Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1410

  • Des milliers de Chinois défilent à Paris contre l'insécurité

    Entre 3.000 Chinois, selon la police, et 20.000, selon les organisateurs, ont défilé dimanche à Paris pour protester contre les actes de violence dont la communauté chinoise de France se dit victime et exiger plus de sécurité.

    Derrière une grande banderole proclamant: "Liberté, égalité, fraternité et sécurité", le cortège a défilé de la place de la République à celle de la Nation, dans l'est de la capitale.

    Les manifestants, parmi lesquels beaucoup de jeunes, certains enveloppés dans des drapeaux français et en agitant d'autres de petite taille, ont scandé "Sécurité pour tous" ou "Vivons ensemble, vivons en sécurité".

    "Nous réclamons la sécurité parce que c'est un droit, c'est la condition essentielle de l'exercice des libertés", a lancé Olivier Wang, le porte-parole du collectif des associations asiatiques de France et leurs amis français.

    Les Chinois sont pris à partie car "il y en a beaucoup qui n'ont pas de papiers et une certaine catégorie de la population française les agresse sachant qu'ils n'iront pas porter plainte à la police", a expliqué Jean-Pierre Buisson, un manifestant français marié à une Chinoise.

    Depuis deux ans, le collectif dénonce des agressions et vols violents visant les Asiatiques, notamment dans le quartier de Belleville.

    Ce quartier, qui a accueilli après la Première Guerre mondiale de nombreux migrants juifs d'Europe de l'Est, a vu depuis les années 60 s'installer une importante communauté maghrébine. Il s'est métamorphosé ces dix dernières années du fait d'un afflux d'immigrés asiatiques qui ont repris de nombreux petits commerces.

    Dénonçant le manque de protection des pouvoirs publics, Anh Dao Traxel, fille adoptive d'origine vietnamienne de Jacques Chirac, a regretté qu'"aucun élu de la République" ne soit venu à la manifestation.

    La marche s'est dispersée rapidement et dans le calme une fois arrivée à la Nation, afin d'éviter d'éventuels incidents, selon les organisateurs.

    L'an dernier le 20 juin, une manifestation du même type dans le quartier de Belleville avait réuni environ 8.500 Chinois, selon la police. Elle s'était terminée par des échauffourées avec des bandes de jeunes qui avaient entraîné l'intervention des forces de l'ordre.

    Des chercheurs estiment à plus de 600.000 le nombre de Chinois vivant en France, essentiellement en région parisienne et issus de provinces différentes de Chine, certains ayant émigré pour des raisons économiques, d'autres politiques.

    Source Nouvel OBS - 19/06/11

  • Maroni: "Sur l'immigration, nous avons contre nous l'Europe, les juges et l'OTAN"

     
     
     

    Maroni : « Sur l’immigration, nous avons contre nous l’Europe, les juges et l’OTAN »

    19/06/2011 – 16h00
    PONTIDA (NOVOpress)Arborant fièrement une cravate et un ciré verts aux couleurs de la Padanie, le ministre de l’Intérieur italien, Roberto Maroni, a retrouvé les accents du militant devant la base de la Ligue du Nord, rassemblée aujourd’hui à Pontida. Sur l’immigration clandestine, a-t-il déclaré, « nous avons contre nous l’Europe, qui ne nous aide pas, nous avons contre nous les juges, qui sont tous en faveur des clandestins. Mais nous ne cédons pas et nous ne cédons jamais ».

    « Le problème, a expliqué Maroni, est la Libye. Là, il n’y a pas de ministre de l’Intérieur avec lequel passer des accords. Là, il y a la guerre, les bombes, les missiles, qui ne sont pas intelligents. Il y a un seul moyen d’arrêter les réfugiés : halte aux bombes, pensons à un gouvernement, à quelqu’un qui gouverne en Libye ».

    Mais, a poursuivi le ministre, « nous avons contre nous l’OTAN, qui a dit que nous ne pouvions pas faire de blocus maritime. J’aimerais quand même que quelqu’un m’explique pourquoi on peut le faire à l’entrée (pour imposer un embargo maritime sur la Libye) et pas à la sortie. »

  • Qui est-ce? n°22

    22.jpg

    (Cliquez sur la photo)

  • Apéro géant à Montpellier: remise en liberté des trois jeunes accusés de viol

    Deux des trois jeunes soupçonnés d'avoir violé une Irlandaise de 17 ans, vendredi lors d'un «apéro géant» à Montpellier, ont été relâchés samedi soir «faute de charges suffisantes dans l'immédiat», a annoncé dimanche le  parquet.

    «Leur garde à vue n'a pas été prolongée», a indiqué Patrick Desjardins, procureur adjoint de la République à Montpellier. Le troisième violeur présumé avait déjà été relâché samedi matin car il n'avait pas été reconnu lors de la confrontation avec la jeune fille.

