-roquettes près de Syrte. L'Alliance a également visé un dépôt de munitions et un centre de commandement près de Bani Walid, a annoncé un porte-parole à Bruxelles.

    Sur le plan diplomatique, la Russie a finalement reconnu le CNT, juste avant l'ouverture de la conférence de Paris.

    L'Union européenne a décidé pour sa part de mettre un terme à ses sanctions visant six ports libyens et plusieurs sociétés pétrolières et bancaires.

    A Paris, la France et la Grande-Bretagne, fers de lance de l'opération qui a permis aux opposants libyens de renverser Kadhafi, sont parvenus à réunir les représentants d'une soixantaine de pays et d'organisations internationales.

    L'aide d'urgence à un pays ravagé par les combats depuis six mois est au menu de la conférence, de même que la transition politique, Paris et Londres étant soucieux d'éviter en Libye les erreurs commises en Irak après la chute de Saddam Hussein.

    Mais la reconstruction d'un pays riche en pétrole et gaz et en manque d'infrastructures est aussi dans tous les esprits.

    La France a obtenu l'autorisation de débloquer 1,5 milliard d'euros d'avoirs libyens gelés afin que le CNT puisse engager la reconstruction, a annoncé Alain Juppé, le ministre des Affaires étrangères.

    Avec Mohammed Abbas à Tripoli, Maria Golovnina à Misrata, Emma Farge, Robert Birsel et Alex Dziadosz à Benghazi, Richard Valdmanis et Alastair Macdonald à Tunis, Justyna Pawlak à Bruxelles et Yann le Guernigou à Paris, Guy Kerivel pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    01/09/11

  • Sarkozy menace l'Iran d'attaque préventive !


    Sarkozy menace l'Iran!
    Qu’est-il arrivé à la France pour qu’elle aborde le XXIe siècle, arme à la main, dans des loques des guerriers des temps révolus, elle, qui entra dans le XXe toute contrit de son passé de puissance coloniale déchue ?

    Comment cette nation de raison qui enseigna longtemps à l’humanité les B-ABA de la démocratie s’est-elle réduite au rang d’un pantin manipulable, manipulé aux services des intérêts de Washington et de Tel-Aviv ? Hargneuse, irrationnelle, agressive, homicide, cette France que Sarkozy représente cumule les confrontations armées et de conflit en conflit, se ruine, croyant naïvement que le pétrole et le gaz volés aux pays conquis sous prétexte oh combien ridicule de l’humanitaire sauraient raboter sa dette abyssale, requinquer son économie, faire en sorte qu’un Français sur sept ne vivent plus sous le seuil de pauvreté.
     
    Cette France aveuglée par son tropisme pro-américain menace aujourd’hui l’Iran d’« attaque préventive ». Imbue sans doute de ses trophées de guerre en Libye, elle dit vouloir « frapper les sites nucléaires civils » d’un pays souverain, situé à des centaines de kilomètres de son territoire national pour le stopper net dans ses soi-disant « ambitions nucléaires » à ce jour non-prouvées.
     
    A entendre son Président, cette France-là veut singer l’Amérique de l’ère Bush avec le même aveuglement, la même démence, le même obscurantisme avant de connaitre les mêmes déboires. Ces menaces, qu’elles soient réelles ou fictives, marquent un tournant dans la diplomatie française, une désormais diplomatie de la canonnière que Sarkozy pratique au nom du « politiquement correct» et « économiquement juteux». Mais est-ce réellement correct et juteux ? L’Irak, l’Afghanistan prouvent le contraire. Quant à la Libye, nemo legem ignorare censetur et la loi veut que la colonisation et la dictature soinet les deux facettes d’une même médaille.
     
    IRIB
     
    ALTER INFO -01/09/11

  • Rocard s'excuse de ses propos sur la maladie mentale de son ami DSK... - La culture de l'excuse !

    L'ex-Premier ministre socialiste Michel Rocard a tenu à s'excuser mercredi auprès de son "ami" Dominique Strauss-Kahn, dont il avait estimé lundi qu'il était atteint d'une "maladie mentale" qui l'empêchait de "maîtriser ses pulsions".

    Michel Rocard a assuré qu'il "regrettait que les propos à l'emporte-pièce qu'il a tenus sur Canal+ aient pu être blessants pour son ami Dominique Strauss-Kahn et il tient à s'en excuser auprès de lui".

