Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1429

  • Affaiere DSK: les circonstances de son arrestation à New York

    Lire l'aricle: http://www.leparisien.fr/dsk-la-chute/affaire-dsk-les-circonstances-de-son-arrestation-a-new-york-15-05-2011-1450178.php

    15/05/11

  • EN DIRECT: DSK inculpé à New York pour agression sexuelle, séquestration et tentative de viol - Coup de tonnerre chez les socialistes!

    Lire l'article:  http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/en-direct-dsk-inculpe-a-new-york-aubry-appelle-le-ps-a-rester-uni-15-05-2011-1450521.php

    1450762_dsk_640x280.jpg

    15/05/11

  • WILLIAM TURNER

    william-turner-le-grand-canal-de-venise.jpg

    Le Grand Canal de Venise - (Cliquez sur le tableau)

  • Sarkozy est boulimique de lecture depuis son mariage avec Carla

    1449241_f532a458-7dad-11e0-91d5-001517810df0.jpg Sarkozy lecture.jpg

    Hier, sur le bureau de Nicolas Sarkozy était posé en évidence « Le Nom de la rose » en version poche. La semaine dernière, un de ses visiteurs l’avait aperçu dévorant le roman d’Umberto Eco sur la terrasse de l’Elysée, lunettes de soleil sur le nez. Depuis son mariage avec Carla, le président est boulimique de lecture.

    « J’ai du retard à rattraper », avoue-t-il. Ses proches confient qu’il en avait assez d’être jugé inculte parce qu’il n’avait que deux livres de chevet, « Voyage au bout de la nuit », de Céline, et « Belle du seigneur », d’Albert Cohen, et parce qu’il ne cachait pas son goût pour le karaoké et « les Bronzés ». Désormais, il avale du livre au kilomètre dans les avions, le week-end, et le soir avec Carla.

     « Il est sur la culture comme dans la vie : rien de petit, rien à moitié! » glisse un intime. Ses goûts sont éclectiques. Il a adoré « Même le silence a une fin », d’Ingrid Betancourt, vient de finir « Les Braises », du Hongrois Sandor Marai, a relu il y a peu le classique « Le Rouge et le Noir », de . En vacances, il se fournit dans une petite librairie du cap Nègre (Var). S’il fuit les livres politiques, il prise les romans historiques comme « Hammerstein ou l’intransigeance : une histoire allemande », de Hans Magnus Enzensberger. « Ça montre bien la fascination d’une partie des généraux et de la noblesse prussienne pour ce débile d’Hitler », raconte Sarkozy, qui surligne ses passages favoris au feutre jaune. Il peut les citer in extenso. Hypermnésique, il retient tout.

    A sa table, il reçoit des écrivains (Patrick Besson, Yann Moix, Marek Halter) et des philosophes (Yves Roucaute, ). « Il a toujours l’esprit ouvert, il est en conquête », glisse l’Elysée. Fier et comme décomplexé, le président parle désormais culture des heures entières.

    Jeudi dans le Pas-de-Calais, un agriculteur a cru le bluffer en lui tendant un livre, « Les Radis d’Ouzbékistan ». Raté! « Vous connaissez ce pays? a rebondi le président. Staline avait rêvé d’en faire un immense champ de coton. C’est comme ça que la mer d’Aral est morte. » Silence dans l’assistance, bouche bée.

    Mais sa passion, c’est le cinéma. « Ça me fait partir, m’envoler, grandir », confie-t-il dans « Télérama ». Il a vu « 150 à 180 » films cette année avec Carla. « Tu as vu cette femme qui aime son mari comme ça, qui le soutient jusqu’au bout? » s’est-il extasié devant « le Discours d’un roi ». Là encore, il est compulsif. « Il a vu tout Almodóvar, Pasolini de A à Z. Il nous flanque un bourdon terrible », sourit son ami Brice Hortefeux. A la télévision, il a adoré « Boule de suif ». Les ministres qui viennent lui parler dossiers repartent parfois dépités. « On peut parler boulot quinze minutes. Il fait deux ou trois arbitrages, puis il dit : Bon arrête, tu me gonfles, on parle d’autre chose », raconte l’un d’eux.

    Samedi prochain, en route pour la Côte d’Ivoire, il n’oubliera pas son petit sac en cuir vert, où il range ses livres, ses DVD et son iPad pour lire « l’Equipe ». Fan de séries américaines (« 24 Heures », « Dexter »), il finira peut-être de regarder la saison 4 des Tudors…

    Source Le Parisien - 14/05/11

     

  • Un bébé otarie découvre l'océan!

     
    Un bébé phoque découvre l'océan ! par Zoomin_Wallonie

    Il s'agit en fait d'un bébé otarie et non d'un jeune phoque.  ( Merci à Pharamond)

    Mais la vidéo reste merveilleuse!