    «L'affaire est prise au sérieux, mais elle mérite davantage d'investigations. Celles-ci sont menées par la sûreté départementale», a-t-il ajouté. Les trois suspects avaient été placés en garde à vue vendredi soir.

    Agressée, la jeune fille est parvenue à s'échapper

    En séjour linguistique à Montpellier, la jeune fille affirme avoir été agressée vendredi, vers 23h30, par trois individus, après avoir perdu son groupe d'amis. Parvenant à s'échapper, elle a immédiatement alerté les forces de l'ordre présentes sur place. Trois personnes ont été rapidement interpellées.

    Environ 5.000 personnes ont participé à cet apéro géant, un peu plus d'un an après une première édition, alors interdite, qui avait attiré 10.000 participants. Les festivités avaient été placées sous haute surveillance. Une soixantaine de fonctionnaires de police étaient présents ainsi qu'un nombre équivalent de personnels de renfort (CRS ou gendarmes mobiles). Une quarantaine de pompiers étaient également mobilisés, de même qu'une équipe de secours aquatique.
     
     
    Source Le Parisien - 19/06/11
  • Ardèche - Joggeuse disparue: aucune piste n'est écartée

    Acte criminel, accident, voire simple fugue: toutes les pistes étaient envisagées par les enquêteurs dimanche, près de 24 heures après la disparition «inquiétante» de Marie-Jeanne Meyer, une joggeuse de 17 ans, à Tournon-sur-Rhône en Ardèche.

    «On a des inquiétudes légitimes», a affirmé lors d'une conférence de presse le procureur de la République de Privas, Christophe Raffin, qui a ouvert une enquête pour «disparition inquiétante de mineur» alors qu'un appel à témoins a été lancé par la gendarmerie.

    «Aucune piste n'est abandonnée, aucune n'est privilégiée», a poursuivi le magistrat soulignant qu'«aucun mot n'a été retrouvé» pouvant expliquer un départ volontaire de la jeune fille, brillante élève qui devait passer lundi son baccalauréat de français.

    Elle était partie à 18H00 de son domicile situé dans un hameau des hauteurs de Tournon pour son habituel jogging d'une petite heure. Sa petite soeur ne la voyant pas revenir alors que la mère était absente, a alerté cette dernière qui a prévenu les gendarmes vers 22H30. Les recherches ont débuté dès minuit avec la participation des parents.

    Une famille «sans histoire»

    Dimanche après-midi, environ 200 gendarmes, appuyés par cinq équipes cynophiles et un hélicoptère, ratissaient toujours les vergers escarpés dominant l'ouest de Tournon, où la jeune lycéenne avait l'habitude de courir. 

    Par ailleurs, les enquêteurs ont commencé à auditionner l'entourage de la disparue pour «déterminer son état d'esprit au moment de son départ». Marie-Jeanne «mesure 1,65 mètre, a des cheveux noirs longs et lisses, la peau mate et pèse environ 60 kilos», a précisé la gendarmerie, qui a diffusé son portrait priant «toute personne susceptible d'apporter des éléments utiles» d'appeler le 04 75 20 91 00. L'adolescent portait des lunettes de vue et est partie avec un lecteur MP3 mais sans son téléphone portable, a précisé le procureur.

    «Nous sommes dans une période où il y a beaucoup de monde à Tournon», a-t-il observé, évoquant la présence de nombreux saisonniers dans cette région fruitière ainsi que de touristes. L'organisation prochaine d'un festival est également susceptible d'attirer «une fréquentation malsaine», ce qui pourrait constituer «des circonstances favorisantes», a ajouté le magistrat.

    L'adolescente «vivait depuis un an et demi à Tournon avec ses parents, sa petite soeur et son frère de 15 ans», une famille «sans histoire» et «très modeste», selon le maire de cette commune de 10 000 habitants, Frédéric Sausset (UMP). Scolarisée en première au lycée Gabriel-Faure de Tournon, elle était «première de la classe». «En très bonne condition physique», elle partait fréquemment courir «mais ne s'absentait pas plus d'une heure», a poursuivi l'élu.

    Selon lui, «la piste de la fugue est pratiquement en train de s'écarter». «On ne croit plus trop à la chute suivie d'une blessure, parce que l'hélicoptère a beaucoup ratissé le secteur», a-t-il ajouté.

    Les recherches sur ce terrain boisé et escarpé «vont se poursuivre dans la nuit et éventuellement lundi», «en escargot» autour du domicile familial, avec l'appui de l'hélicoptère «équipé de caméras de vision nocturne», a précisé le lieutenant-colonel Emmanuel Josse, commandant du groupement de gendarmerie de l'Ardèche.

    Source La Parisien- 19/06/11 - dernière heure

  • Pau: l'adolescent disparu depuis dix jours aperçu par plusieurs témoins?