    Lors de l'émission Le Grand Journal de Canal+, Michel Rocard avait lancé : "Cet homme a visiblement une maladie mentale", éprouvant des "difficultés à maîtriser ses pulsions. C'est dommage, il avait un vrai talent, c'est vrai".

    TF1 News - 31/08/11

  • La leçon de morale de retour à l'école primaire...

    Le ministère de l'Éducation veut réactiver l'apprentissage des préceptes du bon sens citoyen. 

    Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage …» Le ministère de l'Éducation nationale fait une nouvelle offensive pour restaurer les leçons de morale à l'école primaire par le biais de maximes très simples. Glissées dans les nouveaux programmes de l'école primaire élaborés en 2008 par les services de Xavier Darcos, sentences et maximes d'autrefois reviennent sur le devant de la scène. Une note de synthèse de l'Inspection générale de l'Éducation nationale sur l'application de la réforme du primaire de juillet dernier note qu' «en instruction civique et morale, la morale n'est presque jamais abordée et l'utilisation de maximes illustrées demeure rarissime» . Explications : un manque de temps pour boucler les programmes, mais aussi une conception jugée «passéiste» par les enseignants, qui préfèrent souvent traiter de thématiques liées à la vie de l'école.

    D'où la volonté du ministère d'enfoncer le clou. Dans la circulaire pour la rentrée 2011, qui sert de trame aux enseignants pour les nouveautés de l'année, Jean-Michel Blanquer, directeur général de l'enseignement scolaire, a tenu à réaffirmer qu'«il est indispensable que l'école réaffirme son engagement dans la transmission de références communes qui permettent de penser, vivre et agir ensemble». Et de poursuivre : «Ceci doit se traduire, dès l'école primaire, par des exercices concrets. Les maîtres peuvent recourir par exemple à l'exercice classique de commentaire quotidien d'une maxime ou d'un exemple remarquable, pour aider l'enfant à acquérir les repères et les principes de la citoyenneté et de la vie collective.» Un air d'antan souffle sur la tête de nos petits chérubins. Afin de définir une méthode, un groupe de travail devrait se réunir dans les prochains jours, avec le projet de produire un livret de maximes.

    Ces dernières années, plusieurs ouvrages de morale du début du siècle sont ressortis en librairie, rencontrant leur petit succès, preuve que l'engouement pour une certaine nostalgie ne se dément pas. Auteur des Cahier pratique de morale *, l'historien Jacques Gimard raconte que «le principe de la maxime inscrite au tableau chaque matin, instauré en 1882 avec les premiers programmes de Jules Ferry, rencontrait déjà des premières oppositions dans les années 1920 parmi certains maîtres… Il a totalement disparu à la fin des années 1960, avec les circulaires Edgar Faure». Françoise, quasi la cinquantaine, se souvient encore «comme si c'était hier» de ces maximes écrites en pleins et en déliés sur le tableau noir, qu'elle apprenait chaque matin à l'école primaire d'un bourg ardéchois.

    Un peu plus d'éducation civique 

    Mais leur retour n'est pas forcément applaudi par tous. «Réintroduire les maximes de morale au tableau et les apprendre par cœur est une fausse bonne idée, poursuit Jacques Gimard. C'est totalement dépassé !» Sur le terrain, les pratiques sont très diverses. Reste que des méthodes plus modernes peuvent utiliser ces maximes : enseignante en CM1 à Carcassonne, Colette Monfrait, comme plusieurs de ces collègues, fait travailler ses élèves sur ces vieilles maximes. « C'est un moment que les enfants adorent ! explique-t-elle. Chaque semaine au premier trimestre, je les fais réfléchir et écrire sur une maxime que deux d'entre eux ont choisie dans un petit recueil. Aux deuxième et troisième trimestres, nous organisons des discussions sous le préau à partir de ces maximes d'antan !»

    De «Pierre qui roule n'amasse pas mousse» à «Bien mal acquis ne profite jamais» en passant par «Qui vole un œuf vole un bœuf», elles sont ensuite affichées dans la classe. Tout en refusant ce qu'il appelle «l'école de grand-papa», Sébastien Shir, secrétaire général du syndicat des enseignants du primaire Snuipp, insiste sur la nécessité de débattre avec les élèves à partir de questions sur le respect d'autrui, le bien et le mal, plutôt qu'un apprentissage par cœur. Autrement dit de faire un peu plus d'éducation civique.