     

     

  • Qui est-ce? n° 9

    9.jpg

  • Besançon: la ministre Jeannette Bougrab agressée verbalement par un militant UMP

    1448382_bougrab_640x280.jpg

    La secrétaire d’Etat à la Jeunesse a quitté précipitamment Besançon ce samedi après avoir été agressée verbalement par un militant UMP lors d’une réunion interne au parti. « Y’en a marre des bougnoules », a lancé un homme qui aurait bénéficié du soutien d’une partie de la salle.
     

     

    Les faits se sont produits lors d’une session régionale de formation des militants UMP en présence de la secrétaire d'Etat UMP. Peu avant le déjeuner, Jeannette Bougrab, ancienne présidente de La Halde et déléguée générale adjointe à la formation, a été prise à partie par un ancien militant à propos de ses origines. «Y’en a marre des bougnoules », aurait-il lancé selon plusieurs témoins.

     

    Un bon tiers des quelque 150 participants à la formation aurait alors pris position en faveur du militant, ce qui a entrainé le départ précipité de la secrétaire d’Etat. Selon des témoins, elle est partie furieuse, tandis que deux secrétaires nationaux du parti ont poursuivi la réunion sous le mode « panique à bord »

     

    Des consignes ont été données pour que cet incident, qui va nourrir la polémique sur la lepénisation de l’UMP, ne filtre pas à l’extérieur.

     

    Contacté, le député UMP Jean-Marie Binetruy, président départemental du parti, a confirmé l’information. A la suite des propos du militant, Jeannette Bougrab aurait, selon lui, répondu : « Je suis fille de harki, toute ma famille s’est battue pour la France, je ne peux pas accepter ces propos ».

    Quant à Jean-Marie Binétruy, il a invité l'auteur des propos à quitter la salle.

     

    Source macommune.info - 14/05/11

     

     

  • La bête noire des Etats-Unis regardait des films pornos et des vidéos X...

    328962-cette-image-extraite-video-rendue.jpg

    Ce vieillard à barbe blanche serait Ben Laden en train de regarder la télévision  selon les chaînes américaines. 

    Oussama ben Laden était-il un amateur de films pornographiques ? En tout cas, les Américains affirment avoir retrouvé de nombreuses vidéo X dans les dossiers saisis à Abbottabad, dans la planque du leader d'Al-Qaïda.

      On savait déjà que Ben Laden et ses proches aimaient déguster le mouton avec du soda américain. Selon le New York Times, le charismatique chef d’Al-Qaïda (ou ses hommes) aimaient aussi se faire plaisir devant des films pornographiques.
     
    Le quotidien américain affirme en effet, dans son édition de ce samedi, qu’une quantité considérable de films pornographiques ont été retrouvés dans les dossiers informatiques saisis lors de l’opération Geronimo, le 2 mai dernier.
     
    Cités sous couvert d’anonymat, les responsables américains qui rapportent cette information ne sont pas en mesure de dire si la vidéothèque X doit être attribuée à Oussama ben Laden lui-même ou à ses hommes.
     
    14/05/11

     

     

  • Des associations prétendument anti-racistes contre la liberté d'expression

    Yves-Marie-Laulan.jpg

    Yves-Marie Laulan

    Intervention d’Yves-Marie Laulan, président du Cercle des Libertés républicaines [1] au colloque « La liberté d’expression » organisé le 11 mai 2011 à l’Asiem par le Cercle des Avocats libres, le Cercle des Libertés républicaines, et le Collectif parlementaire pour la Liberté d’expression.

    (Le titre est de Novopress)

    Gambetta disait en 1872 : « La France n’a jamais demandé que deux choses à un gouvernement : l’ordre et la  liberté ». La France, de nos jours, a l’ordre, enfin,  à peu près. Mais elle a perdu la liberté ou est en passe de la perdre. Je parle de la liberté de parole,  qui conditionne la liberté d’opinion, laquelle commande la liberté tout court, celle qui caractérise une démocratie. De ce point de vue, la France a clairement emprunté un  chemin inquiétant, celui qui conduit à une pensée totalitaire .

    Comment en est-on arrivé là ? Le processus est simple. Il s’agit de l’action menée depuis des années par un certain nombre d’associations  prétendument anti-racistes, qui détournent à leurs fins propres les dispositions de lois conçues à l’origine en toute bonne foi  par le législateur.

    Il  s’agit notamment de l’article 8 de la  loi Pleven qui les autorisent à engager  à tout propos l’action publique, et aussi et surtout des dérives de la jurisprudence concernant l’interprétation à donner aux articles  des lois Gayssot et Pleven , notamment en ce qui concerne les notions « d’incitation » à la « discrimination et à la haine raciale », notions floues et vagues à souhait, qui peuvent donner lieu à toutes  les interprétations, même les plus fantaisistes selon l’humeur du moment .