    Pau l adolescent disparu apercu par plusieurs temoins

    Depuis samedi, Alexandre Junca, 14 ans, a disparu à Pau  (Pyrénées-Atlantiques). Alors que la piste de la séquestration a été évoquée par  les enquêteurs, elle est aujourd’hui abandonnée. Les lieux fréquentés par le  jeune Palois ont été passés au peigne fin, les caves du quartier de Saragosse,  où il a été vu pour la dernière fois, ont été fouillées. Mais Alexandre est  introuvable.

     En revanche, la police dispose de témoins qui indiquent avoir vu  l’adolescent, ce qui conforterait la piste d’une fugue. Un automobiliste aurait  en effet aperçu Alexandre mardi, aux alentours de 19 heures, en train de faire  du stop à l’entrée de l’autoroute. Les enquêteurs entreprennent donc de  visionner les vidéos de surveillance, mais les résultats ne sont pas connus pour  l’instant.

     Pour autant, le beau-père d’Alexandre ne croit pas à l’hypothèse  d’une fugue : « Il ne serait pas parti les  mains dans les poches, juste sur son  vélo, sans avoir rien dit aux copains avec qui il avait passé la soirée, Il a  laissé sa carte de bus, son  cartable, le chargeur de son portable… Il aurait  emmené certaines affaires s’il  avait fait une fugue et on ne lui connaissait  aucune raison d’en faire une », a-t-il indiqué au Parisien.

    Rappel des  faits

    L’adolescent a disparu depuis samedi à Pau, après avoir  passé la soirée avec des  amis. A 22h42, il a envoyé un SMS à son père, lui disant qu’il  rentrerait avant  23 heures. Depuis, silence radio. Le téléphone portable du garçon est sur  répondeur. Son vélo a été retrouvé dimanche, à proximité du domicile de son  père. Des analyses ADN sont en cours, car l’antivol retrouvé ne serait pas celui  d’Alexandre. Le père, quant à lui, a été  entendu lundi, mais devait être à nouveau interrogé mercredi, selon  La République des Pyrénées.

    S.C. Le 09/06/2011
    Source ELLE
  • Ardèche: une joggeuse de 17 ans activement recherchée

    l-inquietante-disparition-d-une-jeune-fille-de-17-ans.jpg

    Le parquet de Privas (Ardèche) a annoncé dimanche l'ouverture d'une enquête après la disparition d'une adolescente de 17 ans partie faire un jogging samedi soir à Tournon-sur-Rhône, alors que la gendarmerie a lancé un appel à témoins.

    Selon le parquet, qui a ouvert une enquête pour «disparition inquiétante de mineur» et saisi la gendarmerie, la jeune fille «est partie de chez elle samedi à 18 heures» et n'est plus rentrée.

    Selon ledauphine.com, Marie-Jeanne Meyer devait courir environ 45 minutes, comme elle le fait régulièrement. Mais ne la voyant pas rentrer, alors qu'il était prévu qu'elle garde sa petite soeur en soirée, sa mère a donné l'alerte aux alentours de minuit.

    L'adolescente portait un jogging blanc, un haut clair et des baskets

    En partant hier soir, Marie-Jeanne portait un pantalon de jogging blanc, un haut clair et des baskets. L'adolescente, qui vient de fêter ses 17 ans, porte des lunettes, «mesure 1,65 mètre, a des cheveux noirs longs et lisses, la peau mate et pèse environ 60 kilos», a précisé la gendarmerie, priant «toute personne susceptible d'apporter des éléments utiles» d'appeler le 04 75 20 91 00.

    Une trentaine de pompiers sont à sa recherche dimanche, accompagnés d'équipes cynophiles, ainsi qu'une quarantaine de gendarmes d'Ardèche, avec le renfort d'un escadron de gendarmes mobiles d'Orange, dans le Vaucluse, et d'un hélicoptère venu de Bron, dans l'agglomération lyonnaise.

    Un point-presse sera organisé en fin d'après-midi à la gendarmerie de Tournon-sur-Rhône.

    Source Le Parisien - 19/06/11

  • L'ASPA - Pas de retraite en France sans y avoir JAMAIS travaillé!

        
    Livret d’accueil « Vivre en France » délivré par le ministère de l'Immigration

    Cette pétition, accessible en cliquant ici, sera adressée à M. Nicolas Sarkozy, président de la République.


    Monsieur le Président de la République,

    J’ai appris récemment que des retraites sont accordées à des étrangers n’ayant jamais travaillé en France. A partir de 60 ans, s’ils ne peuvent plus travailler et dans tous les cas à 65 ans, ils peuvent toucher l’Allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), avec un simple permis de séjour. Ainsi, des personnes n’ayant jamais cotisé le moindre centime dans notre pays peuvent toucher 8507,49 euros par an de retraite (soit un peu plus de 700 euros par mois).

