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Blog - Page 1411

  • Israël: un chien errant condamné à mort par lapidation

    Un tribunal rabbinique ultra-orthodoxe de Jérusalem a récemment prononcé la sentence. L'animal était accusé d’être la réincarnation d’un avocat laïque qui avait insulté les juges religieux il y a 20 ans.

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    (Cliquez sur la photo)

     Selon le journal en ligne Ynet, le chien, de grande taille, a pénétré il y a quelques semaines dans le Tribunal rabbinique en charge des litiges économiques du quartier juif utra-orthodoxe de Méa Shéarim à Jérusalem, effrayant juges et plaignants et refusant de quitter les lieux malgré les menaces.

    Un des juges présents s’est soudain souvenu que 20 ans plus tôt, le tribunal, insulté par un célèbre avocat laïque, avait maudit ce dernier, décédé depuis, et appelé sur lui la malédiction divine pour qu’il se réincarne en chien, considéré comme "impur" selon la Halacha, la stricte tradition religieuse juive, selon la même source.

    Dans la foulée, le juge en question a condamné à mort par lapidation l’animal, qui a toutefois réussi à échapper aux enfants du quartier, appelés à exécuter la sentence, conclut Ynet.

    Une association israélienne pour la défense des animaux a de son côté porté plainte.
     
     
    Source Le Matin ch. - 17/06/11
  • Le club "Le Siècle" et la discrimination positive

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    Altermedia.info - 16/06/11

     

  • Steacks hachés contaminés : les autorités avaient déjà été alertées !

     

    16 Juin 2011
     

    Le 10 novembre 2010, sept organisations françaises de protection animale* alertaient les autorités, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée Nationale, sur les risques sanitaires graves dus à la présence de germes d’origine digestive, comme les E. coli, présents dans les steaks hachés.

    Cette infection des viandes est accentuée par la généralisation de l’égorgement rituel des bêtes car l’impossibilité matérielle de ligaturer l’œsophage des animaux entraîne un « épanchement de matières stercoraires en provenance de l’estomac qui s’écoulent à travers la section béante de l’œsophage ».

    La Fondation Brigitte Bardot a remis, fin 2010, aux ministres de l’Agriculture et de l’Intérieur, ainsi qu’au Chef de l’Etat, le dossier de presse « De la souffrance des animaux… à la tromperie des consommateurs » dans lequel l’alerte est donnée :

    « Certains germes d’origine digestive pouvant être très pathogènes pour l’homme risquent ainsi d’être retrouvés dans des pièces de découpe (collier notamment) ou dans des steaks hachés préparés avec celles-ci. Avec l’abattage rituel, il y a donc un danger potentiel pour la santé humaine, tout particulièrement pour les enfants, les personnes âgées et les populations immunodéprimées ».

    Ces propos ont été confortés par la déclaration de Pascale Dunoyer, Chef du bureau des établissements d’abattage à la Direction Générale de l’Alimentation, dans le bulletin de l’Académie Vétérinaire de France : « Des pratiques liées à la mise en œuvre du rituel d’abattage peuvent avoir des conséquences en termes de salubrité et de sécurité des carcasses. Nous pouvons citer à ce titre le tranchage de la trachée et de l’œsophage qui peut provoquer le déversement du contenu gastrique (voire pulmonaire) sur les viandes de tête, de gorge et de poitrine ».

    Face à ces mises en garde répétées et à l’attitude irresponsable des autorités devant ce grave problème de salubrité publique et de protection animale, la Fondation Brigitte Bardot demande au ministre de l’Agriculture de rendre publique les méthodes d’abattage des animaux en France et de ne plus s’opposer, comme il le fait actuellement, à la mise en place d’une traçabilité pour le consommateur via un étiquetage européen.

    * Œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs, Fondation Brigitte Bardot, Confédération Nationale des SPA de France, Conseil National de la Protection Animale, Fondation Assistance aux Animaux, Protection Mondiale des Animaux de Ferme, Société Nationale pour la Défense des Animaux.