    Dans l’état actuel de la jurisprudence, tout prétexte, même le plus futile, par exemple, tout récemment, la publicité de « Banania », ou encore de soi-disants quotas pour le football, ou encore un propos anodin, un jeu de mots, toute plaisanterie de  mauvais goût  ou mieux encore, un ton de voix  qui sera sévèrement jugé  « péremptoire », on croit rêver, tout cela est susceptible de tomber sous le coup de la loi et d’être condamné par les tribunaux. Nous sommes en plein dans le délit d’opinion et le déni de la liberté d’expression. Ce ne sont pas, pas  encore les grands procès de Moscou, mais ce sont,  déjà, les petits procès de Paris.

    En fait de quoi s’agit-il au fond ? S’il s’agissait de lutter contre le racisme ordinaire ou extraordinaire. Pourquoi pas ? Qui ne pourrait applaudir des deux mains à une telle proposition ? Mais il s’agit, en fait, de tout autre chose. Il faut se demande si nous n’assistons pas à une tentative digne de Gramsci de conquête délibérée du pouvoir culturel, et donc politique, sur le  champ de bataille judiciaire et médiatique.

    Car on ne peut manquer d’être surpris que certaines de ces associations servent de tremplin à un envoi vers des engagements clairement  politiques. Ainsi Patrick Gaubert, ancien président de la LICRA, se présente en tête de liste de l’UMP en Ile-de-France pour les élections européennes en 2004. 

     

    Ainsi  Harlem Désir, ancien président de SOS Racisme, est  aujourd’hui secrétaire national du PS. Ainsi Julien Dray, également membre de SOS Racisme, décidément une étonnant pépinière de talents, est aujourd’hui député du PS. On voit bien que nous sommes loin de la lutte dure et pure contre le racisme.

    Sans vouloir dramatiser à l’excès cette démarche, il faut se demander si, sous le blanc manteau de l’anti racisme, on n’assiste pas à une entreprise délibérée de déstabilisation de l’ordre culturel et politique  de notre pays, dans l’indifférence générale du public, qui  ne comprend  pas grand-chose aux enjeux gravissimes en cause, entreprise qui , un comble, est menée sous l’oeil paterne, apeuré,   ou même complice du gouvernement.

    Cette action est évidemment fort efficace dans une société hautement médiatisée comme la nôtre, au demeurant psychologiquement fragile, car traversée en permanence par des peurs irraisonnées. Seule victime, la liberté d’expression, et donc la liberté d’opinion, dont la perte est caractéristique d’un régime totalitaire. Prenons-y garde : Big Brother de George Orwell est au coin de la rue. Gardons- nous de lui ouvrir la porte.

    Comment fonctionne ce mécanisme fort subtil de déstabilisation ? C’est très simple. A tout propos, ces associations traînent dans la boue, je veux dire devant les tribunaux, telle ou telle association, ou  telle  ou telle personnalité, pour peu qu’elles soient connue et médiatisée, vedette de l’écran ou mieux encore, ministre,  de façon à l’atteindre financièrement -car se défendre coûte fort cher, et les condamnations sont lourdes-, mais surtout l’atteindre dans sa réputation, mieux encore, comble du bonheur, dans son emploi, dans sa vie professionnelle. Car, bien sûr,  s’il a été condamné, c’est qu’il était forcément coupable. C’est forcément un fasciste, un raciste pensent les bonnes gens  peu ou pas informés. Et  le tour est joué.

    Cette forme de dissuasion judiciaire est-elle efficace ? Fichtre oui. La preuve : Eric Zemmour n’est pas là ce soir. C’est la preuve par l’absence.

    Et le gouvernement de son côté est pris au piège comme un renard qu’une poule aurait pris. Il est  ici victime et complice. Il va  bien s’efforcer, pour les amadouer ou se « dédouaner »,  de prendre ces associations sous son aile protectrice , et signer force conventions entre la Licra et le ministère de la Justice, entre la Licra et l’Education nationale, entre la Licra et le ministère de   l’Intérieur . Si bien que ces associations deviennent indirectement le bras séculier de facto de l’Etat.

    Bien plus, l’Etat  financera ces associations qui reçoivent force subventions , soit directement, soit par le truchement des collectivités territoriales soumises au chantage classique  à l’élection. Cela est d’autant plus scandaleux que ces mêmes associations, qui ne comptent souvent qu’une poignée de militants ou de cotisants, sont loin de représenter un courant significatif de l’opinion publique. Mais, malgré cette pluie de subventions, ces mêmes associations   feront condamner systématiquement ses ministres de l’Intérieur, hier Brice Hortefeux, demain Guéant .. . Allez comprendre.