    Ces informations peuvent être consultées dans le livret d’accueil « Vivre en France » délivré par le ministère de l’Immigration, en page 54, sous le titre « Vieillir en France ».

    Votre réforme des retraites obligeant les Français et les étrangers travaillant en France à cotiser deux ans de plus pour pouvoir toucher leur pension, je vous demande, par souci de justice, de mettre fin à cette dérive !

    Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma plus haute considération.

    Soyez nombreux à signer cette pétition, accessible en cliquant ici, et à la faire circuler largement autour de vous !

    Le Cri du Contribuable - 10 février 2011

  • Un bel enfant dans un bac à sable

    DSCN2197.JPG

    (Cliquez sur la photo)

    Source Blog Chronique de Mathis

  • Le baccalauréat, un diplôme qui n'a plus de valeur

    Dans leur logique d'uniformisation de la société, les politiques ont décidé d’approcher le plus possible les 100 % de réussite au baccalauréat.

    Ils ont également voulu que le nombre d’inscrits à cette épreuve augmente sensiblement.

    Avec un consensus politique d’une rare efficacité, les gouvernements de droite comme de gauche ont œuvré ensemble pour que ces objectifs soient atteints.

    La création du bac professionnel en 1985 sous Mitterrand, poursuivi ou amendé par Jospin, Chirac et Sarkozy en est un bel exemple : sur les 655.000 candidats inscrits au bac en 2011, 171.000 d’entre eux sont inscrits au bac pro, soit un quart.

    Le résultat sur le papier est surprenant :

    - En 1970, il y avait 249.000 candidats pour 67,2 % de reçus ;
    - En 2010, il y avait 642.000 candidats pour 85,5 % de reçus.

    Le bac professionnel et l’augmentation de la population expliquent en partie la hausse du nombre d’inscrits.

    En ce qui concerne le taux de réussite…

    "Il est dit que d’une mule, on ne fera jamais un cheval de course."
    Cet adage populaire prend ici tout son sens. Car ne nous leurrons pas :
    c’est bel et bien le niveau qu’il a fallu baisser pour voir augmenter de manière significative le pourcentage de réussite.

    Toutes les personnes qui s’occupent de la correction des copies du bac peuvent le confirmer : elles surnotent les élèves. Et la clémence envers les candidats augmente un peu plus chaque année, comme me l'ont dit de vive voix des professeurs correcteurs.

    Au bout du compte, à part pour ceux qui ont obtenu des notes largement au-dessus de la moyenne, être bachelier aujourd’hui ne veut plus dire grand-chose.

    Organisez un simple "jeu du baccalauréat" avec des jeunes fraîchement diplômés - vous savez, ce jeu qui consiste à trouver des villes, des pays, des animaux, des fleurs, commençant par une lettre de l’alphabet - et vous vous rendrez compte immédiatement du faible niveau de ces jeunes.

    En effet, cet exercice se révèle très compliqué pour une grande partie d’entre eux, ce qui est un comble pour des personnes qui viennent d’être récompensées par l’Éducation nationale pour "bonne connaissance du programme scolaire".

    C’est à se demander ce qu’ils apprennent en classe...

    Bien sûr, comme toujours à pareille époque, nous avons droit aux sempiternels reportages, articles, émissions sur cette BELLE épreuve qu’est le bac.
    Des ouvertures de journaux télévisés, des Unes dans la presse sur "comment réviser, se préparer, le rôle des parents, les sujets du bac de philo etc.", mais pas un mot sur le niveau en lui-même.

    Le politiquement correct a encore frappé.
    La technique de l'autruche aussi.

    Source LE POST - 18/06/11

     

     

  • Un 62ème soldat français mort en Afghanistan pour le N.O.M.

    af9-0b1f2.jpg

    Militaire français en patrouille près de Kaboul - (Cliquez sur la photo)

    L’homme, un chasseur parachutiste du régiment de Pamiers, a été tué par un tir d’insurgés dans la vallée de la Kapisa, annonce l’Elysée. Il est le 62ème Français à tomber, depuis le début des opérations en Afghanistan, il y a dix ans.

    Les condoléances de l’Elysée, comme il se doit. Et aussi ce message de fermeté : “le chef de l’État réaffirme son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes. Il exprime la détermination de la France à continuer d’œuvrer au sein de la Force Internationale d’Assistance à la Sécurité. Cette force, mandatée par l’ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan”.

    Un soldat français a été tué aujourd’hui en Afghanistan, dans la vallée de la Kapisa. L’homme, engagé volontaire de 1ère classe du régiment de Chasseurs Parachutistes de Pamiers, en Ariège, a été mortellement blessé par un tir d’insurgés.
    Il est le 62ème soldat français à mourir en Afghanistan, depuis le début des opérations, en 2001.