    (1) «Cahier pratique de morale», Hors Collection, et «La Morale à l'école», Berg International.(2) La morale à l'école Berg International

    Source Le Figaro - 31/08/11

     

  • Libye - Seif al-Islam, dans une banlieue de Tripoli, appelle à résister

    mercredi 31 août 2011, par La Rédaction

    L’un des fils de Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam, a affirmé mercredi se trouver dans la banlieue de Tripoli et a appelé à "résister" malgré la chute de la capitale libyenne aux mains des insurgés, dans un message sonore diffusé par la télévision Arrai, dont le siège est à Damas.
    "Je vous parle d’une banlieue de Tripoli. Nous voulons tranquilliser le peuple libyen, nous sommes toujours là, la résistance continue et la victoire est proche", a dit Seif al-Islam, traqué par la rébellion de même que sa famille, selon ce message.


    "Chaque Libyen est Mouammar Kadhafi, chaque Libyen est Seif al-Islam. Là où vous vous trouvez face à un ennemi, combattez-le", a-t-il ajouté. "Le Guide se porte bien", a-t-il encore dit.

    Seif al-Islam Kadhafi a en outre mis en garde contre une offensive sur Syrte où seraient massés 20.000 hommes armés.


    La chaîne arabe Arrai avait diffusé il y a dix jours des messages de son père, la télévision libyenne étant aux mains des rebelles.

    Source Al-Oufok - 31/08/11

  • Affaire Bettencourt: l'ex-infirmière nie avoir parlé de Sarkozy mais dit avoir reçu "des menaces de mort"

    Laurent Neumann - Marianne | Mercredi 31 Août 2011

     L'infirmière au service de LIliane Bettencourt affirme n'avoir pas parlé à la greffière de la remise d'une enveloppe à Nicolas Sarkozy, contrairement à ce qu'a déclaré Isabelle Prévost-Desprez dans un livre dont les médias se sont faits l'écho ce matin. En revanche, elle porte des accusations graves sur les pressions qu'elle affirme avoir subies. Témoignage complet dans l'édition, papier de Marianne du 3 septembre.

      Elle a une petite cinquantaine d’année, elle vit dans la toute proche banlieue parisienne et elle est infirmière depuis 1999. « H.Y. » a travaillé au service de Liliane Bettencourt, l’héritière L’Oréal, de septembre 2006 à juillet 2007, date à laquelle, dit-elle, le photographe François-Marie Banier a conseillé à sa patronne de se séparer d’elle. Dans un livre, « Sarko m’a tuer » (Stock) de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, journalistes au Monde, la juge Isabelle Prévost-Desprez assure qu’à l’issue de son audition, le 22 juillet 2010, l’infirmière aurait avoué à sa greffière : « J’ai vu des remises d’espèces à Sarkozy, mais je ne pouvais pas le dire sur procès-verbal ».

    Un rebondissement de plus dans le volet politique de l’affaire Woerth-Bettencourt, puisque, voici un an déjà, l’ancienne comptable de la milliardaire, Claire Thibout, avait affirmé aux policiers qu’une enveloppe de 150.000 euros en liquide avait été remise à l’ancien trésorier de l’UMP, Eric Woerth.

    « H.Y. » a accepté de répondre à Marianne dans un entretien détaillé publié dans notre édition de samedi 3 septembre. En voici quelques extraits : « Lorsque j’ai été auditionnée par la juge Isabelle Prévost-Desprez, assure-t-elle, je ne lui ai pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre. Je n’en ai parlé ni à la juge, ni à sa greffière ». En revanche, « H.Y. » confirme le climat de peur qui règne autour de cette affaire : « J’ai reçu des menaces de mort. On m’a fait savoir qu’à cause de mon témoignage dans l’affaire Banier-Bettencourt (NDLR, le 24 janvier 2008), on allait retrouver mon corps dans la Seine ». Pour autant, « H.Y. » n’a pas souhaité porter plainte après ces menaces. « Porter plainte contre qui ? Contre l’invisible ? Contre l’Etat ? (…), dit-elle à Marianne. A l’époque, aucun avocat n’a voulu s’occuper de moi au motif qu’il s’agissait d’une affaire sensible. Aussi, désormais, je ne parlerai plus qu’aux juges. Si un juge veut m’entendre, je suis à sa disposition ».
     