    Et ces associations financées par l’ Etat prospèrent. Il ne peut en aller autrement. Car si  elles perdent en justice, elles gagnent quand même, car elles sont subventionnées. Si elles gagnent leurs procès, leur fonds de commerce en est abondé d’autant. C’est l’impunité juridique et financière complète.

    Or  il faut bien voir que  l’action de ces associations revêt en fin de compte un caractère nocif et même malfaisant sur le plan social. Car loin de concourir à établir un climat d’harmonie et de bonne entente entre les diverses communautés qui font la France, elles agissent comme une sorte de poil à gratter permanent, d’irritant, de révulsif, générateur de ressentiment, de défiance, voire de haine entre ces communautés. Beau travail en vérité.

    Il faut donc absolument briser ce mécanisme infernal qui risque de broyer ce qui nous reste de liberté de parole. Il importe de ramener ces associations déchaînées dans le droit chemin, dans leur objet initial légitime, qui est de lutter contre les manifestation avérées  d’un racisme insupportable et non de devenir le gardien auto proclamé d’un nouvel ordre moral , de se livrer en toute impunité à une perpétuelle chasse aux sorcières  et créer, à cette fin une sorte de police de la pensée envahissante et inacceptable dans le pays qui , avant tout autre, a vu naître la liberté.

    C’est pourquoi je souhaiterais que soit créé, à l’issue de cette réunion, un  Observatoire des Libertés chargé d’enregistrer toutes les atteintes à la liberté d’expression résultant de l’action  des associations liberticides.

    C’est le message qu’il nous appartiendra  de porter demain à l’attention d’un gouvernent, à la veille d’une élection capitale, s’il veut bien nous entendre.

    Yves-Marie Laulan

    [1] Le Cercle des Libertés républicaines a été créé en 1985 par Yves-Marie Laulan, économiste, François Bourricaud +, directeur d’Etudes à l’Ecole pratique des Hautes études en Sciences sociales, et Pierre de Calan +,vice président du Medef

    NOVOPRESS - 14/05/11

  • Le juge et le renard: une nouvelle fable de La Fontaine?

    Renardeau.jpg

    Zouzou le renardeau orphelin - (Cliquez sur la photo)

    La famille Delanes refuse de se séparer de Zouzou, un renardeau qu'elle a recueilli il y a un an en Dordogne. Et risque la prison. Cette famille a opposé mercredi une fin de non recevoir à la proposition de conciliation du tribunal de Bergerac, en Dordogne, et s'expose désormais à des poursuites en correctionnelle. Le parquet de Bergerac avait opté pour la composition pénale, une alternative aux poursuites pénales.

    Le renardeau avait été recueilli, il y a un an, par Didier Delanes sur le cadavre de sa mère, morte au bord d'une route dans des conditions indéterminées. Depuis, l'animal vit dans un enclos du jardin, se nourrit de croquettes pour chien, boit dans une gamelle avec les poules de la famille et se laisse approcher et caresser.

    Mais, aux yeux de la loi, le renard est une espèce «sauvage et nuisible». «L'animal est encore jeune et n'a pas rencontré de femelle. Son comportement pourrait changer en période de rut et devenir dangereux», avait estimé Aurélien Viau, chef du service départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage.

    Suite à ce refus, la famille Delanes pourrait recevoir une convocation devant le tribunal correctionnel et risque désormais un an de prison et 15 000 euros d'amende.

    14/05/11

  • Lyon: le "Rassemblement pour la liberté" est en cours

    lyon-4.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    14/05/2011 – 15h50
    LYON (NOVOpress) –
    Le « Rassemblement pour la liberté » est en cours, Place Saint-Jean à Lyon. Il se déroule sous une pluie battante qui n’a pas découragé de nombreux défenseurs de la liberté d’expression de venir mais qui nous gêne pour vous présenter des vidéos comme nous l’avions envisagé.

    D’après une source policière cette manifestation a rassemblé 550 personnes malgré cet aléa climatique, le comptage des organisateurs est lui de 600 participants.

    Vous pouvez suivre son déroulement sur le compte Twitter du Bloc Identitaire http://twitter.com/blocidentitaire.

    Plusieurs allocutions ont eu lieu. Ont pris la parole  Philippe Vardon, Jean-David Cattin, Arnaud Gouillon, Fabrice Robert, et également un leader de l’English Defence League (EDL), Tommy Robinson, qui prenait la parole pour la première fois en France.

    Rappelons que ce rassemblement a lieu à l’appel du Bloc Identitaire et de Rebeyne!, suite à l’hallucinante interdiction de la Marche des Cochons par le Préfet du Rhône.

    14/05/11

     

     

  • Racketteurs impunis et victime perquisionnée... Cherchez l'erreur!