    Cette même journée, la Grande-Bretagne a, elle aussi, perdu un homme - le 374ème depuis le début...

    France Info - 18/06/11

    Qu'ils reposent dans la paix des braves 

  • 63% des Français sont (encore) opposés à la dépénalisation du cannabis

    cannabis.jpg shit.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Alors que l'ancien ministre Daniel Vaillant propose de créer une filière d'Etat du haschich dans l'Hexagone, 63% des Français se disent opposés à cette idée, selon un sondage Ifop pour Sud-Ouest Dimanche.

    Vivement débattue au sein de son parti, rejetée par François Fillon, la proposition du socialiste Daniel Vaillant de créer une filière d'Etat du cannabis ne remporte pas de succès auprès des citoyens. Près de deux Français sur trois sont opposés à la dépénalisation des drogues douces, selon un sondage Ifop réalisé pour Sud-Ouest Dimanche et publié ce samedi.

    En détail, 63% des personnes interrogées au cours de cette enquête se sont exprimées contre la dépénalisation de substances telles que le cannabis, contre 36%. Les réponses varient toutefois en fonction de l'âge, de l'orientation politique et du sexe. Ainsi, la proportion s'inverse chez les sondés âgés de moins de 35 ans, qui se disent favorables à 51% à une dépénalisation du cannabis, contre 49%. La tendance est la même chez les sympathisants de gauche, qui s'expriment en faveur de cette mesure à 48%, contre 20% seulement à l'UMP et 28% au FN. Dernier clivage, celui du sexe : 43% des hommes sont pour, contre seulement 30% des femmes.

    Embarras au Parti socialiste

    Le débat sur le statut des drogues douces en France a été relancé mercredi par l'ancien ministre de l'Intérieur des années Jospin, Daniel Vaillant, qui s'est dit non pas pour une dépénalisation - comme le suggère Stéphane Gatignon, le maire EELV de Sevran (Seine-Saint-Denis), une ville gangrénée par le trafic de drogues -, mais pour la «légalisation contrôlée» du cannabis.

     Dans un rapport parlementaire, le socialiste propose que l'Etat encadre la vente du haschich dans l'Hexagone. Le statut du cannabis serait aligné sur celui de l'alcool et du tabac, tandis qu'un office d'État, sur le modèle de la Seita, superviserait la «filière nationale du cannabis». Car la production se ferait en France, selon des techniques bio. Une méthode révolutionnaire pour redynamiser certaines régions agricoles, assure Daniel Vaillant, aujourd'hui député maire PS du XVIIIe arrondissement de Paris. Le produit s'achèterait dans des bars-tabac contrôlés par les douanes ou des «cannabistrots équipés de fumoirs, pour que les jeunes ne fument pas dans les cages d'escalier», ajoute-t-il, précisant toutefois que «le cannabis serait interdit dans l'espace public, comme l'alcool…».

    Alors que cette proposition a suscité l'embarras dans son propre camp, le premier ministre François Fillon a rejeté cette idée vendredi au cours d'un déplacement à Nice, affirmant qu'il n'envisageait «pas une seconde» de la suivre, «ni sur le plan sanitaire, ni sur le plan politique, ni sur le plan social». Dépénaliser le cannabis reviendrait, selon lui, à en «légitimer, justifier et encourager l'usage».

    Source Le Figaro - 18/06/11

  • Royal huée à La Paillade par des femmes voilées!

    1499051_photo-1308415213016-1-0_640x280.jpg Royal.jpg

    A La Paillade - ( Cliquez sur la photo)

    «Je ne veux pas laisser le champ libre à des intégristes qui n'ont pas leur place dans la République». est entrée en campagne. En visite dans l'Hérault, ancien fief de Georges Frêche, la présidente de la région Poitou-Charentes et candidate aux primaires du PS, était venue, à 10 jours du dépôt des candidatures, rencontrer ces quartiers populaires «qui l'ont si fortement soutenue en 2007», lors de la présidentielle face à Sarkozy.

     
    Mais cette visite a pris un tour inhabituel en fin de journée. Ségolène Royal qui se dit «candidate du peuple» a été surprise par des manifestants venus perturber son meeting à la «Maison pour tous», à La Paillade, un quartier populaire de Montpellier.

    Tout avait bien commencé et quelque 700 personnes scandaient «Ségolène, Ségolène», drapeaux siglés PS, le tout dans un décor de calicots «Ségolène 2012». La salle avait été chauffée par le leader associatif des quartiers, Brahim Abbou, organisateur de la visite, qui vante cette «France métissée». Et le député Guillaume Garot, qui a lancé: «elle a une expérience parmi tous les socialistes, c'est celle d'une campagne présidentielle, où rien ne nous sera épargné».

    «Ségolène casse-toi! La Paillade n'est pas à toi!»