    Source Marianne 2 - 31/08/11



  • L'humour de Roxx

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    (Cliquez sur le dessin)

    Source  LE POST - 31/08/11

  • En Autriche, pas de démocratie sans critique de l'islam

    31/08/2011 11h00
    VIENNE (NOVOpress) –
    En matière de vie sexuelle et conjugale, l’empereur François-Joseph, le mari de Sissi, eut peu à voir avec Mahomet, lequel, selon la tradition musulmane, épousa sa femme préférée, Aïcha, lorsqu’elle avait six ans et la posséda physiquement dès qu’elle en eut neuf. C’est pourtant une vieille loi de François-Joseph qui a valu 480 € d’amende à Elisabeth Sabaditsch-Wolff, du mouvement citoyen « Pax Europa », pour avoir qualifié Mahomet de pédophile. Le 15 février dernier, un juge de Vienne l’a acquittée de l’accusation d’incitation à la haine mais jugée coupable de «dénigrement de croyance religieuse» d’une religion officiellement reconnue.

    Pour comprendre cette curiosité juridique, il faut remonter aux années d’emballement belliciste qui précédèrent et préparèrent immédiatement le grand suicide européen de la Première Guerre mondiale. En 1908, l’Autriche-Hongrie annexe officiellement la Bosnie-Herzégovine. 700 000 musulmans deviennent ainsi sujets de la double monarchie. Par une loi du 15 juillet 1912, François-Joseph accorde alors à «l’islam, selon le rite hanafite » le statut de «religion reconnue», à l’exercice protégé par l’État. L’article 6 précise que «jouiront de la même protection la doctrine de l’islam, ses institutions et ses coutumes dans la mesure où celles-ci ne sont pas contraires aux lois de l’État». Cette loi survécut à l’effondrement de la monarchie multiethnique et multiculturelle des Habsbourg en 1918 et est restée officiellement en vigueur jusqu’à nos jours. Pendant longtemps, elle resta sans application. Les vagues récentes d’immigration musulmane dans la petite Autriche lui ont redonné une redoutable actualité.

    C’est donc en tant que condamnée pour avoir dénigré Mahomet qu’Elisabeth Sabaditsch-Wolff a pris la parole la semaine dernière lors d’une table ronde organisé sous la présidence de Heinz-Christian Strache, le dynamique leader de la FPÖ (Parti de la liberté autrichien) sur le thème : « L’Europe en mutation : y a-t-il des possibilités d’accord avec l’islam(isme) ou y aura-t-il un déclin de notre société et de ses valeurs ? »

     

    Dans son intervention, Elisabeth Sabaditsch-Wolff a commencé par constater que l’Europe est effectivement en mutation. « La société européenne est en train de changer pour passer d’une société libre à une société déterminée par la charia. Vous allez vous demander comment j’arrive à cette conclusion, alors qu’il n’y a en Autriche depuis dix ans que 500 000 musulmans. Mais il n’y a pas besoin de plus de 500 000 musulmans, même 50 000 ou 100 000 suffisent, pour exercer la pression que nous ressentons tous ». L’islam, a expliqué Elisabeth Sabaditsch-Wolff, ignorant complètement le principe de la séparation de l’Église et de l’État, « l’islam n’est pas une religion de la sphère privée. Si c’était le cas, je ne serais pas assise à cette tribune et je n’aurais absolument aucun problème avec l’islam. Mais le problème que nous avons avec l’islam, c’est que les valeurs de l’islam font irruption dans notre société, et cela non par la voie du débat parlementaire, mais par une pression exercée de l’extérieur ».

    « L’islam en tant que tel », a souligné Elisabeth Sabaditsch-Wolff, « exclut tout compromis et toute tolérance » et la notion de tolérance que l’on peut trouver dans l’islam n’a rien à voir avec celle que nous connaissons. « Il n’y a pas de pluralisme de religion et de pensée, et c’est précisément cela qui est directement opposé à notre mode de vie occidental ». Aussi ceux qui espèrent une sorte de Réforme de l’islam, « un Martin Luther musulman » se font-ils des illusions [on pourrait ajouter qu’ils se font une idée de Luther assez peu conforme à la réalité historique car Luther n’était pas précisément un champion de la tolérance et du pluralisme, NdT]. « Il n’y aura pas de Martin Luther musulman »