     

    Communiqué de Frédéric Boccaletti, conseiller régional de PACA, secrétaire départemental du FN Var

    Nous apprenons avec consternation par la presse locale, qu’un honnête père de famille inconnu des services de police, s’est vu infliger une garde à vue pour avoir défendu avec vigueur sa fille, élève de primaire, victime d’un abject racket.

    Apprenant par l’inspecteur d’académie que les délinquants demeureraient impunis et ne seraient pas exclus de l’établissement scolaire fréquenté par les protagonistes, ce père de famille ne put contenir sa colère et a exprimé vertement son désarroi devant les policiers.

    Bien mal lui en prit !

    Le procureur de la République parfois si peu réactif lorsqu’il s’agit d’accorder des commissions rogatoires à des policiers enquêtant sur des trafics de stupéfiants, n’a pas mis cinq minutes pour ordonner une perquisition au domicile de cet honnête citoyen.

    Bien plus grave encore, la jeune victime a été entendue sur les lieux même de son école par les services de police, sans la présence réconfortante de son père.

    S’il est aisé devant les journalistes présents dans les prétoires, de faire des effets de manche en accablant des automobilistes distraits ou des pères de famille outragés, chacun apprécierait la même sévérité envers ces nuisibles qui terrorisent nos enfants au quotidien.

    Le cœur et le bon sens exigeraient au contraire davantage de compassion envers les victimes plutôt qu’envers les coupables.

    Néanmoins, le procureur de la République ne manque pas d’humour puisque le père de la fillette sera convoqué le 14 juin prochain pour…un rappel à la loi ! Pour les racketteurs, rien, pas la moindre poursuite…

    Le Front National dénonce avec la plus extrême vigueur cette inversion des valeurs dont la persistance aboutira à la dislocation de la République et à la destruction des fondements de notre société.

  • Qui est-ce? n° 8 - Deux indices

     

    umuen0g9.jpg

    H.jpg

    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité))

  • My tailor is rich

    dskprimairesreseaux.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    A la suite de notre dossier de jeudi (« Strauss-Kahn, le scénario catastrophe »), l’équipe de communication de Dominique Strauss-Kahn nous a demandé de publier un « rectificatif » au sujet de l’un des articles. Celui qui est intitulé : « Des costumes à 35.000 dollars ». Nous le faisons, ce qui est normal, même si nous aurions préféré, pour notre part, ne pas nourrir davantage la polémique.

    Voici ce que nous a transmis l’équipe DSK : « Il s’agit d’une fausse information. Dominique Strauss-Kahn ne connaît pas ce tailleur qui se fait appeler “Georges de Paris”. Il n’y a jamais acheté le moindre centimètre de tissus. »

    Verbalement, on insiste : « Ce n’est pas son tailleur. Il n’y a jamais mis les pieds. »

    Nous avions rencontré ce tailleur français à Washington en juillet 2010. Il nous avait alors parlé, très librement, de ses clients, et notamment de Dominique Strauss-Kahn. Pascale Tournier, signataire de l’article, l’a donc de nouveau appelé jeudi soir – en enregistrant cette fois la conversation.

    Georges de Paris habille les présidents américains depuis Lyndon B. Johnson. Il nous a répondu depuis sa boutique située dans la 14e rue de Washington, à dix minutes de la Maison-Blanche. Il est réputé pour son style moderne classique. Ouverte depuis les années 1960, son établissement est tapissé de portraits de quelques-uns de ses illustres clients : Ronald Reagan, Kofi Annan, Rudolph Giuliani, Bill Gates.

    Voici ce qu’il nous a dit, ou plutôt confirmé.

    FRANCE-SOIR Parmi vos clients prestigieux, comptez-vous bien le président Barack Obama ?

    GEORGES DE PARIS Oui. Je lui ai fait son costume à l’occasion de la remise de son prix Nobel, et de son discours sur l’état de l’Union. Je suis en train d’en tailler un nouveau pour lui.

    F.-S. Avez-vous aussi confectionné des costumes pour le Français Dominique Strauss-Kahn, l’actuel directeur du FMI ?

    G. de P. Oui. Il s’est fait faire chez moi deux ou trois costumes. C’était l’année passée. Je suis allé dans son bureau à Washington. Sa femme l’a ensuite accompagné au moment des essayages.

    F.-S. On dit que votre fourchette de prix est comprise entre 7.000 et 35.000 dollars ?

    G. de P. Oui, c’est exact. C’est bien entre 7.000 et 35.000 dollars.

    13/05/11

  • Xavier Dupont de Ligonnès toujours introuvable: la police est allée enquêter au monastère du Barroux

    Barroux.jpg

    Abbaye Sainte-Madeleine du Barroux

    (Cliquez sur la photo)

    Jusqu’ici, Xavier Dupont de Ligonnès n’apparaissait guère obsédé par la religion. Il ne fréquentait que rarement le groupe de prière de sa mère à Versailles, séchait la messe le dimanche à Nantes comme à Pornic. Pourtant, la vie spirituelle de l’homme le plus recherché de France semble receler encore bien des mystères.