    Et cela n'a pas tardé. Après avoir lancé «Moi, je suis la candidate du peuple et demain je veux être la présidente du peuple français», Ségolène Royal décline ses «nouvelles règles de la République». Soudain, dans l'assistance, des femmes voilées et une poignée de manifestants crient: «Ségolène casse-toi! La Paillade n'est pas à toi!». Le groupe tente de se rapprocher de la scène, le service d'ordre essayant de les neutraliser.

    La salle hurle «Ségolène! Ségolène!» pour couvrir les cris des manifestants. Peine perdue. L'ex-candidate à l'Elysée s'interrompt, puis reprend la parole, dans un brouhaha énorme pour parler de «liberté d'expression», disant calmement qu'il ne fallait «pas céder à la provocation». Et Royal rappelle les «principes de la République française», le «respect de la démocratie».

    «Ces gens ne feront pas la loi dans les quartiers de la République francaise»

    A l'issue du meeting, devant les journalistes, Ségolène Royal assure «ne pas vouloir laisser le champ libre à des intégristes qui n'ont pas leur place dans la République française s'ils se comportent comme cela». Et que «la République française, c'est la liberté, la fraternité, l'égalité».

    «Ce qui les embête en effet, c'est que je puisse venir dans les quartiers pouplaires, y être bien accueillie par les associations parce qu'ils voudraient que la République laisse à l'abandon ces quartiers et qu'ils puissent y faire la loi», a expliqué la candidate aux primaires socialistes. «Ces gens ne feront pas la loi dans les quartiers de la république francaise», a t-elle renchérit.

    Dans la matinée, les visites avaient été plus calmes: rencontre à Sète avec des «forçats de la mer», des artisans-pêcheurs en souffrance, marché très populaire dans cette Paillade, quartier de forte population immigrée au nord-est de Montpellier.

    «Il faut surmonter les conflits et les ressentiments»

    La présidente de Poitou-Charentes venait dans un département où les plaies de la bataille opposant, lors des régionales de 2010, la direction du PS à Georges Frêche, décédé depuis, ne sont pas encore cicatrisées. La fédération de l'Hérault est mise sous tutelle depuis septembre, et son ex-fédéral, le sénateur Robert Navarro, accusé par le PS d'«abus de confiance».

    Dans la matinée, Royal, a d'ailleurs, llancé «un appel pour que tout le monde se rassemble, pour faire revenir la paix dans la fédération (socialiste) de l'Hérault». Demandant la réintégration des exclus et la fin de la tutelle, l'ex-candidate à la présidentielle juge: «Il faut surmonter les conflits et les ressentiments. On a besoin d'être tous unis pour la campagne présidentielle».

    Source Le Parisien - 18/06/11

  • Deux indices pour le n°21

     

    indice 2 - 21.jpg

    Le n°21 à la barre

    mer des sargasses.jpg

    La Mer des sargasses

    (Cliquez sur les photos)

  • En France, sur 100 m, c'est lui Lemaitre!

    Toujours plus vite. Après être devenu le premier homme blanc à descendre sous les dix secondes sur 100 mètres, voici que Christophe Lemaitre vient de battre deux fois en moins de deux semaines le record de France. Ce samedi, lors des championnats d'Europe par équipes à Stockholm, en 9''95, le Français de 21 ans a devancé les anciens : le Britannique Dwain Chambers, qui a réalisé un temps de 10''07, et le Portugais Francis Obikwelu (10''22).

    « Je voulais gagner pour l'équipe »

    Lors de son précédent record (9'96"), le 7 juin dernier à Montreuil, il n'était pas totalement satisfait de sa course et disait pouvoir faire encore mieux. De bon augure avant les Championnats du Monde qui auront lieu à Daegu, en Corée du Sud, fin août. « Avec un mètre de vent, c'est nickel, a-t-il affirmé avec son éternel sourire à Eurosport. J'ai essayé de faire le meilleur départ possible. Je suis surpris de ma course. Je voulais gagner pour l'équipe, c'était l'objectif principal. »

    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    sipa_ap21059969_000003.jpg Lemaitre.jpg

     

  • Prières de rue: les musulmans occupent à nouveau la rue de Suisse (Nice) !

      

    Nissa Rebela nous communique:

    L’information est exclusive ! Nous avons été contactés cet après-midi (hier vendredi 17 juin, Note de Novopress) par de nombreux riverains de la rue de Suisse avec qui nous sommes en contact depuis notre mobilisation de mars dernier. Tous nous ont alertés de la reprise aujourd’hui même des prières de rue bloquant la rue de Suisse, devant la mosquée.