    Fondation Brigitte Bardot - 17/06/11

  • Les plages de La Ciotat ont été fermées hier pour cause de pollution (aux hydrocarbures)


    Les plages de La Ciotat fermées pour pollution par BFMTV

    17/06/11

  • Paris: la mairie du 10ème arrondissement occupée hier par des femmes africaines et maghébines pour "obtenir un logement social"


    Paris : la Mairie du 10éme occupée par des... par HLMPOURTOUS

    NOVOPRESS - 17/06/11

     

  • Premier colloque de campagne pour Marine Le Pen organisé par Idées-Nation


    Premier colloque de campagne pour Marine Le Pen par LCP

    NPI - 17/06/11

  • Gennevilliersd (92): un délinquant récidiviste à moto fonce sur le commisdsaire de police et le blesse

     

    Un jeune de 21 ans a volontairement renversé avec sa moto le commissaire de police de Gennevilliers (Hauts-de-Seine), mercredi après-midi. Blessé, le commissaire souffre d’une fracture au poignet gauche et a subi une intervention à l’hôpital Beaujon à Clichy, tout d’abord, puis à Saint-Louis dans le XIe arrondissement de Paris.

    En milieu d’après-midi, vers 15H15, le commissaire est sorti de son bureau pour demander à un conducteur de moto d’arrêter de slalomer autour des passants à proximité du commissariat de Gennevilliers, près de la mairie et du centre commercial Carrefour, lieu de rendez-vous habituel des bandes ethniques et autres voyous des cités.

    « Reconnaissant le commissaire, le conducteur a alors foncé sur lui et l’a renversé », explique une source judiciaire.

    Rapidement identifié, le conducteur, très défavorablement connu des services de police pour des faits de violence notamment, s’est ensuite rendu de lui-même au commissariat vers 18 heures où il a été interpellé.

    Placé en garde à vue, l’agresseur présumé est poursuivi pour mise en danger d’autrui et blessure volontaire avec arme par destination. Il a été laissé en liberté…

    Source

    NPI - 17/06/11

     

  • Bulgarie: des chants liturgiques en vieux slavon contre la remontée de l'islam

    En Bulgarie, devant certaines mosquées pleines à craquer, à l’occasion de la prière du vendredi, des chants liturgiques chrétiens orthodoxes en vieux slavon sont diffusés à l’aide de sonos montées sur des véhicules par des patriotes bulgares qui refusent la montée d’un islam communautariste dans leur pays.

    Un moyen aussi de rappeler que la Bulgarie est avant tout une terre de tradition chrétienne et que la parenthèse coloniale ottomane est bel et bien finie depuis les guerres balkaniques de 1912-1913.

     

    La population musulmane de Bulgarie comprend des Turcs, des Bulgares islamisés (les Pomaks) ainsi que des Tatars de Crimée. Elle vit principalement au nord-est du pays et dans les Rhodopes. Selon un recensement officiel réalisé en 2001, le pays compte 12,2 % de musulmans sur près de 8 millions d’âmes (12 à 13 % de chiites parmi eux). Les musulmans de Bulgarie sont organisés politiquement avec des représentants dans les municipalités, à l’assemblée nationale.

     Juste après la chute du régime de Jivkov en 1989, profitant de l’anarchie occidentalo-libérale post-communiste, les musulmans ont bénéficié d’une très grande liberté religieuse. De nouvelles mosquées ont été construites dans beaucoup de villes et de villages, de même que des madaress, on y a fait venir des imams de pays étrangers comme la Turquie ou encore des Émirats du Golfe persique, faits nouveaux depuis la fin du colonialisme ottoman au début du XXe siècle.

    Avec le soutien des ONG islamiques, turques notamment, mais aussi de l’Union européenne, du Conseil de l’Europe et de nombre de réseaux mondialistes, la pratique l’enseignement et l’apprentissage du Coran, interdites sous le régime communiste, se sont vulgarisés. Les musulmans ont également leur propre journal, Musulmani disponible en bulgare et en turc. La principale formation politique musulmane de Bulgarie est le Mouvement des droits et libertés, créé pour « défendre les intérêts » de la minorité turque, et qui entend imposer coûte que coûte une réislamisation des mahométans de Bulgarie dans un esprit très communautariste, voire internationaliste.