    Dénonçant la manière dont toute critique de l’Islam était diabolisée comme « islamophobie », Elisabeth Sabaditsch-Wolff a rappelé les procédures judiciaires lancées contre elle et contre d’autres critiques de l’islam à travers l’Europe, comme Geert Wilders aux Pays-Bas. Dans le cas de l’Autriche, la loi de 1912 (accordant protection à la doctrine de l’islam dans la mesure où celle-ci n’est pas contraire aux lois de l’Etat), est sans cesse rappelée désormais par les politiciens mais elle n’est pas véritablement appliquée. Elle ne pourra l’être tant qu’on n’aura pas examiné ce qu’est vraiment la doctrine de l’islam et dans quelle mesure celle-ci est compatible avec les lois autrichiennes. « Depuis 1912 et jusqu’à aujourd’hui, les autorités autrichiennes ne connaissent pas officiellement le contenu de l’islam. Cela doit changer. C’est aussi un appel aux hommes politiques à faire enfin quelque chose. Mon second souhait est que, en Europe, ceux qui critiquent l’islam cessent d’être diffamés. Car, si nous ne tolérons plus la critique, alors nous tuons la liberté de parole. Et la liberté de parole est essentielle pour la démocratie. Si nous n’avons pas de liberté de parole, nous pouvons remballer la démocratie. Nous devons pouvoir discuter des contenus d’une religion. Si nous ne le faisons pas, je dois le répéter, nous n’avons pas de démocratie ».

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Les laïcards ne sont jamais satisfaits

    Alors qu’ils persécutent l’Eglise catholique depuis plus de deux siècles, les voilà qu’ils s’inquiètent du nombre de mosquées en Seine Saint Denis :

    « En juin 2009, lorsque André Gerin demandait une commission d’enquête concernant le port de la burqa, dans une lettre ouverte aux Députés, j’écrivais : »Si La France est parsemée d’églises catholiques, c’est le témoignage d’une histoire millénaire. La religion musulmane ne bénéficie en France d’aucun « héritage » en matière de lieux de culte.

     Deux ans après la Seine Saint Denis est le premier département à avoir plus de lieux de prière de la religion musulmane (mosquées, salles de prière) que de lieux de prière de la religion catholique (Eglises, Chapelles)……

     

    Lieux de prière de la religion musulmane Lieux de prière de la religion catholique
    Aubervilliers 9 Aubervilliers 2
    Aulnay sous Bois 8 Aulnay sous Bois 6
    Bagnolet 4 Bagnolet 3
    Bobigny 6 Bobigny 4
    Bondy 5 Bondy 1
    Clichy sous Bois 4 Clichy sous Bois 3
        Coubron 1
    Drancy 5 Drancy 5
    Dugny 3 Dugny 1
    Epinay sur Seine 4 Epinay sur Seine 4
    Gagny 2 Gagny 3
        Gournay sur Marne 1
    La Courneuve 10 La Courneuve 3
    Le Blanc Mesnil 4 Le Blanc Mesnil 3
        Le Bourget 1
    Le Pré Saint Gervais 1 Le Pré Saint Gervais 1
        Le Raincy 2
        Les Lilas 1
        Les Pavillons sous Bois 2
    Livry Gargan 2 Livry Gargan 3
    Montfermeil 10 Montfermeil 3
    Montreuil 16 Montreuil 7
    Neuilly Plaisance 1 Neuilly Plaisance 2
    Neuilly sur Marne 3 Neuilly sur Marne 2
    Neuilly sur Seine 2 Neuilly sur Seine 4
    Noisy le Grand 4 Noisy les Grand 5
    Noisy le Sec 1 Noisy le Sec 3
    Pantin 3 Pantin 2
        Pierrefitte 3
    Romainville 2 Romain 3
    Rosny sous Bois 5 Rosny sous Bois 3
    Saint Denis 12 Saint Denis 4
    Saint Ouen 8 Saint Ouen 3
    Sevran 7 Sevran 4
    Stains 3 Stains 3
    Tremblay en France 4 Tremblay en France 4
        Vaujours 1
    Villemomble 3 Villemomble 3
    Villepinte 4 Villepinte 2
    Villetaneuse 1 Villetaneuse 1
           
      143   112

    Je suis athée et si mon athéisme n’engendre pas chez moi le rejet des religions, je ne peux m’empêcher de m’inquiéter de ce phénomène d’implantation des mosquées surtout en tant que femme. La religion musulmane prônant l’infériorité de la femme, le voile, la burqa étant la première visibilité de cette soumission.  (Source) »

    Contre-info. com - 31/08/11

  • Affaire Bettencourt: "Tout reprendre depuis le début"

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Les révélations de la juge Isabelle Prévost-Desprez sont d’une importance considérable : elles mettent Nicolas Sarkozy au cœur du scandale Bettencourt et illustrent les pressions considérables exercées sur le fonctionnement de la Justice.