    Cette nouvelle occupation illégale de la voie publique s’inscrit clairement dans la polémique née autour de la préemption par la mairie de la salle de prière de la rue de Suisse. Même si tout semble indiquer que la municipalité souhaiterait louer cette salle aux musulmans pour qu’ils y continuent leurs activités (cela au grand désespoir des habitants d’un quartier qui ne sera bientôt plus qu’une enclave musulmane au cœur de notre ville), cela ne suffit pas aux musulmans de la rue de Suisse qui ont même qualifié l’achat des locaux par la mairie d’acte « islamophobe et raciste » !

    Car c’est ainsi : ces musulmans ne veulent faire aucune concession, et surtout ne subir aucun type de contrôle. L’UMP, Sarkozy et Estrosi, ont voulu vendre aux Français un Islam de France qui n’existe et n’existera pas. Et ce que nous voyons aujourd’hui s’installer, c’est bien plutôt une France de l’Islam !

    En mars dernier, prêt à tout pour que les prières de rue cessent face à la pression populaire et en pleine période électorale, Christian Estrosi avait fait de jolies promesses aux musulmans. Ils lui reprochent aujourd’hui de ne pas tenir ses promesses coupables : laisser les musulmans acquérir les locaux, et même leur attribuer les locaux municipaux attenants pour qu’ils agrandissent leur mosquée.

    En mars dernier, nous étions parvenus à faire cesser ces prières de rue intolérables grâce à la médiatisation de la situation via notre apéro porchetta-rosé. Le ministre de l’Intérieur Claude Guéant n’a d’ailleurs pas hésité à reprendre cette victoire à son compte, affirmant à de nombreuses reprises que l’UMP avait stoppé les prières de rue à Nice. Il était présent hier à Nice, dans le cadre des Rencontres de la police unicipale, ce qui n’a manifestement pas empêché les musulmans de la rue de Suisse de reprendre leurs prières aujourd’hui. On voit bien à quel point l’autorité de l’Etat s’impose à eux…

    Lundi, Philippe Vardon – président de Nissa Rebela – se rendra à la rencontre des habitants du quartier Notre-Dame pour les assurer du soutien des identitaires et envisager avec eux les actions à mener pour enfin rendre ce quartier aux Niçois.

    Avec les habitants nous réclamons l’application pure et simple de la loi : l’interdiction claire et nette par le Préfet de l’occupation de la rue de Suisse pour des prières ; la libération immédiate par les musulmans des locaux de la rue de Suisse qu’ils occupent depuis 11 ans sans aucun titre ni droits, et dans le cas d’un refus l’exécution de l’arrêté d’expulsion prononcé voici déjà de nombreuses années.

    Non aux zones de non-droit islamiques, NON AU QUARTIER HALAL ! Nous ne reculerons pas.

    NOVOPRESS - 18/06/11

  • Affaire DSK: les avocats de Nafissatou se lancent dans la chasse aux témoins

    article_kenneth-thompson.jpg

    La course aux témoins a commencé dans l’affaire DSK. En plaidant non coupable le 6 juin, Dominique Strauss- Kahn a ouvert la voie à un procès. Ce choix a pour conséquence de donner les coudées franches aux avocats des deux parties pour retrouver tous ceux qui pourraient apporter un éclairage utile au cours de l’audience. Du côté de Nafissatou Diallo, la victime, Kenneth Thompson et Douglas Wigdor, ses deux avocats, ont déjà ciblé la France et aussi le personnel du Sofitel de New York.

     



    «Tous les témoignages de ceux qui ont subi les turpitudes de l’accusé nous intéressent. Tous ceux qui savent quelque chose peuvent nous appeler mais nous savons prendre contact aussi », prévient Douglas Wigdor, l’un des deux défenseurs de la victime. Mais les avocats ont déjà pris les devants.

    Le cabinet Thompson-Wigdor a « entrepris de pister tous les hôtels où DSK a séjourné dans le passé»,notamment en Afrique. Les séjours au Maroc de l’ancien ministre de l’Economie vont être passés au crible par les avocats. Et le duo d’avocats est en train de réunir une importante documentation sur l’ancien patron du Fonds monétaire international: même les anciens membres et collaborateurs de ses cabinets ministériels vont être listés. Les avocats n’ont pas voulu confirmer«l’utilisation de détectives privés » lancés sur les traces de DSK en France. Une pratique fort courante aux Etats-Unis mais qui ne se dévoile pas.

    Selon nos informations, les deux auteurs du livre « Sexus Politicus », les journalistes Christophe Dubois et Christophe Deloire, sont sur la liste des avocats. Tous deux avaient évoqué en 2006 dans leur ouvrage le besoin effréné de DSK de séduire. « Je les appellerai personnellement », annonce d’emblée Kenneth Thompson. Les deux auteurs, joints hier, ont déclaré ne pas avoir été contactés.