    A la fin des années 1980, alors qu’il vit à Draguignan (Var), le suspect numéro un de la tuerie de Nantes — au cours de laquelle sa famille a été retrouvée massacrée le 21 avril — est un habitué du monastère Sainte-Madeleine du Barroux dans le Vaucluse. Un détail? Pas vraiment : en plus d’être l’une des communautés traditionalistes de France, l’abbaye se situe à seulement 40 km du Pontet, le village où le fugitif s’était arrêté dormir dans la nuit du 12 au 13 avril.

     

    C’est une amie de l’une des sœurs de Xavier qui avait transmis l’information aux enquêteurs fin avril. Celle-ci raconte aux policiers que le suspect, alors célibataire, effectuait, à la fin des années 1980, des séjours réguliers dans ce monastère. « A l’époque c’était quelqu’un de sombre et renfermé, se souvient cette amie. La famille connaissait alors des tensions, qui semblaient liées à la personnalité très forte de la mère de Xavier. »

     L’abbaye, créée en 1970, et sa quarantaine de moines bénédictins sont alors proches de Mgr Lefevbre, chef de file des traditionalistes, en rupture avec le Vatican. Aujourd’hui encore, la messe y est célébrée en latin, selon le rite traditionnel. C’est également le seul monastère du pays à ne pas adhérer à la Conférence des religieux et religieuses de France, qui fédère les communautés catholiques de l’Hexagone.

    Cette information ne va pas laisser les enquêteurs indifférents. Car s’ils savent que le suspect a bien passé la nuit du 12 au 13 avril dans un gîte du Pontet et celle du 14 au 15 à Roquebrune-sur-Argens, ils ignorent toujours où le suspect a pu dormir dans la nuit du 13 au 14. Les policiers de la PJ de Nantes se rendent donc à l’abbaye le 24 avril, mais les bénédictins assurent ne pas avoir croisé le fugitif. « Si nous l’avions vu, nous l’aurions dénoncé », dit un responsable de la communauté, qui ajoute que le visage de Xavier lui était « inconnu » jusqu’alors.

    Après une visite minutieuse, les enquêteurs ne trouvent rien de suspect. Depuis leur passage, une photo de Xavier trône devant la porte du monastère, surmontée du numéro de la PJ de Nantes. « C’est un crime atroce, commente un responsable du monastère. Nous avons prié pour lui, pour qu’il se rende à la police. Après quoi, le bon Dieu le jugera. »

     Source La Parisien - 13/05/11

  • Le demi-frère juif de Barack Obama visite Israël

    frere-Obama2.jpg

    Mark Ndesandjo s’est rendu en visite en Israël à la recherche de ses racines. Rien de bien particulier direz-vous, puisque sa mère, Ruth Nidesand, est juive. Ce qui est moins ordinaire c’est que son père n’est autre que le père de Barack Obama, Président des Etats-Unis. Le nom complet de Mark est, en effet, Mark Okoth Obama Ndesanjo.

    Le père de Barack Obama s’est marié quatre fois et a eu sept enfants, dont Mark, plus jeune frère du Président.

    Longtemps discret, Mark a fini par publier un livre: « De Nairobi à Shenzhen », ouvrage partiellement autobiographique , dans lequel il décrit son père comme un homme  violent, alcoolique, qui les battait lui et sa mère.

    Mark Obama Ndesandjo vit  en Chine, à Shenzen. Il est venu s’y installer après avoir perdu son travail à la suite du 11 septembre 2001. Il a appris le mandarin et la calligraphie, enseigne le piano dans des orphelinats, s’implique dans la lutte contre les violences familiales. Musicien de talent, il est aussi consultant en marketing dans les nouvelles technologies. Et il a épousé une Chinoise, professeur de danse et grande fan du Président Obama.

    Durant son voyage en Israël, organisé et mené dans le plus grand secret, il a rencontré le Rav Metzger, Grand Rabbin d’Israël. Il lui a demandé une bénédiction pour lui et pour sa mère qui vit toujours au Kenya où elle dirige une école maternelle.

     Le Rav Metzger  lui a demandé d’intercéder auprès de son frère pour obtenir la grâce de Jonathan Pollard. Rappelons que Jonathan Pollard  a été condamné à la prison à perpétuité pour espionnage au profit d’Israël et purge sa peine depuis 1987.

    13/011

  • Khadafi dément avoir été blessé et nargue l'OTAN

    Dans un message audio diffusé ce vendredi soir à la télévision libyenne, le dirigeant Mouammar Kadhafi a affirmé que les bombardements de l'Otan ne pourraient pas l'atteindre car il est porté dans «les coeurs de millions de Libyens». Le guide libyen a déclaré dans cet enregistrement, diffusé également par la radio d'Etat libyenne, qu'il se trouvait en un lieu qui était hors de portée des avions de l'alliance atlantique.