     D’autant que l’influence du wahhabisme, chez les Pomaks notamment, y est de plus en plus forte et que de jeunes musulmans bulgares sont de plus en plus souvent envoyés en formation dans les pays arabes pour devenir imams. Ce mouvement est étroitement lié à l’AKP turque d’Erdogan et au SDA bosniaque.

    Seul le parti nationaliste Ataka de Volen Siderov s’oppose à cette remontée de l’islam dans la société bulgare.

    NPI - 17/0611

  • Document - Minute par minute, le récit détaillé de l'arrestation de DSK

    Les circonstances de l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn se précisent : jeudi, le procureur de Manhattan a rendu public le procès-verbal des conversations entre la police et l'ex-patron du FMI, le week-end de son arrestation.

     
    Le document de onze pages est à la fois éclairant et anecdotique. On y apprend que DSK, accusé de crimes sexuels par une femme de chambre d’un hôtel à New York, a invoqué l’immunité diplomatique lors de son arrestation à l’aéroport JFK. On y apprend également que DSK a dit qu'il n'avait pas faim, le 14 mai à 23h20, quelques heures après son arrestation. Le lendemain à 9 heures, il a demandé des oeufs, puis un sandwich douze heures après, vers 21h20.

    Selon la retranscription de ces dialogues, alors qu'il est en partance pour Paris, DSK téléphone à l'hôtel Sofitel et demande à la personne responsable des objets trouvés : «Bonjour comment allez vous ? J'ai laissé mon téléphone portable dans la suite 2806». «Je vais voir, comment puis-je vous rappeler si vous l'avez laissé ici ?» «Je vais vous donner un autre numéro», répond l'ancien ministre français.

    «Que se passe-t-il ?»

    Ensuite, l'employé lui dit avoir trouvé le téléphone. «J'ai besoin de savoir où vous êtes pour le faire rapporter», dit-il. «A JFK», répond Dominique Strauss-Kahn. «OK, je peux prendre un taxi et être là dans 40 minutes.» «OK, terminal Air France, porte 4, vol 23», répond DSK.

    Au moment où il est interpellé, Dominique Strauss-Kahn est sur la passerelle d'embarquement, où le rejoignent le sergent Raymond DiLena et le détective Diwan Maharaj. «Que se passe-t-il ?», demande l'ex-directeur général du FMI. «La police de New York souhaite vous interroger au sujet d'un incident qui s'est produit en ville dans un hôtel», répond le sergent DiLena. A ce moment là, DSK ne répond pas.

    «J'ai l’immunité diplomatique»

    Le récit se poursuit au commissariat de l'aéroport, où Dominique Strauss-Kahn est prié de vider ses poches, de tout poser sur la table. Il refuse de l'eau, demande à utiliser les toilettes, et indique qu'il a «un passeport diplomatique».

    A environ 17 heures (21 heures à Paris), celui qui était encore le patron du FMI demande aux deux agents qui l'ont interpellé si les menottes qu’on lui a passées «sont nécessaires». «Oui, elles le sont», lui répond un agent. Ce à quoi Dominique Strauss-Kahn rétorque : «J’ai l’immunité diplomatique.» Et de préciser que les documents le prouvant se trouvent «dans un second passeport». «Puis-je parler avec un représentant du Consulat de France? Que se passe-t-il ?», interroge ensuite DSK.

    «Ces menottes sont serrées»

    Sur la route qui le mène vers le commissariat spécialisé dans les crimes à caractère sexuel à Harlem, Dominique Strauss-Kahn dit qu'il doit téléphoner pour avertir qu'il ne sera pas présent à une réunion le lendemain. Le patron du FMI était attendu en Europe pour s'entretenir notamment avec la chancelière allemande et discuter de l'aide à la Grèce. Il ajoute : «Ces menottes sont serrées».

    Un peu plus tard, l'un d'entre eux dit à DSK : «Dans ce pays, vous avez le droit à un avocat si vous le voulez, j’ignore si vous avez un quelconque statut diplomatique.» Le Français lui répond : «Non, non, non, je n’essaie pas d’utiliser cela, je veux juste savoir si j’ai besoin d’un avocat.» Réponse du policier : «A vous de décider.» Plus tard, le détective Steven Lane lui demande s'il veut parler. «Mon avocat m'a dit de ne pas parler. J'étais prêt à le faire», rétorque DSK.
     