    Avec l’affaire Karachi ou encore l’affaire Tapie, l’affaire Bettencourt montre que la Justice française n’est plus que l’ombre d’elle-même. Ces trois affaires ont en commun que depuis le début, la vérité ne peut être établie sereinement. Sous la coupe du pouvoir politique, la Justice n’a plus l’indépendance nécessaire. Les puissants échappent à tout contrôle et peuvent se livrer aux pires malversations, ils ne sont que rarement inquiétés.

    Remercions les quelques magistrats courageux qui osent défier les pressions politiques pour faire leur travail malgré tout.

    Si les révélations de la juge Isabelle Prévost-Desprez étaient confirmées par une enquête impartiale, cela montrerait que les Français auraient porté à la tête de l’État un véritable système mafieux. Ces mises en cause appellent donc d’urgence des vérifications minutieuses et exhaustives.

    Marine Le Pen, présidente du Front National, demande que toute l’affaire Bettencourt soit reprise depuis le début par un juge indépendant à qui doivent être donnés les moyens d’enquêter en échappant à tout contrôle du pouvoir politique. En particulier, il s’agit de connaître la vérité sur les responsabilités et implications de toutes les personnalités politiques qui trempent aujourd’hui dans cette affaire. La morale publique exige que la vérité soit faite sur leur moralité, de plus en plus mise en doute.

    NPI

  • Quand l'Union Européenne insulte la mémoire des Harkis

     

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen, Président d’Honneur du FN, député français au Parlement européen

    La présidence du Parlement européen m’a signifié par écrit l’irrecevabilité de mes questions parlementaires à propos de l’anniversaire du massacre des Harkis, quand l’Algérie, alors département français, faisait partie de l’espace européen défini par le Traité de Rome de 1957.

    Le Parlement européen nie mes droits parlementaires les plus élémentaires au prétexte que mes questions dépasseraient « les compétences et responsabilités de la commission et du conseil ».

    Il est vrai que bien des choses dépassent complètement ces institutions jouant aux championnes des « Droits de l’homme », en n’hésitant pas à se mêler de tout et de n’importe quoi depuis des décennies et en nous ridiculisant par leur incompétence et leur manque de vision tant en matière géostratégique qu’économique.

    Une fois encore, l’Union européenne fait preuve d’une intolérable discrimination politique et historique.

    NPI

  • Affaire Bettencourt: Sarkozy a-t-il touché des espèces? Démenti de l'Elysée

    Lire l'article: http://www.leparisien.fr/affaire-bettencourt/videos-affaire-bettencourt-sarkozy-mis-en-cause-dementi-de-l-elysee-31-08-2011-1586216.php

    + 3 vidéos

    Le Parisien - 31/08/11 

  • Bettencourt: une juge met en cause Sarkozy

    La juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez fait des révélations fracassantes dans le cadre de l'affaire Bettencourt , dans un livre à paraître jeudi et signé par deux journalistes du Monde. C'est le journal Libération qui les révèle dans son édition de mercredi.

    Dans cet ouvrage, intitulé Sarko m'a tuer et qui recueille des témoignages de personnalités qui ont subi les foudres du président de la République, la vice-présidente du tribunal de Nanterre déplore avoir été dessaisie à l'automne 2010 au profit du tribunal correctionnel de Bordeaux. "Il fallait me dessaisir par tous les moyens. Il était impératif de me débarquer", explique-t-elle.

    Mais surtout, Isabelle Prévost-Desprez affirme qu'un témoin a vu Nicolas Sarkozy se faire remettre des espèces chez la milliardaire. La juge raconte ainsi dans le livre avoir été frappée par la peur des témoins lors de ses investigations sur un volet du dossier Bettencourt. Priée de dire, selon elle, de quoi ces témoins avaient peur, la magistrate assure qu'ils ont "peur de parler sur procès-verbal à propos de Nicolas Sarkozy", avant d'ajouter "l'un d'eux m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy" citant l'infirmière de la milliardaire. Cette dernière, précise le journal Libération, ne se serait toutefois pas exprimée sur le procès-verbal.

    La juge n'est pas la première a évoqué des remises d'espèces. La comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thiboult, en avait déjà parlé, mais d'une façon vague.

    L'Elysée a d'ores et déjà réagi, parlant d'"allégations scandaleuses, infondéés et mensongères".