    «Je dis aux lâches croisés que je me trouve dans un lieu que vous ne pouvez pas atteindre et où vous ne pouvez pas me tuer», déclare-t-il sur cet enregistrement diffusé par la chaîne de télévision Jamahiriah.

    Un peu plus tôt, le gouvernement libyen a démenti que le dirigeant libyen ait été blessé et a rejetté les propos «absurdes» du chef de la diplomatie italienne: Franco Frattini avait affirmé dans l'après-midi que Mouammar Kadhafi avait été probablement blessé et ne se trouvait sans doute plus à Tripoli, citant l'évêque catholique de la capitale libyenne, Giovanni Innocenzo Martinelli.


    «Il a le moral. Il dirige le pays jour après jour. Il n'est pas du tout blessé», a ajouté le porte-parole du gouvernement libyen, Moussa Ibrahim. «J'ai tendance à donner du crédit aux propos de l'évêque de Tripoli, Mgr (Giovanni Innocenzo) Martinelli, qui est en contact étroit (avec le dirigeant libyen), quand il nous dit que Kadhafi a probablement quitté Tripoli et qu'il a sans doute également été blessé. Nous ignorons où et comment», a répliqué le chef de la diplomatie italienne. 

    Alimentant les doutes sur son propre sort, le colonel Kadhafi ne s'est pas montré en public depuis un raid mené le 30 avril par l'Otan à Tripoli, dans lequel ont péri son plus jeune fils, Saïf al Arab, et trois de ses petits-enfants.

    Apparition à la télévision

    Les autorités libyennes avaient alors accusé l'Alliance atlantique d'avoir tenté de l'assassiner. L'Otan, qui a pris le commandement des opérations militaires le 31 mars, a démenti prendre pour cible Kadhafi ou sa famille, assurant que les raids aériens visaient des objectifs militaires situés dans le même quartier de Tripoli que le complexe où vit le dirigeant libyen.

    La télévision libyenne a diffusé mercredi soir des images de Kadhafi tournées selon elle dans la journée lors d'une réunion dans un hôtel de Tripoli avec des chefs tribaux. Il portait un burnous et une coiffe sombres et des lunettes de soleil. Dans une interview publiée sur le site Internet du Corriere della Serra, Frattini a mis en doute l'authenticité de ces images. «Je doute fortement que ces images aient été filmées ce jour-là et surtout qu'elles aient été prises à Tripoli», a-t-il dit.

    «Il y a des personnes sur le terrain qui connaissent la situation (...) Parmi elles, Mgr Martinelli qui était et est toujours en contact étroit avec le régime», a-t-il ajouté. «La pression internationale a poussé Kadhafi à chercher refuge dans un endroit sûr. J'ai tendance à croire qu'il a fui Tripoli mais pas la Libye», a ajouté Frattini.

    «Nous ne sommes pas présents sur le sol libyen»

    Un responsable du centre des opérations de l'Otan à Naples a rappelé la ligne observée par l'Alliance en Libye, qui consiste à ne pas viser des individus lors des raids aériens. «Nous ne pouvons pas vérifier cette information puisque nous n'avons aucun moyen de retracer les déplacements (de Kadhafi)», a-t-il dit. «Nous ne sommes pas présents sur le sol libyen», a-t-il ajouté.

    Depuis le début des opérations de l'Otan, Mgr Martinelli s'est montré critique envers la stratégie occidentale, affirmant que de nombreux civils avaient trouvé la mort lors des raids de la coalition. Il a fini par quitter Tripoli pour Tunis, a indiqué l'évêché de Tripoli.

    13/05/11
  • RSA: "Il faut réserver la solidarité nationale aux Français" a déclaré Marine Le Pen

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, a appelé vendredi, à propos du débat sur le RSA, à "réserver la solidarité nationale aux Français" et à s’attaquer "à la fraude sociale", "aux familles polygames" et aux "signes extérieurs de richesse des voyous de banlieue".

    "Ce qui est horrible dans les propos de M. Wauquiez, c’est qu’il fait un amalgame entre tout le monde", a déclaré la présidente du FN sur LCI, en affirmant par ailleurs que "le RSA rend la vie plus difficile que le RMI".

    "La réalité c’est qu’il y a des gens qui méritent d’être aidés parce qu’ils sont réellement dans les difficultés. Et puis il y a effectivement des profiteurs. Les Français, à juste titre, ne supportent plus de devoir travailler pour voir à côté d’eux des gens qui ne font aucun effort", a-t-elle ajouté.