     
    Source Le Parisien - 17/06/11
  • Steaks hachés: un enfant placé en coma artificiel, deux autres cas suspects

    Sept enfants sont toujours hospitalisés à Lille, vendredi - dont l'un dans un état grave et placé en coma artificiel -  à la suite d'une infection alimentaire liée à une bactérie E.coli. Cinq d'entre eux auraient été contaminés par des steaks hachés confectionnés en Haute Marne et vendus dans les magasins Lidl sous la marque Steaks Country.

    D'autres cas d'infections - au moins deux - font l'objet d'investigations pour savoir s'il s'agit de la même bactérie. Le ministre de la santé a appelé à la vigilance, «dans la mesure où ces produits ont été livrés dans d'autres départements». Les magasins Lidl ont retiré tous les lots, mais 15 000 steaks du même lot suspecté ont eu pour destination Rungis.

    Deux autres cas suspects. En dehors des sept enfants hospitalisés à Lille, «d'autres cas (d'infections) font l'objet d'investigations pour savoir s'ils relèvent ou non de la même bactérie» E.coli, a déclaré vendredi Xavier Bertrand, lors d'une conférence de presse dans les locaux de l'Agence régionale de santé (ARS) à Lille. «Nous avons notamment deux cas pour lesquels des analyses bactériologiques sont en cours, nous aurons les résultats demain», a ajouté le ministre de la Santé. Il s'agit d'un «jeune adulte» et d'un «enfant d'une dizaine d'années» de la région Nord-Pas-de-Calais, a précisé Stéphane Leteurtre, chef du service réanimation pédiatrique au CHU de Lille.

    L'état d'un enfant se détériore.
     Xavier Bertrand a indiqué vendredi que l'état de santé d'un des sept enfants hospitalisés à Lille suite à une infection, s'était «détérioré» et qu'il avait été «placé sous dialyse pendant la nuit». «Son état reste préoccupant, de par son problème neurologique, essentiellement. Actuellement, il est sous un traitement sédatif, dans un coma artificiel», a expliqué le professeur Stéphane Leteurtre, lors du point presse en présence du ministre de la Santé.

    Agé de 4 ans, l'enfant originaire de l'Oise, transféré jeudi d'Amiens à Lille, «nécessite des soins intensifs lourds et des techniques sophistiquées», selon une source hospitalière. Il devra subir une hospitalisation «de longue durée», selon cette source qui confirme que son état est fluctuant. L'état des six autres enfants est stable. Parmi eux, deux pourraient d'ailleurs sortir dès ce week-end, selon une source médicale.

    Les résultats des analyses des steaks suspects connus «au plus tard lundi», a indiqué vendredi le laboratoire national de référence de Lyon, qui a reçu dans la matinée des lots de viande suspecté d'être à l'origine de la contamination des enfants. «Nous avons reçu des échantillons provenant à la fois des familles ayant consommé ces steaks et du producteur. Leur analyse sera connue sans doute dans le week-end et au plus tard lundi», a déclaré Estelle Loukiadis, la directrice du laboratoire dépendant du ministère de l'Agriculture, installé à Marcy-L'Etoile (Rhône). 

    La viande hachée à l'origine de la contamination.
    Cinq des sept enfants avaient mangé des steaks hachés surgelés suspects, vendus chez Lidl. L'enseigne a retiré de la vente, dans ses magasins situés au nord d'une ligne Bordeaux-Lyon, tous les lots produits par le fournisseur français SEB. Les deux autres auraient «soit consommé ces mêmes steaks, soit des boulettes de viandes fabriquées par la même usine sur des lots préparés les mêmes jours», a expliqué Françoise Libert, de la direction départementale de protection des populations.

    Agés de 20 mois à huit ans, les enfants directement hospitalisés à Lille sont originaires de Douai, Valenciennes, Dunkerque, Maubeuge et de région parisienne. Tous ont développé un syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui provoque une insuffisance rénale. Les premiers symptômes des diarrhées sanglantes sont apparus entre le 6 et le 10 juin, avant d'évoluer en SHU entre le 10 et le 14 juin. Les enfants ont tous souffert «d'une gastro-entérite hémorragique, et ont ensuite tous présentés brutalement une anémie, qui a nécessité pour quatre d'entre eux d'être transfusés.