    Europe 1 - 31/08/11

  • Kadhafi fait la guerre de l'eau

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    L'eau jaillit de la rivière souterraine artificielle (Cliquez sur la photo)

    Les fidèles de Mouammar Kadhafi repliés dans sa ville natale de Syrte au centre de la Libye tentent de couper l’approvisionnement en eau de Tripoli. L’Otan affirme que Kadhafi garde un pouvoir de commandement sur ses troupes. Le CNT leur a donné jusqu’à samedi pour se rendre ou affronter de nouveaux combats.

    Bien que Mouammar Kadhafi demeure introuvable depuis la chute, la semaine dernière de Tripoli, la capitale libyenne, le dernier carré de ses fidèles continue de se battre et n’épargne aucune stratégie pour mener la vie dure aux Libyens. Leur dernière trouvaille : priver d’eau Tripoli. Selon un rapport de l’Office humanitaire de l’Union européenne (Echo), les soldats pro-Kadhafi présents dans la ville de Syrte, bastion du guide dans le centre du pays, à 360 km à l’est de Tripoli, ont réussi à réduire des deux tiers l’eau potable qui transite par ce port stratégique pour alimenter la capitale libyenne. Conséquence, l’eau commence à manquer dans la ville.

     Pour faire face à cette pénurie, les organisations humanitaires ont entrepris de transporter de l’eau par voie terrestre et maritime en direction de Tripoli. Le Programme alimentaire mondial a fait savoir mardi qu’un navire transportant 500 000 litres d’eau était en route vers la ville. Les images prises à Tripoli lundi montraient des habitants en train de s’approvisionner en eau dans des camions-citernes affrétés par des volontaires.

    Par René Dassié

     Afropages - 30/08/11

  • Norvège: un chrétien afghan brûlé pour non respect du ramadan

    Brûlé pour non respect du ramadan en… Norvège !

    Ali” – c’est un prénom fictif – est un jeune Afghan, ancien musulman converti au christianisme, qui réside dans le centre d’accueil pour demandeur d’asile de la ville de Hå (district de Jaeren, comté de Rogaland). Vendredi dernier, au motif qu’il ne respectait pas le ramadan, trois autres demandeurs d’asile de ce centre d’accueil, musulmans ceux-là, l’ont agressé dans sa chambre. Tandis que l’un le maintenait à terre, un autre lui a versé le contenu d’un récipient d’eau bouillante sur le cou et le dos, tandis que le troisième saccageait la chambre. La police, alertée, n’est arrivée sur place qu’une heure après l’agression. Décidément, la police norvégienne n’est pas très rapide… Transporté à l’hôpital où il reçut des soins pour ses sérieuses brûlures et y passa la nuit, “Ali”, de retour au centre, et rendu prudent par l’agression subie, s’aperçut que la poignée de la porte de sa chambre était couverte d’une substance douteuse : il s’agissait d’un produit hautement corrosif destiné à lui brûler la main.

    Menacé de mort par les musulmans du centre, “Ali” prend très au sérieux ces menaces : « Ils veulent vraiment me tuer et n’auront pas de repos avant d’y arriver ».

    Joyeux Ramadan ! (il se termine cette année le 31 août, à ± 1 jour selon les régions du monde).

    Daniel Hamiche

    Source : Mohabat News

    Observatoire de la christianophobie

  • Enseignement de l'Histoire: lavage de cerveau... par le vide!

     S’il est un domaine dans lequel la « droite « au pouvoir a également démissionné devant le terrorisme intellectuel de la gauche, en se couchant devant la doxa mondialiste et cosmopolite, c’est bien celui de l’Education dite « nationale ». A cette aune, le sarkozyste Luc Chatel est un ministre proprement catastrophique. Nous évoquions il y a peu le scandale de théorie du genre (gender) qui sera « popularisée » dans les établissements scolaires. Dans le dernier numéro du Figaro magazine, était présenté des extraits du dernier ouvrage de l’historien, spécialiste du Ier Empire, Dimitri Casali, qui s’insurge de son côté contre les nouvelles atteintes portées à l’enseignement de l’histoire de France. En août 2010, nous relevions déjà la réaction de M. Casali aux nouvelles instructions officielles qui ont été données pour les programmes scolaires, lesquelles se sont tristement confirmées depuis.