     D’autres éventuels témoins seront aussi sollicités pour apporter, s’ils le souhaitent, un éclairage sur DSK. Notamment ceux qui ont été amenés à croiser DSK lorsqu’il fut ministre de l’Industrie et dans ses fonctions de député de Sarcelles (Val-d’Oise). Autre cible des avocats : le personnel du Sofitel de New York où DSK a séjourné avant d’être arrêté. Une employée française qui occupait jusqu’à l’affaire la fonction de « guest relation manager », chargée de clientèle, les intéresse. Cette ancienne élève d’une école de commerce de Grenoble, qui venait d’intégrer l’établissement, fait partie des employées qui ont été en contact avec DSK. Une jeune femme, entendue à deux reprises par les policiers de New York, à qui il aurait fait une proposition de le rejoindre dans sa suite pour boire une coupe de champagne après son service. Contactée à plusieurs reprises par e-mail ou sur son téléphone portable personnel mis en sommeil depuis, la jeune femme n’a pas répondu à nos sollicitations.

    Source Le Parisien -  18/06/11

  • Pour Céline, les enchères s'envolent à Drouot

    L'hôtel Drouot organisait une vente consacrée à Louis-Ferdinand Céline, pour le cinquantenaire de sa mort. Editions originales ou objets plus insolites ont fait s'enflammer les acquéreurs.

    C'est bien simple, à l'ouverture de la salle 2 de l'Hôtel Drouot, ce 17 juin, peu avant 14 heures, on se serait cru dans l'une de ces scènes des romans de Céline, où une foule en délire joue des coudes avant de lyncher un innocent. Il ne s'agissait pourtant que de trouver une place pour assister à la grande vente aux enchères organisée par la maison Neret-Minet & Tessier à l'occasion du cinquantième anniversaire de la mort l'auteur de Voyage au bout de la nuit. Dans les travées, on reconnaissait le comédien Jean-Paul Rouve, le biographe et avocat de la veuve de l'écrivain, Me François Gibault ou le jeune célinien David Alliot. Parmi les acheteurs, on remarquait aussi Patrice Espiau, fils d'un juré du Prix Renaudot qui, en 1932, avait fait basculer les délibérations en faveur de Voyage au bout de la nuit. Un connaisseur, assurément...Et puis, alors que les premiers lots étaient déjà vendus, une voix s'élève soudain : " Pourrait-on installer une chaise pour la petite-fille de Louis-Ferdinand Céline ? " On installa une chaise, sur laquelle, une dame discrète vint s'asseoir.  

    Pour Céline, les enchères s'envolent à Drouot

    La fameuse édition originale de Mort à Crédit partie à 50 000 euros

    Jérôme Dupuis/ L'Express.fr

    Mais déjà les enchères s'envolaient. Enchères imprévisibles, certains lots estimés très hauts calant assez vite -telle cette édition originale de Mort à Crédit sur papier Japon impérial truffée d'une page manuscrite, partie à " seulement " 50 000 euros (auxquels il convient d'ajouter des frais d'environ 20%)-, d'autres lots montant assez haut -les éditions de luxe des romans de Céline illustrés par Tardi, par exemple (jusqu'à 3500 euros pour un Casse-Pipe).  

    Les pamphlets ont fait leur petit effet habituel, atteignant des prix fous, poussés par des libraires penchant nettement à droite : une édition originale de Bagatelles pour un massacre sur alfa, avec dédicace, s'est ainsi envolée à 10 000 euros (quatre fois le prix estimé...) et une édition-pirate des Beaux Draps , datant de 1981, s'est arrachée à 1300 euros !  

    On revenait à des prix plus raisonnables avec les manuscrits : 7500 euros pour 35 pages de Féérie pour une autre fois -prix assez bas- ou 30 000 euros pour une belle correspondance avec le journaliste suisse Paul Bonny. Autre rareté, une lettre à Arletty culminait à 3200 euros...  

    Pour Céline, les enchères s'envolent à Drouot

    La page manuscrite à l'intérieur de Mort à crédit

    Jérôme Dupuis/ L'Express.fr

    Parmi les curiosités de la vente : un célinien emportait, pour 1200 euros, le titre de pension définitive d'invalidité à 70% de l'ancien combattant Louis Destouches, alias Céline, " blessé par balle le 27 octobre 1914 ". Un autre passionné, sans doute doté de longs rayonnages, faisait l'acquisition, lui, d'une collection complète du célèbre Bulletin célinien, soit 9 grandes boites reliées, le tout pour 7000 euros ! Enfin, David Alliot s'offrait un ensemble de lettres de Lucette Destouches à Paul Bonny, au prix raisonnable de 800 euros.  

    Enfin, ultime clin d'oeil, le catalogue de la vente, totalement épuisé, devenait déjà un objet convoité par tous ceux qui n'étaient pas parvenus à se le procurer ! On ne serait pas étonné de le voir passer prochainement dans une vente à Drouot.

    L'Express - 17/06/11