    Une bactérie différente de celle qui sévit en Allemagne. La viande suspecte de SEB provenait d'Allemagne et des Pays-Bas. L'Agence fédérale belge pour la Sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) a démenti la présence de viande contaminée venue de ses éleveurs dans ces lots. L'agent pathogène dont souffrent les jeunes patients français n'a rien à voir avec la bactérie qui sévit dans le nord-ouest de l'Allemagne qui avait fait jeudi 39 morts en Europe. C'est «une certitude», a affirmé Daniel Lenoir, directeur général de l'Agence régionale de santé à Lille.

    Selon le Dr Joëlle Perrin, conseiller médical du directeur général de l'ARS Nord/Pas-de-Calais, la bactérie E.coli dont souffrent les enfants provient «de l'intestin des animaux et peut se retrouver dans les selles, notamment des bovins».
     
     La contamination intervient soit par «ingestion d'éléments contaminés, consommés crus ou peu cuits, soit par le fait de porter ses mains souillées à la bouche, ou lorsqu'on est en contact avec une personne qui ne se lave pas les mains», a-t-elle poursuivi.

    Rappel des steaks hachés.
    Un communiqué de l'ARS indique que «les autorités ont demandé au fabricant de procéder au rappel des steaks hachés de la marque Steaks Country en vente dans des magasins Lidl (...) Ce produit est vendu en boîtes de 1 kg (10 steaks de 100g) avec une date limite de consommation aux 10, 11 et 12 mai 2012. Des affichettes seront mises en place dans les magasins potentiellement concernés». Les autorités recommandent aux personnes ayant acheté ces steaks «de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente». Des analyses complémentaires sont en cours pour confirmer ou non la source de la contamination. Un numéro vert a été mis à la disposition des consommateurs par Lidl : 0800.802.511.
     
    Source Le Parisien - 17/06/11 
  • Netanyahu veut réunir 30 pays de l'ONU hostiles à un Etat palestinien

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    Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a dit vouloir réunir "une majorité morale" d'au moins trente pays hostiles à la reconnaissance par l'ONU d'un Etat palestinien dans les frontières de juin 1967, ont indiqué, mercredi 15 juin, les médias israéliens.

    "D'ici septembre, nous voulons œuvrer à réunir de trente à cinquante pays qui diront non à la reconnaissance unilatérale d'un Etat palestinien par l'assemblée générale de l'ONU.  Il s'agira d'une majorité morale", a affirmé M. Nétanyahou, mardi soir, lors d'une rencontre avec le président du Parlement européen, Jerzy Buzek.

    Si les Palestiniens obtiennent la reconnaissance de leur Etat par l'ONU, "ils auront ensuite des difficultés à accepter par la voie de la négociation les compromis indispensables" pour conclure un accord de paix avec Israël, a encore dit M. Nétanyahou. "Il faut dire la vérité. La paix ne signifie pas qu'Israël renonce à des parties de sa terre, mais que les Palestiniens renoncent à leur volonté de détruire Israël", a-t-il continué, de mêmes sources.

    "ISRAËL EST VICTIME DES MAJORITÉS AUTOMATIQUES À L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L'ONU"

    "Six chefs de gouvernement israéliens ont accepté la solution de deux Etats, mais il n'a pas été possible de conclure un accord de paix parce que les Palestiniens n'étaient pas prêts à formuler les mots suivants : 'j'accepte un Etat juif'", a dit M. Nétanyahou. Un haut responsable israélien, qui a requis l'anonymat, a confirmé qu'"Israël est victime des majorités automatiques à l'assemblée générale de l'ONU, et multiplie donc les efforts pour qu'une majorité morale de pays démocratiques s'oppose aux démarches unilatérales en vue de la reconnaissance d'un Etat palestinien".

    Les dirigeants palestiniens comptent demander l'adhésion d'un Etat palestinien à l'ONU sur les lignes de 1967 lors de la session annuelle de l'assemblée générale, faute de perspective de négociation avec Israël.