    L’historien dans son « Altermanuel de l’histoire de France », relève que « Clovis, Charles Martel, Hugues Capet, Louis IX, dit Saint Louis, François Ier, Louis XIII ont disparu des instructions officielles de sixième et de cinquième. Le programme de sixième passe sans transition de l’Empire romain au IIIe siècle à l’empire de Charlemagne, soit une impasse de six siècles(…).. A côté des oubliés et des relégués des programmes, il y a les optionnels… » et « parmi ces périodes optionnelles figure le premier Empire (1804-1815). »

    «(…) Clovis, Louis IX, François Ier, Louis XIII, Louis XIV, Napoléon Ier… La disparition ou l’amenuisement de ces souverains et de leur règne laisseraient-ils penser qu’ils n’ont plus de réalité historique? (…) Comment expliquer alors «l’optionnalisation» du premier Empire en quatrième et sa disparition en seconde? S’agirait-il de gommer un régime jugé trop autoritaire, trop militariste et trop expansionniste? De même, Clovis et Louis IX, dit Saint Louis, seraient-ils devenus trop politiquement «connotés» pour être cités dans les instructions officielles? »

    «La même question peut être posée concernant la relégation du règne de Louis XIV en fin de programme de cinquième. Pourquoi faire disparaître ou réduire des règnes notamment caractérisés par le rayonnement de la France à l’étranger? »…parce que tout rêve de grandeur et de fierté nationale doit être banni des cerveaux des jeunes Français ?

    Dans les faits François Ier, Henri IV, Louis XIV et Napoléon sont en effet réduits à leur plus simple expression au profit l’ouverture aux autres civilisations de notre monde, comme les empires africains du Songhaï et du Monomotapa… L’étude de la Révolution et l’Empire sont sacrifiés afin de mieux étudier les grands courants d’échanges commerciaux des XVIIIe et XIXe siècles, comprenant les traites négrières et l’esclavage .

    Dimitri Casali note à notre avis justement que « la connaissance des histoires de la Chine, de l’Inde ou de l’Afrique est importante et passionnante, notamment à l’heure de la mondialisation. Cependant, force est de constater que, mathématiquement, ces nouvelles thématiques s’intègrent dans les programmes aux dépens de parties capitales de l’histoire de France ou de l’Europe (…). »

    Un saccage que l’historien explique, comme Bruno Gollnisch d’ailleurs, par « l’argument souvent utilisé selon lequel ces nouveaux programmes ont notamment été conçus pour épouser la diversité culturelle des élèves ». Un argument « contestable » note-t-il avec euphémisme, sachant notamment que selon une enquête de l‘Ined (rapport «Trajectoires et origines», 2010),  bien que de nationalité française, 37 % des jeunes d’origine étrangère ne se sentent pas Français. (…). » Or , « comme dit l’adage, on ne comprend que ce que l’on connaît. L’Histoire est une garantie d’intégration, car elle est un moyen d’accéder aux modes de compréhension de notre société. »

    « La disparition de dates et de périodes capitales de l’histoire de France poursuit-il, ainsi que le système des options aboutissent à une Histoire à trous, lacunaire, atomisée, qui rend beaucoup plus difficile l’assimilation par les élèves de la chronologie, cette juste représentation de la profondeur historique (…). La chronologie serait-elle devenue démodée? »

    « Un comble, car l’Histoire est comme une langue dont la chronologie est la grammaire. Sans elle, notre connaissance du passé est vouée à l’anachronisme, cette incapacité d’inscrire un événement ou un personnage dans son contexte. Sans elle, nous sommes voués à l’amnésie…» « Un peuple qui oublie son Histoire est un peuple perdu » notait encore M. Casali l’année dernière. «L’homme de l’avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue» disait Nietzsche…mais est-il encore autorisé aux Français d’imaginer leur avenir à la lumière de leur grand passé historique?

    Une  amnésie voulue, entretenue qui s’insère dans une perspective d’abrutissement, d’endoctrinement, de déracinement et d’acculturation des peuples , changés en « masses », réduits à de simples agglomérats de tubes digestifs. Le tout au nom de « l’intégration », de la propagande visant et à accélérer la mise en place du « village planétaire », d’une gouvernance mondiale qui suppose largement de faire table rase du passé…

    Blog de Bruno Gollnisch - 30/08/11

     

     

  • Frédéric Lefebvre: "Le chômage, c'est la natalité!"

    30/08/11

    L'accroissement du taux de natalité est due en France à l'immigration. Sans oublier les  familles africaines polygames.