    "Personne ne s’attaque à la fraude sociale", "personne ne s’attaque aux familles polygames" ou aux "signes extérieurs de richesse des voyous de banlieue, des dealers qui se baladent avec des grosses voitures tout en touchant le RSA", a déclaré Mme Le Pen.

    Selon la présidente du FN, l’instauration de contreparties au RSA, comme l’a suggéré M. Wauquiez, serait "impossible à organiser", mais "en revanche, il faut commencer par réserver la solidarité nationale aux Français".

    "Il faut réserver les aides sociales, le logement social, aux Français", a-t-elle insisté, jugeant que les études qui aboutissent à un bilan économique positif de l’immigration ne sont "pas sérieuses" et "idéologiques".

    Interrogée sur l’affaire des quotas au sein de la Fédération française de football (FFF), Marine Le Pen a apporté "son soutien" à Laurent Blanc, qui "n’a strictement rien à se reprocher".

    "Pour l’instant, la difficulté qu’il y a dans les petits clubs et dans les clubs de formation touche beaucoup, il faut le dire, des petits blancs qui, parfois, se font maltraiter parce qu’ils sont blancs", a-t-elle affirmé, appelant la FFF à s’"occuper de ça".

    Juste avant, elle avait qualifié de "communautariste et raciste" le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran), qui veut porter plainte dans cette affaire de quotas, "puisque" cette association "se fonde sur la couleur de la peau".

    13/05/11

  • Train de vie: DSK contre-attaque et poursuit France-Soir

    arton15411-798f0.jpg

    (Cliquez sur la photo)

    Le patron du FMI Dominique Strauss-Kahn a annoncé vendredi qu’il allait poursuivre France Soir "à la suite de la publication de fausses informations relatives à son train de vie", le quotidien maintenant pour sa part la véracité de ses informations.

    "Dominique Strauss-Kahn a chargé ses avocats d’engager sans délais les procédures de nature à réparer le préjudice qu’il subit du fait de campagnes médiatiques destinées à lui nuire", explique-t-il dans un communiqué.

    Depuis une semaine, le train de vie et le patrimoine du candidat favori des Français dans les sondages pour la primaire socialiste est décortiqué dans la presse. France Soir en particulier a fait sa une jeudi sur DSK et son "train de vie hors norme", évoquant notamment la commande de costumes "de 7.000 à 35.000 dollars" chez un tailleur de Washington.

    Le quotidien est revenu à la charge vendredi en publiant une interview du tailleur, "Georges de Paris", après que l’équipe de communicants de M. Strauss-Kahn eut demandé un "rectificatif" sur les costumes.

    "Mes Jean Veil et Dominique de Leusse vont assigner, devant le tribunal de grande instance de Paris, France Soir ainsi que Mme Pascale Tournier, journaliste, à la suite de la publication de fausses informations relatives à son train de vie", ont répliqué des avocats de DSK dans un communiqué.

    Le directeur général du FMI a également "demandé à un avocat américain d’examiner les suites à donner aux propos prêtés par Mme Tournier à un tailleur de Washington appelé "Georges de Paris", tailleur dont M. Dominique Strauss-Kahn n’a jamais été le client", affirment ses conseils.

    La direction du quotidien a pris acte de cette action avec "sérénité", et a maintenu ses informations.

    "L’article est le fruit d’un travail journalistique sérieux, on a des preuves de ce qu’on avance", a déclaré un responsable de la direction.

    "Nous avons toute confiance dans le travail de nos journalistes, ils travaillent de surcroît en toute indépendance", a déclaré pour sa part Rémy Dessarts, le directeur de la rédaction du quotidien.

    Après la Porsche, les costumes…. Les ennuis de DSK, probable candidat à la primaire socialiste, ont en effet débuté avec la publication d’une photo où il monte dans une Porsche lors de son dernier passage à Paris, fin avril.

    Cette photo a lancé une vague d’articles et de commentaires, certains, y compris au sein du PS, voyant un premier "faux pas" dans la stratégie de communication du favori des sondages. Et ce alors que le dépôt officiel des candidatures pour la primaire socialiste s’ouvrira le 28 juin.

    La plainte de DSK contre France Soir ne risque-t-elle pas de relancer la polémique ? "Ca va bien, il y a un moment où il faut répondre. On ne peut pas écrire tout et n’importe quoi sur le même thème, c’est agaçant", a répliqué un proche du poids lourd socialiste.

    "Tout ça est monté par Sarkozy pour dissuader DSK d’être candidat, c’est le début d’un blitzkrieg violent", a affirmé un autre strauss-kahnien.

    Anticipant d’autres attaques, DSK a aussi prévenu qu’il poursuivrait "tout propos, concernant lui-même ou ses proches, tombant sous le coup des textes réprimant la diffamation, l’injure ou le racisme."

    13/05/11