  • Affaire Picasso: l'électricien du peintre mis en examen pour recel

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    Le couple Le Guennec - (Cliquez sur la photo)

    Les enquêteurs ont noté des «invraisemblances» et des «incohérences» dans les explications de Pierre Le Guennec, qui conservait 271 oeuvres de Picasso dans son garage.

    L'affaire remonte à l'automne 2010, quand l'ancien électricien de Picasso, qui souhaitait obtenir des certificats authentifiant les 271 oeuvres qu'il avait gardées chez lui pendant près de quarante ans, s'est rendu auprès des héritiers du peintre avec des dessins sous le bras. Des carnets d'esquisses, des gouaches, des collages cubistes, ou encore des lithographies, datant des années 1910-1920 et estimées à 80 millions d'euros.

    Mais les choses ont mal tourné pour Pierre Le Guennec et son épouse Danielle, qui conservaient ces oeuvres dans le garage de leur maison à Mouans-Sartoux, dans les Alpes-Maritimes. Ils ont été mis en examen pour recel par une juge d'instruction de Grasse, selon des informations récentes du journal Le Monde.

    Les héritiers de Picasso soupçonnent Pierre Le Guennec d'avoir attendu que le délit de vol soit prescrit pour essayer de tirer profit de ces œuvres. L'électricien affirme qu'elles lui ont été données par Picasso et son épouse Jacqueline, alors qu'il effectuait des travaux chez eux, au mas Notre-Dame-de-Vie à Mougins (Alpes-Maritimes).

    L'enquête pointe aujourd'hui des «invraisemblances» et des «incohérences» entre les propos du couple Le Guennec et des éléments factuels fournis par Picasso Administration, qui gère la succession du peintre, et justifiant leur mise en examen. «Nous pensons que ces gens nous racontent des histoires sur la façon dont ils sont entrés en possession des oeuvres de Picasso», indique-t-on au parquet de Grasse.

    Un don de 540 000 francs

    Critiques et spécialistes de l'oeuvre de Picasso s'étaient déjà étonnés au moment de la révélation de l'affaire que les oeuvres aient été réalisées quarante ans avant le «don», et qu'elles ne soient ni datées ni signées. Ce qui ne semble pas cadrer avec les cadeaux donnés par Picasso après son installation sur la Côte d'Azur en 1946. Ces dons étaient des œuvres récentes datées et signées. Par ailleurs, seuls les épouses de Picasso ou des amis très proches auraient reçu des oeuvres d'une telle qualité.

    Mais d'autres incohérences viennent d'être mises en lumière. Selon Picasso Administration, une partie des oeuvres incriminées ne se trouvaient pas, à l'époque, à Notre-Dame-de-Vie mais à la Villa Californie, une autre propriété de Picasso, à Cannes. Les oeuvres en question auraient en fait disparu durant la période qui a suivi la mort de Picasso, en 1973, avant que des inventaires officiels des oeuvres de l'artiste soient menés. Une période floue durant laquelle elles ont pu être dérobées.

    Plus intriguant, un document exhumé par Picasso Administration montre que Jacqueline Picasso avait donné en 1983 à Pierre Le Guennec la somme de 540 000 francs. Or le couple n'en a rien dit aux enquêteurs.

    Enfin la justice a décelé des liens familiaux entre Maurice Bresnu, le dernier chauffeur de Picasso (de 1967 à 1973) et Pierre Le Guennec. Maurice Bresnu aurait reçu de Picasso une centaine de dessins, gouaches, pastels, et vingt-six céramiques, dont une partie a déjà été vendue. D'autres dessins devaient être mis aux enchères en décembre dernier. Maisla vente a été reportée, à la demande desdits héritiers, parmi lesquels figure Pierre Le Guennec. Pour l'instant, aucun lien entre les deux affaires n'a été prouvé, mais les enquêteurs se demandent si le report de la vente n'avait pas pour but d'éviter d'afficher des éléments incriminants Pierre Le Guennec.

    «Une version absurde»

    Picasso avait l'habitude de donner des oeuvres aux personnes avec lesquelles il travaillait ou entretenait des liens. Ainsi son coiffeur et barbier, Eugenio Arias, devenu son ami. Mais un don d'une telle ampleur étonne. Recevoir «271 pièces, c'est tout à fait inédit», explique l'avocat de Picasso Administration, Maître Jean-Jacques Neuer, contacté par lefigaro.fr. Il dénonce «une version absurde» et se félicite du «tournant positif» de l'enquête.

    Mme Le Guennec a souhaité ne pas faire de commentaire sur cette mise en examen tant que durera l'instruction, confiant toutefois qu'elle était «catastrophée»: «Nous sommes des petites gens mais nous pouvons nous regarder dans une glace parce que nous sommes propres».

    Les enquêteurs doivent à présent «remonter le fil», éclaircir dans quelles circonstances les oeuvres auraient été dérobées - labeur d'autant plus difficile que plusieurs décennies se sont entre-temps écoulées. En attendant, les 271 oeuvres ont été saisies et sont à l'abri, avant une éventuelle décision de justice.

    Par Aude Lorriaux

    14/06/11
  • Qui est-ce? n°21

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    (Il s'agit de la même personne)

  • Sarkozy, Royal, même obsession du métissage

    Extraits de discours pour la campagne présidentielle de 2007

  • Une religieuse martyre de la Révolution béatifiée à Dax

     
     

    16/06/11 – 15h50
    DAX (NOVOpress)
    Sœur Marguerite Rutan, fille de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul, martyre de la Révolution française guillotinée en 1794, sera béatifiée dimanche prochain dans les arènes de Dax, dans les Landes.

    Entre 5 000 et 10 000 personnes sont attendues pour la messe qui se tiendra en présence de deux cardinaux venus de Rome, d’une quinzaine d’évêques, du nonce apostolique en France, Mgr Luigi Ventura, du ministre de la Justice Michel Mercier, du préfet des Landes et du maire de Dax Gabriel Bellocq, a indiqué Alfred Brettes, chancelier de l’évêché d’Aire et Dax.

    La présence d’un ministre de la République à cette cérémonie ne devrait pas manquer de susciter des critiques de la part des tenants d’une laïcité scrupuleuse.

    Quelques 900 filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul viendront également d’Europe centrale, d’Espagne, d’Italie et de toute la France pour assister dès 15 heures à cette cérémonie de béatification de cette martyre de la révolution française.

    Née à Metz en 1736, 8ème de 15 enfants, Marguerite Rutan entre au noviciat à Paris chez les Filles de la Charité. En 1779, nommée Supérieure de l’Hôpital Saint-Eutrope à Dax, elle y accueille mères célibataires et enfants abandonnés, ouvre une école… Ses initiatives au service de la population dacquoise n’éviteront pas aux sœurs d’être accusées de vol. La veille de Noël 1793, Sr Rutan est emprisonnée. Un tribunal révolutionnaire la condamne à mort le 9 avril 1794 et fait exécuter la sentence le jour même.

  • Interdit aux chiens et aux résistants Algérie Française

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    Antoine Argoud

    Le colonel Antoine Argoud, né le 26 juin 1914 à Darney (Vosges) et mort le 10 juin 2004 à Vittel (Vosges), est un officier français. Il fit partie de l'Armée d'Armistice en Afrique du Nord puis combattit dans l'armée française de la Libération en Afrique et jusqu'en Allemagne.

    Ardent partisan de l'Algérie française, il fut dirigeant de l'Organisation armée secrète. Enlevé par les barbouzes (services spéciaux français) en février 1963 à Munich (Allemagne), il fut condamné à la réclusion à perpétuité et libéré en juillet 1968. Cet épisode qui suscita la colère des milieux nationalistes fut l'objet de nombreuses critiques de la part des partis politiques de droite et d'extrême droite. Cet incident est souvent désigné par l'expression « l'affaire Argoud ».

     
    Un aperçu du cortège

    L’ADIMAD, Association amicale pour la Défense des Intérêts Moraux et matériels des Anciens Détenus politiques a pour objet de défendre les intérêts et la mémoire de ceux ayant connu la répression pour fait d’« Algérie française ».

    A ce titre, vendredi 10 juin, plusieurs dizaines de membres de l’ADIMAD ont rendu hommage au Colonel Antoine Argoud, un des plus prestigieux chefs de l’Organisation Armée Secrète, en déposant une plaque en granit noir sur sa tombe au cimetière de Darney (Vosges) portant le logo de l’ADIMAD et en lettres dorées l’inscription suivante : « Au Colonel Antoine Argoud – Ses camarades de combat de l’Organisation Armée Secrète ».

    Deux jours auparavant, le Préfet des Vosges, Dominique Sorain, avait pris un arrêté interdisant la manifestation. Les juges administratifs l’ont enjoint à l’autoriser, à la suite d’un recours en référé déposé par les organisateurs du rassemblement.

    L’évêché, endroit où en principe on prône la tolérance et l’amour de son prochain, a interdit la messe prévue en l’église Sainte Madeleine. Au dernier moment, il a donc fallu aux organisateurs trouver un endroit privé pour que l’office puisse être célébré par un prêtre libre.

    Après le dépos des gerbes et de la plaque, les présents ont entonné Le chant des Africains avant de se disperser.

    Durant la manifestation, les autorités avaient déployé des renforts de gendarmerie dans la petite commune vosgienne, et des policiers des « RG » faisaient les cents pas entre la maison natale du Colonel Argoud et le cimetière.

    Dépêche et photo : NPI-Vosges.

    16/06/11

  • La mère de Sophia Aram en prison

     

     

    L' "humoriste" Sophia Aram : telle mère, telle fille ?

    Une ancienne adjointe socialiste au maire de Trappes (mère de Sophia Aram) a été condamnée aujourd’hui à deux ans de prison, dont 18 mois avec sursis, pour avoir promis contre rémunération à des personnes en situation irrégulière des titres de séjour qu’elle n’a jamais obtenus.

    Condamnée pour « trafic d’influence » et « abus de confiance » entre 2008 et 2010, Khadija Aram, 64 ans, a également été condamnée pour cinq ans à une interdiction des droits civiques et civils.En proie à des difficultés financières, la sexagénaire, née au Maroc, avait proposé à huit ressortissants de ce pays de leur obtenir des papiers contre de l’argent. Ne voyant rien venir, les huit sans-papiers avaient réclamé le remboursement. La sexagénaire avait alors utilisé deux chèques de l’association « Femmes de Trappes », qu’elle préside, pour « cautionner » des remboursements. A la barre, d’une voix quasi inaudible, l’ancienne élue a dit « regretter » les faits. « Elle s’est trouvée au coeur d’un système qu’elle n’a pas maîtrisé », a plaidé son avocate Me Virginie Badier-Charpentier, ajoutant que sa cliente avait « reconnu avoir perçu la somme globale de 18.500 euros », tandis que la justice lui reproche d’avoir reçu 31.500 euros.

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    NPI

  • Les sujets de philo au bac général 2011

    «Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?», «La culture dénature-t-elle l'homme ?», «La liberté est-elle menacée par l'égalité ?»... Voilà quelques-uns des sujets proposés ce jeudi matin aux quelque 328 467 candidats au bac général. 

    Selon les séries, les élèves disposaient au choix de trois sujets et de quatre heures pour plancher.


    Série L (littéraire) coefficient 7

    «Peut-on prouver une hypothèse scientifique ?»
    «L'homme est-il condamné à se faire des illusions sur lui-même ?
    Expliquer un extrait du «Gai savoir» de Nietzsche

    Série S (scientifique) coefficient 3

    «La culture dénature-t-elle l'homme ?»
    «Peut-on avoir raison contre les faits ?»
    Expliquer un extrait des «Pensées» de Pascal

    Série ES (économique et social) coefficient 4

    «La liberté est-elle menacée par l'égalité ?»
    «L'art est-il moins nécessaire que la science ?»
    Expliquer un extrait de "Les bienfaits" de Sénèque

    Baccalauréat technologique
    Série «techniques de la musique et de la danse» - coefficient 3

    «La maîtrise de soi dépend-elle de la connaissance de soi ?»
    «Ressentir l'injustice m'apprend-il ce qui est juste ?»
    Expliquer un texte de Nietzsche
  • HUMOUR Bac 2011

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